Si mon fils n’avait pas su me faire un massage cardiaque avant l’arrivée des secours, je ne serais pas là aujourd’hui. Il m’a sauvé la vie ! Christophe

Vous aussi, vous pouvez sauver des vies !


Si mon fils n’avait pas su me faire un massage cardiaque avant l’arrivée des secours, je ne serais pas là aujourd’hui. Il m’a sauvé la vie ! Christophe
Vous aussi, vous pouvez sauver des vies !
L’athlète le plus rapide du monde livre ses secrets pour rester en forme et transmettre l’amour du mouvement aux générations futures.
Philippe Schaller & Dorian Schaller
Le système de santé suisse traverse une zone de turbulences. Les primes explosent, les professionnels se raréfient, l’accès aux soins devient inégal. Ces tensions ne relèvent plus du seul débat d’experts : elles frappent chacun et chacune d’entre nous. Repenser l’organisation des soins est devenu un impératif politique et social. Et dans cette refondation, un levier majeur reste trop souvent ignoré : la première ligne de soins.
Médecins de famille, soins à domicile, infirmières, pharmaciens, physiothérapeutes, centres de santé de proximité : ces acteurs forment l’ossature d’un système au service des besoins réels de la population. Présents sur le terrain, enracinés dans les territoires, ils prennent en charge l’essentiel des problèmes de santé, orientent, accompagnent, préviennent. Les données sont claires : les systèmes fondés sur une première ligne forte garantissent un meilleur accès, une qualité plus homogène et une gestion plus rationnelle des ressources. Et pourtant, ce socle se fissure. Faute de reconnaissance, de financement et de vision stratégique, la première ligne reste marginalisée.
La LAMal, centrée sur le remboursement d’actes individuels, ne permet pas de piloter une politique de santé publique cohérente. Elle perpétue un
système soumis aux logiques de marché, où la rentabilité – encouragée par une tarification à l’acte favorable aux gestes techniques – prime sur la prévention, la coordination et la relation humaine. Les spécialités de première ligne sont peu valorisées, les vocations se raréfient, les soignants s’épuisent.
L’équilibre du système tout entier vacille. Mais des alternatives concrètes émergent. À Genève, des projets comme le réseau de soins intégrés, la possible caisse cantonale publique ou les maisons de santé
territorialisées ouvrent une autre voie. Ces initiatives s’appuient sur une gouvernance souple, ancrée dans les réalités locales, et défendent des missions essentielles : soins primaires, prévention et accessibilité. Ces initiatives montrent qu’un autre modèle est possible, à condition de choix politiques forts.
Redéfinir les valeurs du système – équité, solidarité, qualité – ne se décrète pas. Cela suppose de reconstruire avec les patients, les professionnels et les cantons.
L’État ne peut plus rester spectateur : il doit garantir l’organisation des soins de base et soutenir une gouvernance partagée, proche du terrain, juste et efficace.
Le Réseau Delta, plus grand réseau de soins de Suisse romande, s’engage dans cette transition. En misant sur la coopération entre soignants, assureurs et autorités, il défend une santé centrée sur la personne et non les chiffres. Soutenir la première ligne, c’est faire un choix politique : celui d’un système plus humain, plus accessible, plus durable.
Texte Philippe Schaller Fondateur, Réseau Delta & Dorian Schaller, Président du conseil d’administration, Réseau Delta
Contenu.
04 Santé et prévention
08 Impact positif : animal et santé mentale
10
Interview : Usain Bolt
16 Les secrets de l’intestin
18 Prendre soin de sa peau
22 Art thérapie
Focus Santé
Chef de projet
Félix Minla
Responsable national
Pascal Buck
Rédactrice en chef Romandie
Laurane Saad
Responsable graphique
Mathias Manner
Graphiste
Marie Geyer
Journalistes
Adriana Clemente, Océane Ilunga, SMA, Léa Stocky
Image de couverture
Sport In Pictures / Alamy Stock Foto
Canal de distribution
Tribune de Genève et 24Heures
Imprimerie DZB Druckzentrum Bern
Smart Media Agency. Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Schweiz Tel +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss
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Lorsque Marco remarqua qu’il n’avait plus goût aux activités sociales ces derniers temps, il comprit que sa perte auditive avait changé bien plus que ses oreilles. Si vous avez l’impression que votre audition ou celle d’une personne de votre entourage a changé, il est alors grand temps de la faire examiner – et de tester les possibilités que peuvent offrir des appareils auditifs.
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Pour le bien de vos oreilles.
En tant que parents, nous faisons tout pour assurer la santé et le bien-être de nos enfants. Mais que se passerait-il si nous pouvions faire encore un pas supplémentaire pour protéger leur avenir ? La conservation de cellules souches provenant du sang et du tissu du cordon ombilical de votre bébé, ou même des dents de votre enfant, offre une possibilité unique d’assurer la santé de votre famille à long terme.
Les cellules souches ont la capacité étonnante de se régénérer et de réparer les tissus endommagés. Elles sont déjà utilisées pour traiter la leucémie, les pathologies immunitaires et certaines maladies génétiques. De plus, la médecine explore progressivement de nouvelles possibilités d’application dans la médecine régénérative, par exemple pour les maladies cardiaques, le diabète et les maladies neurologiques.
Il existe deux manières essentielles de conserver des cellules souches pour votre famille :
1. Le stockage du sang et du tissu du cordon ombilical :
Le sang et le tissu du cordon ombilical prélevés directement après la naissance contiennent de précieuses cellules souches qui peuvent être utilisées dans de futurs traitements médicaux pour votre enfant ou même pour d’autres membres de votre famille. Ce processus est sûr, sans douleur et a lieu immédiatement après l’accouchement.
2. Le stockage des cellules souches provenant des dents :
Les dents de lait et les dents d’adulte contiennent des cellules souches mésenchymateuses qui ont
le potentiel de se développer en différents types de tissus, notamment les os, le cartilage et les cellules nerveuses. En stockant ces cellules, les familles peuvent obtenir une ressource précieuse qui pourrait être utilisée dans les années à venir pour des traitements régénératifs.
En choisissant un fournisseur sérieux pour le stockage de cellules souches, vous vous assurez que ces précieuses cellules resteront viables si jamais votre famille en a besoin. Avec les progrès de la recherche
médicale, les possibilités d’application de la thérapie par cellules souches s’élargissent constamment, ce qui fait de cet investissement une décision pour le futur. Permettre à votre famille d’accéder à ses cellules souches pourrait un jour faire la différence entre une maladie grave avec des options de traitement limitées et un outil de traitement efficace. Dans un monde incertain, le stockage de cellules souches peut contribuer à garantir la santé future de votre famille - car rien n’est plus précieux que la santé.
Le stockage de cellules souches peut contribuer à garantir
la santé future de votre famille.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la manière dont la conservation de cellules souches peut bénéficier à votre famille, veuillez scanner le code QR :
Stockage des cellules souches
Un cadeau pour votre enfant pour toute une vie !
Si nous associons volontiers le vieillissement à l’amélioration du vin, il est rare que nous en ayons une perception aussi positive pour nous-mêmes. Vieillir évoque souvent des douleurs chroniques, une vue qui baisse ou des cheveux ternes. Pourtant, ce processus naturel et inéluctable peut être ralenti et, dans une certaine mesure, maîtrisé. Si certains facteurs, comme notre hérédité, sont hors de notre contrôle, des décisions éclairées et des mesures préventives peuvent favoriser un vieillissement en bonne santé.
La complexité du vieillissement
Vieillir ne se résume pas à voir le temps passer. Ce processus englobe de nombreux changements biologiques affectant nos capacités d’adaptation et de régénération. Au fil des années, la communication entre les cellules diminue, les réserves de cellules souches s’amenuisent et le stress oxydatif altère le bon fonctionnement de nos organes. Stress oxydatif et inflammation
L’un des principaux responsables du vieillissement cellulaire est le stress oxydatif, dû à l’accumulation de radicaux libres et d’ions oxygénés. Ceux-ci endommagent les cellules et peuvent entraîner des dysfonctionnements. De plus, le stress oxydatif est souvent accompagné d’inflammations chroniques, nuisibles à notre santé. Heureusement, certains aliments riches en antioxydants et en composés antiinflammatoires, comme le thé vert, l’églantier ou encore la grenade, peuvent aider à contrer ces effets néfastes.
La ménopause et ses impacts
La ménopause est une étape naturelle de la vie des femmes, souvent accompagnée de symptômes tels
que des bouffées de chaleur, des sautes d’humeur ou une prise de poids. Les troubles du sommeil qui en découlent peuvent considérablement affecter le bien-être psychologique. Pour atténuer ces effets, des composés végétaux appelés phytoöstrogènes, similaires aux oestrogènes naturels du corps, peuvent être intégrés à l’alimentation. Le soja et ses dérivés (tofu, lait de soja), ainsi que les graines de lin, les pois chiches et les céréales complètes en sont d’excellentes sources.
Un système immunitaire robuste
Le système immunitaire est un pilier fondamental de la santé à tous les âges. Pour le maintenir efficace face aux agressions extérieures, il est essentiel de veiller à un apport optimal en vitamines :
Vitamine C : essentielle au bon fonctionnement du système immunitaire, elle protège aussi les cellules du stress oxydatif et réduit la fatigue.
– Vitamines B : elles jouent un rôle central dans de nombreux processus cellulaires et sont indispensables au bon fonctionnement du système nerveux et immunitaire.
– Vitamine D : surnommée « vitamine du soleil », elle est en grande partie synthétisée par la peau sous l’effet des UV. Indispensable à la régulation des réponses immunitaires, elle prévient également certaines maladies auto-immunes.
Prendre soin des os et des articulations Avec l’âge, le maintien de la santé osseuse devient un enjeu majeur. Un apport suffisant en calcium,
magnésium, zinc et vitamine K permet de préserver la densité osseuse et de réduire le risque d’ostéoporose. Ces nutriments se trouvent dans les produits laitiers, les légumes à feuilles vertes, les fruits à coque, les graines et les poissons gras.
Mais l’alimentation ne fait pas tout : l’exercice physique, en particulier la musculation et les activités sollicitant le squelette, favorise l’équilibre et la souplesse du système locomoteur.
Conserver sa masse musculaire
La sarcopénie, qui correspond à la perte progressive de masse et de force musculaire, peut compromettre la mobilité et la qualité de vie. Pour la limiter, il est crucial d’intégrer des exercices de résistance et une alimentation riche en protéines. Les besoins en protéines augmentent avec l’âge, ce qui peut justifier la consommation de compléments en poudre. La créatine, naturellement présente dans les muscles, joue également un rôle clé dans leur maintien, surtout en association avec une activité physique régulière. De plus, les oméga-3 aident à lutter contre l’inflammation et favorisent la régénération musculaire.
Bien vieillir, une question d’équilibre
Le vieillissement est un phénomène naturel que l’on ne peut éviter. Toutefois, en adoptant une alimentation équilibrée, en pratiquant une activité physique régulière et en apportant à notre corps les nutriments dont il a besoin, il est possible de ralentir ce processus et de profiter d’une vie longue et épanouissante. À votre santé !
Texte Adriana Clemente
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Infos et inscriptions
Organiser ses obsèques à l’avance permet de soulager ses proches et de s’assurer que ses volontés seront respectées. Mais comment les préparer en toute sérénité, en prenant des décisions éclairées ? Financement, impact écologique et démarches à suivre, Sophie Bedoian, directrice Pompes Funèbres Générales Genève SA nous éclaire sur les solutions proposées avec Azur Prévoyance Funéraire SA.
Sophie Bedoian Directrice, Pompes Funèbres Générales Genève
Quels sont les principaux éléments à anticiper lorsqu’on souhaite organiser ses obsèques à l’avance ?
C’est une démarche personnelle qui peut sembler difficile, mais elle est avant tout un acte d’amour envers ses proches. C’est tout d’abord réfléchir à ses souhaits et les consigner dans un contrat. On peut aussi y préciser ce que l’on ne souhaite pas. La première décision concerne le mode de sépulture : inhumation ou crémation. Ensuite, il faut envisager le type de cérémonie souhaitée, religieuse ou laïque. Elle n’est pas obligatoire, on peut préférer un simple temps de recueillement pour les proches.
On peut également préciser les détails comme le choix des musiques pendant la cérémonie, des fleurs, ou encore la tenue que l’on portera. Il est aussi important de réfléchir à la présentation du corps avant la cérémonie. Souhaite-t-on une mise en bière immédiate ou une veillée funéraire ? Nous pouvons aussi rédiger avec le client l’avis mortuaire qui paraîtra dans le journal. Cependant, c’est un exercice émotionnellement difficile, nous conseillons plutôt de laisser la famille l’écrire.
Tous ces éléments soulagent les proches au moment venu en leur évitant d’avoir à prendre ces décisions dans un moment de deuil. Cependant, il est aussi
Le financement des obsèques est une question cruciale. Comment fonctionne la prévoyance funéraire et quelles garanties offrez-vous ?
Nos contrats permettent de financer ses obsèques à l’avance en toute sécurité. Azur Prévoyance Funéraire est une société anonyme, dont l’unique but est la gestion des contrats de prévoyance et des fonds qui lui sont confiés, pour garantir la bonne exécution des volontés des contractants. Il est donc important que les capitaux placés soient garantis. Les fonds versés sont gérés par des institutions financières helvétiques. Nous optons pour des placements sécurisés, exclusivement en francs suisses, ce qui garantit leur disponibilité le moment venu. Contrairement à d’autres modèles, l’argent du contrat n’est pas intégré à la trésorerie d’une entreprise de pompes funèbres, qui pourrait l’utiliser comme une trésorerie. Cela élimine tout risque financier.
Le paiement peut s’effectuer en une seule fois ou en plusieurs mensualités, jusqu’à 24 versements. En cas d’annulation du contrat, l’intégralité de la somme est restituée, après déduction des frais d’annulation en vigueur.
Qui peut souscrire un contrat et dans quelles régions intervenez-vous ?
Nos contrats de prévoyance sont accessibles à toute personne qui souhaite organiser ses funérailles à Genève, Fribourg ou Neuchâtel. En cas de déménagement dans une autre région, le contrat reste valide, tant que les volontés funéraires ne changent pas.
Par ailleurs, à Genève et à Plan-les-Ouates, les funérailles sont gratuites pour tous les résidents. Cela peut constituer un véritable avantage pour ceux qui résident dans ces communes. Depuis peu, la commune de Bellevue offre une participation financière aux obsèques de ses résidents.
L’écologie est un enjeu croissant,
en pin 100 % biodégradables, des urnes écologiques en matière recyclable, en céramique ou en carton, ainsi que des capitons en coton biologique. Nous conseillons aux familles de ne pas prévoir de chaussures. Nous faisons retirer les pacemakers lors des mises en terre et des incinérations (de toute façon obligatoire) pour limiter la pollution. Les soins de conservation, considérés comme polluants (bien qu’ils ne le soient pas plus qu’une paire de chaussures), ne sont jamais imposés. Nous privilégions des matériaux respectueux de l’environnement, alliant confort et durabilité.
Le cimetière de Châtelaine va bientôt ouvrir un espace dédié aux sépultures écologiques, avec des critères spécifiques comme le choix de vêtements funéraires plus respectueux de l’environnement. L’évolution des pratiques est une réalité et nous accompagnons nos clients dans cette démarche.
Qu’en est-il des innovations funéraires ?
D’autres modes de sépulture, plus écologiques, sont-ils envisagés en Suisse ?
Nous suivons de près les nouvelles pratiques respectueuses de l’environnement. Pour l’heure, en Suisse, les obsèques se limitent encore à l’incinération ou l’inhumation. Mais à l’avenir, des alternatives écologiques pourraient apparaître sur le marché comme l’humusation (compostage du corps) et l’aquamation (dissolution dans une solution alcaline). Celles-ci restent pour l’instant encore à l’étude. La législation suisse devra évoluer avant leur mise en place. À ce jour, l’aquamation est autorisée au Canada, dans certains États américains, en Australie et en Grande-Bretagne.
Les clients sont-ils réellement demandeurs d’options écologiques ? Indéniablement. Depuis plus de 20 ans, nous observons une demande croissante et continue pour
Beaucoup de familles nous interrogent sur les cercueils en carton. Ils ne sont pas encore autorisés à Genève. Contrairement aux idées reçues, ils sont actuellement plus polluants qu’un cercueil en bois, en raison des matières utilisées, notamment les colles qui contiennent des solvants. Ils sont aussi plus coûteux, et le temps de crémation est plus long. Mais avec les nouvelles technologies, le cercueil en carton pourrait être commercialisé un jour.
Comment souscrire un contrat de prévoyance funéraire ?
C’est très simple : il suffit de prendre rendez-vous, par téléphone ou via notre site internet, pour échanger ensemble sur votre projet. Le rendez-vous est gratuit et sans engagement. Nos conseillers sont là pour apporter tout l’accompagnement et les conseils nécessaires, avec empathie et bienveillance. Peu importe le nombre de rendez-vous. L’essentiel pour nous est que les personnes puissent organiser leurs obsèques en toute sérénité. Si elles ne peuvent pas se déplacer, nous venons à domicile. Il faut prendre le temps de la réflexion. Quand vous serez prêts, nous serons là pour vous.
Témoignage
Un poids en moins pour mes enfants « J’ai perdu mon épouse il y a dix ans. À l’époque, organiser ses obsèques a été une épreuve, tant sur le plan émotionnel que financier. J’ai dû prendre des décisions difficiles dans l’urgence, alors que j’étais en plein deuil. Je ne veux pas que mes enfants vivent la même chose. J’ai souscrit un contrat de prévoyance il y a trois ans. J’ai choisi une crémation avec une cérémonie simple, et j’ai pu préciser des détails qui me tiennent à cœur, comme la musique qui sera jouée. Maintenant, je suis serein. Je sais que mes enfants n’auront pas à gérer tout cela et qu’ils pourront simplement se
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Comment les technologies modernes soutiennent les personnes âgées, soulagent les proches et stabilisent le système de santé.
n Suisse, de plus en plus de personnes âgées souhaitent rester dans leur environnement familier, même à un âge avancé. Ce besoin de vivre le plus longtemps possible chez soi s’est encore renforcé depuis la pandémie de Covid-19. Les expériences difficiles vécues en établissement – isolement social, taux de mortalité élevés, restrictions massives – ont mis en évidence à quel point l’environnement habituel est essentiel au bien-être physique et psychique des personnes.
Dans le même temps, les coûts liés à une place en maison de retraite ou en EMS sont considérables : jusqu’à CHF 8700.– par mois en moyenne, dont environ 42 % doivent être pris en charge de manière privée – généralement par les personnes concernées ou leurs proches. Ce fardeau financier est non seulement ressenti à titre individuel, mais il représente aussi un défi de taille pour les cantons et les communes. Ce désir d’autonomie, combiné à un besoin croissant de sécurité, conduit à un intérêt marqué pour les solutions technologiques – en particulier pour les systèmes d’alarme modernes, simples, fiables et discrets. Du bouton rouge au compagnon intelligent Fini les appareils encombrants avec de gros boutons rouges au poignet. Les systèmes d’alarme actuels – sous forme de montre, de médaillon ou de bouton – offrent une sécurité mobile, discrète, avec ou sans GPS, qui s’intègre aisément dans la vie quotidienne. Une simple pression ou une détection automatique de chute suffit pour déclencher une alarme – avec une connexion directe aux proches, à un service d’aide ou à une centrale d’appel d’urgence professionnelle.
« Une chute dans la salle de bain ou un malaise dans la cuisine ne doit pas nécessairement bouleverser une vie. Ce qui compte, c’est la rapidité d’intervention. Car la durée pendant laquelle une personne reste au sol détermine souvent l’issue », explique Rolf Bona, CEO de SmartLife Care.
Autonomie à tout âge –sans surveillance intrusive Un avantage essentiel : il n’y a pas de surveillance permanente. Les utilisatrices et utilisateurs décident eux-mêmes qui doit être contacté en cas d’urgence –ce qui leur permet de garder le contrôle. Pour de nombreuses personnes âgées, le fait de ne pas être constamment observées représente un élément fondamental de dignité et d’indépendance.
La technologie reste ainsi en arrière-plan, agissant comme un soutien discret, rassurant mais non intrusif. Elle devient un compagnon silencieux du quotidien – favorisant la mobilité, la confiance en soi et la qualité de vie.
3,4 années de plus à domicile –au lieu d’un établissement
Une analyse longitudinale de SmartLife Care le montre : les personnes équipées d’un système d’alarme n’entrent en EMS qu’à l’âge moyen de 88,3 ans – soit 3,4 ans plus tard que la moyenne suisse (84,9 ans). Chez les hommes, l’écart atteint même près de 4,5 ans.
Ce gain d’années vécues à domicile ne se traduit pas seulement par une meilleure qualité de vie, mais aussi par des économies substantielles : un report de 3,5 ans de l’entrée en institution permet d’économiser plus de CHF 150 000.– en frais de soins – pour les individus comme pour les collectivités publiques qui doivent couvrir les coûts résiduels.
La chute comme tournant –le temps de réaction, un facteur clé Chaque année, environ 80 000 personnes de plus de 65 ans sont victimes d’un accident en Suisse – le
plus souvent à la suite d’une chute. Ces accidents représentent 83 % des hospitalisations pour blessures chez les aînés. La situation devient critique si la personne ne peut plus appeler à l’aide et reste longtemps au sol – on parle alors de « long lie ».
Dès une heure d’immobilité, des complications graves peuvent survenir : déshydratation, escarres, fonte musculaire, infections ou délire. Les études montrent que des durées de « long lie » supérieures à une heure augmentent sensiblement la mortalité –même en cas de blessures initialement légères.
Un système d’alarme peut faire ici toute la différence : il réduit considérablement le temps de réaction, garantit une aide rapide – et évite qu’un accident ne devienne un tournant irréversible.
Des partenariats qui créent la confiance
La technologie seule ne suffit pas – son intégration dans un réseau fonctionnel est décisive. SmartLife
Care travaille en étroite collaboration avec des organisations suisses reconnues telles que Spitex Suisse, Pro Senectute, Securitas et Helvetia. Ensemble, elles veillent à ce que les personnes âgées – quel que soit leur environnement social – puissent bénéficier d’une aide fiable dans tout le pays.
Pour les personnes isolées ou sans proches, cet accès structuré représente un filet de sécurité rassurant – disponible partout, à tout moment.
Conclusion : une technologie qui soulage –et prolonge la vie
Les systèmes d’alarme ne remplacent pas les soins, mais ils les complètent intelligemment. Ils permettent de vivre plus longtemps de manière autonome à domicile, réduisent les risques, rassurent les proches et allègent la pression sur le système de santé.
Dans une société vieillissante, où le nombre de personnes âgées de plus de 80 ans aura doublé d’ici 2040, ces solutions ne sont pas un luxe –mais une nécessité. Elles conjuguent les besoins humains au progrès technologique – pour un vieillissement digne, en sécurité et en liberté.
À propos de SmartLife Care
SmartLife Care est le leader suisse des solutions d’alarme personnelle. L’entreprise, initialement lancée par Swisscom, fait aujourd’hui partie du groupe Helvetia.
Avec plus de 40 000 utilisatrices et utilisateurs actifs, des partenariats exclusifs avec Spitex Suisse et Pro Senectute, ainsi que de nombreuses distinctions – dont le Red Dot Design Award et plusieurs German Innovation Awards – SmartLife Care incarne l’innovation, la qualité et la confiance au quotidien des personnes âgées.
Plus d’informations :
Hotline : 0848 65 65 65
Tous les jours de 6h30 à 20h smartlife-care.ch
Les animaux de compagnie ne sont pas seulement des compagnons fidèles, ils jouent également un rôle fondamental dans notre équilibre psychologique. De la réduction du stress à l’amélioration des interactions sociales, en passant par le soutien dans les moments de détresse, les bienfaits des animaux sur la santé mentale sont de plus en plus reconnus par la science. Tour d’horizon de cette relation unique entre l’Homme et l’animal.
Un amour inconditionnel et sans jugement
L’une des raisons majeures pour lesquelles les animaux de compagnie nous font tant de bien est leur absence totale de jugement. Comme l’expliquait le pédopsychiatre Boris Levinson, un animal accepte son maître tel qu’il est, sans attentes ni exigences. Contrairement aux relations humaines souvent complexes, les liens que nous entretenons avec nos animaux sont simples et authentiques. Cette acceptation inconditionnelle renforce l’estime de soi et procure un sentiment de sécurité et de bien-être.
Un soutien précieux contre la dépression et l’isolement
Les personnes souffrant de dépression ou de solitude trouvent souvent un soutien inestimable dans la
d’utilité et aidant à sortir de l’immobilisme. De plus, les promenades avec un chien encouragent les interactions sociales, offrant ainsi des opportunités de rencontre qui peuvent briser l’isolement.
Un impact positif sur les enfants et les troubles neurologiques
L’interaction avec un animal peut avoir un effet très bénéfique sur les enfants, notamment ceux souffrant de troubles de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou du spectre autistique. Jouer avec un animal apaise et canalise l’énergie, tout en inculquant un sens des responsabilités. L’animal devient un repère stable, une source de confiance et de valorisation pour l’enfant, qui se sent utile et apprécié.
La médiation animale, ou thérapie assistée par les animaux, gagne du terrain dans les structures de soins.
Dans les hôpitaux, les maisons de retraite et les centres spécialisés, ces interventions permettent de réduire l’anxiété, d’améliorer la communication et de stimuler les fonctions cognitives. Par exemple, l’équithérapie, qui repose sur l’interaction avec les chevaux, est particulièrement efficace pour les enfants atteints de troubles du spectre autistique. De même, la présence d’un chien d’assistance peut apaiser les crises d’angoisse chez les personnes souffrant de stress post-traumatique.
nager, entendre le ronronnement d’un félin… toutes ces interactions activent des réponses biologiques qui favorisent la détente. Elles augmentent la production de sérotonine et de dopamine, les neurotransmetteurs du bien-être, tout en diminuant le taux de cortisol, l’hormone du stress. L’effet apaisant des animaux est si puissant que certaines méthodes thérapeutiques, comme la zoothérapie, sont de plus en plus employées dans des établissements de santé.
Le deuil et la reconstruction émotionnelle
Perdre un animal est une épreuve douloureuse, parfois le premier contact d’un enfant avec la notion de deuil. Cette expérience, bien que difficile, peut être une opportunité d’apprentissage et de résilience. Par ailleurs, dans le cas d’un deuil humain,
La nature et les animaux sauvages : une source de sérénité
Au-delà des animaux domestiques, le simple contact avec la nature et la faune sauvage peut avoir des effets apaisants. Observer des oiseaux, écouter le bruit d’une rivière ou se promener en forêt permet de se reconnecter au moment présent et d’apaiser l’esprit. Des études en psychologie environnementale montrent que les personnes vivant à proximité d’espaces verts peuplés d’animaux ressentent moins de stress et affichent une meilleure santé mentale que celles évoluant en milieu urbain dense. Certaines initiatives encouragent cette connexion avec la nature, comme les fermes thérapeutiques ou les refuges où l’on peut interagir avec des animaux dans un cadre apaisant. Ces
En Suisse romande, la neurologie vétérinaire progresse grâce à des centres de référence comme Vetmidi à Etoy et VetGenève au cœur de Genève. Avec des infrastructures de pointe, dont un Centre d’imagerie équipé d’une IRM et d’un scanner à Etoy, les Drs François Liebel et Kali Lazzerini, spécialistes en neurologie vétérinaire, offrent une prise en charge unique des pathologies neurologiques chez les chiens et les chats. Le Centre VetGenève sera lui aussi équipé d’une IRM dès cet été. Ces centres garantissent un suivi 7j/7 et 24h/24, ainsi qu’un accompagnement personnalisé. Rencontre avec ces deux spécialistes passionnés, parmi les rares établis en suisse romande.
Dr Kali Lazzerini
Spécialiste en neurologie vétérinaire
Diplômée de l’ECVN, Spécialiste Européenne reconnue par l’EBVS® et le RCVS
Dr François Liebel
Spécialiste en neurologie vétérinaire
Spécialiste reconnu par l’EBVS® et le RCVS
Kali Lazzerini, François Liebel, pourriez-vous vous présenter respectivement ? François Liebel : Je suis vétérinaire spécialiste en neurologie et neurochirurgie. Après mes études en France, j’ai poursuivi une formation approfondie en travaillant aux États-Unis et en Angleterre, où j’ai effectué une résidence de spécialisation européenne en neurologie vétérinaire. Cela fait plus de 15 ans que je me consacre exclusivement à cette discipline, couvrant les aspects médicaux et chirurgicaux des maladies du système nerveux chez les animaux de compagnie.
Kali Lazzerini : J’ai grandi en France et j’ai effectué mes études vétérinaires en Allemagne. Passionnée par la neurologie depuis toujours, j’ai poursuivi un doctorat sur cette thématique avant d’intégrer l’Université de Glasgow pour une résidence de spécialisation européenne en neurologie et en neurochirurgie. J’ai ensuite exercé comme spécialiste à l’Université de Bristol avant de rejoindre Vetmidi à Etoy et VetGenève.
Quels sont les troubles neurologiques les plus fréquents chez les chiens et les chats ? Les pathologies les plus courantes en neurologie vétérinaire incluent l’épilepsie, qui provoque des crises convulsives et nécessite un diagnostic précis pour en déterminer la cause, qu’elle soit primaire ou secondaire. Les hernies discales, fréquentes chez les races prédisposées comme les teckels ou les bouledogues français, peuvent entraîner une paralysie soudaine nécessitant une prise en charge rapide. Les troubles de l’équilibre, quant à eux, peuvent être liés à une infection de l’oreille interne ou à une atteinte cérébrale. Enfin, les fractures vertébrales, souvent causées par des accidents, requièrent parfois une intervention chirurgicale complexe pour préserver la mobilité de l’animal.
Quels sont les signes qui doivent alerter un propriétaire et l’inciter à consulter ?
Plusieurs signes. Parmi ceux-ci, on retrouve :
– Les crises convulsives, qui sont souvent un indicateur de troubles neurologiques importants.
– Une paralysie partielle ou totale, qu’elle touche les membres ou d’autres parties du corps, est également un signe inquiétant.
– Une perte d’équilibre soudaine, rendant l’animal instable ou incapable de se tenir debout, est un autre symptôme qui mérite une consultation.
– Enfin, des changements de comportement, comme des épisodes de tournis, un animal bloqué dans un coin ou une agitation inexpliquée, doivent également alerter les propriétaires.
Comment a évolué la neurologie vétérinaire ces dernières années ?
La neurologie vétérinaire a beaucoup évolué ces dernières années grâce aux avancées technologiques. L’IRM et le scanner permettent des diagnostics précis, améliorant ainsi les traitements. Des techniques comme l’impression 3D pour la planification chirurgicale peuvent faciliter certaines interventions complexes. La collaboration entre spécialistes s’est également renforcée, facilitée par des réseaux internationaux. Enfin, les tests génétiques offrent une méthode non invasive pour confirmer certains diagnostics.
Quelles sont les spécificités des consultations en neurologie à Vetmidi Etoy et VetGenève ?
Nous mettons un point d’honneur à offrir une prise en charge rapide et de qualité. Chaque consultation dure environ une heure, ce qui nous permet d’écouter les propriétaires, d’examiner l’animal et d’analyser les examens précédents. Grâce à notre Centre d’Imagerie médicale vétérinaire à Etoy, nous réalisons des IRM et des scanners en quelques jours seulement. Nous assurons également une surveillance en continu 24h/24 et 7j/7 des animaux hospitalisés, avec l’aide de notre partenaire spécialisé dans la prise en charge des urgences qui prend le relais sur place.
Par ailleurs, nous collaborons étroitement avec les vétérinaires locaux. Ils nous réfèrent des patients pour des investigations ou des chirurgies, puis reprennent le suivi. Souvent, nous connaissons déjà les patients avant même de les voir en consultation, car les vétérinaires nous envoient des emails pour discuter de leurs patients en amont. Cette collaboration nous permet de bien préparer les consultations et d’offrir un suivi optimal.
La neurologie vétérinaire est encore peu connue du grand public. Quels messages souhaitez-vous transmettre aux propriétaires d’animaux ?
Nous voulons rappeler que les troubles neurologiques ne sont pas une fatalité. Avec une prise en charge rapide et un diagnostic précis, beaucoup d’animaux retrouvent une qualité de vie satisfaisante. L’accès à des spécialistes en Suisse romande évite d’avoir à se déplacer jusqu’à Berne ou à Zurich pour obtenir des soins de pointe.
Il y a constamment l’apparition de nouvelles maladies. À quelle fréquence en découvre-t-on et pourquoi ?
Chaque année, une à deux nouvelles maladies génétiques sont identifiées et publiées, illustrant l’évolution rapide du domaine. Ce que l’on considérait autrefois comme une seule maladie se révèle souvent être plusieurs maladies distinctes, nécessitant une meilleure classification.
Notre travail repose sur une veille constante : lecture de publications scientifiques, participation à des congrès, échanges avec nos confrères et consœurs et mise à jour des connaissances grâce à des journaux vétérinaires spécialisés. Cela nous permet d’adapter nos pratiques et d’améliorer la prise en charge des animaux.
Récemment, une collaboration internationale nous a permis d’identifier un phénomène nouveau et préoccupant : nous avons observé des animaux présentant des troubles inhabituels comme des crises de panique, des aboiements répétés, une incapacité à reconnaître leurs propriétaires, et des crises convulsives sévères. Ce phénomène inquiétait particulièrement les propriétaires face à des comportements imprévisibles de leurs compagnons. Une enquête a permis de suspecter une intoxication alimentaire liée à une marque spécifique d’os à mâcher pour chiens. Des recherches sont toujours en cours pour identifier précisément le contaminant.
Quels sont les avantages d’un centre équipé d’une IRM vétérinaire ?
L’un des principaux avantages est la rapidité des examens d’imagerie avancée. Notre IRM 1.5 Tesla permet un diagnostic précis en un temps réduit.
Notre centre dispose également d’un scanner et d’un appareil d’échographie de dernière génération. Nous combinons ces techniques pour affiner les diagnostics. En cas de besoin, une intervention chirurgicale peut être réalisée immédiatement sur place après l’examen, ce qui optimise la prise en charge des urgences.
L’approche pluridisciplinaire du réseau Swissvet Group, avec la collaboration de neurologues, chirurgiens, ophtalmologistes et spécialistes en médecine interne, permet de garantir une prise en charge optimale pour nos patients.
En quoi l’IRM et le scanner révolutionnent-ils le diagnostic des pathologies ?
Le scanner est utile pour les pathologies osseuses, tandis que l’IRM est idéale pour les tissus mous comme la moelle épinière et le cerveau. Dans certains cas, ces deux techniques sont complémentaires. L’IRM permet de détecter tous les types d’hernies discales ainsi que des maladies invisibles au scanner. Elle est particulièrement utile pour diagnostiquer des AVC, des inflammations, infections, et tumeurs cérébrales ou médullaires. L’IRM utilise un champ magnétique puissant et ne nécessite pas de rayons X, ce qui la rend totalement sûre.
Quels conseils donneriez-vous aux propriétaires d’animaux souffrant de troubles neurologiques ?
Il est important de consulter rapidement, même si cela peut effrayer. Obtenir un avis auprès de son vétérinaire traitant ou d’un spécialiste peut révéler que certaines pathologies, bien que graves en apparence, ont un bon pronostic avec un traitement adapté. Il ne faut pas prendre de décision trop hâtive sans toutes les informations nécessaires, notamment chez les animaux âgés, où certains propriétaires envisagent une fin de vie prématurée pensant qu’il n’y a pas d’options. Il existe des solutions à explorer ensemble. Un conseil utile : filmer son animal lorsqu’il présente des symptômes inhabituels. Peu de propriétaires y pensent, mais cela aide énormément, car certains comportements neurologiques sont difficiles à observer en consultation. Cela permet d’affiner le diagnostic et peut réellement transformer la prise en charge de certaines pathologies.
Interview Océane Ilunga
L’aventure de Huascar... Une histoire qui finit bien ! Un cas marquant est celui de Huascar, un petit chien de 14 ans qui ne pouvait plus marcher du jour au lendemain. Son âge nous inquiétait, et nous avons d’abord suspecté une hernie discale nécessitant une chirurgie. L’IRM a révélé une hernie discale particulière, non déshydratée, qui pouvait se résorber d’elle-même, évitant ainsi l’intervention chirurgicale. En quatre à cinq jours, Huascar a retrouvé une mobilité presque normale et vit désormais pleinement. Sans l’IRM, un diagnostic moins précis aurait pu mener à une chirurgie inutile, voire à une décision d’euthanasie de la part des propriétaires, pensant que leur chien n’avait plus d’espoir. Ce cas montre l’importance de l’expertise neurologique et de l’imagerie médicale de pointe.
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Vetmidi Etoy
Centre de référés & Centre d’imagerie Rte de Buchillon 1, 1163 Etoy 021 802 82 82 etoy.vetmidi.com
VetGenève
Centre vétérinaire
Rue Sigismond-Thalberg 6, 1201 Genève 022 715 20 20 centrevetgeneve.ch
Passer de l’athlète le plus rapide du monde à une vie sans compétition est un défi que peu de champions relèvent avec autant d’aisance. Mais être en forme ne se résume pas à franchir une ligne d’arrivée en premier : c’est un équilibre entre discipline, plaisir et écoute du corps.
Derrière les records et les médailles, Usain Bolt, ancien sprinteur, a dû apprivoiser le temps, repenser son entraînement et trouver de nouvelles sources de motivation. Il nous livre ici ses secrets pour rester en bonne santé, conserver son énergie et transmettre l’amour du mouvement aux générations futures.
Usain Bolt, en repensant à votre carrière, quels éléments clés vous ont permis de rester au sommet pendant tant d’années ? Cela a été un mélange de talent, de travail acharné et de motivation. Je me suis fixé des objectifs ambitieux et j’ai travaillé sans relâche pour les atteindre. Mon rêve était de devenir une légende du sport, et pour y parvenir, il fallait non seulement gagner, mais répéter cet exploit sur les plus grandes scènes, comme les Jeux Olympiques et les Championnats du monde. C’est cette constance au plus haut niveau qui m’a permis de marquer l’histoire de l’athlétisme.
Comment gériez-vous la prévention des blessures et la récupération afin de maintenir vos performances optimales ? La blessure a été mon plus grand adversaire. Quand j’étais en pleine forme et en bonne santé, je savais que j’allais remporter chaque course. Mais l’entraînement intensif et les compétitions de haut niveau mettent le corps à rude épreuve. J’ai donc dû suivre un programme rigoureux de renforcement musculaire et de préparation physique pour garantir que mon corps reste fort et résilient. Travailler avec une équipe médicale compétente était également essentiel pour prévenir les blessures et optimiser ma récupération.
Le sprint est une discipline exigeante tant physiquement que mentalement. Comment avez-vous géré la pression et quel rôle a joué votre force mentale dans votre succès ? J’ai toujours été un athlète qui aimait les grandes scènes. Plus l’événement était important, mieux je performais. J’accueillais la pression comme une source de motivation, plutôt que comme un fardeau. Pour moi, la compétition était une fête et j’adorais donner le meilleur de moi-même sous les projecteurs. Cette approche positive m’a aidé à garder mon calme et à exceller lors des moments cruciaux.
Après votre retraite du sprint, comment votre corps a-t-il réagi à ce changement et quels ont été les plus grands défis physiques ?
Quand j’ai arrêté la compétition de haut niveau, j’ai dû trouver de nouvelles manières de rester en forme et en bonne santé. Aujourd’hui, je vais régulièrement à la salle de sport, je fais des exercices de gainage, je joue au football, je fais du vélo et d’autres activités sportives. Avec l’âge, il est facile de perdre en condition physique, donc la clé est d’être régulier dans l’entraînement et d’adopter une alimentation saine. Beaucoup de gens ont du mal à rester motivés pour entretenir leur forme physique. Quels conseils donneriez-vousaux personnes qui souhaitent améliorer leur santé et leur bien-être ?
L’important est de trouver une activité que l’on aime et de s’entourer de personnes avec qui on prend du plaisir à s’entraîner. Il existe mille et une façons de rester actif, que ce soit la marche, la course, les jeux, le ski, etc. La clé de la motivation et de la constance est de s’amuser en faisant de l’exercice. L’activité physique est essentielle non seulement pour le corps, mais aussi pour l’esprit. Face à nos journées passées devant les écrans, il est impératif de retrouver le mouvement et le grand air. Quel rôle ont joué la nutrition et l’entraînement dans votre performance à long terme, et votre approche a-t-elle évolué au fil du temps ?
J’ai eu la chance d’être entraîné par Glen Mills, un coach exceptionnel qui a su concevoir des programmes d’entraînement me poussant constamment à progresser. Côté alimentation, je n’étais pas l’athlète le plus exemplaire, surtout au début de ma carrière : j’adorais la restauration rapide et je ne prêtais pas trop attention à mon alimentation. Mais avec le temps, j’ai pris conscience de l’importance de manger sainement, notamment en période de compétition.
J’accueillais la pression comme une source de motivation, plutôt que comme un fardeau.
En tant qu’icône du sport mondial, quel rôle pensez-vous que les athlètes doivent jouer pour promouvoir la santé et la forme physique auprès des jeunes générations ?
Les athlètes sont des modèles pour beaucoup de personnes, notamment les enfants. Nous avons donc la responsabilité d’encourager un mode de vie sain et actif. Montrer l’exemple, inspirer les jeunes à bouger et à adopter une alimentation équilibrée, c’est un devoir pour nous.
Si vous deviez donner une seule leçon clé sur la santé et la longévité dans le sport, laquelle serait-ce ?
– Usain Bolt
Il n’y a pas de secret : seul le travail et la détermination paient. J’ai réussi à rester au sommet pendant de nombreuses années grâce à mon engagement total dans mon sport. Si l’on regarde d’autres légendes comme Cristiano Ronaldo ou Lionel Messi, on voit qu’ils travaillent extrêmement dur pour rester en forme et maintenir leur niveau. La discipline et la rigueur sont les clés d’une carrière longue et réussie.
Tout le monde a du talent, mais celui qui travaille le plus dur sur ce talent sera le meilleur.
Usain Bolt
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Usain Bolt, une vie à toute vitesse
Usain Bolt n’a pas seulement couru plus vite que tous les autres, il a redéfini ce que signifie être un champion. Né en 1986 en Jamaïque, il a marqué l’histoire de l’athlétisme en devenant octuple champion olympique et onze fois champion du monde. Détenteur des records du 100 m, du 200 m et du relais 4�100 m, il reste aujourd’hui une référence absolue dans le sprint. Derrière son sourire emblématique et ses célébrations mythiques, Bolt est un athlète façonné par le travail, la discipline et une motivation sans faille. « Le désir de gagner est plus fort que la peur de perdre », confie-t-il lors d’une interview donnée à l’événement IFS Unleashed, à Londres. Il revient notamment sur ses derniers Jeux Olympiques en 2016, une période où la lassitude s’installait après des années de succès. « J’étais fatigué, moins motivé… jusqu’à ce que je tombe sur une interview d’un autre athlète disant qu’il allait gagner. Ça a rallumé une flamme en moi. J’ai pensé : ‘Non, ce n’est pas toi qui vas gagner.’ C’est ça, l’esprit de compétition. »
Mais la réussite d’Usain Bolt ne s’est pas construite uniquement sur le talent. « Tout le monde a du talent, mais celui qui travaille le plus dur sur ce talent sera le meilleur. » Travail acharné, sacrifices, équipe performante et même gestion d’un dos fragilisé par une scoliose : chaque détail comptait pour rester au sommet. « Il faut savoir perdre pour apprendre à gagner », explique-t-il, conscient que l’échec fait partie du chemin vers l’excellence.
Aujourd’hui retiré des pistes, il doit faire face à une autre réalité : celle du corps qui ralentit, des blessures qui se rappellent à lui. « J’avais fixé un objectif : gagner trois JO consécutifs. Une fois cet objectif atteint, j’avais accompli ce que je voulais. Mais comme le disait Roger Federer : Les athlètes meurent deux fois, la première fois, c’est quand ils prennent leur retraite, la seconde, c’est quand ils meurent pour de vrai »
Désormais, il trouve d’autres moyens de rester actif et en forme, en jouant au football, en allant à la salle, en s’essayant à d’autres sports. Son message, lui, reste le même : croire en soi, travailler dur et ne jamais se fixer de limites. « Le moment où tu te fixes une limite, c’est le moment où tu as déjà perdu. »
Rester en bonne santé est la plus grande préoccupation des sportifs, c’est ce que nous expliquent Mujinga et Ditaji Kambundji. Les deux sœurs sont respectivement championnes du monde et d’Europe en salle. Dans cette interview, elles témoignent de l’importance d’être suivie par des équipes médicales compétentes pour continuer à performer et à rafler les médailles, ce qu’elles ne sont pas prêtes de s’arrêter de faire.
Mujinga et Ditaji, d’où vous vient votre passion pour le sprint et le 100m haies ?
M : Depuis que je suis petite, j’aime courir et faire du sport. J’ai commencé l’athlétisme quand j’avais sept ans et le sprint m’a tout de suite plu. Il s’agissait également de la discipline où j’étais la plus forte. Finalement, j’ai grandi avec ce sport.
D : J’aime la vitesse, car le 100m haies reste une épreuve de sprint. Mais j’apprécie également le fait qu’on y amène des obstacles et un aspect plus technique. J’ai grandi en regardant mes sœurs faire de l’athlétisme, c’est pourquoi j’ai voulu en faire moi aussi. Cela a toujours été un rêve pour moi. Le fait d’avoir une sœur athlète a donc été est une source d’inspiration pour vous ?
D : Absolument. Ma sœur est un exemple pour moi et m’a toujours inspirée. Voir les performances exceptionnelles qu’elle peut accomplir me fait réaliser que rien n’est impossible. Grâce à elle, je ne me suis jamais mise de limites.
Comment gardez-vous la motivation de continuer à vous surpasser ?
M : Ma motivation est de toujours essayer d’atteindre mon maximum, c’est-à-dire la limite de ce que mon corps peut donner dans ce sport. J’essaie toujours de m’améliorer, de trouver ce petit quelque chose qui me permettra de courir plus vite et de rendre ma course la plus parfaite possible.
Vous avez un palmarès impressionnant. Si vous deviez retenir une victoire, laquelle serait-elle et pourquoi ?
M : Il est difficile de choisir entre mes médailles. Je pense aux Championnats d’Europe de 2014 à Zurich. Si je n’ai pas eu de médailles, cette compétition a lancé ma carrière de haut niveau. J’y ai fait mes premières finales sur 100 et 200 mètres et battu plusieurs records suisses. Ces championnats m’ont vraiment montré que tout était possible. Le fait que ce soit à Zurich, dans mon pays, a aussi été spécial pour moi.
Quel est le plus grand défi que vous avez dû surmonter dans votre carrière ?
M : J’ai subi une déchirure de ligament en 2019, lors de l’un de mes entraînements. C’est toujours une grosse source de stress en tant qu’athlète. Cependant, grâce à l’accompagnement médical ciblé des cliniques Hirslanden, j’ai pu me remettre de ma blessure en seulement quelques semaines et j’ai même décroché une médaille de bronze aux Championnats du Monde 2019 à Doha quelques mois plus tard. Le vaste réseau d’expertises du groupe m’a permis d’avoir rapidement accès aux compétences dont j’avais besoin. Quand on se blesse, on ne peut pas se permettre de perdre une journée.
Une grande partie du traitement comprenait des entraînements sur un tapis de course anti-gravité qui me permettait de réduire mon poids corporel jusqu’à 80 %. Sans ce tapis, j’aurais certainement dû interrompre mon activité sportive. Il est en effet néfaste pour une articulation de rester complètement inactive ; d’autant plus en tant que sportive professionnelle.
D : En été 2021 et en hiver 2022, j’ai vécu deux chutes en finale de Championnat du monde, la première en jeunesse et la deuxième en salle. Elles représentent pour moi deux moments difficiles. J’ai dû essayer de comprendre pourquoi j’avais fait ces chutes, ce qui m’a finalement permis de travailler ma technique, ma vitesse et de devenir plus stable sur les haies. J’ai beaucoup appris de ces épreuves.
Mujinga, le 22 mars dernier, vous avez remporté le titre de championne du monde du 60m en salle lors des Championnats du monde d’athlétisme de Nankin. Que vous apporte cette médaille ?
M : Cette victoire m’apporte la confirmation que je suis sur la bonne voie. À 32 ans, elle me prouve que je peux encore courir très vite, remporter des victoires, et que je suis dans la meilleure forme de ma vie.
Ditaji, en 2025, vous avez remporté une médaille d’or aux Championnats d’Europe en salle du 60m haies en battant le record d’Europe, et une médaille d’argent aux Championnats du monde en salle du 60m haies. Que représentent pour vous ces victoires ?
D : Ces deux médailles ont été très spéciales pour moi, car c’était la première fois que j’allais chercher un titre chez les actifs. J’ai été très contente de réussir à me placer en tête, avec un record d’Europe à la clé. La médaille d’argent aux Championnats du monde à quant à elle été ma première médaille globale, ce qui me motive pour le futur.
Vous êtes ambassadrices d’Athletissima Lausanne, dont sont également partenaires Hirslanden cliniques Bois-Cerf et Cecil . Comment vous préparez-vous pour cet événement ?
M : Je m’y prépare de la même manière que pour les autres compétitions. C’est aussi plus facile pour nous
quand un double partenariat comme celui-ci a lieu. Nous allons à un événement où notre partenaire médical, qui nous connaît, est présent médicalement de A à Z. À Lausanne, il y a les Urgences orthopédiques à la Clinique Bois-Cerf qui sont à notre disposition mais aussi le centre Actif plus pour le suivi et physiothérapie.
Quant à Athletissima, ce qui différencie l’événement, c’est le fait qu’il se passe en Suisse. Pour nous, les athlètes suisses, cela change tout, car nous avons un soutien plus important de la part du public qui se réjouit de nous voir. Athletissima a aussi une belle histoire et il y a toujours une ambiance incroyable. C’est vraiment pour ce genre de moment que nous nous entraînons si dur.
D : Comme il s’agira de l’une des dernières compétitions avant les Championnats du monde, tout le monde sera dans sa meilleure forme. Avec le soutien du public suisse, j’espère être capable de me joindre à la lutte pour la victoire !
Comment gérez-vous la pression et le stress avant une compétition ?
D : Je ne considère pas le stress comme négatif, mais plutôt comme un élément qui nous permet de performer. Les compétitions pour lesquelles on ressent le plus grand stress sont souvent les plus importantes. Je suis quelqu’un qui arrive à performer même lorsque la pression se ressent, car elle me permet de me surpasser.
En quoi consiste votre entraînement ?
M : Lors d’une semaine type, je m’entraîne pendant trois heures, cinq à six fois par semaine. En plus de cela, il faut ajouter les séances de physiothérapie et d’ostéopathie, les événements avec des partenaires ou encore les après-midi avec les médias. Si les semaines varient, les seules choses qui ne changent pas sont mes entraînements que je fais le matin.
Deux fois par semaine, je fais un entraînement de force. Ensuite, j’ai un entraînement particulier pour la vitesse et un autre pour travailler l’accélération et l’endurance en sprint.
Quelle est votre routine d’échauffement avant une compétition importante ?
D : Il me faut du temps pour chauffer mes muscles et ainsi éviter les accidents. Pendant plus d’une heure, je m’étire, je cours et j’entraîne ma mobilité. Les traitements comme la physiothérapie et l’accompagnement des médecins m’aident avant et après les compétitions. J’accorde en effet également beaucoup d’importance à la récupération afin de ménager mon corps après les entraînements et les compétitions.
Comment prenez-vous soin de votre santé ?
M : Je travaille beaucoup sur la prévention pour éviter les grosses blessures. Je vais régulièrement à la physio et je consulte des médecins du sport, des ostéopathes et des chiropracteurs. J’ai une équipe très forte composée de médecins et de professionnels du groupe Hirslanden. Je profite d’un suivi médical attentif et d’un accès prioritaire à tous les examens diagnostiques dans
l’une des cliniques. Je fais également régulièrement des prises de sang, afin de vérifier que je n’ai pas de carences qui pourraient affecter mes performances voire même entraîner une blessure. Avec les années, je connais parfaitement mon corps. En cas de douleur anormale, j’appelle les médecins des cliniques qui me reçoivent en consultation le jour-même, pour des examens tels qu’une échographie ou une IRM.
Quels sont vos prochains objectifs ?
M : Les Jeux olympiques 2028 à Los Angeles sont le prochain grand objectif de ma carrière. Entre temps, il y a de nombreuses compétitions majeures qui ont lieu chaque année, notamment les Championnats du monde et les Championnats d’Europe.
D : Cette année, les Championnats du monde se dérouleront à Tokyo. Ils constituent l’échéance la plus importante en 2025. À plus long terme, les Jeux olympiques 2028 sont l’objectif ultime des quatre prochaines années.
Quels conseils de santé donneriezvous aux personnes qui souhaitent se lancer dans une discipline sportive ?
D : Pour rester en bonne santé, il faut écouter son corps. Il est important de le connaître, afin de comprendre ce dont il a besoin et d’en prendre soin. Surtout, il est essentiel de choisir une discipline que l’on aime pour rester passionné. Être sportif de haut niveau demande beaucoup de travail et, si l’on n’aime pas ce que l’on fait, ce serait beaucoup plus dur. Je suis contente d’avoir réussi à garder ma passion pendant toutes ces années et j’espère ne jamais la perdre. Qu’est-ce que l’on peut vous souhaiter pour la suite ?
M : De ne pas avoir de blessures et de rester en bonne santé ! En tant qu’athlète, c’est ce qui compte le plus. Il est toujours très difficile dans le sport de garder cet équilibre. C’est pourquoi il faut avoir une équipe médicale optimale qui, finalement, aide à la performance.
La marque « Parfums d’Elmar » a été fondée en 2017 avec la vision de redéfinir les standards de la parfumerie artisanale de luxe. Après un lancement réussi, la collection a été entièrement revue et considérablement raffinée en 2022.
En tant que fondateur, Elmar Métry accorde une importance particulière à l’apparence luxueuse de la marque ainsi qu’à l’extrême qualité des ingrédients utilisés. Les parfums atteignent cet objectif grâce à une concentration exceptionnelle d’huiles parfumées de 35 %, connue sous le nom de « Quintessence de Parfum » – une intensité qui laisse un sillage durable sur la peau.
L’exigence de luxe et d’artisanat se reflète également dans la présentation exquise des produits : flacons en cristal massif polis à la main, verre coloré semi-transparent et bouchons massifs en Zamac doré. Ces détails raffinés incarnent les émotions que les parfums veulent susciter – une fusion envoûtante entre opulence exotique et raffinement occidental.
Cela se traduit aussi dans les noms des parfums, dont la plupart sont d’origine hawaïenne.
Zaya – Une séduction douce et soyeuse Avec ses notes chaudes, épicées et sucrées, ce parfum à créer une ambiance chaleureuse et festive pendant les saisons plus froides. Ses accords boisés et caramélisés évoquent également la nostalgie et la tradition.
Le parfum s’ouvre sur l’essence irrésistible d’une tarte aux pommes chaude, sublimée par un
Des maîtres parfumeurs à l’œuvre
Les parfums sont fabriqués avec amour et soin en Italie, en étroite collaboration avec les célèbres parfumeurs Mark Buxton, Chris Maurice et Hamid Merat Kashani. Ces efforts sont reconnus non seulement par des points de vente prestigieux qui distribuent la marque, mais aussi par des distinctions internationales, parmi lesquelles :
« Best Luxury Niche Perfume Brand – Global » (iLuxury Awards 2024)
« Best Luxury Artistic Perfumes in the World »
(Luxury Lifestyle Awards 2024)
« Best Beauty & Cosmetics Brand » (Titan Brand Awards 2024)
cognac caramélisé et des notes sombres de chêne, rehaussées d’une touche de cannelle. Zaya dévoile une composition envoûtante de nuances liquoreuses, mêlées à la profondeur sensuelle de l’absolue de fève tonka, de l’ambre, du bois de santal crémeux et de la douceur chaleureuse de la vanille.
Ces notes harmonieuses fusionnent en un ensemble délicieusement séduisant, enrichi de subtiles touches de praliné qui apportent une sophistication gourmande. Le parfum dégage une élégance olfactive qui séduit par sa profondeur inattendue et enveloppe les sens tel un cocon douillet.
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Depuis sa fondation en 1997 par le Dr Luigi L. Polla, dermatologue visionnaire et pionnier de la médecine esthétique en Europe, Forever Institut s’est imposé comme une référence pour celles et ceux qui veulent préserver leur capital beauté.
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Une entreprise familiale guidée par des valeurs fortes
Trente ans plus tard, Forever Institut est devenue une affaire familiale florissante, détenue par les quatre soeurs Polla et dirigée par Rachel.
Ensemble, elles poursuivent le développement de l’entreprise tout en incarnant, aux côtés de l’équipe, ses valeurs fondamentales : la bienveillance, la loyauté et la responsabilité.
Une présence forte en Suisse romande, au plus près des patients
Idéalement implanté à Genève, Nyon et Lausanne, Forever Institut déploie son expertise au cœur des principaux centres urbains de la région. Cette présence lui permet d’offrir à ses clients une proximité unique et la garantie d’un suivi de qualité.
Notre philosophie : la beauté, dans sa globalité La beauté ne se standardise pas ; elle est personnelle, intime et singulière. C’est sur cette conviction que repose l’approche globale de Forever Institut. Notre mission est d’écouter, de comprendre et d’analyser les demandes de nos clients pour concevoir un plan de soins sur-mesure, en adéquation avec les attentes, les traits et le mode de vie de chacun(e).
Au-delà des spécificités individuelles, une règle d’or s’impose pour révéler l’harmonie d’un visage : celle des trois piliers esthétiques fondamentaux.
« En médecine esthétique, la beauté repose sur trois piliers indissociables : les traits, les volumes et la qualité de la peau. Pour atteindre un résultat à la fois subtil et naturel, nous devons accorder une égale attention à chacun de ces éléments », explique le Dr Polla.
Guidé par cette quête d’harmonie, Forever Institut propose un éventail de traitements :
– Injections d’acide hyaluronique, pour restaurer les volumes et lisser les rides avec précision
– Injections de toxine botulique, pour détendre les muscles responsables des expressions marquées
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– Traitements corporels ciblés, tels que la cryolipolyse ou le drainage, pour sculpter et raffermir la silhouette
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Fidèle à cet esprit avant-gardiste, Forever Institut a marqué plusieurs premières en Suisse : il fut le tout premier centre à proposer l’épilation laser, ouvrant la voie à une nouvelle ère de soins esthétiques. Toujours à la pointe, il a ensuite introduit la technologie PicoSeconde, une avancée majeure dans le détatouage, ainsi que des traitements innovants tels que la Cryolipolyse et les Nanofat.
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Située au cœur de la Riviera vaudoise, la clinique CIC Montreux est bien plus qu’un établissement de santé privé.
C’est la seule clinique de la région à accueillir tous les patients, quelle que soit leur couverture d’assurance – de base (LAMal), semi-privée ou privée. Une accessibilité rare, qui reflète des valeurs fortes de qualité, de proximité et de confiance.
Dans un système de santé parfois perçu comme segmenté, la clinique CIC Montreux a choisi d’adopter une philosophie inclusive. La clinique CIC Montreux accueille également les personnes bénéficiant d’une assurance de base (LAMal). Une philosophie qui s’exprime dès l’admission, avec un accès en chambre commune pour les patients en base, et une division dédiée aux patients privés proposant une hôtellerie personnalisée ainsi qu’une prise en charge médicale sur mesure. « Vous bénéficiez ici d’un accès en chambre commune si vous êtes assuré en base, et nous disposons d’une division dédiée aux privées avec les soins et l’hôtellerie personnalisée pour nos patients privés », précise la direction. Cette volonté dans l’accès aux soins contribue à renforcer un lien de confiance entre la clinique et sa patientèle, attirant chaque année des habitants de Montreux, Vevey, de tout le Chablais vaudois, mais également des patients vivant au-delà des frontières cantonales.
Une prise en charge multidisciplinaire
La clinique CIC Montreux repose sur une approche multidisciplinaire qui garantit une prise en charge globale du patient, depuis le diagnostic jusqu’au suivi post-opératoire. Elle s’appuie sur un réseau de médecins spécialistes reconnus dans leurs domaines, offrant une palette étendue de soins médicaux et chirurgicaux. Orthopédie et traumatologie, chirurgie viscérale et digestive, chirurgie de la main, chirurgie plastique et esthétique, urologie, ophtalmologie, gynécologie, oncologie, maxillo-faciale, médecine générale, dermatologie, cardiologie ou encore traitement de la douleur : toutes ces disciplines sont réunies sous un même toit. Cette diversité permet une prise en charge rapide, coordonnée et intégrée, du diagnostic à l’intervention, favorisant ainsi un traitement rapide et efficace. L’ensemble de l’activité est soutenu par une infrastructure chirurgicale moderne, parfaitement équipée pour répondre aux besoins d’interventions complexes tout en maintenant un haut niveau de confort et de sécurité.
Un centre d’imagerie à la pointe, intégré à la clinique
L’un des atouts majeurs de la clinique CIC Montreux réside dans son service d’imagerie médicale, situé au sein même de l’établissement. Ce centre comprend des équipements de radiologie conventionnelle, d’échographie, de mammographie, d’ostéodensitométrie, ainsi que des dispositifs de haute technologie tels que l’IRM et le scanner. Les examens sont réalisés sur place dans des délais très courts, en étroite coordination avec les médecins prescripteurs. Cette organisation en circuit court permet non seulement de réduire le stress lié à l’attente, mais aussi d’optimiser les délais de diagnostic et d’intervenir rapidement lorsqu’une pathologie le nécessite. Une efficacité précieuse dans les prises en charge les plus sensibles, notamment en oncologie ou en chirurgie urgente.
L’humain au cœur du soin Avec ses 45 lits d’hospitalisation stationnaires et
ses 16 lits de chirurgie ambulatoire, la clinique CIC Montreux conserve une dimension humaine qui renforce la qualité de la relation entre les soignants et les patients. Loin de l’anonymat des grands centres hospitaliers, l’équipe – composée de médecins, paramédicaux, anesthésistes, physiothérapeutes, personnel technique, hôteliers, logistique et également personnel administratif –place l’écoute, le respect et l’accompagnement au centre de sa mission. « Ici, tout est fait pour que le patient se sente compris, soutenu et entouré », confie l’équipe soignante. Cette proximité humaine se ressent à chaque étape du parcours : dans l’accueil personnalisé, le suivi postopératoire attentif ou encore la disponibilité des professionnels, toujours à l’écoute. Les chambres, lumineuses et confortables, offrent un cadre de repos propice à la convalescence, dont certaines avec vue sur les Alpes ou le Léman, ajoutant une dimension apaisante à l’expérience de soins.
Une référence régionale de plus en plus reconnue
Aujourd’hui, la clinique CIC Montreux s’impose comme un acteur incontournable de la santé dans le canton de Vaud. Son modèle hybride, alliant exigence médicale et accessibilité, séduit autant les patients que les professionnels en quête de structures modernes et efficientes. La reconnaissance de la qualité de ses soins se traduit également par une hausse constante du taux de satisfaction, et par une fidélité importante de ses patients, gage d’un lien durable basé sur la confiance. Dans un paysage médical en mutation, où la technologie progresse et où les besoins des patients évoluent, la clinique CIC Montreux offre une réponse humaine et innovante. Plus qu’une simple clinique, elle est devenue un symbole d’équilibre entre expertise, bienveillance et accessibilité pour tous.
Clinique CIC Montreux Rue Grammont 2, 1815 Clarens +41 21 989 28 28 cliniquecic-montreux.ch
En Suisse, former ses employés aux gestes qui sauvent est à la fois une obligation légale et un levier puissant de la responsabilité sociétale des entreprises. À la tête de Firstmed, Maddalena Di Meo milite pour une approche humaine et accessible de la formation en secourisme. Pour elle, former aux gestes qui sauvent, c’est aussi faire vivre concrètement les valeurs de la RSE en entreprise.
Infirmière de formation, Maddalena Di Meo n’a jamais renié sa vocation première : prendre soin des autres. Mais face à une médecine de plus en plus pressée et déshumanisée, elle a fini par se heurter à ses propres limites. « La charge de travail augmentait et les effectifs diminuaient. Je passais de moins en moins de temps avec mes patients. C’est ce qui m’a poussée à me réinventer. » En 2011, elle prend la direction de Firstmed, une école de premiers secours fondée en 2003 par deux médecins passionnés, bien décidée à remettre l’humain au cœur de l’action. Depuis, Firstmed s’est imposée comme une référence en matière de formation en secourisme, proposant au grand public et aux entreprises des cours de qualité, animés exclusivement par des professionnels de santé : médecins ou étudiants en médecine titulaires d’un bachelor au minimum. La formation professionnelle et didactique de ces derniers leur permet d’enseigner avec compétence les notions de base du secourisme tout en pouvant répondre de manière adéquate à des questions plus spécifiques des participants.
Une démarche RSE au service du vivant
La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) est une composante essentielle de la stratégie des entreprises modernes. Et aujourd’hui, la formation en premiers secours s’inscrit pleinement dans ces enjeux. Un levier stratégique et éthique que Firstmed entend valoriser. « Niveau RSE, tout est axé aujourd’hui sur l’empreinte carbone, et rien n’est axé sur l’humain. Cela m’inquiète un peu, car la RSE, c’est aussi prendre soin des autres », alerte Maddalena Di Meo. Former ses collaborateurs aux gestes qui sauvent, c’est garantir leur sécurité, mais aussi renforcer leur sentiment d’appartenance, leur implication et leur capacité à agir face à l’imprévu. En Suisse, la formation aux premiers secours est non seulement cruciale pour la sécurité des employés, mais elle est aussi une obligation légale en vertu de l’article 36 de l’Ordonnance sur la prévention des accidents (OPA) du Secrétariat d’État à l’économie (SECO).
Réagir vite, sauver des vies Chaque année, environ 8 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardio-circulatoire en Suisse. Et les chiffres sont implacables : les chances de survie tournent autour de 10 % car tout se joue dans les trois à cinq premières minutes. Le temps que les secours arrivent, il est souvent trop tard. D’où l’importance de pouvoir compter sur les témoins directs. « Comme on passe en moyenne plus de sept heures par jour au travail, il y a fort à parier que ce seront nos collègues qui devront intervenir », souligne la directrice de Firstmed. Mais trop peu de personnes aujourd’hui maîtrisent les bons gestes. Pourtant, une intervention rapide en cas de crise cardiaque ou d’accident peut sauver une vie, et réduire significativement les séquelles. Pour les entreprises, avoir des collaborateurs formés permet également de limiter les arrêts de travail prolongés et les risques psychosociaux liés à une situation de crise mal gérée. Former les employés aux premiers secours permet donc de répondre efficacement aux urgences médicales, réduisant ainsi le risque de blessures graves ou de décès. Ce que confirme le BPA (bureau de prévention des accidents), qui a déclaré qu’il serait possible de sauver plus de vies grâce à une meilleure réactivité des témoins. Une obligation légale à ne pas négliger Si la législation suisse n’impose pas de formation spécifique, elle oblige les entreprises à s’assurer que leurs employés soient formés. « Le but n’est pas de faire de chacun un secouriste professionnel, mais de permettre d’agir dès la première seconde. Parce que c’est le temps qui fait la différence », insiste Maddalena Di Meo. En d’autres termes : mieux vaut une formation basique que pas de formation du tout. les réalités d’entreprise : de la session d’une heure à des formations complètes de 16 heures, il est possible de s’organiser, sans surcharger les budgets ni les plannings. « Le temps est vraiment la clef pour sauver des vies », rappelle la fondatrice. Et ne rien faire, c’est s’exposer à des sanctions légales si un accident survient sans qu’aucune mesure de prévention n’ait été prise. Aller au-delà des exigences légales démontre donc un engagement proactif envers la responsabilité sociale, réduisant ainsi les risques juridiques et financiers.
Chaque année, environ 8 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardio-circulatoire en Suisse.
Un engagement citoyen à forte valeur ajoutée Former ses salariés, c’est aussi les impliquer dans une démarche citoyenne. Chaque collaborateur certifié à l’issue d’une formation peut s’inscrire sur une plateforme officielle de « First Responders », lui permettant d’intervenir dans un rayon de 200 mètres en cas d’accident. « C’est un acte solidaire, une vraie contribution à une société plus résiliente », note Maddalena Di Meo. Les employés formés peuvent ainsi intervenir en dehors du lieu de travail, contribuant ainsi à la sécurité publique. Cette image positive, les entreprises la valorisent aussi auprès de leurs partenaires, collaborateurs et clients. Elles deviennent des lieux de confiance, soucieux du bien-être collectif, et cela peut aussi être un facteur de fidélisation ou d’attractivité dans le recrutement.
Renforcer l’esprit d’équipe par l’action
Au-delà de la formation elle-même, ces moments sont aussi des temps de cohésion et de team building. Les participants sont invités à sortir du cadre formel du travail pour apprendre ensemble, se questionner et partager. « On vient toujours dans les entreprises où on leur met tout notre matériel à disposition. C’est souvent un vrai moment d’échange, où les collaborateurs posent des questions qui leur serviront aussi dans leur vie privée », explique Maddalena Di Meo. Travailler ensemble à sauver des vies, c’est aussi renforcer les liens, créer de la solidarité et de la confiance. Un bon climat de travail, on le sait, est un facteur déterminant de la performance d’une entreprise : il réduit l’absentéisme, le turnover, et améliore l’engagement des équipes.
Une culture de prévention à développer
Enfin, la formation aux premiers secours participe à l’instauration d’une culture de la prévention. Elle sensibilise aux risques, développe les réflexes de vigilance, et encourage chacun à signaler les situations à risque. Les employés sensibilisés sont ainsi plus aptes à identifier et à signaler des situations dangereuses avant qu’elles ne deviennent critiques. Une posture proactive qui s’inscrit pleinement dans les objectifs RSE de gestion des risques et d’amélioration continue des conditions de travail. « Les budgets de formation sont souvent les premiers à sauter. Pourtant, il n’y a pas besoin d’aller chercher des formats onéreux. Il faut juste prendre conscience que ça peut faire toute la différence quand un accident survient », rappelle la directrice de Firstmed. Prévenir plutôt que guérir : une devise qui prend ici tout son sens. Être acteur de la sécurité collective Pour Maddalena Di Meo, il est urgent que la formation aux gestes qui sauvent devienne un réflexe dans les politiques RSE. « Les accidents arrivent en dehors du milieu hospitalier, pas à l’hôpital. Chacun peut être protagoniste. C’est un acte citoyen. » C’est pourquoi Firstmed propose d’organiser une première session de formation conforme aux directives du SECO, avant de mettre en place un programme régulier adapté à chaque structure. Former pour protéger, apprendre pour sauver : la meilleure stratégie RSE reste celle qui remet l’humain au centre.
Firstmed SA École de premiers secours Rue de Bourg 25 1003 Lausanne
contact@firstmed.ch 021 546 01 44 maddalenadimeo.ch firstmed.ch
Sept mètres et des milliers de bactéries. Notre intestin joue un rôle majeur dans notre santé et notre bien-être. La flore intestinale se construit dès la petite enfance, mais à l’âge adulte, il est encore possible de l’entretenir ou de la mettre à mal.
’intestin est l’un des plus grands organes du corps humain. L’ensemble des bactéries qui y vivent est appelé flore intestinale. Ce terme provient de l’ancienne croyance selon laquelle ces bactéries appartiennent au règne végétal (Flora = flore).
Cependant, les bactéries appartiennent en réalité à un règne distinct (Protista), c’est pourquoi les termes bactéries intestinales, microbiome intestinal ou microbiote intestinal sont plus précis.
La majorité des bactéries intestinales – représentant plusieurs centaines d’espèces – se trouvent dans le côlon, où elles tapissent la paroi intestinale. On estime leur nombre à environ dix mille milliards, pour un poids total de 1,5 à 2 kg. Certaines sont nuisibles, tandis que d’autres sont bénéfiques, voire indispensables, à une bonne digestion, un système immunitaire fort et un corps en bonne santé.
La flore intestinale chez l’enfant
Dans l’utérus, l’intestin du fœtus est encore stérile. Ce n’est qu’à la naissance que la colonisation par les micro-organismes commence. Lors d’un accouchement naturel, des bactéries de la flore intestinale maternelle sont transmises au bébé par la bouche et colonisent son tube digestif. Elles permettent alors la mise en place progressive d’un microbiome stable. Une alimentation saine et équilibrée durant la grossesse a donc un impact positif sur la flore intestinale du bébé.
Chez les enfants nés par césarienne, la flore intestinale se développe après la naissance. L’introduction des premiers aliments solides, généralement entre le cinquième et le huitième mois sous forme de purées, joue un rôle clé. En effet, la flore intestinale infantile atteint sa stabilité vers l’âge de trois ans et commence alors à ressembler à celle d’un adulte. Les premières années de vie sont donc cruciales pour l’équilibre et la santé du microbiote, ainsi que pour le bon fonctionnement du système digestif.
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Le stress et l’intestin : un lien étroit
Les troubles digestifs, la perte d’appétit ou la diarrhée ne sont pas toujours liés à un problème organique. Le stress en est souvent la cause. Cela s’explique par l’interaction entre l’intestin et le cerveau. Le système digestif contient en effet plus de 100 millions de neurones ce qui lui vaut le surnom de « deuxième cerveau ».
Lorsque nous vivons une situation stressante, notre cerveau se met en état d’alerte et demande davantage d’énergie. Pour compenser ce besoin, le « cerveau intestinal » ralentit les fonctions digestives au strict minimum. À court terme, ce mécanisme fonctionne sans problème. Mais si le stress persiste, il peut affecter la santé intestinale et se manifester par divers troubles digestifs.
Un lien entre santé intestinale et bien-être mental
L’intestin joue également un rôle clé dans notre équilibre psychologique. En plus de renforcer le système immunitaire, il agit comme une barrière contre les toxines et constitue un véritable bouclier protecteur pour notre organisme. Mais comment pouvons-nous renforcer ce bouclier ?
Comment entretenir une flore intestinale saine ?
Les prébiotiques favorisent le développement des bonnes bactéries intestinales. Il s’agit de fibres alimentaires que notre corps ne peut pas digérer, mais qui stimulent la croissance des bactéries bénéfiques dans le côlon. La fécule résistante présente dans les pommes de terre est également bénéfique pour la santé intestinale. On trouve ces fibres dans les céréales complètes, les légumes, les graines de lin et les légumineuses.
Les probiotiques jouent également un rôle essentiel. Ce sont des préparations contenant des micro-organismes vivants, comme les lactobacilles. Longtemps sous-estimés, ils ne se contentent pas d’améliorer la digestion, mais stimulent aussi les défenses immunitaires. Idéalement, 85 % des bactéries intestinales devraient être bénéfiques, tandis que seulement 15 % peuvent être potentiellement pathogènes. Sachant que 80 % de notre système immunitaire est logé dans l’intestin, cet équilibre est essentiel pour notre santé.
De manière générale, il est préférable d’éviter une alimentation trop riche en sucre et en graisses. Il est également conseillé de prendre son temps pour manger et de bien mâcher, afin d’optimiser la digestion dès la bouche. Grignoter en permanence surcharge l’intestin, qui a besoin de temps de repos pour se régénérer. Cela ne signifie pas qu’il faut bannir les collations, mais il est important d’éviter de manger en continu.
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Signes d’un microbiote déséquilibré
– Diarrhée
– Ballonnements
– Constipation
– Reflux gastrique
Tous ces symptômes peuvent indiquer un déséquilibre de la flore intestinale. Si cet état persiste, il peut favoriser l’apparition d’allergies alimentaires, de maladies auto-immunes et d’inflammations chroniques. À l’inverse, un microbiote équilibré facilite l’élimination des toxines et limite ces désagréments.
Les recommandations du Prof. Dr. med. Stephan Teyssen
Le professeur Stephan Teyssen recommande les aliments fermentés pour leur bienfaits digestifs et leur faible teneur en sucre et en calories :
– Choucroute
– Yaourt nature et kéfir
– Kimchi (chou chinois fermenté)
– Miso (pâte de soja fermenté)
– Tempeh (soja fermenté)
Conseils pour un intestin en bonne santé
– Pratiquer une activité physique régulière : marche, yoga, fitness
– Faire des exercices de relaxation
– Méditer
– Profiter de massages
– Réduire sa consommation d’alcool
– Rire souvent
– Passer du temps avec ses proches et ses animaux de compagnie
Un microbiote intestinal équilibré renforce notre système immunitaire, nous protège contre certaines maladies et améliore notre bien-être mental. En adoptant une alimentation variée et un mode de vie actif et conscient, nous pouvons considérablement améliorer notre qualité de vie sur le long terme.
Un havre de réconfort dans les bras – Comment les poupées thérapeutiques comme Emelie et Johan enrichissent les soins aux personnes âgées
Dans l’accompagnement des personnes atteintes de démence, la sécurité émotionnelle, la proximité et la familiarité jouent un rôle central. Lorsque les mots se font rares et que la mémoire s’efface, la communication non verbale prend le relais. Un outil simple, mais particulièrement efficace, s’impose alors : les poupées thérapeutiques, comme les populaires Emelie et Johan.
Ces poupées spécialement conçues ne sont pas de simples jouets. Leur visage doux et apaisant, leur texture moelleuse et leur poids bien équilibré invitent à la tendresse. Elles évoquent instinctivement chez les personnes âgées le besoin de prendre soin, de tenir dans les bras, de parler – déclenchant ainsi des souvenirs, une sensation d’utilité et une forme de lien social.
Une passerelle émotionnelle, pas un jouet
Les personnes atteintes de démence peuvent perdre leur capacité à s’exprimer verbalement, mais leur besoin de lien humain reste intact. Les poupées thérapeutiques comme Emelie et Johan ouvrent un canal émotionnel et peuvent apaiser l’agitation, réduire l’anxiété ou la solitude. Nombre de soignants rapportent que des résidents deviennent plus calmes, sourient davantage ou réengagent le contact avec leur entourage après l’introduction d’une poupée.
Il ne s’agit nullement de traiter une personne comme un enfant. L’usage des poupées se fait toujours avec respect, tact et sensibilité. Elles ne
sont proposées que lorsque la personne concernée montre un intérêt spontané. L’objectif est de créer un espace propice à la connexion émotionnelle, à la mémoire affective et à l’estime de soi.
Fiables, durables et faciles à entretenir
Les modèles Emelie et Johan figurent parmi les poupées les plus prisées dans les institutions gériatriques. Confectionnées avec soin, elles sont résistantes, lavables et conçues pour une utilisation quotidienne. Leur expression paisible inspire confiance et sérénité sans jamais être envahissante.
Que ce soit en maison de retraite, en centre de jour ou à domicile, les retours sont unanimement positifs. Les familles constatent une plus grande ouverture émotionnelle de leurs proches, tandis que les professionnels y voient un véritable soulagement dans leur quotidien de soin.
Une contribution précieuse à la qualité de vie
Les poupées thérapeutiques ne remplacent pas les soins médicaux, mais elles complètent avec
sens une approche globale centrée sur l’humain. Elles aident à capter les besoins émotionnels, à apaiser et à tisser des liens, même quand les mots ne sont plus là. Il suffit parfois d’un regard vers Emelie ou Johan pour que renaisse un sourire.
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otre peau, plus grand organe du corps humain, est chaque jour soumise à de nombreuses agressions extérieures. La préserver et en prendre soin est un véritable art. Aujourd’hui, les avancées technologiques et scientifiques offrent des solutions plus innovantes que jamais pour révéler l’éclat naturel du teint. Voici quatre tendances majeures à adopter dès maintenant pour une peau lumineuse et en pleine santé.
1. Se protéger des effets invisibles de la lumière bleue
On parle souvent du soleil, mais on oublie parfois un ennemi plus discret : la lumière bleue des écrans. Également appelée lumière HEV (High Energy Visible), elle pénètre profondément dans la peau, générant un stress oxydatif, des inflammations et contribuant au vieillissement prématuré. La bonne nouvelle ? Il est possible d’agir. Les soins riches en antioxydants, notamment en vitamines C et E, neutralisent les radicaux libres produits sous l’effet de cette lumière. L’utilisation d’une crème solaire à large spectre crée également une barrière protectrice efficace. Sans oublier les gestes simple : faire des pauses régulières face aux écrans et réduire leur usage avant le coucher. La clé d’une routine beauté moderne passe aussi par cette vigilance numérique.
2. L’intelligence artificielle au service de votre peau
L’IA s’invite désormais dans la cosmétique et révolutionne l’approche du soin personnalisé. Certaines marques élaborent aujourd’hui des formules sur mesure, à partir de données individuelles collectées via des questionnaires en ligne, des applications mobiles ou des capteurs de diagnostic cutané. Ces informations sont analysées par des algorithmes puissants capables de proposer des formules uniques, adaptées aux besoins spécifiques de chaque peau. À la clé : des produits ciblés, une efficacité renforcée et une expérience sur mesure. Mais attention : avant de confier sa peau à un algorithme, mieux vaut consulter un dermatologue ou un expert. Un professionnel saura vous guider et expliquer le mode d’action des actifs pour optimiser leur utilisation.
3. Les probiotiques, alliés de l’équilibre cutané
Les probiotiques ne se limitent plus à notre alimentation : ils s’imposent aujourd’hui dans les soins pour la peau. Ces micro-organismes bénéfiques aident à restaurer et maintenir l’équilibre du microbiome cutané – cette flore invisible qui joue un rôle clé dans l’hydratation,
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la souplesse et la résistance de la peau. Intégrés dans des crèmes et sérums, les probiotiques contribuent à apaiser les irritations, atténuer les rougeurs, renforcer les défenses naturelles et améliorer l’état général de la peau. Certains produits combinent aussi des prébiotiques, véritables nutriments qui nourrissent ces bonnes bactéries et renforcent leur action protectrice.
4. La thérapie LED, un soin à la pointe de la technologie Autre innovation incontournable : la thérapie par lumière LED, qui séduit de plus en plus dans l’univers du soin de la peau. Cette méthode douce et non invasive utilise différentes longueurs d’onde pour cibler des problématiques précises. La lumière bleue aide à éliminer les bactéries responsables de l’acné, tandis que la lumière rouge stimule la production de collagène, atténue les rides et raffermit la peau. Inodore, indolore et adaptée à tous les types de peau, la LED-thérapie est idéale en complément d’autres traitements pour en amplifier les effets. Un dermatologue ou un spécialiste pourra établir un protocole personnalisé, adapté aux besoins spécifiques de votre peau.
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La thérapie cognitivo-comportementale de l’insomnie (TCC-I) est la thérapie de premier choix pour le traitement de l’insomnie, mais aussi pour la prévention de l’insomnie chronique. Daniel Brunner, expert certifié des troubles du sommeil, explique pourquoi.
Dr Brunner, qu’est-ce qui distingue l’insomnie du manque de sommeil chronique ?
Les personnes qui souffrent d’un manque de sommeil sont celles qui s’accordent peu de sommeil alors qu’elles pourraient dormir beaucoup plus longtemps. Les patients souffrant d’insomnie ne parviennent toutefois pas à trouver le sommeil bien qu’ils aient suffisamment du temps.
Parce que l’évaluation des plaintes d’insomnie nécessite des connaissances approfondies sur le sommeil et que les options diagnostiques et thérapeutiques sont limitées dans le cabinet du médecin de famille, de nombreux patients taisent leurs problèmes de sommeil ou les considèrent même comme non traitables.
Comment abordez-vous les troubles du sommeil lors de la consultation ?
Compte tenu des plus de 50 troubles du sommeil différents, il faut d’abord un diagnostic correct. En cas d’insomnie, les informations recueillies lors de la consultation sont généralement suffisantes pour établir le diagnostic. La thérapie cognitivo-comportementale de l’insomnie est considérée au niveau international comme le traitement de premier choix.
Cette thérapie est peu connue, raison pour laquelle beaucoup de personnes prennent des somnifères. Comment fonctionne cette thérapie non pharmacologique ?
Cette thérapie spécialement conçue se base sur l’explication du mécanisme d’apparition de l’insomnie et sur des instructions visant à modifier les opinions erronées et les comportements contre-productifs qui en découlent.
Ce traitement s’appuie sur les mécanismes du sommeil et se compose des cinq éléments suivants : restriction des heures au lit, renforcement de l’association entre le sommeil et le lit, identification des pièges de la pensée, techniques de relaxation et mesures d’hygiène du sommeil.
Où trouver un conseiller qualifié en matière de sommeil et de thérapie de l’insomnie ?
Les spécialistes de la médecine du sommeil, aussi appelés somnologues, sont rares au sein du corps médical. Plusieurs d’entre eux sont issus de la recherche sur le sommeil et ont consacré toute leur formation universitaire au sommeil, à la médecine du sommeil et à la chronobiologie.
Comment donner plus de poids à la santé du sommeil dans notre système de santé ?
Les prestations dans le domaine de la consultation clinique du sommeil sont encore peu connues, c’est pourquoi cette jeune spécialité a besoin d’être valorisée dans le système de santé. Le maintien ou le rétablissement d’un sommeil sain a un grand potentiel pour prévenir les maladies liées au stress et, en fin de compte, pour réduire les coûts de la santé.
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«
Si, arrivé à la retraite, on peut enfin profiter de tout son temps libre, les finances ne suivent pas toujours. Entre le contexte économique incertain, l’augmentation du coût de la vie et la perte de pouvoir d’achat, il peut parfois devenir difficile de maintenir son train de vie. Face à ces difficultés, le viager se présente comme une solution idéale permettant de profiter du capital de son bien tout en continuant à y habiter. Dans cette interview, Christophe Andrie, expert du viager depuis dix ans, nous explique en quoi cette méthode de vente consiste et quels en sont les avantages.
Christophe Andrie, qu’est-ce que le viager ?
Le viager est une solution qui permet de vendre son bien tout en continuant à y habiter gratuitement. Les façons de percevoir son capital varient. Le bien peut être payé sous forme de bouquet, c’est-à-dire qu’un capital de départ est versé à l’habitant. Le paiement peut également être effectué sous forme de rente viagère. Pour cette méthode, une partie du capital, plutôt que d’être touchée entièrement en cash, est convertie en rente que les habitants perçoivent mensuellement. La plupart des gens choisissent de recevoir l’entièreté du montant d’un coup.
L’habitant du bien obtient également un droit d’habitation qui lui confère le droit de continuer à habiter sa maison ou son appartement, pour une durée déterminée ou jusqu’à la fin de sa vie.
Quels sont les différents types de viager ?
Les deux plus grands types de viager sont les viagers libres et des viagers occupés. Le viager libre est plus proche d’une rente classique. Les acheteurs paient un capital ainsi qu’une rente, mais le vendeur quitte son bien. Pour un viager occupé au contraire, la personne continue de vivre dans son appartement ou dans sa maison. À qui ce type de vente est-il destiné ?
Le viager est une méthode idéale pour tous les gens qui ont besoin d’argent et qui ont atteint l’âge de 65 ans. En effet, le viager permet de récupérer des fonds plutôt que de les laisser dormir dans le bien. Avec cet argent, les personnes peuvent profiter de leur retraite ou aider leurs héritiers. S’il n’y a pas d’héritiers, le viager est d’ailleurs une solution parfaite, puisqu’il permet de ne pas perdre son capital une fois que l’on décède.
Le viager permet de récupérer du capital et de vivre correctement sa retraite.
Quel est le profil type des acheteurs ?
Il n’y a pas de profil type prédéfini. Il peut s’agir de jeunes ou de personnes plus âgées qui investissent pour elles-mêmes ou pour leurs enfants, ou qui choisissent de changer de lieu de résidence pour leur futur. Cela peut être également des fonds d’investissement, des sociétés ou simplement des investisseurs privés. J’ai même déjà vu des acheteurs plus âgés que le vendeur.
Quels sont les avantages du viager ?
Le viager change la vie. À la retraite, le pouvoir d’achat diminue tandis que les charges et les assurances-maladies augmentent. Le viager permet de récupérer du capital et de vivre correctement sa retraite. Il devient possible de voyager, de subvenir à ses dépenses médicales ou encore d’en faire profiter ses proches. Surtout, son grand avantage est de pouvoir continuer à habiter chez soi et de garder ses habitudes, au lieu de devoir emménager dans un appartement qui sera plus petit et avec une qualité de vie moins élevée.
Comment la rente viagère est-elle calculée ?
La rente viagère est calculée de la même façon qu’une assurance-vie. Le montant du bouquet, lui, se calcule en fonction de l’âge des vendeurs et donc de la durée du droit d’habitation. Si l’on opte pour le viager avec une rente, il n’y a pas de montant minimum ou maximum. La rente est viagère, l’acquéreur paie tant que la personne vit. Certains de nos clients placent même une partie de leur capital dans leur assurance-vie plutôt que de demander une rente aux acquéreurs.
Combien de temps dure généralement un contrat de viager ?
Un contrat de viager dépend de la durée de vie des personnes qui habitent leur bien. Cela peut être deux ans, comme dix ou trente ans, personne ne le sait au départ. Il est également possible de faire des viagers limités dans le temps. Par exemple, certaines personnes possédant une grande maison ne se voient pas forcément y habiter jusqu’à leurs 80 ans. C’est pourquoi ils arrivent à prévoir leur sortie en nombre d’années.
L’acheteur peut-il revendre le bien acheté en viager ?
Il peut le revendre, mais aux mêmes conditions que lorsqu’il l’a acheté. Les obligations de paiement de rente devront être reprises par les nouveaux acquéreurs.
Quelle est la situation actuelle du marché du viager en Suisse ?
Le viager est calé sur le marché de l’immobilier. Lorsque ce dernier est dynamique, les gens ont envie d’investir. Il s’agit d’une méthode de vente plus éthique, car au lieu de simplement investir dans un bien loué, on aide une personne âgée à continuer à vivre chez elle. Aujourd’hui, malgré le contexte économique mondial qui peut faire peur, le marché du viager, et plus généralement de l’immobilier, reste stable et rassurant. Avec l’espérance de vie qui s’allonge et l’augmentation du nombre de personnes à la retraite, le viager devient même de plus en plus populaire. De plus, le coût de la vie augmente davantage que la rente AVS. C’est pourquoi de plus en plus de personnes considèrent le viager comme une solution idéale.
Existe-t-il des alternatives au viager pour les personnes âgées souhaitant valoriser leur patrimoine immobilier ?
Si l’on n’a pas les moyens de continuer à payer son hypothèque, la seule alternative est de vendre son bien et de louer autre chose. Cette solution oblige à déménager et à changer ses habitudes. Quels conseils donneriez-vous à des personnes qui souhaitent se lancer, mais qui hésitent encore ? Il faut se faire accompagner par un professionnel. Le viager reste une méthode complexe comportant de nombreuses variantes. Il est important de trouver celle qui correspondra le mieux à ses besoins. Le contrat doit ensuite se faire dans les règles chez un notaire afin de s’assurer le respect des normes juridiques et de garantir les droits de l’acheteur et du vendeur. Les vendeurs ne doivent pas avoir peur de contacter un expert pour en parler. J’adore mon métier, car quand je revois des clients qui ont sauté le pas, je me rends compte qu’ils sont satisfaits, qu’ils peuvent s’offrir des choses auxquelles ils n’avaient pas accès avant et que le viager leur a vraiment changé la vie !
Interview Léa Stocky
Bien en Viager Yverdon-les-bains-Vaud Avenue des Sciences 3 1400 Yverdon-les-bains-Vaud +41 24 524 33 33
Bien en Viager Genève Chemin des Recluses 8 1213 Petit-Lancy-Genève +41 22 575 66 66
www.viagers.ch
À Troinex, des logements adaptés aux seniors pour « mieux vivre »
Le suivi de la Résidence le Parc des Crêts se veut novateur en mettant l’accent sur l’activité physique et les rencontres intergénérationnelles.
Àla Résidence du Parc des Crêts, le plus jeune locataire a 60 ans. Situé à Troinex, l’établissement est destiné aux seniors « actifs », soit des personnes âgées qui assurent encore les tâches quotidiennes, précise Fabien Huchot, directeur de la résidence. Il a ouvert le 1er octobre et déjà près d’un tiers des 63 logements adaptés aux aînés sont occupés.
Comme une place du village
Le constat de départ : la population vieillit, et ses attentes ainsi que ses besoins changent. Le credo de l’établissement est de « bien vivre au-delà de bien vieillir » , commente Sam Oss-Pegorar, responsable de la vie sociale et des événements de la résidence. L’accent est mis sur trois piliers. Le premier : entretenir une activité physique. « Chaque jour, nous avons un coach qui prévoit des séances facultatives sur mesure. L’objectif est de faire 150 minutes d’activité physique par semaine pour suivre les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé », détaille le directeur. Le second comprend une alimentation équilibrée avec des produits frais et locaux. Le troisième pilier consiste à maintenir une vie sociale riche, grâce à des activités comme des visites ou des cours d’informatique. « Tous les services,
sauf les cours de sport, sont ouverts au public, informe Sam Oss-Pegorar. Notre but est qu’il y ait du transit et des rencontres comme sur une place du village. »
Pour maximiser les échanges intergénérationnels, la résidence abrite, en plus du restaurant, une tisanerie, un salon de coiffure, une esthéticienne, des physiothérapeutes, ainsi qu’un cabinet de podologue. Un cabinet médical ouvrira prochainement.
Une sorte d’EMS ?
Au final, qu’est-ce qui différencie cette structure d’un EMS ? « Nous sommes plus proches d’un service hôtelier que d’une clinique, répond la responsable de la vie sociale et des événements. On coordonne les soins si nécessaire, mais il n’y a pas de contrôle systématique ni de contraintes d’horaires avec des réveils et des activités obligatoires.»
La différence principale avec un établissement médico-social est que les résidents du Parc des Crêts sont « incités à continuer leur vie en indépendance, explique Fabien Huchot. Ils gardent leurs habitudes, sortent voir des amis, font leurs courses et leurs lessives, mais s’ils le souhaitent, on prend le relais. »
Les tarifs sont également plus bas qu’en EMS. Les appartements se composent de trois ou quatre pièces et peuvent, à choix, être meublés.
Les prix s’échelonnent de 5479 francs à 6900 francs par mois, selon le logement et les services demandés (ndlr : les frais de nourriture et de lessive ne sont pas compris), précise le directeur. À titre de comparaison, un EMS genevois coûte entre 7500 et 10 000 francs par mois. Le directeur ajoute que l’assurance maladie couvre jusqu’à quatre soins par jour. Suffisamment de logements adaptés aux seniors ?
Cet établissement s’inscrit dans un contexte où les besoins en infrastructures pour seniors ne cessent d’augmenter. L’offre à Genève est-elle suffisante ? Le Département de la cohésion sociale informe que le Canton dispose de 31 immeubles avec encadrement pour personnes âgées (IEPA). Le nombre de résidents de plus de 64 ans dans ces établissements devrait passer de 1556 personnes en 2022 à 1653 en 2028. Soit une augmentation de 6 %. Et même de 49 % pour 2050.
Concernant les EMS, les 4122 lits longs séjours disponibles en 2024 ont été occupés à un taux de 98,84 %. D’ici 2030, 288 lits supplémentaires sont à prévoir. Cela correspond à la construction de trois ou quatre EMS. Le département indique que les projets de construction permettent de répondre à ces différents besoins.
Plus d’informations sur : vitae.residence-parcdescrets.ch
Àl’Hôtel Spitzhorn de Gstaad, les étoiles ne sont pas vraiment importantes. D’autant plus lorsqu’il s’agit de satisfaire les clients. Michel Wichman, locataire et hôte du Spitzhorn, nous présente l’établissement ainsi que ses valeurs telles que l’hospitalité authentique qui dépasse souvent les attentes des clients. Michel Wichman, dans une de vos déclarations vous soutenez que « les étoiles sont au firmament ». Qu’entendez-vous par là ?
Les étoiles sont au firmament et non pas à un panneau à l’entrée d’un hôtel car, de nos jours, le nombre d’étoiles est de moins en moins lié à la qualité de l’hôtellerie. Notre équipe se préoccupe uniquement des clients et fait de son mieux pour qu’ils soient satisfaits. C’est pourquoi les évaluations en ligne de nos visiteurs sont beaucoup plus significatives que nos étoiles pour nous. L’hôtel pourrait même se voir attribuer huit étoiles mais cela ne changerait rien car nous favoriserons toujours une hospitalité authentique et sincère ainsi qu’un service impeccable. D’ailleurs, c’est précisément par ces caractéristiques et ces valeurs que nous souhaitons nous démarquer et démontrer la qualité de notre établissement. C’est pour cette raison que nous avons rejeté les quatre étoiles que l’Hôtellerie Suisse envisageait de nous attribuer.
N’est-ce pas un inconvénient, surtout concernant la perception de l’extérieur ?
Non, pas du tout. Même si parfois nous pensons ne pas être à la hauteur, nous dépassons toujours les attentes de nos clients. Les visiteurs deviennent ainsi des habitués enthousiastes et fidèles. Nous proposons une forme d’hospitalité contemporaine et durable, qui laisse les étoiles à leur place - dans le ciel - et nous plaçons toujours le bien-être des hôtes au cœur de notre activité.
En tant que chalet-hôtel, l’établissement ne choque pas et se fond harmonieusement dans l’un des plus beaux paysages alpins de Suisse. Les chalets enchantent parce qu’ils absorbent les couleurs et les formes de leur environnement rendant l’ensemble « léger ».
Cependant, il reste vrai que les étoiles aident certains invités à choisir leur destination. Et pourtant, vous vous êtes « contenté » d’ouvrir un hôtel trois étoiles. Pourquoi ?
À mon avis, parallèlement au monde du grand tourisme hôtelier super riche et classique, Gstaad doit se développer davantage en termes de nouveaux concepts pour l’avenir. À Gstaad, il manquait un hôtel trois étoiles qui offrait un service exceptionnel. Avant d’être hôte du Spitzhorn, j’ai travaillé pendant huit ans comme directeur au Grand Hôtel Bellevue Gstaad (aujourd’hui Le Grand Bellevue). Lorsque je travaillais au Grand Hôtel Bellevue, mon équipe et moi, nous concentrions toujours sur le bien-être de nos hôtes. Toutefois, alors que cela devrait être une évidence, la satisfaction du client a fini bien souvent par passer en deuxième place dans de
nombreux hôtels de luxe. Dans ces cas, la chasse aux étoiles associée aux efforts et sacrifices visant à attirer un grand nombre de célébrités a conduit à une situation qui ne permettait pas à un invité « lambda » de se sentir à l’aise dans l’établissement.
Pourquoi avez-vous choisi le Spitzhorn pour votre nouvelle mission ?
Dès le début, ma femme et moi avons pu aider à façonner l’âme de l’hôtel Spitzhorn. En tant que locataires, nous avons repris un établissement de l’assurance La Bâloise qui correspond parfaitement à notre idée d’un hôtel moderne. Pas de posture guindée, pas d’illusion de grandeur. Nous privilégions une atmosphère détendue et une cordialité authentique. En 2014, le « Times » a même écrit qu’il s’agit d’un moyen de « réinventer
Gstaad pour les skieurs au budget plus modeste ».
Qu’est-ce qui différencie le Spitzhorn d’autres hôtels de la même catégorie ou d’une catégorie supérieure ?
Nous pensons qu’il ne faut « pas toujours vouloir plus, mais aspirer au meilleur ». C’est le principe directeur de notre hôtel trois étoiles supérieur. À mon avis, il n’est pas possible de comparer un hôtel à un autre car chaque établissement possède son propre charme et sa propre identité. Finalement, ce qui compte c’est l’âme de l’hôtel, tout est une question de niveaux, notre hôtel est d’un degré plus spacieux, les couloirs sont plus larges, les chambres plus lumineuses, les boissons plus grandes, le champagne plus pétillant, le temps est meilleur, les enfants sont plus heureux, les montagnes plus hautes, la piscine s’avère plus accueillante, les prairies alpines plus colorées et les visages de notre équipe sont plus rayonnants. Ce qui fait la différence c’est aussi notre facture qui, malgré le confort offert, rayonne d’une modestie particulière. Nous nous concentrons uniquement sur le client et son bien-être. Tout ce dont nos visiteurs ont besoin est à leur disposition. Nous offrons donc le vrai luxe plutôt qu’une illusion de grandeur.
Qu’est-ce qui distingue l’offre culinaire du Spitzhorn ?
Les plats les plus populaires des Alpes ou « The Best of the Alps » d’Allemagne, d’Autriche, de Suisse, d’Italie et de France attendent nos visiteurs ! Nous avons mis au point les meilleures recettes, qui convainquent par des ingrédients frais, souvent locaux, et forment un menu simple mais très savoureux. Nous proposons par exemple des soupes spéciales, des poissons locaux, des classiques alpins, des röstis copieux et des desserts gourmands ainsi que des spécialités saisonnières.
Vous décrivez votre établissement comme un hôtel trois étoiles qui comporte une infrastructure quatre étoiles. Qu’est-ce qui confère à cette dernière sa grande qualité ?
Notre hôtel est en effet un trois étoiles supérieur avec une infrastructure quatre étoiles dans un environnement cinq étoiles. Cela fait aussi partie de notre slogan. Lorsque nous avons ouvert l’hôtel Spitzhorn en décembre 2013, « la légèreté de l’être » a également trouvé son expression architecturale. En tant que chalet-hôtel, l’établissement ne choque pas et se fond harmonieusement dans l’un des plus beaux paysages alpins de Suisse. Les chalets enchantent parce qu’ils absorbent les couleurs et les formes de leur environnement rendant l’ensemble « léger ». Quant à nos intérieurs, il a été difficile de laisser transparaître l’esthétique très particulière du monde extérieur. Nos décorateurs d’intérieur ont créé une œuvre d’art étonnante. Les 50 chambres et les 110 lits de l’établissement offrent les meilleures vues sur la région. L’hôtel comprend aussi une salle de jeux pour les enfants, une cuisine saisonnière de brasserie dans le restaurant ainsi qu’une zone de bien-être, un fitness, une piscine, un sauna / bain à vapeur, des soins Kneipp et des massages.
Plus d’informations sur : www.spitzhorn.ch
La pratique artistique possède des vertus insoupçonnées sur le bien-être mental et émotionnel. Sans relever de l’art-thérapie à proprement parler, dessiner, peindre ou sculpter permet de réduire le stress, de structurer la pensée et de favoriser une meilleure connexion à soi.
epuis l’Antiquité, l’art est reconnu comme un puissant moyen d’expression et de contemplation. Aujourd’hui, de plus en plus d’études mettent en lumière ses effets bénéfiques sur le bien-être mental et émotionnel. Peindre, dessiner, sculpter ou encore jouer de la musique permettrait non seulement d’évacuer le stress, mais aussi de structurer la pensée et de se reconnecter à soi-même. Si l’art-thérapie est une discipline à part entière, encadrée par des professionnels, la pratique artistique en général peut, elle aussi, avoir des effets apaisants et libérateurs, même sans visée thérapeutique assumée. Créer pour mieux se comprendre La création artistique a longtemps été associée à l’émotion et à l’introspection. Face à une toile blanche, à un morceau de glaise ou à une partition de musique, l’individu exprime des sentiments parfois enfouis, sans avoir nécessairement besoin de les verbaliser. Ce processus de création agit comme un miroir, permettant à chacun de mieux comprendre son monde intérieur. « Beaucoup de personnes découvrent à travers l’art qu’elles ont une sensibilité à exprimer, qu’elles sont capables de créer des images fortes et qu’il existe en elles un univers qui ne demandait qu’à se révéler. Beaucoup se reconnectent ainsi à leur intuition, à leur enfant intérieur et à leur capacité d’émerveillement » explique Gilbert Wolfisberg, enseignant à l’Artquarium, une école dédiée à l’enseignement du dessin et de la peinture, qu’il a fondée à Genève en 2002. Gilbert Wolfisberg est également le créateur d’un projet de cours en ligne intitulé « Culturepeinture », qui réunit une communauté de passionnés de toute la francophonie. Selon lui, cette forme d’expression peut favoriser un profond sentiment d’épanouissement personnel. « Mes élèves me disent régulièrement que ces cours sont indispensables à leur équilibre, que cela leur fait énormément de bien et qu’ils ne pourraient plus s’en
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passer ». Cet effet bénéfique de l’art est documenté par de nombreuses recherches scientifiques. Une étude publiée en 2016 dans The Journal of the American Art Therapy Association a montré qu’une séance de création artistique de 45 minutes réduisait significativement le taux de cortisol, l’hormone du stress, chez des participants de tous âges et sans distinction de niveau artistique. Cette diminution du stress, associée à un état de concentration intense (souvent comparé à la méditation), explique en partie pourquoi tant de personnes trouvent un apaisement dans la pratique artistique.
L’art, un outil pour apaiser l’anxiété et cultiver la concentration Dans une société où le rythme effréné du quotidien laisse peu de place à l’introspection, l’art permet de ralentir et de se recentrer sur le moment présent. Certaines formes de création, comme la peinture ou la sculpture, exigent patience et attention aux détails, encourageant ainsi un état de « flow », ce moment où l’on est entièrement absorbé par une activité, sans voir le temps passer. Selon les neuroscientifiques de l’University College London, l’exposition à l’art, que ce soit en le créant ou en le contemplant, déclenche une activation du système de récompense du cerveau, similaire à celle observée lors d’un coup de foudre amoureux. Cette stimulation du circuit dopaminergique procure une sensation de plaisir et de satisfaction, ce qui expliquerait pourquoi certaines personnes ressentent un profond bien-être après avoir peint, dessiné ou modelé une sculpture. « La peinture, par exemple, demande une attention particulière à la composition, aux couleurs, aux formes, à la profondeur… Cet exercice mental stimule non seulement la créativité, mais aussi la réflexion et l’observation », précise Gilbert Wolfisberg. « Est-ce que c’est de l’art-thérapie ? Non. Mais est-ce que cela fait du bien ? Évidemment ».
Une pratique ouverte à tous Contrairement aux idées reçues, la création artistique ne nécessite pas de « don » particulier. Chacun, quel que soit son parcours ou son milieu social, peut y trouver une source de bien-être et d’expression. Dans les cours de dessin et de peinture, on retrouve ainsi des personnes aux profils variés (étudiants, avocats, banquiers, vendeurs, retraités…), tous réunis par le plaisir de créer. Les ateliers artistiques ne sont d’ailleurs pas réservés aux amateurs ou aux artistes en herbe. De plus en plus d’institutions médicales et de maisons de retraite intègrent des activités artistiques à leurs programmes pour stimuler les capacités cognitives des patients atteints de maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer. L’art permettrait non seulement de ralentir le déclin cognitif, mais aussi de restaurer un sentiment d’identité et de connexion avec les autres. Un pouvoir thérapeutique, mais pas forcément une thérapie Si l’art a des vertus apaisantes, il ne remplace pas une thérapie encadrée. L’art-thérapie, pratiquée par des professionnels formés, repose sur une approche spécifique qui vise à accompagner des patients dans leur processus de guérison. Mais même sans cette dimension clinique, la pratique artistique demeure une ressource précieuse pour cultiver le bien-être. Dans un monde où le stress et l’anxiété sont omniprésents, la création artistique apparaît comme une parenthèse salvatrice, une manière de reprendre contact avec ses émotions et de s’offrir un espace de liberté. « L’art nourrit, structure, libère », résume Gilbert Wolfisberg. « Il ne guérit pas au sens médical du terme, mais il soigne l’âme. Il apaise, il relie, il éveille. Même sans intention thérapeutique, la pratique artistique a cet effet-là. C’est peut-être là, au fond, l’un de ses grands pouvoirs ». Celui de donner forme à l’invisible et d’offrir, à ceux qui s’y abandonnent, un instant de vérité.
Texte SMA
Plus besoin de présenter cette plante aux mille vertus ! Depuis sa légalisation en Suisse en 2016, l’attention se focalise sur le principe actif star du cannabis, le cannabidiol (CBD), molécule adoptée pour ses multiples bienfaits thérapeutiques. De nombreux utilisateurs témoignent d’effets apaisants en lien avec le stress, les angoisses, les douleurs ou les troubles du sommeil, pour n’en citer que quelques-uns. Le principal intérêt du CBD réside dans son absence d’effets secondaires nocifs (pas d’effets psychoactifs comme son cousin le THC) ainsi que dans ses multiples bienfaits. Par exemple, une personne souhaitant remplacer ses anti-inflammatoires par du CBD ciblera non seulement ses maux, mais bénéficiera par la même occasion des vertus de la plante sur son sommeil ou ses angoisses.
En juillet 2017, la Cannathèque, franchise suisse spécialisée dans les produits à base de cannabis de qualité premium a ouvert ses portes en Romandie.
« Nous sommes ravis et très fiers de contribuer au bien-être de nos clients depuis toutes ces années » se réjouit Nathalie, gérante de la boutique morgienne. « Grâce au CBD, et à un conseil personnalisé, certaines personnes disent avoir pu réduire certains médicaments leur provoquant des effets secondaires plus ou moins incommodants, toujours en accord avec un suivi médical, alors que d’autres ont enfin trouvé le remède au mal qui les rongeait depuis si longtemps. Les témoignages concernent une grande variété de troubles, allant des douleurs chroniques aux troubles
du sommeil ou de l’humeur. Crohn, fibromyalgie, sclérose en plaques, endométriose, angoisses, règles douloureuses, etc. Chaque expérience reste personnelle et quel plaisir que de voir nos clients revenir avec une expression du visage transformée grâce à nos produits ! »
La Cannathèque dispose d’un assortiment diversifié comprenant différentes gouttes de CBD, des pommades, diverses tisanes, des produits alimentaires ainsi qu’une gamme de cosmétiques fabriqués principalement en Suisse.
« De la plantation de la graine au conditionnement final, toutes les étapes de l’élaboration de nos produits se déroulent sous le même toit. Cela nous garantit traçabilité, sécurité et qualité – éléments fondamentaux qui assurent non seulement l’efficacité de nos produits, mais qui, aujourd’hui plus que tout, nous permettent de continuer leur commercialisation dans la sérénité. » Important : les produits à base de CBD ne sont pas des médicaments et ne remplacent pas un traitement médical. En cas de doute, parlez-en à votre professionnel de santé.
Cannathèque
Infos & commandes : +41 78 624 02 44 cannatheque-morges.ch
Cannathèque Morges Rue de Lausanne 56 1110 Morges +41 21 802 60 90
Horaires d’ouverture : Mardi – mercredi 14:00 – 18:30
Jeudi – vendredi 11:30 – 18:30
Samedi 12:00 – 17:00 en dehors des horaires, disponible sur appel !
« 2025, toutes au foot ! » : Nyon célèbre l’Euro féminin avec plus de 100 animations et une fan zone au bord du lac
La tenue de l’UEFA Euro féminin 2025 en Suisse représente une formidable opportunité pour la Ville de Nyon de réaffirmer son engagement en faveur du sport féminin et de la place des femmes dans l’univers sportif. A travers son projet « 2025, toutes au foot ! », elle entend promouvoir, développer et ancrer durablement le football féminin à l’échelle locale, tout en levant les barrières à la pratique féminine.
Accueillir une compétition internationale d’une telle ampleur est une chance unique pour le pays. Seize nations, des milliers de supportrices et supporters, et huit stades en effervescence : l’Euro féminin 2025 fera vibrer toute la Suisse, du 2 au 27 juillet.
Une fan zone en bord de lac pour vibrer ensemble
À Nyon, la Ville installera une fan zone au bord du lac, sous la tente de Rive où tous les matches seront retransmis en direct sur écran géant. Un lieu convivial pour réunir la population nyonnaise autour du sport, de l’égalité et du plaisir de vivre cet événement ensemble.
Ouverture officielle de la fan zone, mercredi 2 juillet, avec une grande après-midi festive dès 15h, ponctuée d’animations, avant la retransmission en direct du match d’ouverture de l’Euro Suisse –Norvège (début de la rencontre à 21h).
Plus de cent activités gratuites autour du foot
Pour faire de cet événement un véritable levier d’inclusion et de progrès, la Ville de Nyon déploiera par ailleurs plus d’une centaine d’actions tout au long de l’année, autour du football sous toutes ses déclinaisons. L’objectif ? Offrir à toutes les femmes de la région –quels que soient leur âge, leur condition physique ou leur parcours – l’occasion de découvrir ou redécouvrir ce sport, et de jouer au foot au moins une fois dans l’année.
Parmi les temps forts :
– Des initiations exclusives pour femmes, dès le mois d’avril, autour de pratiques variées : football urbain, freestyle, sur sable, en marchant ou encore intergénérationnel.
– Des sessions ludiques et accessibles, pour permettre aux participantes de réinvestir les terrains en plein centre-ville, souvent perçus comme des bastions masculins.
Trois tournois, une même ambition : le plaisir du jeu
Dimanche 15 juin, le Centre sportif de Colovray accueillera un grand tournoi populaire féminin, ouvert à toutes. Temps de jeu, règles, taille du terrain : tout sera adapté pour que chacune puisse y trouver du plaisir. Deux autres compétitions auront également lieu : un tournoi interclubs le même jour et un tournoi scolaire vendredi 13 juin.
Pour la première fois, l’UEFA mettra ses installations à disposition d’un tournoi populaire féminin, une reconnaissance forte et symbolique. Et en tant que capitale de l’arbitrage de l’Euro, Nyon valorisera également les femmes arbitres à travers des actions de sensibilisation et de découverte.
Toutes les activités sont gratuites. Seules les inscriptions aux tournois sont requises : nyon.ch/toutesaufoot
Alexandre Démétriadès, Municipal chargé des sports : « Ensemble, marquons l’histoire du football ! À Nyon, notre politique sportive se veut exemplaire, autant dans le soutien aux clubs de haut niveau que dans l’encadrement de la relève. Mais notre engagement va plus loin : nous œuvrons chaque jour pour que le sport soit accessible à toutes et à tous, sans distinction. L’Euro féminin est une formidable occasion de mobiliser la population, de créer un engouement populaire, et surtout de permettre à toutes les femmes – sans exception – de prendre leur place sur le terrain et d’écrire, elles aussi, l’histoire du football ».
Un héritage durable pour le football féminin à Nyon À travers cette dynamique, la Ville de Nyon souhaite laisser un véritable héritage au football féminin local.
En partenariat avec les clubs nyonnais, elle soutiendra la création et le développement d’équipes féminines, avec pour objectif une offre structurée, pérenne et ouverte à toutes.
Pour aller encore plus loin, une journée des métiers du football au féminin, prévue à l’automne et ouverte à toutes et tous, mettra en lumière l’ensemble des professions qui gravitent autour de ce sport. Que ce soit dans les domaines de la santé ou de la performance, de la gestion des manifestations, des infrastructures, ou des institutions, dans les médias ou encore dans l’industrie ou les technologies, les métiers seront représentés exclusivement par des professionnelles, une manière d’encourager les vocations, déconstruire les stéréotypes, et promouvoir une plus grande mixité sur et en dehors du terrain.
Le message est clair : à Nyon, le football se conjugue désormais aussi au féminin.
Informations et inscriptions sur : nyon.ch/toutesaufoot
Avec le soutien du
De mai à septembre Fan zone festive en juillet et plus de 100 activités durant la période estivale ! Programme
nyon.ch/toutesaufoot