


19 juin 2024
Vol. 30 / No. 06
Prochaine parution 17 / 07 / 2024
Date de tombée 02 / 07 / 2024
19 juin 2024
Vol. 30 / No. 06
Prochaine parution 17 / 07 / 2024
Date de tombée 02 / 07 / 2024
Si vous avez récemment vu des avions effectuer des acrobaties dans le ciel du Haut-Richelieu, sachez que vos yeux ne vous ont pas joué des tours. Les 4 et 6 juin, l’équipe des Snowbirds des Forces canadiennes était de passage à l’aéroport de Saint-Jean-sur-Richelieu afin de pratiquer différentes figures en vue de leur prestation au Grand Prix de Formule 1 du Canada, le 9 juin à Montréal.
Garnison Saint-Jean
Bur. M-206, B.P. 100, Succ. bureau-chef Richelain QC J0J 1R0
450 358-7099 servir@forces.gc.ca journalservir.com
Tirage : Édition numérique seulement
Éditeur : colonel Serge Ménard commandant GS 2 Div CA
Conseillers militaires :
• Capitaine Frédéric Thouin
514 252-2777 # 4530 frederic.thouin717@forces.gc.ca
• Claude Tourville 514 252-2777 # 4993 claude.tourville@forces.gc.ca
Gestionnaire : Guylaine Fortin
450 358-7099 # 7426 guylaine.fortin@forces.gc.ca
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ISSN 0384-0417
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Les 1er et 2 juin, les prouesses des Snowbirds ont aussi pu être admirées par les visiteurs de l’AéroSalon qui s’est tenu à l’aéroport de Saint-Hubert. Chaque année, les Snowbirds des Forces canadiennes (431e Escadron de démonstration aérienne) participent à différents événements, et ce, autant au Canada qu’à l’étranger. Cet été, 22 événements sont prévus à leur programme.
Agissant en tant qu’ambassadeurs canadiens, les Snowbirds font preuve d’un haut niveau de compétences, de professionnalisme et d’esprit d’équipe depuis leur formation en 1971.
Le 27 avril, lieutenant-colonel Carl-Antoine Chaktoura a remis le commandement du 4e Bataillon, Royal 22e Régiment au lieutenant-colonel Réginald Obas. La cérémonie s’est déroulée en présence du colonel Alain Cohen, commandant du 34e Groupe-brigade du Canada, et du lieutenantgénéral retraité Marc Lessard, colonel honoraire du Royal 22e Régiment.
Le 27 mai, plusieurs membres des Fusiliers Mont-Royal étaient réunis au Manège Henri-Julien dans le but d’assister à la cérémonie de passation de commandement. Ainsi, lieutenant-colonel Dominique Pilon a remis son commandement au lieutenant-colonel Serge Turcotte. La cérémonie a eu lieu sous la présidence du colonel Alain Cohen, commandant du 34e Groupe-brigade du Canada.
Colonel Chung Wong (récemment promu), qui était à la barre de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes depuis juin 2022, a remis le drapeau officiel de l’établissement au nouveau commandant, lieutenant-colonel Marc Kieley.
La cérémonie a eu lieu à la garnison Saint-Jean, le 13 juin. Le commandant désigné, Lcol Kieley, était depuis 2022 au Quartier général de l’Armée canadienne à titre de principal planificateur opérationnel.
Adjudant-chef Jeremy Peters, du Groupe d’instruction de la génération du personnel militaire, colonel Chung Wong, commandant sortant, colonel Jonathan Michaud, commandant du Groupe d’instruction de la génération du personnel militaire, lieutenant-colonel Marc Kieley, commandant désigné, et adjudant-chef Marc Boucher, adjudant-chef de l’ELRFC. Lieutenant-colonel Serge Turcotte et lieutenant-colonel Dominique Pilon, respectivement commandant désigné et commandant sortant, et colonel Alain Cohen, commandant du 34 e Groupe-brigade du Canada. Photo : ELRFC Photo : Facebook Fusiliers Mont-Royal Colonel Alain Cohen, commandant du 34 e Groupe-brigade du Canada, lieutenant-colonel Réginald Obas, commandant désigné, lieutenant-général Marc Lessard, colonel honoraire du Royal 22 e Régiment, et lieutenant-colonel Carl-Antoine Chaktoura, commandant sortant. Photo : Cpl Desjardins – 4 R22eRLe 28 avril, à leur manège de la rue de l’Esplanade à Montréal, les membres des Canadian Grenadier Guards ainsi que des dignitaires et membres de la famille, ont assisté à la passation de commandement de l’unité. Au cours de la cérémonie présidée par colonel Alain Cohen, commandant du 34e Groupe-brigade du Canada, lieutenantcolonel Jose Ramon Nuñez a remis le commandement de l’unité de réserve au lieutenant-colonel Alexandre Dionne.
Une nouvelle série de ressources sur la prévention du suicide – créées pour et par les vétérans et les membres de leurs familles – est maintenant disponible pour aider à soutenir vos proches et vousmême, de la façon qui vous convient le mieux.
Consultez ces outils à: atlasveterans.ca/prevention-du-suicide
| Yves Bélanger, Servir
Le 23 mai, dans le Vieux-Port de Montréal, le Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) Donnacona et le 438 e Escadron tactique d’hélicoptères (438 ETAH) ont tenu un exercice d’insertion par hélicoptère.
De 16 h à 19 h, trois hélicoptères CH-146 Griffon du 438 ETAH ont fait trois allers-retours entre l’aéroport de Saint-Hubert et le Vieux-Port de Montréal pour larguer des plongeurs du NCSM Donnacona. « Les plongeurs de l’unité de réserve navale ont sauté dans l’eau froide du fleuve Saint-Laurent afin d’effectuer des manœuvres sous l’eau. Des embarcations étaient présentes pour les récupérer », explique capitaine Frédérique Rousseau, officier d’affaires publiques du 438 ETAH.
Les pilotes ont dû voler très bas au-dessus de l’eau afin que les plongeurs puissent sauter. « Cela a permis aux membres du NCSM Donnacona de vivre l’expérience de sauter d’un hélicoptère en marche, avec le vent, le son et les vagues. »
Capt Rousseau ajoute que les plongeurs doivent pratiquer leurs manœuvres tous les 90 jours afin de maintenir leur qualification et être opérationnels en tout temps. « Cette précieuse collaboration entre l’Aviation royale canadienne et la Marine royale canadienne a permis de
mieux comprendre comment chacun doit s’adapter à l’autre dans une situation spécifique et de développer des compétences techniques. »
Rappelons que le CH-146 Griffon est un hélicoptère utilitaire qui sert au transport tactique de soldats et d’équipement. Il est aussi utilisé pour la recherche et le sauvetage, la surveillance et la reconnaissance, l’instruction, les opérations d’évacuation des blessés et les opérations antidrogues.
Annoncée il y a quelques années, la ruelle verte du secteur sud de la garnison Montréal a été officiellement inaugurée le 27 mai. Cet espace extérieur est accessible aux militaires et aux employés civils de la Défense (fonction publique et fonds non publics), et ce, autant pour le plaisir, la détente ou l’entraînement.
Quelque 125 participants ont affronté la pluie pour assister à la cérémonie d’inauguration qui a été suivie d’une course à pied organisée par l’équipe des Programmes de soutien du personnel (PSP) de Montréal. Les coureurs étaient des membres de la 3e Unité de soutien du Canada ayant accepté l’invitation des PSP. Le tout s’est terminé par un BBQ dans la section couverte aménagée le long de la ruelle.
Behrang Ghaffari, agent de projet à l’Unité des opérations immobilières (Québec) – Section Montréal (UOI (Québec) – Sect Mtl), était visiblement fier de présenter ce projet. Il a été l’un des employés particulièrement impliqués dans la création de la ruelle verte. « Je suis content de voir ce projet devenir enfin réalité. »
Il explique que la ruelle verte a une longueur de 700 mètres et elle est reliée à la piste d’essais des chars Léopards. « En ajoutant cette section, la piste de course compte 3,5 km. Ce qui est agréable, c’est que le parcours de la piste d’essais se trouve en pleine nature. »
M. Ghaffari mentionne que l’UOI (Québec) -Sect Mtl et les PSP feront une demande à la coordination de la garnison Montréal au cours des prochaines semaines pour que chaque jour, pendant une période de quelques heures, il n’y ait jamais d’essais de véhicules. « Cela permettra donc aux coureurs ou marcheurs d’utiliser la piste en toute sécurité. En hiver, on pourrait aussi y faire du ski de fond. »
Au cours des prochaines années, des améliorations seront apportées à la ruelle verte en fonction du budget qui sera disponible. « Entre autres, l’UOI (Québec) – Sect Mtl aimerait bien revamper la section couverte qui longe la ruelle. Nous voulons séparer cet espace en trois zones. La première permettra de pratiquer le basketball et la deuxième sera dotée d’une estrade. On pourra y tenir des conférences, réunions ou formations au cours de la saison chaude. » La troisième zone deviendra pour sa part un espace avec des tables et des chaises. « Nous comptons également y aménager une cuisine extérieure avec BBQ. Cela permettra de prendre le lunch en plein air ou d’organiser des dîners d’équipe. »
Les caporaux Sarah Lavallée et Jonathyn Oland-Simon ont reçu une promotion au grade de caporal le vendredi 3 mai 2024, durant le Cours d’aviation tactique de base à la Garnison Petawawa. Ils se sont enrôlés il y a deux ans en tant que techniciens de soutien aux opérations aériennes (tech SOA) pour la Force de réserve de l’Aviation royale canadienne (ARC). Sarah et Jonathyn partagent plusieurs points en commun : ils se sont enrôlés pendant qu’ils étaient aux études, ils recherchent des aventures et défis, ils sont les premiers militaires de leur famille, etc. De plus, ils sont très motivés par ce qu’ils font et perçoivent leur métier comme un tremplin pour leur avenir au sein des Forces armées canadiennes (FAC).
« Je suis vraiment heureuse de m’être enrôlée comme tech SOA, car ça m’a permis de maîtriser les tâches de bases dans l’entretien et le mouvement de l’hélicoptère CH-146 Griffon. C’est vraiment un tremplin pour les métiers de techniciens dans l’aviation », dit Cpl Lavallée.
En se joignant aux FAC, Sarah a un but très précis : devenir technicienne en systèmes aéronautiques (tech aéro). Étudiante à l’École nationale d’aérotechnique (ENA), elle est déjà sur la bonne voie, mais elle souhaite aussi vivre des aventures, participer à une mission à l’international, avoir un horaire variable qui la fait découvrir le pays. L’ARC est la place pour cela ! Le centre de recrutement lui a conseillé d’obtenir d’abord son diplôme à l’ENA, car elle pourra le faire reconnaitre et ne pas refaire des cours de maintenance. On lui a alors parlé du métier de tech SOA comme façon de débuter sa carrière dans l’ARC tout en apprenant des manœuvres qui lui seraient utiles dans son futur métier.
« Je vais très bientôt occuper une position dans le métier que je veux et je suis reconnaissante de mon temps passé en tant que tech SOA. C’est un beau métier pour débuter sa carrière tout de suite au lieu d’attendre qu’un poste de technicien se libère », explique Cpl Lavallée.
Pour Cpl Oland-Simon, son choix de devenir tech SOA est afin de se familiariser aux FAC et voir si une carrière comme pilote militaire lui conviendrait, son rêve d’enfance.
« Je ne connaissais rien aux FAC avant de m’enrôler comme réserviste. Devenir tech SOA m’a donné l’occasion de travailler dans un environnement d’aviation militaire et cela confirme que je suis à la bonne place », dit Jonathyn. Étudiant à l’Université Concordia pendant sa première année dans les FAC, Cpl Oland-Simon apprécie la flexibilité de son horaire et le soutien de ses supérieurs face à ses études. Lorsqu’il travaille comme tech SOA, il apprend diverses tâches telles la vérification des fluides, l’inspection visuelle de l’aéronef, le ravitaillement en carburant, le guidage au sol, le stationnement des appareils, etc.
« Le métier de tech SOA donne un avant-goût des métiers de technicien dans l’aviation et je ressens une grande satisfaction après une journée de travail. On vit des situations uniques qu’on ne verrait pas dans le monde civil », mentionne Cpl Oland-Simon.
Que ce soit en attente d’un poste de technicien dans l’ARC ou pour découvrir le monde militaire, le métier de tech SOA est un tremplin dans les FAC qui permet de fournir un soutien dans les domaines de l’entretien et du mouvement des aéronefs, de l’aide à la recherche et sauvetage, de la sécurité des aérodromes et des bases aériennes, du transport et autres tâches générales.
Après deux ans de commandement de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC), lieutenant-colonel Chung Wong dit être plus que satisfait de son mandat qui s’est terminé au début du mois de juin. Parmi les projets réalisés sous sa gouverne, notons la mise à jour de la qualification militaire de base (QMB).
« Le temps a vraiment passé trop vite. Je peux toutefois dire que je suis très fier de ce que j’ai pu accomplir pendant mon passage à l’École. Je dois même avouer que mes attentes ont été dépassées », a expliqué le commandant sortant de l’ELRFC.
Son plus important mandat a été de revoir le contenu de la QMB et de la qualification militaire de base pour les officiers. « Ce projet avait été amorcé par mon prédécesseur. À mon arrivée en poste, j’ai poursuivi leur travail et certaines formations qui ne faisaient pas nécessairement partie de la QMB ont été supprimées. Quelques mois plus tard, nous implantions la nouvelle version. »
Un projet pilote a été mis en place en janvier 2023. En avril 2023, la nouvelle QMB a officiellement été offerte à tous les candidats de l’ELRFC. « La formation a été condensée en huit semaines, soit deux semaines de moins que la version précédente. » Après quelques mois d’essai, la durée a été réajustée à neuf semaines.
Lcol Wong est particulièrement fier d’avoir créé une cellule pour aider les candidats faisant face à des difficultés d’apprentissage. « C’est un projet qui me tenait à cœur. Cela nous permet de mieux soutenir les futurs soldats qui pourraient vouloir nous quitter en raison des défis qu’ils rencontrent lors des cours plus théoriques. »
Ainsi, des outils sont mis à la disposition de ces étudiants afin de favoriser leur réussite. « Entre autres, ils ont accès à un type d’enseignement qui facilite leur apprentissage.
Certains peuvent aussi avoir recours à certains logiciels d’autocorrection ou de lecture, si leurs difficultés sont plus de cet ordre. »
Jusqu’à maintenant, les données récoltées sont très positives. « Depuis janvier 2024, 72 candidats ont bénéficié du soutien de cette cellule. Cinquante-neuf d’entre eux ont terminé leur parcours, ce qui représente un taux de succès de 82 %. Ces chiffres démontrent bien que cette cellule répond à un réel besoin et nous a permis de garder avec nous des étudiants qui, autrement, auraient sans doute abandonné avant la fin des neuf semaines. »
Au cours des deux dernières années, un autre projet a eu lieu. L’ELRFC a fourni un ordinateur portable à chacun des candidats pour la durée de leur QMB. « Cela leur donne accès à différentes vidéos de formation et à des informations supplémentaires sur des sujets tels que le maniement d’armes ou l’exercice élémentaire. Ainsi, ceux qui le désirent peuvent prendre de l’avance pendant leurs temps libres ou parfaire leur formation de base. »
Lcol Wong indique que la stratégie de modernisation de l’entraînement se poursuivra sous le commandement de son successeur, Lieutenant-colonel Mark Kieley. Parmi les projets à venir,
il y a celui de donner l’accès sans fil à l’Internet (Wi-Fi) à tous les candidats. « Nous espérons mettre en place une équipe qui travaillera à l’obtention des cotes de sécurité des candidats. Dès leur arrivée, nos étudiants pourront ainsi avoir accès au Réseau étendu de la Défense, qu’on appelle le DWAN en anglais. »
Lcol Wong assure qu’actuellement, l’ELRFC est en mesure d’accueillir annuellement 6 000 candidats afin de répondre à la demande des Forces armées canadiennes (FAC). « Nous avons maintenant les infrastructures et le personnel nécessaires pour y arriver sans problème. »
En 2023, ce sont 4 200 candidats qui ont franchi les portes de l’institution. « Nous étions en mesure d’atteindre l’objectif demandé par les FAC. Malheureusement, la pénurie de main-d’œuvre qu’il y a un peu partout sur la planète affecte aussi le recrutement de nouveaux militaires. Nous espérons que nos efforts de modernisation permettront à l’ELRFC d’attirer plus de futurs soldats. »
C’est dans la région de Gatineau que de nouveaux défis attendent maintenant Lcol Wong. Il assumera le poste de Directeur – Gestion du programme de l’équipement aérospatial (Aviation tactique et simulation). Il ne faudra toutefois pas se surprendre de le voir régulièrement dans la région de Saint-Jeansur-Richelieu. « Je serai en restriction imposée. Ma famille demeurera ici et je viendrai la rejoindre le plus souvent possible. »
1. Vie militaire
4. Maniement d’armes 7. CBRN
2. Exercice et tenue 5. Compétences militaires 8. Entraînement en campagne
6. Entraînement physique 9. Fin de cours
Conduite professionnelle et culture
Résilience
Condition physique
Compétences militaires
Chaque pilier a été nommé pour refléter les orientations stratégiques et les initiatives organisationnelles récentes sur le changement de culture, l’éthos militaire, la santé et le bien-être des membres, la prévention des blessures et l’engagement continu envers la croissance personnelle et professionnelle.
Adoptant les valeurs de diversité et d’inclusion, le programme reconnaît les candidats là où ils sont dans leur vie lors de leur inscription et leur fournit les ressources nécessaires pour devenir des membres efficaces des Forces armées canadiennes.
Ce pilier propose de la formation sur la gestion du stress et les techniques de résilience issues du programme « Route vers la préparation mentale ». Chaque semaine, lors de discussions guidées, les candidats peuvent échanger sur les obstacles et les succès de la semaine et sur leurs stratégies pour se préparer aux défis de la semaine à venir.
Appliquant une approche de psychologie du sport, l’apprentissage de la résilience inclut notamment la rédaction d’un journal de performance avec des questions de réflexion pour aider les candidats à reconnaître les facteurs qui ont influencé leur performance et leur habileté à gérer les revers vécus lors de l’entraînement.
Ces cours visent à offrir aux recrues les compétences, les connaissances et la confiance nécessaires pour intervenir en cas d’urgence médicale ou de blessure, que ce soit à la maison, au travail ou en public.
Les cours de premiers soins permettent de couvrir une variété de sujets, allant des compétences de réanimation cardio-respiratoire à la gestion de blessures graves, en passant par la reconnaissance et la gestion des problèmes médicaux courants. Ils permettent aux recrues de reconnaître les signes et les symptômes de conditions médicales courantes, d’administrer les premiers soins de base, d’évaluer la gravité des blessures et des maladies, et de travailler efficacement en équipe.
Les cours de premiers soins incluent également des notions plus avancées telles que la gestion des arrêts cardiaques, l’utilisation d’un défibrillateur externe automatisé et la gestion des fractures et des luxations. En général, les cours sont conçus pour être pratiques et interactifs. Ils permettent aux candidats de mettre en pratique leurs apprentissages en temps réel et de recevoir de la rétroaction et des conseils pour améliorer leur technique.
Sergent Patrick Wojtyna
Poste : instructeur
Année d’enrôlement : 2011
Sergent Wojtyna, originaire de Montréal, dit avoir été soutenu par ses proches lorsqu’il a décidé de s’enrôler. « Autant les membres de ma famille que mes amis ont compris l’importance pour moi de devenir soldat. Ils ont été très encourageants. »
En 2019, Sgt Wojtyna a fait le choix de devenir instructeur à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC). Après huit ans passés au sein de différents bataillons, il souhaitait une plus grande stabilité. « Le tempo élevé des bataillons était moins indiqué pour moi, car je songeais à fonder une famille. Je voulais un boulot pour lequel je n’aurais pas à être déployé à l’étranger. »
Transmettre les connaissances acquises au cours de ses années de service sur le terrain est devenu un objectif parfait pour lui. « Je songe à prendre ma retraite militaire dans un avenir rapproché. Un poste d’instructeur à l’ELRFC va me permettre de passer à la vie civile tout en conservant mon emploi et en gardant un lien avec les Forces armées canadiennes. »
Il aime beaucoup travailler auprès des futurs militaires. Depuis son arrivée à l’ELRFC, il dit avoir appris à utiliser différentes techniques d’enseignement. « J’ai compris l’importance de m’ajuster aux besoins de mes étudiants. Certains ont des problèmes d’apprentissage et il faut utiliser d’autres moyens pour les mener à la réussite. »
Jace Matamis-Fox Âge : 19 ans
Futur métier : technicien en systèmes d’information
Jace Matamis-Fox est originaire de Trenton, en Ontario. Une fois ses études collégiales terminées, il a décidé de suivre les traces de son arrière-grand-père et de s’enrôler au sein des Forces armées canadiennes. Il a choisi comme élément la Marine royale canadienne. Sa famille et ses proches sont très fiers de son choix de carrière.
Passionné d’informatique, le futur militaire entend devenir technicien en systèmes d’information. Une fois sa qualification militaire de base (QMB) terminée, il se rendra à Borden, en Ontario, pour suivre la formation relative à son futur emploi.
Au moment de l’entrevue, il en était à la troisième semaine de sa QMB. Il mentionnait apprécier tout ce qu’il avait appris depuis son arrivée à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes. « Nous avons la chance d’avoir ici de très bons instructeurs. Je sens vraiment que je suis à la bonne place. »
Ce qu’il appréciait le plus de sa QMB était les relations d’amitié qu’il avait développées depuis son arrivée dans l’établissement. « J’aime l’esprit de camaraderie que je retrouve au sein de mon peloton. Il y a d’ailleurs trois candidats avec qui j’ai développé de très bons liens. C’est bien certain que nous allons garder contact une fois que nous aurons terminé notre formation. »
Lieutenante de vaisseau Kary-Anne Poirier, officière d’affaires publiques (OAP) du 34e Groupe-brigade du Canada vient tout juste de débarquer en Lettonie dans le but de participer à l’opération REASSURANCE. Il s’agit de son tout premier déploiement à long terme. Six mois de préparation ont été nécessaires à l’officière de la Marine pour être en mesure d’assumer ses fonctions au sein d’un camp militaire de l’OTAN. « Étant réserviste, il y a certaines formations et quelques tests que je n’avais pas encore eu l’opportunité de compléter depuis mon enrôlement, notamment l’évaluation Force et la formation complète en premiers soins de combat », confie-t-elle. « J’ai aussi eu à rafraîchir mon entraînement en environnement chimique, biologique, radiologique ou nucléaire. » Elle a également eu à recevoir une formation avec le nouveau pistolet 9 mm C22.
Ltv Poirier mentionne qu’au cours de l’hiver, elle est allée passer quelques jours en Pologne afin d’apporter son soutien dans un centre d’information pour les médias de l’OTAN dans le cadre de la série d’exercices STEADFAST DEFENDER. « J’étais la seule OAP canadienne présente sur le terrain à ce moment-là . Pour moi, cela a été très formateur. J’ai appris les façons de faire des corps militaires des différents pays. Nous sommes chanceux dans les Forces armées canadiennes, car les formations que nous recevons sont conçues pour que nous soyons aptes à travailler dans un contexte international. Pouvoir le vivre concrètement m’a permis de mieux comprendre les manières de collaborer et de travailler efficacement avec les armées de nos différents pays alliés. »
Ltv Poirier est déployée au Camp Adazi, une base militaire située à 21 km au nord de Riga. Elle y œuvre à titre d’officière des affaires publiques de la nouvelle Brigade multinationale de la Lettonie. « J’arrive en pleine mise sur pied de la nouvelle brigade, puisque dans quelques semaines, ce sont les Forces armées canadiennes qui, sur place, assureront le leadership de la brigade multinationale (Lettonie) composée de centaines de militaires de nos pays alliés. »
Son équipe est formée de deux officiers d’affaires publiques canadiens et de deux techniciens en imagerie canadiens . « Je suis très contente de pouvoir travailler avec eux. »
Quitter ses proches pour plusieurs mois est déchirant pour de nombreux militaires déployés. Ltv Poirier dit que pour sa part, elle a la chance de retrouver son conjoint, également militaire, à Adazi. « Il est parti quelques semaines avant moi en Lettonie. On se trouve choyés de pouvoir vivre cette expérience en même temps. »
Ltv Poirier a décidé de s’enrôler dans la Réserve en 2013. « J’étais en première année de mes études au baccalauréat en science politique à l’Université McGill et j’avais le goût de relever le type de défis que les FAC offrent. J’ai donc postulé au Navire canadien de Sa Majesté Donnacona. »
Elle avait toutefois choisi un type de métier bien loin de celui d’OAP. « J’ai débuté comme cuisinière. Au fil du temps, j’ai pris de l’expérience et j’ai commencé à penser à travailler à temps plein au sein des FAC. Je sentais que les relations publiques étaient tout indiquées pour moi. » Son parcours académique lui a permis en 2018 de devenir officière des affaires publiques.
Sgt Stéphane Perron
Départ à la retraite le 8 mars 2024 27 ans de service
Capt Éric Rousseau 4 R22eR Commission d’officier
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Vous aimeriez entreprendre des études postsecondaires, mais les circonstances de la vie familiale militaire vous posent certains défis ? Le Programme national de bourses d’études Appuyons nos troupes pourrait vous permettre de surmonter certains obstacles ! Un minimum de 75 bourses d’études, variant de 500 $ à 5 000 $, sera décerné.
Critères d’admissibilité
Personnes à charge (y compris le conjoint) d’un membre actif ou d’un vétéran des Forces armées canadiennes (FAC), y compris les personnes à charge de membres des FAC décédés qui sont :
• Citoyens canadiens ou résidents permanents du Canada et ;
• Étudiants inscrits à un programme de premier cycle ou collégial menant à un grade, un diplôme ou un certificat d’une université ou d’un collège canadien reconnu. Les étudiants poursuivant des études supérieures ou inscrits à un collège d’enseignement professionnel sont également invités à soumettre une demande.
Date limite pour soumettre votre dossier : 18 juillet 2024 à 17 heures.
Information – Programme national de bourses d’études
L’équipe des Services intégrés des Programmes de soutien du personnel (PSP) – Région Montréal est déménagée. Elle demeure dans la Méga de la garnison Saint-Jean, mais les bureaux du journaliste et de la gestionnaire sont dorénavant situés dans les locaux M-206 et M-208, à l’entrée du centre des sports. Ne soyez pas timides et venez les rencontrer dans leurs nouvelles installations. Rappelons que l’équipe des services intégrés des PSP est entre autres responsable de la production du journal Servir et du Guide de la communauté militaire.
Le 15 mai, le 438e Escadron tactique d’hélicoptères (438 ETAH) a accueilli une trentaine de participantes à la conférence Canadian Women in Aviation. L’activité visait à mieux faire connaître l’Aviation royale canadienne et les opportunités qu’elle offre aux femmes.
Les participantes ont pu voir en action un CH-146 Griffon et un CH-147 Chinook. Elles ont assisté à un exposé sur l’historique du 438 ETAH et elles ont pu échanger avec des militaires, principalement des femmes, de différents métiers. Cette journée a eu lieu grâce à l’implication des membres du 438 ETAH et du 450 ETAH de Petawawa.
Dans le cadre de Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, le drapeau arc-en-ciel a été levé sur plusieurs sites militaires au Canada, notamment aux garnisons Saint-Jean et Montréal, ainsi qu’au Collège militaire royal de Saint-Jean. Ces cérémonies ont pour but d’affirmer l’engagement des Forces armées canadiennes envers l’égalité, la diversité et le respect des droits fondamentaux de chaque individu, quelle que soit son orientation sexuelle ou son identité de genre.
conclut en beauté
| Yves Bélanger, ServirCe sont les 17 et 18 mai qu’ont eu lieu la remise des diplômes et la parade de fin d’année au Collège militaire royal de Saint-Jean (CMR Saint-Jean).
Dix-neuf aspirants de marine et élèves-officiers ont obtenu leur baccalauréat en arts ou en études internationales dans le cadre de la soirée annuelle. Au niveau collégial, 35 autres ont obtenu leur diplôme. Dix militaires du rang ont quant à eux reçu un certificat en études internationales.
Le colonel Guillaume Tremblay, commandant du CMR Saint-Jean et vice-chancelier de l’établissement, a présenté les diplômes aux finissants. Il était accompagné de l’Honorable Marie-France Lalonde, secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale.
Le lendemain matin, la traditionnelle parade de fin d’année, suivie de la remise des commissions d’officier, a eu lieu devant parents et invités. Cette année encore, elle s’est tenue en présence du général Wayne Eyre, chef d’état-major de la Défense.
Cet été, le Centre d’intégration communautaire jeunesse du Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM)Région de Montréal offrira gratuitement des activités stimulantes et intéressantes aux enfants de militaires âgés de 5 à 12 ans.
Situé au 40, rue La Vérendrye à Saint-Hubert, il sera ouvert de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h, du mardi ou jeudi, à compter du 25 juin 2024. Veuillez prendre note que l’organisme ne prendra pas en charge la période du dîner.
Les inscriptions auront lieu le mercredi précédent chaque semaine d’activités, sur le portail du CRFM (crfmmfrcmtl.ca), jusqu’à ce que les groupes soient complets. Les places sont limitées et les activités sont bilingues.
Information : crfmmfrcmtl.ca
Le lundi 1er juillet, la filiale 11 de la Légion royale canadienne invite tous les citoyens à sa journée familiale. Il y aura entre autres des jeux gonflables, du pop corn, de la barbe à papa et des hot-dogs. L’activité est gratuite et se déroulera à compter de 9 heures au 14, rue Laramée, à Lacolle. En cas de pluie, elle aura lieu au Centre Léodore-Ryan situé au 10, rue Sainte-Marie.
Information : 450 246-2394
de l’ELRFC
Le dimanche 7 juillet, à 15 h, tous sont invités à assister à un concert de la Musique de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC) à Saint-Jean-sur-Richelieu. Composé de musiciens réservistes passionnés, cet orchestre a pour mission d’apporter du bien dans la communauté. Au programme, des airs qui transporteront à travers les époques et les émotions.
L’événement est organisé par le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) Région Montréal et l’Association de l’ELRFC. Profitez-en pour montrer votre soutien aux familles militaires.
Le concert aura lieu à l’église Saint-Athanase située au 480, 1re Rue, à Saint-Jean-sur-Richelieu. Bien que le spectacle soit gratuit, il est essentiel de réserver des billets pour y assister. Le CRFM et l’AELRFC seront sur place pour recueillir des dons volontaires.
Transition de carrière et finance : ajuster
Tout résident canadien paie l’impôt sur le revenu. Généralement, on paie cet impôt au moyen d’une retenue à la source. Ce sont les employeurs et les administrateurs de régimes de retraite qui effectuent des versements et ont la responsabilité de retenir les sommes fixées par les autorités fiscales.
Les retenues à la source sont donc des sommes prélevées à chaque montant de rémunération que vous recevez, qu’il s’agisse d’une pension, d’une rente ou d’un salaire. Ces sommes sont calculées en divisant le paiement total de l’impôt annuel sur votre revenu imposable, selon votre fréquence de paiement.
Si vous ne percevez qu’un seul revenu imposable, votre pension par exemple, le calcul de votre retenue d’impôt ne sera pas compliqué. Si vous avez plusieurs T4, la situation se corse. La question qui tue : quel sera le taux des prélèvements en fonction du total à payer pour les différents revenus ?
En effet, chaque employeur ou gestionnaire de pension fixe la retenue sur les sommes qu’il vous verse en considérant que c’est votre seul revenu. Il y a un risque réel que les prélèvements soient insuffisants pour l’ensemble de vos revenus.
Exemple concret : vous avez un revenu d’emploi de 30 000 $ et une prestation d’un régime de retraite de 30 000 $. Pour ces revenus, on vous retiendra deux fois
3 802 $, soit 7 604 $ au total. Par contre, sur un revenu annuel de 60 000 $, c’est 12 900 $ en impôts à payer ! En fin d’année, le fisc vous informerait d’un solde d’impôts à payer de 5 296 $... ouch !
Il est donc très important de comprendre que votre perception à la source doit correspondre au montant annuel total de votre impôt sur le revenu.
Dans votre trousse de transition de carrière, vous trouverez 2 formulaires à fournir indiquant vos instructions de retenue d’impôt pour votre pension. Les informations à compléter seront minimales : nom, prénom, NAS et signature. Mais, comme expliqué ci-dessus, vous aurez tout intérêt à faire ajuster votre retenue d’impôt si vous avez plusieurs T4, pour éviter les mauvaises surprises. Votre conseiller financier sera votre interlocuteur de confiance pour vous aider à évaluer le taux optimal de prélèvement.
PATRICE BERGERON Directeur généralDans le cadre de la Semaine de sensibilisation aux cultures autochtones, diverses activités ont été tenues du 21 au 23 mai aux garnisons Montréal et Saint-Jean. Au cours de ces trois journées, les militaires et employés civils de la Défense nationale ont eu l’opportunité de plonger dans la richesse et la diversité des cultures autochtones du Québec.
Parmi les activités, notons des cérémonies de purification, des activités culturelles immersives sur la réalité contemporaine des Premiers Peuples,
Le jeudi 13 juin, l’état-major d’Éducation et formation en seconde langue officielle de l’Armée canadienne (ÉFSLO) a procédé à l’ouverture officielle du Centre d’études et de ressources de l’Armée, à la garnison Saint-Jean. Situé au local D-200, dans le secteur bleu de la Méga, le centre est maintenant à la disposition des militaires. Ces derniers y trouveront des ressources pour soutenir leur apprentissage en langue seconde comme des livres, magazines, ouvrages de référence, postes de travail, coin lecture et plus encore. Plusieurs ressources peuvent être empruntées au moyen d’un service de prêt fort convivial, l’emprunt libre. Le Centre est ouvert du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 16 h.
Information Pour donner livres et jeux
des démonstrations de savoir traditionnel wendat ainsi que des discussions sur les nuances entre l’appropriation et l’appréciation culturelle. À Saint-Jean et Montréal, des repas à saveur autochtone concoctés par la chef Norma, membre de la nation micmaque, ont été offerts à prix avantageux.
Le 2e Groupe de patrouilles des Rangers canadiens a profité de la Semaine de sensibilisation aux cultures autochtones pour annoncer la nouvelle désignation de deux patrouilles de Rangers juniors à Matimekush-Lac John (Schefferville) et Ekuanitshit (Mingan).
normes, sergent Carlos Soldevilla Villegas, du quartier général de la 2 e Division du Canada, Fanny L’Abbé, gestionnaire de formation en seconde langue officielle et officière d’état-major ÉFSLO AC, adjudant-maître Tommy Champagne, Détachement Saint-Jean - École des langues des Forces canadiennes, Louisa Arcarone, enseignante experte à ÉFSLO AC, Manon Voyer, adjointe administrative à ÉFSLO AC, Audrey Patenaude, coordonnatrice adjointe de l’officier d’état-major
de soutien de la 2 e Division du Canada.
Jacque T. Watso a dirigé les cérémonies de purification durant la Semaine de sensibilisation aux cultures autochtones. On l’aperçoit ici à la garnison Saint-Jean. Photo : Cpl Yongku Kang Adjudant-maître Nicolas Girard, sergent-major de la garnison Saint-Jean, Patricia Colbert-Houle, enseignante à Éducation et formation en seconde langue officielle de l’Armée canadienne (ÉFSLO AC), Sara St-Pierre, officière des – Armée canadienne, et lieutenantcolonel Enrico Pelle, commandant intérimaire du GroupeLe 11 juin avait lieu la toute première Journée internationale du jeu. Instituée par les Nations Unies, elle marque une étape importante dans les efforts visant à préserver, promouvoir et donner la priorité au jeu afin que toutes les personnes, en particulier les enfants, puissent en récolter les bienfaits et s’épanouir pleinement.
Le jeu permet d’acquérir des compétences psychosociales essentielles et transférables sur les plans physique, social, cognitif, émotionnel et en matière de communication à tout âge.
Restreindre les possibilités en matière de jeux nuit directement au bien-être et au développement de l’enfant. Dans le domaine de l’éducation, l’apprentissage par le jeu a été reconnu comme une approche efficace pour impliquer activement les élèves dans le processus d’apprentissage. Il contribue à rendre les activités d’apprentissage plus agréables et plus pertinentes, renforçant ainsi la motivation et la mémorisation des informations.
Le jeu a également des effets positifs sur la promotion de la tolérance et de la résilience. Il facilite l’inclusion sociale, la prévention des conflits et la consolidation de la paix. C’est pourquoi la Convention des Nations unies relatives aux droits de l’enfant a consacré le jeu comme un droit fondamental de chaque enfant en vertu de l’article 31.
Cette journée internationale crée un moment d’unité aux niveaux mondial, national et local pour souligner l’importance du jeu. Elle lance un appel en faveur de politiques, de formations et de financements visant à intégrer le jeu dans l’éducation et dans les communautés du monde entier.
Les loisirs communautaires des Services de bien-être et moral des Forces canadiennes (SBMFC) sont fiers d’offrir aux familles des militaires la possibilité de jouer. Nos services sont conçus pour aider les familles à relever les défis de la vie militaire et à profiter d’activités quotidiennes comme aller au terrain de jeux ou au camp de jour.
Nous croyons que lorsque les membres des Forces armées canadiennes peuvent prendre soin d’eux-mêmes et de leurs familles, ils peuvent se dépasser tant à la maison qu’au
travail. Que les familles aient besoin d’inscrire les enfants à des cours de natation, d’améliorer leur condition physique ou de se faire des amis dans une nouvelle communauté, nos services peuvent leur être utiles.
Nous vous invitons à visitez les sites suivants pour découvrir les différentes possibilités qui s’offrent à vous.
Que suis-je ? Je suis une forme de langage universel qui facilite les rapprochements entre individus, la communication interpersonnelle et l’établissement de liens sociaux…
Je suis une forme d’art présente dans toutes les cultures du monde. J’ai la capacité d’engendrer de multiples bienfaits sur l’humeur, le bienêtre et la santé tant physique que mentale. Je suis en mesure de calmer une personne qui vit de l’anxiété ou de la colère. Je peux stimuler et énergiser une personne apathique ou léthargique. Platon, grand philosophe de la Grèce antique, disait qu’elle adoucissait les mœurs.
Highway to hell et Stairway to heaven ou les concertos brandebourgeois de Bach et les sublimes sonates de Chopin ? En réalité, comme le ressenti à la musique est plutôt subjectif, peu importe le style de musique que vous écoutez, si vous l’appréciez, la musique aura des effets positifs sur votre état intérieur. Pour ceux qui la composent ou qui l’interprètent, elle joue souvent le rôle d’exutoire et/ou de catharsis.
La musique devrait faire partie de notre coffre à outil et de nos stratégies de mieux-être. Elle peut nous permettre d’apprivoiser des émotions difficiles comme la tristesse, la peur ou l’angoisse. Elle peut également nous aider à nous défouler, à canaliser des tensions ou des frustrations vives ou à changer notre état d’esprit.
Véritable source de plaisir, la musique agit sur le système de récompense du cerveau (le système dopaminergique). En stimulant la libération de neurotransmetteurs, comme la dopamine, qui à son tour, active la sécrétion d’endorphines, elle nous procure une sensation de bien-être généralisé. Il est aussi bien documenté que la musique réduit la réponse de stress en diminuant le taux de cortisol. Certains types de musique peuvent même changer le profil de nos ondes cérébrales et nous plonger dans un état de relaxation profond. Ce qui peut, entre autres, aider les insomniaques à dormir davantage.
En complément avec des traitements traditionnels, des chercheurs vont même jusqu’à dire qu’elle accélère la guérison des malades. Par exemple, elle contribue à diminuer la douleur postopératoire associée aux chirurgies cardiaques et aux traitements en oncologie. Ces vertus anesthésiantes sont également efficaces pour soulager celles et ceux qui souffrent de douleur chronique.
Des études en neurosciences ont démontré que la musique favorise également les fonctions cognitives (concentration, mémoire, temps de réaction, créativité, etc.). Elle est de plus en plus utilisée chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer et d’autres types de démence. Elle réactive leur mémoire affective.
Vous l’avez sans doute expérimenté comme moi, la musique peut amplifier notre motivation lorsque nous pratiquons un sport ou une activité physique. Elle nous donne de l’énergie et améliore notre capacité d’effort. Elle nous permet, dans certains cas, de repousser nos limites et d’augmenter nos performances.
Selon le Centre universitaire de santé McGill, l’intervention en musicothérapie contribue à :
• Apporter des changements positifs dans l’humeur et les états émotionnels
• Accroître la conscience de soi et de l’environnement
• S’exprimer verbalement et non verbalement
• Développer des habiletés d’adaptation
• Atteindre des états de relaxation profonde
• Soutenir les sentiments et les pensées saines
• Améliorer les compétences en résolution de problèmes
• Interagir socialement avec les autres
• Développer l’autonomie et l’aptitude à prendre des décisions
• Améliorer la concentration et la capacité d’attention
• Adopter des comportements positifs
• Résoudre les conflits qui mènent à des relations plus solides avec la famille et les pairs
Toutes ces raisons sont bonnes pour mettre plus de musique dans votre vie. Bonne écoute !
Pour en savoir plus sur les programmes et les activités de la promotion de la santé, visitez notre site web ou contactez votre bureau local de promotion de la santé à Montréal ou à Saint-Jean
Plusieurs connaissent le vétéran et colonel honoraire de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, Pierre-Paul Pharand. L’ex-militaire a récemment dévoilé un talent caché, celui d’écrivain. Il y a quelques mois, il a publié son premier roman policier intitulé UES Branle-bas de combat à Québec .
Le vétéran raconte que cela faisait plusieurs années qu’il avait une histoire en tête et qu’il souhaitait créer une intrigue policière.
« Mon but premier était d’offrir un cadeau à mes enfants et ma famille. J’avais aussi envie d’un projet motivant et plaisant pour occuper ma retraite. »
Il a commencé ses recherches en 2018.
« C’est toutefois à la fin de l’année 2022 que j’ai senti qu’il était temps que je me mette au boulot sérieusement. » Pendant un an il a consacré la majorité de son temps à écrire et peaufiner son récit.
Plus son projet avançait, et plus il réalisait qu’il pourrait publier son roman. Il s’est alors mis à la recherche d’une maison d’édition.
« Après avoir rencontré divers spécialistes en littérature, j’ai décidé d’y aller avec l’autoédition. Je ne voulais pas attendre encore des années avant de voir l’aboutissement de mon travail. »
Ne connaissant pas grand-chose dans le milieu de l’édition, il a cherché une organisation qui pouvait lui venir en aide. « Bouquinbec est celle que j’ai choisie pour me soutenir dans ce projet. En plus d’offrir une expertise dans la publication de romans, cette entreprise dispose d’une boutique en ligne. »
Pour cette première œuvre, Pierre-Paul Pharand s’est inspiré d’un milieu qu’il connaissait bien, celui de la police militaire. « Mes personnages et l’action qui se déroule dans ce livre sont en partie inspirés de mon expérience, mais l’intrigue sort tout droit de mon imagination. » Pour le vétéran, il était important de parler du milieu au sein duquel il a évolué en tant qu’officier, de 1975 à 1992. « Cela fait partie de ma vie et j’en suis fier. Parler des Forces armées canadiennes dans mon roman
est une façon de donner de la visibilité aux militaires. »
L’histoire met en vedette un personnage principal, le capitaine Jean-Claude Fauteux, un militaire œuvrant à l’Unité des enquêtes spéciales (UES) de la Police militaire. « Ce personnage, je compte bien le garder en vie et le faire évoluer au sein d’autres histoires. »
Il a déjà commencé à faire des recherches en vue de son deuxième roman. « Cette fois, l’action se déroulera principalement en sol européen. Le capitaine Fauteux aura donc à travailler en collaboration avec des corps policiers étrangers. J’ai très hâte de commencer à écrire cette nouvelle œuvre. »
L’histoire débute avec l’étrange disparition du major Gauthier, commandant de l’Escadron A du 52e Régiment de blindés canadiens. Cela met ses collègues et ses supérieurs dans une situation inattendue et bouleverse non seulement son entourage, mais crée une véritable commotion, jusqu’aux plus hautes instances des forces armées. Le passé du major n’y est peut-être pas étranger…
Une année référendaire tumultueuse, une hiérarchie militaire hantée par l’infiltration de ses rangs par des séparatistes extrémistes, des vols d’explosifs… Le capitaine Jean-Claude Fauteux, de la fameuse UES, ne s’attendait pas à vivre autant de péripéties dès son entrée en fonction comme commandant du détachement de Québec. Parviendra-t-il à tirer son épingle du jeu dans un environnement où les services de police ne collaborent pas toujours entre eux, ou sera-t-il tout simplement destitué pour une enquête de meurtre qu’on lui avait interdit de mener ?
Pierre-Paul Pharand. Photos : Facebook –Corporation du Fort Saint-JeanL'équipe des Programmes de soutien du personnel de la région de Montréal offre une vaste gamme de services aux membres de la communauté militaire et aux citoyens. Profitez-en !
| Servir
Le 13 juin a eu lieu le premier gala NOMINA de Loisir et Sport Montérégie au club de golf de La Prairie. Le département des loisirs de la garnison Saint-Jean y était finaliste de la catégorie Excellence etinnovation en loisir et en sport - Prix Innovation en plein air . Cette nomination a été une réelle reconnaissance pour l’équipe des loisirs qui, depuis deux ans, a grandement travaillé au développement de ses services.
Pierre Desmarteaux, gestionnaire du département des loisirs de la garnison Saint-Jean, explique que ce gala met en valeur l’excellence et l’innovation dans les domaines du loisir, du sport, du plein air, de la culture ainsi que de l’engagement communautaire et bénévole en Montérégie. « Depuis 2021, notre équipe a réalisé plusieurs innovations importantes. Nous n’avons qu’à penser à l’addition d’un camp de jour spécialisé en sports et plein air ou à la mise à niveau du mur d’escalade. »
Mais ce n’est pas tout ! S’ajoutent à ces exemples l’installation d’un rideau de tir à l’arc intérieur et un partenariat unique avec le centre de plein air l’Estacade qui permet aux miliaires et aux détenteurs de la carte PSP d’avoir accès gratuitement à leurs terrains. « Nous avons également diversifié notre offre de location d’équipements plein air, en plus d’offrir une plus grande variété d’activités, d’animations et de sorties plein air. »
Même si le département des loisirs n’est pas reparti de cette soirée avec un prix en main, l’équipe revient avec un grand sentiment de fierté. « Nous étions parmi les trois finalistes de la catégorie plein air pour laquelle il y avait 40 candidatures. Ce n’est pas rien ! Il y a trois ans, peu de gens en Montérégie connaissaient nos services. Aucun d’entre nous n’aurait pensé que nous serions mis en nomination cette année dans un gala regroupant les acteurs les plus importants en loisirs œuvrant dans la région. »
Une délégation de la garnison Saint-Jean était présente au gala : adjudant-maître Nicolas Girard, sergent-major de la garnison, Nathaniel Riel, préposé à l’accueil du centre des sports, lieutenant-colonel Enrico Pelle, commandant intérimaire du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada, Pascal Vincent, gestionnaire adjoint des Programmes de soutien du personnel (PSP) – Région Montréal, Pierre Desmarteaux, gestionnaire du département des loisirs, Alexandra Maher, coordonnatrice marketing des PSP, Michelle Couture-Montpetit, gestionnaire adjointe des PSP, et Claudia De Florio, adjointe administrative du département des loisirs.La communauté militaire m’intriguait depuis longtemps. J’ai grandi tout près de la garnison Saint-Jean. J’entendais les militaires de chez moi. Indirectement, cela a toujours fait un peu partie de ma vie. C’est lors de mon entrevue d’embauche que j’ai vraiment eu un gros coup de cœur pour les gens de la communauté militaire. L’ambiance de travail me sort complètement de mon ancien environnement. Aimant relever de nouveaux défis, ce boulot était parfait pour moi !
Je suis la coordonnatrice administrative du gestionnaire supérieur des PSP ainsi que des deux gestionnaires supérieurs adjoints. Mes tâches sont variées, mais l’essentiel de mon travail est de niveau administratif.
Je n’ai pas de passe-temps en particulier, mais j’aime essayer de nouvelles activités et découvrir de nouvelles choses. Dans mes temps libres, j’adore assister à des spectacles d’humour et participer à des festivals de musique. J’aime aussi beaucoup effectuer des jeux d’évasion. J’en fais régulièrement ! »
Roxanne LanielCoordonnatrice du soutien général et administratif
S’est jointe aux PSP en octobre 2022
Le grappling est un art martial inspiré des combats traditionnels qui s’exécute sans frappe. Il combine des techniques de lutte, de judo et de jiu jitsu brésilien. Il améliore entre autres l’endurance, la force et même la flexibilité. L’équipe des Sports militaires des garnisons Saint-Jean et Montréal offre aux militaires, femmes et hommes, de former une équipe de grappling formées de combattants de tous les niveaux. N’hésitez pas à venir essayer ce sport et rencontrer nos entraîneurs.
À la garnison Saint-Jean, les pratiques ont lieu tous les jeudis, de 11 h 45 à 12 h 45, au local M-211 du centre des sports. À la garnison Montréal, elles ont lieu au centre des sports les lundis, de 14 à 16 h, et les mardis, de midi à 13 h.
Numérisez le code QR pour accéder aux différentes plateformes des PSP !
Le 4 juin en avant-midi, une quarantaine de militaires et d’employés civils de la Défense nationale ont accepté l’invitation des équipes de la Promotion de la santé, du conditionnement physique et des sports militaires des Programmes de soutien du personnel – Région Montréal et ont relevé le Défi relais à vélo. Chaque équipe était formée de trois personnes. Les participants devaient pédaler pendant 60 minutes en se relayant. L’activité a été tenue à l’extérieur sous un chapiteau. Bravo aux courageux cyclistes!
Pour voir des images vidéo
Vous êtes militaire ou employé civil de la Défense (fonction publique ou Fonds non publics) et vous songez à commencer ou recommencer la course ? Un cours en groupe de préparation à la course est actuellement offert au Centre des sports de la garnison Montréal. Le programme est adapté en fonction du niveau des participants, de leur progression et ce, tout en minimisant les risques de blessure.
Bien que les cours soient commencés, il est possible de s’inscrire en tout temps. Les cours se déroulent sur la piste de 400 m, les mardis et jeudis, de 11 h 30 à 12 h 30.
Tarifs : • Militaires : gratuit
• Détenteurs de la carte PSP : 40 $
• Autres : 60 $ Information
Photo : Yves Bélanger Des membres de quelques-unes des équipes participantes.Les qualifications locales en prévision du Championnat régional de golf des Forces canadiennes ont eu lieu le 10 et 11 juin au club de golf Vallée des Forts, à Saint-Jean-surRichelieu, sous la supervision de Philippe Daneau et Victor Caron-Clément, coordonnateurs de conditionnement physique aux Programmes de soutien du personnel à la garnison Saint-Jean.
Capitaine Frédérick Morin et sergent Shane Sweetman, de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, ont respectivement terminé avec un score de 101 et 99. Pour sa part, caporal Alexandre Haché, de la coordination de la garnison Saint-Jean, a obtenu un score de 87. Ils seront les trois représentants de la région lors du championnat régional qui aura lieu du 22 au 25 juillet, à Saint-Jean-sur-Richelieu.
Majore Shona Couturier, commandante adjointe des Services techniques du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada, a fait très bonne figure aux Championnats canadiens des maîtres-nageurs Speedo 2024 qui ont eu lieu du 24 au 26 mai, à Windsor. Chez les femmes de 30 à 34 ans, la militaire y a obtenu :
• trois médailles de bronze : 100 m - 4 nages, 100 m brasse et 400 m 4 nages
• une 4e position : 200 m 4 nages
• trois cinquième place : 50 m papillon, 100 m papillon et 200 m brasse.
Cinq coureurs militaires, lieutenant de vaisseau Simon Bullock (5 km), du Navire canadien de Sa Majesté Donnacona, lieutenante de vaisseau Marie-Chantal Lechasseur (5 km), de la Réserve navale, capitaine Nancy Harnois (21.1 km), du Centre de recrutement des Forces canadiennes, major David Simpkin (5 km), du Collège militaire royal de Saint-Jean, et major Valentin Caciula (21,1 km), des Services corporatifs du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada, étaient parmi les représentants de la région de Montréal au Championnat national de course des Forces canadiennes qui a eu lieu à Ottawa les 25 et 26 mai.
Comme chaque année, ce championnat est tenu lors du Marathon d’Ottawa qui attire des milliers de participants. Cette année, Capt Harnois participait au demi-marathon (21,1 km). Elle s’est démarquée au niveau des Forces armées canadiennes en terminant la première dans sa catégorie (femmes 50-54 ans). Cette performance l’a classé au 6e rang des 258 coureuses de sa catégorie inscrites au Marathon d’Ottawa.
Notons qu’en plus des cinq coureurs, caporale Patricia St-Laurent-Sills, du 41e Centre des services de santé des Forces canadiennes –Montréal, était présente à Ottawa à titre de soigneuse.
Veuillez noter qu’au moment de mettre l’article en ligne, le classement final des participants au Championnat national des FC n’était pas disponible.
Court depuis 8 ans 4e participation au Championnat national de course des Forces canadiennes
Temps : 1 :47 :28
Catégorie : 21,1 km – femmes 50-54 ans
Comment a été votre expérience cette année ?
Encore une fois, une très belle expérience. La température était parfaite, contrairement aux autres années où nous avons eu droit à des canicule. C’est un immense plaisir de rencontrer des collègues qui partagent la même passion.
Quels ont été les plus grands obstacles lors de cette compétition ?
Conserver le rythme de course malgré la chaleur.
Combien d’heures par semaine consacrezvous à l’entraînement pour la course ?
Huit heures par semaine et parfois plus.
Quelles sont les prochaines compétitions militaires et civiles auxquelles vous participerez cet été ?
Je suis inscrite au Québec Méga Trail, en juillet (80 km), au Marathon de Montréal, en septembre (42,2 km), et au Bromont ultra, en octobre (55 km). »
Court depuis 5 ans 3e participation au Championnat national de course des Forces canadiennes
Temps : 17 :22 minutes
Catégorie : 5 km – hommes 30-34 ans
Comment a été votre expérience cette année ?
J’ai eu une merveilleuse expérience ! La météo était la meilleure que nous ayons eue depuis plusieurs années. Elle a permis aux athlètes de réaliser des temps très rapides. Participer une troisième fois m’a donné beaucoup de confiance et a réduit le niveau de stress face à cette compétition.
Quels ont été les plus grands obstacles lors de cette compétition ?
Mon plus grand défi cette année a été de m’assurer de rester concentré sur l’entraînement au cours des mois précédant la course. Ils ont été très mouvementés. J’ai quand même été en mesure de poursuivre l’entraînement, même si cela a impliqué de courir un marathon dans l’Arctique lors d’un déploiement de quelques jours dans cette région.
Combien d’heures par semaine consacrezvous à l’entraînement pour la course ?
Au cours d’une semaine, j’essaie de courir au minimum sept à huit heures et de faire de la musculation à une ou deux reprises.
Quelles sont les prochaines compétitions militaires et civiles auxquelles vous participerez cet été ?
En raison de mon horaire chargé du printemps, je n’ai pas encore eu la chance de m’inscrire à une prochaine course. J’espère toutefois pouvoir participer à une course cet été et à l’automne. »
Court depuis 20 ans 2e participation au Championnat national de course
des Forces canadiennes
Temps : 25 :57 minutes
Catégorie : 5 km – femmes 50-54 ans
Comment a été votre expérience cette année?
C’est toujours un plaisir d’y participer.
C’est une belle organisation et c’est agréable de côtoyer les militaires dans un autre contexte et de faire de belles rencontres.
Quels ont été les plus grands obstacles lors de cette compétition?
Le manque d’entraînement dans mon cas en raison de ma décision tardive à y participer. Cela a paru sur mon résultat.
Combien d’heures par semaine consacrezvous à l’entraînement pour la course?
Environ huit à dix heures, mais l’été, je fais plus du vélo de route.
Quelles sont les prochaines compétitions militaires et civiles auxquelles vous participerez cet été?
Aucune, car je quitte sous peu le pays pour un an. Je suis déployée sur l’opération CALUMET dans la péninsule du Sinaï. Toutefois, j’aimerais augmenter le nombre d’heures d’entraînement à la course.
Court depuis 8 ans
5e participation au Championnat national de course des Forces canadiennes
Temps : 1: 29: 45
Catégorie : 21,1 km – hommes 50-54 ans
Comment a été votre expérience cette année?
La température était idéale. Cela a vraiment été plaisant.
Quels ont été les plus grands obstacles lors de cette compétition?
La partie la plus difficile a été le dénivelé qui se situe entre les 13e et 17e km du parcours.
Combien d’heures par semaine consacrezvous à l’entraînement pour la course?
Entre deux et cinq heures, tout dépendant du cycle de préparation.
Quelles sont les prochaines compétitions militaires et civiles auxquelles vous participerez cet été?
Le 13 juillet, je participerai au Forest Run Predeal (38 km), en Roumanie. En septembre, je serai à la Course de l’armée (5 km et 10 km), à Ottawa. J’aimerais aussi, si mon horaire le permet, courir le marathon Waterfront Toronto (42,2 km).
Lieutenant de vaisseau Simon Bullock.Le Chevrolet Silverado 2 500 HD High Country 2024 arrive sur le marché avec des innovations qui rehaussent le segment des camions légers HD. Sa capacité de charge impressionnante, sa capacité de remorquage hors pair et un habitacle luxueusement aménagé en font une référence parmi les camions de sa catégorie. Son design renouvelé pour la quatrième génération le positionne comme un rival redoutable face aux ténors du marché que sont le Ford Super Duty F-250 et le Ram 2 500 HD.
Avec ce réaménagement pour tous les modèles 2024 de la série 2 500 HD, le nouveau châssis en acier haute résistance procure une meilleure rigidité structurale en cas d’impact tout en réduisant le poids, ce qui se traduit par une baisse de consommation de carburant. L’expérience de conduite à l’intérieur de l’habitacle a été grandement améliorée, grâce au choix des matériaux et à la qualité de présentation. La plupart des versions bénéficient d’un écran tactile d’info-divertissement de 13,4 pouces qui offre des contrôles intuitifs clairs, sans oublier le bloc numérique de 12,3 pouces qui fournit au conducteur toutes les informations nécessaires.
Offert de série sur tous les modèles, le V8 à essence de 6,6 litres développe 401 chevaux à 5 200 tours/minute et 464 livres-pied de couple à 4 000 tours/minute. N’oublions pas la capacité de remorquage, qui est très généreuse pour ce V8, soit 8 482 kg (18 700 livres). Si cela ne suffit pas, un V8 Duramax turbodiésel de 6,6 litres en option génère 470 chevaux à 2 800 tours/minute et 975 livres-pied de couple à
1 600 tours/minute. Oui, vous avez bien lu : 975 livres-pied de couple. De quoi en avoir à revendre ! Ce moteur est également couplé à une transmission automatique Allison à dix rapports, sans doute la meilleure sur le marché. Pour ce qui est de la capacité de remorquage, elle est de 10 010 kg (22 070 livres) pour le modèle d’essai !
La conduite du nouveau Chevrolet Silverado 2 500 HD High Country 2024 est nettement plus dynamique que celle de la génération précédente. Cette amélioration est notable, et le comportement routier est désormais agréable et prévisible, même sur les chaussées dégradées. Malgré son châssis rigide, le Silverado 2 500 HD offre une douceur de roulement plus qu’acceptable pour un véhicule de ce segment.
Ce véhicule est peut-être moins populaire que ses concurrents, comme le Ford Super Duty F-250, mais il reste un choix judicieux pour les acheteurs de camions légers pleine grandeur. Il offre un style élégant, des technologies de pointe et un bon confort, tout en possédant une capacité de remorquage hors pair. Si vous recherchez un camion robuste et luxueux, le Silverado 2 500 HD High Country 2024 saura vous combler, malgré son prix élevé de 109 320 $ dans notre configuration d’essai.
Je tiens à remercier General Motors du Canada pour l’excellente collaboration lors de l’essai routier du Chevrolet Silverado 2 500 HD High Country 2024.