

16 avril 2025
Vol. 31 / No. 04
Prochaine parution 14 / 05 / 2025
Date de tombée 28 / 04 / 2025
16 avril 2025
Vol. 31 / No. 04
Prochaine parution 14 / 05 / 2025
Date de tombée 28 / 04 / 2025
L’équipe de judokas du Collège militaire royal de Saint-Jean a fait bonne figure lors du Championnat provincial de judo qui a eu lieu à Trois-Rivières les 29 et 30 mars. Les Remparts, qui combattaient dans la catégorie sénior récréatif, ont terminé en 3e place au classement général (toutes catégories confondues). De son côté, l’entraîneur des Remparts, Jean-Pierre Cantin, a raflé l’or dans les catégories sénior et vétéran élite
Garnison Saint-Jean
Bur. M-206, B.P. 100, Succ. bureau-chef Richelain QC J0J 1R0
450 358-7099 servir@forces.gc.ca journalservir.com
Tirage : Édition numérique seulement
Éditeur : colonel Mathieu Dallaire commandant GS 2 Div CA
Conseillers militaires :
Capitaine Steve Comeau
450 358-7099 # 6569
steve.comeau@forces.gc.ca
Claude Tourville 514 252-2777 # 4993 claude.tourville@forces.gc.ca
Gestionnaire : Guylaine Fortin
450 358-7099 # 7426 guylaine.fortin@forces.gc.ca
Journaliste : Yves Bélanger 450 358-7099 # 7330 450 357-5103 (cell.) yves.belanger@forces.gc.ca
Publicité : Isabelle Blouin 418 254-2448 pubadsum@outlook.com
Abonnement : servir@forces.gc.ca
Graphiste : LMG audace & créativité
Les demandes de publication doivent être acheminées en format Word à servir@forces.gc.ca. La gestionnaire se réserve le droit de rejeter ou de modifier tout matériel rédactionnel ou publicitaire.
ISSN 0384-0417
Servir est une publication non officielle autorisée. Elle est publiée avec la permission du commandant du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada. Les opinions et les points de vue exprimés ne sont pas nécessairement ceux du MDN, des FAC et des SBMFC/ Personnel des FNP. Les articles publiés dans ce journal sont la propriété de Servir Ils ne peuvent être publiés, utilisés ou reproduits sans l’autorisation du gestionnaire ou de l’auteur.
Catégorie sénior récréatif – or
• Élève-officier Édouard Gagné (combat debout)
• Élève-officière Daphnée Therrien (combat debout et Ne-waza)
• Élève-officier Guillaume Gallien
• Élève-officier Mathis Potvin
• Élève-officier Damian Roberts
• Élève-officier Loïc Verreault
Catégorie sénior récréatif – argent
• Aspirant de marine Loïc Desbiens
Catégorie sénior récréatif – bronze
• Élève-officier Édouard Gagné (Ne-waza)
Célébrons la résilience des enfants des militaires 4
2 e Division du Canada: des nouveaux plateaux-repas dans nos salles à manger 7
Les Services techniques: ils habillent les militaires 10 Un parc automobile qui fait la fierté du commandant 12 Des experts en munitions et explosifs 13 Ils sont là pour vous 14 Une semaine de partage et de cohésion 16
C’est la fin pour deux bâtiments emblématiques 18 PSP Garnison Saint-Jean: du sang neuf pour entraîner les futurs militaires 20
Dévoiler l’héritage du Black Watch: la Seconde Guerre mondiale 1939-1945 26
Centres des opérations: de nouveaux noms pour mieux faire connaître leur rôle 29
bref 30 L’art de s’abriter en hiver 31
Semaine de l’action bénévole: célébrer la générosité en action 32
Familles militaires : profitez d’un accompagnement privilégié
La
| Texte CRFM et photos par Caporal YongKu Kang
Le mois d’avril est un mois particulier pour nos familles militaires, car il est dédié à la reconnaissance de leurs enfants. Le 5 avril dernier, le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) a tenu la 3e édition du Gala de Reconnaissance des enfants de militaires à la Corporation du Fort St-Jean en présence de 137 personnes.
Les jeunes des familles militaires sont souvent confrontés à l’absence de leurs parents. Ils incarnentune résilience admirable face aux défis uniques du monde militaire. Leurs histoires sont souvent marquées par le déracinement, la séparation, mais aussi par une force intérieure qui les rend capables de s’adapter et de grandir malgré les difficultés.
« Le Gala de Reconnaissance des enfants de militaires est devenu un événement incontournable pour saluer ces enfants exceptionnels », explique Noémie Trépanier, organisatrice de la soirée. La soirée a offert un moment unique aux familles pour se rassembler et célébrer. « Le gala a permis aux enfants de fêter leur parcours unique aux côtés de leurs parents. Il ne faut pas oublier qu’euxmêmes vivent la séparation avec courage et engagement. »
Durant la soirée, chaque enfant a reçu un jeton de reconnaissance, symbole de l’appréciation et de la gratitude de la communauté militaire. Les enfants présents l’année précédente ont également eu la chance de recevoir un certificat
de reconnaissance, marquant leur parcours et leur force. « La soirée a été un moment rempli d’émotions et de fierté, car les jeunes de familles militaires affrontent les épreuves du quotidien avec une maturité qui force l’admiration. » Chaque année, le CRFM leur rend hommage et souligne leur courage et l’importance de leur rôle dans la famille militaire.
« Nous sommes fiers de présenter des moments de célébration et de reconnaissance comme ce gala. Cela témoigne de notre engagement à soutenir ces jeunes qui, malgré les défis, continuent de rayonner et de s’accomplir », a conclu Mme Trépanier.
Le pissenlit représente à la perfection la force intérieure et le déracinement des enfants des militaires. Comme le pissenlit qui se sème au gré du vent, ces enfants apprennent à s’adapter, à se replier sur eux-mêmes pour mieux se reconstruire, et à prendre racine dans de nouvelles terres. Ils portent en eux la certitude que, même loin de leur base, ils peuvent toujours s’épanouir de nouveau.
Encore une fois cette année, CANEX souligne ce mois particulier en offrant des chandails pour adultes et enfants ainsi qu’une pièce commémorative.
| Yves Bélanger, Servir
La 2e Division du Canada (2 Div CA) s’apprête à innover en introduisant des plateaux-repas moulés qui porteront sa couleur emblématique dans les cuisines sous sa juridiction. Ceci a été rendu possible grâce au projet pilote mené par l’équipe du Service alimentation du Service au personnel (Svc Pers) du Groupe de soutien de la 2 Div CA.
Adjudant-maître Pascal Lavoie, G4 alimentation de la 2 Div CA, explique qu’il s’agit d’une première au sein des Forces armées canadiennes (FAC). « C’est au cours de la dernière année que le comité d’innovation du Svc alimentation du Svc Pers Saint-Jean a proposé l’idée des plateaux-repas moulés. Nous avons réussi à convaincre la branche du J4 Stratégique des Services d’alimentation et la diététiste en chef des FAC, qui était sceptique au départ, que ces plateaux-repas permettraient de respecter les besoins nutritionnels des militaires, évalués à 3 600 calories par jour. »
Adjudant Jean-Louis Lassonde, adjudant-maître intérimaire du Service alimentation à la Garnison Saint-Jean, mentionne que les plateauxrepas moulés offrent plusieurs avantages. « Ils sont pratiques et surtout écologiques. En plus, leur lavage nécessite moins de savon et d’eau puisque nous n’avons plus de vaisselle traditionnelle. »
Adj Lassonde soutient que l’arrivée de ces plateaux-repas au site d’entraînement de Farnham a grandement amélioré les moments dédiés aux repas, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. « Les candidats de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC) sont souvent appelés à manger à l’extérieur. Les repas fraîchement préparés pour les militaires en exercice dans les secteurs ou les bivouacs étaient autrefois servis dans des assiettes de métal. Ce n’était pas évident de manger tout en essayant de garder une petite assiette de 15,4 centimètres (6 pouces) de diamètre en équilibre sur les genoux ! C’est beaucoup plus facile avec le plateau-repas. » Les plateaux-repas sont utilisés à l’extérieur quand les pelotons sont à une distance raisonnable de la cuisine.
Adjum Lavoie et Adj Lassonde poursuivent en expliquant que les plateauxrepas permettent des économies significatives. « Les conclusions auxquelles nous sommes arrivés après les six mois du projet pilote, c’est que nous pourrons économiser annuellement 300 000 $ », explique Adjum Lavoie.
Parmi les constats, le Service alimentation note la réduction de la consommation de la vaisselle jetable et du gaspillage alimentaire. « Depuis la mise en place du projet pilote, nous avons aussi observé une réduction de 20 % des déchets et de 5 % des achats de nourriture », indique Adjum Lavoie.
Les deux hommes expliquent qu’avec les plateaux-repas, le manque de cuisiniers a moins de répercussions qu’avant sur les opérations des cuisines. « Parce que nous n’avons plus à laver de multiples assiettes et bols pour chaque client, mais un seul plateau-repas, nous pouvons répartir les employés plus facilement quand certains sont absents. Depuis quelques années, nous n’avions pas le choix d’utiliser de la vaisselle et des ustensiles jetables lorsque nous avions moins de personnel en poste. Avec les plateaux-repas, il faudrait qu’un très grand nombre d’employés soient absents pour que nous soyons contraints d’utiliser de nouveau de la vaisselle jetable. Ce changement nous a permis d’économiser annuellement 170 000 $. Du côté des ressources humaines, nous avons calculé des économies annuelles de 70 000 $ », précise Adj Lassonde.
Le plateau-repas qui a servi au projet pilote a permis une réduction de 20 % des déchets et de gaspillages de nourriture. « Cela a aussi permis aux membres de l’équipe d’accélérer le temps du service. En moyenne, nous avons réussi à servir 310 clients aux dix minutes. »
Cela a ainsi permis aux candidats de ELRFC de gagner quelques minutes pour déguster leur repas. « Leur horaire est très chargé et ils ont peu de temps pour manger. Les plateaux-repas ont permis d’améliorer leur situation », lance Adj Lassonde.
En mars 2024, l’équipe des plateaux-repas du Service alimentaire et du 34e Bataillon des services a acheté 4 000 plateaux-repas bruns d’un modèle déjà existant sur le marché. Ils ont été mis en service dans les salles à manger de la Garnison Saint-Jean et de Farnham. En avril 2024, la cuisine du 34e Bataillon des services a emboîté le pas. « Cela nous a permis de réaliser que leur utilisation comportait certains irritants, comme le manque d’espace pour déposer les ustensiles. L’espace principal du plateau brun est vertical. Il est donc plus difficile d’y couper des aliments. »
L’équipe des plateaux-repas a donc travaillé à la conception d’un plateau qui répondrait mieux aux besoins. « Les résultats du projet pilote ont été présentés à l’armée et au J4 Stratégique Services d’alimentation en novembre dernier et nous avons eu le feu vert pour passer à l’étape suivante ! », raconte Adjum Lavoie.
D’ici la fin du printemps, les cuisines de la Garnison Saint-Jean, du site d’entraînement de Farnham et du 34e Bataillon des services, à SaintHubert, utiliseront le nouveau plateau-repas. Parmi les améliorations apportées, notons qu’il sera rectangulaire plutôt qu’hexagonal. De plus, on y a ajouté un compartiment pour les ustensiles. Les deux espaces pour les verres ont été repensés afin de mieux équilibrer le plateau. « Les compartiments du projet pilote présentaient des cloisons verticales et il fallait parfois deux passages au lave-vaisselle adapté pour bien déloger les résidus de nourriture. Nous avons revu le design afin que les cloisons du nouveau plateau-repas soient courbées, ce qui fait disparaître l’angle à 90 degrés avec le fond. Cela facilite grandement leur nettoyage », soutient Adj Lassonde.
Ces résultats prometteurs ont conduit la 2 Div CA à adopter ces nouveaux plateaux-repas de façon progressive pour toutes les cuisines sous sa juridiction. « D’ici un an, l’ensemble des cuisines de notre division devraient l’utiliser », lance fièrement Adjum Lavoie.
Quelque 9 000 plateaux bleus seront fabriqués au cours des prochaines semaines. De ce nombre, 4 000 seront réservés pour la Garnison SaintJean. Les autres seront partagés dans les diverses cuisines de la 2e Div CA. Quant à eux, les plateaux bruns du projet-pilote seront remis à l’ELRFC qui compte les utiliser pour l’alimentation des candidats lors de leur passage au site d’entraînement de Farnham.
Adjum Lavoie poursuit en mentionnant que les autres divisions pourraient emboîter le pas au fil des ans. « Plusieurs cuisines de garnisons, escadres ou bases au pays ont démontré un intérêt envers notre projet. Les équipes de Kingston, Edmonton et Gagetown nous ont déjà demandé plus d’informations. À la fin du mois de mars, l’équipe de Petawawa a commencé à tester les plateaux-repas bruns. Les réactions ont été bonnes, à tel point qu’ils souhaitent que nous leur en acheminions d’autres. Le Service alimentation de la Garnison Saint-Jean leur en fera parvenir 236 prochainement. »
Les divisions qui souhaitent se procurer des plateaux-repas similaires à ceux de la 2 Div CA devront en faire la demande auprès de ses créateurs. « Nous avons fait breveter le design. C’est pour cette raison que le logo de la 2 Div CA sera apposé à l’arrière de chaque plateau-repas bleu », conclut Adjum Lavoie
Retenues d’impôts à la source : une stratégie efficace pour sa transition de carrière ?
Tout résident canadien paie l’impôt sur le revenu. Généralement, on paie cet impôt au moyen d’une retenue à la source. Ce sont les employeurs et les administrateurs de régimes de retraite qui effectuent des versements et ont la responsabilité de retenir les sommes fixées par les autorités fiscales.
Les retenues à la source sont donc des sommes prélevées à chaque montant de rémunération que vous recevez, qu’il s’agisse d’une pension, d’une rente ou d’un salaire. Ces sommes sont calculées en divisant le paiement total de l’impôt annuel sur votre revenu imposable, selon votre fréquence de paiement.
Si vous ne percevez qu’un seul revenu imposable, votre pension par exemple, le calcul de votre retenue d’impôt ne sera pas compliqué. Si vous avez plusieurs T4, la situation se corse. La question qui tue : quel sera le taux des prélèvements en fonction du total à payer pour les différents revenus ?
En effet, chaque employeur ou gestionnaire de pension fixe la retenue sur les sommes qu’il vous verse en considérant que c’est votre seul revenu. Il y a un risque réel que les prélèvements soient insuffisants pour l’ensemble de vos revenus.
Exempleconcret: vous avez un revenu d’emploide30000$etuneprestation d’unrégimederetraitede30000$.
Pour ces revenus, on vous retiendra deux fois 3802$,soit7604$autotal.Par contre, sur un revenu annuel de 60000$, c’est 12900$enimpôtsàpayer! En fin d’année, le fisc vous informerait d’un solded’impôtsàpayerde5296$…ouch! Il est donc très important de comprendre que votre perception à la source doit correspondre au montant annuel total de votre impôt sur le revenu.
Dans votre trousse de transition de carrière, vous trouverez 2 formulaires à fournir indiquant vos instructions de retenue d’impôt pour votre pension. Les informations à compléter seront minimales : nom, prénom, NAS et signature. Mais, comme expliqué cidessus, vous aurez tout intérêt à faire ajuster votre retenue d’impôt si vous avez plusieurs T4, pour éviter les mauvaises surprises. Votre conseiller financier sera votre interlocuteur de confiance pour vous aider à évaluer le taux optimal de prélèvement.
PATRICE BERGERON Directeur général
| Yves Bélanger, Servir
N.D.L.R. Servir poursuit sa série d’articles sur les Services techniques du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada (Svc Tech GS 2 Div CA).
Au Québec, les Services techniques ont des magasins d’habillement aux Garnisons Saint-Jean et Montréal, à la Base de soutien Valcartier, ainsi que sur les sites de Sherbrooke, Shawinigan et Rimouski. Ils desservent les membres de la Force régulière, de la Force de réserve et du Cadre des instructeurs de cadets.
Le magasin d’habillement de la garnison SaintJean est le plus imposant des Forces armées canadiennes. « Il dessert l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes qui forme de 4 500 à 6 500 candidats par année ! Presque chaque semaine, de nouveaux pelotons commencent leur qualification militaire de base », explique lieutenant-colonel Enrico Pelle, commandant des Svc Tech.
Louise Bouchard, magasinière à l’habillement Saint-Jean, doit s’assurer que les stocks sont suffisants. « Quelquefois, il y a des articles qui sont en rupture de stock chez nos fournisseurs. Je dois donc trouver une solution pour que les candidats de l’ELRFC ou du Collège militaire royal de Saint-Jean aient tous les vêtements dont ils ont besoin. » Mme Bouchard dit adorer son travail qui lui permet de côtoyer beaucoup de futurs militaires et de militaires en service. « Avec un tel poste, j’ai à relever des défis régulièrement. Ça me plaît beaucoup. »
Depuis le début de l’année 2024, les nouveaux uniformes de combat modernisé – multi-terrain (UCM-MT) des Forces armées canadiennes (FAC) sont distribués aux militaires. À la fin de l’année 2025, les dizaines de milliers de militaires œuvrant dans la zone de responsabilité des Svc Tech devraient avoir reçu les leurs.
« La priorité a été de fournir le nouveau UCM-MT aux militaires de la 2e Division du Canada déployés à l’étranger, comme sur l’OP RÉASSURANCE », mentionne Lcol Pelle. « Nous devons ensuite desservir les différentes unités de la Force régulière et de la Réserve. »
Lcol Pelle explique que cet uniforme est plus polyvalent. « Il s’adapte mieux aux environnements où l’on retrouve de la végétation et à ceux qui sont plus ouverts. Il pourra être porté dans une plus grande majorité des pays où nous avons des opérations. »
Les FAC assurent que ce nouveau camouflage comportant cinq teintes rend ces uniformes plus difficiles que jamais à être détectés par les capteurs infrarouges et multispectraux, les algorithmes de l’intelligence artificielle et l’œil humain.
Leur coupe est similaire à 95 % aux uniformes précédents. « Un projet est en cours afin d’apporter quelques changements, notamment pour les uniformes des femmes. Ce vêtement devrait éventuellement être plus ajusté que celui que nous portons actuellement », précise Lcol Pelle en indiquant que ces changements devraient être apportés au cours des deux prochaines années.
Un service de commande en ligne devrait voir le jour au cours de la prochaine année dans le cadre du Contrat consolidé vêtements et chaussures opérationnels qui unit Logistik Unicorp et le ministère de la Défense nationale dans la gestion du matériel. « Les militaires pourront commander à distance leurs bottes et vêtements opérationnels sans avoir à se rendre à l’un de nos magasins », conclut Lcol Pelle.
Après 25 ans de service, caporale-chef (ret) Louise Bouchard avait envie de continuer à travailler pour les Forces armées canadiennes (FAC) comme employée civile. Depuis 2005, elle œuvre à la section habillement de la Garnison Saint-Jean. « J’ai les FAC tatouées sur le cœur », lance en riant celle qui n’a jamais regretté sa décision de s’enrôler. « J’avais besoin d’un endroit où la discipline était primordiale. Je voulais aussi un employeur dont je serais fière et où je pourrais développer un réel sentiment d’appartenance. Les FAC m’ont vraiment donné un but dans la vie ! »
| Yves Bélanger, Servir
Lieutenant-colonel Enrico Pelle, commandant des Services techniques du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada (2 Div CA), spécifie que la 2 Div CA est vraiment à l’avant-garde en ce qui concerne la quantité de véhicules hybrides et électriques dont elle dispose. « Nous n’avons pas attendu qu’on nous impose ces véhicules avant de les intégrer à notre parc. »
Minifourgonnettes, camionnettes, camions avec ou sans remorque, autobus, chariots élévateurs et quads font partie du parc de véhicules. « Toute la maintenance est effectuée par nos équipes de mécaniciens », mentionne Patrick Fortin, gérant du service de maintenance au Svc Tech. M. Fortin explique que l’équipe de mécaniciens est hautement compétente. « Ils maintiennent leurs savoirs à jour, et ce, sur une base régulière. Ils sont aussi à l’aise avec la mécanique traditionnelle, qu’avec celle des véhicules électriques. »
Voici la liste des véhicules hybrides ou entièrement électriques des Svc Tech du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada :
Garnison
D’ici la fin de l’année, 17 camionnettes électriques seront réparties entre les Garnisons Saint-Jean et Montréal. À la Base de soutien Valcartier, 11 véhicules électriques s’ajouteront au parc ainsi que 10 nouveaux véhicules hybrides.
| Yves Bélanger, Servir
Saviez-vous que ce sont des militaires des Services techniques (Svc Tech) du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada (GS 2 Div CA) qui sont appelés à intervenir lorsque des obus ou autres explosifs sont découverts ? Et que l’unité est à l’avantgarde en matière de transport ?
Eh oui ! Les différents corps policiers du Québec font appel aux Svc Tech lorsque ce genre de situation survient. « C’est nous qui détenons l’expertise première dans ce domaine. Les membres de mon équipe sont très sollicités à cet effet », indique lieutenant-colonel Enrico Pelle.
Cette équipe est disponible en tout temps, 24/7. On retrouve ses membres au site d’entraînement de Farnham et à la Base de soutien Valcartier. « Ils travaillent sur appel, selon un horaire rotatif. Ils doivent toujours être prêts. »
Le commandant partage deux exemples d’intervention, la plus récente ayant été demandée par le Service de police de la Ville de Montréal. « Une grenade a été découverte dans un appartement. Notre équipe s’est rendue sur place afin de vérifier si elle était inutilisable ou s’il fallait la désamorcer pour éviter tout incident grave. Une autre fois, l’équipe a dû se rendre aux Îles de la Madeleine parce qu’un obus y avait été découvert. »
Ces explosifs sont souvent découverts lorsque le sol est creusé dans le cadre d’un projet immobilier. « Il y a aussi des familles de collectionneurs décédés qui nous appellent, car ils ne savent plus quoi faire avec ces objets devenus indésirables. »
AviateurDuboisetaviateurGagnéarriment despalettesd’avionservant au transport du matériel essentiel sur la remorque en vue du déplacement routier vers l’entrepôt de la Force opérationnelle interarmées–Nord.
Les Services techniques du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada fournissent et assurent des services institutionnels de base en matière d’approvisionnement, de transport, de mouvement et de maintenance aux unités et entités assignées dans leur zone de responsabilité qui inclut Montréal, Saint-Jean et Valcartier.
| Sergent Marc Paquette,
sergent de transition, CT FAC – Valcartier
Du 24 au 28 février 2025, les quatre centres de transition de l’Unité de transition des Forces armées canadiennes Québec (UT FAC Qc) — Valcartier, Montréal, Saint-Jean et Bagotville — se sont réunis à Valcartier pour leur formation régionale annuelle.
Cette rencontre, réunissant l’ensemble du personnel militaire, les employés de la fonction publique ainsi que des partenaires tels que les officiers de liaison famille et le Centre de ressources pour les familles des militaires, a offert l’opportunité de participer à divers ateliers et groupes de travail. Chacun a pu partager ses préoccupations quotidiennes et échanger sur les défis rencontrés dans les différentes régions.
L’événement a également mis en lumière un esprit d’entraide, avec un riche partage d’idées et de solutions, renforçant ainsi la collaboration entre les équipes et favorisant une amélioration continue des pratiques au sein de l’unité. Des membres de l’organisation ont également été récompensés par quelques prix au cours de la semaine, notamment capitaine Suzanne
Vermette et sergente Jeannie Gilbert qui ont reçu la Médaille du couronnement du Roi Charles III.
Le mercredi 26 février, la lieutenante-colonelle Claudie Thériault a organisé le premier dîner régimentaire de l’unité, un moment fort de convivialité et de cohésion. L’événement s’est tenu au mess des officiers de la Citadelle de Québec, où, dans son discours de fin de soirée, la commandante a souligné l’importance de cette initiative. Elle a rappelé que, pour une jeune unité comme l’UT FAC Qc, de telles activités sont essentielles pour forger une identité propre et renforcer les liens au sein de l’organisation.
La semaine s’est conclue sur une note positive avec un déjeuner au centre Castor, suivi d’une conférence intitulée Comment chasser le mammouth sans y laisser sa peau. Animée par madame Marie-France Marin, cette conférence a abordé la gestion du stress, un sujet d’actualité pour les membres de l’unité.
Suivant la formation régionale annuelle, dans le cadre de ses initiatives visant à soutenir la transition des militaires vers la vie civile, la commandante a organisé sa première rencontre générale de 2025. Ces rencontres ont pour objectif de sortir les militaires de leur routine quotidienne en les invitant à participer à des conférences susceptibles de leur fournir des outils précieux pour leur avenir post-service.
Lors de cette rencontre générale, l’invité d’honneur était Étienne Boulay, ancien joueur professionnel de football, notamment pour les Alouettes de Montréal, avec qui il a remporté deux Coupes Grey. M. Boulay a partagé les hauts et les bas de sa carrière sportive, mais aussi de sa transition difficile vers une nouvelle carrière après avoir quitté le monde du football. Une expérience qui résonne particulièrement auprès des membres des FAC qui traversent des défis similaires dans les centres de transition de la région.
L’intervention de M. Boulay n’a pas seulement été un témoignage sur le parcours d’un athlète, mais aussi une réflexion sur les défis émotionnels et professionnels que rencontrent les militaires qui, comme lui, doivent se réinventer après une carrière. À l’issue de sa présentation, il a ouvert le dialogue en répondant aux questions des militaires présents. Il a également pris le temps de rencontrer personnellement ceux qui le voulaient, offrant des moments d’échange et de photos. Les membres présents ont exprimé leur gratitude, soulignant que ce genre de présentation était non seulement pertinent, mais également inspirant. L’activité leur a offert des perspectives précieuses pour aborder leur propre transition vers la vie civile avec plus de confiance et de préparation.
| Yves Bélanger, Servir
D’ici quelque temps, les gens qui circulent sur les terrains de la Garnison Saint-Jean verront disparaître du paysage deux bâtiments datant de la Seconde Guerre mondiale, les hangars H-104 et HD-4.
Les deux bâtiments étaient utilisés jusqu’en 2023 par l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC). Leur destruction est prévue depuis la construction du nouveau bâtiment académique.
Major Érick Marcoux-Poussart, commandant du Centre des opérations de la Garnison Saint-Jean, indique que d’ici quelques jours les travaux devraient débuter pour le H-104. « Un mois plus tard, ce sera au tour du HD-4 d’être démoli. »
Jusqu’à maintenant, aucun projet n’a officiellement été fait pour le terrain du HD-4. « Toutefois, sur le site du H-104, nous comptons aménager un stationnement, car les nôtres sont utilisé au maximum de leur capacité », conclut Maj Marcoux-Poussart.
| Yves Bélanger, Servir
Au cours des derniers mois, le département du Conditionnement physique et des sports de la Garnison Saint-Jean a accueilli 13 nouveaux moniteurs en conditionnement physique et sport, portant leur nombre à 21. L’équipe est maintenant prête à affronter le plus grand nombre de candidats que les Forces armées canadiennes souhaitent accueillir annuellement.
Actuellement, 21 moniteurs sont en poste. Jean-François Bernard, gestionnaire du Conditionnement physique et des sports, mentionne que depuis la pandémie de la COVID-19, beaucoup d’énergie a été déployée pour recruter de nouveaux moniteurs. « Ces nouveaux employés apportent une belle énergie. Ils vont nous permettre de bien répondre aux besoins de notre principal client, l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC). »
Il mentionne que le nombre de candidats à l’ELRFC a augmenté considérablement au cours des derniers mois et qu’il y en aura encore plus d’ici la fin de l’année. « En 2024, nous avons entraîné physiquement les candidats de 94 pelotons. Depuis le début de 2025, nous avons accueilli pas moins de 33 nouveaux pelotons. En avril, le nombre de pelotons à l’ELRFC est passé à 27. » Notons qu’initialement, un peloton est composé de 60 candidats.
M. Bernard raconte avec fierté que les moniteurs de son département sont d’une grande efficacité. « Ils travaillent tous très fort pour donner les classes d’entraînement aux candidats de l’ELRFC et seconder les nouveaux moniteurs. »
Il explique que bien que les nouveaux employés soient qualifiés, ils doivent apprendre les entraînements spécifiques à faire avec les candidats de l’École avant de pouvoir travailler en solo. « Ils doivent notamment apprendre les méthodes d’évaluation des candidats et les particularités de l’évaluation FORCE. Il faut compter environ 34 mois à un nouvel employé pour qu’il arrive à se familiariser avec la vie militaire et bien comprendre la réalité des candidats. »
Un des défis auxquels les moniteurs sont confrontés est le niveau de forme physique des candidats lorsqu’ils arrivent à l’ELRFC. « Pour certains, l’entraînement ne faisait pas partie de leur quotidien avant. Les moniteurs doivent donc partir du début en leur enseignant la marche, la course, le conditionnement physique de base et la récupération. »
M. Bernard en profite pour mentionner que cinq postes sont toujours à pourvoir au sein de son équipe et que son département est en plein recrutement. « Passez le mot à votre entourage ! »
Pascal Raymond est arrivée aux Programmes de soutien du personnel (PSP) – Région Montréal le 1er octobre 2024. Après avoir enseigné l’activité physique aux adolescents pendant plusieurs années, il a eu envie de vivre quelque chose de différent. »
Il connaissait déjà assez bien le fonctionnement des PSP. « En 2005, j’avais fait mon dernier stage universitaire ici, à la Garnison Saint-Jean. Ayant aimé mon expérience, j’ai décidé de postuler pour être moniteur en conditionnement physique et sport. »
Il note que des changements ont eu lieu entre 2005 et aujourd’hui, le principal étant l’enseignement aux candidats de l’ELRFC. « Par exemple, je trouve que les instructeurs sont plus souples qu’il y a 20 ans avec les militaires en devenir. C’est une bonne chose selon moi. »
Émilie Jutras-Stewart est également une des nouvelles employées. Elle est arrivée le 6 janvier. « J’ai terminé mes études en juin 2024. Je cherchais à avoir plus de stabilité dans ma vie et ce poste me semblait parfait pour cela. »
Elle dit ne pas regretter son choix et elle s’adapte bien à la communauté militaire. « Pour moi, ce n’était pas un monde inconnu. Mes grands-parents sont des vétérans. J’ai également un frère et une sœur qui sont membres des Forces armées canadiennes. »
Pour postuler un emploi de moniteur en conditionnement physique et sport
| Yves Bélanger, Servir
Qui n’a jamais eu recours à la ligne d’aide du Centre des Services des technologies de l’information (CSTI) ? Vous savez, ce qui s’appelait autrefois le 7777 et qui est maintenant le 1-877-779-0577 ? Servir vous présente les travailleurs de l’ombre des Services des technologies de l’information (Svc TI) du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada. Au sein des divers départements, ces spécialistes résolvent nos mille et un problèmes informatiques.
Oups ! Notre ordinateur ne nous permet plus d’accéder au Réseau étendu de la Défense. Oups ! Il ne répond plus aux commandes. Oups ! Un de nos écrans s’est éteint. Ah oui ! Nous aimerions avoir la même application qu’un de nos collègues a sur son ordinateur. Ce ne sont là que quelques-unes des raisons pour lesquelles nous faisons appel aux spécialistes des Svc TI via le Portail libreservice (assysNet).
Dans la région de Montréal, quotidiennement, près d’une centaine de billets sont ouverts dans le portail. Les membres de l’équipe des Svc TI s’entendent pour dire que lorsqu’il n’y a que 70 billets ouverts au cours d’une journée de travail, il s’agit d’une journée tranquille !
À distance, ces spécialistes de l’informatique tentent de trouver une solution à nos problèmes. Ils y arrivent dans la majorité des cas. Dans le cas contraire, Ils redirigent la demande vers une autre ressource interne au Svc TI : l’équipe de 2e ligne du CSTI.
L’atelier de soutien informatique MontréalSaint-Jean est au nombre de ces ressources. Elle est supervisée par Michel St-Cyr et composée de techniciens en informatique (militaires et civils). Ils interviennent sur place pour résoudre les problèmes qui n’ont pu être réglés à distance par la première équipe du CSTI. «Nos spécialistes de l’équipe de soutien informatique traitent principalement les demandes liées à la lenteur des ordinateurs et du réseau, les bris d’ordinateur, les problèmes avec les stations d’accueil de portables, l’ajout de logiciels, la gestion des licences et la restauration de l’image système des ordinateurs dans notre secteur de responsabilité », précise M. St-Cyr.
Actuellement, uniquement sur les Garnisons Montréal et Saint-Jean, plus de 3 600 ordinateurs sont connectés au Réseau étendu de la Défense, principalement des ordinateurs portables. L’équipe supporte également les 1 800 portables destinés à l’instruction des candidats de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes.
Chaque année, le remplacement des ordinateurs désuets occupe une part importante du travail de l’équipe. Chaque ordinateur ayant un cycle de vie de cinq ans, il est nécessaire de prévoir annuellement l’achat et l’installation de nouveaux appareils, ce qui demande beaucoup d’énergie en raison du nombre d’ordinateurs en service sur les différents réseaux.
Parmi les projets à court terme, la priorité est centrée sur la migration vers Windows 11 de tous les ordinateurs de la 2 Div CA, prévue d’ici le 11 octobre 2025. Des investissements considérables sont déployés pour la mise à niveau de notre réseau Infrastructure du réseau secret consolidé (IRSC). L’acquisition et l’installation d’équipement comme des commutateurs, des aiguilleurs, des ordinateurs, des écrans et des imprimantes se poursuivront cette année dans toutes les salles de communication niveau 2 de la 2 Div CA.
Notons que les demandes dépassant les responsabilités des techniciens de l’équipe de soutien informatique sont redirigées vers
d’autres équipes des Svc TI. « Il est de notre responsabilité d’en faire la résolution ou d’en faire l’escalade, au besoin », conclut M. St-Cyr.
Quelquefois, les demandes de logiciel ou de matériel effectuées aux Services des technologies de l’information dépassent les normes permises au sein des Forces armées canadiennes (FAC). Elles sont alors acheminées au Bureau de gestion des services TI.
Sharon Parent, chef du Bureau de gestion des services TI, explique que son équipe formée de six analystes a pour mandat de recevoir ces demandes non-standards. « Mon équipe va regarder les demandes, les analyser et proposer, avec l’aide des sections techniques de l’Escadron Tech, des solutions aux unités concernées. Cela représente 85 % de notre travail. »
Elle mentionne qu’une fois les demandes bien comprises, les analystes commencent par voir si le catalogue de services contient déjà un outil ou logiciel similaire. « C’est pour cette raison qu’il est très important que chaque demande qui nous est acheminée soit la plus claire et précise
Erick Buzzanga occupe les postes de chef du Bureau de projets et de coordonnateur de l’Escadron technique. Il explique que la principale mission de son équipe est de gérer des projets qui répondent aux besoins des clients tout en respectant les normes techniques. « En fait, nous sommes les chefs d’orchestre des projets informatiques. Nous les gérons grâce à notre équipe de spécialistes. Nous nous démarquons en offrant des technologies fiables et en composant avec les changements nationaux afin de trouver des solutions tout en minimisant les impacts sur les clients. »
Dans une organisation telle que la 2 Div CA, on ne peut pas implanter et procéder à des changements technologiques aussi facilement qu’on peut le faire sur un ordinateur personnel. « En plus de s’assurer de la compatibilité des systèmes, nos spécialistes doivent s’assurer de leur fiabilité, de leur stabilité et que les coûts respectent le budget annuel qui nous est alloué par la Défense nationale. »
possible. Il faut aussi que les demandes qui nous sont présentées par les unités soient appuyées par leur chaîne de commandement. Ce serait malheureux de travailler sur un projet qui, à la fin, pourrait être refusé par le commandant de l’unité. » Par la suite, la majorité de ces demandes vont en gestion de projet afin d’être livrées au client.
Les demandes les plus fréquentes qui atterrissent au Bureau de gestion des services TI concernent l’acquisition de moyens permettant la numérisation des processus d’affaires, incluant des équipements informatiques, des logiciels ou une application, des équipements audiovisuels et même des technologies opérationnelles. « Nous faisons de notre mieux pour desservir notre clientèle. Toutefois, les unités doivent être conscientes que nos services sont régis par des politiques et des normes, bien souvent dictées par le national, et que nous ne pouvons pas toujours nous permettre d’offrir des produits à la fine pointe de la technologie ou les produits ou logiciels que le client aurait souhaités. »
L’équipe de soutien informatique a développé une base de connaissances pour aider les usagers de la 2e Division du Canada à résoudre leurs problèmes informatiques.
« Cette banque, accessible sur le Réseau étendu de la Défense, vise à accélérer et à améliorer nos services. Plusieurs problèmes mineurs peuvent être facilement réglés en suivant les directives que l’on retrouve en ligne, dans la Base de connaissances », explique fièrement Michel St-Cyr, superviseur du soutien technique.
Actuellement, la Base contient près de 80 articles sur des sujets comme Comment configurer un portable DWAN pour une zone de sécurité, Machine Interac, Comment supprimer définitivement un document sur OneDrive D365 et Différentes options pour vos réunions/conférences/ événements. Chaque mois, de nouveaux sujets s’ajoutent. « Je crois bien que les usagers apprécient notre banque de connaissances, car depuis sa mise en ligne, le nombre d’appels téléphoniques à nos techniciens a diminué. »
La Base de connaissances est en français seulement, mais l’outil de traduction automatique du navigateur Web peut être utilisé pour traduire les articles.
Chaque semaine, les Svc TI reçoivent diverses demandes. Stéphane Tanguay, chef des systèmes spéciaux, explique que la principale mission de son équipe est de répondre aux demandes nécessitant un logiciel ou une technologie non compatible avec le Réseau étendu de la Défense. « Nous sommes là pour fournir des services TI qui répondent aux besoins des clients tout en respectant les normes techniques. »
L’équipe des services spéciaux répond aux besoins spécifiques des usagers en adaptant des logiciels et équipements commerciaux pour les rendre compatibles avec les technologies opérationnelles de la Défense. « Notre défi consiste à standardiser des systèmes qui ne le sont pas, à gérer les systèmes en production et à améliorer constamment la cybersécurité. »
Parmi les projets qui occupent plus particulièrement l’équipe de M. Tanguay, on retrouve les systèmes de surveillance de la 2 Div CA, ainsi que la création de systèmes d’accès et de systèmes audiovisuels compatibles. « Nous travaillons aussi à mettre en place un centre de simulation médicale. »
Vous trouvez que votre ordinateur est plus lent qu’à l’habitude ? Redémarrez-le afin de vous assurer que toutes les mises à jour sont effectuées, même celles de l’antivirus.
« Les mises à jour sont faites sur une base régulière. Lorsqu’elles ne sont pas effectuées sur un ordinateur, cela peut le ralentir considérablement. Pour être assurés que les mises à jour soient opérationnelles, nous recommandons aux employés de laisser leurs ordinateurs allumés lorsqu’ils quittent le bureau en fin de journée. Il est aussi important de redémarrer l’ordinateur régulièrement », explique Michel St-Cyr, superviseur de l’équipe de soutien informatique.
Déménagement simplifié –des solutions hypothécaires personnalisées pour les familles de militaires.
• Économisez jusqu’à 491 $* par année sur les frais bancaires grâce au compte de chèques du programme Performance.
• Obtenez une prime allant jusqu’à 4 100 $* avec un nouveau prêt hypothécaire de BMO.
• Ayez la possibilité de résilier votre prêt hypothécaire sans pénalité lorsque vous êtes affecté en vertu des Directives de réinstallation des Forces armées canadiennes ou de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
• Obtenez les rabais réservés aux employés de BMO sur un éventail d’options hypothécaires. Consultez le site bmo.com/sbcdcperiodedesaffectations
| Lieutenant Felipe Posada, Black Watch
Cette série d’articles, qui a débuté en juillet, raconte l’illustre histoire du Black Watch (Royal Highland Regiment) of Canada en présentant une sélection d’objets de son musée situé au manège militaire de la rue Bleury à Montréal. Ce troisième volet se concentre sur la participation du Régiment à la Seconde Guerre mondiale.
Des livres entiers et des documentaires, tels que Seven Days in Hell de David O’Keefe ou The Black Watch Snipers de History Channel, ont relaté les exploits héroïques du Régiment pendant ce conflit. Cet article ne met en lumière qu’une petite partie des nombreux événements vécus par les Royal Highlanders au cours de ces six années de guerre.
Les Royal Highlanders of Canada avaient déjà acquis une reconnaissance internationale pour la bravoure de ses trois bataillons (13e, 42e, 73e) lors de la Première Guerre mondiale. En 1939, le Régiment, qui avait été rebaptisé
The Black Watch (Royal Highland Regiment) of Canada en 1930, était la seule unité de milice du pays à compter deux bataillons puissants basés dans la même ville. Beaucoup de ses sous-officiers étaient des vétérans de la Première Guerre mondiale.
La guerre fut déclarée en septembre 1939 et le Black Watch partit pour le Royaume-Uni en août 1940, après plusieurs mois d’entraînement et de service à Terre-Neuve.
Pendant près de deux ans, le Black Watch est stationné dans le sud de l’Angleterre, où il effectue des exercices d’entraînement et de défense côtière. Le 19 août 1942, deux détachements du Régiment, l’un composé de trois pelotons de fusiliers et l’autre de mortiers, sont sélectionnés pour participer au raid de Dieppe.
Le plan prévoyait que les fusiliers du Black Watch fassent partie de la troisième vague d’attaque, chargés de capturer les batteries antiaériennes, tandis que les mortiers du bataillon fournissaient de la fumée et des tirs explosifs pour soutenir l’assaut. Après huit heures de combats acharnés, les défenseurs allemands repoussèrent les forces alliées avec de lourdes pertes.
Trois soldats du Black Watch furent tués, huit disparurent, 17 furent blessés et 57 furent faits prisonniers.
Presque deux ans après le raid de Dieppe, le Black Watch arriva en Normandie le 6 juillet 1944, un mois après le jour J. Après une série de victoires âprement disputées, le Régiment fut confronté à sa plus grande épreuve lors de l’Opération Spring.
Le 25 juillet, les Highlanders reçurent l’ordre de s’emparer de la crête de Verrières lors d’un assaut matinal visant à contourner la 1re division SS Panzer (Leibstandarte). En remontant la pente, ils furent accueillis par des tirs dévastateurs provenant de positions allemandes dissimulées dans les champs de blé et furent touchés par des tirs concentrés de chars, d’artillerie et de mitrailleuses à bout portant. Des sections entières du Régiment furent décimées alors qu’elles avançaient sans le soutien promis de l’artillerie ou des chars. Seule une fraction des assaillants atteignit le sommet de la crête. La bataille se solda par des pertes catastrophiques : 324 victimes, dont 120 tués, parmi lesquels le major Griffin qui prit le commandement lorsque le lieutenant-colonel Cantlie fut tué plus tôt dans la matinée alors qu’il effectuait une reconnaissance avant l’attaque.
Après la libération de la France, les forces britanniques et canadiennes ont pénétré aux Pays-Bas. Bien que les troupes britanniques aient libéré Anvers, son port ne pouvait pas être utilisé tant que l’estuaire de l’Escaut n’avait pas été débarrassé des forces allemandes.
Le 31 octobre, le Black Watch a mené l’attaque sur l’île de Walcheren, avançant le long d’une chaussée étroite d’un kilomètre et demi sous le feu incessant de l’ennemi. Cloués au sol par les chars, les mitrailleuses et les mortiers allemands, les Highlanders ont subi de lourdes pertes. L’attaque fut finalement repoussée et les éléments avancés se retirèrent à la tombée de la nuit.
Cette scène déchirante est recréée dans le film de Netflix de 2020, The Forgotten Battle, dans lequel on voit des soldats portant des uniformes du Black Watch avec des écussons de la 2e Division canadienne au combat.
Le coût de la campagne fut élevé. Au cours du seul mois d’octobre, le Black Watch perdit 400 officiers et hommes du rang, tués, blessés et faits prisonniers. Pendant les six mois suivants, ils continuèrent à se battre pour libérer les Pays-Bas, une mission qui forgea un lien durable entre le Régiment et le peuple néerlandais.
Après six longues années, le Black Watch rentra enfin à Montréal le 21 novembre 1945. On estime que le Régiment a subi les pertes les plus lourdes de toutes les unités du 21e Groupe d’armées du maréchal Montgomery. Les pertes totales pour l’ensemble du Régiment s’élèvent à quelque 150 officiers et plus de 2,000 membres des autres grades.
La bravoure et le sacrifice du Black Watch (Royal Highland Regiment) of Canada pendant la Seconde Guerre mondiale restent un élément essentiel de son héritage légendaire, qui continue d’inspirer les générations futures.
Pendant la guerre, le caporal Jim Wilkinson se lia d’amitié avec une famille néerlandaise. Entre 1946 et 2010, il fit 42 voyages aux Pays-Bas. L’une des enfants de la famille devint une artiste renommée et, lors d’un voyage de la Black Watch Association en Europe en 2009, elle lui offrit une sculpture représentant un soldat du Black Watch avec une jeune fille néerlandaise. Plusieurs moulages furent réalisés et offerts aux membres du Régiment.
Pour en apprendre davantage, vous pouvez consulter notre histoire régimentaire, publiée récemment en trois volumes. Vous pouvez vous procurer ces livres à notre manège ou sur le site de McGill-Queen’s University Press.
Le Black Watch Museum est ouvert le mardi de 18 h à 20 h, et sur rendez-vous en écrivant à museum@blackwatchcanada.com
Lisez les deux premiers articles de la série
des opérations
| Yves Bélanger, Servir
L’automne dernier, les coordinations des Garnisons Saint-Jean et Montréal sont devenues des centres des opérations (CENOPS). Le Service des opérations (Svc Ops) du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada espère ainsi mieux faire comprendre le rôle de ces équipes aux membres de l’Équipe de la Défense qui circulent sur les deux garnisons.
Rencontrés à ce sujet, major Érick MarcouxPoussart et adjudant-maître Steve Martin, respectivement commandant et sergent-major du CENOPS Saint-Jean, indiquent que c’est le commandant du Svc Ops, lieutenant-colonel Félix St-Jean, qui a instauré ce changement lors de son arrivée en poste en juin dernier. « Il souhaitait uniformiser l’appellation de notre service avec celui des autres bases et garnisons des Forces armées canadiennes. »
Maj Marcoux-Poussart est arrivé en poste l’automne dernier. Il a pris la relève du major Kevin Bellefontaine, récemment déployé en Lettonie. Il explique que le mot « coordination » ne correspondait pas tout à fait avec le mandat du CENOPS. « Nous voulions que les gens comprennent bien que c’est avec nos équipes qu’ils doivent communiquer pour tout ce qui concerne l’aspect logistique des lieux. »
Adjum Martin ajoute que les militaires membres de l’équipe des CENOPS porteront un écusson sur leur uniforme. « Nous venons tout juste de recevoir les nouvelles affiches pour identifier nos locaux à la garnison Saint-Jean. De couleur
rouge, elles sont facilement reconnaissables. Nous avons fait faire des dossards rouges. Les membres de notre équipe les porteront lorsqu’ils circuleront lorsqu’il y aura des événements d’envergure sur la garnison. »
Le CENOPS Saint-Jean compte huit militaires et une employée civile. Outre le commandant et le sergent-major, on y retrouve deux caserniers, un sergent d’armes et un officier d’affaires publiques. « Pour l’instant, les deux membres de l’Imagerie relèvent également de notre service », précise Maj Marcoux-Poussart.
À la Garnison Montréal, le CENOPS est actuellement composé de dix personnes : huit militaires et deux employés civils. En septembre, s’ajoutera un sergent-major. L’équipe travaille sous le commandement de major Jean-Claude Sénécal.
Maj Sénécal explique que les CENOPS sont responsables de la logistique des bâtiments aménagés sur les terrains de chacune des garnisons, mais qu’ils ont également hérité de plusieurs responsabilités autrefois confiées aux Centres de soutien (CENSOUT). « Entre
autres, nous gérons maintenant les communications, autant avec les unités de la Force régulière qu’avec celles de la Réserve qui sont hébergées sur nos garnisons ou qui ont pignon sur rue à l’extérieur. »
« Partout au Canada, sur les garnisons, bases et escadres, ce sont les CENOPS qui assurent la sécurité des lieux et la résilience des membres », explique Maj Sénécal. « De plus, ils s’assurent de l’indépendance des infrastructures réparties dans la zone d’opérations. Par exemple, puisque les Forces armées canadiennes représentent le dernier recours lors d’incidents, nos bâtiments doivent être autosuffisants, notamment en matière d’électricité. »
Aux Garnisons Montréal et Saint-Jean, toutes les demandes ayant un lien avec les infrastructures doivent être adressées aux Centres des opérations. Voici ce dont ils sont responsables :
• la gestion administrative des bâtiments situés sur les garnisons
• la réception des demandes et du suivi des réparations pour tous les bâtiments situés sur les garnisons
• la gestion des salles de conférences, des salles de classe et des auditoriums
• l’inspection générale des garnisons
• le maintien des bonnes relations avec les municipalités environnantes
• la gestion de la page Facebook des garnisons
• la coordination logistique des activités spéciales ayant lieu sur les terrains des deux garnisons
SvcOpsCENOPSMontreal@forces.gc.ca
SvcOpsCENOPSst-jean@forces.gc.ca
Le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) – Région de Montréal offre des services d’aide à l’emploi aux membres des familles de militaires. Estelle Auger, coordonnatrice à l’emploi et l’éducation, est là pour les accompagner dans leurs différentes démarches.
Mais saviez-vous que régulièrement, le CRFM a des postes à combler ?
Au moment d’écrire cet article, l’équipe recherche les profils suivants :
• éducateur ou éducatrice pour la halte-garderie
• commis à l’accueil
• enseignant ou enseignante de langue seconde
• adjoint ou adjointe à la dotation et à l’intégration.
« Sur notre portail, nous avons une page dédiée à nos offres d’emploi », explique Catherine Bourassa, directrice des ressources humaines. « Nous sommes également toujours contents de recevoir des candidatures spontanées. N’hésitez pas à nous soumettre votre CV ! »
Pour soumettre votre candidature spontanée : SvcPersCRFMServiceRH@forces.gc.c
Vétérans et vétéranes : des rencontres
pour vous !
Le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) – Région de Montréal invite les vétérans et vétéranes à participer à des activités avec les jeunes enfants de sa halte-garderie du point de service de Saint-Jean.
Selon leurs intérêts, les vétérans et vétéranes pourront participer à des activités comme le dessin, le bricolage, la lecture, le jardinage, des jeux extérieurs ou des ateliers de cuisine. Le tout se déroulera en présence d’une éducatrice.
Cette initiative vise à offrir aux vétérans un moyen de briser l’isolement social, tout en favorisant un sentiment d’utilité et de partage intergénérationnel. Pour les jeunes enfants, il s’agira d’une opportunité de rencontrer des vétérans et vétéranes d’expérience, d’enrichir leurs compétences sociales et de recevoir un savoir précieux.
Les activités se dérouleront en matinée, tous les jours selon la présence des enfants à la halte-garderie de Saint-Jean.
Pour plus d’informations ou pour participer : felixlafleur.crfm@gmail.com ou 450 358-7099 # 6209.
La période des affectations approche et de nombreuses familles de militaires devront déménager. L’initiative d’emploi pour les conjoints de militaires vise à offrir aux époux/épouses et aux conjoints/conjointes de fait des militaires des possibilités d’emploi au sein de la fonction publique fédérale, ainsi qu’à leur fournir des outils et des ressources en matière d’emploi.
Le ministère de la Défense nationale s’est engagé à soutenir les membres des Forces armées canadiennes (FAC) et leurs familles et il a pris les mesures suivantes :
• Élargissement des critères d’admissibilité pour inclure les conjoints/conjointes survivants des membres des FAC dont le décès est attribuable au service.
• Établissement d’un besoin organisationnel afin de donner la priorité aux conjoints/conjointes des militaires lorsque des postes vacants sont à pourvoir.
• Établissement d’une exception préapprouvée au modèle de travail hybride commun pour les conjoints/conjointes de militaires afin de favoriser la continuité du travail et le maintien en poste des membres des FAC dans le cadre des déploiements lorsque cela est possible sur le plan opérationnel. Cela signifie que les conjoints/conjointes des militaires pourraient être en mesure de travailler à distance sans avoir à renoncer à leur emploi actuel.
Pour obtenir les modalités d’inscription au répertoire d’emplois pour les conjoints des militaires, les types d’emploi et les critères d’admissibilité, visitez le site Web de l’Initiative d’emploi pour les conjoints de militaires.
Site Web de l’Initiative d’emploi pour les conjoints de militaires
|
Capitaine Christian Beauchamp, officier des opérations et capitaine adjudant, CC2637
Le dimanche 9 mars, les cadets du Corps de cadets 2637 Falaise-Anjou, hébergés à la Garnison Montréal, se sont entraînés à fabriquer des abris improvisés en situation hivernale à mettre en place un bivouac.
Dans des conditions hivernales, les cadets ont appris à fabriquer un abri improvisé de type tranchée de neige (tombeau) avec toit plat et à assembler des tentes de type « cinq hommes ». Le major retraité Patrick Allard, maintenant instructeur civil au corps de cadets, s’est dit satisfait de la participation des cadets et de leur travail. Les abris étaient assemblés selon les critères enseignés, c’est-à-dire qu’ils étaient sécuritaires, confortables et bien isolés.
Les cadets ont pris beaucoup de plaisir à participer à cette activité enrichissante.
| CRFM
À l’occasion de la Semaine de l’action bénévole qui se tient du 27 avril au 3 mai, le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) – région de Montréal et plus particulièrement les deux responsables du secteur intégration communautaire, Maude Laflamme et Marie-Belle Meunier, tiennent à remercier tous les bénévoles qui se sont investis auprès de l’organisme entre le 1 er avril 2024 et le 31 mars 2025.
Pour réaliser sa mission, le CRFM compte sur la présence de plusieurs dizaines de bénévoles lors de différentes activités. Les occasions sont nombreuses : l’implication au sein du conseil
d’administration, les matinées bénévoles organisées les mardis matin à Saint-Hubert ou les jeudis matin à Saint-Jean, les grandes occasions de rassemblement telles que le Gala
Sans votre implication, le CRFM ne serait pas ce qu’il est !
Vickie Archambault
Safia Benkrilty
Lise Berteau
Diane Bérubé
Laura Biehn
Frédéric Blanchard
Laurence Boily
Mélanie Campbell
Vanessa Cinquino
Linda Côté
pour les enfants de militaires, la fête d’accueil ou le brunch de Noël. Des bénévoles sont également présents ponctuellement, au fil des mois.
Michèle Séguin est conjointe de vétéran. Elle se présente au CRFM de Saint-Hubert chaque mardi matin. « Ces moments me permettent de sortir de chez moi, de m’occuper tout en partageant des instants agréables avec d’autres participants. J’apprécie particulièrement la possibilité de contribuer à ma communauté, tout en m’acquittant de diverses tâches que je trouve à la fois enrichissantes et motivantes. » Pour Michèle Séguin, ces matinées sont une belle occasion de tisser des liens tout en apportant son aide de manière concrète.
Que ce soit un acte de générosité, un moyen d’apprentissage, ou un outil de transformation personnelle, le bénévolat c’est « la plus belle expression de l’humanité ». Historiquement, la Croix-Rouge a posé les bases du bénévolat tel que nous le connaissons aujourd’hui : des individus offrant leur temps et leurs efforts pour aider les autres, sans attendre de rémunération. Depuis lors, le bénévolat s’est étendu à de nombreux domaines, allant de l’aide humanitaire à l’éducation et au soutien communautaire, devenant un pilier fondamental de la société moderne.
Alain Dubé
Sherley Dubé
Elisabeth Dyckow
Isabel Gagné Markert
Dianne Gaze
Bibiane Guertin
Francine Isabel
Maxime Joyal
Stéphanie L. Sauvé
Yvette Labrie
Marie-Danielle Lafrenière
Chantal Lussier
Mary Louise Macdonald
Ann Marcotte
Isabelle Marquis
Nicole Marsh
Ivana Matovina
Lauren McTaggart
Jennifer More
Josée Payeur
Melissa Pereira
Myrianne Poulin
Nathalie Prud’homme
Marie-Joanie Raymond
Darlene Ritchie
Carole-Anne Roux
Joanne Saccomani
Michèle Seguin
Nohémy St-Laurent
Daniel Tatone
Matthew Trottier
Amanda Trundle
Marion Turbide
Kamille Vallée
Caroline Vandoremalen
L’éducation spécialisée est un domaine fondamental pour accompagner les individus confrontés à des difficultés d’adaptation ou de réadaptation. Le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) – Région de Montréal vous invite à profiter de la gamme de services offerts par ses éducatrices spécialisées.
Les éducateurs spécialisés jouent un rôle clé en soutenant les personnes ayant des besoins affectifs, physiques, intellectuels, sociaux et familiaux particuliers, afin de les aider à s’ajuster au quotidien. Leur intervention vise à créer un environnement propice à l’harmonie familiale et à l’épanouissement personnel, en prenant en compte chaque situation de manière individualisée.
Au CRFM, Marie-Pier Otis-St-Gelais et Josiane Laguë sont au cœur de ce soutien. Ces éducatrices spécialisées travaillent avec des objectifs spécifiques et des moyens adaptés pour aider les personnes à surmonter leurs défis. Par exemple, elles peuvent se rendre au domicile des parents pour les aider à ajuster certains comportements de leurs enfants ou recommander des lectures afin d’améliorer les compétences en communication d’un membre de la famille. Elles peuvent aussi observer un enfant en classe pour proposer aux parents des conseils et recommandations adaptés à ses défis scolaires.
« Nos actions se traduisent par un accompagnement proche », explique Josiane Laguë. « Nous offrons un soutien constant aux familles en tenant compte de la dynamique familiale, de la communication et des interventions auprès des enfants. » Chaque initiative des éducatrices est pensée pour permettre une évolution positive, que ce soit à travers un suivi individuel, des formations en ligne sur la parentalité ou des ateliers éducatifs et de soutien.
Parmi les séances offertes à Saint-Hubert et à Saint-Jean, on trouve :
• les ateliers d’éveil pédagogique
• les ateliers d’art-thérapie
• les journées thématiques pour les enfants de 5 à 12 ans
• le groupe de soutien pour les papas militaires : ce nouveau projet qui vise à outiller les hommes des Forces armées canadiennes à trouver un meilleur équilibre dans leur rôle au sein de la famille
Marie-Pier Otis-St-Gelais rappelle que le soutien apporté par les éducatrices spécialisées s’étend au-delà des séances individuelles. « Nous avons aussi une liste de ressources pour permettre aux familles d’explorer des outils éducatifs, de renforcer leurs compétences parentales, et de favoriser un environnement plus harmonieux. Grâce à sa bibliothèque de prêts, le CRFM met à votre disposition des livres et des jeux éducatifs. »
Du 6 au 12 avril, s’est tenue la Semaine québécoise des éducatrices et éducateurs spécialisés. Le CRFM est fier de reconnaître et de célébrer l’impact de ses professionnelles qui, chaque jour, accompagnent les familles militaires avec dévouement et expertise. Leur travail est essentiel pour permettre à ceux et celles qui en ont besoin de surmonter leurs défis et de retrouver une qualité de vie meilleure et plus épanouie.
Information
• josianne.lague@forces.gc.ca ou 450 358-7099 # 2909 (Garnison Saint-Jean)
• marie-pier.otis-st-gelais@forces.gc.ca ou 450 462-8777 # 6852 (Saint-Hubert) ou 450 358-7099 # 2912 (Saint-Jean)
| Programme Espoir
Pour souligner la Semaine nationale de l’action bénévole qui se tiendra du 27 avril au 3 mai, le programme ESPOIR souhaite mettre en lumière le travail incroyable de nos pairs aidants.
Depuis près de 20 ans, le programme ESPOIR offre un soutien par les pairs aux membres des Forces armées canadiennes (FAC) en deuil et à leurs familles. La générosité et le dévouement des bénévoles d’ESPOIR nous ont permis d’accomplir notre mandat, qui est de soutenir les personnes dans leur deuil.
Nous avons demandé à quelques-uns de nos pairs aidants de nous faire part de leurs points de vue sur leur rôle et l’impact du soutien par les pairs. Leurs réponses soulignent l’importance du soutien par les pairs et la force de la communauté créée grâce au programme ESPOIR.
Pourquoi avez-vous décidé de vous joindre au programme ESPOIR comme bénévole ?
Bien que les façons dont ils ont adhéré au programme puissent différer, les pairs aidants conviennent que faire partie du programme ESPOIR fut comme s’ils joignaient une famille. Une fois plus avancés dans leur parcours de deuil et se sentant assez forts pour donner aux autres, ils ont décidé de participer à la formation et se sont sentis immédiatement chez eux.
Les pairs bénévoles ont indiqué que le fait de faire partie du programme est un continuum de leur processus de guérison, où il y a une réciprocité des émotions et des expériences entre les bénévoles et leurs pairs.
Nos proches ne sont jamais oubliés. »
Pourquoi pensez-vous que le support par les pairs est important ?
Les pairs bénévoles d’ESPOIR ont indiqué que, même s’ils sont bien intentionnés, les suggestions des autres, y compris des membres de la famille, sur la façon de faire son deuil peuvent souvent intensifier le chagrin.
D’un autre côté, dans une relation de soutien par les pairs, parler avec un pair bénévole formé qui a subi une perte similaire aide à normaliser les émotions du pair. Savoir que la personne à qui ils parlent a été approuvée et qu’elle comprend les hauts et les bas du processus de deuil. Les pairs sont souvent confrontés à la difficile réalisation qu’ils ont changé avec leur perte. Les pairs aidants d’ESPOIR apportent leur soutien pendant cette transition, aident leurs pairs à comprendre le processus de deuil et les guidant vers la guérison.
– Sandra Mellish, pair bénévole ESPOIR
Ils croient qu’en partageant leurs expériences de vie et leurs histoires, ils s’entraident dans leur deuil. Un grand nombre d’entre eux participent au programme depuis des années et ils croient fermement en ce programme et au lien qu’il établit avec la communauté militaire, dont faisaient partie leurs proches.
Si vous avez êtes aux prises avec votre deuil et que vous souhaitez recevoir de l’aide, n’hésitez pas à communiquer avec le programme ESPOIR au 1-800-883-6094 ou à HOPE-ESPOIR@forces.gc.ca
Qu’est-ce qui est le plus gratifiant pour vous dans votre rôle avec vos pairs ?
Les pairs aidants d’ESPOIR ont exprimé à quel point il est gratifiant de marcher aux côtés de leurs pairs dans leur deuil, et de les voir traverser de l’autre côté avec une nouvelle capacité d’envisager l’avenir. Voir quelqu’un qui n’est plus consumé par le chagrin et savoir qu’ils ont joué un rôle dans ce processus de guérison est gratifiant. Les pairs aidants sont reconnaissants d’avoir la possibilité d’être présents pour quelqu’un qui a besoin d’aide dans l’une des périodes les plus difficiles de leur vie.
Pourquoi recommanderiez-vous à d’autres d’être bénévole ESPOIR ?
Ayant vécu les effets brutaux et durables de la perte d’un être cher, les pairs bénévoles croient que des programmes comme ESPOIR peuvent transformer une perte personnelle en résultats positifs.
Le fait d’être pair aidant leur permet de redonner, tout en continuant à renforcer leurs liens avec les autres familles militaires.
La communauté ESPOIR est incroyablement solidaire et les pairs aidants ont constaté que chaque fois qu’ils aident quelqu’un d’autre, ils évoluent également dans leur propre processus de guérison. Les pairs aidants ont constaté que tout ce qu’ils apprennent en tant que bénévoles les a également aidés à progresser en tant qu’êtres humains.
Merci à nos pairs bénévoles pour leur engagement continu à fournir un soutien compatissant et significatif !
L'équipe des Programmes de soutien du personnel de la région de Montréal offre une vaste gamme de services aux membres de la communauté militaire et aux citoyens. Profitez-en !
Le 15 mars, une vingtaine de personnes ont participé à l’activité d’initiation au ski alpin des Loisirs communautaires qui a eu lieu à Ski Mont-Bruno. Avec l’encadrement des spécialistes plein air, les débutants ont pu apprendre les techniques de base de ce sport alors que les plus expérimentés ont profité des pistes de manière libre et autonome.
Sous la supervision des spécialistes des Loisirs communautaires, une quinzaine de personnes ont eu la chance d’apprendre le tir à l’arc. L’activité a eu lieu le 29 mars à la palestre de la Garnison Saint-Jean. Les spécialistes étaient également présents pour offrir des conseils techniques aux archers plus expérimentés.
Je suis fier de vous servir !
Jean-Philippe Daoust-Guernon s’est joint à l’équipe des PSP de la région de Montréal il y a trois ans. Fasciné par les Forces armées canadiennes et l’étendue des réalisations de l’Équipe de la Défense, il ne regrette vraiment pas son choix.
Son travail consiste à gérer l’équipe responsable de l’entretien des installations des PSP situées aux Garnisons Saint-Jean et Montréal et au site de Saint-Hubert. Il est également responsable des réservations des locaux situés dans les aires des PSP, de même que des plateaux sportifs intérieurs et extérieurs de la garnison Saint-Jean. On le reconnaît pour son leadership et son professionnalisme.
Dans ses temps libres, Jean-Philippe Daoust-Guernon aime bien faire du sport. Il est un amateur de hockey et de baseball. Excellent guitariste et bassiste, il consacre plusieurs heures à sa passion pour la musique. Il est d’ailleurs bassiste au sein du PSP Band qui présente chaque année un spectacle-bénéfice au profit de la Campagne de charité en milieu de travail de la Défense nationale.
Jean-Philippe Daoust-Guernon
Coordonnateur des installations des PSP
S’est joint aux PSP en mars 2022
Avis aux athlètes militaires, c’est maintenant le temps de soumettre vos résultats en vue de participer au championnat national de triathlon qui aura lieu du 26 au 29 juin à Québec, dans le cadre du Sail Challenge Cap Quebec
Si vous vous êtes qualifié pour participer au triathlon sprint ou triathlon olympique, envoyez vos résultats au département des Sports militaires de la région de Montréal avant le 9 mai 2025 à SvcOpsSportsMilitairesRegionMontreal@forces.gc.ca
Information et règlements
Numérisez le code QR pour accéder aux différentes plateformes des PSP !
Le 25 et 26 mars, aux Garnisons Montréal et Saint-Jean, les femmes militaires étaient invitées à participer à un atelier d’autodéfense. Offert par l’athlète de jiu-jitsu brésilien Gabriella Campos Mendanha, ces cours ont permis aux participantes d’apprendre différentes techniques.
Huit femmes de la Garnison Montréal et 11 de la Garnison Saint-Jean ont accepté l’invitation. Passionnée par son sport et souhaitant aider les femmes à se sentir en confiance lors de situations difficiles, Mme Campos Mendanha leur a enseigné des techniques efficaces et puissantes, qui tenaient compte de leur corps et de leur environnement. Les militaires ont dit avoir adoré leur expérience et souhaité en apprendre davantage sur le sujet.
Le cours a été offert dans le cadre du programme Femmes dans le sport des FAC. Si vous avez des suggestions de formations cadrant dans ce programme, communiquez avec le département des Sports militaires de la région de Montréal à SvcOpsSportsMilitairesRegionMontreal@forces.gc.ca
| Yves Bélanger, Servir
Vingt-deux militaires ont pris part à la compétition de dynamophilie qui a eu lieu les vendredi 14 et samedi 15 mars au centre des sports de la Garnison Saint-Jean.
Les participants, 15 hommes et sept femmes, provenaient de plusieurs unités de la Réserve et de la Force régulière, dont l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC), le Collège militaire royal de Saint-Jean, les 51e, 52e et 57e Ambulances de campagne, les Fusiliers Mont-Royal, les Services corporatifs du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada, le Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) Donnacona, le Royal Montreal Regiment et la 1re Unité dentaire – Détachement Saint-Jean.
Michael Maillet, moniteur en conditionnement physique et sport à la Garnison Montréal, explique que la compétition a été tenue en deux journées afin de permettre aux réservistes de participer. « C’était plus simple pour eux de se libérer un jour de fin de semaine. »
Tour à tour, les participants ont enchaîné les trois disciplines de la dynamophilie classique soit la flexion sur jambes (squat), le développé couché (bench press) ainsi que le soulevé de terre (deadlift).
Un calcul de la moyenne des kilogrammes levés aux trois disciplines en fonction du poids de l’athlète a permis d’établir le classement final. À la fin de chaque journée de compétition, deux participants, un homme et une femme étaient nommés. M. Maillet mentionne que le niveau de compétition a été élevé au cours des deux journées. « Particulièrement, le samedi, chez les hommes, c’était très serré entre les trois meilleurs athlètes. »
Cette compétition était organisée par l’équipe du Conditionnement physique et du sport de la Garnison Montréal. « Nous avons aussi eu l’aide de quelques moniteurs de la Garnison Saint-Jean et du capitaine Valérie Leone, du quartier général du 34e Groupe-brigade du Canada. Capt Leone est une spécialiste en compétitions de dynamophilie. Son expérience nous a été bénéfique, car c’était la première fois que mon équipe organisait ce genre d’événement », termine M. Maillet.
Hommes
1re position : capitaine Charles Denis, 52e Ambulance de campagne
2e position : sergent Danny Ouellet, École de leadership et de recrues des Forces canadiennes
3e position : sergent Donald Mathurin, École de leadership et de recrues des Forces canadiennes
Femmes
1re position :caporale Jo Hesed Fils-Aimé, Services corporatifs du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada
2e position : capitaine Fatou Camara, Navire canadien de Sa Majesté Donnacona
Hommes
1re position : caporal-chef JeanPhilippe Fortin, 5e Groupebrigade mécanisé du Canada
2e position : caporal-chef Étienne Germain-Gauvin, 51e Ambulance de campagne
3e position : élève-officier Romain Simard, Collège militaire royal de Saint-Jean
Femmes
1re position : soldate Irena Divine Tsafack, Les Fusiliers Mont-Royal
2e position : caporale Noémie Rioux, 1re Unité dentaire –Détachement Saint-Jean
3e position : soldate Alexy Pichette, 51e Ambulance de campagne
| Yves Bélanger, Servir
Le 10 mars, 25 membres de la 3 e Unité de soutien du Canada (3 USC) étaient au centre des sports de la Garnison Saint-Jean afin de relever le Warrior Challenge .
Sergent Simon Busque indique que le but de l’activité était de mettre au défi physiquement et mentalement les membres de l’unité et d’augmenter la cohésion au sein de l’équipe. « Les membres ont profité de l’occasion pour se surpasser et encourager leurs pairs. »
Rappelons que le Warrior Challenge est un test auquel sont soumis les candidats de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, mais également les militaires. Il comporte quatre épreuves visant le
dépassement de soi et l’endurance musculaire. Les membres de la 3 USC ont effectué trois épreuves de ce défi, dont le tir et la poussée de lourdes charges.
Sgt Busque termine en remerciant l’équipe du Conditionnement et des sports de la Garnison Saint-Jean qui a préparé le gymnase et les équipements nécessaires à la tenue de l’activité. « Ils nous ont donné l’opportunité de nous mesurer au Warrior Challenge et aidés à atteindre le but de notre défi. Avoir avoir la chance de relever ce genre d’épreuves est l’une des raisons pour lesquelles les gens s’enrôlent et continuent de servir dans les Forces armées canadiennes. »
Les Loisirs communautaires de la Garnison Saint-Jean vous proposent en mai et juin différentes activités. Il y en a pour tous les goûts et elles s’adressent autant aux personnes seules qu’aux couples ou aux familles.
Grâce au programme Circonflexe-prêt-pour-bouger, les résidents de la Montérégie peuvent y participer gratuitement (veuillez prendre note qu’une preuve de résidence est exigée lors de l’activité). Pour les non-résidents, des frais peuvent s’appliquer.
3 mai – lieu à confirmer
Date limite d’inscription : 25 avril
Activité pour découvrir comment se servir d’une boussole et d’une carte dans le cadre d’activités ludiques et pratiques.
10 mai – Cime Mont Saint-Grégoire
Date limite d’inscription : 25 avril
Sortie facile au mont Saint-Grégoire pour découvrir les joies de la marche en nature. Les bâtons de marche sont fournis.
17 mai – Centre-de-Plein-Air-RonaldBeauregard, Saint-Jean-sur-Richelieu
Date limite d’inscription : 25 avril
Randonnée sur la piste cyclable du canal
Chambly avec visite du fort Chambly. Environ 40 km aller-retour, sur terrain plat. Vélo et casque fournis.
24 mai – Garnison Saint-Jean
Date limite d’inscription : 20 mai
Sortie dans la région pour découvrir de nouveaux points d’intérêt naturels et plein air. Vous vous déplacerez avec votre voiture dans un rayon d’environ 40 km et vous terminerez votre parcours dans un parc pour faire un piquenique. Le rallye n’est pas une course mais une série d’activités à faire lors des différents points d’arrêt.
Pour obtenir tous les détails et les tarifs
Au moment de l’inscription, un dépôt de 20 $/personne sera exigé pour une activité d’une journée et de 50 $/personne pour les activités de plus d’une journée. Les dépôts seront entièrement remboursés aux participants qui se présentent aux activités.
Les personnes qui ne se présentent pas à l’activité et celles qui n’aviseront pas le centre des sports de leur absence au moins cinq jours avant l’activité n’obtiendront pas le remboursement du dépôt qu’elles ont fait lors de leur inscription.
Si les Loisirs annulent une activité, tous les dépôts seront remboursés intégralement.
31 mai – Sutton
Date limite d’inscription : 26 mai
Sortie pour découvrir la randonnée nocturne et profiter d’un magnifique lever de soleil au sommet de la montagne. Pause déjeuner pour profiter du matin et retour sur les sentiers. Lampe frontale fournie et possibilité d’emprunter un sac à dos.
7 juin – Valcourt
Date limite d’inscription : 20 mai
Avant l’activité, vous devrez obligatoirement assister à deux formations théoriques sur les principes de survie. D’une durée de deux heures, elles seront offertes en mode virtuel (Teams). Lors de l’activité, les participants mettront en pratique les connaissances acquises. Tout l’équipement nécessaire à la survie est fourni, y compris la nourriture.
14 juin – Chambly
Date limite d’inscription : 9 juin
Cette sortie comporte deux heures de théorie et de pratique en eau calme, une pause repas et la descente de la rivière Richelieu jusqu’aux rapides de Chambly.
21 juin – Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix
Date limite d’inscription : 16 juin
Activité de planche à pagaie libre qui vous donne également accès à la plage et à des activités comme le volleyball. Vous êtes libre d’arriver et de partir à votre convenance.