Ce que les adhérents du modèle créatif appellent de nouveaux modes de pensée, les disciples de l’ancien l’appellent des délires dénués de sens, de plan et de cohérence. Par ces commentaires négatifs ils suggèrent qu’il y manque quelque chose, et qu’un sens, un plan ou une cohérence ne serait pas seulement souhaitable mais serait même nécessaire. Pour les partisans du nouveau modèle, par contre, les anciennes modes de pensée sont fossilisées, momifiées et ils reprochent aux partisans de celui-ci leur dogmatisme et leur rigidité. Il est vrai que le modèle ancien satisfaisait davantage notre besoin de sécurité, de prévisibilité et de certitude. L’abandon de l’ancien modèle du monde peut être angoissant. Il est pourtant essentiel de réaliser que s’accrocher à un ancien modèle du monde peut être un obstacle à une expérience de bonheur. Dans le modèle du monde linéaire nous cherchons pour le bonheur ou le malheur des raisons, des causes ou des coupables en dehors de nous. Nous essayons alors d’éliminer ou de vaincre ces obstacles à notre bonheur. Notez, au passage, les métaphores techniques ou militaires de cette pensée. Dans le modèle systémique le bonheur et le malheur sont créées de l’intérieur. C’est un paradigme qui libère, qui rend mature, qui donne un pouvoir émancipateur, mais qui, également, responsabilise.
De mens in de samenleving
Disfuncties van het systeem… …komen lokaal tot uiting als mentale ziekte, fysieke ziekte, sociale ziekte.
Sociale cultuur Conditionering Rigiditeit Stress Onevenwicht Levensomstandigheden
Ontsnappingsroutes “Ziekte” als probleemoplossing
die er vaak niet in slaagt dit op een gezonde wijze op te lossen…
Vele “zieken” zijn normale mensen die proberen te overleven in een zieke maatschappij Gezondheid = flexibiliteit
La langue : réalité et théâtralité Les paroles sont les médecins de l’esprit malade. AESCHULOS, 525-456