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COLLETTIVA DI FOTOGRAFIA
jusqu’au dimanche
12 F Vrier 2023
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Assoc, REMO BRANCA
Via Roma 68
Sala Esposizioni IGLESIAS
Tél.:+39 345 569 6130 remobranca.ass@tiscali.it www.remobranca.org
Les photographes partecipant
Roby Anedda
Benjamin Audour
Giulio Barrocu
Chiara Cossu
Sophie Goullieux
Dolores Mancosu
Antonella Marini
Roberto Orlandini
Ignazio Pani
Marina Federica Patteri
Sandro Peddis
Yannick Perrin
Jean Sebastian
Fabrizio Schirru
Marco Sodini
Jean Turco
Les vidéos sont consultables ici vimeo.com/channels/ arrubiuartgallerycafe vimeo.com/channels/icilabasetailleurs vimeo.com/channels/ viasandomenico10 vimeo.com/unisvers e mois de février, toujours marqué par les nombreuses festivités du Carnaval, qui, après une période où il disparu dans bien d’endroits dans lesquels il était fêtait, et après la renaissance des plus connus et fameux tels que Venise, Rio, eccetera, mais aussi les villes du Nord qui retrouvent les anciennes traditions, revisités pour le commerce et pour le tourisme.
Source d’inspirations pour les peintres et les photographes, cette tradition qui remonte à l’’age des empires Mésopotamiens et Perses a toujours été comme une soupape de sureté mais aussi (voir à Venise) une possibilité de mieux connaitre les vices secrets de la population tout en leur donnant un sentiment de liberté superficielle et factice.
Ce numéro de février arrive en plus avec du retard, du à l’organisation des nombreuses expositions et à la participation à des concours graphiques et artistiques dont on espère de sortir si non vainqueur à tout le moins distingués.
Entre temps on continue à vous proposer un choix on ne peut plus éclectique, quoique certaines de nos fixations reviennent systématiquement, telles la place des artistes femmes dans l’Art, et leur reconnaissance souvent tardive, lorsqu’elle ne sont carrément oubliées pendant quelques siècles.
Ricardo Bofill est décédé, et je me souviens qu’il introduis en France la notoriété non seulement de l’Architecture, mais aussi de sa propre personne et si jamais un taxi vous demandais votre profession, à l’énoncé d’”Architecte” il répondais invariablement “ah Ricardo Bofill”.
Les architectes français durent changer d’attitude puisque la société elle même avait changée ce que l’espagnol avait très bien compris. Et jusqu’à son Taller, brain storming de disciplines diverses, fut copié par certains.
En ce moment aussi la société change et cela ne sers à rien d’employer toujours les mêmes vieilles recettes dans une société désormais liquide et dont la mondialisation a révélé, suite à la pandémie qui n’arrête pas de finir et les opérations spéciales du Tzar de service, que déléguer la production industrielle, manufacturière, médicale et même alimentaire à d’autres, moins payés, maltraités et surtout loin de nous, étaient bien une idée de banquier.
Au moment où j’écris ces lignes un tremblement de terre des plus meurtrier, nous rappelle que nous sommes vraiment peu de choses face aux forces de la Nature qu’avons cru pouvoir maitriser et qui nous rappellent sans arrêt que nous sommes entrain de détruire inexorablement notre habitat, mettant carrément l’espèce en danger d’extinction, et malgré nous soyons entrain de suffoquer non seulement à cause de l’atmosphère de plus en plus polluée dans les pays non seulement occidentaux, mais aussi submergés par les déchets plastiques, les rejets toxiques de nos industries et les débris des appareils électronique à l’obsolescence programmée. Puissions nous comprends. En attendant est ce que l’Art peut nous Y aider ? Je l’espère et nous le souhaite. Bon Carnaval quand même. Vittorio E. Pisu ilan est une ville qui regorge de trésors cachés. en se promenant dans la ville, non loin des célèbres trois gratte-ciel CityLife, tout le monde ne sait peut-être pas qu’il existe un château fait de cartes à jouer.
L’étrange installation est située exactement à l’angle de la Via Berengario et de la Via Benedetto Brin 1, à l’intérieur du petit jardin du Castello Pozzi, à moitié cachée par les feuilles des arbres de la rue, et a une histoire très particulière. Elle ne se livre pas au premier coup d’œil mais se révèle progressivement, à ceux qui ont le désir et la patience de découvrir ses recoins les plus réservés. Tout le monde ne sait peut-être pas que non loin des trois célèbres gratte-ciel de CityLife se trouve un petit château de cartes à jouer.
L’étrange installation se trouve exactement à l’angle de la Via Berengario et de la Via Benedetto Brin 1, à l’intérieur du petit jardin du Castello Pozzi, qui abrite la galerie d’art du même nom, à moitié cachée par les feuilles des arbres de la rue. Que fait un château de cartes à jouer à Milan ?
Il s’agit d’une installation artistique créée par Elio Fiorucci avec sa sœur Floria Fiorucci et Ottavio Missoni comme artistes tout court.
Ils font partie des figures les plus influentes de la mode italienne dans le monde des années 1960 aux années 2000 : Fiorucci lance des collections iconographiques qui résument de manière exemplaire un demi-siècle d’art et d’histoire ; Missoni