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CERCLE DES PATRIOTES salus populi
oquées plus haut ne relèvent pas de ce qu’on appelle parfois les « identitarismes », marque habituelle de l’extrême droite et, maintenant, de plus en plus, d’une certaine gauche, notamment via le prisme du radicalisme.
D’abord l’identité d’une personne, ce qui lui est propre, qui relève de son histoire, des interactions passées et présentes avec son environnement, ne peut pas être comprise en dehors, aujourd’hui, d’un capitalisme mondialisé qui produit littéralement ces désirs moteurs de la société de consommation.
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Sans des formes de massification organisée du désir, il ne serait possible de planifier quelque peu la preoduction rentable. Certes le capitalisme contemporain n’est plus celui de Ford ; il exploite les différences inéviutables existant entre individus et groupe dans un monde mondialisé, car ces différences sont support de statuts sociaux.
On consomme donc des différences, mais qui ne voit que ce monde est factice et que l’individu est aliénè d’une façon des plus terrifiantes ?
Ensuite, pour ce qui est du problème délicat de l’identité collective, il convient de souligner que l’identité dont il est question a une dimension politique déterminante.
Il ne s’agit pas, pour nous, de négliger les identités confessionnelles, ethniques, locales ou régionales, toutes identités données par le passé dont l’existence est parfaitement légitime et participe heureusement de la diversité du monde, même si ce type d’identité