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LE MAGAZINE DE L’IMMOBILIER PROFESSIONNEL STRUCTURA.BIZ I N°01

L’entrepreneur flamand est-il trop modeste ?

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Dégustation de bière au millilitre

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Entretien avec Coca Cola

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BUREAUX

INDUSTRIE

RETAIL

INVESTISSEMENTS

AS A LOCAL WE KNOW THE AREA

I N° 1

SOMMAIRE

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L’entrepreneur flamand est-il trop modeste ?

Pourquoi ne pas investir dans un bien professionnel ?

Du cœur pour les bonnes œuvres

Dégustation de bière au millilitre

Entretien avec Coca Cola

Le droit au bail commun : flexible et équilibré

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Cher lecteur, Nous sommes fiers de vous présenter la première édition de notre revue .BIZ. Dans celui-ci, nous souhaitons avant tout vous présenter Structura.biz en tant qu’entreprise : qui sommes-nous, que faisons-nous et comment travaillons-nous ? Nous donnerons donc la parole à quelques clients.

Ils sont en effet mieux placés que quiconque pour témoigner de nos méthodes de travail.

Structura.biz emploie désormais 24 collaborateurs, qui s’engagent chaque jour à rechercher les meilleures solutions immobilières depuis nos deux bureaux, situés à Strombeek-Bever et à Bruxelles. À la fin de cette année, nous ouvrirons également un bureau à Anvers pour répondre à la croissance continue de Structura.biz au fil des ans et mieux servir nos clients.

Sur le plan des investissements, l’année dernière a été non seulement excellente, mais aussi équilibrée. Nos experts du département investissements ont, eux aussi, pu le constater grâce à quelques belles transactions comme la vente de l’Atlas Park à Zaventem et de 5 immeubles de bureaux du portefeuille d’Intervest. Dans cette revue, nous souhaitons également partager notre expertise avec vous et vous offrir quelques conseils en investissement.

Plus loin dans votre lecture, vous découvrirez également les réalisations de nos experts dans les secteurs bureaux, industrie et retail.

Cette année notre société était finaliste pour le titre de société immobilière de l’année, organisée par la CIB pour inspirer et stimuler l’entreprenariat dans le secteur de l’immobilier.

Innovation, accessibilité, connaissance approfondie du marché local et expertise nous démarquent des agents immobiliers internationaux.

Bonne lecture.

Klara De Neve

I N° 1

QUE SIGNIFIE TRAVAILLER CHEZ STRUCTURA.BIZ POUR NOS COLLABORATEURS ?

U N E É QUIP E J E UN E E T E N THOUSIA STE , MIEUX QUE QUICONQUE C A PA BL E DE T É MOIGN E R DE C E QUE RE PRÉSENTE L E TRAVA IL CH E Z STRUCTURA .BIZ :

Spontanéité et liberté.

Des contacts intéressants avec les clients.

Travailler dans une entreprise dynamique, où l’on communique librement et où les collaborateurs ont leur mot à dire.

Avoir des responsabilités et la possibilité d’apporter vos idées.

Structura.biz est une entreprise ambitieuse avec une perspective d’avenir, où nous bénéficions d’une écoute.

Des possibilités de développement, de devenir expert dans votre domaine.

Une équipe solide et agréable, différente des agents immobiliers traditionnels.

Travailler dans une ambiance familiale et une structure plane.

Vous aussi, vous avez envie de nous rejoindre pour travailler ou vous connaissez une personne qui correspondrait parfaitement au profil de cette belle équipe ?

Contactez-nous via office@structura.biz

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L’ENVIRONNEMENT ENTREPREUNEURIAL DU BRABANT FLAMAND Structura.Biz s’est entretenue avec Peter Van Biesbroeck, directeur général de Voka dans le Brabant flamand. Nous avons parlé de l’évolution de l’esprit d’entreprise dans la province du Brabant flamand et des problèmes liés à sa croissance. Comment éviter que ces seuils deviennent des obstacles pour nos entrepreneurs ? En effet, pour grandir, ils doivent avant tout pouvoir rêver librement.

FAUTE D’INNOVER CONSTAMMENT, LES ENTREPRENEURS SONT APPELÉS À DISPARAÎTRE

I N° 1

INTERVIEW

DANS LE BRABANT FLAMAND, L’INDÉPENDANT MOYEN EST BEAUCOUP TROP MODESTE. CELA INFLUENCE LA PRISE DE RISQUE

Comment décririez-vous l’environnement entrepreneurial du Brabant flamand ?

PETER VAN BIESBROECK directeur général de Voka dans le Brabant flamand

Le Brabant flamand est une province atypique. Elle se caractérise en effet par les services, et non par la production.

C’est une conséquence directe de la présence des universités et des domaines de connaissance correspondants qui ont vu le jour, notamment avec les entreprises ayant essaimé de l’Université Catholique de Louvain. La ville de Bruxelles joue également un important rôle en tant que centre de gravité politique, tant au niveau belge qu’européen. La présence de l’aéroport est un autre facteur non négligeable. Celui-ci assure une attraction internationale. Il est donc possible d’attirer des talents dans la région, et plus important encore, de les y retenir.

Quels sont les avantages et les inconvénients d’une économie de services si marquée ?

Le caractère cyclique. Selon moi, les services sont moins influencés par les fluctuations économiques (par rapport aux entreprises de production), ce qui s’est notamment révélé favorable durant la crise de 2008. Le Brabant flamand l’a d’ailleurs assez bien traversée. Le revers de la médaille, c’est qu’il faut d’abord créer de la valeur dans les entreprises de production avant de voir une augmentation de la demande de services.

La crise de 2008 et la reprise subséquente montrent que nous vivons dans un monde en perpétuel changement. Aussi, l’entreprenariat est exposé à toutes sortes de développements.

Comment cela se reflète-t-il dans l’offre de services ou de la production de notre province ?

La ville de Tirlemont en est l’exemple par excellence. La majorité de la production de la province y était toujours concentrée. Depuis, cette industrie est devenue obsolète. Il en résulte une spirale descendante qui mène au chômage. Se réinventer devient alors une nécessité. Ce processus a été lancé entre autres avec l’aide de Voka. L’objectif est de créer une économie du savoir sous le dénominateur « Feed, food, health » (« Alimentation, nutrition, santé »), notamment avec la création d’un parc scientifique.

Ailleurs dans la province, cette évolution vers une économie du savoir est également perceptible. En atteste l’exemple de la ville de Louvain. Si la culture de la connaissance y a toujours été présente, elle y est désormais encore plus marquée.

Voka lui apporte également son soutien, par exemple avec l’initiative « Leuven MindGate », collaboration entre la ville de Louvain, les entreprises et les institutions du savoir. L’objectif est depositionner Louvain comme un haut

lieu de la santé, de la haute technologie et de la créativité. Cette triple coopération vise la création d’un écosystème unique qui sera bénéfique aux entreprises locales.

Quels sont les autres sujets à l’ordre du jour de Voka ?

Nous voulons faire prendre conscience aux entrepreneurs qu’il faut rêver grand pour le devenir. Dans le Brabant flamand, l’indépendant moyen est beaucoup trop modeste. Cela influence la prise de risque. Entreprendre est pourtant synonyme de « bondir » et « oser ».

Nous sommes convaincus que les échanges d’expériences permettront de concrétiser ce changement de mentalité.

C’est pourquoi nous organisons des moments réseaux. En outre, la formation est un élément important. Voka assure environ 70 formations par an, chacune dispensée par un entrepreneur « du terrain ». Nous notons également ici l’influence de la conjoncture. Pendant la récession, la demande était surtout orientée vers les formations pratiques liées aux pratiques quotidiennes telles que « comment gérer les créances ? ».

En temps de crise, on ne réfléchit effectivement pas aux décisions stratégiques à long terme. >

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CHAQUE ANNÉE, LES EMBOUTEILLAGES COÛTENT 200 MILLIONS D’EUROS EN PRÉJUDICES

Aujourd’hui, quelles formations offrez-vous principalement ?

Quels sont les autres sujets d’actualité pour les entrepreneurs ?

soit offerte gratuitement. Cela la rend également accessible aux plus petites entreprises.

Les entrepreneurs sont nombreux à demander des formations ayant trait à « l’innovation ».

C’est là un autre cheval de bataille de Voka : si les entrepreneurs n’innovent pas continuellement, ils disparaîtront. Il en va de même pour l’internationalisation, qui se résume bien dans la formule suivante : E = T x I ² x L. Ou : Excellence = Talent x Innovation x Internationalisation x Leadership.

Sans aucun doute le marché du travail et la mobilité.

Sur le marché du travail, il s’agit principalement de la guerre des talents. La difficulté consiste non seulement à attirer les bonnes personnes, mais surtout à les retenir. La population de jeunes est volatile et a périodiquement besoin d’étendre ses connaissances dans un nouveau cadre. Le manque de connaissances techniques adéquates joue aussi des tours aux entreprises : là où 400 nouveaux ingénieurs sont nécessaires chaque année, on ne dénombre que 100 étudiants.

En outre, la mobilité pose problème : chaque année, les embouteillages coûtent 200 millions d’euros en préjudices, 19 des 26 points noirs du trafic en Région flamande sont situés dans le Brabant flamand... L’aorte du trafic belge draine notre province. Ces chiffres vertigineux indiquent que nous nous dirigeons simplement vers une congestion du trafic.

À titre d’exemple, on peut encore citer le nœud de mobilité de la zone industrielle d’Haasrode.

Auparavant, il fallait 45 minutes pour atteindre le parc et en ressortir. Avec la ville de Louvain et De Lijn, Voka a cherché des solutions envisageables.

Depuis, trois nouvelles pistes cyclables ont été construites et le nombre de bus desservant le parc a doublé.

Nous constatons ici une différence entre les plus jeunes PME et les valeurs établies. L’organisation BRYO (Bright and Young), qui soutient les jeunes désireux d’entreprendre, en est un brillant exemple. Notre province abrite de nombreux jeunes talents. En quelques années, BRYO a déjà contribué au lancement de 900 initiatives.

Un signe qui prouve que les jeunes osent !

Ces nouvelles PME sont souvent convaincues par le concept de « born global » et pensent immédiatement à la Silicon Valley.

Pour perpétuer cette tendance, il est important de déceler et de stimuler le plus tôt possible ces compétences chez les jeunes, ce à quoi le système éducatif actuel prépare encore bien trop peu.

Voka milite pour cela mais se heurte à différents obstacles : la politique éducative est confuse, le cycle de l’enseignement ne permet de voir des résultats qu’au bout de six ans...

Les employeurs sont aux aussi désireux d’un rapprochement entre l’enseignement et la vie professionnelle. L’apprentissage sur le lieu de travail ne devrait pas être une réalité lointaine.

L’harmonisation des intérêts de l’enseignement et des entrepreneurs n’est toutefois pas évidente.

Quelle est la réaction de Voka à ce sujet ?

Nous essayons d’offrir des alternatives et de sensibiliser les employés et les employeurs à ce sujet.

Nous avons notamment fait appel à un partenaire externe pour développer une application qui facilite le covoiturage entre collègues. Le projet pilote se déroule dans la région de ZaventemDiegem et peut compter sur 600 participants. Le matin, ils peuvent réserver une place auprès d’un de leurs collègues. Le soir, en cas de problème pour le retour au domicile, par exemple en raison d’heures supplémentaires, ils sont pris en charge par un taxi. Il est important que cette initiative

Nous reconnaissons là la véritable raison d’être de Voka : offrir de la valeur ajoutée aux membres.

LA VÉRITABLE RAISON D’ÊTRE DE VOKA : OFFRIR DE LA VALEUR AJOUTÉE AUX MEMBRES.

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ILS NOUS ONT FAIT CONFIANCE

LE PARC DU HEYSEL À NOUVEAU COMPLET À la fin de l’année, Vasco Data Security déménage son quartier général opérationnel mondial de son emplacement actuel à Wemmel, pour s’installer sur le site situé sur la Chaussée Romaine à Strombeek-Bever. L’entreprise prendra ses quartiers dans un bâtiment indépendant d’une superficie de 3300 m² et deviendra de ce fait le plus grand locataire du parc. Simultanément, Tobania étend la superficie qu’elle occupe sur ce même site avec l’achat de 1400 m² de bureaux.

Ces deux transactions ont été effectuées par l’intermédiaire de Structura.biz Le Parc du Heysel, un développement d’Haviland, compte un total de 8300 m² de bureaux répartis sur 3 bâtiments.

DELHAIZE OUVRE UN NOUVEAU MAGASIN PLACE DU MIROIR À JETTE Début 2018, Delhaize ouvrira un nouveau magasin au 26 chaussée de Wemmel, à quelques pas de la place du Miroir (place Astrid) à Jette.

Ces derniers mois, celle-ci a subi une complète métamorphose pour redevenir une zone piétonne. À terme, la place du Miroir, qui sera reliée au Heysel par le tram 9 et bénéficiera d’un parking souterrain de 199 places, deviendra le point de rencontre idéal dans le nord de Bruxelles. Delhaize a trouvé ce nouvel emplacement par l’entremise de notre département Retail Bureau Gerard by Structura.biz

LA COLLABORATION ENTRE LES INTÉRESSÉS DE CE PROJET A ÉTÉ EXCELLENTE ET PARTICULIÈREMENT EFFICACE. JE TIENS À REMERCIER CHALEUREUSEMENT TOUTES LES PERSONNES IMPLIQUÉES DANS CE PROJET. Location Manager Brussels Area

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LA PME INDUSTRIELLE BELGE GARDE-T-ELLE UN PAVÉ SUR L’ESTOMAC ?

Pour la seconde année consécutive, nous avons sondé le marché belge des PME industrielles.

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n avril 2017, pour la seconde année consécutive, nous avons sondé le marché belge des PME industrielles. La question principale était de savoir si les PME belges avaient l’intention de déménager et, le cas échéant, quels critères elles privilégiaient. Quelque 150 dirigeants d’entreprise du centre de Bruxelles, de la périphérie bruxelloise et du losange flamand (Anvers-Gand-Louvain-Bruxelles) ont été interrogés par le bureau Devroe & Partners. Il a été tenu compte de la représentativité de la taille de l’entreprise (effectifs) et de la superficie de l’immeuble (en propriété ou en location).

Profil Sur 150 répondants, on dénombre 38 % de locataires et 62 % de propriétaires de leur immeuble industriel.

qui ont déménagé ont privilégié le critère de l’emplacement et concédé un rôle déterminant à l’accessibilité pour le personnel.

Les locataires On dénombre un certain nombre de facteurs d’influence sur les raisons qui poussent

Les conclusions en bref :

Les propriétaires 48 % des propriétaires possèdent leur immeuble depuis plus de 10 ans. 51 % ont eux-mêmes financé l’acquisition de l’immeuble et 32 % l’ont placé dans différentes sociétés. 75 % de ceux

les locataires à louer : l’aspect financier (42 %), la flexibilité de l’espace (21 %) et l’inadéquation de l’offre (35 %) qui les contraint à louer. 42 % des locataires veulent déménager dans les 5 ans.

61 % de ceux qui ont déménagé ont privilégié le critère de l’emplacement et ont eux aussi accordé un rôle déterminant à l’accessibilité pour le personnel.

Par rapport à l’enquête menée en 2016, la PME industrielle belge a toujours un pavé sur l’estomac. 62 % d’entre elles sont propriétaires de leurs immeubles industriels.

Le critère privilégié lors de l’acquisition d’une propriété est l’emplacement (et plus précisément l’accessibilité pour le personnel) Les locataires sont, de manière plus marquée qu’en 2016, plus sensibles au prix que les propriétaires, et ce pour les raisons suivantes : –– Ils louent pour des motifs financiers (42 %).

–– Ils souhaitent déménager pour investir dans leur propre immeuble (36 %).

–– Le prix (71 %) joue un rôle décisif absolu, suivi par l’emplacement (61 %).

54 % des propriétaires ont eux-même financé l’acquisition de leur immeuble.

I N° 1

POURQUOI NE PAS INVESTIR DANS UN BIEN PROFESSIONNEL ?

L’IMMOBILIER PROFESSIONNEL OFFRE UN RENDEMENT DE L’ORDRE DE 7 % CONTRE 3,5 % POUR L’IMMOBILIER RÉSIDENTIEL

Combien de temps cela prendra-t-il avant que les épargnants ne « paient » un intérêt négatif sur leur capital d’épargne ? Sortir des sentiers battus et investir dans l’immobilier commercial offre une issue rentable. Car pourquoi continuer à investir dans l’immobilier résidentiel traditionnel alors que l’immobilier commercial peut rapporter le double ?

Klara De Neve, CEO de Structura.biz : « Atteindre un objectif de rentabilité en immobilier exige simplement un état d’esprit différent. Il ne faut plus penser en termes d’appartements ou de maisons, mais de bureaux, de bâtiments industriels ou d’immeubles commerciaux, tout aussi concrets et visibles. Ils offrent, selon notre expérience, un haut rendement éprouvé, ainsi que de nombreux avantages par rapport à l’immobilier résidentiel, dont le rendement moyen est de l’ordre de 3,5 %. »

Sûreté du rendement La plupart des immeubles de PME que nous mettons actuellement en vente pour les investisseurs se situent dans des régions avec une forte demande en location par les PME. Dans certaines régions, elle est beaucoup plus importante que l’offre,

surtout lorsque des critères tels que l’accessibilité et l’emplacement entrent en jeu. Il en découle des opportunités pour les investisseurs qui ne sont pas eux-mêmes les utilisateurs finaux, car ces PME sont des locataires de qualité et à long terme.

Grâce à l’ancrage local de nos consultants et de leur connaissance du marché local, nous sommes passés maîtres dans l’art de déterminer de manière réaliste et donc précise la valeur à la location et à la vente, ce qui constitue un atout. Les investisseurs peuvent se reposer sur un bon rendement et les locataires sur un loyer correct.

Avantages pour le propriétaire-bailleur Outre un rendement supérieur, investir dans l’immobilier commercial offre une importante valeur ajoutée. Les baux sont toujours d’une durée d’au moins 3 ans, les locataires sont des professionnels et généralement de bons payeurs.

Un certain nombre de frais importants sont également transférés du bailleur au locataire.

Le précompte immobilier est à la charge de ce dernier, ainsi que l’entretien du parking, du jardin... La gestion de l’immeuble est à la fois plus simple et donc moins coûteuse. Un locataire professionnel ne fait pas toujours appel au gérant de l’immeuble pour chaque petite réparation, et il investit souvent lui-même dans les travaux d’aménagement de son immeuble. Généralement, le bailleur ne doit fournir aucun certificat PEB au locataire et n’est pas non plus obligé d’installer des détecteurs de fumée, par exemple.

Pour les bureaux et les immeubles industriels, tant le bailleur que le locataire du bien professionnel relèvent de la législation générale relative à la location et sont donc des partenaires égaux.

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GRAND-BIGARD Espace polyvalent

252 – 1562 m²

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Contactez nos spécialistes de l’équipe industrie.

Ils se feront le plaisir de vous en dire plus sur les différentes possibilités.

industrie@structura.biz - 02 462 32 00

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PRIORITÉ À L’HUMAIN

NOUS ATTACHONS UNE GRANDE IMPORTANCE À L’ENGAGEMENT SOCIAL QUELLES ŒUVRES C ARITATIVES PARRAINONS-NOUS ET QUELLES SONT NOS MOTIVATIONS ?

Structura.biz attache une grande importance à l’engagement social et souhaite sensibiliser ses collaborateurs au grand nombre de personnes dans le besoin. Chaque année, nous sélectionnons une ou plusieurs œuvres de bienfaisance, non seulement pour apporter notre contribution mais aussi pour sensibiliser les autres à ces problématiques.

Helpt helpen

Plus loin dans ce magazine, vous pourrez lire un article consacré au basket-ball en fauteuil roulant, une initiative dont nous ne pouvons que nous réjouir et dont nous sommes le fier sponsor. Toutefois, nous ne souhaitons pas nous contenter d’un simple parrainage. C’est pourquoi nous avons également organisé un brunch pour les joueurs de l’équipe de basket en fauteuil roulant et la première équipe d’Asse-Ternat, une initiative que nous souhaitons répéter chaque année.

La « Journée du nez rouge » (Rode Neuzen Dag), une initiative de Q-Music, Belfius et VTM. La journée du nez rouge, au profit de jeunes souffrant de problèmes psychiques, a été organisée pour la seconde fois en 2016. L’argent récolté a permis la fondation de cinq « maisons Journée du nez rouge », locaux aménagés dans chaque province offrant un accès facile aux jeunes qui veulent se détendre, mais aussi recevoir une assistance rapide et professionnelle. Nous avons organisé une vente de croques et de soupe dans nos bureaux de Strombeek-Bever et avons versé l’argent récolté à cette œuvre de bienfaisance.

La Ligue SLA est également une œuvre de bienfaisance à laquelle nous avons contribué par le biais de l’action de Marianne Vermeiren d’Opwijk. Pour chaque transaction, nous avons versé 15 € à l’œuvre et avons ainsi été en mesure d’apporter une contribution totale de 50 000 €.

La SLA est une terrible maladie qui entraîne une lente dégradation physique et donne la sensation d’être emprisonné dans son propre corps. Depuis lors, Marianne Vermeiren a malheureusement perdu son combat contre cette terrible maladie.

Chaque année, tous les collègues donnent leur sang dans l’un des centres de don de la Croix Rouge. Au cours de leur vie, 70 % de la population ont besoin de sang. Chaque année, en Flandre, la Croix Rouge a besoin de pas moins de 265 000 dons de sang.

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QUELQUES RÉALISATIONS : INV E STISSEMENTS

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1. ZELLIK I 1400 m² de bureaux vendus, 100 % loués.

2. BRUXELLES I Maison de maître située dans le quartier européen du promoteur immobilier gantois Alides.

3. KORTENBERG I 3100 m² de bureaux loués à D’Ieteren. Vendus à un investisseur privé belge.

4. ZAVENTEM I Parc de PME avec 8800 m² de bureaux et 4200 m² d’espace de stockage sur une superficie de 34 000 m². Vendus à un investisseur privé.

5. WEMMEL I 2800 m² de bureaux vendus à un promoteur local pour une réhabilitation en zone résidentielle.

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UN CONCEPT UNIQUE EN BELGIQUE D É GUS TATION DE BIÈRE A U MILLILITRE

Bureau Gérard, notre équipe Retail, a déniché pour B-Taste un superbe emplacement sur la Grand-Place de Bruxelles.

Nous avons le plaisir de vous présenter ce concept unique en Belgique et la vision de M. Vandenberghe, qui a mis sur pied cette affaire avec son épouse.

I N° 1

INTERVIEW

NOUS AVONS CRÉÉ UNE EXPÉRIENCE COMPLÈTE, NOTRE CONCEPT EST UNIQUE AU MONDE Comment l’idée est-elle née ?

GEERT VANDENBERGHE

L’idée est née il y a 4 ans. En nous rendant au café avec des amis, nous avons réalisé qu’il est très difficile de goûter différentes bières, sauf si vous commandez une bouteille de chaque, bien entendu. Nous avons ensuite eu l’idée de créer des échantillons de différents types de bière. Nous avons fermement cru en cette idée et avons commencé à la développer.

Propriétaire de TASTE this. Beer

Le concept existe-t-il déjà ?

ADRESSE Grand-Place de Bruxelles

Le concept, sous cette forme, est unique au monde. Nous avons automatisé le processus et en avons fait une expérience complète.

Les clients achètent une carte sur laquelle ils chargent un montant.

Ils peuvent ensuite eux-même se servir leur bière préférée.

La première fois, nous aidons les clients et leur expliquons le fonctionnement du système. Avec 10 €, le client peut goûter de nombreuses bières et ainsi découvrir celle qu’il préfère !

Comment êtes-vous arrivés dans ce bâtiment ?

Nous avons démarré l’expérience à Bruges (tous deux sont de la région, NDLR) et y avons depuis complètement cessé nos activités afin de nous concentrer entièrement sur Bruxelles.

Nous voulions un bâtiment situé dans un haut lieu de Belgique et grâce à Marie, du Bureau Gerard, nous l’avons trouvé.

La recherche s’est déroulée sans encombre, l’assistance de Marie a vraiment été efficace.

Quels sont vos projets pour l’avenir ?

Je tiens à préciser : nous ne sommes pas un café, l’objectif n’est donc pas que les clients restent. C’est pourquoi nous avons délibérément choisi de n’installer aucune table où les clients peuvent s’attarder agréablement et nous fermons chaque jour à 22 h. Notre objectif est de permettre aux clients de déguster des bières pour ensuite aller consommer celles qu’ils préfèrent dans un café.

Nous n’avons donc pas prévu d’ouvrir une autre affaire en Belgique, nous restons sur 1 affaire dans un haut lieu.

Toutefois, il est possible que nous la franchisions dans d’autres pays. Concrètement, nous songeons à Paris et à Londres.

Nous allons davantage nous concentrer sur la clientèle B2B. Dans notre sous-sol, nous allons installer un Business club où nous combinerons dégustation de bières et de cigares, le tout sur des airs de jazz.

Nous allons également dédier l’intégralité du premier étage au public B2B. Tout cet espace sera disponible pour des réunions, des événements, des conférences.

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QUELQUES RÉALISATIONS RE TAIL I BURE A UX I INDUSTRIE

1. BRUXELLES I Immeuble au Sablon.

Vendu à un investisseur privé.

2. BRUXELLES I Bureau Gerard by Structura.biz a loué cette surface commerciale du marché aux herbes, dans le centre historique de Bruxelles.

Trésor des pirates, magasin de bonbons aux multiples implantations en Europe, s’est installé dans cet immeuble.

3. CHAUSSÉE DE NAMUR, 93 À BRUXELLES I Bureau Gerard by Structura.biz a loué cette surface commerciale d’une superficie de +/-200 m².

L’immeuble est situé dans un haut lieu à quelques pas de la Chaussée de Waterloo. L’immeuble a été loué à la bijouterie BY B de Barbara Louys.

4. ZAVENTEM I Structura.biz a loué 979 m² sur de Keiberg à Kodak. Le siège de Kodak se situe à seulement quelques pas de ce nouvel édifice, qui sera occupé par une division qui développe un nouveau procédé d’impression.

5. STROMBEEK-BEVER I Structura.biz a vendu ce site en moins de 3 mois. Le promoteur immobilier, Resolve Real Estate, a acheté le site pour son excellent emplacement et y réalisera un projet qui reste à déterminer. Le vendeur, P&G, reste sur le site et les 500 employés sur place reçoivent un autre lieu de travail. Le site vendu se compose de deux bâtiments de +/-10 000 m² et de +/-1000 m² sur un terrain de +/-16 000 m².

6. BRUXELLES I Structura.biz a loué 972 m² de bureaux de la tour du Botanique à Bruxelles à Via-invest, société sœur de PMV. (Participatiemaatschappij Vlaanderen).

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7. LEEUW-SAINT-PIERRE I Structura.biz a vendu l’intégralité de ce tout nouveau projet de construction sur mesure à Leeuw-Saint-Pierre.

Le projet comprend 1800 m² d’espace de stockage et 300 m² de bureaux sur un terrain de 4800 m².

La livraison est prévue pour décembre 2017.

8. ZAVENTEM I Structura.biz a vendu ce bâtiment industriel à Zaventem à un investisseur privé. Le bâtiment, qui comprend un espace de stockage de 600 m², 300 m² de bureaux et est implanté sur une parcelle de +-1420 m², est loué par le propriétaire précédent à Fleet Service Center, qui a signé un bail de 9 ans.

9. TERNAT I Structura.biz a loué 3500 m² d’espace de stockage à Audi Brussels SA. Audi Brussels s’installe depuis le mois de septembre dans cet emplacement supplémentaire situé à Ternat. Une partie des bureaux sera également utilisée comme espace social.

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ENTRETIEN AVEC COCA-COLA IN TE R VIE W AV EC SÉBA STIEN BERL A NGER, E UROP E AN FA CILITIE S MA N A GER C HE Z C OC A -C OL A SER V ICE S À A NDERL ECH T.

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INTERVIEW

Vous travaillez chez Coca-Cola Services depuis 23 ans. Au fil des ans, quels changements majeurs avez-vous constatés dans votre travail ?

SEBASTIEN BERLANGER European Facilities manager chez Coca-Cola Services

Lorsque nous avons entamé la construction du bâtiment situé à Anderlecht, nous avions de grandes ambitions. Dans la région, nous faisions figure de pionniers pour les installations que nous avions prévues dans le bâtiment. Le bâtiment était un peu trop grand pour nous seuls. Nous avons donc cherché des locataires. À l’époque, il était plus facile de trouver des locataires, non seulement parce que nous nous trouvions dans un bâtiment flambant neuf, mais aussi parce que le marché de la location était alors très différent.

Nous avons attiré des locataires tels que Swatch, Daikin et Cardif, qui s’y trouvent encore actuellement.

Coca-Cola est une grande entreprise. À quoi ressemble votre portefeuille immobilier ?

Nous avons 3 différents types de bâtiments : des bâtiments dont nous sommes propriétaires, dont nous sommes locataires et que nous sous-louons à Coca-Cola European Partners, la société qui produit, distribue et commercialise nos boissons en Europe occidentale. Cela facile notre collaboration avec eux.

Nous ne sommes propriétaires de nos bâtiments qu’à Madrid, Athènes et Bruxelles.

Bien que nous sommes présents dans de nombreux pays, Coca-Cola Services en Belgique est, proportionnellement, une petite entreprise. En Belgique, nous employons environ 220 collaborateurs.

Nous attachons une grande importance à l’environnement.

Nous avons dès lors investi dans une usine de traitement des eaux usées pour réutiliser l’eau pour l’arrosage des jardins et les sanitaires. L’entreprise s’emploie aussi activement à la mise en œuvre de solutions pour produire des énergies renouvelables sur le site.

Avec les locataires, nous formons une vraie communauté qui rend notre site véritablement unique. Par exemple, Swatch organise chaque année un « friends & family day », où des activités sportives sont prévues et des terrains de pétanque sont installés. Nous disposons également d’un grand centre de conférence avec quelque 14 salles de réunion modulables.

Nous voulons rendre la vie de tous les employés aussi agréable que possible. C’est pourquoi nous essayons toujours d’innover et de lancer de nouvelles idées qui peuvent contribuer à un bon équilibre travail-vie privée.

Comment vous êtes-vous mis en quête de locataires ?

Pour notre recherche actuelle, nous avons été contactés par Structura.biz, qu’en toute honnêteté, je ne connaissais pas encore. J’ai été agréablement surpris par la façon de travailler, différente de celle des « grands » bureaux. Structura.biz fonctionne comme un véritable partenaire et le fait de n’avoir qu’un interlocuteur a rendu la collaboration très agréable.

Le site d’Anderlecht est vaste et important, et abrite un centre de R&D avec une usine pilote pour nos innovations et nos nouveaux développements.

Le premier contact a été établi à l’été 2015, et en septembre, nous avions déjà un entretien avec un locataire potentiel. Deux mois plus tard, nous recevions une lettre d’intention et depuis lors, Hilti s’est installé dans le bâtiment. Hilti est une grande entreprise, et cela m’a donné énormément confiance dans le professionnalisme de Structura.biz. En outre, le consultant a effectué un très bon suivi. Structura.biz a également attiré Manutan, qui s’installe chez nous à partir de septembre.

La superficie totale du site s’élève à 32 000 m².

Je peux dire que notre collaboration a facilité mon travail !

Précédemment, vous avez dit faire figure de pionniers.

Pouvez-vous développer brièvement le sujet ?

Le site dispose d’un restaurant d’entreprise, d’un centre de fitness, d’un pressing, d’un service de repassage, d’un centre de photocopies et d’une petite boutique.

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INFOS LÉGALES

FLEXIBLE ET ÉQUILIBRÉ DROIT AU BAIL COMMUN

PARTENAIRE STEFAAN AERTS

L

a réglementation belge en matière de location de biens immobiliers est soumise à un régime général (droit au bail commun) et à trois régimes spéciaux (1. baux résidentiels [résidence principale], 2. baux commerciaux [vente au détail ou entreprise artisanale directement en contact avec le public] et 3. bail à ferme [exploitation commerciale de production de produits agricoles destinés principalement à la vente]).

Le droit au bail commun, d’une part, s’applique à tous les contrats de location non soumis à l’un des trois régimes spéciaux (p. ex. la location de bureaux, d’espaces de stockage, de parkings, d’entrepôts, de garages...) et, d’autre part, fait fonction de réglementation complémentaire pour les lacunes présentes dans les lois contraignantes spéciales en matière de baux résidentiels, commerciaux et à ferme (à savoir la loi sur le bail de résidence du 20 février 1991, la loi sur le bail commercial du 30 avril 1951 et les lois sur le bail à ferme du 4 novembre 1969 et du 7 novembre 1988).

Il est important de connaître le régime auquel vous êtes soumis lorsque vous souhaitez louer un bien immobilier. Si le bail satisfait aux

COLLABORATRICE LIEN VANDE VOORDE

dispositions d’application dans les lois spéciales relatives aux baux résidentiels, commerciaux et à ferme, les parties ne peuvent en effet pas s’écarter de ces dispositions contraignantes.

Le droit à bail commun est régi par les articles 1714 à 1762bis du Code civil.

Le montant de la garantie locative peut être déterminé d’un commun accord entre les parties.

Le précompte immobilier peut être transmis contractuellement du bailleur au locataire.

Le droit à bail commun se caractérise par une particulièrement grande liberté et flexibilité contractuelle par rapport aux dispositions contraignantes et strictes des lois particulières en matière de baux résidentiels, commerciaux et à ferme.

…

En droit à bail commun, les parties sont libres de prendre, d’un commun accord, des mesures contractuelles :

Le droit à bail commun permet dès lors aux parties de déterminer librement la durée du bail et, à la différence des lois spéciales des régimes spéciaux, ne prévoit aucune restriction concernant la durée minimale de l’accord.

Les parties sont libres de déterminer les possibilités contractuelles de renonciation.

Le droit au bail commun (applicable à la location d’espaces de bureaux, d’espaces de stockage, de parkings, d’entrepôts, de garages...) est, par rapport aux dispositions contraignantes et strictes des lois particulières concernant les baux résidentiels, commerciaux et à ferme, donc contractuellement beaucoup plus flexible et équilibré. Ce régime est moins axé sur la protection du locataire et offre davantage de libertés contractuelles.

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BUREAUX À L’HONNEUR ÀL

OU

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ÀL

OU

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BRUXELLES

DIEGEM

À PARTIR DE 250 €/m²/AN

135 €/m²

Espace de bureaux : 144 m² – 190 m² Espace commercial : 384 m² Situé dans le centre de Bruxelles avec vue sur le Parc de Bruxelles.

Projet unique avec une considération pour les « nouvelles méthodes de travail ».

Espaces de bureau à partir de 700 m² Diverses installations telles que : réception, salles de réunion, auditoire, centre de fitness, restaurant d’entreprise, café/sandwicherie, service de repassage...

E ÀV

ND

RE

BERCHEM-SAINTE-AGATHE 1 800 000 € Site composé d’un petit château, d’un immeuble de bureaux côté rue et de 2 vastes espaces de stockage. Superficie totale : 2262 m² Bureaux 0 - +2 : 1254 m² Bureaux 0 - +1 : 441 m² Stockage : 567 m²

E ÀV

ND

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ÀL

OU

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SAINT-JOSSE-TEN-NOODE

BRUXELLES

2 450 000 €

À PARTIR DE 180 €/m²/AN

Prestigieux immeuble de bureaux à quelques pas du Botanique.

Bureaux : 1 560 m² Espace polyvalent : 360 m² – 430 m² Une dizaine de places de parking dans le bâtiment.

L’arrière du bâtiment peut être converti en résidences.

157 – 465 m² Sis Avenue Louise, près du Palais de Justice.

Bon ratio de parking !

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WORK HARD PLAY HARD NOTRE C OLLÈ GUE J ÉRÔME NOUS PA RL E DE S ON HOBBY

Même au sein de mon équipe, il règne un sentiment d’appartenance. En outre, l’année dernière, nous avons terminé seconds du championnat belge, ce qui n’a fait que renforcer ce sentiment.

Quel est ton plus beau souvenir de hockey ?

Deux souvenirs resteront toujours spéciaux. Je pense au parcours réalisé jusqu’en finale du championnat belge. En fait, nous jouions pour ne pas être rétrogradés et, en fin de compte, nous sommes allés jusqu’en finale. Dans le passé, j’ai également été capitaine d’une équipe scolaire. À l’époque, nous avons remporté le match contre une équipe s’était montrée beaucoup plus forte tout au long de la saison. Ces moments sont naturellement inoubliables.

Comment t’es-tu lancé dans le hockey ?

Comment combines-tu le hockey avec ton travail chez Bureau Gerard by Structura.biz ?

Je me suis mis à jouer au hockey avec mon père dans le jardin dès mes premiers pas. Chez nous, le hockey est une tradition familiale : mon père et mon grand-père ont toujours joué à Herakles. Tout comme moi, ils ont fait partie de la première première du club. Mon père l’a fait pendant 15 ans ; j’entame pour ma part ma 9e saison.

Combiner un emploi à plein temps avec le hockey à ce niveau n’est pas évident. De nombreux joueurs sont jeunes ; la moyenne d’âge est d’environ 24 ans. Ces joueurs étudient encore, ce qui leur donne un peu plus de liberté en matière d’horaires. En outre, lorsque tu vieillis, le physique doit suivre également.

JÉRÔME LEGRAND Consultant Retail

Au fil des ans, le sport est devenu beaucoup plus dur physiquement. Reste à voir si je serai en mesure de suivre l’exemple de mon père.

Quand as-tu pris conscience que tu étais bon dans ce sport ?

J’ai rejoint l’équipe la plus jeune d’Herakles. Celle-ci faisait déjà l’objet d’une répartition par niveau. Comme je m’entraînais régulièrement avec mon père, j’ai été intégré à la meilleure équipe. En fin de compte, j’ai jusqu’à présent toujours joué dans la première équipe de chaque catégorie d’âge.

Bien sûr, cela ne s’est pas fait sans difficulté. Et c’est encore le cas aujourd’hui. J’ai dû faire des choix. Quand j’étais à l’école, je devais par exemple suivre des stages pendant les périodes de vacances.

Quelle relation entretiens-tu avec le club ?

Comme je l’ai mentionné plus tôt, les liens que ma famille entretient avec Herakles remontent loin. Herakles est « mon club de cœur ». Mon fils ou ma fille y jouera également.

Certains ont la chance d’être rémunérés pour jouer. Le hockey est leur travail. Herakles compte en outre 3 joueurs, dont je fais partie, qui travaillent à temps plein et s’entraînent encore à côté. Pour ma part, les choses deviendront plus faciles dans le courant de l’année, lorsque je pourrai travailler à partir du bureau d’Anvers. Les entraînements se déroulent en effet sur place, à Lier.

Que retrouves-tu tant sur le terrain que chez Bureau Gerard by Structura.biz ?

Sans aucune hésitation, l’esprit d’équipe. Sans esprit de groupe, nous n’aurions jamais pu terminer en seconde place du championnat. Chez Bureau Gerard, nous formons également une véritable équipe. Nous attachons une grande importance au groupe : le résultat du groupe est important.

En outre, il est important d’être axé sur les résultats.

Sur le terrain, vous voulez gagner. Chez Bureau Gerard, nous le voulons aussi : obtenir des résultats avec toute l’équipe.

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BÂTIMENTS DE RETAIL À L’HONNEUR ÀL

OU

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ÀL

OU

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ÀL

OU

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BRUXELLES

BRUXELLES

BRUXELLES

23 RUE DES FRIPIERS

20 BOULEVARD D’ANVERS

CHAUSSÉE DE WAVRE 778-780

+/-40 m² par étage.

Situé en plein centre touristique.

Près de célèbres enseignes telles que Rituals, Le Palais des thés, Geox, Sacha, Ethias...

Immeuble commercial bénéficiant d’une excellente situation. À la station de métro Yser.

Disponible immédiatement

rez-de-chaussée +/-225 m² + 115 m² de stockage Situé dans la partie supérieure de la chaussée Près de célèbres enseignes telles que Kruidvat, Hans Anders, Pearl, Zeeman, Veritas, Hema...

ÀL

OU

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BRUXELLES 47 QUAI AU BOIS À BRÛLER +/-170 m² de surface.

15 m de largeur de façade.

Bonne situation sur la place Sainte-Catherine.

À

N VE

DR

E À

N VE

DR

E

IXELLES

IXELLES

431 CHAUSSÉE DE BOONDAEL

CHAUSSÉE DE VLEURGAT 305-307

Excellent investissement !

1 rez-de-chaussée de +/-90 m² loué à Grand Optical depuis le 09/01/2017.

2 appartements de 90 et 130 m², également déjà loués.

+/-95 m² de rez-de chaussée commercial. +/-140 m² répartis sur 2 étages. À proximité de l’avenue Louise, près de la « Bascule ».

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PASSIONNÉ DE BASKET

Depuis quelques années, Structura.Biz parraine l’équipe de basket-ball en fauteuil roulant du club d’Asse-Ternat. Pour savoir ce qu’il se passe au sein de l’équipe, nous sommes allés à la rencontre de Chris De Roo, capitaine de l’équipe.

CHRIS DE ROO Cofondateur

Après une opération, Chris s’est retrouvé au centre de rééducation Inkendaal à Leeuw-Saint-Pierre. C’est là qu’il a été encouragé à prendre quelques leçons de basket-ball en fauteuil roulant.

Il a été rapidement atteint par le virus : ce qui n’était au départ qu’une initiation est devenu une véritable passion. Il a alors soulevé l’idée de créer une équipe. Tant le centre de rééducation que la province ont décidé d’épauler le projet.

En outre, l’équipe a d’emblée pu compter sur le soutien du club de basket-ball d’Asse Ternat. Avec Marc Bogaert, Président du club, Chris a étudié la manière dont le basket en fauteuil roulant cadrait avec le profil de l’organisation. Avec le soutien de Parentee (fédération sportive pour tous les athlètes atteints d’un handicap), des fauteuils roulants de sport ont été fournis.

En outre, Chris est par hasard entré en contact avec l’ancien entraîneur de l’équipe nationale, Michel Cant. Le courant est passé et Cant a été recruté en tant qu’entraîneur. Chacun connaît la suite.

L’équipe existe depuis trois ans, et Chris s’est enrichi d’autant d’expérience de jeu. L’équipe se trouve tous les dimanches au Sportloods d’Asse. L’accent est principalement mis sur l’aspect récréatif du sport. Cela ne les a toutefois pas empêchés, l’année dernière, de disputer une compétition contre l’équipe première

I N° 1

INTERVIEW

du club, elle aussi en fauteuils roulants. À cette occasion, Structura.Biz a offert le petit déjeuner aux participants.

Il ne fait aucun doute que l’équipe a trouvé sa place au sein du club. Chris a souligné que l’équipe est vraiment considérée comme un membre à part entière de l’organisation.

L’équipe a pour devise « chacun est le bienvenu » : hommes et femmes, valides et moins valides.... La seule contrainte imposée est que les joueurs soient eux-mêmes capables de manipuler le ballon, de conduire et de maîtriser les règles du jeu. Malgré la souplesse de ce règlement, il semble difficile d’attirer des candidats intéressés. L’équipe est toujours à la recherche de nouveaux joueurs pour renforcer le groupe. Les personnes intéressées peuvent contacter Chris en lui envoyant un e-mail à deroo.andries@skynet.be

CE QUI N’ÉTAIT AU DÉPART QU’UNE INITIATION EST DEVENU UNE VÉRITABLE PASSION. IL A ALORS SOULEVÉ L’IDÉE DE CRÉER UNE ÉQUIPE.

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COMMENT WOUTER DE NEVE GÈRE-T-IL SON PROPRE PORTEFEUILLE IMMOBILIER ?

C OMME N T GÈ RE-T-IL S E S P ROP RE S BIENS IMMOBILIERS ? À QUOI E ST-IL ATTENTIF ?

WOUTER DE NEVE Managing director de Structura résidentiel

Quels immeubles privilégiez-vous ?

Je n’ai pas vraiment de préférence en matière d’immobilier. Pour moi, tant les appartements neufs qu’anciens, en tant qu’immeubles de rapport, entrent en ligne de compte pour les investissements. La diversité du portefeuille immobilier permet de conserver un bon équilibre entre revenu et sécurité.

Les immeubles commerciaux assurent un revenu locatif plus élevé, mais en cas de départ du locataire, ils peuvent rester vides plus longtemps ou nécessiter un rafraîchissement plus poussé. Les appartements neufs offrent un rendement inférieur, mais une certaine sécurité en matière de prix de location et de valeur locative à long terme.

Investissez-vous encore dans d’autres types de propriétés ?

Oui, quand même. Dans un vieil hangar ou une vieille maison situés dans le centre d’une ville ou d’une commune : cet investissement offre un rendement inférieur, mais de par son emplacement n’est jamais un mauvais investissement.

Avez-vous une préférence pour une région ?

Près de la maison et du travail. Les communes du nord de Bruxelles, la frontière flamande autour de Bruxelles... qui sont plus faciles à suivre et à gérer. En cas de problème, je peux par exemple y envoyer le plombier qui a réalisé les installations techniques dans ma maison. En outre, vous avez généralement une meilleure connaissance du marché autour de votre travail et de votre maison.

Privilégiez-vous les acquisitions d’immeubles neufs ou à rénover ?

Les deux, comme je l’ai mentionné, il est important d’avoir un mélange pour obtenir un équilibre entre rentabilité et stabilité. Je rénove les anciens immeubles quelques années après les avoir achetés (peintures, nouvelle cuisine, électricité, plomberie) afin d’attirer des locataires plus intéressants.

Investissez-vous également dans l’acquisition de terrains à bâtir ?

Les seuls terrains à bâtir que j’aie jamais achetés étaient vendus avec un autre immeuble de rapport ou un terrain à bâtir sur lequel il était possible de construire un immeuble à appartements. Le terrain à bâtir ne génère en soi aucune location, donc je n’investis pas dans leur acquisition.

Sélectionnez-vous vous-même vos locataires, quels critères de sélection privilégiez-vous ?

Non, je laisse cette tâche à mes collaborateurs professionnels. Ils font d’abord une sélection rigoureuse basée sur la solvabilité. Ensuite, si d’après leurs années d’expérience, le premier contact personnel leur laisse une bonne impression, je donne volontiers mon accord final.

Combien de temps un immeuble reste-t-il dans votre portefeuille et de quoi cela dépend-il ?

Cela varie d’un immeuble à l’autre. Par exemple, je renonce facilement à un immeuble lorsque je suis sur le point d’investir dans une nouvelle acquisition qui me semble plus intéressante : parce que l’immeuble/appartement prévu est plus récent, parce que son rendement est meilleur, ou parce qu’il y a trop de frais liés à l’immeuble auquel je renonce.

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URBAN LIVING DES HABITATIONS STYLÉES DE HAUT STANDING Habiter en plein centre-ville !

Le prestigieux projet GINDERALE du promoteur immobilier AURA Estates vous accueille dans une oasis de luxe et de tranquillité, avec des appartements-villas urbains spacieux et confortables dans le centre de Merchtem.

D

ans ces « appartements-villas urbains » de haut standing et économes en énergie, tout est réalisé dans un esprit qui favorise un style de vie agréable et élégant.

Des matériaux de luxe aux grandes terrasses offrant une vue imprenable sur Merchtem et la région environnante. D’une remarquable architecture à la vue unique sur les environs verdoyants...

GINDERALE est synonyme de cadre de vie agréable...

Le tout dans un endroit très spécial. La monumentale Lagerhuis de l’ancienne brasserie Ginder-Ale a été revitalisée sous la forme d’un projet multifonctionnel.

Aura Estates y fait figure de promoteur immobilier incontournable. Le rez-de-chaussée est devenu une plaque tournante commerciale. Les étages supérieurs (deux à six) abritent des villas urbaines, chacune avec 1, 2 ou 3 chambres à coucher et situées autour d’un patio.

GINDERALE, une expérience totale avec des installations complémentaires parfaites pour rendre la vie aussi agréable que possible avec le bureau d’architectes Xaveer De Geyter, lauréat du prix flamand de la Culture pour l’Architecture 2014. Les appartements de luxe de ce magnifique et remarquable bâtiment représentent non seulement l’environnement parfait pour profiter de la vie, mais aussi un investissement judicieux pour l’avenir.

Une icône... intemporelle et stable.

Plus d’infos Structura résidentiel WWW.STRUCTURA.BE

02 460 80 46 - info@structura.be

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BÂTIMENTS INDUSTRIELS À L’HONNEUR ÀL

OU

ER

WEMMEL

ÀL

PRIX SUR DEMANDE

Espace de stockage : 1 521 m² Bureaux : 100 m² Parking spacieux.

E ÀV

ND

OU

ER

VILVORDE

ÀL

5700 €/MOIS

Espace de stockage : 1077 m² Espace de bureaux : 223 m² avec hall d’entrée séparé.

Disponible à partir du 1er novembre 2017.

OU

ER

FOREST

PRIX SUR DEMANDE

Espace de stockage : 1 025 m² Espace de bureaux : 75 m² parking prévu, places de parking également possibles à l’arrière. Location-vente possible !

RE

ALOST2

2 000 000 €

Sis dans un haut lieu de la zone industrielle NOORD 5 (Wijngaardveld) à Alost.

Terrain : 7 300 m² Espace de stockage : 2 600 m² Bureaux : 540 m² répartis sur 2 étages.

E ÀV

ND

RE

Terrain : 47 633 m² Bureaux : 1 018 m² Espace de stockage : 23 900 m² Location et achat possibles, en totalité ou en partie.

ÀL

9 650 000 €

OU

ER

LOUVAIN-LA-NEUVE Stockage : 5 400 m² Bureaux : 150 m² – 2300 m²

PRIX SUR DEMANDE

I N° 1

NOTRE ENTREPRISE plus de

350

contacts dans la base de données

PAR AN

7500

Solide ancrage local

4600

transactions

24 CONSULTANTS SPÉCIALISÉS

>15 ans d’expertise

DÉPARTEMENT retail

SPÉCIALISÉ

visiteurs par mois sur le site web

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BRUXELLES – BRABANT WALLON – MALINES – GAND – LOUVAIN – ANVERS 02/462 32 00 – 02/513 77 00 – 09/233 72 70 – 03/233 41 18

566 Chaussée Romaine – 1853 Strombeek-Bever Rue de Suisse 2 – 1060 Bruxelles Sint-Gillisplein 2 – 2000 Anvers

www.structura.biz