1 minute read

ATTENDRE N’EST PAS UNE OPTION, SINON DEMAIN NE SERA PAS UNE RÉALITÉ.

LE TEMPS DES DÉBATS EST PASSÉ, IL EST TEMPS D’AGIR

Le rapport Vegocracy est basé sur une recherche appliquée menée auprès de 10 500 répondants dans sept pays. Il s’agit d’une tentative sérieuse d’enquêter sur les implications de notre alimentation sur la planète et sur notre santé. L’étude a montré que les consommateurs exigent un étiquetage plus clair et de meilleure qualité pour les aider à faire des choix durables et à mieux se nourrir. Le coût est un problème qui persiste et limite l’accessibilité aux fruits et légumes frais à travers les pays, les générations et le genre, mais nous avons également constaté que lorsque les consommateurs reçoivent les bonnes informations, cela les incite à faire de meilleurs choix. Chez Picadeli, nous savons que nous ne sommes pas les seuls concernés. Pour la toute première fois, un pavillon de l’alimentation était présent à la COP27, rapprochant l’alimentation de la conversation sur les émissions mondiales, mais nous savons que nous devons maintenant faire plus que parler. Pour soulever des sujets, les réunions environnementales annuelles représentent un moment important dans le calendrier médiatique, mais les actions parlent plus que les mots.

Nous nous sentons vraiment engagés et responsables, non seulement de la santé de nos consommateurs, mais aussi de la santé de la planète. Cependant, pour un réel changement dans le système alimentaire, nous devons aider à éduquer les consommateurs et les rapprocher de cette aventure. Pour cela, nous devons tenir nos gouvernements et nos politiciens responsables de leur contribution à ce changement. Une façon d’y parvenir est de demander que l’étiquetage carbone soit obligatoire pour créer un véritable changement systémique, qui ne dépende pas entièrement de la recherche de meilleures options par le consommateur.

Nous sommes convaincus, sur la base de nos conclusions du rapport Vegocracy 2023, que si les consommateurs veulent faire plus pour réduire leur impact carbone, mais n’en ont pas la capacité, nous devons alors faire tout ce qui est en notre pouvoir pour combler le “green gap”, aider à éduquer nos consommateurs et soutenir le changement indispensable des systèmes alimentaires pour protéger notre planète.

This article is from: