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SPOG est engagée pour une recherche sur le cancer centrée sur le patient et visant l’amélioration constante des traitements et de la qualité de vie des enfants et adolescents souffrant de cancers. U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A SPOG Coordinating Center | Effingerstrasse 33 | CH-3008 Berne Téléphone +41 31 389 91 89 | www.spog.ch Comptes dons: Postfinance 60-363619-8 JUINde 20 Banque cantonale bernoise BCBE, 3001 Berne | BIC/SWIFT: KBBECH22XXX IBAN: CH71 0079 0016 2668 5560 2

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Interview

VOLKER THIEL Pionnier de la recherche sur le Covid-19, le Professeur de l’institut de virologie à l’Université de Berne nous délivre sa vision de la sortie de crise

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U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

EDITORIAL

CONTENU... 04 Coronavirus 10 Interview: Volker Thiel 12

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FOCUS STAY HEALTHY. CHEF DE PROJET: Thibaut Mochel

En bonne santé pendant l’été malgré ou grâce au coronavirus

COUNTRY MANAGER: Pascal Buck TEXTE: Laetizia Barreto, Andrea Tarantini IMAGE DE COUVERTURE: iStockphoto.com LAYOUT:

Faire plus de sport, aller au travail à vélo, veiller à avoir une alimentation équilibrée: le début de l’été est synonyme de bonnes résolutions. Cette année, avec le Covid-19, elles prennent une toute nouvelle dimension.

Anja Cavelti CANAL DE DISTRIBUTION: Tribune de Genève & 24heures,

ous pouvons enfin sortir de chez nous: le semi-confinement appartient au passé. Nous avons fait l’expérience du trop et du trop peu. Après des mois interminables de travail à domicile, des semaines passées devant nos écrans, des journées entières consacrées à nos séances professionnelles sur zoom ou à notre travail scolaire et sans la possibilité d’entretenir nos contacts sociaux, il est normal que nous ayons à présent envie de profiter de la vie. Certains s’imaginent déjà passer une saison balnéaire de rêve en bikini, d’autres veulent se sentir en forme pour pouvoir profiter de longues promenades et de belles excursions en montagne. À présent, dans l’esprit de la plupart d’entre nous, la voiture est remplacée par le vélo et le menu du déjeuner fait place à une assiette de salade. Il s’agit de résolutions habituelles qui, cependant, prennent un tout nouveau sens avec le Covid-19.

On le sait depuis longtemps: une activité physique régulière et une alimentation équilibrée réduisent le risque d’obésité, d’hypertension, de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2. D’ailleurs, des chercheurs de l’Université de Zürich ont récemment montré que le Covid-19 peut déclencher une inflammation des vaisseaux sanguins. Généralement, cela n’a pas d’impact sur les plus jeunes. Cependant, pour les patients souffrant d’hypertension, de diabète, d’insuffisance cardiaque ou de maladies coronariennes qui endommagent déjà les vaisseaux, ces inflammations vasculaires peuvent être mortelles. Elles peuvent en effet entraîner la défaillance de plusieurs organes et même la mort. Selon plusieurs études, la gravité du virus augmente avec l’indice de masse corporelle IMC. Ainsi, une surcharge pondérale sévère peut également être associée à une évolution grave du Covid-19.

Juin 2020

non seulement notre santé vasculaire mais aussi notre système immunitaire puisqu’une alimentation variée avec des minéraux, des vitamines et des acides gras oméga-3 ainsi que l’exercice physique renforcent la fonction du système immunitaire.

Le sport et une alimentation saine n’ont jamais été aussi payants qu’aujourd’hui. - CORINA WIRTH, DIRECTRICE GÉNÉRALE DE LA SANTÉ PUBLIQUE SUISSE

D’autre part, des études montrent que plus les vaisseaux sont en bonne santé, mieux le Covid-19 est toléré par l’organisme. La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons contribuer à la santé de nos vaisseaux sanguins en adoptant un mode de vie sain: en faisant suffisamment d’exercice, en ayant une alimentation équilibrée et en arrêtant de fumer par exemple. D’ailleurs, cela soutient

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Ainsi, le sport et une alimentation saine n’ont jamais été aussi payants qu’aujourd’hui et non seulement en relation à la plage et à notre physique, mais aussi parce que nous pouvons nous protéger contre de graves maladies et mêmes contre le coronavirus. Si nous faisons partie de la catégorie des sportifs du dimanche ou si nous n’avons pas le temps de faire du sport et de cuisiner, il nous suffira de descendre à l’arrêt de bus qui précède le nôtre, d’utiliser les escaliers au lieu de l’ascenseur et d’aller faire nos courses à pied. Ce sont autant de moyens de rester actifs et de se protéger contre le coronavirus. D’ailleurs, le risque d’infection est plus élevé à l’intérieur qu’à l’extérieur. Combiner activité physique à l’extérieur et cuisine équilibrée n’est pas difficile et améliore notre qualité de vie. Il faut seulement l’expérimenter pour y croire. Par exemple, les fraises fraîchement cueillies ont meilleur goût que les plats déjà cuisinés. Il ne faut pas oublier la notion de plaisir. Trop nombreuses sont les personnes qui ont souffert de la solitude pendant le semi-confinement ou des multiples contraintes liées au fait de devoir aider les enfants avec leurs devoirs tout en suivant une vidéoconférence professionnelle. Le stress, dans toutes ses formes, a un effet négatif sur le système immunitaire. Remettons-nous en selle et commençons à vivre un été heureux, riche en événements, savoureux et rafraîchissant!

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Bonne lecture! Thibaut Mochel Senior Chef de projet

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UNILABS BRANDREPORT

Le coronavirus entre challenges passés et à venir Unilabs, spécialisé dans le diagnostic médical, propose un test sérologique de détection des anticorps contre le Covid-19. Le Dr. Giuseppe Togni revient sur les défis rencontrés par Unilabs lors de la crise sanitaire.

nilabs possède des laboratoires dans toute la Suisse, mais est aussi présent dans 16 pays, principalement en Europe. Le groupe a connu une situation sans précédent face au coronavirus. Le Dr Giuseppe Togni, responsable scientifique de la sérologie infectieuse et de la microbiologie pour la Suisse romande, nous explique la gestion d’une pandémie en laboratoire. Dr Togni, quelle est votre fonction au sein d’Unilabs? Je chapeaute une équipe de collaborateurs sur le site central de Coppet, qui effectue du diagnostic en microbiologie et en sérologie infectieuse. Dans ce second domaine, nous détectons les maladies infectieuses en observant les réactions du système immunitaire, c’est-

à-dire la production d’anticorps par l’organisme. À titre d’exemple, lorsqu’on dépiste le HIV ou une hépatite, on recherche des anticorps et non le virus en soi. Lors de l’arrivée d’un nouveau virus, comme le Covid-19, comment une institution telle qu’Unilabs procède-t-elle? Il faut d’abord établir la meilleure stratégie pour aider le corps médical en comprenant au plus vite les caractéristiques du virus, puisque nous constituons un élément de la prise en charge des patients. Dans le cas du coronavirus, nous avons rapidement eu accès à des protocoles fiables et exploitables mis en ligne par l’OMS pour développer un test de dépistage adéquat. Nous avions les machines nécessaires, nous connaissions la technologie,

il ne nous restait qu’à être rigoureux et méthodiques. Dès la fin janvier, nous étions donc prêts à faire des analyses. Lors de cette crise sanitaire, la Suisse, comme le reste du monde, a été confrontée à de nombreux défis, quels ont-ils été pour Unilabs? Au mois de mars, après une téléconférence avec mes collègues experts en microbiologie dans les différents pays où est implanté Unilabs, j’ai constaté que tous manquaient du matériel nécessaire au dépistage du Covid-19. Puis, cela s’est avéré être une problématique globale. C’était une grande première, puisqu’en Europe ou en Suisse, on n’avait jamais vécu une situation de pénurie de matériel. Nous aussi avons donc dû explorer toutes les alternatives possibles en termes de diagnostics fiables et rapides. Comment avez-vous réagi à cette pénurie? J’ai proposé au directeur médical de mettre sur pied une «Covid-19 Task Force» afin de faire le point sur toutes les méthodes disponibles et d’échanger des conseils entre différents pays. Nous devions trouver des solutions alternatives rapidement. Ainsi, ensemble, nous avons envisagé toutes les possibilités, comme l’usage d’amplifications isothermes, la recherche d’antigènes et même la sérologie qui, en théorie, n’est pas adaptée dans ce cas. En effet, la sérologie ne nous permet pas de détecter une infection à son début car la réponse du système immunitaire a lieu entre une semaine et 15 jours après l’infection. Néanmoins, c’est un excellent outil de monitoring et il est très important de savoir qui a déjà été infecté et quelles sont les populations à risque. Dans ce cadre, nous participons activement à des études pour en savoir plus sur la propagation du virus dans certains groupes d’individus (patients vulnérables, personnel médical, etc.), afin de mieux les protéger.

Dans cette phase de déconfinement, quels sont les enjeux pour Unilabs? D’une part, nous continuons à faire des tests pour déterminer qui est porteur du virus. Ceci est important pour garder la situation sous contrôle et éviter une deuxième vague. De plus, nous effectuons des tests de sérologie qui nous permettent d’observer la production d’anticorps chez les personnes qui sont déjà entrées en contact avec le virus. Même si, à l’heure actuelle, ces tests ne peuvent pas dire si nous sommes immunisés au coronavirus, ils sont utiles pour étudier la propagation du virus. Ces analyses nous ont déjà fourni une information capitale. J’estime qu’environ 10 à 20% de la population qui a eu le coronavirus a produit très peu d’anticorps, cela signifie qu’il est possible de le contracter à nouveau. C’est très important que les gens en tiennent compte et qu’ils continuent à respecter les consignes de sécurité et d’hygiène. Que retenez-vous de cette crise? Je pense qu’il y a eu un apprentissage collectif. Cette crise a mis en lumière la vulnérabilité de toutes les communautés et a souligné le fait que, dans une telle situation, il faut être solidaires et extrêmement humbles. Si on regarde dans le rétroviseur, on se rend compte que chaque semaine avait son lot de nouveautés et d’imprévus. La leçon à en tirer est que la vérité d’un jour n’est pas la vérité de toujours. TEXTE LAETIZIA BARRETO

SANTÉSUISSE BRANDREPORT

La solidarité entre assurés permet l’accès de tous à des prestations de qualité Le fonctionnement du système de l’assurance maladie est basé sur un subtil mélange entre solidarité et responsabilité individuelle des assurés comme des assureurs-maladie.

ui n’a jamais entendu (ou prononcé!) à l’occasion d’une discussion entre amis cette phrase: je paie mon assurance-maladie dans le vide, je ne suis jamais malade! Certains vont même jusqu’à proposer de rendre facultatif l’obligation de s’assurer. Pourtant, si l’on regarde d’un peu plus près, force est de constater que la plupart d’entre nous devrons malheureusement recourir un jour ou l’autre à notre assurance-maladie et serons bien contents de pouvoir profiter de la solidarité des autres assurés.

commun destiné aux assurances dont les assurés sont plus âgés et/ou qui nécessitent plus de traitements médicaux: c’est ce qu’on appelle la compensation des risques. Ce mécanisme, qui a constamment été affiné ces dernières années grâce à l’intégration de nouveaux critères (âge, genre, séjour à l’hôpital ou en EMS ou encore coût des médicaments), permet de lisser les différences de primes entre assureurs et de supprimer toute incitation à se livrer à une éventuelle chasse aux bons risques.

Soutien mutuel entre assurés La solidarité est au cœur même du fonctionnement de l’assurance-maladie. C’est sa raison d’être. Elle revêt de multiples formes. Ainsi, les personnes qui ont la chance d’être en bonne santé soutiennent les personnes malades. Prenons l’exemple d’une personne atteinte d’un cancer et dont le traitement oncologique coûte 200 000 francs par année, ce qui n’est pas rare. Il faut alors en moyenne 54 personnes payant des primes pour couvrir son traitement (la prime moyenne s’élevait à 3735 francs en 2018, selon les chiffres de l’OFSP).

Pas de solidarité sans responsabilité individuelle Il n‘y a pas d‘intérêt général sans solidarité et il n’y a pas de solidarité sans responsabilité individuelle. C’est pour cela qu’une contribution personnelle par le biais de la franchise et de la quote-part est demandée pour toute

Grâce à leurs primes les jeunes aident les aînés. Ainsi vers la soixantaine, on bénéficie de la solidarité des autres assurés: cela signifie que les prestations auxquelles on a recours dépassent, à cette période de notre vie, les primes versées annuellement. La solidarité s’exprime aussi entre les hommes et les femmes et les femmes et les hommes (en fonction des catégories d’âges, les flux s’inversent). Enfin, les plus aisés financièrement soutiennent, grâce à leurs impôts, les réductions de primes des personnes à faible revenu. Solidarité entre assureurs Les assureurs sont également solidaires entre eux. Ainsi, les assurances-maladie dont le collectif d’assurés est jeune et en bonne santé versent de l’argent dans un pot

prestation remboursée par l’assurance-maladie de base, sauf rares exceptions. Cette responsabilisation via une participation aux coûts permet de limiter la surconsommation de prestations inutiles à charge de l’assurance-maladie obligatoire. La responsabilité de chacun est ainsi au service de la solidarité entre tous. Les assureurs solidaires dans la crise La crise du coronavirus a démontré que le bien-être de tous dépend des comportements de chacun. Ainsi, nous avons tous été invités à respecter individuellement un certain nombre de mesures édictées par les pouvoirs publics afin que l’ensemble d’entre nous puisse être protégé contre ce nouveau virus.

Au niveau des acteurs du système de santé également, la solidarité a été de mise. Les assureurs-maladie ont ainsi rapidement travaillé à la mise en place de solutions pragmatiques pour faire face aux défis posés par le coronavirus. Ils se sont organisés pour continuer d’assurer le remboursement rapide des factures afin que les payeurs de primes ne rencontrent pas de difficultés financières et que les médecins, les hôpitaux et tous les autres fournisseurs de prestations puissent assumer leurs charges, notamment les salaires de leurs employés. Ils ont également trouvé des solutions afin que les consultations par vidéo ou par téléphone puissent être remboursées, y compris pour des professionnels de la santé pour lesquels ce n’était pas ou peu possible jusqu’ici, comme les sages-femmes, les logopédistes, les psychiatres ou les psychologues, par exemple. Grâce à leur bonne gestion des primes, les assureurs-maladie ont pu constituer de solides réserves qui serviront à faire face aux éventuels surcoûts liés à la pandémie du coronavirus. Certains voudraient détourner les réserves de ce but pour baisser artificiellement les primes de 2021 ou éponger le déficit des hôpitaux. Notre responsabilité, en tant qu’assureurs-maladie, c’est de nous opposer à ces revendications peu solidaires envers les payeurs de primes, qui risqueraient immanquablement de faire bondir les primes les années suivantes. www.santesuisse.ch

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CORONAVIRUS

Le coronavirus et son impact sur la psyché Le Covid-19 n’a pas seulement affecté notre santé physique, il a également eu un impact important sur la psyché de certains d’entre nous. TEXTE ANDREA TARANTINI

ès le début, la crise sanitaire de Covid-19 a eu un impact majeur sur nos habitudes ainsi que sur nos styles de vie. Afin de contenir sa propagation, le Conseil Fédéral a émis des mesures strictes et nous a vivement conseillé de rester à la maison. Bien que nécessaire, la plupart d’entre nous n’étaient pas prêts à vivre cet isolement. Ainsi, cette situation extrême n’a pas seulement eu des conséquences importantes sur notre santé physique mais aussi sur notre psyché. Afin de comprendre l’impact du coronavirus sur notre santé mentale, nous nous sommes entretenus avec Nadine Laub, psychologue exerçant à Zürich. Bien que le coronavirus ait affecté principalement notre organisme, les mesures prises par les gouvernements du monde entier ont également représenté une charge émotionnelle importante pour de nombreuses personnes. Pour faire face à cette situation exceptionnelle, chacun a déployé différents moyens et stratégies. Certains ont préféré se sentir réconfortés par la présence d’un animal de compagnie, d’autres ont trouvé des solutions efficaces pour garder le contact avec leurs proches par exemple. Cependant, de nombreuses personnes ont aussi manifesté des comportements potentiellement dangereux comme l’évitement, la fuite, les réactions excessives ou les actions irréfléchies. La capacité d’adaptation, une nécessité Quel a été l’impact de l’isolement social? Nadine Laub, psychologue exerçant à Zürich, s’est penchée sur cette question et a été étudié les effets psychologiques dus à l’épidémie du coronavirus.

Selon l’experte, la manière dont nous avons géré cet isolement a varié énormément d’une personne à l’autre: «un facteur important dans la manière dont nous gérons ces situations exceptionnelles est, entre autres, notre propre résistance psychologique. Si nous sommes dotés d’une bonne capacité d’adaptation, si nous avons un réseau social qui fonctionne et si nous n’avons pas de troubles psychologiques, nous avons de bonnes chances de bien survivre à de courtes périodes d’isolement». En revanche, Nadine Laub explique que, si l’isolement dure plus longtemps, même les personnes psychologiquement stables sont émotionnellement en difficulté et le danger de conflits domestiques, de violence, de dépression, d’attaques d’anxiété ou même de tendances suicidaires augmente. Cependant, la plupart d’entre nous sont capables de bien s’adapter aux nouvelles situations et ont pu utiliser le temps passé à la maison de manière intelligente. Avec le coronavirus, nos trains de vie rapides et souvent stressants se sont ralentis. En effet, auparavant nous avions peu de temps pour les choses importantes comme les soins personnels ou la famille. Ainsi, cette crise nous a tout de même offert la possibilité de prendre soin de notre bien-être, de notre santé et de notre réseau social. Le coronavirus, un risque de choc émotionnel important Les reportages des médias, les chiffres des décès, les images d’Italie ou de Chine par exemple et les destins des cas individuels mettent à l’épreuve notre psyché. Les gens perçoivent souvent ces situations exceptionnelles

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comme un risque de choc émotionnel, explique la psychologue. Plus précisément, il s’agit de situations aux dimensions existentielles et menaçantes, dans lesquelles de nombreuses personnes sont gravement menacées ou risquent de mourir dans un court laps de temps. Les risques de choc sont considérés comme particulièrement dangereux, bien que le risque réel de décès reste assez faible. Selon Nadine Laub, outre la dépression ou l’anxiété, les conséquences peuvent également consister en des troubles d’adaptation, des réactions de stress aigu ou des problèmes de stress post-traumatique. Selon la psychologue, les craintes relatives au Covid-19 sont surtout existentielles puisqu’on se soucie de son propre bien-être et de celui de ses proches. La situation professionnelle et l’incertitude quant à la stabilité financière peuvent également conduire à un stress existentiel. Dans une telle situation, ce sont des indices importants dans nos vies, tels que les structures quotidiennes familières ou l’échange social qui font défaut. «Les gens sont des êtres sociaux et l’une des principales régulations du système nerveux autonome est le contact social. C’est précisément celle-là qui a été limitée à cause du coronavirus. Ainsi, nous avons perdu une composante importante de la régulation biologique», explique la psychologue. C’est pourquoi, même en période de semi-confinement, les gens ont bien fait d’entretenir des contacts sociaux par téléphone ou vidéoconférence, par exemple. Le lien strict entre psyché et système immunitaire Il est cliniquement prouvé que le stress et l’anxiété affectent notre système immunitaire. En effet, les hor-

mones du stress telles que le cortisol ou l’adrénaline ont un effet négatif sur nos défenses et entraînent une diminution du nombre de cellules immunitaires saines. Un système immunitaire affaibli peut augmenter la fréquence des infections et rendre les gens malades plus rapidement. Surtout dans une situation aussi exceptionnelle, il faut faire plus attention à nous-même, à notre psyché et à notre corps. Afin de minimiser la charge de stress, nous pouvons faire plusieurs choses pour notre psyché et notre corps. Nadine Laub recommande «d’identifier les circonstances sur lesquelles nous pouvons avoir une influence. Il est également utile de limiter notre utilisation des médias et de choisir avec soin nos réseaux d’information. Une autre mesure importante consiste à maintenir ou à se créer une routine quotidienne en planifiant des moments pour nousmêmes, pour des promenades dans la nature ou des exercices de relaxation par exemple. Nous pouvons nous occuper des choses qui nous donnent du plaisir et qui créent des sentiments positifs. Le contact avec nos proches est essentiel et il faut le maintenir autant que possible. Cela permet en effet de bien traverser les situations difficiles et garantit notre santé mentale et physique. Les personnes qui traversent encore une période difficile suite à cette crise sanitaire et qui se sentent démunis face à leurs angoisses peuvent demander un soutien psychologique. Il est important que personne ne reste seul, surtout pendant les périodes difficiles.

Seniors : qu'y a-t-il dans votre assiette ? Repas livrés à domicile, menus adaptés selon les besoins et conseils prodigués par des diététiciennes expertes, tout est mis en œuvre par l’institution genevoise de maintien à domicile (imad) afin de répondre aux besoins des personnes en perte d’autonomie ou vulnérables, et leur garantir une alimentation saine et équilibrée. Etes-vous sûrs d’adopter les meilleures habitudes alimentaires ? Alors testez vos connaissances en matière de nutrition et… laissez tomber les idées reçues ! 1. Avec l’avancée en âge, il est conseillé de manger plus léger. Faux: Avec l’âge, les besoins alimentaires restent les mêmes, mais le risque de dénutrition est plus important. 2. Les personnes en surpoids sont à l’abri des carences alimentaires. Faux: Un excès de masse graisseuse n’empêche pas d’avoir des carences alimentaires qui fragilisent la personne (par exemple : fatigue, perte de muscles, risque de chute). 3. A Genève, les repas livrés à domicile par imad sont destinés aux personnes qui n’ont pas la possibilité de se préparer un repas généralement pour raisons de santé. Vrai: La livraison de repas fait partie intégrante des prestations indispensables au maintien à domicile des personnes malades ou âgées. En 2019, près de 483 000 repas ont été apportés au

domicile de plus 4600 personnes habitant à Genève. Une évaluation des besoins, capacités et ressources de la personne est effectuée lors de la demande de prestation de repas. Le service nutrition imad reste à disposition durant toute la démarche et pour toute information complémentaire. 4. Prendre beaucoup de médicaments modifie le goût, l’odorat et l’appétit. Vrai: De nombreux médicaments peuvent provoquer une perte d’appétit, modifier le goût ou entraîner une sécheresse buccale. Parlez-en à un professionnel de la santé. 5. Je dois consommer de la viande à chaque repas. Faux: Il faut consommer des protéines à chaque repas. La viande apporte des protéines et peut être remplacée par du poisson, des œufs, du fromage ou d’autres laitages, du tofu ou des légumineuses et céréales.

9. En période de canicule, boire du Gérostar permet de bien s’hydrater. Vrai: Pour varier vos boissons, vous pouvez préparer du Gérostar (boisson proposée par des médecins des HUG), donc voici la recette : Mélangez 1 jus de citron + 1 jus d’orange. Ajoutez-y 7 cuillères à café de sucre et 1 cuillère à café de sel de cuisine. Complétez à un litre avec de l’eau. 10. Les protéines ne sont importantes que si l’on veut se muscler. Faux: Un apport suffisant en protéines est important pour se maintenir en bonne santé. Elles sont nécessaires à chaque repas pour éviter une perte musculaire, préserver vos os et fabriquer vos anticorps. 11. Si mon poids varie de plus de 2 kg, je dois y prêter attention. Vrai: Une variation de poids peut présenter des risques pour votre santé. Une perte d’appétit, des difficultés pour s’alimenter peuvent en être la cause. Parlez-en à un professionnel de la santé.

6. On peut se passer de matières grasses. Faux: Les lipides ou « graisses » sont indispensables à la constitution et à l’entretien des membranes cellulaires (cerveau et tissus nerveux). Ils permettent également le transport des vitamines liposolubles dans l’organisme et sont nécessaires à la production d’hormones. Il est recommandé de consommer 2-3 cuillères à soupe d’huile (colza, olive ou autre) + une petite poignée d’oléagineux (noix, noisettes, graines de courge, etc.) par jour.

12. Le livreur de repas imad a un contact direct avec la personne qui reçoit le repas. Vrai: Le livreur imad joue un rôle essentiel dans le suivi et le maintien à domicile. Il garantit un contact régulier et préventif avec les personnes qui sont seules chez elles. Il est aussi à disposition pour fournir des renseignements sur les autres prestations du réseau d’aide et de soins. Les repas sont livrés du lundi au vendredi entre 8h30 et 12h30 (sans heure de passage fixe), selon la fréquence souhaitée.

7. Les repas livrés par imad répondent aux besoins spécifiques des personnes avec plus d’une vingtaine de régimes différents. Vrai: Les repas livrés sont variés et équilibrés diététiquement. Ils sont élaborés par les diététiciennes imad en étroite collaboration avec les cuisines des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG), certifiés GRTA. Ils sont adaptés aux besoins spécifiques de la personne (régimes, textures, aversions). La liste des menus de la semaine en cours est disponible sur le site internet www.imad-ge.ch

Vous pouvez également commander le livret de conseils sur la nutrition « Qu’y-a-t-il dans mon assiette? » par téléphone au 022 420 20 00 ou par e-mail à l’adresse info@imad-ge.ch www.imad-ge.ch

8. Si je n’ai pas soif, c’est que je n’ai pas besoin de boire Faux: Lorsque l’on prend de l’âge, on constate une diminution de la sensation de soif. Il est important de boire 1,5 litre par jour pour compenser les pertes corporelles. Gardez des boissons à portée de vue pour penser à boire : un thermos de tisane ou de thé, une carafe ou une bouteille d’eau ou d’autres boissons.

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65 6 idées reçues sur mon alimentation, je fais le test !

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La prévoyance funéraire est essentielle à chacun d’entre nous

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Avoir un contrat de prévoyance, c’est vivre avec la certitude de partir dans le respect de ses volontés.

Sophie Bédoïan

arce que notre vie nous est prêtée et qu’il faut un jour la rendre, il est important de penser à son propre départ. Veut-on être incinéré ou déposé en terre? Souhaite-t-on un service laïque, religieux, ou s’en aller simplement dans le silence nous suffit? La prévoyance funéraire garantit le respect des volontés de chacun et décharge aussi les proches de tout choix qui peut s’avérer difficile au moment du décès d’un être cher. De plus, elle soulage la famille du poids financier des funérailles. Dans ce cadre, Azur Prévoyance Funéraire, propose une large gamme de prestations différentes, toutes adaptées aux souhaits, à la culture ou à la religion de ses clients. Quant au budget, il peut être ajusté lors d’un entretien personnalisé avec des conseillers qui proposent un accompagnement et un soutien tout au long du projet de prévoyance. Sophie Bédoïan, cadre dirigeant des Pompes Funèbres Générales Genève SA qui réalisent des contrats de prévoyance funéraire depuis 1982, nous éclaire sur ce sujet et nous explique les avantages d’une telle décision.

Pourquoi avez-vous choisi de travailler dans ce secteur? C’est une histoire de famille. Mon père est entré dans la société en tant qu’assistant funéraire en 1987 et il est maintenant Directeur Général. Depuis toute petite, j’ai toujours connu les Pompes Funèbres Générales et l’agence de Carouge. Ma mère l’a rejoint en 2001 comme Directrice Administrative. Pour ma part, je me suis lancée dans cette activité en 2006, après mes études en hôtellerie et restauration qui m’ont apporté une grande rigueur et le sens d’un service à la clientèle irréprochable. Mais il me manquait quelque chose. De part l’aspect tellement humain et tellement vrai de notre profession, notre activité est une vocation avant d’être un travail. J’ai maintenant la sensation d’être vraiment utile. Que comporte un contrat de prévoyance funéraire? Tout d’abord, un contrat de prévoyance est unique. Cela va du choix du cercueil à la rédaction anticipée de l’avis mortuaire, en passant par le choix du lieu de la cérémonie, le type de sépulture et même le choix des fleurs. Nous prenons le temps d’étudier ensemble les volontés, de nos clients, de les rassurer sur d’éventuelles inquiétudes et d’établir un budget en fonction de leurs possibilités. Il faut prendre le temps de la réflexion car c’est une démarche personnelle qui est parfois difficile à faire. Pourquoi cette pratique est-elle courante aujourd’hui? L’établissement d’un contrat de prévoyance funéraire rassure la personne concernée car elle sait qu’elle sera prise en charge rapidement et que tout se

déroulera selon ses volontés. La démarche est totalement personnelle, mais c’est aussi un acte de cœur envers ses proches. Aujourd’hui, les membres d’une famille vivent souvent aux quatre coins du monde. Pour les enfants, il est rassurant de savoir que leurs parents ont tout prévu et que, le temps de revenir de l’étranger, l’organisation a déjà commencé. De plus, il peut y avoir des conflits importants dans les familles. Le contrat de prévoyance a le mérite de tranquilliser et de mettre tout le monde d’accord. Nous remarquons aussi qu’il y a de plus en plus de gens qui vivent seuls. Dans ce cadre aussi, c’est très rassurant de savoir que tout est bien organisé et que nos volontés seront respectées. Enfin, l’aspect financier est aussi important. Toutes les personnes qui viennent nous voir sont soulagées une fois le contrat souscrit car, le moment venu, elles ne laissent pas cette charge financière à leur famille. Quand faudrait-il envisager une telle démarche? Il n’y a pas d’âge idéal et l’on constate aujourd’hui que les gens commencent à y penser de plus en plus tôt. Cependant, nous rencontrons parfois des situations dramatiques, comme lorsque des personnes n’ont pas de famille, vivent seules ou en EMS et n’ont laissé aucune directive. Les pompes funèbres ne sont pas en mesure de prendre la décision de procéder à une crémation ou à une inhumation. Les volontés de la personne ne pourront donc pas forcément être respectées et je crois qu’il n’y a rien de pire.

De plus, les comptes bancaires étant bloqués au moment du décès, qui doit prendre en charge les frais d’obsèques si rien n’a été prévu en amont? Nous avons le regret de constater que des défunts restent chez nous ou à la morgue de nombreux jours avant qu’une décision ne soit prise par quelqu’un. Ainsi, pour une personne seule, établir un contrat de prévoyance paraît essentiel. Quelle est l’importance du soutien des conseillers en prévoyance? Il y a en réalité deux choses importantes: faire appel à des professionnels du funéraire pour que tout ce qui est consigné dans le contrat soit réalisable lors du décès, mais aussi faire appel à une entreprise de prévoyance funéraire qui existe depuis longtemps et qui a pignon sur rue. Nous voyons fleurir des plateformes internet qui donnent des informations et des conseils sur ce qu’il faut faire le moment venu et qui se proposent de consigner vos volontés. Mais pour la plupart, ce ne sont pas des professionnels du funéraire. Seule une société indépendante et spécialisée dans ce domaine comme Azur Prévoyance Funéraire peut garantir le respect des volontés de ses clients et la sécurité optimale des fonds versés. Plus d’informations: www.azur-prevoyance.ch Tél. 022 342 66 22

TEXTE ANDREA TARANTINI

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U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

LEUKERBAD CLINIC BRANDREPORT

La Leukerbad Clinic, nichée au coeur des Alpes valaisannes, et ses deux piscines intérieure et extérieure à l’eau themale aux vertus reconnues depuis la période romaine et à la température constante de 36°C.

Le jeûne thérapeutique, une fontaine de jouvence? Le jeûne a longtemps fait partie des moyens thérapeutiques, avant d’être abandonné par la médecine moderne. Cependant, de nombreux travaux récents ont fait part des bienfaits du jeûne. A la Leukerbad Clinic, ce principe a trouvé son application au travers de son offre en médecine intégrative.

a pratique du jeûne remonte aux origines de l’humanité. On la retrouve dans de nombreuses cultures de l’Orient à l’Occident dans toutes les grandes civilisations traditionnelles, à travers toutes les époques à des fins spirituelles, thérapeutiques (niveau corporel et psycho-émotionnel) voire communautaires. Dans la nature, les animaux malades ou blessés cessent intuitivement de se nourrir. Nos sociétés actuelles, habituées à voir leurs réfrigérateurs remplis de nourriture sucrée et prête à la consommation, en ont oublié les principes et les vertus. Dans les pays occidentaux, les cas de diabète, d’hypertension, d’obésité et de cancers se multiplient. Cependant, des médecins et chercheurs explorent une autre piste que celle des médicaments pour affronter ces défis: le jeûne. Dans le jeûne complet, on s’abstient de toute nourriture – solide ou liquide – à l’exception de l’eau. Le jeûne thérapeutique médicalisé comme le conçoit la Leukerbad Clinic permet l’absorption quotidienne de jus d’herbes, de légumes et de fruits, ainsi que de bouillons pour un apport calorique d’environ 250 kcal (besoin journalier environ 2000 kcal.). Cette méthode est plus douce mais, associée aux vertus des bains dans l’eau thermale naturellement chaude de Loèche-les-Bains, elle apporte les mêmes bienfaits à l’organisme. Mis au point dans un cadre médical afin d’améliorer l’état global de patients souffrant de douleurs inflammatoires chroniques, les résultats plus qu’encourageants ont incité à proposer ce programme non seulement dans le cadre d’un traitement de pathologies mais aussi à un plus large public concerné par la santé et le bienêtre, soucieux de la qualité et du sérieux des prestations proposées. En choisissant la Leukerbad Clinic pour son jeûne thérapeutique, le patient accorde une importance au suivi médical d’une telle démarche. Plutôt que de suivre une tendance, il s’engage à prendre soin de son corps et son esprit sur le long terme. Au-delà du jeûne, accompagné par un nutritionniste confirmé, le programme comprend également un suivi médical personnalisé et des traitements détoxifiants quotidiens.

En choisissant la Leukerbad Clinic pour son jeûne thérapeutique, le patient accorde une importance au suivi médical d’une telle démarche. Plutôt que de suivre une tendance, il s’engage à prendre soin de son corps et son esprit sur le long terme.

La prise en charge proposée par la Leukerbad Clinic génère non seulement un effet immédiat mais surtout des résultats à long terme comme: • l’amélioration du système digestif grâce à l’éradication des bactéries nocives et au développement d’une nouvelle flore intestinale • l’élimination des toxines et l’assainissement des organes • l’effet anti-inflammatoire et la diminution des douleurs chroniques • le rajeunissement de la peau, le renforcement des cheveux et des ongles • la relance des défenses immunitaires • la réduction du surpoids de manière durable si le jeûne est suivi par une bonne hygiène de vie • l’évacuation du stress et l’amélioration de la qualité du sommeil • la mise en place d’une meilleure hygiène de vie et l’affranchissement des dépendances. Un jeûne se prépare; on n’y va pas les yeux fermés. La première étape consiste en un diagnostic médical sérieux. Il y a en effet des contre-indications à cette pratique qu’il convient de respecter afin de ne pas mettre sa santé en danger. Si cela devait être le cas, la Leukerbad Clinic dispose d’une alternative pour se détoxifier et prendre soin de soi: la chronoalimentation hypotoxique. Ouvrons ici une parenthèse. Le principe de la chronoalimentation hypotoxique est d’ajuster le type de nourriture ingérée au rythme naturel de l’organisme

et de ses sécrétions enzymatiques. Ainsi, on mangera gras le matin, riche en protéines à midi, sucré en fin d’après-midi et léger, voire un jeûne le soir suivant le proverbe populaire bien connu (et plein de sagesse): «Manger comme un roi le matin, comme un prince à midi et comme un pauvre le soir». Si rien ne s’oppose au jeûne, il est important de procéder à une «descente alimentaire», soit une réduction progressive de la nourriture pour réduire les symptômes secondaires (mal de tête, insomnie, nausée, étourdissements, irritation cutanée, odeurs corporelles, douleurs musculaires). Pendant le jeûne, le suivi des bilans sanguins et métaboliques mais également du bien-être global est indispensable. Cet accompagnement est essentiel pour déterminer la phase de jeûne vécue au regard de la physiologie, de la biochimie et de l’état de santé de chacun et planifier les activités et soins de manière individuelle et personnalisée. En effet, le jeûne induit des changements par palier dans le métabolisme avec par exemple des sensations de fatigue, de maux de tête ou de nausées lors de la «crise d’acidose» suivis par une impression de sérénité et de bien-être. Enfin, vient l’étape de la réalimentation où une nouvelle hygiène de vie sera introduite. C’est une phase cruciale qui doit être conduite graduellement. Les apports caloriques provoquent une augmentation de la glycémie; si les apports sont trop importants, l’hyperglycémie entraîne une sécrétion brutale d’insuline avec un risque potentiellement vital. De plus, une réalimentation non-adaptée pourrait déstabiliser la flore intestinale et

mettre à mal tous les effets positifs du jeûne. Autant se faire aider de manière compétente pour ne pas rater sa sortie de jeûne! A la Leukerbad Clinic, malgré des principes élémentaires, la meilleure prise en charge individuelle personnalisée est définie en fonction de chaque patient. Elle est accompagnée par des thérapies issues de la médecine occidentale mais aussi de la médecine chinoise comme l’acupuncture classique et abdominale Tui Na, des exercices doux ou plus dynamiques et des conseils diététiques et psychologiques. Dans le cadre magnifique de la station thermale de Loèche-les-Bains, nichée dans un impressionnant écrin de montagnes, le jeûne thérapeutique devient une expérience vivifiante. L’eau thermale aux vertus reconnues depuis l’époque romaine, l’air pur, conjugués aux soins attentifs de professionnels multilingues, compétents, chaleureux et passionnés feront de ce séjour un moment inoubliable dont chacun gardera des bénéfices à long terme selon la phrase attribuée à Hippocrate: «Que ton alimentation soit ton premier médicament».

leukerbadclinic.ch

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BRANDREPORT HOME ASSISTANCE MÉDICAL & SERVICES

Des soins à domicile qui respectent le rythme biologique des patients Home Assistance Médical & Services a pour mission d’améliorer la qualité de vie des seniors en préservant leur autonomie dans un environnement familier. Yves Eckert, directeur de l’établissement à taille humaine souligne l’importance de la dimension sociale dans les soins à domicile. Quelle est la différence entre un soignant et un bon soignant dans votre domaine? Dans les soins à domicile, selon moi, ce sont particulièrement les compétences sociales du soignant, son aptitude à avoir une vision systémique d’une situation et son adaptabilité à l’environnement de la personne qui font réellement la différence. Parce que lorsqu’on est à domicile, on est invité dans l’intimité de la personne et on est au cœur de son monde. On voit, entend et vit beaucoup plus de choses et d’émotions avec le patient que dans un environnement externe par exemple.

Yves Eckert Fondateur et Directeur

Pourriez-vous nous expliquer comment fonctionne Home Assistance? Nous sommes une OSAD, donc une Organisation de Soins à Domicile sous contrat de mandat délivré par l’Etat de Vaud. Cette reconnaissance nous permet de fournir des prestations prises en charge par l’assurance maladie. Nous travaillons en majorité avec des seniors de plus de 65 ans mais nous octroyons aussi des soins postopératoires à une patientèle plus jeune, par exemple des soins de courte durée au retour d’une opération ou suite à un accident. Notre établissement compte 50 collaborateurs dont 25 soignants, une quinzaine d’auxiliaires de vie (dames de compagnie), cinq femmes de ménage et cinq personnes au niveau administratif. Nous mettons un point d’honneur à assurer le bien-être de nos patients en respectant leur rythme biologique et leurs horaires, mais également en assignant entre quatre à cinq intervenants à la même personne lors de visites multiples et quotidiennes sur le long terme. Dans la logique de notre vision du Caring, il est important de connaître nos patients et vice-versa.

Quelles prestations offrez-vous? Nous proposons des prestations classiques de soins à domicile, tels que des soins infirmiers et des soins de base et d’hygiène, comme l’aide à la toilette ou à l’habillage par exemple. Nous avons également une partie de soins privés, telles que des prestations de compagnie ou d’aide à la vie quotidienne. Pour l’aide aux repas, nous travaillons en étroite collaboration avec un traiteur. Ce sont donc nos collaborateurs qui, quand ils sont sur place, discutent avec le patient de ce qu’il souhaite manger, établissent la liste des menus souhaités et passent la commande.

Dans une crise sanitaire comme celle du Covid19, quels sont les avantages des soins à domicile pour des personnes isolées et à risque comme les seniors? Bien souvent, les soins à domicile sont davantage une prestation sociale et d’hygiène qu’uniquement des soins de plaies par exemple. Le confinement dû à la pandémie a eu un impact sur le psychisme des gens et encore plus chez les seniors qui se retrouvent dans des situations extrêmes d’isolement. En règle générale, le manque de contacts sociaux et surtout le manque d’activité physique est à craindre pour les gens qui sont déjà en situation de baisse de santé et de mobilité réduite. Dans l’optique d’éviter aux seniors les risques de contamination par des déplacements et des contacts avec l’extérieur, souvent, les seules interactions sociales de certaines personnes âgées ce sont les visites de nos soignants.

nous avons donc réussi à mettre en place un plan d’action rapidement. Dès le début du mois de mars, nous avons renforcé toutes les mesures de sécurité et rendu obligatoire le port du masque pour tous nos intervenants externes quel que soit leur métier. Tous nos collaborateurs qui avaient un doute sur leur état de santé ou qui souhaitaient se faire tester ont eu l’occasion de le faire. Au niveau de l’équipe, nous avons instauré des briefings beaucoup plus rapprochés. Puis nous avons mis en place un «tracking» spécifique de l’état de santé de nos patients, ainsi que des appels téléphoniques plus fréquents pour contrôler que tout aille bien, mais également pour éviter qu’ils se sentent trop isolés socialement.

Comment votre organisation s’est-elle adaptée à la nouvelle situation? Notre avantage a été d’avoir suffisamment de matériel à disposition tels que masques, gants et gel désinfectant. Chaque année, nous devons faire face à la grippe et

TEXTE LAETIZIA BARRETO

Quel enseignement en gardez-vous? Avoir du matériel de protection est essentiel. Mais il faut aussi prévoir des plans de sauvetage et surtout savoir rester humble par rapport à une menace invisible.

Soins, aide et accompagnement à domicile Présents dans l’arc lémanique et le Chablais Toujours une équipe proche de chez vous Les prestations de soins de Home Assistance Médical & Services sont reconnues et prises en charge par les caisses-maladie (LAMal). Soins infirmiers (évaluation, conseils, examens et traitements) Soins de base et d’hygiène Soins en santé mentale Ergothérapie Service traiteur Aide et accompagnement dans les activités de la vie quotidienne

Vous avez mentionné le Caring, pouvez-vous nous en dire plus? Le Caring, c’est une vision humaniste des soins infirmiers et cette façon d’aborder le métier est vraiment importante dans les soins à domicile. Afin d’apporter plus de tranquillité à la patientèle que nous suivons, nous préférons avoir une petite équipe d’intervenants attitrée à chaque patient. Notre but est le maintien de l’autonomie à domicile; nous remplissons réellement un rôle de soutien et de support. Nos patients ont toujours une liberté de choix par rapport à leur propre rythme car dans la philosophie du Caring, on n’impose rien. C’est important dans la prise en charge de troubles cognitifs comme l’Alzheimer, par exemple, car ces patients peuvent vite se sentir menacés par un environnement toujours changeant.

Home Assistance Médical & Services Route Aloys-Fauquez 2, 1018 Lausanne +41 21 601 70 00 / 0800 94 94 94 (numéro gratuit) www.homeassistance.ch

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ESSILOR BRANDREPORT

Comment protéger nos yeux des écrans? Nos yeux sont mis à rude épreuve par notre utilisation quotidienne des écrans. Mais comment les protéger? Nos opticiens partenaires proposent des conseils utiles qui, au quotidien, nous aident à prendre soin de nos yeux.

epuis quelques années déjà, notre quotidien est rythmé par l’utilisation d’écrans en tout genre. Nous passons en effet nos journées sur nos smartphones, tablettes, télévisions ou ordinateurs. Les chiffres exacts varient selon la tranche d’âge mais les statistiques actuelles révèlent que nous consacrons environ cinq heures par jour aux écrans. Ceci n’est pas sans conséquence puisque ces derniers nous soumettent à une quantité importante de lumière bleue qui peut avoir des effets néfastes sur nos yeux. Lors du semi-confinement dû au Covid-19, les écrans nous ont certes rendu de fiers services mais ils ont aussi beaucoup sollicité nos yeux. Puisque leur santé est primordiale, il est nécessaire d’en prendre soin. Mais comment? Nous sommes nombreux à ne pas savoir comment préserver la santé de nos yeux. Afin de les soulager et de maintenir notre capital vision sur le long terme, il suffit d’adopter quelques simples gestes, de se soumettre à des contrôles réguliers, de choisir une ali-

mentation adéquate et d’utiliser un équipement adapté. Des contrôles de la vue réguliers Que nous soyons déjà porteurs de verres correcteurs ou non, faire vérifier sa vue régulièrement par un professionnel est essentiel. Une visite chez l’opticien permet en effet d’obtenir des conseils utiles qui nous rappellent les bons gestes à adopter au quotidien. Un spécialiste peut d’ailleurs souligner nos besoins spécifiques et nous aider à découvrir les solutions visuelles existantes. Celui-ci pourra alors recommander un traitement adéquat, tel que des lunettes de protection contre la lumière bleue. Ces dernières peuvent être utiles à toute personne passant beaucoup de temps sur les écrans, car elles bloquent la partie du spectre lumineux visible responsable en grande partie de l’inconfort oculaire: la lumière à haute énergie visible (HEV). Ce type de lunettes a donc le mérite d’améliorer notre confort visuel et de réduire le nombre de rayons potentiellement nocifs qui atteignent nos yeux.

Dans ce cadre, la gamme des produits disponibles est large, c’est pourquoi un opticien partenaire Essilor est essentiel pour choisir la solution la plus adaptée à notre besoin: • Eyezen - les verres conçus pour détendre et protéger les yeux lors de l’utilisation des écrans • Eye Protect System – système unique de filtration de la lumière bleue nocive, intégré au cœur du verre, qui reste esthétiquement clair. • Crizal Prevencia - reflète visiblement la lumière bleu-violet et protège ainsi les yeux. Réduction du temps d’écran Passer de longs moments devant nos écrans n’est pas sans conséquence. De la simple gêne à la douleur, en passant par les yeux fatigués, la vue floue, la sécheresse et les maux de tête, autant de symptômes qui soulignent la fatigue oculaire. Malgré tout, il existe quelques astuces qui aident à éviter ces symptômes. Par exemple, il est important de suivre notre temps d’écran dans les paramètres de nos appareils et de délimiter des espaces sans écran. Il peut également s’avérer utile de rendre aux objets leur usage premier. Ainsi, le réveil est utilisé pour se lever le matin alors que le téléphone nous permet de rester en contact avec nos proches, par exemple. Souvent, nous sommes distraits par nos smartphones. Afin de réduire le temps d’écran et de nous déconnecter du monde numérique, il peut être une bonne idée de limiter les notifications de nos téléphones.

écran, il faudrait regarder un objet à environ 20 pieds de distance pendant au moins 20 secondes. Cela permet aux muscles de nos yeux de se détendre et de rétablir notre confort de vision. Cette règle peut également s’appliquer pour les enfants afin de protéger leurs yeux. Des aliments bons pour les yeux La consommation d’aliments sains et complets peut également être bénéfique pour les yeux, le corps et la santé mentale. Chaque jour, il faut veiller à consommer des aliments à forte teneur en vitamine E, comme les amandes, les noisettes, les céréales complètes ou les épinards. Les aliments riches en autres antioxydants sont également favorables à notre santé. Il s’agit notamment des artichauts, des myrtilles et du chocolat noir. Enfin, il ne faut pas oublier d’intégrer à notre alimentation des aliments à forte teneur en oméga-3, en particulier en EPA et en DHA, comme le saumon, le hareng, le maquereau, le thon ou les graines de lin, qui constituent une bonne solution pour les végétariens. Veiller au temps passé devant nos écrans, modifier notre alimentation et essayer de nouvelles activités peut donc améliorer notre bien-être et celui de nos yeux. Les opticiens partenaires Essilor peuvent être trouvés sur www.essilor.ch

L’astuce la plus utile pour prendre soin de nos yeux tout en réduisant le temps d’écran reste néanmoins la règle des 20-20-20: après 20 minutes passées devant un ANNONCE

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INTERVIEW VOLKER THIEL

«Nous devons trouver ensemble la meilleure solution» À l’Université de Berne, le professeur Volker Thiel et son équipe de l’institut de virologie et d’immunologie étudient le nouveau virus SARS-CoV-2. Dans l’interview qui suit, le professeur Thiel précise pourquoi les mesures émises par le Conseil Fédéral n’auraient pas dû être assouplies du jour au lendemain et nous énonce les comportements qu’il aimerait que la population adopte dans les mois à venir.

INTERVIEW DOMINIC MEIER TEXTE FLAVIA ULRICH

Professeur Thiel, le Covid-19 est-il au centre de toutes vos journées de travail? Oui, du matin au soir. Nous avons d’abord appris à connaître le virus SARS-CoV-2 et son comportement. À présent, nous essayons de trouver différents vaccins contre le coronavirus. Combien de temps devrons-nous attendre avant qu’un vaccin soit mis sur le marché et comment ce processus fonctionne-t-il? Le fait d’avoir un vaccin à disposition et le fait de le mettre sur le marché sont deux choses bien différentes. Diverses entreprises essaient d’utiliser des plateaux techniques de vaccins et de les reconstruire pour créer un vaccin fini pour combattre le nouveau virus. Ce procédé est relativement rapide et, après quelques temps, l’efficacité du vaccin peut être testée sur un animal. Les chercheurs publient actuellement leurs premières études des vaccins de base qui ont été modifiés pour le virus SARS-CoV-2 et qui fonctionnent sur des modèles animaux. En théorie, ces échantillons sont déjà des exemplaires efficients du vaccin. Mais il faudra encore attendre beaucoup de temps avant que ce vaccin ne soit produit, qu’on puisse montrer qu’il n’est pas dangereux pour les êtres humains et qu’il soit efficace contre le virus.

Diverses entreprises essaient d’utiliser des plateaux techniques de vaccins et de les reconstruire pour créer un vaccin fini pour combattre le nouveau virus. Chaque jour de nouvelles informations sur le SARS-CoV-2 apparaissent. Qu’est-ce qui rend la recherche sur les nouveaux virus si compliquée? Dans ce cas, la recherche est spéciale car nous avons l’impression que le monde entier y travaille. Bien sûr, il y a beaucoup de concurrence, mais la structure des coronavirus est similaire et permet déjà de savoir quelles sont les fonctions de base de ce nouveau virus. À présent, nous interrogeons donc ces fonctions. Le génome est très similaire à celui du SARS, également connu sous le nom de SARS-CoV. Par conséquent, nous pouvons déjà déduire beaucoup de choses au sujet des fonctions déjà décrites dans le SARS-CoV. Cependant, nous avons appris entre-temps que le comportement du virus est tout à fait différent. Qu’est-ce qui différencie principalement le coronavirus des autres virus? Tout d’abord, le taux d’infection est plus élevé et ceci a été sous-estimé au début à cause de la forte ressemblance entre ce nouveau virus et son prédécesseur, le SARS-CoV. Lorsque le virus était encore en Chine, nous nous demandions s’il pouvait se transmettre entre individus et nous sommes tout de suite arrivés à la conclusion suivante: ce n’était pas possible. Seulement plus tard nous avons découvert que c’était en fait le cas. Le Covid-19 nous a permis de comprendre comment la population réagit à une épidémie. Dans ce cadre, pensez-vous qu’il soit nécessaire d’éduquer davantage la population à ce genre de situation extrême? Je pense que le citoyen moyen a beaucoup appris au sujet des virus au cours des derniers mois. En tant

que profane, il est difficile de savoir comment évaluer certaines déclarations. Par exemple, lorsque quelqu’un prétend produire un vaccin et vacciner le monde entier en trois mois, cela paraît être une bonne chose. Mais finalement, dans la plupart des cas, ces déclarations ne sont pas fondées scientifiquement. Il est donc difficile pour la population de savoir quels discours croire. Pendant le semi-confinement, la population suisse a dû se passer de beaucoup de choses et, récemment, plusieurs protestations ont eu lieu contre cela. En tant que virologiste, qu’en pensez-vous? Je peux comprendre cette frustration, car beaucoup de gens ont dû abandonner leur société mais aussi leur vie d’avant. Mais il est important de remarquer que tous les pays qui n’ont pas pris le virus au sérieux et qui n’ont pas mis en place un (semi-)confinement se trouvent dans une position difficile à présent. C’est notamment le cas du Brésil ou des États-Unis, qui relèvent chaque jour un grand nombre de décès et de nouveaux cas de coronavirus. Les pays qui ont obtenu de très bons résultats - la Suisse est l’un d’entre eux – sont ceux qui ont tout de suite donné de l’importance à la situation et qui ont pris des bonnes mesures pour y faire face. Je tiens à féliciter non seulement les hommes politiques, mais aussi la population qui, ensemble, ont émis et respecté ces mesures. Les efforts paient et, à présent, nous sommes en mesure d’éviter réellement ce que nous voulons éviter. Pourtant, aujourd’hui, suite à la diminution des cas, nous nous disons que, après tout, le virus n’était pas si méchant. Puis nous devons aussi nous occuper des autres domaines de nos vies. Si au

début la situation était comme un exercice d’incendie face auquel tout le monde savait ce qu’il fallait faire, il faut maintenant procéder étape par étape. Et il n’est pas facile de communiquer cela à la population et de servir de médiateur dans cette phase de la crise. Si la situation semblait être sous contrôle, pourquoi aurions-nous dû rester prudents et ne pas assouplir les mesures fédérales du jour au lendemain? L’assouplissement des mesures émises par le Conseil Fédéral risque d’entraîner une augmentation exponentielle du nombre de cas. Selon les pays, la propagation du virus n’a été visible qu’après un ou deux mois. Bien évidemment, aucune mesure n’a été prise pendant cette période et les cas individuels ont continué d’évoluer vers une épidémie. Je pense que cette situation pourrait se reproduire rapidement. Mais il est vrai que notre réaction et nos comportements face à la situation ont changé. Nous essayons de garder nos distances et de porter des masques lorsque ceci n’est pas possible. Il faut voir si cela suffira. D’un autre côté, cette prise de décision nous permet d’identifier les lieux de rencontres qui peuvent s’avérer dangereux. En Allemagne, par exemple, de nombreuses personnes ont été infectées dans des restaurants. S’agit-il d’une simple coïncidence due à un évènement local ou devons-nous y porter une attention particulière? Il ne faut rien sous-estimer car ce qui ne nous effraie pas à présent pourrait s’avérer dangereux demain. C’est pourquoi il faut avancer «étape par étape». Si nous changeons tout radicalement et rapidement nous risquons de ne plus savoir situer le problème et de replonger dans un état de crise.

Comment une entreprise peut-elle survivre aux mois de fermeture? Je pense que les prochains mois seront encore difficiles car nous n’aurons probablement pas de vaccin d’ici l’année prochaine. Il n’y aura pas non plus de médicaments miraculeux, comme ceux qu’on voit dans beaucoup de films hollywoodiens. J’espère donc que la société restera unie, car la polarisation ne nous aiderait pas. Bien que les cas diminuent, le virus est encore là et nous n’avons encore rien d’efficace contre lui. J’aimerais également que nous puissions échanger nos opinions de manière civilisée et démocratique, comme cela a été le cas au début de l’épidémie. Ce n’est pas le moment d’être impatients. D’une part, nous avons compris où se situent les craintes et les besoins de la société et de l’économie. De l’autre, il y a la nécessité de sauver des vies humaines. Il n’y a pas de politicien, de scientifique ou d’expert qui ait une solution miracle pour le moment. C’est pourquoi nous devons trouver ensemble la meilleure solution et écouter les arguments de tout le monde. Après le Covid-19, la population suisse estelle préparée à une nouvelle épidémie ou reste-t-il quelque chose à faire au niveau des infrastructures ou au niveau fédéral? Je pense que nous pouvons mieux faire. Par exemple, il est important de disposer en temps utile d’informations sur le nombre actuel de cas. Dans des circonstances normales, il n’est pas important de presser l’OFSP pour qu’il publie les chiffres de l’infection le vendredi plutôt que le lundi. Mais nous vivons une situation importante et nous avons donc besoin de connaître le nombre exact de personnes infectées – chaque jour compte! Dans ce cadre, les autorités, les laboratoires, les cantons et la Confédération travaillent ensemble via différentes interfaces qui, malheureusement, n’ont pas vraiment été conçues pour une pandémie, car nous ne pensions pas que la situation serait si mauvaise. D’ailleurs, il faut savoir qu’un virus qui se propage aussi vite que le coronavirus constitue le pire des scénarios envisageables. À l’avenir, qu’est-ce qui pourrait aider, notamment dans le domaine de la technologie? Ce que nous appelons le «Contact Tracing» fait actuellement l’objet de discussions animées. D’une part, lors d’une éventuelle infection, les personnes concernées peuvent être simplement averties par téléphone. De l’autre, cela peut également se faire de manière numérique à l’aide d’une application. C’est une question qui doit être traitée socialement, mais les avantages sont évidents. En effet, grâce à ce système il serait possible d’identifier les contacts vulnérables en quelques secondes seulement. Ceci pourrait également mener à des assouplissements ultérieurs et donc à une plus grande liberté pour tout le monde. Nous aurions donc la certitude de pouvoir contenir rapidement un nouveau cas. Un certain nombre de mesures techniques ont également été mises en place pour assurer la sécurité des données. En effet, les données sont non seulement stockées sur des serveurs centraux, mais seulement localement, temporairement et anonymement. Quelles sont les connaissances sur la recherche de vaccins qui devraient être accessibles à tout le monde? Il faut savoir qu’un vaccin ne sert pas seulement à se protéger soi-même, mais aussi à protéger les autres. Cela signifie que si je suis vacciné, je ne peux pas transmettre la maladie à d’autres personnes. Beaucoup de gens ne veulent pas se faire vacciner car ils pensent que cette décision ne concerne qu’eux-mêmes, notamment dans le cas de la vaccination contre la rougeole. Cependant, la vaccination est également un geste que l’on fait pour prendre soin des autres – et c’est surtout vrai dans le cas des maladies qui sont facilement transmissibles.

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SWISS VISIO BEAU-RIVAGE BRANDREPORT

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La chirurgie réfractive, un moyen sûr et efficace pour se passer des lunettes S’adressant à toute personne souffrant de troubles de la réfraction, ce traitement a pour but une vie sans lunettes ni lentilles de contact.

Des avantages non négligeables La chirurgie réfractive permet de corriger les vices de réfraction tels que la myopie, l’hypermétropie, l’astigmatisme ou la presbytie. Plus précisément, il s’agit de remodeler la cornée, la vitre de l’œil, avec un laser en l’aplatissant ou en la cambrant selon le trouble réfractif à corriger. Ce traitement présente plusieurs avantages non négligeables. Tout d’abord, l’intervention est brève, sûre,

indolore et se fait en ambulatoire, sous anesthésie locale. Le patient peut choisir de se soumettre à l’intervention des deux yeux le même jour. La récupération de la vue s’avère d’ailleurs très rapide. Les techniques sont nombreuses et, lorsque la cornée ne peut pas être remodelée, comme dans les cas de cornées trop fines par exemple, un implant intraoculaire peut également corriger les troubles de la réfraction. Situé dans un cadre privilégié, Swiss Visio Beau-Rivage offre non seulement un environnement médical unique, mais il bénéficie aussi d’une grande expertise dans la mise en place d’implants intraoculaires et dispose d’équipements laser de dernière génération.

Technique SMILE: Création du lenticule

Les différentes techniques Trois techniques différentes sont pratiquées à Swiss Visio Beau-Rivage. La technique de première génération, la PKR (Photorefractive Keratectomy) ou laser de surface agit directement sur la couche externe de la cornée en créant une sorte d’abrasion. De nos jours, cette méthode est principalement indiquée lorsque la cornée est très fine. Nécessitant un temps de cicatrisation, la récupération visuelle est un peu plus lente.

La technique de seconde génération, le Femto-Lasik, consiste à créer un volet cornéen à l’aide d’un Femtolaser en seulement une dizaine de secondes. Une fois ce «capot» soulevé, le laser Excimer polit la cornée de manière extrêmement précise. Cette méthode permet au patient de reprendre une activité professionnelle deux jours après l’intervention.

Avant d’entreprendre une telle opération, il est important de bien choisir son centre et de privilégier l’expérience des chirurgiens au prix du traitement. Les personnes intéressées doivent également s’assurer de la stabilité de leur réfraction, préparer une liste de questions et, lors du premier entretien, bien communiquer au chirurgien leurs attentes afin d’être sûres qu’elles soient réalistes.

Quant à la technique de troisième génération, le SMILE (Small Incision Lenticule Extraction), révolutionnaire, elle permet de remodeler la cornée grâce à la découpe d’un lenticule dans la cornée qui est ensuite extrait par une mini-incision de quelques millimètres. Réservée pour l’instant uniquement pour les personnes myopes et/ ou astigmates, la technique SMILE est souvent choisie en raison de son processus très peu invasif et peut traiter la myopie et l’astigmatisme de manière simultanée. Mini-invasive, rapide et sans douleur, cette méthode traite les deux yeux le même jour et présente l’avantage d’une cicatrisation et récupération de la vue quasi instantanée.

En contactant le centre Swiss Visio Beau-Rivage, les personnes intéressées pourront en savoir plus quant aux possibilités existantes, bénéficieront d’un premier rendez-vous gratuit et pourront vérifier leur éligibilité à l’opération.

Les cliniques affiliées à Swiss Visio sont à l’écoute du patient et assurent une prise en charge rapide et personnalisée.

Un petit morceau de tissu cornéen (lenticule) puis une petite incision sont créés à l’intérieur de la cornée intacte.

Retrait du lenticule

Trouble réfractif corrigé

Le lenticule est retiré par l’incision avec une perturbation minime de la biomécanique de la cornée

Le retrait du lenticule modifie la forme de la cornée, ce qui permet de corriger la vision.

Une prise en charge totalement personnalisée Puisque divers facteurs entrent en compte, comme l’âge ou l’activité sportive par exemple, afin de déterminer la technique la mieux adaptée à chaque patient, le centre Swiss Visio Beau-Rivage propose une prise en charge personnalisée. Des experts hautement qualifiés sont en effet à disposition des patients et assurent le bon déroulement de l’intervention du début à la fin, autrement dit du rendez-vous préopératoire au suivi postopératoire. Indépendamment de la méthode choisie, les résultats sont très performants. Comme pour toute intervention chirurgicale, le risque zéro n’existe pas. Cependant, les avancées technologiques en matière de chirurgie réfractive sont telles que les risques de complications demeurent extrêmement bas.

Images ©Zeiss

ratiquée depuis plus de 25 ans sur plusieurs millions de personnes dans le monde, la chirurgie réfractive est l’une des opérations des yeux la plus pratiquée et constitue une alternative au port de lunettes ou lentilles de contact. Ce traitement consiste en une intervention qui permet la correction des troubles réfractifs tels que la myopie, l’astigmatisme, l’hypermétropie, la presbytie ou encore la combinaison de certains d’entre eux. À la pointe de la technologie, le nouveau centre d’ophtalmologie Swiss Visio Beau-Rivage est spécialisé dans la prise en charge d’interventions en chirurgie réfractive et propose différentes techniques qui prennent en compte les troubles visuels du patient mais aussi ses préférences, notamment en termes de récupération.

TEXTE ANDREA TARANTINI, PHOTOS NUNO ACACIO

Contactez le centre et bénéficiez d’un test d’éligibilité gratuit. Une solution sur mesure pour chacun. Swiss Visio Beau-Rivage Chemin de Beau-Rivage 18, 1006 Lausanne Tél. + 41 58 274 23 00 refractive@swissvisio.net www.beau-rivage.swissvisio.net

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Swiss Visio ouvre un nouveau cabinet d’ophtalmologie aux Eaux-Vives Le nouveau centre d’ophtalmologie Swiss Visio Eaux-Vives prend en charge : • Consultations générales et spécialisées d’ophtalmologie • Traitements des pathologies oculaires : cataracte, glaucome, maladies inflammatoires et infectieuses, maladies de la rétine • Traitements des troubles visuels • Consultations pédiatriques • Conseils et adaptations des lentilles de contact Notre équipe hautement qualifiée vous accueille dans un environnement médical à la pointe de la technologie.

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PEAU

Il fait beau et chaud, le soleil aura-t-il ta peau? Les beaux jours sont de retour, les vacances se profilent à l’horizon et ce sont ainsi les occupations au jardin, les randonnées en montagne, les sorties au bord et dans l’eau qui se font plus nombreuses. Nous pouvons donc nous réjouir de ces nombreuses activités ludiques que nous offre la belle saison. TEXTE JOHANNA DAYER SCHNEIDER

Johanna Dayer Schneider Spécialiste projets de prévention, Ligue suisse contre le cancer

ors de ces séjours au grand air, nous avons parfois tendance à oublier la protection solaire. Or les rayonnements UV sont particulièrement intenses durant cette période de l’année. Les rayons UV sont la principale cause du cancer de la peau. Chaque année en Suisse, quelque 2800 personnes sont touchées par un mélanome et 330 en décèdent. Malheureusement, cette forme de cancer est en constante augmentation en Suisse. L’intensité des rayons UV varie L’intensité du rayonnement ultra-violet dépend de divers facteurs, notamment la saison, l’heure de la journée, les spécificités géographiques comme l’altitude et la latitude, la densité des nuages, la réverbération des rayons par l’environnement. On peut donc dire que les rayonnements UV sont plus forts au bord de l’eau, sous d’autres latitudes et à la montagne.

Le bronzage, un mécanisme de protection. Un bronzage sain n’existe pas: le bronzage est une réaction de la peau pour se protéger des rayons UV. En effet, sous l’influence des rayons UVB, les cellules pigmentaires produisent de la mélanine, responsable du brunissement de la peau. Celle-ci tente ainsi de se protéger contre les UV.

Les vêtements offrent également une bonne protection contre les rayons UV. Les parties du corps recouvertes de vêtements restent protégées pendant toute la journée. Pour bien se protéger, on peut porter par exemple un t-shirt couvrant les épaules, un chapeau à larges bords, qui protège bien entendu le cuir chevelu mais également le front, le nez, les oreilles et la nuque.

Quant aux rayons UVA, ils pénètrent profondément dans la peau et endommagent le tissu conjonctif. La peau perd ainsi en élasticité et vieillit prématurément. Des rides et des taches brunes apparaissent. Enfin, la peau a de la mémoire: le corps ne peut réparer les cellules endommagées que jusqu’à un certain point. Certaines cellules meurtries peuvent ainsi développer un cancer des années plus tard.

Il est important aussi de protéger ses yeux. Les rayons UV n’agressent pas seulement la peau, ils peuvent aussi provoquer des lésions au niveau des yeux. Pour les personnes qui passent beaucoup de temps en plein air, une bonne paire de lunettes de soleil est indispensable. A l’achat, il est important de veiller à ce que les lunettes soient estampillées CE et portent l’indication «100 % UV».

Quels sont les bons réflexes? Il y a une bonne nouvelle! Nous pouvons nous protéger des rayonnements UV et profiter de toutes ces activités estivales qui font le bonheur des petits et des grands.

L’utilisation systématique de crème solaire est recommandée en complément au séjour à l’ombre et au port de vêtements. L’application correcte d’une crème solaire peut diminuer le risque de cancer de la peau. Il est recommandé de réappliquer de la crème régulièrement, en particulier si on a transpiré ou après s’être baigné, même si la crème est résistante à l’eau. Et attention, même avec un indice de protection élevé, les crèmes solaires ne permettent en aucun cas de prolonger indéfiniment l’exposition au soleil.

L’ombre est la meilleure protection solaire: Dans certains pays, les habitants ont depuis longtemps pris de bons réflexes. Durant les heures les plus chaudes, ils rentrent chez eux et c’est l’heure de la sieste. Ils ne s’exposent donc en principe pas directement au soleil durant les heures ou l’exposition aux UV est la plus intense. La Ligue suisse contre le cancer conseille si possible de rester à l’ombre entre 11h et 15h. Ce sont durant ces heures qu’environ deux tiers des rayons UV quotidiens parviennent à la surface de la terre.

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Le cancer de la peau se fiche de savoir qui tu es. Protège-toi. Le mélanome touche 2800 personnes chaque année en Suisse. Penses-y: l’ombre, les habits couvrants et la crème solaire réduisent le risque. En savoir plus: liguecancer.ch/protectionsolaire

Qui doit particulièrement bien se protéger du soleil? Chacun doit se protéger du soleil, que sa peau soit claire, mate ou foncée. Les coups de soleil durant l’en-

fance augmentent considérablement le risque de développer, à l’âge adulte, un cancer de la peau. Dans la première année, il faudrait éviter toute exposition au soleil. Pour les enfants de 0 à 6 ans, préférez l’ombre au soleil, évitez le soleil entre 11 h et 15 h, mettez un t-shirt qui couvre les épaules, un pantalon, un chapeau et des lunettes de soleil. Pour jouer dans l’eau et au bord de l’eau, il est conseillé de porter des textiles spéciaux anti-UV. Appliquez de la crème solaire avec un indice de protection 30 au minimum. De plus, les adultes à la peau claire ainsi que les personnes qui travaillent ou séjournent régulièrement en plein air durant une durée prolongée doivent également faire particulièrement attention à bien se protéger. Et finalement, les personnes âgées aussi devraient redoubler de prudence en raison de la finesse de leur peau et des décennies pendant lesquelles elles ont déjà été exposées aux rayons UV, et donc des lésions qu’elles ont déjà accumulées. Pour de plus amples informations la Ligue contre le cancer met à disposition les brochures suivantes: «Protection solaire», «Protection solaire – l’essentiel en bref» et «Comment protéger mon enfant du soleil», ainsi que des feuilles d’information sur la protection contre le rayonnement solaire. Ces informations peuvent être téléchargées ou commandées gratuitement à la page www.liguecancer.ch/protectionsolaire.

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MAX ZELLER SÖHNE AG BRANDREPORT

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Comment garder le corps et l’esprit en forme Suite à ce début d’année difficile, nous revenons peu à peu à la normalité. Pour de nombreuses personnes, cela signifie aussi que les exigences de la vie professionnelle et privée sont de nouveau plus importantes.

l faut faire les choses rapidement et répondre au plus vite aux appels, les rendez-vous sont à nouveau à l’ordre du jour et il est nécessaire de coordonner plusieurs choses. Afin de répondre à ces obligations de la vie quotidienne, le corps a besoin d’une énergie suffisante. D’ailleurs, lorsque nous sommes confrontés à un stress important, se concentrer sur une chose nous paraît encore plus difficile et, de plus, notre corps devient plus sensible aux maladies. Selon l’Enquête suisse sur la santé 2017 menée par l’Office fédéral de la statistique, 41% de la population est sujette à des faiblesses générales et ressent, par exemple, de la fatigue et un manque d’énergie. Aujourd’hui, ce chiffre est probablement plus haut.

Europe et, aujourd’hui, plusieurs études ont prouvé son effet contre la fatigue et l’épuisement. En effet, la production d’énergie de notre corps a lieu dans nos cellules via la respiration cellulaire dans les mitochondries, les centrales électriques de la cellule. La racine de ginseng Panax augmente le nombre de mitochondries, ce qui entraîne automatiquement une libération d’énergie plus importante. En outre, le ginseng influence l’accumulation de neurotransmetteurs comme la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine, ce qui entraîne une augmentation de la concentration et de l’attention. D’ailleurs, le ginseng renforce aussi le système immunitaire, contribuant ainsi à renforcer la résilience mentale. Il n’est donc pas surprenant que, dans la médecine

traditionnelle chinoise, la racine soit encore considérée aujourd’hui comme un véritable remède universel. De même, l’histoire de la feuille du ginkgo est longue mais passionante. Dans la Chine ancienne, cet arbre était vénéré parce qu’il prolongeait la vie, guérissait et renforçait. Au Japon et en Chine, encore aujourd’hui, le ginkgo est considéré comme un arbre aux vertus magiques. Il est également apprécié pour ses feuilles qui ont la forme d’un éventail et qui sont souvent utilisées comme modèles dans la fabrication de bijoux et de décorations. Les feuilles du ginkgo ont aussi un effet curatif puisqu’elles améliorent naturellement les capacités intellectuelles. Grâce à des études scientifiques, le

Ginkgo biloba est également utilisé dans la médecine moderne, entre autres pour augmenter les performances intellectuelles. Combinés, ces deux extraits de plantes ont même un effet synergique.

Dans ce cadre, il existe de nombreux conseils et solutions pour les personnes qui souhaitent savoir comment elles peuvent améliorer leur concentration et résister au stress. Par exemple, des facteurs tels qu’un sommeil suffisant, une alimentation saine et équilibrée et un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée sont des élèments essentiels pour la vitalité de notre corps et de notre esprit. Il est également important de bien savoir s’organiser, d’être capable de gérer son temps et de savoir se concentrer. Lorsque ces élèments ne suffisent pas, la nature peut, elle aussi, nous aider à nous remettre en forme. Par exemple, la racine du ginseng blanc Panax et la feuille du ginkgo, sont des plantes qui s’avèrent particulièrement efficaces.

Gincosan - Et la mémoire retrouve sa vivacité Les extraits contenus dans le Gincosan soulagent les symptômes tels que l’oubli, la perte de mémoire et les troubles de la concentration. Ils renforcent également le système immunitaire, ce qui fait du Gincosan un excellent atout en phase d’apprentissage. Ceci est un médicament autorisé. Veuillez lire la notice d’emballage.

Depuis des milliers d’années, en Asie, le ginseng Panax est considéré comme une «panacée» qui augmente la capacité de résistance du corps. Depuis le XVIIème siècle, la racine de ginseng est également connue en

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BRANDREPORT BABYLON SCIENCES

Du CBD suisse pour favoriser le bien-être des humains et des animaux Babylon Sciences est une entreprise suisse spécialisée dans le développement et la manufacture de produits à base de CBD. La société basée à Pully offre différentes marques, des cosmétiques aux compléments alimentaires, en passant par une gamme récréative.

n 2018, cinq entrepreneurs suisses actifs dans différents domaines et désireux d’améliorer la santé et le bien-être des Hommes et des animaux s’associent pour créer Babylon Sciences. La compagnie suisse située sur les rives du lac Léman a pour mission d’améliorer le bien-être et la qualité de vie des gens au quotidien grâce au développement de produits innovants à base de CBD. Pour cela, elle se concentre sur la recherche scientifique autour du chanvre et la mise au point de marques de confiance. Son concept est simple, une fabrication suisse de produits composés d’un ingrédient 100% naturel et complètement contrôlé, de la graine au produit fini. Mais qu’est-ce que le CBD? Le terme CBD est un diminutif pour la molécule de cannabidiol qui est un des nombreux cannabinoïdes présents dans le cannabis. À l’inverse du THC, autre substance présente dans la plante, le CBD n’a aucun effet psychotrope. D’ailleurs une fois isolé, le CBD bénéficie de nombreuses propriétés thérapeutiques, sans risque d’accoutumance ni d’effets indésirables. Ses vertus sont déjà utilisées dans le secteur médical pour soulager dou-

leurs et stress du quotidien. Il s’avère aussi utile pour nos amis à quatre pattes. En effet, tous les êtres vivants qui possèdent un système endocannabinoïde peuvent profiter des bienfaits de cette molécule non psychoactive. Natural Shelter Ainsi, naturellement, Babylon Sciences a développé la marque Natural Shelter qui propose une gamme de compléments alimentaires sous forme d’huile sublinguale à base de CBD pour favoriser le bien-être comportemental et soutenir le système immunitaire de nos chiens et chats de compagnie. De plus, l’élaboration de ce produit pour les chevaux et les nouveaux animaux de compagnie, tels que les lapins ou les hamsters, est en cours. Comme nous, tous ces mammifères sont réceptifs et sensibles à l’apport de CBD. C’est pourquoi de plus en plus de vétérinaires recommandent et prescrivent des traitements à base de CBD. Le Dr. Antoine Adam, directeur médical de Swissvet Group, premier réseau de cabinets vétérinaires en Suisse romande, répond à nos questions concernant l’usage du CBD auprès de nos animaux de compagnie.

D’ailleurs une fois isolé, le CBD bénéficie de nombreuses propriétés thérapeutiques, sans risque d’accoutumance ni d’effets indésirables.

et vont manifester des aboiements ou des vocalises, ainsi qu’un comportement anormal, une absence d’appétit ou la perte d’entrain pour la promenade. Dans certaines situations qui impliquent des pétards ou des feux d’artifice, on sait que l’animal va éprouver un stress.

Dr. Antoine Adam Directeur médical de Swissvet Group

Dr. Adam, quand est-ce que le CBD est prescrit à nos animaux de compagnie? Lors de douleurs quelle qu’en soit l’origine, comme par exemple, celles chroniques du type arthrose, des douleurs aigues causées par une blessure ou celles dues à un cancer ou une tumeur. Dans ces cas de figure, le CBD est administré comme un antalgique. Mais il est aussi recommandé pour des soucis comportementaux, de stress et d’anxiété qui se traduisent de diverses façons selon les espèces. Mais comment peut-on savoir si notre animal souffre d’anxiété? En général, l’anxiété se traduit chez l’animal par un soudain changement de comportement. Un chat qui se cache dans des endroits inhabituels ou qui se lèche de façon compulsive, comme un chien d’ailleurs, traduisent toujours un symptôme d’anxiété ou de douleur, mais majoritairement de stress. La présence d’halètements, donc d’une respiration rapide est aussi un bon indicateur d’anxiété. Les chiens sont généralement plus démonstratifs

Quels sont les avantages du CBD par rapport à un médicament de synthèse? L’un des principaux avantages, c’est certainement le moindre risque d’effets secondaires. Les antidouleurs classiques utilisent des agents actifs puissants comme la morphine qui sont très efficaces mais également très sédatifs. Utilisés sur le long terme, ils ont des effets secondaires au niveau digestif, mais aussi sur les reins et le foie. En revanche, le CBD peut s’utiliser de façon régulière et n’engendre pas ce type de désagréments, ni de répercussions hormonales, comme lors de l’utilisation de la cortisone, ni de dépendance. De plus, le format en gouttes est facile à doser et à administrer par rapport à certains médicaments en comprimés. Depuis combien de temps le recommandezvous et comment réagit votre clientèle? Lorsque je pense que c’est une bonne indication pour le cas, je propose d’essayer le CBD assez spontanément déjà depuis quatre ou cinq ans. De toute façon, ce choix de traitement est toujours discuté avec les propriétaires d’animaux avec toutes les options dans la balance. Il reste quelques réfractaires mais en général les gens apprécient d’avoir une alternative plus naturelle. TEXTE LAETIZIA BARRETO

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Stress ? Anxiété ? Douleurs articulaires ? Découvrez nos compléments alimentaires à base de CBD conçus pour favoriser le bien-être de votre animal domestique et soutenir son système immunitaire.

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VET24JONCTION BRANDREPORT

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Succès au rendez-vous pour Vet24 à Genève Jonction! Le Centre vétérinaire ouvert 24h/24 - 365j/an à Genève répond à un besoin clairement exprimé par les propriétaires de petits animaux domestiques grâce l’initiative de la doctoresse Mira Gelehrter, médecin spécialisée en médecine vétérinaire intégrative.

e l’urgence aux soins courants, en passant par les vaccinations, la dentisterie, la chirurgie, l’imagerie médicale et les formalités administratives, toute prestation peut être assurée à toute heure du jour et de la nuit chez Vet24 à Genève Jonction. Nous en sommes témoins pour avoir eu l’opportunité de passer quelques heures en compagnie de la doctoresse Mira Gelehrter et de son équipe.

Lundi 24 décembre 2018, 18h. Une vétérinaire et deux assistantes du Centre Vet24-Jonction s’apprêtent à passer la nuit dans les salles de consultation et d’interventions chirurgicales. En cette veillée de Noël, c’est avec passion, bienveillance et professionnalisme que la vétérinaire Mira Gelehrter et ses collaboratrices se mettent au service de leurs patients. La relève sera assurée le lendemain par l’équipe de jour; certainement pour une journée encore plus dense. Au même titre qu’à n’importe quelle période de l’année, chats, chiens et autres animaux de compagnie seront ainsi secourus, sauvés, soignés et hospitalisés tout au long de cette période festive, au grand soulagement de leurs propriétaires. La plupart d’entre eux reviendront quelques jours plus tard avec une boîte de chocolats, un paquet de biscuits ou tout autre présent en guise de reconnaissance et de remerciements. Comme à l’accoutumée, ils seront accueillis chaleureusement avec un café ou un thé. C’est à cette

Mira Gelehrter

de Genève», souligne la doctoresse Mira Gelehrter; et d’ajouter «nous constatons de nombreuses et très bonnes recommandations de la part des clients. Par ailleurs, nous dit-elle, nous avons investi dans des installations techniques de pointe comme la radiographie

numérique, l’échographe, l’électrochirurgie et autres systèmes permettant de diagnostiquer et soigner dans les plus brefs délais tous problèmes de santé chez l’animal». Nous sommes alors invités à passer dans une autre pièce. Il s’agit du laboratoire d’analyses où il possible d’obtenir des bilans sanguins en moins de 30 minutes après le prélèvement. Vet24-Jonction est aussi doté d’une pharmacie vétérinaire complète en médication traditionnelle et complémentaire comme les remèdes

liste est réellement conséquente en termes de volume et de nature. Pour ne citer que quelques exemples, de nombreuses vies ont été sauvées grâce à des interventions d’urgence pour des torsions d’estomac, des empoisonnements, des obstructions intestinales, des chutes et divers accidents à l’origine de traumatismes au niveau du squelette et/ou des organes internes.

pouvant accueillir tout animal qui nécessite un séjour hospitalier de courte, moyenne ou longue durée, y compris les nouveaux animaux de compagnie et les oiseaux. Là encore, des box supplémentaires ont dû être installés pour répondre aux besoins croissants.

Approche intégrative Au cours de notre visite, nous pouvons apprécier la prise en charge globale de l’animal sur les plans physique et émotionnel par combinaison de la médecine conventionnelle et complémentaire. La doctoresse -

Depuis l’ouverture de Vet24-Jonction, les clients se disent satisfaits et rassurés de pouvoir bénéficier d’un centre vétérinaire ouvert en permanence au cœur de Genève.  DOCTORESSE MIRA GELEHRTER

était nécessaire de pouvoir jouir d’un service de permanence vétérinaire à Genève.

Diversité des soins et des interventions

phytothérapie et l’ozonothérapie. Perspectives Au terme de cette sympathique rencontre, la doctoresse Mira Gelehrter nous fait part que Vet24-Jonction va procéder à l’agrandissement de ses locaux pour le confort des patients et la satisfaction de la clientèle. Nous la remercions chaleureusement pour son accueil et, vu la qualité des soins auxquels nous avons assisté, rinaire Vet24 à Genève Jonction. TEXTE JEAN SALIGNY

Satifaction 5 étoiles! Une enquête de satisfaction clientèle fait apparaitre une cotation à 5 étoiles pour la plupart des items, notamment la qualité des soins, l’accueil, la disponibilité, la facilité d’accès et la communication. Cette enquête fait aussi ressortir, sur un plan général, le souhait des propriétaires d’animaux domestiques de voir le temps d’attente réduit au maximum. Dans le domaine de la licités en dehors des heures normales d’ouverture, aussi bien pour les urgences que pour les soins courants. La médecine vétérinaire n’échappant pas à la règle,

Le service de permanence vétérinaire 24h/24 – 365j /an est une évolution cantonale majeure dans la prise en charge des animaux de compagnie. Pour marquer cette prestation, le Cabinet vétérinaire de la Jonction s’appelle désormais Centre vétérinaire vet24 à Genève Jonction

Vet24-Jonction Centre vétérinaire à Genève Jonction Bd Carl Vogt 38, CH-1005 Genève +41 22 995 96 97 www.vetjonction.ch vetjonction@gmail.com

à cette attente. Médecine vétérinaire de haut niveau et équipement de pointe «Depuis l’ouverture de Vet24-Jonction, les clients se

Ouverture: 24h/24 – 365j/an Sur RDV ou avec appel préalable

centre vétérinaire ouvert en permanence au cœur ANNONCE

Parce que chaque vie compte!

Cabinet vétérinaire intégrative Médecine traditionnelle et alternative, homéopathie, ozonothérapie • Consultations

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re 24H /24 7J/ H 7J

U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

016

CANCER

L’importance de la recherche sur le cancer des enfants en Suisse Le cancer touche chaque année entre 200 et 300 enfants et adolescents en Suisse. Sans traitement, le cancer est une maladie mortelle pour les enfants, c’est pourquoi la recherche s’avère essentielle. TEXTE DRE. KATRIN SCHEINEMANN

complications tardives, notamment la localisation de la tumeur, l’âge au moment du diagnostic et le type de traitement. Les options thérapeutiques ont un lourd impact sur les enfants et peuvent ainsi entraîner, entre autres, des troubles de la croissance, une stérilité, une difficulté d’apprentissage ou un risque important de développer un second cancer. Dre. Katrin Scheinemann

elon les statistiques du Registre du Cancer de l’Enfant (RCdE) publiés par l’Office fédéral de la statistique, le taux de survie des enfants atteints de cancer est passé d’un peu plus de 50%, entre 1976 et 1988, à 87%* aujourd’hui. La raison de cette évolution impressionnante est liée à la recherche, qui a fait considérablement progresser l’oncologie pédiatrique. En Suisse, cette recherche est essentiellement réalisée par les oncologues pédiatriques, travaillant dans les neuf centres où se situe un département d’oncologie pédiatrique. Ces cliniques et hôpitaux sont répartis dans toute la Suisse (dont le CHUV à Lausanne et le HUG à Genève) et sont tous membres du SPOG, le Groupe d’Oncologie Pédiatrique Suisse, basé à Berne, une organisation nationale de réseau d’oncologues pédiatriques et de chercheurs dans le domaine du cancer de l’enfant. Chez les enfants et les adolescents, les cancers les plus communs sont pour un tiers les leucémies, un quart les tumeurs du système nerveux central et un sixième les lymphomes. Un cancer diagnostiqué au cours de l’enfance impacte non seulement la survie de l’enfant mais aussi sa qualité de vie. Un enfant qui survit d’un cancer ne va pas nécessairement pouvoir profiter d’une enfance comme les autres enfants de son âge. En effet, l’enfant et l’adolescent sont encore en pleine phase de croissance et de développement au moment du diagnostic et du traitement d’un cancer. Plusieurs facteurs peuvent entraîner des effets secondaires et des

Afin de modérer les effets secondaires et complications tardives du cancer et des thérapies pour les enfants et adolescents, il est essentiel de donner à chaque enfant malade un traitement adapté à la biologie de sa tumeur. La recherche est ici un élément essentiel, afin d’assurer que les enfants et adolescents atteints de cancer aient eux aussi un avenir et puissent réintégrer pleinement la vie après la thérapie.

De nombreux progrès ont déjà été réalisés au niveau de la recherche sur le cancer des enfants, par exemple avec l’utilisation de la protonthérapie, qui est une forme de radiothérapie qui permet de cibler avec davantage de précision une tumeur. Ce traitement amélioré endommagera beaucoup moins les tissus et les zones saines autour de la tumeur. Cela est essentiel notamment pour le traitement des tumeurs cérébrales. En effet, plusieurs études montrent déjà que ce genre de thérapie entraîne une réduction des complications tardives chez les enfants atteints de tumeurs cérébrales. La recherche clinique permet les grandes avancées en matière de traitement et de pronostics chez les enfants et les adolescents. Les résultats sont d’autant plus fructueux lorsque les essais cliniques sont opérés à une

Survie des patients dans le RCdE, par période du diagnostic

Résidents suisses; âge au moment du diagnostic 0-14 ans; période du diagnostic 1976-2018; tous diagnostics confondus (ICCC-3 ou histiocytose à cellules de Langerhans); N = 7685; ajusté selon l’âge.

grande échelle. Ainsi, les centres du SPOG en Suisse ne prennent part qu’à des essais cliniques internationaux, permettant un large échange d’informations entre médecins et chercheurs. La collecte et l’évaluation de données cliniques, même pour des tumeurs très rares sont ainsi rendues possibles. De cette manière, les connaissances acquises permettent de traiter plus efficacement chaque enfant, de façon ciblée et individualisée, et de réduire ainsi au maximum le risque de complications tardives. Le cancer de l’enfant est une maladie rare et nécessite de nombreux projets de recherche afin de pouvoir assurer les meilleurs traitements possibles pour chaque enfant en Suisse. La population touchée par cette maladie rare étant très restreinte, l’industrie pharmaceutique soutient, en partie, les études en fournissant des médicaments pour les études, mais ne cofinance généralement pas les coûts supplémentaires des projets de recherche pour les enfants atteints de cancer. Ces derniers sont pourtant très coûteux et nécessitent un soutien public. Le SPOG, qui est responsable et coordonne de multiples projets de recherche internationaux en Suisse, obtient entre autres le soutien du Secrétariat d’Etat à la formation, à la recherche et à l’innovation SEFRI, ainsi que de nombreuses fondations de financement de la Suisse entière. Du point de vue des oncologues pédiatriques tels que la Dre. Katrin Scheinemann, Cheffe du service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital cantonal d’Aarau et présidente du SPOG, il est essentiel de pouvoir mettre à disposition et d’ouvrir en Suisse un maximum d’études et de projets de recherche internationaux proposant les traitements les plus récents, afin de générer des progrès essentiels et de permettre à tous les enfants atteints d’un cancer d’avoir un futur et de vivre une vie normale. *Survie à 10 ans après diagnostic. Voir le graphique cijoint: «Survie des patients dans le RCdE, par période du diagnostic», par le Registre du cancer de l’enfant, www.registretumeursenfants.ch

BRANDREPORT TORGON TOURISME

Le tout premier E-Bike Park de Suisse vous attend à Torgon Situé aux portes de la nature, le paisible village de Torgon, dans le Bas-Valais, vous émerveillera par ses paysages à couper le souffle et par son panel d’activités adapté aux familles et aux sportifs.

ituée à 1085 mètres d’altitude, la station de Torgon est surnommée «Le Balcon du Chablais» parce qu’elle offre une vue imprenable sur le Lac Léman, les Dents du Midi et le Mont Blanc. Sa tranquillité et ses panoramas époustouflants offrent aux visiteurs une immersion totale dans la nature, la solution parfaite pour se ressourcer. Inauguré en juin 2020 sur les chemins et routes surplombants le village de Torgon, dans le domaine des Portes du Soleil, le premier E-Bike Park de Suisse propose une expérience unique, autant sportive que ludique, pour tous les adeptes du vélo électrique. En effet, la pratique de ce sport s’étant démocratisée ces dernières années, les débutants et les passionnés de E-Bike pourront tous profiter d’itinéraires dédiés spécialement à la pratique du vélo électrique dans un espace sécurisé et en pleine nature. Comprenant des itinéraires faciles mais aussi des montées plus techniques et bénéficiant de six parcours balisés ainsi que deux parcours «Portes du Soleil» avec des liaisons vers les stations de Châtel

en France et Morgins en Suisse, l’E-bike Park de Torgon s’avère être un véritable terrain de découverte ouvert à tous les niveaux. Des parcours «bleus» et «rouges» qui raviront les débutants, aux pistes «noires» pensées pour les plus aguerris, il représente en effet un terrain de découverte pour tout le monde. Mais l’E-Bike Park de Torgon n’est pas seulement un lieu de divertissement dans lequel prime la pratique

sportive. Si les conditions pour pratiquer ce sport sont idéales c’est aussi parce que l’expérience se déroule dans un environnement naturel et magique qui fait la richesse des lieux et qui mérite d’être protégé. C’est pourquoi l’E-Bike Park se veut aussi porteur d’un message important, celui du respect de l’environnement, de la nature et de la montagne qui permettent la pratique de cette activité et d’autres, comme celle du tir à l’arc également proposée.

En effet, Torgon a aussi le mérite de bénéficier du plus grand parcours de tir à l’arc du Valais. Totalement rénové, situé en pleine forêt et offrant vingt cibles dans les sous-bois, ce parcours émerveille tout le monde, des plus grands aux plus petits qui se divertiront en toute sécurité en utilisant des arcs adaptés à leur taille. Quant au matériel, pas besoin de se charger inutilement. Afin de permettre aux visiteurs de profiter au maximum des activités, tout le matériel, qu’il s’agisse des vélos électriques ou des arcs, peut être aisément loué à l’Office de Tourisme de Torgon. Cet été, prenez donc seulement le nécessaire et osez l’E-Bike et le tir à l’arc dans les splendides paysages environnant Torgon. Pour plus d’informations, visitez www.torgon.ch TEXTE ANDREA TARANTINI

U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

ROCHE PHARMA (SUISSE) SA BRANDREPORT

017

L’être humain en premier lieu dans les traitements médicaux La santé est notre atout le plus important. C’est pourquoi les patients devraient avoir leur mot à dire dans les décisions qui affectent leur santé. La «responsabilisation des patients» permet à ces derniers d’obtenir des informations complètes et un aperçu des options de traitement pour une maladie. Cela leur donne l’opportunité de s’engager plus activement dans un dialogue avec leur équipe de traitement afin d’obtenir les meilleurs résultats possibles.

ujourd’hui, la santé, les besoins individuels et l’épanouissement personnel sont des priorités. On accorde en effet plus d’attention à notre régime alimentaire, on monitore nos activités quotidiennes via des applications et on a une vue d’ensemble de nos valeurs de santé grâce à notre Smartwatch. Ces comportements autodéterminés et la conscience de son propre bien-être importent en situation de bonne santé mais ils trouvent aussi leur place dans la responsabilisation du patient lorsqu’un traitement médical devient nécessaire. La recherche des meilleurs résultats La responsabilisation des patients est un concept relativement nouveau. Cette démarche veut que les patients soient informés, qu’ils participent et qu’ils soient en mesure de prendre des décisions lorsque celles-ci sont relatives à leur santé. Bien évidemment, cela est

possible surtout lorsque les patients comprennent et peuvent évaluer leur maladie et les différentes options de traitement qui leur sont proposées. Par conséquent, lorsqu’il s’agit de plans de traitement, les patients connaissent dès le début les options qui s’offrent à eux. Ils peuvent contribuer activement en posant des questions et en soulevant des préoccupations qui peuvent ensuite être discutées avec les experts avant le début du traitement. En fin de compte, la responsabilisation des patients vise à obtenir les meilleurs résultats de traitement en collaborant dès le début pour trouver une voie à suivre qui soit comprise et entreprise avec confiance par les personnes concernées. La responsabilisation du patient ne signifie pas qu’il faille remettre en question la compétence du personnel médical. Toutefois, pour renforcer cette responsabilisation,

il est important de prendre du recul par rapport à la communication unilatérale. Un dialogue doit être engagé entre les personnes concernées et les professionnels de la santé afin de donner leur place aux inquié-

tudes et aux préoccupations des patients. En effet, un diagnostic peut non seulement changer soudainement la vie d’une personne, mais aussi mettre à rude épreuve son environnement immédiat.

Travail éducatif au bénéfice des patients Roche soutient cette évolution vers une responsabilisation des patients plus importante. Afin de mieux comprendre les préoccupations des patients et de faire entendre leur voix, Roche a mis en place depuis plusieurs années un département «Patient Partnership» qui a été spécialement conçu à cet effet. Le portail web «Focus la personne» est un instrument central de ce travail. Sur ce site, les patients et leurs familles peuvent trouver un large éventail d‘informations au sujet de diverses maladies et des soins de santé personnalisés. Lorsqu‘un diagnostic est posé, de nombreuses questions et préoccupations pèsent lourdement sur la vie quotidienne de la personne concernée. Avec le site web «Focus la personne», Roche offre aux patients un portail d‘information complet qui met l‘accent sur les personnes plutôt que sur les maladies. Il peut être utilisé pour trouver de manière autonome des réponses à des questions pressantes: à quoi ressemble exactement l‘évolution d‘une maladie? Quels sont les types de thérapies disponibles? Quelles expériences ont été faites par d‘autres personnes concernées? Le portail contribue ainsi à une plus grande responsabilisation des patients. L‘équipe de «Focus la Personne» travaille en étroite collaboration avec les associations de patients, les patients eux-mêmes, les médecins, les pharmaciens et le personnel soignant. Elle promeut des projets axés sur les patients et sur une médecine personnalisée. Cela garantit que le portail reste à jour et qu’il soit pertinent. Grâce aux informations proposées par «Focus la personne», les patients ont la possibilité d‘en savoir plus sur leur maladie. Cela leur permet de mieux comprendre et évaluer leur situation et de donner plus d’importance à leurs souhaits dans les discussions avec leur médecin traitant. En fin de compte, l‘objectif est de prendre dès le départ le bon chemin en matière de promotion de la santé, et ceci grâce à des patients informés. Roche Pharma (Suisse) SA, Gartenstrasse 9, 4052 Bâle

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www.roche-focus-la-personne.ch PLATE-FORME D‘INFORMATIONS POUR LES PATIENTS & LEURS PROCHES Avec notre website, nous aimerions vous soutenir et vous offrir une assistance : Venez-nous joindre et trouver les informations dont vous avez besoin. Roche Pharma (Suisse) SA 4052 Bâle

6-2020

U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

018

BRANDREPORT DIVORCE.CH

Les défis de l’après confinement Les services représentent 74% du PIB suisse (l’industrie 25%, l’agriculture 1%) et le confinement forcé entraine des conséquences économiques très sérieuses pour certains. Il suffit de penser à la culture, l’hôtellerie, au tourisme et aux transports, notamment aériens, quasiment sinistrés et qui auront besoin d’une aide massive pour surmonter cette profonde crise.

Me Douglas Hornung

’Office fédéral de Santé Publique utilise les données de Swisscom pour vérifier la bonne application des mesures de confinement et Google vient de publier un rapport tiré de ses données de mobilité pour 131 pays, dont la Suisse. Sans grande surprise, il en ressort que la fréquentation des lieux culturels a plongé de 81% et l’emploi des transports publics de 68%. Mais certains services résistent bien au choc, voire se développent exponentiellement. Les commandes sur internet explosent au point que la Poste doit mettre des quotas pour la livraison de colis de plus en plus importants ou volumineux. Les logiciels permettant de tenir des conférences vidéo sont la nouvelle émergence indispensable et le télétravail se généralise dans tous les domaines des services. Cette évolution majeure dans la façon de travailler va certainement perdurer après la fin du confinement- Les avantages sont multiples: plus besoin de prendre rendez-vous et de se déplacer. Les rendez-vous se font à distance et par vidéo, les charges fixes diminuent dras-

tiquement (plus besoin de payer un loyer exorbitant, un partage de locaux suffit lorsqu’il reste nécessaire d’avoir des locaux professionnels), flexibilité accrue (plus d’horaire fixe), meilleure balance entre la vie professionnelle et privée, rentabilité et accessibilité accrues. Ainsi, par exemple, la première plateforme pour avocats indépendants en Suisse, www.lawffice.ch, et d’autres schémas du même type se développent rapidement après avoir dû subir les entraves habituelles de vieilles branches bien établies qui s’opposaient à toute possibilité de pouvoir donner de meilleurs services mais à moindres coûts. Mais les désavantages sont aussi bien connus et devront être maitrisés. Zoom, l’une des plateformes qui permettent de tenir des conférences vidéo à distance connait un succès fulgurant: 10 millions d’utilisateurs en décembre 2019, 200 millions fin mars 2020! Le succès est tel que les administrations suisses l’utilisaient volontiers. Avant de s’apercevoir que les données étaient systématiquement communiquées à Facebook et que le cryptage promis avait pour le moins de

Le choix des outils informatiques devra être fait de manière précautionneuse.

grandes défaillances au point que certaines réunions confidentielles se retrouvent aujourd’hui en ligne et accessibles à chacun… Les plus grands défis de l’après confinement seront donc la lente et difficile reconstruction des activités lourdement sinistrées d’une part et, d’autre part, la protection des données et de la sphère privée ainsi que le nouvel équilibre à trouver entre les activités professionnelles et les activités privées et familiales. Le choix des outils informatiques devra être fait de manière précautionneuse: Plutôt que Zoom, mieux vaut utiliser Webex, Teams (Microsoft) ou Infomaniak qui offrent des sécurités et une confidentialité bien supérieures. La discipline personnelle pour travailler à distance est un apprentissage nouveau à mettre en place pour éviter de travailler n’importe quand et pour se réserver des plages horaires pour les loisirs, la famille, la culture; ce qui est loin d’être facile lorsqu’on n’en a pas pris l’habitude. Les relations sociales et professionnelles se dématérialisent de plus en plus de sorte que, paradoxalement, il restera toujours nécessaire de disposer de lieux de rencontres, que ce soit au travail, en coworking ou ailleurs pour ne pas être confinés dans une bulle numérique qui prend de plus en plus de place. De nouveaux équilibres devront donc être trouvés tout comme de nouvelles habitudes. Assurément ce virus aura modifié fondamentalement nos rapports, notre travail, nos relations et la vie d’après ne sera pas la simple reprise de la vie d’avant. Les services seront de plus en plus assurés par la toile et ceux qui rêvent de pouvoir les reprendre comme avant se font des illusions qui les mèneront rapidement au désastre. Un simple exemple: qui va encore vouloir

Le virus aura profondément modifié nos modes de faire, d’agir et de penser. payer des milliers de francs pour un divorce qui est accessible pour 550.- CHF par internet, y compris tout l’accompagnement professionnel, comme le propose www.divorce.ch? Le virus aura profondément modifié nos modes de faire, d’agir et de penser. Le prix des services seront toujours plus bas et leur qualité toujours plus haute; dans une concurrence effrénée. Le consommateur ne pourra que s’en réjouir et ceux qui offrent des services devront travailler plus pour gagner moins. Un sacré défi supplémentaire que seuls les meilleurs pourront relever! Me Douglas Hornung, Avocat et administrateur de www.divorce.ch et www.lawffice.ch

TEXTE XXXX

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C’est le contenu qui compte. Réduction de 25% de l’empreinte écologique

De nombreuses études cliniques

Investissements de près de 8 milliards USD dans le développement de médicaments innovants

Production fiable de grande qualité en Europe, en Amérique du Nord et en Asie

Soutien d’organisations de patients – une grande tradition

Plus de 50 millions de patients traités dans le monde

Prêtez-vous en général attention à ce que vous ingérez ? Alors pourquoi pas aussi aux médicaments que vous prenez ?

Votre santé – votre choix.

PP-GEP-CHE-0327

Décembre 2019

U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

MEDGATE BRANDREPORT

019

La télémédecine au temps de la distanciation physique Pionnière dans le domaine de la télémédecine, Medgate propose ses services depuis 20 ans – et contribue significativement à limiter les coûts de santé.

es derniers mois, la crise du coronavirus a posé des défis majeurs pour toutes les institutions actives dans le secteur de la santé. La télémédecine – soit le traitement médical par téléphone ou par vidéo – a contribué sensiblement au bon fonctionnement et à la rationalisation des soins de santé.

sensibilisé encore davantage de gens à l’intérêt que présente la télémédecine», déclare Cédric Berset. Même lorsque la distanciation physique est de mise, il est important que les soins médicaux de base soient maintenus. «Nous pouvons en l’occurrence apporter une contribution significative – et nous voulons continuer à le faire.»

Le fait que les médecins de Medgate traitaient les patientes et les patients directement à leur domicile a permis de réduire – a fortiori au cours de la pandémie – le risque de contamination dans les salles d’attente et durant le trajet. Et la réduction du nombre de visites médicales a permis de limiter les coûts de santé. Ces facteurs, pendant la pandémie du Covid-19, ont accru l’intérêt que les patients, mais aussi les médecins et les hôpitaux portent à la télémédecine et à la santé numérique.

Un accès aisé pour tous Afin de continuer à offrir aux patients un accès simple et rapide à une ressource médicale, Medgate fait appel en permanence aux solutions de santé numérique. Avec la Medgate App, toutes les personnes assurées en Suisse peuvent utiliser les services de Medgate – indépendamment de leur assurance maladie. La consultation médicale est facturée dans le cadre des prestations légales par l’intermédiaire de l’assurance maladie; elle est reconnue par toutes les caisses maladie suisses. Pour obtenir des conseils et des traitements médicaux par téléphone ou par vidéo, il suffit de télécharger l’application gratuite et de s’inscrire en ajoutant les données de sa carte d’assurance. Et de saisir ensuite les symptômes dans l’application, puis de répondre à quelques questions à ce sujet. Grâce à l’intelligence artificielle, Medgate peut déterminer déjà à ce stade si le médecin est en mesure de résoudre le problème par téléphone ou par vidéo sans qu’il soit nécessaire de se déplacer, ou si une visite au cabinet médical s’impose. Si une téléconsultation est préconisée, le rendez-vous peut être pris directement via l’application. À l’heure voulue, les patients sont contactés par un médecin de Medgate, qui les traite par téléphone ou par vidéo.

Une demande en croissance constante La demande de services de télémédecine, qui n’a cessé de croître au cours des 20 dernières années, est désormais bien implantée en Suisse. «Même avant la crise du coronavirus, de nombreuses personnes reconnaissaient déjà la valeur et les avantages de la télémédecine», explique Cédric Berset, porte-parole de Medgate pour les médias. Les patients et les patientes apprécient particulièrement d’avoir à leur disposition un médecin 24 heures sur 24, où qu’ils se trouvent. Toutefois, la pandémie de coronavirus a donné un élan supplémentaire à la numérisation dans le secteur des soins de santé et donc aussi à la télémédecine. «Mais il est certain que la crise a

La numérisation dans les soins de santé La pandémie de coronavirus a accéléré les progrès de la numérisation dans de nombreux domaines, à commencer par les soins de santé. La numérisation a fait la démonstration de sa propre pertinence, et permettra de nombreuses autres innovations au profit des patients et de la société. En tant que pionnière de la télémédecine en Suisse, Medgate continuera d’axer ses services sur la santé numérique. «Ce domaine offre selon nous un potentiel énorme», déclare Cédric Berset. Medgate travaille constamment au développement et à la mise en œuvre de nouvelles solutions de soins, mettant les besoins de ses patients au premier plan. L’objectif principal de Medgate reste de fournir aux patientes et aux patients un accès facile à des soins médicaux efficaces. Ou, en d’autres termes: le médecin à la disposition des patients là où ils en ont besoin. Vous trouverez de plus amples informations sous: www.medgate.ch

A6-carteDAS16-17 - copie.qxp_Mise en page 1 03/01/2017 10:25 Page1 A6-carteDAS16-17 - copie.qxp_Mise en page 1 03/01/2017 10:25 Page1 A6-carteDAS16-17 - copie.qxp_Mise en page 1 03/01/2017 10:25 Page1 Les formations continues universitaires Qualité et Sécurité des soins évoluent Les soins de santé sont délivrés désormais par des équipes interprofessionnelles au sein d’un système devenu très complexe et qui fait face à de nombreux enjeux. Pour être en mesure d’y répondre, le système de santé doit s’adapter en permanence. Relever ces défis nécessite, pour les professionnels de la santé déjà diplômés, d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences en matière de management par la qualité et de sécurité des soins. Depuis plus de 10 ans, la faculté de médecine de l’Université de Genève et la Faculté de biologie et de médecine de l’Université de Lausanne ont développé des programmes communs de formation continue en qualité et sécurité des soins, devenus indispensables pour accompagner le changement. Destinés aux collaborateurs de première ligne, cadres de proximité et responsables qualité/sécurité, ces formations sont interprofessionnelles et s’adressent autant à des professionnels médico-soignants, qu’à des profils plus techniques ou administratifs.

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FORMATION MODULAIRE Depuis 2008, 247 candidats ont suivi nos programmes et font désormais partie de notre communauté d’Alumni. EN COURS D’EMPLOI

Sous la direction des leaders de plusieurs institutions et organisations de soins romandes, nos formations sont élaborées par une équipe de professionnels de la santé formés à la qualité et à la sécurité des soins. Les intervenants sont choisis parmi les experts de leur domaine et les patients partenaires des institutions; les débats sont favorisés autour des partages d’expériences. L’enseiA6-carte-CAS-18.qxp_Mise en page 1 11/04/2017 11:56 Page1 gnement est imprégné d’une philosophie «learning by doing» et permet de mobiliser les notions théoriques apportées pendant ou

FORMATIONS MODULAIRES EN COURS D’EMPLOI

FORMATION MODULAIRE EN COURS D’EMPLOI

avant les cours au sein d’ateliers. Les méthodes et les contenus pédagogiques sont évalués et ajustés régulièrement pour accroître la pertinence des sujets et la cohérence globale. Enfin, ces programmes s’appuient sur une pédagogie par projet. Le travail de fin d’études de chaque participant est basé sur l’initialisation, pour le CAS, et sur l’initialisation et la mise en œuvre, pour le DAS, d’un projet d’amélioration de la qualité des soins. Pour mener ce travail, chaque participant bénéficie des conseils d’un tuteur de l’équipe pédagogique. Nos programmes de formation continue en Qualité et sécurité des soins évoluent en 2020. Les participants pourront suivre indépendamment: • Un CAS Qualité des soins (première volée: du 26 août 2020 au 31 janvier 2021) • Un CAS Sécurité des soins (première volée: du 27 janvier à 30 juin 2021)

DAS

A6-carteDAS16-17 - copie.qxp_Mise en page 1 03/01/2017 10:25 Page1

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Diplôme de formation continue Désormais, pour obtenir un DAS Qualité et sécurité des soins, les

participants devront valider les deux CAS et réaliser un travail final Diploma of Advanced Studies supplémentaire. Ils pourront entrer dans le DAS par le CAS Qualité ou le CAS Sécurité.

Diplôm

Diplom

Qualité et sécurité d Qualité et sécurité des soins DAS Diploma of DAS

Nous restons disponibles pour toute question et serons ravis de vous retrouver dans nos nouveaux dispositifs de formation continue.

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Plus d’infos sur www.hug.ch/qualite-soins/formations-continuesuniversitaires ou auprès de Mme Gaëlle Dessard-Choupay, tél. +41 (0)79 55 31 142 – gaelle.choupaydessard@hcuge.ch

Dimensions m Dimensions managériales

Diplôme de formation continue

Diploma of Advanced Studies

5 modules

Qualité et sécurité de CAS Qualité et sécurité des soins

Qualité et sécurité des soins

1 travail de fin de CAS 30 août 2017 > 30 août 2017 > 1er octobre 2018

Certificat de formation continue

DimensionsCertificate managériales of Advanced Studies

FORMATION MODULAIRE EN COURS D’EMPLOI

30 aoûtou 2017 > 1er octobre 2018 Qualité sécurité des soins

Qualité et sécurité des soins Informations: gaelle.choupaydessard@hcuge.ch T. +41 (0)22 372 91 73

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10 modules (CAS Qualité et CAS Sécurité des soins)

Dimensions man

1 travail de fin de CAS

DE MÉDECINE 10 janvier > 30 juinFACULTÉ 2018

FACULTÉ DE MÉDECINE

1 travail de fin de DAS

FACULTÉ DE MÉDECINE 30 août 2017 > 1er

U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

020

BRANDREPORT HÔTEL SPITZHORN

Le vrai luxe plutôt que l’illusion de la grandeur À l’Hôtel Spitzhorn de Gstaad, les étoiles ne sont pas vraiment importantes. D’autant plus lorsqu’il s’agit de satisfaire les clients. Michel Wichman, locataire et hôte du Spitzhorn, nous présente l’établissement ainsi que ses valeurs comme une hospitalité authentique qui dépasse souvent les attentes des clients. TEXTE SMA PHOTOS HÔTEL SPITZHORN

Michel Wichman, dans une de vos déclarations vous soutenez que «les étoiles sont au firmament». Qu’entendez-vous par cela? Les étoiles sont au firmament et non pas à un panneau à l’entrée d’un hôtel car, de nos jours, le nombre d’étoiles est de moins en moins lié à la qualité de l’hôtellerie. Notre équipe se préoccupe uniquement des clients et fait de son mieux pour qu’ils soient satisfaits. C’est pourquoi les évaluations en ligne de nos visiteurs sont beaucoup plus significatives que nos étoiles pour nous. L’hôtel pourrait même se voir attribuer huit étoiles mais cela ne changerait rien car nous favoriserons toujours une hospitalité authentique et sincère ainsi qu’un service impeccable. D’ailleurs, c’est précisément par ces caractéristiques et ces valeurs que nous souhaitons nous démarquer et démontrer la qualité de notre établissement. C’est pour cette raison que nous avons rejeté les quatre étoiles que l’Hôtellerie Suisse envisageait de nous attribuer. N’est-ce pas un inconvénient, surtout concernant la perception de l’extérieur? Non, pas du tout. Même si parfois nous pensons ne pas être à la hauteur, nous dépassons toujours les attentes de nos clients. Les visiteurs deviennent ainsi des habitués enthousiastes et fidèles. Nous proposons une forme d’hospitalité contemporaine et durable, qui laisse les étoiles à leur place - dans le ciel - et nous plaçons toujours le bien-être des hôtes au cœur de notre activité. Cependant, il reste vrai que les étoiles aident certains invités à choisir leur destination. Et pourtant, vous vous êtes «contenté» d’ouvrir un hôtel trois étoiles. Pourquoi? À mon avis, parallèlement au monde du grand tourisme hôtelier super riche et classique, Gstaad doit se développer davantage en termes de nouveaux concepts pour l’avenir. À Gstaad, il manquait un hôtel trois étoiles qui offrait un service exceptionnel. Avant d’être hôte du Spitzhorn, j’ai travaillé pendant huit ans comme directeur au Grand Hôtel Bellevue Gstaad (aujourd’hui Le Grand Bellevue). Lorsque je travaillais au Grand Hôtel Bellevue, mon équipe et moi, nous concentrions toujours sur le

Il ne faut pas toujours vouloir plus, mais aspirer au meilleur. bien-être de nos hôtes. Toutefois, alors que cela devrait être une évidence, la satisfaction du client a fini bien souvent par passer en deuxième place dans de nombreux hôtels de luxe. Dans ces cas, la chasse aux étoiles associée aux efforts et sacrifices visant à attirer un grand nombre de célébrités a conduit à une situation qui ne permettait pas à un invité «lambda» de se sentir à l’aise dans l’établissement. Pourquoi avez-vous choisi le Spitzhorn pour votre nouvelle mission? Dès le début, ma femme et moi avons pu aider à façonner l’âme de l’hôtel Spitzhorn. En tant que locataires, nous avons repris un établissement de l’assurance La Bâloise qui correspond parfaitement à notre idée d’un hôtel moderne. Pas de posture guindée, pas d’illusion de grandeur. Nous privilégions une atmosphère détendue et une cordialité authentique. En 2014, le «Times» a même écrit qu’il s’agit d’un moyen de «réinventer Gstaad pour les skieurs au budget plus modeste». Qu’est-ce qui différencie le Spitzhorn d’autres hôtels de la même catégorie ou d’une catégorie supérieure? Nous pensons qu’il ne faut «pas toujours vouloir plus, mais aspirer au meilleur». C’est le principe directeur de notre hôtel trois étoiles supérieur. À mon avis, il n’est pas possible de comparer un hôtel à un autre car chaque établissement possède son propre charme et sa propre identité. Finalement, ce qui compte c’est l’âme de l’hôtel, tout est une question de niveaux, notre hôtel est d’un degré plus spacieux, les couloirs sont plus larges, les chambres plus lumineuses, les boissons plus grandes, le champagne plus pétillant, le temps est meilleur, les enfants invités sont plus heureux, les montagnes plus

hautes, la piscine s’avère plus accueillante, les prairies alpines plus colorées, l’internet est plus intéressant et les visages de notre équipe sont plus rayonnants. Ce qui fait la différence c’est aussi notre facture qui, malgré le confort offert, rayonne d’une modestie particulière. Nous nous concentrons uniquement sur le client et son bien-être. Tout ce dont nos visiteurs ont besoin est à leur disposition. Nous offrons donc le vrai luxe plutôt qu’une illusion de grandeur. À qui s’adresse principalement votre offre? Notre concept nous amène une clientèle très variée. C’est vraiment agréable. Nous accueillons des personnalités de renommée internationale, des hommes d’affaires, des locaux et des familles. D’ailleurs, même Armin, le fermier du village aime fumer son cigare sur notre terrasse. Chez nous, quatre visiteurs sur cinq sont Suisses. En 2014, dès sa première année d’activité, votre hôtel était déjà en tête du classement du Sonntagszeitung. Comment y êtes-vous parvenu? Notre credo est «une hôtellerie haut de gamme plutôt qu’étoilée». Il m’est difficile de répondre à cette question tout comme il n’est pas aisé de définir la réussite. Le succès arrive rarement de manière soudaine, il faut plutôt travailler dur. Avoir une routine et un objectif clair peuvent aider. Mais il faut aussi continuellement travailler sur soi et sur son propre développement. Le succès est un travail de longue haleine. Qu’est-ce qui distingue l’offre culinaire du Spitzhorn? Les plats les plus populaires des Alpes ou «The Best of the Alps» d’Allemagne, Autriche, Suisse, Italie et France attendent nos visiteurs! Nous avons mis au point les meilleures recettes, qui convainquent par des ingrédients frais, souvent locaux, et forment un menu simple mais très savoureux. Nous proposons par exemple des soupes spéciales, des poissons locaux, des classiques alpins, des röstis copieux et des desserts gourmands ainsi que des spécialités saisonnières.

Vous décrivez votre établissement comme un hôtel trois étoiles qui comporte une infrastructure quatre étoiles. Qu’est-ce qui confère à cette dernière sa grande qualité? Notre hôtel est en effet un trois étoiles supérieur avec une infrastructure quatre étoiles dans un environnement cinq étoiles. Cela fait aussi partie de notre slogan. Lorsque nous avons ouvert l’hôtel Spitzhorn en décembre 2013, «la légèreté de l’être» a également trouvé son expression architecturale. En tant que chalet-hôtel, l’établissement ne choque pas et se fond harmonieusement dans l’un des plus beaux paysages alpins de Suisse. Les chalets enchantent parce qu’ils absorbent les couleurs et les formes de leur environnement rendant l’ensemble «léger». Quant à nos intérieurs, il a été difficile de laisser transparaître à l’intérieur l’esthétique très particulière du monde extérieur. Nos décorateurs d’intérieur ont créé une œuvre d’art étonnante. Les 50 chambres et les 110 lits de l’établissement offrent les meilleures vues sur la région. L’hôtel comprend aussi une salle de jeux pour les enfants, une cuisine saisonnière de brasserie dans le restaurant ainsi qu’une zone de bien-être, un fitness, une piscine, un sauna/bain à vapeur, de soins Kneipp et de massages. Pourquoi devrait-on se rendre au Saanenland? Nous voici sur la belle terrasse du Wintergarten, entourée de montagnes imposantes. L’une des plus belles s’appelle «le Spitzhorn». L’environnement est magnifique et la nature est magique. Il y a des gens qui paient beaucoup d’argent pour passer deux semaines de vacances au Saanenland. Nous avons le privilège de pouvoir vivre et travailler ici toute l’année. Ce que j’aime particulièrement dans le Saanenland, c’est la qualité de vie qui est très élevée. Nous nous trouvons dans un village sans feux de circulation, sans embouteillages, avec autant de vaches que d’habitants. Un petit village, mais très international. La qualité plutôt que la quantité. Saanen - Gstaad – my love. Pour plus d’informations et pour les réservations: www.spitzhorn.ch

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BRANDREPORT CHÂTEAUFORM’

Des vacances d’été exceptionnelles à la montagne Cet été, Châteauform’ ouvre les portes de ses chalets et garantit à ses visiteurs des vacances uniques et la découverte des bienfaits de la montagne.

Châteauform’ Les Chalets de Champéry

ès le 1er juillet 2020, pour la première fois, le groupe français leader européen dans l’organisation de séminaires, évènements et formations, permet la privatisation de ses châteaux en Europe pour les vacances d’été. En Suisse, les chalets du groupe, situés en Valais, favorisent la découverte des bienfaits de la montagne: Châteauform’ Les Chalets de Champéry et Châteauform’ Montagne Alternative. Châteauform’ propose une vingtaine de maisons en location privative à la semaine en Suisse, en Allemagne, en Italie, en France et en Espagne pour profiter de vacances en famille ou entre amis. Mer, montagne ou campagne, les couples d’hôtes qui gèrent les lieux laissent les clés de leur maison aux visiteurs afin que, cet été, ils puissent retrouver leurs proches en toute sécurité et intimité. Qu’il s’agisse de famille, d’amis ou de tous ceux que l’on souhaite retrouver, Châteauform’ met à disposition ses plus belles maisons. En Suisse, Alexandra Pruvost, responsable de la relation clients, souligne que: «Beaucoup de participants, suite à leur venue en séminaire, ont demandé à passer un séjour à titre privé dans nos maisons. Cette année, nous avons donc décidé de proposer ce type de séjour à la montagne. Une belle occasion de vivre une expérience en famille ou entre amis dans un cadre alpin saisissant d’authenticité,

propice à la déconnexion et à l’enchantement. Nous souhaitons que les vacanciers profitent des bienfaits de la montagne et de ses nombreuses activités pour les grands et les petits. Randonnées, canyoning, parapente, trottinette ou vélo de descente, escalade, via-ferrata, tennis, piscine, équitation, massage, yoga, il y en a pour tous les goûts! Passer ses vacances dans les maisons de Châteauform’ représente une bonne occasion pour profiter de l’air pur, des grands espaces, des paysages incroyables, mais aussi pour goûter aux produits locaux et pour partir pique-niquer dans les alpages. La montagne est un terrain de jeu grandeur nature!» Chalets authentiques de montagne, châteaux classés aux monuments historiques, forteresses médiévales, abbaye cistercienne ou encore palais baroques, le groupe propose une multitude de choix. Les maisons sont des demeures entourées de parcs verdoyants, des sites grandeur nature avec des terrains multisports propices aux activités d’extérieur mais aussi des espaces bien-être qui permettent de se relaxer et de se ressourcer en toute liberté: piscine, sauna, hammam, salle de fitness. Chaque maison dispose de lieux de convivialité où se retrouver en soirée pour une partie de billard, babyfoot, jeux vidéo ou karaoké. De quoi conjuguer l’utile à l’agréable afin de garantir une totale déconnexion.

Le tarif inclut la privatisation complète de la maison, l’accès à toutes les activités intérieures et extérieures, en fonction des maisons, un accueil chaleureux à l’arrivée et lors du départ par les couples d’hôtes, ainsi qu’une prestation ménage et blanchisserie deux fois par semaine. Selon les maisons, il est aussi possible d’inclure le Chef lors de la réservation. Fondateur et co-fondateur: Jacques Horovitz & Daniel Abittan L’histoire de Châteauform’ débute en 1987 avec la rencontre, lors d’un séminaire, de Jacques Horovitz et Daniel Abittan. Tous deux sont des visionnaires, des experts de la relation clients et des passionnés pour les aventures humaines. Ainsi nait une jolie histoire d’hommes, empreinte de respect, de fraternité et d’amitié. Un jour où Jacques Horovitz se plaint une nouvelle fois des lieux de réunion impersonnels qu’il est amené à fréquenter dans sa vie professionnelle, Daniel Abittan le prend au mot: «Chiche de faire mieux?». Il imagine alors des lieux de séminaire inédits, aux décors et à l’accueil chaleureux et personnalisé, exclusivement dédiés aux entreprises, et où les participants se sentiraient comme chez eux. Châteauform’ naît de cette belle idée: placer l’attention à l’autre et le sens du service au cœur de son activité, au sein d’une entreprise à la philosophie et au management humanistes.

Quel est le concept de Châteauform’? • Le concept se décline en quatre éléments fondateurs qui, ainsi réunis, font le succès du groupe. • Une collection de maisons: un patrimoine préservé comme décor pour les séminaires et événements. • Une innovation permanente pour de nouvelles façons de se réunir. • Un accueil personnalisé par un couple d’hôtes et son équipe. • Un chef et son équipe pour régaler les visiteurs tout au long de la journée. Châteauform’ Les Chalets de Champéry Nichée au cœur du Valais, dans le domaine des Portes du Soleil, la station de Champéry est très prisée en hiver pour le ski. En été, elle est une destination de choix pour tous les amateurs de vélo de descente ou le vaste panel d’activités en plein air, telles que la randonnée, le parapente, le canyoning, la via ferrata ou encore l’escalade. Des sensations fortes et une vue éblouissante sur les montagnes environnantes attendent les visiteurs. Châteauform’ Montagne Alternative Située à 1400m d’altitude, à la croisée de la Vallée d’Aoste, du massif du Mont Blanc et de la Vallée du Grand Saint Bernard, Montagne Alternative accueille les visiteurs dans un cadre saisissant d’authenticité, propice à la déconnexion et à l’inspiration. Avec les Chalets créatifs et intimistes, les visiteurs se sentent «comme à la maison». Imaginés comme des lieux de vie, ces espaces atypiques garantissent quelques jours en totale communion avec la nature. Envie de simplicité et de convivialité? Il est possible de suivre Meinrad dans le Carnotzet de la maison, la cave voûtée en pierre, et de déguster des produits régionaux, comme la véritable raclette au feu de bois au son des récits traditionnels!

Quelles sont les valeurs du groupe?

• L’amour du client • Apprendre toujours apprendre • Loyauté, honnêteté • L’esprit de famille • Pas d’attribution de la contribution • Oser, toujours oser • Rigueur et performance

Réservations +41 21 213 02 80 contact-ch@chateauform.com holidays.chateauform.com Châteauform’ Montagne Alternative

Devenir membre : paraplegie.ch

JE N’Y PEUX RIEN. STEPHAN

Cela peut arriver à n’importe qui. Une faute d’inattention d’un tiers peut changer radicalement votre vie. Nous aidons les para et tétraplégiques à rebondir. Vous aussi en cas de coup dur.

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