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LADY DIANA SPENCER

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PAULA REGO

PAULA REGO

jupe en forme de tulipe, sans doute princière. Chez Sotheby’s, à New York, son prix s’est envolé à 604 800 dollars, alors qu’il était estimé entre 80 000 et 120 000 dollars.

Des stylistes d’un bout à l’autre du globe l’ont confirmé. “Tout le monde voulait ressembler à la princesse Diana”, se souvient Elizabeth Emanuel, qui a conçu des robes pour la princesse de Galles à plusieurs occasions.

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“Elle portait une paire de collants avec un nœud dans le dos et soudain elle était partout, tout le monde les voulait.” https://www.exibart.com/mercato/new-york-labitodi-lady-diana-venduto-per-oltre-600-000/ es trésors de Marie-Antoinette, de Louis XIV et de Napoléon Bonaparte sont mis en vente chez Sotheby’s pour restaurer le château du Champ de Bataille, propriété (ouverte au public) du célèbre décorateur Jacques Garcia.

Pas seulement ça.

Au printemps 2018, Virgil Abloh a basé sa collection pour Off-White sur la garde-robe de la princesse Diana, la décrivant dans une interview au British Vogue comme “une personne forte qui, malgré sa position, avait ses propres goûts et cela transparaissait dans les vêtements”.

Et voici la dernière trace tangible de son style intemporel, sa robe violette transcendant toujours la mode. Il a été mis aux enchères avec une belle pluie de zéros, pulvérisant toutes les évaluations initiales lors de la vente transversale The One, aux côtés d’autres souvenirs exceptionnels tels que le maillot victorieux de LeBron James et un camée en émeraude colombienne extrêmement rare, une relique de l’époque des Conquistadores (nous vous en parlions ici).

La robe avait déjà été vendue aux enchères en 1997, en fait (347 000 $), dans le cadre d’une action caritative au cours de laquelle Diana a vendu 79 robes pour récolter plus de 3 millions de dollars.

Maintenant un nouveau chapitre de son histoire, le prix a presque doublé depuis.

L’architecte d’intérieur à l’origine de certains des intérieurs les plus somptueux du monde, de l’hôtel La Mamounia à Marrakech à l’hôtel Costes à Paris. Un nom qui a récemment fait le tour du monde pour la Villa Elena à Noto, décor privilégié, pour le moins somptueux, de la deuxième saison de la série américaine “Le Lotus Blanc”.

Il s’agit de Jacques Garcia, propriétaire depuis 1992 du Champ de Bataille, le château du XVIIe siècle qui possède le plus grand jardin privé d’Europe. Il y a trente ans, en 1992, le décorateur Jacques Garcia se portait acquéreur du domaine du Champ-de-Bataille en Normandie.

Enfant, déjà, il avait eu un coup de cœur en le visitant en compagnie de son père.

Cet admirable château fut commandé à Le Vau en 1651 par le comte Alexandre de Créqui qui, pour avoir participé à la Fronde, dut s’exiler loin de Paris. Durant trois décennies, Jacques Garcia s’est attaché à restaurer cette demeure et lui redonner vie, dans l’esprit du Grand siècle et celui des Lumières mais revus avec sa fougue, son charme et l’esthétique flamboyante qui est la sienne. Un chantier titanesque.

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