sentait une partie inaliénable, de vivre à partir de ce moment comme s’il était mort ce soir-là. S’il était mort, il ne devait plus du tout se soucier de son future. Il serait libre de se consacrer à une vie comme représentant de l’univers. Le restant de sa vie serait un cadeau. Au lieu de seulement vivre pour lui-même, il pourrait se consacrer à la question: « Y a-t-il quelque chose sur cette planète (qu’il appelait le vaisseau spatial Terre) dont j’ai quelques compétences, qui doit être fait et qui ne le serait probablement pas si je n’en prenais pas la responsabilité? » Il décida de ne rien faire d’autre que de se poser sans cesse cette question et de faire ce qui ainsi se présentait à lui.100
Si de cette manière, vous travaillez pour l’humanité, comme un employé de l’univers tout entier, vous changez votre entourage en vous contribuez par qui vous êtes, par comment vous êtes et par ce que vous faites. Il ne s’agit plus d’une entreprise personnelle, mais cela fait partie du grand ensemble de l’univers.
La porte étroite Als je gehecht bent aan het concept van de vrije wil, breng dit dan in de praktijk: kies voor de komende twee weken alleen maar gelukkige gedachten en gevoelens. Welke waarde heeft de vrije wil als we die niet in de praktijk kunnen brengen? STEPHEN WINGATE
Er zijn geen problemen, alleen gedachten die u zeggen dat wat er is een probleem is. Er zijn geen vergissingen, alleen gedachten die u zeggen dat wat er is een vergissing is.
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Overgenomen uit: Jon Kabat Zin, Wherever you go, there you are. New York: Hyperion, 1994