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L’Ecole royale militaire belge tient son camp d’hiver

à Errachidia, au Maroc

Pour son camp d’hiver de cette année 2023, le choix de l’École royale militaire de Belgique (ERM) s’est porté sur la région d’Errachidia au Maroc. Depuis quelques jours, près de 80 élèves-officiers belges s’entraînent dans cette région aux méthodes de survie, d’orientation et de tactique avec des cours théoriques et pratiques. Les élèves-officiers belges sont accompagnés par l’Amiral Yves Duppont, commandant de l’ERM, qui coordonne avec les Forces armées royales (FAR). Le choix de l’ERM est motivé par les reliefs de la région d’Errachidia qui offre d’excellentes opportunités pour ce genre de stages, mais aussi pour la stabilité que connaît le Royaume du Maroc.

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let insiste samedi sur le fait qu’aucune décision n’a encore été prise.

Trois scénarios sont évoqués par le cabinet de la ministre de l’Education Caroline Désir (PS) dans ce document adopté à la veille de Noël et présenté vendredi aux pouvoirs organisateurs de l’officiel. Un, la suppression pure et simple des cours philosophiques au bénéfice de deux heures d’éducation à la philosophie et la citoyenneté. Deux, deux heures d’éducation à la philosophie et la citoyenneté et, au choix, une heure d’éducation à la philosophie et la citoyenneté ou religion/morale. Trois, deux heures d’éducation à la philosophie et la citoyenneté pour tout le monde et une heure de religion/morale à titre optionnel.

Le président de l’Exécutif des Musulmans accuse Van Quickenborne de «rompre le dialogue» avec la communauté musulmane

Mehmet Üstün regrette que le ministre ait privé l’EMB de subsdides.

Le président de l’Exécutif des Musulmans de Belgique (EMB), Mehmet Üstün, a accusé cette semaine le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne (Open VLD), de «rompre le dialogue avec la communauté musulmane» en lui ayant retiré sa reconnaissance et en le privant du «moindre subside» alors qu’il doit organiser des élections internes.

«Aujourd’hui, 30 janvier 2023, le ministre belge de la Justice, probablement inspiré uniquement par des motifs électoraux, refuse de nous verser le moindre subside. Le retrait de notre reconnaissance est contesté au Conseil d’État», a-t-il affirmé dans une carte blanche notamment adressée à l’agence Belga.

Fatima Zibouh, nouveau visage de Brussels2030, ne fait pas l’unanimité

La politologue belge d’origine marocaine Fatima Zibouh, est la nouvelle co-porteuse du projet de candidature de Bruxelles en tant que capitale européenne de la culture en 2030. Cette désignation est loin de faire l’unanimité. Celle qui est nantie d’un doctorat en sciences politiques avec Culture, ethnicité et politique peut tout de même compter sur le soutien du ministre-président bruxellois Rudi Vervoort (PS).

Fatima Zibouh est critiquée pour sa désignation en tant que nouveau visage de Brussels2030 succédant à l’ancienne journaliste Hadja Lahbib qui a abandonné la fonction en juillet 2022, après sa nomination au poste de ministre des Affaires étrangères. Vendredi, le député bruxellois DéFI, Christophe Magdalijns, avait demandé à la nouvelle co-chargée de mission de « respecter avec volontarisme, la stricte neutralité nécessaire et applicable aux services publics bruxellois dont ‘Brussels 2030’ fait incontestablement partie », rapporte Belga. Zibouh est administratrice du Centre pour la justice intersectionnelle « dont la matrice idéologique fait peu de doute. L’intéressée semble côtoyer différentes figures du militantisme islamique », estime l’élu, soulignant que la politologue occupe « une fonction publique de direction » qui relève « de la responsabilité du gouvernement bruxellois et qui, de ce fait, nécessite d’adopter une totale neutralité dans les actes comme dans les apparences ». parquet de Bruxelles a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances de l’accident.

La majorité des livreurs de repas à vélo à Bruxelles seraient sans-papiers

Quelque 200 personnes se sont rassemblées lundi soir sur le boulevard Albert II, à proximité de la Gare du Nord, en mémoire de Sultan Zadran, un coursier à vélo décédé jeudi non loin de là après avoir été écrasé par un bus.

Ce livreur à vélo pour le compte d’Uber a été percuté par un bus d’une société privée. L’accident s’est produit à l’intersection du Boulevard Roi Albert II et de la place Solvay à Schaerbeek. Le

“Sultan est décédé en livrant pour Uber. C’est une tragédie, personne ne devrait mourir en travaillant. Ce n’est pas pour dire que c’est la faute d’Uber mais nous regrettons qu’Uber ne fasse pas tout pour assurer la sécurité de ceux qui, jeunes ou moins jeunes, travaillent pour lui. Continuellement, nous interpellons Uber et les autres plateformes car on constate que leurs travailleurs ne sont pas respectés“, a dénoncé Martin Willems, responsable national CSC, au nom de la Maison des livreurs.

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