B – Avis de spécialistes de la construction sur les possibilités d’une méthode constructive déconsidérée
1 – Discussions avec des professionnels exerçant en métropole
Pour ces interviews, je me suis basée sur deux critères important pour parler de mon sujet avec des personnes ayant une certaines expériences : - des professionnels du bâtiment, aguerris ou en devenir - des personnes ayant vécues, ou vivant à la Réunion Je voulais tout de même établir une base solide de ce qui se faisait en métropole avant d’étudier les possibilités à la Réunion. J’ai donc profiter d’un séjour en France métropolitaine pour questionner Mr Morgane Moinet, architecte D.E et consultant réemploi des matériaux de construction. Il m’a permit d’appréhender quelques points législatif important que je ne comprenais pas. Par la même occasion j’ai pu interroger Mr Raphaël Fourquemin, architecte et président de l’association IDRE qui travail dans le réemploi. Il m’a apporté sa vision architecturale du réemploi, la créativité qu’il apporte en plus à l’architecte et les explications techniques de mises en place du réemploi dans des projets. Par la suite, pour ancrer mon sujet et comprendre les complexités du territoires réunionnais, il m’a paru naturel d’aller chercher mes sources d’informations sur ce territoire directement.
2 – Discussions avec des architectes et des maîtres de conférences exerçant à La Réunion Mon premier réflexe à été de me tourner vers un maître de conférence de l’école d’architecture de la Réunion, et architecte, Mr Malek Dhabi. Je connaissais son intérêt pour le réemploi et je l’ai donc questionné pour qu’il m’indique plusieurs pistes de réflexion. Je l’ai interviewé une deuxième fois ultérieurement, pour avoir son avis sur des questions plus précises. Il me semblait pertinent d’interroger des maîtres de conférences de l’école d’architecture de la Réunion, dans le but d’étudier leurs réponses face au manque de réemploi dans la formation et leur 107







