La connexion Si on fait pivoter vers l’avant le plan de la figure précédente, de sorte que l’axe des valeurs pointe en avant, on peut tracer une troisième dimension perpendiculaire sur ce plan. C’est la dimension de la connexion. La connexion c’est l’expérience de la relation à l’autre, du lien à ce qui nous entoure. C’est un « oui » aux autres. La connexion crée un lien, un patrimoine émotionnel. La connexion n’est pas avoir besoin de l’autre. Ce n’est pas une émotion du corps mais une émotion de
l’esprit. C’est une expérience totale, une expérience qui engendre un mouvement de l’esprit et qui mène à l’harmonie et à la plénitude. La forme la plus simple de connexion est celle avec sa famille, avec ses amis ou avec une association. On sait que les personnes mariées et les personnes ayant un réseau social étendu, se sentent plus heureux et sont en meilleure santé que les personnes isolées. On peut, d’ailleurs, aussi se sentir connecté à la nature ou à l’univers. La connexion c’est l’appartenance à un tout plus grand, qui nous dépasse. Elle engendre la gratitude et le bien-être.
Drie dimensies van geluk VERBONDENHEID “Wij”-gevoel “Ons”-gevoel Erbij horen Vertrouwen Vriendelijkheid Geweldloosheid Vrede Emoties van de geest: Verwondering Dankbaarheid Mededogen
Geluk
Verbondheid
O
Pleziergehalte
Pleziergehalte
Waardegehalte
Waardegehalte
ANONIMITEIT “Zij”-gevoel “De anderen”-gevoel Vijandigheid Agressiviteit De-linquentie
Même le lieu de travail devrait être une expérience de connexion et de plénitude. Un travail n’est pas seulement un « job » avec des objectifs et des échéances, mais devrait être un travail, un métier, une vocation, un lieu où l’on se réalise et s’épanoui, où l’on crée de la valeur, où l’on crée de l’ordre. Un maçon peut voir son travail comme l’empilement des pierres, l’une sur l’autre, ou comme une contribution à l’érection d’une cathédrale. Un même travail peut être vu comme un « boulot » abrutissant ou comme une contribution à un grand projet. Martin Luther King disait: « Si quelqu’un doit balayer la rue pour subvenir à ses besoins, il doit le faire comme peignait Michel-Ange, comme composait Beethoven ou comme écrivait Shakespeare ». Kahlil Gibran écrivait: « Aimer la vie par le travail, est connaître le secret le plus profond de la vie. Un travail n’est rien sans l’amour, car le travail c’est de