Grignoter sainement : oui, c’est possible Vos muscles contiennent-ils des antidépresseurs ?
COMMENT DONNER UNE IMAGE DE SOI POSITIVE À VOTRE ENFANT
DOSSIER BIEN-ÊTRE MENTAL
Adresse d’expédition : Boomsesteenweg 5 2610 Wilrijk
Un sourire en béton ?
Des soins dentaires préventifs à l'orthodontie et aux prothèses. L'assurance dentaire Dentalia Up vous soutient pour le budget de vos soins dentaires.
Tom Coolen, Directeur général de Helan
Depuis septembre, c'est avec fierté et gratitude que j'ai pris les rênes du groupe de santé et de bien-être Helan. L'organisation que j'ai l'honneur de diriger n'est pas comme les autres. Elle est constituée d'une équipe de personnes qui, chaque jour, accompagnent plus d'un million de clients dans ce qui compte vraiment : leur santé et leur bien-être. Dans les moments où la vie bat son plein, mais aussi lorsque les choses vont moins bien.
Ce numéro du magazine Helan est consacré au bien-être mental. À juste titre, car nous savons que beaucoup de personnes éprouvent des difficultés, et sont confrontées à du stress, des revers et des incertitudes sans oser les exprimer ou les partager. Pourtant, c'est précisément ce que nous prônons chez Helan : oser parler, oser dire que ça ne va pas. Vous verrez alors que vous êtes moins seul·e que vous ne le pensiez. C'est aussi ce qu'a découvert Jelle, qui se confie pour aider les autres.
Et c'est ce que nous aimerions également faire pour vous chez Helan : vous offrir notre soutien lorsque vous en avez besoin. Nous nous engageons à rendre les soins accessibles, tant pour les problèmes de santé physique que mentale.
2 Tout à fait Helan
5 Dossier bien-être mental
6 Jelle (29 ans) revient sur une période sombre
8 Soins de santé mentale : où trouver de l'aide ?
11
Les meilleurs antidépresseurs se situent-ils dans vos muscles ?
14 Comment aider votre enfant à avoir une image de soi positive
16 Et les enfants, c'est pour quand ?
18 Le sommeil, un puissant remède
19 Quand faut-il s'affilier à sa propre mutualité ?
20 Rien ne vaut son chez-soi
22 Fact-checking : comment grignoter sainement
24 Bon à savoir
26 Bon pour le cœur, bon pour le cerveau
28 Nadia, puéricultrice, se confie
30 Avantages Helan
33 Dans les coulisses
Comité de rédaction : Lynn Pellens, Eva De Geyter, Mélanie Gilis, Valérie Du Pré et Annick Van Broeck • Composition : Kirsti Alink • Images : Jeroen Vranckaert, Britt Guns, Lise van Trijp, Shutterstock, iStock, Pexels • Impression : Roularta • Editeur responsable : Tom Coolen - Boomsesteenweg 5, 2610 Wilrijk - NE 0411.696.011 - RPM Anvers - www.helan.be
Le paiement des cotisations mutualistes pour l'assurance complémentaire est obligatoire. Si vous ne réglez pas ces cotisations durant 24 mois, vous ne pourrez plus bénéficier des avantages Helan (assurance complémentaire), et vos éventuelles assurances supplémentaires prendront fin. Il ne vous sera plus possible de souscrire ces assurances supplémentaires. Si vous passez à une autre mutualité appartenant à la même SMA, ces conséquences resteront d'application. Plus d'infos sur helan.be/non-paiement. Helan Onafhankelijk ziekenfonds, Boomsesteenweg 5, 2610 Wilrijk, 0411.696.011, agent d’assurance (n° OCM 5006c) pour “MLOZ Insurance”, la SMA des Mutualités Libres (pour les branches 2 et 18), route de Lennik 788A, 1070 Bruxelles, RPM Bruxelles (422.189.629, n° OCM 750/01). Aucun article publié dans ce magazine ne peut être reproduit (totalement ou partiellement) sans l’autorisation préalable de la rédaction. Le ‘Magazine de Helan’ est signataire de la convention environnementale ‘Papier in Vlaanderen’. Affilié auprès des Editeurs de presse périodique..
Tout à fait Helan
15 OCTOBRE
Journée des aides-soignants
Ce 15 octobre, nous mettons à l'honneur les aides familiales de l’Aide à domicile de Helan. Grâce à leur aide et à leur écoute, nos collaborateurs font chaque jour la différence pour nos clients. Vous recherchez également une aide à domicile pour vos tâches ménagères, avec qui vous pouvez aussi discuter ? Découvrez ce que nous pouvons faire pour vous sur helan.be/aide-a-domicile.
Helan propose des services de garde d'enfants de dernière minute pour les personnes en cours d'intégration
Avec les Crèches Helan, nous nous engageons activement en faveur de l'égalité des chances et d'une communication claire. Cela vaut tout particulièrement pour les parents qui viennent d'arriver en Belgique et qui suivent un parcours d'intégration. En collaboration avec Atlas, le service d'intégration de la ville d'Anvers, nous veillons à ce que les parents aient rapidement accès à des services de garde d'enfants. Nous leur fournissons également des informations claires dans un langage compréhensible.
Nous proposons des places OKIDO pour les personnes qui suivent un parcours d'intégration dans les crèches Heldenhuis, Bellenbos, Droomdomein, Manneke Maan et Avonturenatelier. Nous réservons également 209 places pour la garde d’enfants urgente en crèche collective à Anvers, Mortsel, Zaventem et Denderleeuw. Ces places sont destinées aux parents qui ont un besoin urgent de garde d'enfants en raison de circonstances particulières.
« En aidant les parents à trouver une place en crèche, nous leur donnons un coup de pouce dans leur parcours d'intégration. »
JOURNÉES D'IMMERSION CHEZ HELAN AIDE-MÉNAGÈRE
Deux aides-ménagères pour le prix d'une
À l'occasion de la Journée des Aides-ménagères, le 20 juin, Helan Aide-ménagère a donné le coup d'envoi des nouvelles journées d'immersion : désormais, toute personne qui commence à travailler chez Helan Aide-ménagère comme conseiller, conseillère ou employé·e de bureau, passera d'abord une journée sur le terrain avec une aide-ménagère. Cela nous permet ainsi d'être sur la même longueur d'onde lorsque nous commencerons à travailler ensemble.
Pour inaugurer ce nouveau système, les 136 employés de bureau actuels
ont déjà passé une demi-journée de nettoyage avec une aide-ménagère. De nos conseillers et conseillères aux managers, et même le Directeur général de Helan, toutes et tous sont revenus avec des idées claires après une journée d'immersion sur le terrain. Nous mettons à profit toutes ces inspirations pour les mettre en pratique au cours des prochains mois.
Découvrez à la page 33 comment Tom Coolen, Directeur général de Helan, a vécu sa journée d'immersion.
UNE AIDE PSYCHOLOGIQUE POUR VOUS 10
Séances gratuites auprès de psychologues conventionnés pour les enfants et adolescents, jusqu’à 23 ans
Aucune limite
sur les séances de groupe avec des psychologues conventionnés
Quand est-il temps pour votre enfant de s’affilier à son propre dossier de mutualité ?
Votre fils ou votre fille vient d'obtenir son diplôme cette année ? Il se peut alors qu'il ou elle doive désormais ouvrir son propre dossier auprès d'une mutualité. Vous trouverez à la page 19 les informations nécessaires pour savoir dans quelles situations exactement et à qui vous adresser.
120 euros
de remboursement par an auprès de psychologues non conventionnés
Découvrez-en plus page 8.
Tout à fait Helan
NOTRE COLLABORATEUR À L’HONNEUR
Jelle, Service Delivery Manager chez Helan
« Nous obtenons la confiance nécessaire pour apporter structure et amélioration. »
« En tant que Service Delivery Manager, je contribue à déterminer comment les services informatiques de Helan peuvent soutenir notre organisation. J'écoute les besoins de mes collègues, je les traduis en actions concrètes avec nos partenaires informatiques et je veille à ce que tout soit exécuté comme convenu. Mon travail consiste à mettre en place des structures durables, des accords clairs et une collaboration qui fonctionne pour tout le monde. Je me concentre particulièrement sur la qualité, le suivi et l'amélioration. Mon objectif est de rendre les processus clairs, efficaces et transparents, afin que chacun sache à quoi s'attendre.
Ce qui me motive dans mon travail, c'est la combinaison de la stratégie et de la pratique. Un jour, je m'occupe de conclure des contrats, le lendemain, je résous des problèmes urgents avec les équipes ou je participe à la mise en place d'un nouveau service. Aucun jour ne se ressemble, et c'est exactement ce qui rend ce travail passionnant. Chez Helan, je bénéficie d'une grande autonomie et d'une grande confiance. Ici, les idées ne sont pas seulement entendues, elles sont aussi réellement suivies. Nous travaillons dans un environnement qui encourage l'amélioration, où la collaboration est centrale et où il y a de la place pour évoluer, y compris sur le plan personnel. Cela me motive chaque jour à contribuer à un groupe Helan au sein duquel l'informatique fonctionne vraiment pour les personnes qui en dépendent. »
Découvrez nos offres d’emploi sur helanjobs.be.
Utilisez-vous déjà ces services dans Mon Helan, votre mutualité en ligne ?
Consulter votre dossier de mutualité.
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Télécharger une attestation d'affiliation et de cotisations mutualistes.
Vérifier vos remboursements de la mutualité, votre assurance dentaire ou assurance hospitalisation.
Consulter vos accords médicaux en cours.
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Invitez quelqu'un à rejoindre Helan...
Et recevez un chèque-cadeau !
Vous êtes satisfait·e de la Mutualité Helan ? N'hésitez pas à en parler à votre famille, vos collègues, vos voisins ou vos amis ! Invitez-les à nous rejoindre via le lien ci-dessous et recevez un chèque-cadeau d'une valeur de 30 euros pour Standaard Boekhandel, Decathlon, la Boutique de soins Helan ou Bongo.
helan.be/fan-de-helan
Bien-être mental
Trois Flamands sur 10 font face à des difficultés psychiques. Mais vous ne devez pas supporter seul·e votre souffrance mentale. Dans ce dossier, vous pourrez lire l’histoire touchante de Jelle, vous découvrirez où trouver de l’aide psychologique, comment l’activité physique renforce la santé mentale, et en quoi un accompagnement peut aider les jeunes en difficulté.
Jelle (29 ans) revient sur une période sombre
« Tu vas t’en sortir. Même si c’est difficile à croire pour l’instant. »
1 Flamand sur 5 souffrant de troubles mentaux a déjà songé au suicide. Jelle est l'un d'entre eux. Aujourd'hui, il profite pleinement de la vie, mais il y a 15 ans, il ne voyait plus aucune issue. Qu'est-ce qui aurait pu lui donner du courage à l'époque ? Helan a donné à Jelle l'occasion de discuter avec son jeune moi de 15 ans grâce à l'IA.
« C'était éprouvant, mais aussi impressionnant de voir le chemin que j’ai parcouru. »
Alors que Jelle avait treize ans, ses parents se sont séparés. Un divorce conflictuel. Son père a rejeté la faute sur le jeune adolescent. Peu de temps après, les harcèlements ont commencé à l'école. L'image que Jelle avait de lui-même s'est effondrée. « Tu n'es pas à la hauteur », se répétait-il sans cesse. Il a sombré dans la dépression et a tenté de mettre fin à ses jours à l'âge de 19 ans. Heureusement, un déclic s'est alors produit. Après son admission en psychiatrie, et avec l'aide de son entourage, sa vie a pris un tournant positif. Mais qu'en aurait-il été s'il avait cru plus tôt que tout irait bien ?
Face à face avec son jeune moi Imaginez que vous puissiez aujourd'hui discuter avec la version plus jeune de vous-même. Celle qui, à ce moment-là, ressentait une profonde souffrance mentale. Que lui diriez-vous ? Qu'est-ce qui aurait pu vous donner de l'espoir ?
Nous avons posé la question à Jelle. Grâce à l'IA et sous la supervision d'une psychologue, il a eu l'opportunité d'apporter des mots d'encouragement à son jeune moi de 15 ans. Nous avons développé l'image réaliste du jeune Jelle à partir de dizaines de photos de jeunesse et avons immortalisé cette rencontre dans le mini-documentaire poignant « Si je pouvais remonter le temps pour me parler ». « Ça a été une expérience intense », raconte Jelle. « L'image semblait vivante, presque comme un miroir de mon passé. J'ai revu à quel point j'étais mal dans ma peau, en quête d'amour et de compréhension. »
Une rencontre thérapeutique
L'idée repose sur une technique thérapeutique qui consiste à demander aux personnes souffrant de troubles mentaux d'écrire une lettre à la version plus jeune d'elles-mêmes. Les leçons qui peuvent en être tirées les aident à persévérer. Cedric Arijs, psychologue : « Mettre des choses par écrit peut aider à se libérer des pensées qui tournent en boucle dans votre tête, à prendre du recul par rapport à vous-même, et à observer votre passé sous un autre jour. Alors que vous pensiez à l'époque
peut-être être faible, le recul vous permet de réaliser à quel point vous vous êtes battu·e et à quel point vous avez en fait été fort·e. »
Le chemin de la guérison « C'était éprouvant », confie Jelle, « mais aussi impressionnant de voir le chemin que j’ai parcouru. Je suis aujourd'hui une personne complètement différente. Avec le recul, je me rends compte que chaque moment difficile m'a rendu plus fort. Le jeune Jelle n'avait pas beaucoup de patience et avait du mal à accepter les conseils. S'il me voyait aujourd'hui, j'espère qu'il pourrait me croire quand je lui dis que tout ira bien. Demander de l'aide n'est pas une solution instantanée, c'est un véritable processus de croissance et de réflexion. Le plus important est d'être indulgent envers soi-même et de se rappeler qu'il existe différents chemins vers la guérison. Vous n'êtes pas seul·e, il y a des gens autour de vous qui sont prêts à vous aider. Je suis fier de la personne que je suis devenu. J'ai des objectifs dans la vie. Aujourd'hui, 15 ans plus tard, je sais qu'il y a bel et bien une lumière au bout du tunnel. »
Osez demander de l'aide
« L'histoire de Jelle n'est malheureusement pas une exception », déclare Lynn Pellens, experte en santé chez Helan. « Mais nous sommes convaincus qu'il est possible de changer les choses. Avec des campagnes telles que « Voyez ma souffrance » et « Si je pouvais remonter le temps pour me parler », Helan rend la souffrance psychique visible et entame la discussion. Car la douleur mentale est bien réelle. Et elle mérite autant d'attention et de soins que les problèmes physiques. » Vous ne vous sentez pas bien et vous avez besoin d'aide ? Ou vous vous faites du souci pour quelqu'un de votre entourage ? Osez demander de l'aide. À vos amis, votre famille, votre médecin traitant ou un·e psychologue. Vous pouvez également contacter la Ligne de prévention du suicide et d'autres lignes d'aide. Vous trouverez toutes les informations concernant le remboursement des soins psychologiques dans les pages suivantes.
bien-être mental
LA LETTRE DE JELLE À SON
JEUNE MOI :
« Salut Jelle, Je sais que tu as beaucoup de choses en tête. Que tu te sens très seul en ce moment. Comme si personne ne te comprenait. C'est un sentiment terrible. Tu vas te faire du mal, jusqu'à ne plus voir d'autre issue. Heureusement, ton frère te retrouve et tu commences à chercher de l'aide. Tu finiras par être admis en psychiatrie. Je sais que cela parait effrayant, mais bizarrement, tu vas adorer être là-bas. Tu rencontreras des gens qui vivent les mêmes problèmes que toi. Et tu te sentiras très proche de ce groupe. Jelle, je sais que tu ne vois pas cette issue pour l’instant. Tu portes un poids énorme sur tes épaules, tu as vécu beaucoup de choses difficiles. Et je préfère être honnête, la vie restera difficile. Mais sache qu'à l'avenir, tu rencontreras des gens qui te feront ressentir de l’amour et de l’amitié. Tu feras des choses amusantes. Crois-moi, on est maintenant 15 ans plus tard et je peux te dire sincèrement que je suis fier de toi. Et que je t'aime vraiment, mon gars. Allez, courage. »
Retrouvez le mini-documentaire « Si je pouvais remonter le temps pour me parler », ainsi que des outils gratuits et des informations sur la santé mentale sur helan.be/temoignage-jelle.
Soins de santé mentale
Où trouver de l’aide ?
Au moins un Belge sur quatre rencontre des problèmes de santé mentale au cours de sa vie. Il est alors essentiel de pouvoir trouver de l’aide. Mais vers qui pouvez-vous vous tourner ? Voici un aperçu.
En parler, ça aide
Vous faites face à des problèmes de santé mentale, comme du stress ou de l’anxiété ? Inutile d’en faire un sujet tabou. Parlez-en avec un proche. Ce n’est pas facile, mais c’est important, pour éviter que ce sentiment négatif ne s’installe plus profondément et que vos problèmes de santé mentale ne s’aggravent. Votre famille, vos amis, une personne de confiance à l’école ou au travail : les membres de votre entourage constituent votre principal filet de sécurité. N’hésitez pas à demander de l’aide ou à leur faire part de vos problèmes.
Une
aide professionnelle
Parler à son entourage ne suffit pas toujours. Si vos problèmes vous pèsent et que vous cherchez de l’aide, un·e professionnel·le peut vous aider. Vous pouvez vous tourner vers un·e psychologue clinicien·ne ou un·e orthopédagogue conventionné·e pour des difficultés psychologiques légères à modérées. Pour des séances individuelles ou de groupe.
En quoi consiste un traitement psychologique conventionné ?
L'objectif est de vous aider à surmonter rapidement vos symptômes. Lors d'une première séance gratuite, votre prestataire de soins vous écoute attentivement. Ensuite, vous établissez ensemble un plan d'action. La convention prévoit trois types de soins psychologiques :
1.
Interventions communautaires : il s'agit de programmes de prévention dans votre quartier. À l'école ou dans un club sportif, par exemple. Au cours de ces séances, vous apprenez à prendre soin de votre santé mentale et de celle des autres. Les séances sont gratuites et vous pouvez y assister de manière anonyme, sans inscription préalable. Ces séances se déroulent par groupe d’au moins 10 personnes.
2.
Soutien psychologique de première ligne : ces séances, individuelles ou de groupe, vous aident à vous sentir (à nouveau) bien mentalement. Aucune prescription n'est nécessaire pour ce type de rendez-vous.
3. Traitement psychologique de première ligne : traitement de courte durée, individuel ou de groupe. L'objectif est de traiter votre demande d'aide de manière ciblée à l'aide de techniques et de méthodes psychologiques spécifiques et de courte durée. Si votre psychologue ou orthopédagogue estime que ce type de prise en charge vous est utile, vous établirez ensemble un plan pour répondre à votre demande d'aide.
Les séances peuvent avoir lieu au cabinet de votre psychologue ou orthopédagogue, mais aussi dans votre quartier : à l'école, dans un club de sport, chez votre médecin généraliste, au CPAS,… Des séances individuelles sont également possibles par vidéoconférence.
Vous trouverez davantage d’informations sur les soins psychologiques sur soinspsy.be.
Que font les psychologues cliniciens ou les orthopédagogues ?
Ces professionnels écoutent attentivement votre ressenti. Avec vous, ils tentent de déterminer ce qui peut être à l’origine de vos problèmes de santé mentale. Ils élaborent un plan d’action, pour répondre au mieux à vos besoins.
Vous n’êtes pas seul·e. Osez demander de l’aide.
Que signifie « conventionné » ?
Les psychologues cliniciens ou les orthopédagogues conventionnés sont affiliés à un réseau pour la santé mentale. Ce réseau dispose d’un accord avec le gouvernement (l’INAMI). Vous bénéficiez donc d’une intervention partielle ou totale pour le prix des séances suivies auprès d’eux. Que vous optiez pour des séances individuelles ou de groupe, les soins sont abordables et accessibles. Les prestataires de soins peuvent être conventionnés à temps plein, ou pour un nombre d’heures limité. Vous pouvez vérifier si votre prestataire de soins est conventionné·e sur parlonsen.be
Combien de séances
Votre prestataire de soins n’est pas conventionné·e ?
Certains psychologues ne sont pas conventionnés, et travaillent selon leur propres tarifs. La Mutualité libre Helan vous offre dans ce cas un remboursement via les avantages Helan. Les enfants, adolescents et adultes bénéficient d’un remboursement de 10 euros par séance, pour un maximum de 12 séances par an.
helan.be/avantages, puis sélectionnez « Psychothérapie ».
pouvez-vous
suivre par an ?
Votre prestataire de soins estime lors de la première séance combien de séances seront nécessaires et établit un plan de traitement. Le nombre de séances remboursées sur une période de 12 mois dépend également du type de réseau et du type de séance :
Pour le réseau « enfants et adolescents » (jusqu’à 23 ans inclus) :
• Interventions communautaires (séances de groupe) : le nombre de séances n’est pas limité.
• Soutien psychologique de première ligne : limité à un maximum de 10 séances individuelles. Aucune limite pour le nombre de séances de groupe.
• Traitement psychologique de première ligne : limité à un maximum de 20 séances. Aucune limite pour le nombre de séances de groupe.
Pour le réseau « adultes » (à partir de 15 ans) :
• Interventions communautaires (séances de groupe) : le nombre de séances n’est pas limité.
• Soutien psychologique de première ligne : limité à un maximum de 8 séances individuelles. Aucune limite pour le nombre de séances de groupe.
• Traitement psychologique de première ligne : limité à un maximum de 20 séances. Aucune limite pour le nombre de séances de groupe.
Combien cela coûte-t-il ?
• Pour les enfants et les jeunes jusqu'à 23 ans inclus, les 10 premières séances individuelles sont gratuites auprès d’un·e psychologue clinicien·ne ou orthopédagogue conventionné·e.
• À partir de 24 ans, vous payez 11 euros, ou 4 euros si vous êtes bénéficiaire de l’intervention majorée. À l’exception de la première séance individuelle, qui est toujours gratuite. Vous avez droit à 8 séances individuelles remboursées. Si votre psychologue ou orthopédagogue estime qu’un traitement plus poussé est nécessaire, des séances supplémentaires peuvent être remboursées. Pour une séance de groupe, vous payez 2,50 euros. Le nombre de séances de groupe n’est pas limité. Votre prestataire de soins se charge du remboursement directement avec votre mutualité. Vous payez uniquement le ticket modérateur.
Grâce à notre partenaire BloomUp, vous pouvez trouver rapidement et facilement un·e psychologue clinicien·ne agréé·e qui vous convient, sans liste d'attente.
AVANTAGE HELAN
Premier entretien gratuit dans les deux jours. Ensuite, remboursement de 10 euros par séance, pour un maximum de 12 séances par an.
Plus d’infos sur bloomup.org/fr/helan
Renforcez votre santé mentale grâce à l'activité physique
Les meilleurs antidépresseurs se situent-ils dans vos muscles ?
Bouger permet de se sentir mieux physiquement. Mais l'activité physique est également une alliée puissante pour votre santé mentale. Eline Lievens et Wim Derave, professeurs en physiologie, rassemblent pour nous des preuves scientifiques irréfutables. Leur message est clair : il n'est jamais trop tard pour bouger davantage.
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Eline Lievens et Wim Derave, professeurs en physiologie de l'effort et en physiologie à l'Université de Gand « Lorsque vous bougez, vos muscles sécrètent des substances
qui ont un effet antidépresseur. »
Rester assis, un phénomène moderne
Notre corps est fait pour bouger. Nos ancêtres parcouraient chaque jour plusieurs kilomètres, à la recherche de nourriture. Aujourd'hui, nous faisons beaucoup moins d'efforts et nous restons assis pendant de nombreuses heures. Derrière un écran, dans la voiture, dans le fauteuil. Ce manque d'activité physique ne nous est pas bénéfique.
« À l'âge adulte, il est recommandé d’effectuer au moins 150 minutes d'activité physique par semaine pour renforcer sa santé », expliquent Eline Lievens et Wim Derave, professeurs en physiologie à l'université de Gand. « Selon les chiffres officiels, au niveau mondial, un adulte sur trois n'atteint pas cette recommandation1. Et ce chiffre est probablement encore plus élevé. » Les preuves existent pourtant : l'activité physique est la clé d'une vie longue et en bonne santé. Bouger réduit le risque de nombreuses maladies chroniques, telles que le diabète, la démence, l'ostéoporose et certains cancers. Une vie active permet également de réduire les problèmes psychologiques comme la dépression et l'anxiété.
Faire des efforts pour mieux se détendre
Pourquoi l'activité physique est-elle si bénéfique pour le bien-être mental ? « Lorsque vous bougez, vos muscles sécrètent des substances appelées myokines. Il s’agit de substances qui, via la circulation sanguine, activent d'autres organes, comme le cerveau. L'une de ces myokines, l'acide kynurénique, a un effet antidépresseur. Il y a donc littéralement des antidépresseurs dans vos muscles. » Les personnes qui font régulièrement de l'exercice présentent également moins de cortisol dans le sang que celles qui ont un mode de vie plus sédentaire. Le cortisol est l'hormone du stress par excellence. L'exercice physique aide donc aussi à gérer le stress de manière plus productive. De plus, l'exercice physique aide à se changer les idées. « Lorsque vous bougez, vous consacrez moins d'énergie à votre système de stress. Votre corps préfère se concentrer sur l'action plutôt
« Il est plus facile d’exprimer ses pensées et sentiments en marchant plutôt qu’en étant assis sur une chaise. »
que sur vos pensées négatives. Il est ainsi plus facile de se sortir d'une spirale négative. On constate également que les personnes souffrant d'anxiété, de dépression ou de burn-out sont souvent isolées socialement. L'exercice physique vous pousse à sortir de chez vous. Vous voyez des gens, vous faites de nouvelles expériences. Cela contribue donc à vous sentir mieux mentalement. »
Chaque pas compte
Faut-il aller à la salle de sport tous les jours pour se sentir mieux mentalement ? Pas du tout. « On observe les plus grands bénéfices pour la santé chez les personnes qui passent de rien à quelque chose. Même si vous n'atteignez pas les 150 minutes par semaine, une petite promenade vaut mieux que de rester assis·e dans votre fauteuil. » Faites le tour de votre pâté de maisons, quelques squats en faisant la vaisselle ou une petite danse dans la cuisine, chaque pas compte. Les courtes séances d'activité physique intense réparties tout au long de la journée constituent également une bonne alternative aux longues séances de sport. « Pour certains, monter les escaliers est déjà un effort considérable, tandis que d'autres ont besoin de monter les escaliers en courant pour se motiver. L'important est de mettre votre corps au défi, à votre niveau. » Vous n'êtes pas fan de yoga ou de musculation ? Pas de problème, selon les experts. « Intégrez l’exercice physique dans votre quotidien. Et choisissez une activité qui vous plaît. Quelque chose qui vous détend ou que vous pouvez pratiquer avec des amis. Que vous dansiez, marchiez ou jouiez au football, si vous y prenez du plaisir, vous tiendrez plus longtemps. Cela ne sera pas une corvée, mais un choix personnel. »
Pas un remède miracle
En cas de troubles psychiques légers, l'activité physique est une bonne idée. Les psychologues et les psychiatres l'intègrent d'ailleurs de plus en plus souvent dans leurs plans de traitement. Certains thérapeutes vont même plus loin et organisent des séances en marchant avec leurs patients. Il est en effet plus facile d’exprimer ses sentiments et de libérer ses pensées en marchant plutôt qu'en restant assis sur une chaise. En cas de problèmes mentaux graves, l'activité physique n'est par contre pas toujours une option. « Nous ne voulons pas donner l'impression que l'activité physique est une solution miracle », précisent Eline et Wim. « En cas de dépression sévère, on est généralement tellement fatigué et apathique qu'il est très difficile de sortir de son lit ou de son canapé, sans parler de faire une séance de sport ou une promenade. Dans ce cas, des médicaments, une thérapie ou d'autres formes d'aide sont nécessaires. » De même, en cas de
Covid long, de syndrome de fatigue chronique ou après une mononucléose, l'exercice physique peut faire plus de mal que de bien. Mais dans tous les autres cas, le message est clair : trop de repos nous rouille. Rester assis ne nous rend pas plus sains, ni plus heureux.
De la théorie à la pratique
Six Belges sur dix ont essayé de faire plus d'exercice au cours de l'année écoulée. Plus de sept sur dix ont l'intention de s’y mettre au cours de l'année à venir. Mais savoir qu'il faut faire de l'exercice est une chose, le mettre en pratique en est une autre. « Bouger sur Recommandation » (Bewegen Op Verwijzing) peut vous donner le coup de pouce supplémentaire dont vous avez besoin pour vous lancer. Un médecin ou un autre professionnel de santé vous oriente vers un coach sportif. Vous établissez alors ensemble un programme d’entraînement réalisable, et votre coach vous motive. Mais franchir le pas est encore plus simple si notre environnement encourage également l'activité physique. « Nous pouvons dire aux gens qu'ils doivent prendre plus souvent leur vélo ou les escaliers, mais si les infrastructures ne suivent pas, cela restera un appel vain. » Ce qui peut aider ? Des villes avec des pistes cyclables sécurisées. Des lieux de travail avec de l'espace pour bouger. Des écoles où les enfants ne restent pas assis toute la journée. Plus il est facile de bouger, mieux nous nous sentons, physiquement et mentalement. À une époque marquée par le burn-out et d'autres troubles mentaux, ce n'est pas un luxe, mais une nécessité.
PASSEZ À L'ACTION AVEC
« BOUGER SUR RECOMMANDATION »
(Bewegen Op Verwijzing)
Vous souhaitez faire plus d'exercice, mais vous ne savez pas comment ? Avec « Bouger sur Recommandation », un coach vous aide à adopter progressivement un mode de vie plus actif. À votre rythme, dans votre quartier. Le gouvernement flamand prend en charge la majeure partie des frais. Ainsi, faire de l'exercice reste agréable, réalisable et abordable.
Renseignez-vous auprès de votre prestataire de soins ou consultez bewegenopverwijzing.be.
Éducation positive
Comment aider votre enfant à avoir une image positive de son corps
Vous craignez que les réseaux sociaux donnent à votre enfant une image déformée de ce à quoi un corps doit ressembler ? Vous n'êtes pas seul·e. Mais gardez à l'esprit que vous demeurez le plus grand « influenceur » pour votre enfant. Apprenez-lui donc à accepter son apparence physique, même si cela peut parfois être difficile.
La beauté ne se limite pas à l'apparence physique
Élargissez votre idéal de beauté.
Qu'est-ce que la beauté ? Et qui le détermine ? Ce que montrent la publicité et les réseaux sociaux est généralement une image idéalisée et irréaliste qui réduit la beauté à des caractéristiques physiques spécifiques que très peu de personnes peuvent atteindre.
• Soulignez que la beauté peut aussi être un sourire, une fossette ou de jolies taches de rousseur. Mais aussi une certaine façon de voir les choses, de l'humour ou un style vestimentaire créatif.
• Observez ensemble les images sur les réseaux sociaux. Qu'est-ce qui est réel ?
Qu'est-ce qui a été retouché ?
• Faites des compliments indépendamment de l'apparence
physique. « Tu as été très patient avec ton petit frère. C'est beau à voir. »
Ou « Ton implication pendant les examens m’a impressionné. Tu es formidable. »
La perfection n'existe pas Et c'est justement dans cette imperfection que réside la beauté.
• En tant que parent, essayez de communiquer de manière positive sur votre apparence physique, même si vous ne vous trouvez pas toujours beau ou belle. Vos enfants apprennent de vos faits, gestes et paroles. Votre jeans ne vous va plus ? Dites plutôt « Mon corps a changé » au lieu de « J'ai (encore) grossi ».
• Votre enfant a des complexes sur son apparence physique ? Dites-lui par exemple : « C'est normal de ne pas toujours être satisfait de son apparence. Tu as beaucoup grandi, ton corps a
changé. C'est normal d'avoir besoin de temps pour s'y habituer. Donne-toi le temps nécessaire. »
Appréciez ce que votre corps fait et peut faire
• Avec votre enfant, admirez ensemble à quel point le corps humain est extraordinaire. Vos oreilles vous permettent de profiter de la musique. Vos jambes vous portent, vous permettent de danser, de marcher, de faire du sport,... Et vos bras vous permettent de faire les meilleurs câlins qui soient.
• Le soir, dressez une liste de tout ce que votre corps a fait pour vous au cours de la journée. Ou concentrez-vous sur ce dont il a besoin : un massage, des étirements ou une crème douce pour le corps.
• Remarquez que bouger n'est pas une corvée, mais une source de plaisir et d'énergie.
Prenez du temps pour vous
Parce que vous le méritez.
Soyez à l’écoute de vos besoins pour vous sentir bien, physiquement et mentalement.
• Avec votre enfant, découvrez ce qui vous apporte calme et énergie. La nature, la musique, un bain chaud, le silence, le sport,...
• Montrez que prendre soin de soi fait partie de la vie : une promenade, une soirée sans écran, dormir suffisamment pour être en forme, faire les courses et cuisiner ensemble,...
• Apprenez à faire des pauses et montrez l'exemple : « J'ai besoin de recharger mes batteries : je vais faire une heure de yoga. »
Célébrez ce qui se passe bien
En accordant de l'attention à ce qui se passe bien et à ce qui les rend heureux, les jeunes apprennent à s'apprécier indépendamment de leur apparence physique et de leur poids.
• Le soir, passez en revue les moments positifs ou agréables de la journée, aussi insignifiants puissent-ils paraître.
• Concentrez-vous sur le processus plutôt que sur le résultat. « Tu as trouvé une solution créative. »
• Encouragez les talents et les intérêts qui n'ont rien à voir avec l'apparence physique. Cela renforcera la confiance en soi de votre enfant.
• Montrez qu'il est normal de faire des erreurs et que celles-ci sont même indispensables pour grandir.
Filtrez les informations
Les jeunes sont submergés d'images (idéales) et de conseils. En tant que parent, comment leur fournir ce filtre protecteur indispensable ?
• Interrogez-les sur leurs expériences en ligne. « Qu'as-tu vu ? Qu'est-ce qui t'a plu ? Qu'est-ce qui ne t'a pas plu ? »
• Encouragez votre enfant à suivre des profils positifs et à se désabonner des profils procurant un sentiment négatif.
• Le site parentsconnectés.be propose des ressources intéressantes pour vous aider à guider votre enfant.
Découvrez encore plus de conseils sur eetexpert.be/maatje (en néerlandais), le centre d'expertise flamand pour les problèmes alimentaires et de poids.
Et les enfants, c’est pour quand ?
Pas encore d'enfants ? C'est la question que l'on pose souvent aux femmes dès la fin de la vingtaine. Cela peut sembler
être une question anodine, mais la réponse cache une réalité douloureuse pour un couple sur six : ils font face à des problèmes de fertilité. Leur désir de grossesse passe par un parcours de fertilité intense, sans garantie de succès. Que ressentent ces couples ?
Et où trouver des personnes qui comprennent ce que vous ressentez lorsque tout ne se déroule pas comme espéré ?
Comment se comporter avec les personnes qui suivent un parcours de fertilité ?
Conseils pour la famille, les amis, les collègues et les connaissances
Ils aspirent à avoir un enfant, mais cela ne se produit pas spontanément. Certains couples en parlent ouvertement, d'autres préfèrent taire leur projet. Mais tous vivent une véritable montagne russe émotionnelle, marquée par les hormones, l'espoir, la déception, le soulagement, la joie et la tristesse. Et c'est extrêmement difficile. Comment les soutenir ? Sofie, de Kop Op Compagnie, nous donne quelques conseils.
Faites preuve de compréhension et d’indulgence
Il est parfois difficile d'être confrontés à des grossesses faciles. Bien sûr, nous sommes heureux pour les autres, mais parfois, cela reste trop douloureux. Vous pouvez par exemple nous annoncer votre grossesse par message. Cela nous laisse le temps d'assimiler la nouvelle : ainsi, nous évitons de devoir immédiatement feindre une explosion de joie alors que nous avons en fait les larmes aux yeux.
Comprenez qu'il ne suffit pas de « lâcher prise »
Nous avons vraiment tout essayé, y compris de « lâcher prise ». Le désir profond d'avoir un enfant va bien au-delà de la bataille médicale que nous traversons aujourd'hui pour mener une grossesse à terme. Notre avenir est également incertain. Fêterons-nous un jour
Noël accompagnés de notre petite famille ? Et plus tard, avec nos petits-enfants ? Ce n'est pas quelque chose que l'on oublie simplement en « se détendant ».
Laissez-nous le choix d’en parler ou non, et à quel moment
Parfois, nous voulons simplement passer une bonne soirée entre amis sans parler de nos « problèmes ». De petits gestes, comme une carte surprise dans la boîte aux lettres, nous font sentir que vous pensez à nous sans que nous ayons spécialement besoin d'en parler.
Soyez à l’écoute et faites preuve de bienveillance
Ne proposez pas de « solutions » ou de « conseils ». Sans le vouloir, vous risquez parfois de faire plus de mal que de bien. Il vous suffit d'être présents. Dites par exemple : « Je croise les doigts pour toi ».
Les chiffres
• Depuis 1978, 8 millions de bébés sont nés grâce à la FIV et à l'ICSI dans le monde.
• En Belgique, plus de 42.000 traitements par FIV et ICSI sont débutés chaque année.
• Chaque année, 6.000 bébés naissent dans notre pays suite à un parcours de PMA.
• 1 personne sur 3 suivant un traitement contre l'infertilité souffre de dépression ou d'anxiété.
Conseils
pour les personnes dans la même situation
Kim et Sofie se sont rencontrées alors qu’elles éprouvaient des difficultés à avoir un enfant. Leur parcours était solitaire, le sujet tabou et leur entourage parfois peu compréhensif. Elles ont rapidement conclu qu'il fallait changer les choses : il faut créer des liens entre les personnes dans la même situation, fournir des outils psychologiques pour faire face aux problèmes de fertilité et donner des informations claires et adaptées. C'est pourquoi elles ont lancé Kop Op Compagnie : vous pouvez les trouver sur TikTok et Instagram (@kop_op_compagnie) et, hors ligne, elles organisent notamment des groupes de parole dans quatre villes flamandes. Vous êtes dans le même bateau ? Voici ce que Kim et Sofie tiennent à vous dire :
votre bien-être
• Préparez-vous bien Il est important d'aborder votre parcours avec confiance. Sachez que les procédures varient d'un hôpital à l'autre. Pouvez-vous poser toutes vos questions à votre médecin et osez-vous prendre du recul ? Ou vous ne vous sentez pas à l'aise avec un médecin ou un hôpital en particulier ? N'hésitez pas à suivre votre intuition.
• Placez-vous sans complexe au premier plan
Privilégiez votre bien-être et ne renoncez pas à ce qui vous donne de l'énergie. Faites ce que vous aimez et prenez soin de vous. Évitez les obligations sociales telles que les « baby showers » si elles vous mettent mal à l'aise : vos proches comprendront sans aucun doute.
• Faites une pause à temps
On passe souvent d'un cycle de FIV à l'autre. Mais il faut faire face à beaucoup d'émotions et notre corps est également mis à rude épreuve. Faire une pause n'est pas une perte de temps, mais est bénéfique pour votre corps, votre esprit et votre relation. Rechargez vos batteries et retrouvez qui vous êtes sans la pression du parcours PMA.
L'histoire de Sofie, cofondatrice de Kop Op Compagnie
« On a l'impression d'échouer dans sa soi-disant mission sur terre : faire des enfants. »
« J'avais 32 ans, notre maison venait d'être rénovée, nous étions prêts à avoir des enfants. Lorsque nous avons appris que mon mari souffrait d'une baisse de fertilité, cela a été un choc. Avec une certaine naïveté, nous nous sommes lancés dans un parcours de procréation médicalement assistée. Six cycles sont remboursés, mais la FIV et l'ICSI ne garantissent pas forcément d'avoir un enfant. Dans un premier hôpital, nous avons fait trois tentatives. Nous avons ensuite frappé à la porte de l'UZ Jette, véritable référence mondiale en matière de fertilité. »
Découvrez son histoire complète sur helan.be/notre-magazine.
Le sommeil,
un puissant remède
Le sommeil est, avec l'alimentation et l'exercice physique, l'un des piliers essentiels de notre bien-être physique et mental. Vous avez des difficultés à vous endormir ? Votre enfant reste debout tard le soir ?
Ou vous souffrez d'insomnie suite à des changements hormonaux ?
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Et découvrez comment mieux dormir grâce aux conseils de la neurologue et experte en sommeil Inge
Declercq. Participez à une session personnalisée, posez vos questions et découvrez comment la Boutique de soins Helan peut vous aider à améliorer votre sommeil.
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Ce test en ligne gratuit vous permet de mieux comprendre votre rythme et la qualité de votre sommeil, ainsi que d’identifier les éventuels problèmes.
Vous découvrirez quels petits changements pourront vous aider à dormir sur vos deux oreilles. Investir dans une bonne nuit de repos en vaut vraiment la peine.
Parce que bien dormir, c'est se sentir mieux.
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Helan pour vous
Quand faut-il s'affilier à sa propre mutualité ?
Si vous étudiez et que vous avez moins de 26 ans, vous êtes généralement assuré·e auprès d'une mutualité par l'intermédiaire de vos parents. Mais à un certain moment, il faudra vous affilier à votre propre nom. Quand exactement ? Cela dépend de votre situation personnelle.
QUAND FAUT-IL S'AFFILIER À SON
PROPRE NOM ?
• Vous commencez à travailler
Vous avez décroché votre premier emploi en tant que salarié·e ou indépendant·e ? Affiliez-vous à titre personnel à la Mutualité libre Helan et profitez de nos avantages pour les jeunes travailleurs.
• Vous étudiez et vous atteignez l'âge de 26 ans
L’année de vos 26 ans, vous restez assuré·e par l’intermédiaire de vos parents jusqu'au 31 décembre inclus.
Dès le 1er janvier de l’année suivante, il faudra vous affilier vous-même auprès d’une mutualité.
• Vous êtes doctorant·e et payez des cotisations ONSS
Vous suivez un doctorat et vous payez des cotisations sociales ? Vous devez alors vous affilier à votre propre nom.
• Vous avez 19 ans et un contrat d'apprentissage
Dans le cadre d'un apprentissage en alternance (combinaison entre études et travail), vous devez vous affilier vous-même à une mutualité à partir de 19 ans.
• Vous percevez des allocations de chômage
Votre période d'attente s’est écoulée et vous percevez des allocations de chômage pour la première fois ? Il est alors temps de vous affilier à votre propre nom.
QUAND N'EST-CE PAS (ENCORE) NÉCESSAIRE ?
• Vous étudiez et avez moins de 26 ans.
Vous avez moins de 26 ans ou l’année de vos 26 ans n’est pas encore écoulée ?
Dans ce cas, vous restez affilié·e par l’intermédiaire de vos parents.
Attention : si vous gagnez au-delà d’un certain montant grâce à un job étudiant, ou si vous vous lancez en tant qu’indépendant·e à titre principal, il faudra alors vous affilier à votre propre mutualité. Vous trouverez les plafonds autorisés sur vlaanderen.be
• Vous avez moins de 26 ans, mais vous recevez une lettre de Helan vous invitant à vous affilier à votre propre nom
Il a alors été signalé à Helan que vous travaillez. Mais peut-être n'est-il pas nécessaire de vous affilier. Parce que vous avez un job étudiant, par exemple, ou que vous gagnez trop peu pour vous affilier à votre nom. Cela ne signifie pas non plus nécessairement qu’il ne faut pas vous affilier en votre nom propre si vous avez un job étudiant et que vous travaillez moins d’heures que le maximum autorisé
par le gouvernement flamand, ou si vos parents perçoivent encore des allocations familiales. N’hésitez pas à nous contacter afin que nous puissions examiner votre situation ensemble.
• Vous avez moins de 26 ans et vous étudiez à l'étranger
Vous ne devez alors pas vous affilier à votre propre mutualité, mais nous vous recommandons tout de même de nous contacter avant votre départ. Vous serez ainsi couvert·e au mieux.
• Vous êtes demandeur ou demandeuse d'emploi et vous êtes encore en période d'attente pour percevoir des allocations.
Vous devez uniquement vous affilier à votre nom lorsque vous percevez effectivement des allocations de chômage.
Affiliez-vous facilement à votre nom en ligne sur helan.be/s-affilier.
Rien ne vaut son chez-soi
NOS ERGOTHÉRAPEUTES VOUS CONSEILLENT GRATUITEMENT
Vous souhaitez continuer à vivre chez vous le plus longtemps possible. Même lorsque vous avancez en âge ou que vous avez besoin de plus de soins, cela reste souvent tout à fait possible. Quelques aménagements ou aides techniques suffisent déjà pour améliorer considérablement votre confort et votre sécurité, en particulier dans la salle de bains et la chambre à coucher.
Vous ne savez pas par où commencer ? Nos ergothérapeutes vous informent et vous conseillent sur les solutions adaptées à votre situation. Ils vous montrent comment simplifier les tâches ou activités quotidiennes, comment se débarrasser définitivement de certains obstacles et ce que vous pouvez faire pour réduire le risque de chute.
Si vous le souhaitez, ils peuvent même vous rendre visite à domicile. Votre habitation sera alors entièrement analysée et vous recevrez ensuite les conseils de nos experts sur les aménagements et les aides pratiques qui peuvent vous convenir, comme un siège de douche réglable ou un lit médicalisé élégant, ainsi que des informations sur les aides financières disponibles.
Cela vous intéresse, vous ou quelqu'un de votre entourage ?
N'hésitez pas à prendre rendez-vous. Appelez le 02 218 22 22 ou remplissez le formulaire sur helan.be/demander-des-soins
des soins pour vous
« Après les aménagements conseillés par Helan, je me sens à nouveau en sécurité chez moi. La salle de bains adaptée et la rampe d'escalier me permettent de continuer à vivre de manière autonome. Ça me rassure que tout ait été adapté à ma situation. »
Paul (78 ans)
Offre spéciale dans la Boutique de soins Helan
RÉDUCTION SUPPLÉMENTAIRE POUR PLUS DE CONFORT DANS LA SALLE DE BAINS ET LA CHAMBRE À COUCHER JUSQU'À LA FIN DU MOIS DE NOVEMBRE.
Une salle de bains sûre et pratique
Vous souhaitez prendre un bain confortablement ou vous doucher en toute autonomie ? Dans la Boutique de soins Helan, vous trouverez les aides dont vous avez besoin pour un confort optimal dans votre salle de bains.
En tant que membre de Helan, vous profitez jusqu'à la fin du mois de novembre, en plus de votre réduction de 30 %, d'une réduction supplémentaire de 10 % sur une sélection de meubles de salle de bains, comme des élévateurs de bain et des sièges de douche ergonomiques.
Chaise de douche Rebotec Nizza avec dossier et accoudoirs
Prix standard : 208,59 euros. Prix promotionnel après 30 % + 10 % de réduction : 131,41 euros
Découvrez cette action sur helanboutiquedesoins.be/ promo
30 % + 10 % de réduction pour les membres de Helan
Plus de confort pour votre sommeil grâce à un lit médicalisé
Même si vous avez besoin de plus de soins, vous pouvez continuer à vivre chez vous. Il est tout à fait possible de transformer votre chambre à coucher en une chambre de soins confortable avec un lit adapté et un matelas de soins. Jusqu'à la fin du mois de novembre, vous bénéficiez d'une réduction supplémentaire de 10 % sur une sélection de lits et de matelas, en plus de votre réduction de 30 % en tant que membre de Helan.
Lit médicalisé réglable Arminia
Prix standard : 1 822,00 euros. Prix promotionnel après 30 % + 10 % de réduction : 1 147,86 euros
Les actions et conditions mentionnées sont uniquement valables pour les membres de la Mutualité libre Helan en règle de paiement de cotisations pour les services complémentaires. Vous trouverez toutes les informations et conditions sur helan.be/avantages. La réduction mentionnée par la Boutique de soins Helan est uniquement valable pour les membres de la Mutualité libre Helan. Action sous réserve de modifications. Infos sur helanboutiquedesoins.be/promo.
Comment grignoter sainement
5 mythes sur les en-cas sous la loupe
Il est permis de grignoter. Mieux encore, un en-cas bien choisi vous donne de l'énergie, améliore votre concentration et prévient les fringales. Mais qu'est-ce qu'un en-cas sain ? Daphne Lai, nutritionniste chez Helan, brise cinq mythes tenaces sur les en-cas et vous donne quelques astuces pour grignoter sainement.
MYTHE N° 1 :
« Grignoter est mauvais pour la santé, il vaut mieux éviter à tout prix ».
C'est faux. Une collation saine aide justement à maintenir votre niveau d'énergie stable. Vous évitez ainsi de vous ruer sur votre frigo en rentrant. Grignoter n’est donc pas mauvais en soi. Tout dépend de ce que vous choisissez. Optez pour des collations riches en protéines, en fibres et/ou en graisses saines. Elles sont plus rassasiantes et stabilisent votre glycémie. Un fruit avec du yaourt. Une poignée de noix. Une soupe avec une tranche de pain. Vous arrivez à vous passer de collations ? Très bien. Veillez simplement à consommer chaque jour suffisamment de fruits, de produits laitiers, de noix, de graines et de fibres.
MYTHE N° 2 :
« Si un produit est protéiné, c'est qu'il est bon pour la santé.
Barres protéinées, puddings,... On en trouve partout. Mais en avons-nous vraiment besoin ? Il est vrai que les produits riches en protéines rassasient plus longtemps. Mais cela ne les rend pas nécessairement sains. Une barre protéinée n'est souvent qu'une barre chocolatée, pleine de sucres ajoutés ou d'édulcorants artificiels. Les en-cas protéinés sont généralement très transformés et moins nutritifs qu'on ne le pense. Vous aimeriez grignoter des aliments riches en protéines sans vous laisser avoir par le marketing ? Optez pour un œuf dur, une poignée de noix ou un cracker complet avec du houmous.
MYTHE N° 3 :
« Light = plus sain »
« Light » signifie qu'un produit contient au moins 30 % de sucre ou de matières grasses en moins que le produit original. Mais cela ne signifie pas pour autant qu'il contient moins de calories. Moins de matières grasses ? Il y a alors généralement plus de sucre. Moins de sucre ? Il est probable qu'il contienne davantage de matières grasses. Un tel en-cas n'est donc pas automatiquement meilleur ou plus nutritif. Ne vous laissez pas berner par les arguments « sains » et lisez toujours l'étiquette. Vous voyez une liste d'ingrédients courte avec des mots que votre grand-mère reconnaîtrait ? Vous êtes alors généralement sur la bonne voie.
MYTHE N° 4 :
« Une collation peut être sucrée, si les sucres sont ‘naturels’ ».
Vous avez toujours une barre aux dattes dans votre sac pour combler vos fringales sucrées ? Rien de mal à cela, de temps en temps. Mais les sucres naturels restent des sucres. Et la plupart de ces barres sont riches en calories, sans réellement vous rassasier. Combinez votre barre avec un aliment riche en protéines ou en graisses, comme des noix, des graines ou du yaourt. Cela vous rassasiera plus longtemps. Et n'oubliez pas de mettre les fruits frais en tête de votre liste de collations. Pour un goût sucré et une sensation de satiété, sans excès de calories.
MYTHE N° 5 :
« Les collations saines s'achètent en magasin »
Un produit est présenté dans un emballage tendance et vante sa « richesse en fibres » ? Cela ne signifie pas pour autant qu'il est sain. Les meilleures collations sont celles que vous préparez vous-même, avec des ingrédients que vous n'avez pas besoin de rechercher sur Google. Pensez à des légumes accompagnés de houmous. Des crackers complets avec du cottage cheese. Une banane avec du beurre de cacahuète. Simple, nutritif, abordable. Et vous en connaissez la composition exacte. Pas d'additifs, mais des ingrédients purs qui font du bien à votre corps.
Bon à savoir
Faites-vous vacciner à
temps
contre la grippe
Le virus de la grippe nous rend visite chaque année sous une variante différente. C'est pourquoi il existe chaque année un nouveau vaccin. Vous avez plus de 65 ans, vous êtes enceinte, vous souffrez d’une maladie chronique (cardiaque, pulmonaire, rénale, ou du diabète), ou vous vivez sous le même toit qu'une personne à haut risque ? Vous avez alors tout intérêt à vous faire vacciner contre la grippe. C’est possible dès la mi-octobre chez votre médecin généraliste ou à la pharmacie. Vous appartenez à un groupe à risque ? Vous recevrez alors un remboursement partiel de la part du gouvernement. Si vous résidez dans une institution de soins subventionnée en Flandre, le vaccin contre la grippe est gratuit.
AVANTAGE HELAN
Vous n'appartenez pas à un groupe à risque et vous n'avez donc pas droit à un remboursement par le gouvernement ? La Mutualité Helan vous rembourse alors partiellement votre vaccin contre la grippe, pour un maximum de 25 euros par année civile*.
SAVIEZ-VOUS qu’il est aussi possible de se faire vacciner contre la grippe en pharmacie ?
Famille monoparentale bénéficiant de l’intervention majorée, aussi pour les petits-enfants à charge
Vous vivez seul·e avec votre petit-enfant qui est officiellement à votre charge ? Vous pouvez alors être reconnu·e comme famille monoparentale. Vous pourrez ainsi bénéficier de l’intervention majorée.
* L’avantage Helan pour les vaccins est uniquement valable pour les vaccins qui ne sont pas (entièrement ou partiellement) remboursés par le gouvernement via l’assurance maladie légale. Découvrez les conditions de cet avantage sur helan.be/avantages. Les avantages et services mentionnés sont valables en 2025 pour les membres de la Mutualité libre Helan en règle de paiement de cotisations mutualistes.
SOS ANTIOBIOTIQUES De plus en plus de bactéries résistantes
Les antibiotiques sont encore trop souvent utilisés à tort. L'utilisation inutile d'antibiotiques entraîne l'apparition de bactéries résistantes. Les maladies deviennent alors plus difficiles à soigner, voire mortelles. Chaque année en Europe, près de 35.000 personnes succombent à une infection causée par une bactérie que les antibiotiques ne peuvent plus combattre. Et ce chiffre ne fera qu'augmenter si nous ne faisons rien pour y remédier. Utilisez donc un antibiotique uniquement en cas de nécessité absolue. Et pas pour des infections causées par des virus, comme la grippe, le rhume, la bronchite aiguë, le COVID-19 ou le VRS (un virus fréquent chez les nourrissons).
Conseils importants
Si les antibiotiques sont utilisés trop souvent alors qu'ils ne sont pas nécessaires, les bactéries deviennent résistantes et ne sont plus sensibles à l'antibiotique. Prenez-les donc uniquement s’ils vous ont été prescrits et suivez scrupuleusement votre traitement. Ne manquez pas de dose. Respectez toujours les conseils de votre médecin quant au moment et à la manière de prendre des antibiotiques. Cela garantira leur efficacité à l'avenir.
Ne gardez jamais les restes pour une prochaine fois. Déposez-les dans votre pharmacie. Il est inutile de prendre des antibiotiques à titre préventif.
Mieux vaut prévenir que guérir. C’est la règle cruciale pour réduire l'utilisation des antibiotiques. Se laver les mains régulièrement, aérer les espaces de vie et porter un masque en cas d’infection sont des éléments de base importants pour y parvenir.
Devenez Antibiotic Guardian sur antibioticguardian.com, et sélectionnez un message d’engagement pour une meilleure utilisation des antibiotiques. Vous contribuerez ainsi à préserver pour l'avenir ces médicaments qui sauvent des vies.
Découvrez-en plus sur les antibiotiques sur parlonsantibiotiques.be
SAVIEZ-VOUS QUE…
1 personne sur 3 souffre de diabète sans le savoir ?
Non traité, le diabète de type 2 peut entraîner des complications graves. Il est donc important de dépister la maladie le plus tôt possible. Vous avez plus de 45 ans ? Évaluez alors votre risque de développer un diabète dans les 10 prochaines années. Vous trouverez un questionnaire simple à cet effet sur HALT2diabetes.be (en néerlandais).
Assurance dentaire
Passez-vous de Dentalia Plus à Dentalia Up ?
En fonction de votre situation familiale, il peut être avantageux de changer de police.
Dentalia Up est moins coûteuse : vous payez moins chaque mois. Dentalia Up offre des garanties supplémentaires en cas de cancer ou d'accident, pour un montant de 4.000 euros.
Dentalia Up offre des remboursements plus élevés pour les prothèses et les implants sur le long terme.
À faire : dépistage gratuit du cancer du sein
Vous avez entre 50 et 69 ans ? Vous recevrez alors certainement une invitation du Centre de dépistage du cancer pour effectuer une mammographie. Celle-ci est entièrement gratuite, et présente plusieurs avantages : un dépistage précoce permet d’éviter les complications, ou un traitement (plus lourd), et augmente les chances de rémission complète. Nous vous recommandons donc chaudement d’accepter cette invitation. Vous remarquez un changement dans vos seins, comme une grosseur, une petite boule, un mamelon inversé ou autre chose qui vous inquiète ? Demandez conseil à votre médecin généraliste ou à votre gynécologue. Ne repoussez pas votre dépistage : cela sauve des vies.
bevolkingsonderzoek.be/fr et bruprev.be
Rendez-vous sur helan.be/dentalia-up-transfert l’actu
Dentalia Up prévoit des remboursements par type de soins dentaires, que vous pouvez cumuler.
Vous suivez déjà un traitement orthodontique ? Votre enfant ne commencera son traitement d’orthodontie qu'après ses 15 ans ?
Ou vous avez besoin d'une prothèse dentaire ou d'implants à court terme ?
Il vaut alors mieux garder votre assurance Dentalia Plus.
Vous souhaitez en savoir plus ou comparer ?
Vous êtes enceinte ? Prenez garde aux perturbateurs endocriniens
Les hormones contribuent au bon développement de votre bébé. Mais certaines substances présentes dans le plastique, la peinture, les produits d'entretien ou cosmétiques, ou encore dans l’air peuvent perturber votre équilibre hormonal naturel. Quelques bonnes habitudes vous permettront d'y être exposée le moins possible.
1.
Aérez votre logement deux fois par jour pendant un quart d’heure.
2. Limitez l’utilisation de produits cosmétiques, comme le vernis à ongles ou les colorations pour cheveux.
3.
4.
Évitez de réchauffer des aliments dans des récipients en plastique.
Lavez vos vêtements neufs et ceux de votre bébé avant de les porter.
Plus de conseils ? Rendez-vous sur health.belgium.be/fr/protegez-votrebebe-et-vous-meme-contre-les-perturbateurs-endocriniens
Helan Onafhankelijk ziekenfonds, agent d’assurances (n° OCM 5006c) pour “MLOZ Insurance”, la SMA des Mutualités Libres, RPM Bruxelles (422.189.629, reconnue sous le n° OCM 750/01 pour les branches 2 et 18). Vous trouverez les fiches d’info et les conditions générales de Dentalia Plus et Dentalia Up sur www.helan.be/SMA. Le droit belge est d’application sur le contrat d’assurance. Le contrat est conclu sans limite de temps. En cas de réclamation, vous pouvez vous adresser au service de médiation de Helan sur www.helan.be/ vosimpressions ou à l’Ombudsman des Assurances (www.ombudsman.as). Si vous souhaitez davantage d’informations concernant l’affiliation à ce/ces produit(s), vous pouvez vous adresser à votre mutualité.
Bon pour le cœur, bon pour le cerveau
Deux pour le prix d'un
Saviez-vous qu'un mode de vie sain peut réduire considérablement le risque de démence ? Des études récentes montrent que dans 45 % des cas, la démence peut être retardée ou évitée grâce à un mode de vie qui ménage à la fois le cerveau et le cœur. Deux pour le prix d'un, en somme.
10 conseils pour lutter contre la démence
1.
Mangez plus souvent méditerranéen
Dans les pays méditerranéens, comme l'Espagne, l'Italie ou la Grèce, on consomme généralement moins de viande rouge et transformée. Et davantage de poisson, de légumes, de fruits, de noix et d'huile d'olive. Les protéines, les graisses saines, les fibres, les vitamines et les minéraux réduisent le risque de maladies cardiovasculaires et de diabète, et gardent votre cerveau en pleine forme.
2. Maintenez des liens sociaux
Les contacts sociaux vous maintiennent en forme, tant mentalement que physiquement. Cela permet de prévenir la dépression, les problèmes cardiaques, et même la démence. Investir dans votre vie sociale (ou dans un animal de compagnie, cela compte également) donne un sens à votre vie, tout en étant agréable et sain.
3.
Entraînez votre cerveau
Tout comme vos muscles, votre matière grise a besoin de défis pour rester en forme. Et pas besoin de faire des études difficiles. Continuez à éveiller votre curiosité et à apprendre de nouvelles choses, comme une langue, ou rejoignez un club de lecture ou une chorale. Cela donne plus d'énergie à votre cerveau que de faire des sudokus.
4. Ne fumez pas et buvez avec modération
Arrêtez de fumer et prenez conscience que moins vous buvez d'alcool, mieux c'est. Pour votre cœur, votre cerveau et le risque de démence. Prévoyez chaque semaine des journées sans alcool et, lors d'une fête, essayez un mocktail ou une bière sans alcool.
5. Prenez soin de vos oreilles et de vos yeux
Une bonne audition et une bonne vue sont essentielles, notamment pour ne pas surcharger votre cerveau. Protégez donc vos oreilles lors de concerts, de festivals et dans les environnements bruyants. Et faites contrôler votre audition et votre vue à temps. Les lunettes ou les appareils auditifs ne sont pas une honte et semblent même réduire le risque de démence.
6. Mesurez votre tension artérielle
Une tension artérielle saine (visez 120/80) est importante pour votre bien-être et votre cerveau. Celui-ci est sans cesse actif et a besoin d'une bonne circulation sanguine. Contrôlez donc régulièrement votre tension artérielle et, si nécessaire, adaptez votre mode de vie ou prenez des médicaments pour vous y aider.
7. Bougez chaque jour
L'exercice physique maintient votre corps en forme et renforce votre cœur et vos vaisseaux sanguins. Cela a également un effet positif sur votre cerveau. Chaque pas ou chaque mètre compte. Trouvez ce qui fait battre la chamade à votre cœur, littéralement, et amusez-vous : marche, vélo, aquagym ou natation. À vous de choisir.
8. Faites la part belle aux fruits Une alimentation saine est indispensable pour un cerveau en bonne santé. Optez pour des fruits frais et non pressés (de saison) et mangez chaque jour au moins deux gros fruits, comme une pomme ou une banane, ou 250 g de petits fruits, comme des myrtilles. Vous avez l'embarras du choix.
9. Ne restez pas assis·e pendant des heures
Combien d'heures passez-vous assis·e chaque jour ? Plus que vous ne le pensez. Rester assis trop longtemps et trop souvent n'est pas bon pour notre dos, notre cœur et notre cerveau. Essayez donc de vous lever et de bouger quelques minutes toutes les demi-heures. Cela fera déjà une grande différence.
10. Utilisez votre bon sens
Un cerveau en bonne santé repose avant tout sur un cœur sain, un esprit curieux et des contacts sociaux. D'autres facteurs font actuellement l'objet de nombreuses recherches. Les médias diffusent parfois des nouvelles pleines de promesses, comme le fait qu'une séance quotidienne de sauna serait bénéfique pour le cerveau. Ne prenez pas toutes ces informations au pied de la lettre, et continuez à utiliser votre bon sens. Helan vous soutient :
• conseils de nos experts en démence
• conseils d’ergothérapeutes sur les aides et les aménagements de l’habitation
• aide administrative de nos travailleurs sociaux
• matériel de soins dans la Boutique de soins Helan
• soins à domicile si nécessaire
Nos collaborateurs du Service
Action Sociale vous donnent des conseils personnalisés.
Tout à fait gratuitement. Appelez le 02 218 22 22 ou prenez rendez-vous sur helan.be/rendez-vous
La campagne publique Deux pour le prix de un concernant la santé cérébrale est organisée par Alzheimer Belgique, Baluchon Alzheimer et Stop Alzheimer, la Fondation pour la Recherche sur la maladie d’Alzheimer, ainsi que les Centres d’Expertise Flamands sur la Démence en collaboration avec Alzheimer Liga Vlaanderen, réunis au sein de Ensemble pour Alzheimer, avec le soutien de l’ensemble des mutualités. 2pourleprixde1.be
Nadia, puéricultrice au sein des Crèches Helan
« Nous grandissons ensemble »
Chaque jour, Nadia Sidhoumi (31 ans) se rend en souriant à la crèche Lieverleuk de Louvain. Non seulement en tant que puéricultrice dévouée, mais depuis un an, également en tant que maman. Son fils fréquente aussi cette crèche, entouré de collègues en qui elle a une confiance aveugle. « Je peux laisser mon bébé dans n'importe quelle crèche Helan l'esprit tranquille. Je sais qu'il sera entre de très bonnes mains. »
La crèche, c'est bien plus que changer des couches et ranger des jouets. C'est accompagner les enfants dans leurs premiers pas, au sens propre comme au figuré. C'est les inciter à découvrir, à grandir, à s'épanouir. « C'est un honneur pour moi de m'occuper d'enfants », explique Nadia Sidhoumi, qui travaille depuis sept ans comme puéricultrice au sein des Crèches Helan. « Les parents nous confient leurs petites merveilles. Nous avons le privilège de les accompagner pendant les mille premiers jours de leur vie. Nous pouvons observer un adorable bébé s'épanouir et devenir un enfant plein de caractère. Cela reste extraordinaire. Je ne peux pas m’imaginer meilleur métier. »
Des opportunités pour petits et grands
Dans les Crèches Helan, les enfants grandissent à leur rythme, dans un environnement sûr et chaleureux. Nadia : « Nous disposons d'un très bel espace de jeu avec du matériel adapté. Nous travaillons également de manière verticale.
Cela signifie que les bébés et les petits sont regroupés dans une même classe. Cela offre de nombreuses opportunités d'apprentissage. Les plus grands s'occupent des plus petits et ils apprennent ainsi les uns des autres. Les enfants nous accompagnent pour certaines petites tâches, comme donner un biberon à un bébé ou lui offrir une tétine. C'est beau à voir. » Le fils de Nadia est accueilli par ses collègues. « En tant que maman, je vois maintenant aussi d’un autre point de vue ce que nous offrons aux enfants. Mon fils apprend à marcher en observant les autres. À la maison, il aurait appris beaucoup moins vite. Et il apprend également à être attentionné. C'est quelque chose que l'on acquiert uniquement dans un environnement chaleureux comme celui d'une crèche. C'est la véritable valeur ajoutée de la crèche. »
Chaque jour, une nouvelle aventure
Chaque jour est différent, explique Nadia. Cela rend le métier de puéricultrice parfois difficile, mais toujours passionnant. « Nous encourageons les enfants à devenir de véritables explorateurs. C'est l'une de nos valeurs principales. Nous prenons en compte leurs centres d'intérêt et nous nous adaptons en conséquence. Parfois, nous organisons des semaines à thème, parfois nous improvisons. L'enfant est au centre de nos préoccupations. » Jouer ensemble dans le jardin ou le petit parc du quartier : chaque jour est une nouvelle aventure. « Nous emmenons les enfants en excursion, nous leur faisons goûter, toucher, sentir. Nous essayons de jouer autant que possible à l'extérieur, afin qu'ils prennent un bon bol d’air frais et puissent se défouler. Même s'il fait froid ou s'il neige. »
Un lien chaleureux avec les parents et les enfants Nadia éprouve une immense satisfaction lorsque les enfants franchissent des étapes importantes. « Les enfants qui font leurs premiers pas chez nous. Cela montre qu'ils se sentent à l'aise. Ou les bambins qui nous font signe joyeusement lorsqu’on les croise sur le chemin de l'école. On sait alors que tout ira bien, qu'ils vont découvrir le monde. » Nadia chérit également les liens avec les parents. « En tant que maman, je comprends à quel point il peut être difficile de confier son enfant à quelqu’un d’autre. C'est pourquoi nous prenons toujours le temps pour les parents. Et nous les écoutons vraiment. Comment s'est passée la nuit ? Comment se sent votre enfant aujourd'hui ? » Elle n'oubliera jamais cette lettre dans laquelle des parents décrivaient à quel point ses collègues et elle avaient compté pour leur enfant. « Auprès d’une collègue, leur enfant pouvait trouver de l’apaisement, chez une autre, des défis à relever, chez une autre encore, de la chaleur humaine. Cela m'a profondément touchée. Nous ne sommes pas tous identiques, et les enfants apprennent ainsi que chacun a ses propres forces. »
Crèches
Nadia Sidhoumi, puéricultrice au sein des Crèches Helan « Nous avons la chance de faire partie des mille premiers jours de la vie d'un enfant. Voir un bébé s'épanouir pour devenir un petit bambin plein de caractère, cela reste un moment extraordinaire. »
Grandir ensemble
Dans les Crèches Helan, les enfants et les puéricultrices grandissent ensemble. « Nous donnons aux enfants toutes les chances de s'épanouir et nous grandissons avec eux. Nous bénéficions régulièrement de formations, d'accompagnement et de soutien. Des coachs pédagogiques nous rendent visite et nous guident pour surmonter les défis rencontrés. Notre crèche ferme même exceptionnellement quelques jours par an pour organiser une journée de formation afin que toute l'équipe puisse se perfectionner. » Les nouveaux collègues sont accueillis à bras ouverts, tout comme les enfants. « Toute personne qui aime les enfants est la bienvenue dans les Crèches Helan. Même si vous n'avez pas encore votre diplôme, vous pouvez postuler. Le plus important, c'est votre motivation et votre volonté d'évoluer. Le reste, vous l'apprendrez en cours de route, avec nous. »
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BEELDKRACHT
Chez Helan, nous tenons à ce que vivre sainement reste abordable pour tout le monde. C’est pourquoi nous soutenons votre bien-être grâce à des remboursements et des réductions. En voici un bref aperçu.
NOUVEAU
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CAMP DE VACANCES GRATUIT POUR
LES ENFANTS DE 3, 6 ET 9 ANS
Les enfants de 3 ans (nés en 2022), 6 ans (nés en 2019), et 9 ans (nés en 2016) peuvent participer à un camp de vacances Heyo sans nuitée de leur choix gratuitement !
Infos et inscription sur heyo.be
« Meilleur camp de ma vie. Tout était chill. Le lieu. Les pistes. Les amis, et même les moniteurs. »
Luca (16 ans)
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Les avantages et services mentionnés sont valables en 2025 pour les membres de la Mutualité
en règle de paiement de cotisations mutualistes. Lisez les conditions sur helan.be/avantages.
dans les coulisses
Chez Helan, nous avons un regard plus large sur votre bien-être. Nous en faisons toujours plus pour améliorer votre qualité de vie, et la garder à son niveau optimal.
Écouter et apprendre : c'est ce que Tom Coolen visait avant tout lorsqu'il a pris ses fonctions de nouveau Directeur général de Helan. Il a donc passé une journée aux côtés d'Anne, aideménagère chez Helan Aide-ménagère.
Nous sommes une mutualité libre. Mais vous pouvez aussi compter sur tous les autres services de notre groupe de santé et de bien-être : une assurance hospitalisation et dentaire, du matériel (para)médical, nos services d’aide à domicile, d’aide maternelle, ou d’aide-ménagère, nos crèches et gardes d’enfants, et nos camps de vacances.
Nous sommes là pour vous.
Chez Helan, nous aimons vous faciliter la vie. Et vous aider rapidement. Si vous avez des questions, nous sommes à votre écoute.
Self-service pratique
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• Via une boîte aux lettres Helan près de chez vous : helan.be/boitesauxlettres
• Par courrier : Boomsesteenweg 5 2610 Wilrijk
Vous avez une question, nous vous écoutons
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De plus amples informations sur des assurances complémentaires ou votre affilitation chez Helan, des conseils spécifiques pour votre situation, notamment si vous attendez un enfant, vous trouvez dans une situation de soins particulière ou êtes en incapacité de travail.
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