Focus Notre Jeunesse

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— Logistics moves the world, move with us — Lance ta carrière de logisticien/-ne et découvre un métier plein d’action

Notre Jeunesse

Septembre ’25

Frank Sobczak

Donner toutes les opportunités aux jeunes et les accompagner dans leur développement professionnel, c’est investir dans l’avenir.

SwissSkills 2025

La Romandie brille à Berne

Du 17 au 21 septembre, le site de BERNEXPO à Berne s’est mué en une immense vitrine de la formation professionnelle. Dans le cadre des SwissSkills 2025, plus de 90 métiers en championnat et 60 démonstrations professionnelles ont permis au public de découvrir plus de 150 métiers. Les SwissSkills, organisés tous les deux ans, offrent une occasion unique d’admirer les meilleurs jeunes talents du pays à l’œuvre, tout en testant soi-même des métiers encore méconnus. Cinq jours durant, passion et savoir-faire ont rythmé un événement qui a attiré plus de 120 000 visiteurs et visiteuses.

52 médailles pour les talents romands

Ils et elles ont vissé, soudé, cuisiné, programmé ou encore coiffé : parmi les 1021 jeunes talents en lice, 194 venaient de Suisse romande. Leur bilan est réjouissant : 52 médailles remportées, dont 14 pour le canton de Vaud, qui s’impose comme le canton romand le plus médaillé de cette édition.

Derrière ces chiffres se cachent des histoires de persévérance et de passion. « Vous avez accompli quelque chose d’extraordinaire. Vos compétences sont une promesse pour l’avenir », a salué le conseiller fédéral Guy Parmelin lors de la cérémonie de clôture devant 6000 spectateurs et spectatrices.

Un engouement populaire inédit

Les SwissSkills ne sont pas qu’une affaire de podium. Du mercredi au vendredi, plus de 65 000 élèves issus de 2100 classes ont fait le déplacement. Parmi eux, 43 % venaient de Suisse latine. Les chances sont grandes qu’un neveu ou une cousine ait arpenté les halles de Berne mi-septembre. Pour beaucoup, il s’agissait d’une première immersion concrète dans des métiers qu’ils ne connaissaient jusque-là que de nom.

Quand les métiers deviennent expérience

Au-delà des championnats, plus de 150 zones « Try a Skill » permettaient aux jeunes de s’essayer à des gestes professionnels : soudage, programmation, service, maçonnerie, coiffure. Ces ateliers ont transformé le site en un gigantesque terrain d’expérimentation. « C’était super de laisser les jeunes découvrir des métiers entre copains et de manière autonome », raconte un enseignant

Brandreport • Transports Publics Neuchâtelois SA

Lromand. Le week-end, les familles ont pris le relais, profitant de cette vitrine unique de la diversité professionnelle.

Une plateforme de rencontres

Les SwissSkills 2025 ont aussi été un carrefour pour les apprenti·e·s, les enseignant·e·s, les expert·e·s et les employeurs et employeuses. Dans les allées, on croisait aussi bien des jeunes en quête d’inspiration que des entreprises à la recherche de talents. L’événement a montré combien la formation professionnelle suisse, souvent perçue comme une alternative discrète aux hautes études, constitue une voie d’excellence.

Un héritage pour demain

Avec ses médailles, ses milliers de visiteurs et visiteuses et ses émotions partagées, la 4e édition centralisée des SwissSkills a confirmé son statut de fête nationale de la formation professionnelle. Après les SwissSkills 2025, place aux prochains championnats suisses centralisés des métiers : du 15 au 19 septembre 2027, sur le site de BERNEXPO.

Texte SwissSkills 2025

Plus d’informations sur swiss-skills.ch

Contenu. 04 CSFO x Orientation.ch 10 Interview: Frank Sobczak 14 CERN - Carrières scientifiques 18 Salon des métiers de Lausanne 22 ICN

Focus Notre Jeunesse

Chef de projet

Valentin Ludwig

Responsable national Pascal Buck

Rédactrice en chef Romandie Alix Senault

Responsable graphique Mathias Manner

Graphiste Marie Geyer

Journalistes Alix Senault, Léa Stocky, SMA

Image de couverture màd

Canal de distribution 20 Minutes

Imprimerie Tamedia AG

Smart Media Agency Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Suisse Tél +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss

Bonne lecture ! Valentin Ludwig Executive Project Manager

TransN : Des carrières riches et évolutives

es Transports Publics Neuchâtelois (transN) offrent bien plus qu’un simple poste, ils proposent un véritable parcours professionnel au cœur d’un réseau de mobilité dynamique et en pleine expansion. Entre bus urbains et lignes régionales, la compagnie recherche régulièrement des profils variés, alliant technicité, contact client·e et rigueur opérationnelle.

Chez transN, les opportunités sont multiples. On trouve notamment :

– Conducteur·trice de bus, au contact direct des voyageur·euse·s : ponctualité, sens du service, responsabilités opérationnelles, conduite sécuritaire

– Au service de l’exploitation : régulateur·trice·s de trafic, gestionnaire·s de l’information aux voyageur·euse·s, agent·e·s terrain sécurité et qualité

– Maintenance : technicien·ne·s de maintenance, agent·e·s techniques, mais aussi des postes spécialisés comme mécanicien·ne, électricien·ne ou électronicien·ne/mécatronicien·ne

– Fonctions techniques et d’infrastructure : monteur·euse·s de voies, technicien·ne·s bâtiments, responsable·s infrastructures

– Postes de gestion, planification ou direction pour les personnes ayant déjà une expérience significative

Des formations internes pour une montée en compétence L’un des atouts majeurs de transN est de proposer des formations internes dès l’arrivée, y compris pour les personnes sans expérience préalable. Plusieurs métiers permettent un apprentissage « on the job » avec mentorat par des collègues chevronné·e·s. Pour les conducteur·trice·s, par exemple, des formateur·trice·s professionnel·le·s internes dispensent des cours de conduite, sécurité, réglementation du transport public.

Des évolutions de carrière propices À transN, la mobilité interne est réelle. Un·e conducteur·trice peut devenir formateur·trice conducteur·trice,

régulateur·trice, ou accéder à des rôles de supervision. Les technicien·ne·s peuvent évoluer vers des fonctions de chef·fe de maintenance ou de responsable d’infrastructure. Les personnes en back-office ou dans les services supports (planification, ressources humaines, gestion de l’information) ont aussi des opportunités vers des rôles de coordination ou de direction selon leur engagement et leur développement de compétences.

Plus d’informations sur transn.ch/carrieres

Un bac français qui fait ses preuves en Suisse

Le GESBF est l’interlocuteur en Suisse de l’Académie de Grenoble, autorité compétente pour l’inscription au Baccalauréat des élèves scolarisés en Suisse. Placé sous le contrôle du Service culturel de l’Ambassade de France en Suisse, le groupement a pris vis-à-vis des autorités françaises des engagements précis au sujet du respect des programmes scolaires français, du mode d’inscription des candidats au Baccalauréat et des modalités de remise des diplômes obtenus. Emmanuel Coigny est le président de cette association.

Le GESBF, un modèle unique de coopération éducative transfrontalière

Le Groupement des Écoles Suisses préparant au Baccalauréat français est une association reconnue officiellement depuis janvier 2015 par l’Académie de Grenoble. Le GESBF regroupe plusieurs écoles privées renommées de Suisse romande parmi lesquelles le Collège du Léman à Genève, l’École Beit Yossef Girsa, l’École des Buissonnets à Sion, l’École Lémania

à Lausanne, l’École Rudolf Steiner de Genève, l’École Toepffer, l’Institut Florimont, l’Institut International de Lancy ainsi que l’Institut Le Rosey à Rolle et Gstaad. L’Académie de Grenoble est l’autorité compétente pour l’inscription des élèves et sous l’autorité du Service culturel de l’Ambassade de France à Berne. Une convention permet aux élèves de ces écoles de bénéficier du statut de candidats scolaires, associant le contrôle continu aux épreuves terminales.

Un nouvel accord-cadre entre l’AEFE et le GESBF

Cet accord est historique et lance toutes ces écoles dans le processus d’homologation et de statut de lycées français à l’étranger. Le baccalauréat français reste un diplôme reconnu de manière universelle et qui permet d’intégrer toutes les universités partout dans le monde.

Le GESBF assure le rayonnement du bac français dans toute la Suisse romande.

GESBF

Route de Sauverny 74, PO Box 156 CH-1290 Versoix-Genève

+41 22 776 56 37 contact@gesbf.ch www.gesbf.ch

PRÉSCOLAIRE & PRIMAIRE (2–11 ans)

Mercredi 8 octobre · 13h30–15h30

SECONDAIRE (11–18 ans)

Jeudi 9 octobre · 17h00–19h00

Inscrivez-vous : cdl.ch/portesouvertes

Explorer, comparer, confirmer :

les clés d’un choix

professionnel réussi

Sur mandat de la Confédération et des cantons, le Centre suisse de services Formation professionnelle | orientation professionnelle, universitaire et de carrière (CSFO) met à disposition des informations et des outils de travail qui aident les jeunes à explorer et comparer leurs perspectives professionnelles et à prendre une décision fondée. Dans cette interview, Dominique Schweigert, cheffe de l’équipe Services en ligne, nous parle du site orientation.ch et des défis rencontrés par les utilisateurs.

Dominique Schweigert, qu’est-ce que le CSFO et quel est son rôle dans le système éducatif suisse ?

Le CSFO est le centre suisse de services pour la formation professionnelle et l’orientation professionnelle, universitaire et de carrière. Mandaté par les cantons, il a pour mission de leur fournir des prestations dans ces deux domaines, en centralisant et mutualisant les efforts.

Dans le domaine de l’orientation, certains médias produits par le CSFO sont destinés directement aux jeunes, mais ils sont diffusés via les canaux cantonaux, par exemple les centres d’orientation et d’information cantonaux. D’autres prestations, en revanche, s’adressent spécifiquement aux professionnels de l’orientation. Une des prestations centrales du CSFO dans le domaine de l’orientation est le site orientation.ch.

Brandreport • agemel

LPouvez-vous nous parler d’orientation.ch ?

Orientation.ch fournit des informations neutres, officielles et gratuites dans le domaine de l’orientation. Il s’agit d’un portail d’informations pour le grand public, mais aussi pour les spécialistes du domaine de l’orientation. Ce portail officiel inspire confiance : les internautes savent qu’ils peuvent s’y fier pour faire un choix éclairé. La neutralité des informations présentées sur le site est très importante pour nous. L’idée, c’est de montrer à la fois les bons côtés d’un métier, mais aussi ce qui l’est un peu moins. Le but est d’éviter le décalage entre l’image qu’on s’en fait et la réalité du terrain, qui peut parfois mener à des ruptures d’apprentissage.

Nos ressources incluent des descriptions détaillées de professions CFC et AFP, illustrées par des images et vidéos immersives avec témoignages d’apprentis. Nous proposons aussi la bourse officielle des places d’apprentissage et une base de données complète des formations en Suisse, allant des cursus reconnus aux certificats et cours spécialisés.

Quel est le public cible du site ?

Notre site s’adresse à un public large, des jeunes de 13 ans aux adultes de 60 ans en réorientation professionnelle, avec des besoins très variés. Les trois

principaux publics sont : les écoliers pour leur premier choix professionnel, les futurs étudiants choisissant leur filière, et les adultes envisageant un changement dans leur carrière. Les professionnels de l’orientation l’utilisent également pour accompagner leurs consultants.

Quels sont les défis courants rencontrés par les jeunes lors de l’utilisation des plateformes d’orientation, et comment les surmonter ?

Les jeunes font face à deux défis principaux dans leur premier choix de carrière. À 13-14 ans, beaucoup ne savent pas par où commencer et ont du mal à formuler leurs recherches en ligne. Les cours de préparation au choix professionnel à l’école sont donc essentiels pour les guider. Le deuxième défi est la complexité du site : riche en informations, images et vidéos, il peut décourager. Même en accédant directement à la description d’un métier, il faut de la motivation pour tout lire et comprendre.

Certains jeunes ont déjà une idée précise de leur futur métier, souvent influencée par leur entourage, mais connaissent généralement moins de 20 professions sur les 250 accessibles par apprentissage. Pour aider les jeunes à élargir leur champ de réflexion et à découvrir des options

qu’ils ne connaissent pas, il est utile de proposer de petits tests rapides suggérant plusieurs métiers potentiels, ou de mettre en avant des professions similaires lorsqu’un métier est consulté sur le site.

Si vous pouviez ajouter une fonctionnalité futuriste à une plateforme d’orientation, quelle serait-elle et pourquoi ?

Nous avons déjà de nombreuses idées, mais l’une qui pourrait vraiment faire la différence – et qui existe déjà sous certaines formes – serait de créer un outil simple, qui ne prendrait que quelques minutes, avec des résultats réellement pertinents pour aider les jeunes à identifier les métiers correspondant à leurs forces à l’école, à leurs compétences et leurs intérêts. L’idée est de poser quelques questions sur la personne et ses compétences pour proposer immédiatement 5 à 10 métiers pertinents. Nous avons déjà un outil similaire basé sur le « like » de situations de travail, mais nous voulons aller plus loin.

Notre site est actuellement en cours de refonte. Dans un an environ, une nouvelle version verra le jour ayant pour objectif d’accompagner les utilisateurs dans leurs questionnements et de leur offrir une expérience utilisateur repensée et optimisée.

Formation en laboratoire, un cursus pour toutes et tous

es laborantin-e-s sont les moteurs du laboratoire, véritables piliers assurant son bon fonctionnement.

Grâce à leur formation et à leur expertise, ils/elles participent activement aux divers projets des chercheurs/euses et sont une référence dans le domaine pratique.

Collaborant étroitement avec des équipes de scientifiques, les laborantin-e-s analysent des échantillons variés (humains, animaux, végétaux, aliments, eau, air), dans le cadre d’études épidémiologiques ou environnementales et dans la compréhension des mécanismes fondamentaux au niveau génétique ou cellulaire. Ils/elles synthétisent des parfums, des médicaments ou d’autres substances,

contribuant ainsi au développement de traitements contre le cancer et à l’étude de leurs effets sur des cultures cellulaires.

Une formation évolutive

La formation CFC de laborantin-e en chimie ou en biologie, d’une durée de trois ans, est un apprentissage dual en entreprise offrant un tremplin vers de multiples opportunités professionnelles. Après cette formation, il est possible de compléter son cursus par une maturité professionnelle, ouvrant l’accès aux hautes écoles spécialisées (HES) ou aux universités. Les débouchés sont nombreux : industrie pharmaceutique, recherche fondamentale, biotechnologie, industrie des arômes ou de l’agroalimentaire.

Ce métier allie rigueur et dynamisme, et a un impact direct sur les avancées scientifiques. Devenir laborantin-e, c’est faire le choix d’une carrière passionnante dans un domaine en constante évolution.

Envie d’être au cœur de l’action scientifique ? Intéressé-e par la formation CFC laborantin-e ? Venez nous rendre visite lors de la Cité des Métiers à Palexpo sur le stand de l’Université de Genève du 25 au 30 novembre 2025 ou lors du Zoom Métiers consacré aux métiers du laboratoire le 17 décembre 2025 de 14h à 16h à l’ECLAB.

Plus d’informations sur contact@agemel.ch agemel.ch

Dominique Schweigert Cheffe de l’équipe Services en ligne

#focusnotrejeunesse

Electrobroc : découvrir l’énergie autrement

L’énergie est sur toutes les lèvres, entre transition énergétique, sobriété et enjeux climatiques. Mais elle est souvent présentée de façon compliquée, voire anxiogène. À Broc, au cœur de la Gruyère, le centre

Electrobroc propose une autre approche : comprendre et décrypter l’énergie de manière simple, interactive et ludique.

Une exposition unique en Suisse romande

Situé à moins d’une heure de Lausanne, Berne ou Martigny, Electrobroc accueille le public toute l’année (sauf dimanches et jours fériés). Son objectif : rendre accessibles les grands enjeux énergétiques, mais aussi montrer les gestes concrets que chacun peut adopter au quotidien. Avec ses 1200 m² d’exposition, Electrobroc est aujourd’hui une référence en Suisse romande pour mieux comprendre la production et la consommation d’électricité.

Une visite interactive pour petits et grands

La visite, guidée par un·e spécialiste, dure environ 1h30. Elle s’adapte au

et mêle explications, courts films et animations. La grande maquette d’une ville illustre en temps réel une journée entière de distribution électrique, tandis que des expériences originales permettent de tester soi-même les principes de base : produire de l’électricité avec un vélo, découvrir le fonctionnement d’une dynamo, ou encore entrer dans le Blitzlab, un tout nouveau simulateur des dangers de l’électricité !

appartement met en avant des astuces simples pour économiser l’énergie au quotidien et leurs impacts. Loin d’un discours moralisateur, Electrobroc mise sur la participation et la curiosité pour donner à chacun des clés de compréhension afin de comprendre les enjeux de l’énergie.

Dans les coulisses d’une centrale hydroélectrique Point fort de la visite : l’accès à une centrale hydroélectrique en activité. C’est l’occasion

d’observer concrètement comment est produite une partie de l’électricité consommée en Suisse et de comprendre le rôle essentiel de l’hydraulique dans le mix énergétique helvétique.

L’entrée à Electrobroc est gratuite et le site se trouve à seulement dix minutes à pied de la célèbre Maison Cailler, pour combiner découverte scientifique et plaisir chocolaté. Que l’on vienne en famille ou entre amis, la visite offre une expérience enrichissante et divertissante au cœur d’une région verdoyante et apaisante.

Plus d’informations et réservations : electrobroc.ch

ENGAGE-TOI POUR TON AVENIR.

SÉANCES D’INFORMATIONS STAGES

APPRENTISSAGES

Le monde de l’énergie te passionne ?

Groupe E est un acteur engagé pour relever les défis énergétiques de demain. Découvre notre univers au travers d’un stage et inscris-toi pour l’apprentissage de tes rêves dans l’une de nos 15 professions. Nous sommes présents dans toutes les régions de Suisse romande, donc sûrement proche de chez toi. À toi de jouer !

talents-academy.ch

«Nous préparons avec soin nos étudiant·e·s à leur futur métier»

Participez à une journée de recrutement dans votre région: événement d’info et test d’aptitude sur place.

Plus d’infos:

Les contrôleur·euse·s de la circulation aérienne suivent une formation exigeante, alliant compétences théoriques et pratiques.

Burri,

Patric Burri, pourquoi choisir de devenir contrôleur·euse de la circulation aérienne?

Les contrôleur·euse·s de la circulation aérienne assurent chaque jour la sécurité de milliers de passagers. Se sentir responsable de cette sécurité et savoir que tant de personnes comptent sur vous peut être incroyablement gratifiant. Il existe aussi des possibilités d’évolution, y compris à des fonctions de supervision et d’enseignement, qui apportent des satisfactions professionnelles et des perspectives.

L’IA risque-t-elle de remplacer ces métiers?

Le développement rapide de l’IA peut jouer un rôle dans l’automatisation de certains processus et appuyer les contrôleur·euse·s de la circulation aérienne dans leurs tâches. Toutefois, la prise de décisions différenciées ne peut pas reposer uniquement sur le raisonnement. En plus de la logique, l’être humain est capable d’utiliser son intuition et son expérience pour prendre une décision. L’IA ne peut

répond à nos questions sur la formation de contrôleur·euse de la circulation aérienne dipl. ES.

donc en aucun cas remplacer les capacités multiples de l’être humain.

Quelles sont les caractéristiques des futur·e·s contrôleur·euse·s de la circulation aérienne?

Nous recherchons des profils tournés vers l’action! Des personnalités pragmatiques, aimant prendre des décisions tout en sachant faire preuve de souplesse cognitive. Ce sont également des personnes au caractère fiable et responsable, intéressées par l’aviation.

Comment Skyguide prépare-t-elle les futur·e·s contrôleur·euse·s de la circulation aérienne dipl. ES à ces fonctions de responsabilités?

Nous préparons avec soin nos étudiant·e·s aux exigences de leur futur métier. A côté des bases théoriques, ils et elles acquièrent et développent en continu des compétences pratiques. La complexité augmente peu à peu et avec elle, les aptitudes personnelles.

De quoi se compose la formation?

La formation de contrôleur·euse de la circulation aérienne est modulaire et très axée sur la pratique. La gamification permet de consolider dès le départ la compréhension des contenus théoriques. L’approche pédagogique réflexive tient compte des exigences propres aux formations modernes. La Skyguide Academy dispose d’un radar opérant en conditions réelles et de simulateurs de tour où se déroule la première partie

de la formation pratique. Au bout de 15 mois environ, le reste de la formation prend place sur le terrain, où des coachs expérimenté·e·s prennent la relève de l’enseignement.

Quels sont les défis qui peuvent se présenter en cours de formation?

Une formation exigeante suit rarement un déroulement linéaire. Il est tout à fait normal que les performances varient durant certaines phases, ou que la progression stagne momentanément. Il faut parfois faire preuve de résilience, avoir non seulement la faculté, mais aussi la volonté de persévérer malgré les échecs et d’atteindre son but. Les étudiant·e·s sont bien sûr soutenu·e·s au mieux durant ce processus.

Quelle est l’importance des coachs expérimenté·e·s en pareil contexte?

Il est essentiel que les étudiant·e·s puissent bénéficier de l’expérience et de l’encadrement de coachs expérimenté·e·s. Les coachs sont tous et toutes passé·e·s par cette formation et connaissent mieux que quiconque les obstacles et difficultés qui peuvent se présenter.

Skyguide revendique l’objectif de mener à la réussite chaque candidat·e apte. Pourquoi? Tout d’abord, il est nécessaire que Skyguide assure une relève durable pour l’avenir du contrôle aérien en Suisse. Mais nous avons aussi des raisons purement économiques:

nous investissons environ 800000 francs dans la formation de chaque candidat·e. Il est donc indispensable de les encadrer avec le plus grand soin.

Formation Air Traffic Controller (contrôleur·euse de la circulation aérienne)

– 30 mois de formation à temps plein sanctionnés par un diplôme ES

– Formation gratuite avec salaire attractif

– Formation en trois étapes: Basic Training, Rating Training et Unit Training (déjà sur le futur lieu de travail)

– Langue d‘enseignement: anglais

– Conditions d‘entrée: maturité ou formation professionelle avec certificat fédéral de capacité, sens aigu des responsabilités, capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps

– Age maximal d‘entrée en formation: 28 ans

– Début de formation: en septembre

– Candidatures: en cours

Plus d‘informations sur www.skyguide.ch/futur

Patric
Head of Skyguide Academy,
Patric Burri Head of Skyguide Academy

Group Emil Frey

Une carrière qui a de l’avenir.

Tu veux faire un métier que tu aimes, avec des tâches très variées et qui te promet un avenir brillant? Alors commence un apprentissage chez nous comme:

• Mécatronicien d’automobiles CFC/Mécatronicienne d’automobiles CFC

• Mécanicien en maintenance d’automobiles CFC/Mécanicienne en maintenance d’automobiles CFC

• Assistant en maintenance d’automobiles AFP/Assistante en maintenance d’automobiles AFP

• Gestionnaire du commerce CFC after-sales

• Employé de commerce CFC/Employée de commerce CFC branche automobile

• Carrossier-peintre CFC/Carrossière-peintre CFC

• Carrossier-tôlier CFC/Carrossière-tôlière CFC

Big!Future

Ton apprentissage, ton avenir. Réalisons de grandes choses ensemble. Postuler maintenant ! team.lidl.ch

Tu nous trouveras aussi sur yousty.ch
Scanne le code pour découvrir nos métiers et formations.

Former les talents de demain !

Dans un marché de l’emploi en constante évolution, la formation professionnelle joue un rôle clé pour préparer les jeunes générations aux défis économiques et sociétaux de demain. En Suisse romande, Migros s’impose comme un acteur incontournable de la formation, offrant aux jeunes la possibilité d’apprendre un métier, de se former sur le terrain et d’acquérir des compétences solides tout en intégrant un environnement de travail dynamique et stimulant.

Un acteur régional majeur de la formation

Avec ses quatre coopératives régionales – Genève, Vaud, Valais et NeuchâtelFribourg –, Migros forme actuellement plus de 500 apprentis répartis dans plus de 10 métiers différents. Les opportunités sont nombreuses et s’adressent à des profils très variés : si près de 80 % des apprentis choisissent les formations de Gestionnaire du commerce de détail (CFC) ou d’Assistant du commerce de détail (AFP), l’entreprise propose également des cursus dans les métiers de l’alimentation et la restauration. Cette diversité de parcours reflète l’ambition

de Migros : contribuer non seulement au développement individuel de chaque apprenti, mais aussi à la pérennisation des compétences professionnelles essentielles pour l’économie locale et, plus largement, pour la société. Claudia Ferreira Marcos, apprentie gestionnaire du commerce de détail, témoigne :

« Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours eu un lien particulier avec Migros. J’y venais faire mes courses avec ma famille et j’y retrouvais une ambiance chaleureuse et accueillante. Quand il a fallu choisir mon apprentissage, c’était une évidence : je voulais rejoindre cette entreprise. »

Un accompagnement complet et sur mesure

La réussite des apprentis repose sur un suivi de proximité. Chez Migros, chaque apprenti est encadré par un formateur de métier qui le guide au quotidien dans l’acquisition des compétences pratiques. Mais l’accompagnement ne s’arrête pas là : les équipes de la formation professionnelle assurent un suivi attentif tout au long du parcours, offrant un cadre sécurisant et stimulant. Claudia souligne l’importance de ce soutien apporté : « Tout au long de mon

apprentissage, j’ai eu un excellent contact avec mes formateurs et l’équipe de la formation professionnelle. J’ai toujours été écoutée, conseillée et comprise. Leur rôle est essentiel : ils vont bien au-delà du simple accompagnement professionnel, ils créent un vrai lien humain. »

Des formations internes pour aller plus loin Migros ne se contente pas d’enseigner un métier : elle investit dans le développement personnel et professionnel de ses apprentis. Des formations internes sont dispensées tout au long de l’apprentissage afin de renforcer savoir-faire et savoir-être. Ces sessions couvrent aussi bien les outils de gestion que des thématiques comme l’intelligence émotionnelle ou la prévention des pertes en magasin.

Un taux de réussite exemplaire La qualité de l’accompagnement se reflète dans les résultats : Migros prépare activement ses apprentis aux examens finaux, notamment ceux du secteur de la vente, et affiche un taux de réussite impressionnant de 98 %. Une preuve supplémentaire de l’efficacité

Arthur

Cité des métiers à Palexpo, Genève du 25 au 30 novembre. Ne manquez pas la table ronde du dimanche 30 novembre, de 13h30 à 14h30, au Forum, avec Grégory Décaillet, directeur général de Migros Genève, et des apprentis. Migros

de son modèle pédagogique et de son engagement envers la réussite des jeunes. La formation n’est que le début d’un parcours professionnel. Beaucoup d’apprentis choisissent de poursuivre leur carrière chez Migros, à l’image de Claudia : « Je me projette clairement à rester dans l’entreprise. Mon rêve serait de continuer à évoluer, peut-être un jour devenir gérante. Ce qui est sûr, c’est que j’ai envie de continuer à apprendre et à grandir au sein de Migros. »

Retrouvez les équipes Migros

Au salon des métiers à Beaulieu, Lausanne, du 18 au 23 novembre

Le rendez-vous incontournable pour l’orientation et l’évolution professionnelle

Du 25 au 30 novembre 2025, Palexpo Genève accueillera la 8e édition de la Cité-métiers.ch, l’expo, le grand salon dédié à l’orientation professionnelle, à la formation et à l’évolution des carrières. Plus de 100 000 visiteurs sont attendus, dont environ 30 000 jeunes. Ils auront l’occasion de découvrir la richesse des métiers et des filières de formation, grâce à des démonstrations, des conférences et des rencontres directes avec des professionnels. L’événement est devenu un rendez-vous incontournable en Suisse romande. Frank Sobczak, directeur Formation à la FER Genève et président de la Cité des Métiers et de la Formations, revient sur les atouts et les nouveautés de cette édition.

Interview Alix Senault Image màd

Quels sont, les principaux atouts de la Cité des métiers pour les jeunes ?

Le principal atout, c’est le format. Avec ses 27 000 m² d’exposition, il ne s’agit pas d’une simple exposition des métiers, mais d’un véritable espace de découverte : les professions y sont présentées à travers des démonstrations en direct, réalisées non seulement par des professionnels, mais aussi par des apprentis qui partagent leur quotidien.

Sept pôles d’activités structurent l’événement, avec notamment de grandes expositions consacrées aux métiers du bâtiment, de la cuisine ou encore des espaces verts. Le format est propice aux échanges : les jeunes doivent préparer leur visite en amont et passent environ deux heures sur les stands des métiers ou formations qu’ils souhaitent découvrir. Autre avantage : la durée de l’événement, qui permet aussi aux adultes et aux familles de venir le week-end, et pas seulement aux classes en visite scolaire.

En quoi vos valeurs de gratuité, d’accessibilité et de diversité font-elles réellement la différence ?

La gratuité est un principe fondateur du salon. Elle permet à la Cité-métiers.ch, l’expo de dépasser les frontières cantonales et de toucher tous les publics, sans barrière financière. C’est d’ailleurs le plus grand salon de Suisse dans ce domaine.

Comment vos ateliers et animations permettent-ils aux jeunes de mieux comprendre les métiers ?

En plus des démonstrations et de possibilité de tester certaines tâches de plusieurs métiers, les jeunes peuvent rencontrer directement les enseignants et les étudiants des hautes écoles spécialisées, des écoles privées ou publiques, et poser toutes leurs questions.

Nous proposons aussi un riche programme de conférences qui intègre la notion d’employabilité. Aujourd’hui, un employé change en moyenne sept fois de métier au cours de sa carrière. L’idée est de montrer qu’aucun choix n’est figé : de nombreuses passerelles existent, il n’y a pas de voie de garage.

Parmi les moments forts, citons la conférence de la navigatrice Justine Mettraux, qui fera le parallèle entre le sport de haut niveau et le monde professionnel. Sans oublier la remise des prix qui récompense les meilleures entreprises formatrices dans chacun des sept pôles.

Enfin, cette édition sera marquée par la présence exceptionnelle du CERN, invité d’honneur du salon.

Quels retours concrets recevez-vous de la part des jeunes après leur visite ?

Les retours sont très positifs. Après chaque édition, nous constatons une hausse du nombre de contrats d’apprentissage signés, directement liés aux rencontres et découvertes faites sur le salon. De nombreux jeunes témoignent avoir découvert des métiers dont ils ignoraient l’existence, et certains évoquent une véritable révélation quant à leur avenir professionnel. L’expérience immersive proposée sur place s’avère souvent déterminante dans leur processus d’orientation. Toutefois, un point d’amélioration revient fréquemment : la durée des visites est jugée trop courte.

Quel rôle jouent les entreprises, les associations partenaires dans le succès du salon ?

Un rôle central. Sans eux, la Cité-métiers. ch, l’expo n’existerait pas. La réussite du salon repose sur leur engagement et leur participation : environ 80 % des partenaires reviennent à chaque édition. Cela montre bien leur attachement à l’événement. Les entreprises, les associations et les formateurs permettent de présenter la réalité du marché. L’office pour l’orientation, la formation professionnelle et continue (OFPC) occupe une place fondamentale dans la structuration de l’exposition. Il assure la cohérence globale et fournit aux visiteurs des informations essentielles sur les cursus de formation disponibles.

Comment accompagnez-vous les jeunes face aux enjeux pratiques ?

Nous les guidons d’abord dans leur orientation : vers les écoles et les formations les plus adaptés à leurs aspirations et à leur profil... Nous les informons aussi sur les possibilités de financement : bourses d’études, chèques de formation, etc… afin que l’aspect financier ne soit jamais un frein.

Quelles perspectives et nouveautés envisagez-vous pour les prochaines éditions ?

Cette année nous proposons une nouvelle approche en matière de communication, sous forme de mini-série « Netflix » afin de donner une image encore plus dynamique de l’événement.

Nous réfléchissons déjà à l’évolution du concept pour 2028. Plusieurs pistes sont actuellement explorées : repenser la durée ou la temporalité du salon (par exemple un format biennal), rendre l’exposition plus généraliste ou, au contraire, renforcer certains axes. Nous voulons aussi faire vivre la Cité des Métiers et de la Formation au-delà de l’événement lui-même, tout au long de l’année, notamment pour les adultes en reconversion.

Quelles mutations du monde du travail observez-vous ?

C’est une question essentielle de nos jours en vue des transformations du monde du travail, qui reflètent une évolution sociétale majeure. Depuis vingt ans, la place du travail dans la société a considérablement changé. Les jeunes qui arrivent aujourd’hui sur le marché de l’emploi présentent des profils et des attentes très différentes. La Suisse a la chance de disposer d’un système de formation reconnu à l’échelle internationale, ce qui constitue un avantage précieux pour accompagner les jeunes dans leur orientation et leur insertion professionnelle.

De plus, l’intelligence artificielle bouleverse déjà de nombreux métiers et redéfinit les compétences attendues. Les soft skills, la communication, l’adaptabilité, et la créativité sont devenus indispensables. Le travail exige davantage de polyvalence, mais aussi un courage entrepreneurial. La performance, aujourd’hui, ne se mesure plus uniquement en termes financiers : elle intègre aussi la dimension sociale et la responsabilité sociétale (RSE).

Notre mission est d’accompagner les jeunes dans la découverte de leur potentiel, de leur faire connaître la richesse des parcours possibles, et de faciliter leur accès au premier emploi, grâce à un système de formation offrant de nombreuses passerelles.

Lutter contre le mal-être des jeunes grâce à la musicothérapie

Plus d’un tiers des jeunes déclarent souffrir de troubles psychologiques en Suisse. Ce pourcentage, en constante évolution depuis plusieurs années, préoccupe.

Face à cet enjeu de santé publique, l’art-thérapie constitue une approche thérapeutique efficace. L’expérience artistique, vécue à travers les matières, les sons, la voix et le corps, contribue à réduire le stress, à renforcer l’estime de soi et à mieux gérer l’anxiété et la dépression.

Parmi les cinq disciplines reconnues par l’État, la musicothérapie utilise le chant, les instruments et la gestion d’éléments musicaux pour améliorer le bien-être mental des personnes.

La musicothérapie favorise :

– L’expression des émotions

– La stimulation des fonctions cognitives

– Le renforcement des interactions sociales

– La guérison du corps, de l’âme et de l’esprit

La Fondation ART-THERAPIE soutient un programme de musicothérapie aux Hôpitaux universitaires de Genève dans le Service de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent. Depuis 2008, la Fondation s’engage afin de promouvoir l’accès à l’art-thérapie au plus grand nombre de nouveau-nés, enfants et adolescents hospitalisés en Suisse et faciliter ainsi leurs conditions de vie bien au-delà de leurs séjours à l’hôpital.

Pour plus d’informations : www.arttherapie.org/hopitaux/ projets

SOUTENEZ-VOUS AUSSI L’ART THÉRAPIE FAITES UN DON

IBAN CS : CH19 0483 5148 9262 1100 0

IBAN PostFinance : CH29 0900 0000 1273 1551 9

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info@arttherapie.org

www.arttherapie.org www.linkedin.com/company/fondationarttherapie www.instagram.com/fondationarttherapie www.facebook.com/artherapie.org

Laborantin.ne en biologie CFC

Laborantin.ne en chimie CFC

Technologue en dispositifs médicaux CFC

Maturité professionnelle post-CFC (1an-2ans-3ans)

Santé et Social

Technicien.ne en analyses biomédicales ES Technicien.ne en salle d’opération ES

Assistant en pharmacie : un métier humain aux compétences multiples

Empathie, rigueur, grande capacité d’écoute, sens pointu du service… Toutes ces qualités font partie du métier d’assistant et d’assistante en pharmacie.

Entre connaissances techniques et contact humain, ces professionnels jouent un rôle clé au quotidien et évoluent dans une véritable filière d’avenir.

Plus de 40% des 23 000 salariés en officine sont des assistants en pharmacie. La profession, qui n’a jamais été aussi essentielle qu’aujourd’hui, attire de plus en plus de jeunes à la recherche d’une formation enrichissante aux compétences multiples. Celle-ci prend la forme d’un apprentissage menant à un certificat fédéral de capacité (CFC). Combinant théorie et pratique, la formation dure trois ans. Les élèves alternent ainsi entre des cours à l’école, à raison d’un ou deux jours par semaine, et une expérience pratique en pharmacie le reste du temps.

Des missions variées au service de la santé

Les assistants en pharmacie ont un rôle essentiel en officine. En contact étroit avec les pharmaciennes et les pharmaciens, ils les accompagnent

dans leurs tâches quotidiennes. Parmi leurs missions, les assistants en pharmacie sont compétents pour fournir des conseils aux personnes, leur remettre des médicaments et des articles d’hygiène et de soins, gérer les médicaments et autres produits, réaliser des examens et actes médicaux et accomplir des tâches administratives.

Les assistants en pharmacie ont également une relation privilégiée avec les clients. Ils les accueillent en pharmacie, identifient leurs besoins, leur fournissent des conseils sur les médicaments et leur recommandent les produits les mieux adaptés, tout en offrant un accompagnement personnalisé.

Finalement, les assistants en pharmacie incarnent les valeurs du lieu dans lequel ils travaillent. Les

pharmacies sont en effet des endroits de confiance dans lesquels les clients se sentent écoutés et épaulés face à leurs problèmes de santé. Ce sont aussi des lieux de proximité, à la fois spatiale et relationnelle. Les personnes viennent tout autant y trouver leurs médicaments, qu’une oreille attentive capable de les rassurer et de rendre leur journée un peu plus confortable.

Un métier d’avenir

Les pharmacies étant des piliers de la santé publique, les assistants en pharmacie sont en première ligne pour conseiller les clients en quête d’informations et de soins de base. Ce rôle est notamment renforcé par la pression croissante que subissent les médecins généralistes, et par le fait que les pharmacies offrent aujourd’hui des services qui étaient autrefois

réservés aux cabinets médicaux. Il est donc possible de s’y faire vacciner, d’y réaliser des tests de dépistage rapide, et de s’y faire suivre en cas de maladies chroniques. À mesure que les pharmacies acquièrent de plus en plus de tâches, la profession d’assistant en pharmacie évolue elle aussi, offrant aux jeunes qui souhaitent se lancer des perspectives toujours plus variées et stimulantes.

Plus d’informations sur www.svph.ch

• Brandreport

Promouvoir la formation dans les domaines de la santé et du social

Présente dans le canton de Vaud, Aoris – OrTra santé-social Vaud promeut les métiers de la santé et du social, est impliquée dans la formation à tous ses niveaux (CFC, ES et HES) et informe sur les possibilités de réorientation et de formation des adultes. Forte de 50 membres, elle s’engage résolument dans ses missions dans une perspective de partenariat avec chacune et chacun d’eux.

S’orienter et se former à tout âge avec Aoris Aoris s’investit pour que les jeunes puissent choisir leur future profession, en allant à leur rencontre lorsqu’ils sont en 10e et 11e années, en leur proposant également des stages dans le cadre des cours interentreprises. Elle organise plus de 1000 journées de cours interentreprises pour les métiers d’aide en soins et d’accompagnement (ASA/AFP), d’assistant e en soins et santé communautaire (CFC ASSC) et d’assistant e socio-éducatif·ve (ASE/CFC).

Elle soutient également la réorientation ou la réinsertion d’adultes qui souhaitent s’engager dans les domaines de la

santé et du travail social. Elle propose des rencontres individuelles pour ces personnes, de manière à les orienter, à valoriser les points forts de leur parcours et à identifier les éventuels besoins de stages ou de formation complémentaire. Enfin, elle propose des formations continues, notamment pour les ASE et les ASSC, de manière à les soutenir et à leur permettre de réactualiser leurs compétences.

Dans le contexte du travail social et de la santé, marqué par une forte demande de main-d’œuvre dans ces secteurs, Aoris offre des perspectives concrètes aussi bien aux jeunes qu’aux adultes désireux de donner un nouveau souffle à leur carrière. Grâce à la formation et à la pratique sur le terrain, de nombreuses vocations peuvent naître et permettre à chacun de trouver un projet professionnel porteur de sens.

Se réorienter vers des métiers d’avenir

Les opportunités dans les domaines de la santé et du travail social sont particulièrement nombreuses et variées, comme le dévoile le site d’Aoris. Parmi les

33 métiers, axés sur les relations humaines, avec ou sans composantes techniques, beaucoup trouveront de quoi épanouir leur future carrière professionnelle. En devenant infirmier ou infirmière, ergothérapeute HES, laborantin, sage-femme, ostéopathe, travailleur social ou encore animateur communautaire, les futurs professionnels placent les relations humaines au cœur de leur pratique, donnent du sens à leur vie et sont assurés d’avoir une place de travail. Grâce à son engagement, Aoris permet à de nombreux candidats de reprendre ou de poursuivre des études et des formations afin de s’épanouir dans des métiers porteurs de sens. Dans toutes ses activités, Aoris mise sur l’expérience et la passion de professionnels qui partagent leur savoir-faire et leur parcours pour inspirer les nouvelles générations et les adultes.

Des partenaires solides et engagés Avec un réseau dense d’acteurs de la formation et de partenaires – écoles, entreprises, praticiens formateurs, formateurs à la pratique professionnelle, formateurs en entreprises –, et l’engagement de 10 commissaires

professionnel le s, Aoris joue un rôle d’intermédiaire privilégié. Elle oriente les personnes en formation vers différents niveaux d’études, qu’il s’agisse d’un AFP, d’un CFC, d’une école supérieure (ES) ou d’une haute école spécialisée (HES).

Grâce à une relation étroite et de confiance avec les organismes de formation, Aoris s’engage résolument dans la promotion, la formation et la réorientation en faveur des métiers de la santé et du travail social. Laissez-vous guider par l’expertise d’Aoris et construisez, dès aujourd’hui, un avenir épanouissant dans des métiers porteurs de sens.

Aoris

Rue de Genève 88b 1004 Lausanne

www.aoris.ch

Aoris

Travailler dans la science : programmes, débouchés et conseils

« Promouvoir les carrières scientifiques, c’est inspirer une génération de résolveurs de problèmes et d’innovateurs qui vont construire un avenir meilleur », déclare Priscilla Valavičius, talent acquisition et employer branding specialist au CERN. Dans cette interview, elle met en lumière les perspectives qui s’offrent aux jeunes qui décident de poursuivre une carrière scientifique, entre curiosité, travail d’équipe et découvertes.

Priscilla Valavičius, quels sont les programmes de formation possibles pour celles et ceux qui souhaitent poursuivre une carrière en sciences ?

Au CERN, nous proposons un large éventail de programmes de formation pour les jeunes qui aspirent à une carrière scientifique. Le premier, qui est notre programme phare, est le programme d’étudiants d’été, une opportunité fantastique pour les étudiants de niveau licence ou master provenant du monde entier. Nous avons également le programme d’étudiants techniques, un stage rémunéré destiné aux étudiants de niveau bachelor ou master.

Pour les candidats au doctorat et les post-doctorants, deux programmes leur permettent de venir travailler dans nos groupes de recherche.

Pour celles et ceux qui viennent de terminer leurs études, nous proposons un programme qui vise tout particulièrement les diplômés débutants dans les domaines STEM (sciences, technologies, ingénierie, mathématiques), mais aussi d’autres domaines.

Enfin, nous proposons des apprentissages, plutôt techniques. Pour les intégrer, il faut être inscrit dans un cursus CFC dans la région.

Brandreport • Lulu et Nenette

Aujourd’hui, les carrières scientifiques offrent-elles de nombreuses opportunités ?

Les opportunités dans les carrières scientifiques sont très variées et ne cessent de se développer. Les jeunes qui poursuivent des études en physique, en ingénierie, mais aussi en informatique, réussissent à trouver des métiers liés à leur domaine. Même les étudiants en mathématiques sont les bienvenus, la discipline étant essentielle pour les modèles théoriques, l’analyse des données et le développement d’algorithmes.

Certains étudiants continuent également leur carrière en tant que communicants scientifiques. Ils se consacrent ainsi à la vulgarisation scientifique, pour créer un pont entre la science et le grand public.

Si les postes en recherche sont très compétitifs et souvent sur des contrats à durée limitée, les compétences développées dans les carrières scientifiques, telles que la pensée critique, l’analyse de données, ou encore la résolution de problèmes complexes, sont très recherchées dans de nombreux secteurs. En effet, des domaines tels que la technologie des accélérateurs, l’imagerie médicale, la radiothérapie ou encore le calcul haute performance, s’appuient de plus en plus sur l’expertise scientifique.

Quels sont les stéréotypes courants sur les carrières scientifiques et comment les surmonter ?

L’un des plus courants consiste à croire que les carrières scientifiques sont réservées aux génies. On entend aussi que ce sont des métiers solitaires, isolés, ennuyeux, et uniquement théoriques. Tout cela est faux. Certes, une carrière scientifique demande de la discipline, de la curiosité intellectuelle, mais elle n’est pas réservée à l’élite. Ce qui compte avant tout, c’est la capacité à apprendre de ses échecs, à faire preuve de pensée critique et à rester curieux.

Pour surmonter ces stéréotypes, il faut continuer à montrer la diversité des personnes et des projets dans les sciences, valoriser la collaboration internationale, la technologie de pointe, et l’impact réel des découvertes.

Quels sont les défis actuels de la formation scientifique ?

Le principal défi est de maintenir les programmes de formation à jour face à l’évolution rapide de la science et des technologies. Il faut aussi que cette formation reste accessible et inclusive. Pour cela, il est important de continuer à rapprocher la théorie de la pratique, offrir plus d’expériences concrètes et de projets. Les professeurs devraient ainsi

inciter les étudiants à faire des stages pour mieux comprendre la réalité du terrain. Cela passe également par le renforcement des partenariats entre universités et institutions de recherche.

Quelle est la place des femmes dans la formation scientifique, et comment les attirer vers ces carrières ?

Les femmes jouent un rôle essentiel dans la science, mais l’égalité reste à atteindre. Pour attirer plus de femmes, il faut lutter contre les stéréotypes de genre dès l’école primaire et remettre en question notre définition de « l’excellence académique », souvent biaisée. Cela passe par le fait de mettre en avant des modèles féminins divers et d’honorer celles qui se sont battues avant nous.

Quelles sont les carrières scientifiques émergentes qui pourraient façonner le futur ?

Le paysage scientifique évolue sans cesse. Actuellement, au CERN, nous remarquons que certains domaines sortent du lot, tels que les technologies quantiques, les applications médicales de la physique, comme la radiothérapie, l’imagerie médicale ou le diagnostic par accélérateurs, et enfin l’innovation liée aux détecteurs et capteurs.

Lulu et Nenette, l’opticien dédié aux enfants

Depuis 2017, Lulu & Nenette accompagne les enfants et leurs familles dans le choix de lunettes adaptées à leurs besoins visuels. Dans des espaces modernes et accueillants, Lulu et Nenette fait rimer santé visuelle, confort et plaisir de choisir pour que porter des lunettes devienne un vrai atout au quotidien.

Des montures adaptées à leur style de vie

Chaque modèle est choisi pour sa robustesse, sa légèreté et son style. Objectif : que les enfants portent leurs lunettes avec plaisir, à l’école comme dans leurs activités.

Freiner la myopie

Parce que la myopie apparaît de plus en plus tôt chez les enfants, Lulu & Nenette propose des verres spécifiques capables de ralentir son évolution, combinés à un suivi régulier pour protéger la vue sur le long terme. Ces verres innovants représentent une véritable avancée pour la santé visuelle.

Un accompagnement qui dure L’expérience ne s’arrête pas à la livraison.

Ajustements gratuits, contrôles réguliers, conseils personnalisés : Lulu & Nenette assure un suivi après-vente attentif pour que les lunettes restent parfaitement adaptées au rythme de vie des enfants.

L’enseigne travaille en étroite collaboration avec les professionnels de santé pour assurer un parcours de santé coordonné et partage régulièrement des conseils sur les réseaux sociaux prolongeant ainsi son engagement bien au-delà des magasins.

L&N Genève – Place des Augustins, 3 +41 22 800 14 93 – Rue Neuve-du-Molard, 7 +41 22 312 25 26

L&N Morges Grand-Rue, 45 +41 21 357 12 13

L&N Lausanne Place Grand-Saint-Jean, 2 +41 21 311 87 21

L&N Neuchâtel Grand-Rue, 1 +41 32 333 26 26

Entrez dans le monde de la carrosserie !

Du bolide élégant au poids lourd impressionnant : les métiers de la carrosserie allient technique et esthétique, savoir-faire artisanal et créativité. Et en bonus : ils ouvrent la voie à un avenir prometteur ! Vous aimez les véhicules qui attirent tous les regards sur la route ? Vous avez le sens de la technique ? Bienvenue dans la branche de la carrosserie, où tous les feux seront au vert pour vous ! Venez découvrir une entreprise et choisissez un apprentissage parmi l’un des cinq métiers de la carrosserie !

Serrurière·serrurier sur véhicules CFC

Dans ce métier, vous pouvez vraiment façonner les choses : vous transformez l’acier, l’aluminium et d’autres matériaux en leur donnant la forme voulue. Puis vous soudez, vissez et assemblez les différentes pièces. Ainsi, vous transformez des châssis bruts en véritables machines roulantes – du camion de pompiers au véhicule-grue, jusqu’au semi-remorque. Un univers varié et créatif.

Carrossière-peintre· carrossier-peintre CFC

Du rouge Ferrari au noir métallisé :

avec précision, vous composez les teintes parfaites et les appliquez sur les véhicules. Vous les polissez ensuite pour leur donner un éclat impeccable. Mais il ne s’agit pas seulement d’esthétique : votre travail protège aussi contre la rouille et les dommages.

Carrossière-tôlière·

carrossier-tôlier CFC

Bosses, rouille ou dégâts de tôle ? En véritables « docteurs des bosses », vous posez votre diagnostic sur le « patient » à quatre roues. Vous démontez, redressez, soudez et collez jusqu’à ce que la voiture retrouve son état d’origine.

Pour cela, vous travaillez avec les matériaux les plus modernes – acier, aluminium, plastiques – ainsi qu’avec des composants électroniques.

Carrossier·ère

réparateur·ice CFC

Après un accident, vous redonnez aux véhicules leur forme d’origine. Vous démontez les pièces endommagées, les réparez ou les remplacez. Et si la peinture est à refaire ? Pas de souci : en tant qu’allrounders, vous maîtrisez différentes techniques, y compris les travaux de préparation avant la mise en peinture.

Assistant·e vernisseur·se AFP

Vous êtes le maillon clé pour les travaux de peinture. Vous préparez les couleurs avec soin, poncez les parties abîmées, rebouchez les bosses et protégez les zones qui ne doivent pas être peintes.

De la tôle aux technologies numériques

Peu importe le métier que vous choisissez, vous pourrez développer vos talents dans un environnement varié. Et chacun d’eux offre de nombreuses perspectives de perfectionnement. Cap sur une future carrière réussie !

Plus d‘informations sur metiersdelacarrosserie.ch

Bienvenue dans le monde fascinant de l’automobile ! La branche automobile recherche des talents amateurs de technique ultra moderne. Tous les jours, tu trouveras dans un garage des activités stimulantes et d’une grande diversité ainsi que des collègues partageant ta passion pour les voitures. Une formation professionnelle initiale dans l’une des six professions automobiles proposées sera un véritable tremplin pour ta carrière dans une branche polyvalente et passionnante. Les professions automobiles ont de l’avenir. www.metiersauto.ch

ZOO MUSÉE VIVARIUM CAFÉTÉRIA BOUTIQUE

focus.swiss

#focusnotrejeunesse

Accompagner le potentiel des jeunes

Créé par Marco Secli, le Centre de Formation et de pour Apprentis et étudiants (CFPAE) est devenu une référence dans le soutien scolaire et l’accompagnement des étudiants et apprentis en Suisse romande. Basé sur l’idée que chaque élève est unique, le centre propose des solutions pédagogiques adaptées pour aider les jeunes à surmonter leurs difficultés et à retrouver confiance. « Notre rôle n’est pas seulement de combler des lacunes scolaires, mais aussi d’apporter aux élèves une méthodologie qui corresponde à leur profil », explique Marco Secli, directeur-fondateur du CFPAE créé en 2013. « Chaque jeune a le potentiel de réussir. Il suffit parfois simplement de la bonne personne et d’une méthode adaptée pour le révéler. »

Une prise en charge personnalisée Le CFPAE s’adresse aux élèves dès 13–14 ans, qu’ils soient au gymnase, en apprentissage ou en études universitaires. L’objectif est de les accompagner face à des difficultés scolaires, des blocages ponctuels ou des troubles plus spécifiques.

« Nous identifions le profil de l’élève pour comprendre son fonctionnement spécifique. Souvent il s’agit de dyslexie, de dyscalculie ou encore de troubles de l’attention (TDA(H) », précise Marco Secli. Dans un système scolaire qui ne prend pas toujours en charge ces spécificités, le CFPAE agit en utilisants sa propre méthodologie, en proposant des outils concrets pour contourner la difficulté et capitaliser sur les forces de l’élève.

Enseignants & méthodes

Le centre s’appuie sur une quarantaine d’enseignants spécialisés, capables de travailler aussi bien sur les matières commerciales, scientifiques ou linguistiques que sur l’adaptation aux troubles d’apprentissage. L’accompagnement se fait le plus souvent en individuel ou en petits groupes.

« La qualité de l’enseignement et l’adaptation

sont nos forces principales », insiste Marco Secli. « Un bon coach optimal doit être dévoué à son élève, capable de s’adapter, sensible dans son approche et doté des bons outils. C’est ce qui permet de générer une nette amélioration des résultats scolaires.»

Au-delà du soutien scolaire, le CFPAE forme également ses propres enseignants à une méthodologie spécifique, centrée sur la création d’automatismes et le développement de l’autonomie des élèves. Des enseignants sont d’ailleurs toujours recherchés pour agrandir l’équipe pédagogique.

Expertise en formation commerciale Véritable spécialiste dans le soutient aux formations de CFC, AFP, le centre s’est forgé une réputation solide dans l’accompagnement de ces élèves, travaillant dans des structures du public et du privé. De nombreuses entreprises font d’ailleurs appel directement au CFPAE pour soutenir leurs apprentis.

« Nos services vont bien au-delà du simple cours de rattrapage », souligne Marco Secli. « Nous proposons un suivi hebdomadaire régulier, avec une promesse claire : inculquer une méthodologie adaptée et faire progresser les notes. »

Une centaine d’élèves par an Plus de 100 élèves bénéficient chaque année des services du CFPAE. L’accompagnement ne se limite pas au soutien scolaire : il inclut aussi des tests de profils d’apprentissage pour mieux renforcer les jeunes dans leur formation et leur permettre d’atteindre leurs objectifs avec plus de sérénité.

« Nous accompagnons chaque élève comme une personne unique, avec ses forces et ses fragilités », conclut Marco Secli. « Le côté humain est au cœur de notre mission. C’est ce qui nous permet de transformer des difficultés en réussite et de redonner confiance aux jeunes dans leur parcours. »

info@cfpae.ch +41 21 634 07 84 www.cfpae.ch

Alpiq • Brandreport

Diriger dans un monde fragmenté

Le monde change rapidement – les vieilles recettes du succès ne fonctionnent plus. C’est pourquoi Alpiq mise sur un style de leadership centré sur le coaching. Avec Care, Dare & Share , l’entreprise crée un environnement où chacun peut déployer pleinement son potentiel. Simon Reber, responsable du développement organisationnel chez Alpiq, nous en dit plus sur cette approche.

Simon Reber

Responsable du développement organisationnel, Alpiq

Alpiq emprunte de nouvelles voies en matière de leadership. Comment Alpiq dirige-telle aujourd’hui ?

Notre réalité est marquée par les crises, l’incertitude et des conditions-cadres en constante évolution. Le monde est fragmenté et complexe. Cela signifie que les stratégies qui fonctionnaient autrefois ne suffisent souvent plus. C’est pourquoi, chez Alpiq, nous avons consciemment choisi une autre voie – en nous éloignant du modèle héroïque du dirigeant solitaire pour adopter une posture post-héroïque. Le

cœur de cette démarche est un style de leadership centré sur le coaching, ancré dans nos valeurs et guidé par les principes Care, Dare & Share.

Care, Dare & Share – cela sonne bien, mais les valeurs et principes ne restent-ils pas souvent de simples mots ?

On nous le dit souvent, et nous comprenons ce scepticisme. Trop de valeurs existent sur le papier sans jamais se traduire dans le quotidien. Chez Alpiq, nous voulons faire autrement. Pour nous, ces valeurs ne sont pas décoratives : elles servent de boussole à nos décisions. Nous ne sommes pas encore parfaits, mais nous avançons sur une voie claire, avec l’engagement de notre direction et la conviction que notre culture constitue notre véritable avantage compétitif.

... concrètement, qu’est-ce que cela signifie ?

Nos principes de leadership Care, Dare & Share s’ancrent directement dans

nos valeurs d’entreprise et définissent un cadre d’action clair. Avec Care, les managers instaurent une sécurité émotionnelle et psychologique, en écho à la valeur We Are ALPIQ. Avec Dare, nous stimulons, remettons en question et encourageons à penser autrement – en lien avec la valeur We Focus on the Outcome. Et avec Share, nous partageons nos expériences et impliquons l’ensemble de l’entreprise – en cohérence avec la valeur We Learn and Grow Together.

Comment cela se traduit-il au quotidien ?

Chez nous, une règle prévaut: Your Energy Matters. Cela signifie que l’énergie et l’engagement de chacun font la différence. La mission du leadership est de créer un cadre où les personnes peuvent libérer tout leur potentiel – que ce soit par un feedback constructif, une collaboration fondée sur la confiance ou le plein développement des compétences. Nous sommes au

début, mais déjà six cadres se sont formés comme Executive Leadership Coaches afin d’ancrer durablement cette compétence dans l’organisation et de la mettre au service de nos collaborateurs. D’autres suivront.

Cela semble presque trop beau pour être vrai... ?

Certes, nous avons franchi de premières étapes – avec des taux d’engagement des collaborateurs en hausse continue et la certification Great Place to Work sur tous nos sites, mais le processus est encore en cours. C’est un exercice d’équilibriste qui demande une véritable conscience. Vivre pleinement Care, Dare & Share exige un engagement quotidien. Plus d’informations sur alpiq.com

Un rendez-vous incontournable pour découvrir les métiers et les formations

Le prochain Salon des Métiers et de la Formation Lausanne se tiendra du mardi 18 au dimanche 23 novembre 2025 à Beaulieu Lausanne. L’occasion pour les jeunes en quête de formation de trouver des pistes concrètes pour leur avenir.

Depuis 15 ans, le Salon des Métiers et de la Formation réunit des exposants issus de secteurs clés et des jeunes qui cherchent à construire leur projet professionnel. L’événement s’adresse tout particulièrement aux élèves vaudois de 10e et 11e année, mais aussi aux parents qui les accompagnent et qui souhaitent avoir des renseignements sur la formation de leurs enfants. Parmi les visiteurs, on compte également des enseignants et des personnes intéressées par la formation professionnelle.

Un salon vivant et interactif Si l’événement a lieu chaque année à peu près à la même période, 2024 a été une année record, avec 50 899 visiteurs au total. Le Salon attire surtout les jeunes car il leur permet de rencontrer des professionnels et des formateurs de différents domaines, mais aussi des apprentis. En effet, les stands ne sont pas figés. Il est possible d’y faire des activités et d’échanger avec des jeunes qui ont eux-mêmes intégré une formation et qui peuvent donc témoigner de leurs expériences.

Brandreport

Si le week-end, le Salon est davantage prisé par les familles, de nombreuses classes se déplacent également durant la semaine. Certains élèves préparent leur venue en amont dans leur classe. Diana Dreyfus, Responsable presse pour le Salon des métiers, recommande en effet de préparer sa visite, car l’événement est très dense : « Avant leur arrivée, les jeunes peuvent se rendre sur notre site, metiersformation.ch. On y trouve un répertoire de toutes les offres de formation proposées par les exposants ».

Des formations pour tous niveaux

Avec une centaine d’exposants, le Salon est une réelle plateforme pour la découverte des métiers. Il regroupe plus de 500 offres de professions

et de formations, des CFC jusqu’à certaines formations universitaires. La palette des domaines professionnels présentés au Salon est très large : industrie, mécanique, transports, santé, sécurité, médias, art, vente, administration, hôtellerie, agriculture…

Le Salon est en effet ouvert à toutes les entreprises suisses. Diana Dreyfus indique : « Souvent, ce sont les organisations faitières qui s’inscrivent. Les métiers du bâtiment sont par exemple représentés par la FVE, la Fédération vaudoise des entrepreneurs, qui est présente au salon avec son stand Expert maison. On peut y découvrir la grande majorité des professions du bâtiment. »

Groupement suisse des écoles de commerce

Suivez les cours de nos écoles, appartenant au Groupement Suisse des Écoles de Commerce, pour obtenir :

– Un diplôme de commerce suisse GEC

– Un diplôme d’assistant-e de direction

– Un diplôme de secrétaire comptable

– Un diplôme de secrétaire

– Un diplôme de secrétaire médical-e Plus d’informations sur www.gec-suisse.ch

Membre de la Fédération Suisse des Écoles Privées (FSEP)

Renseignements et inscriptions :

École Bénédict SA

Rue Mme-de-Staël 7-9 1201 Genève

Tél. 022 344 74 54 dir@ecole-benedict.ch

École Lémania

Ch. de Préville 3 1003 Lausanne

Tél. 021 320 15 01 info@lemania.ch

Un lieu pour échanger, se questionner et créer

Le Salon, en plus de la partie exposition, est ponctué de nombreux temps forts. Le programme d’animation comprendra ainsi un forum avec de nombreuses conférences sur des thèmes en lien avec l’orientation professionnelle. Les visiteurs pourront également assister cette année au Championnat vaudois de carrosserie et à des démonstrations de la brigade canine de la police des transports. Au niveau des médias, différents projets verront le jour, tels que la création du Journal du Salon, ainsi qu’une émission de radio et de télévision. Enfin, des apprentis médiamaticiens créeront du contenu pour alimenter les réseaux sociaux tout au long de l’événement.

Texte Léa Stocky

18 – 23 novembre 2025

Beaulieu Lausanne Avenue des Bergières 10 1004 Lausanne metiersformation.ch

École Prévôtoise

Rue Blanche-Terre 20 2740 Moutier

Tél. 032 493 20 33 info@ecole-prevotoise.ch

Centre de Formation et de Placement

Place de la Gare 1b

2035 Corcelles

Tél. 032 753 29 06 contact@cfpneuch.ch

Un programme, sur mesure, 100% à distance

Maturité suisse

(Rentrées en février, mai, août et novembre)

Diplôme de comptable

(Rentrées toute l’année)

contact@institut-domi.ch - 021 652 33 23 www.institut-domi.ch

talents.groupe-grisoni.ch

et débute ta carrière aux côtés de nos formateurs·trices.

retraite Genève en art 2009 de plafond.

Haute école de santé de Genève

Sam. 15 novembre de 9h30 à 15h30

HEdS PORTES OUVERTES

Ergothérapie

Ensemble, construisons ton avenir

VOS EXIGENCES, NOS COMPÉTENCES

orllati.ch

Nutrition&diététique

Physiothérapie Sage-femme

Soinsinfirmiers Techniqueenradiologie médicale

47, av. de Champel 1206 Genève

Prendre la parole en public

Ateliers en art oratoire

Formations pratiques de trois jours 6 participant·es maximum

Haute école des arts de la scène – Lausanne

Informations et inscriptions manufacture.ch

Former les talents de demain dans l’accueil et le goût

Créée en janvier 2025, la Fédération des Métiers de l’Accueil et du Goût (FMAG) a pour ambition de redonner toute leur place à des professions essentielles mais parfois méjugées. Dans un contexte marqué par la baisse du nombre de formateurs et un désintérêt croissant de certains jeunes, la FMAG veut réactiver la formation et offrir de vraies perspectives d’avenir aux nouvelles générations. Son directeur, Roman Helfer, revient sur les enjeux et les opportunités de ces métiers.

Comment la FMAG attire-t-elle les jeunes vers les métiers de l’accueil et du goût ?

« Cela passe par la promotion d’une meilleure image de ces métiers, de leur richesse, de leurs avantages et de leur singularité. Ce sont des professions bien plus techniques et valorisantes qu’on ne le pense, et elles rendent fiers ceux qui les exercent. Faire plaisir aux gens, c’est génial ! D’ailleurs, une tendance actuelle joue en notre faveur : tout le monde veut mieux manger, consommer de bons produits, savourer de beaux plats. »

Quelles compétences nouvelles les jeunes doivent-ils développer pour réussir demain dans ces secteurs ?

« Il faut d’abord s’intéresser à ces métiers, être curieux, vouloir comprendre les choses et avoir envie d’être créatif.

Chaque demande de client est différente, et il s’agit de faire vivre une expérience unique. Curiosité et créativité sont les exigences de base. Et bien sûr, aimer l’humain est essentiel. »

La durabilité est un enjeu central dans vos métiers : comment la FMAG prépare-t-elle les nouvelles générations à ces changements ?

« Nos métiers pratiquent déjà la durabilité au quotidien ! Nous travaillons à mettre en place des solutions pour accompagner les entreprises vers des processus plus performants et des pratiques responsables. Cela passe par la valorisation des produits locaux et une utilisation raisonnée des

Et si ton futur métier

était de faire avancer le monde ?

matières premières. Prenons l’exemple du vin : plutôt que de recourir à un Malbec argentin, pourquoi ne pas chercher un Malbec suisse ? C’est une façon de préserver la qualité tout en réduisant l’impact carbone. Nous devons aussi proposer plus de flexibilité et d’individualisation dans la formation pour rester attractifs et adaptés aux besoins des futurs actifs. »

Quelles opportunités concrètes s’offrent aujourd’hui aux jeunes diplômés dans vos filières ?

« Elles sont nombreuses, c’est un domaine où tout est possible ! On peut terminer un apprentissage et en commencer un autre, travailler aussi bien dans une petite structure que dans un grand groupe, voyager, accéder rapidement à des responsabilités ou encore créer son entreprise. Nous valorisons toutes les démarches, toutes les envies, car il existe beaucoup de passerelles. »

Si vous deviez décrire en une phrase l’avenir des métiers de l’accueil et du goût pour les jeunes, que diriez-vous ?

« La possibilité de s’épanouir et la garantie de toujours trouver une solution pour faire ce qui leur plaît. Ces métiers offrent un bagage utile, non seulement pour la vie professionnelle, mais aussi pour la vie privée. »

Contact pour tout renseignement complémentaire : federation-mag.ch

Les entreprises MBC, NStCM-TPN et TRAVYS s’unissent pour te faire découvrir l’univers passionnant des transports publics et les nombreuses formations qui s’offrent à toi !

De la mécanique à la conduite, en passant par la régulation du trafic, la gestion des stocks ou les activités administratives, viens tester ces différents métiers et rencontrer des pros qui répondront à toutes tes questions.

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OÙ ?

Salon des Métiers et de la Formation

Halle 36 | Stand A021

Beaulieu Lausanne

Avenue des Bergières 10

QUAND ?

Du 18 au 23 novembre 2025

Ma – ve : 8h-17h

Sa – di : 9h-17h

ENTRÉE LIBRE

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…et bien d’autres métiers qui font bouger la mobilité !

Pourquoi choisir la France pour ses études ?

La réputation académique française est solide : 25 business schools figurent dans le Top 100 mondial du Financial Times. Mais cette reconnaissance dépasse le seul champ du management. Universités et écoles d’ingénieurs se distinguent aussi par la qualité de leurs formations, l’importance accordée à la recherche et leurs liens étroits avec le monde économique. Étudier en France, c’est ainsi accéder à un enseignement supérieur qui rivalise avec les standards américains, britanniques ou suisses, ce que confirme Hicham Abdallah, responsable du développement international à l’ICN Business School : « La France est en effet devenue « la bonne affaire » car elle allie expérience académique de haut niveau et insertion professionnelle. L’absence d’anglais n’est plus une excuse ».

Étudier sans se ruiner Si les frais d’inscription, notamment dans le privé, ont fortement augmenté en France ces dernières années, ils demeurent

La France est en effet devenue « la bonne affaire »
car elle allie expérience académique de haut niveau et insertion professionnelle.

– Hicham Abdallah, responsable du développement international à l’ICN Business School

néanmoins compétitifs face aux États-Unis ou au Royaume-Uni, où une année d’études peut coûter plusieurs dizaines de milliers de dollars. Même dans les grandes écoles les plus réputées, le rapport qualité-prix reste attractif, d’autant que de nombreuses institutions développent l’alternance et des dispositifs de bourses pour accompagner leurs étudiants. Autre atout : l’ouverture internationale. Une grande école française du Top 20 entretient en moyenne plus

de 200 partenariats académiques dans près de 90 pays, offrant des échanges avec des universités prestigieuses comme Berkeley, Oxford ou HEC Montréal. Pour Hicham Abdallah : « La France est aussi géographiquement plus proche pour les habitants des marchés émergents que sont l’Asie, les pays du Golfe ou encore l’Afrique anglophone ». Une dynamique renforcée par l’arrivée d’enseignants et de chercheurs étrangers et par l’investissement constant

dans des accréditations mondiales telles que l’AACSB ou EQUIS. Pour Hicham Abdallah, le seul bémol aujourd’hui pour les étudiants internationaux serait « la complexité de certaines démarches administratives auprès des préfectures, où les délais peuvent s’avérer particulièrement longs ». En définitive, la France n’est pas seulement une alternative bon marché aux États-Unis ou au Royaume-Uni. Pour les étudiants suisses, elle représente une option sérieuse et accessible, à condition de bien se préparer aux réalités pratiques de l’expatriation.

Texte SMA

Plus d’informations sur icn-artem.com

La France s’impose aujourd’hui comme une destination de premier plan pour l’enseignement supérieur international. Longtemps perçue comme réservée aux francophones, elle propose désormais un large choix de programmes en anglais permettant aux étudiants de suivre un cursus de haut niveau.

DComment décrocher son premier emploi ? Plus de 10 000 jeunes soutenus depuis 2008 par Jeunes@Work

écrocher son premier emploi reste un défi majeur pour de nombreux jeunes diplômés. Lancé en 2008, le programme Jeunes@Work de la Fondation IPT soutient les jeunes diplômés dans cette étape déterminante. Cette période charnière est souvent un moment où beaucoup de jeunes ont besoin d’un coup de pouce pour accéder aux postes convoités. Apprendre à se vendre, à se présenter, à valoriser ses atouts, à se créer un réseau et à s’exprimer avec confiance et audace : c’est ce que propose Jeunes@Work, qui a déjà bénéficié à plus de 10 000 jeunes à travers toute la Suisse. Près de 70 % des jeunes participants ont d’ailleurs décroché leur premier emploi à la suite de leur participation.

Un coaching sur mesure et en groupe pour se démarquer Jeunes@Work propose un accompagnement complet aux jeunes diplômés dès 18 ans. Des coachs experts dans la recherche d’emploi leur apportent toute leur expérience et les outils adaptés pour constituer une candidature solide et attrayante. Ce programme, qui a fait ses preuves, soutient les participants depuis le renforcement de leur projet professionnel jusqu’à la création d’un dossier pertinent, adapté aux besoins des recruteurs. Se démarquer, prendre confiance tout en accédant à un large réseau d’entreprises partenaires : Jeunes@Work favorise un avenir prometteur pour tous les participants motivés.

Au-delà de l’accompagnement individuel, les participants apprécient la dynamique de groupe. Cette émulation collective crée un environnement stimulant où chacun puise motivation et conseils auprès de ses pairs.

J’ai appris à faire le premier pas « J’ai gagné en confiance en moi et appris à faire le premier pas ! Grâce aux conseils avisés de ma coach, j’ai intégré les bonnes pratiques pour mieux cibler mes recherches d’emploi avant de me lancer. C’était essentiel pour décrocher mon premier emploi de coordinatrice retail », témoigne une ancienne participante du programme.

Des entreprises engagées pour soutenir la relève

Les participants bénéficient du large réseau d’entreprises partenaires de Jeunes@Work. Ces collaborations privilégiées permettent d’établir des contacts directs entre les jeunes diplômés et les recruteurs potentiels.

Pour une préparation optimale aux entretiens, les participants ont l’opportunité de se confronter à des professionnels des ressources humaines. Des recruteurs partenaires de Jeunes@Work se mobilisent régulièrement pour des simulations d’entretiens d’embauche. Cette approche permet aux jeunes de faire leurs preuves dans des situations réelles tout en élargissant leur réseau professionnel avec des entreprises locales et nationales.

Parmi les partenaires engagés, on retrouve notamment : Start Emploi, MSE Personnel, Manpower, ValJob, Totsa, Pictet et d’autres banques. Ces collaborations génèrent des résultats concrets : préparation efficace des candidats, création de contacts durables et opportunités de stages ou d’embauches directes.

S’inscrire au programme Jeunes@Work s’adresse aux jeunes diplômés de tous niveaux (CFC, école de commerce, maturité, Bachelor,

Master) disponibles 2 à 4 mois pour une mobilisation rapide. Né d’une initiative privée, ce coaching est désormais proposé en collaboration avec de nombreux services de l’emploi tout en étant soutenu par des donateurs, ce qui le rend gratuit pour les jeunes.

Les candidats intéressés peuvent se renseigner directement sur le site www.jeunesatwork.ch pour connaître les adresses de tous nos bureaux, les modalités de participation et s’inscrire.

Avenir Jeunes : un soutien pour la première formation professionnelle

La Fondation IPT propose également Avenir Jeunes, destiné aux jeunes de 15 à 30 ans en situation de rupture ou de réorientation professionnelle. Ce programme d’accompagnement aide à trouver un apprentissage (AFP ou CFC) dans les cantons du Valais, de Fribourg, du Jura, de Neuchâtel et de Berne.

« Sans le soutien de mon coach, qui m’a redonné confiance et toute la motivation nécessaire, rien ne serait pareil aujourd’hui. Pour la première fois de ma vie, je me sens à ma place, avec l’envie mais surtout la capacité de m’investir pleinement dans mon apprentissage », relate Octave, un apprenti Interactive Media Designer CFC, qui a pu réaliser son rêve en embrassant un début de carrière dans un domaine qui l’anime et le motive.

Depuis plus de 50 ans, la Fondation IPT soutient les jeunes de tous horizons dans leurs parcours de vie, avec pour mission de les accompagner vers des carrières répondant à leurs aspirations.

CV : un coup de pouce express !

Nos coachs Jeunes@Work vous attendent :

– Forum Geneva le 4 novembre

– Cité des Métiers du 25 au 30 novembre

Plus d’informations sur www.fondation-ipt.ch

Retrouvez-nous sur LinkedIn et Instagram pour recevoir des conseils et suivre notre actualité !

Une école centenaire, tournée vers la jeunesse

L’École Hôtelière de Genève (EHG) n’est pas une école comme les autres. Fondée en 1914, elle fait partie des écoles hôtelières pionnières dans le monde et a formé, depuis plus de 110 ans, des générations de professionnels devenus leaders dans l’hôtellerie, la restauration et le luxe.

Située dans le parc de l’Ariana, face au Palais des Nations, l’EHG est une fondation à but non lucratif. Elle se distingue par sa taille humaine, son esprit familial et son attachement à des valeurs fortes : professionnalisme, respect, innovation, durabilité et excellence. Autant de repères que les jeunes ressentent dès qu’ils franchissent ses portes.

En 2026, l’EHG fêtera aussi un jalon important : les 30 ans de son statut d’École Supérieure (ES). Une reconnaissance qui illustre son rôle unique dans le paysage académique suisse et confirme son ancrage au cœur de la formation hôtelière francophone.

Avec la Semaine Découverte, l’EHG ne s’adresse pas seulement aux étudiants déjà inscrits, mais tend la main aux jeunes de 15 à 19 ans qui souhaitent explorer un secteur passionnant, international et porteur d’avenir.

Une semaine d’immersion et de découvertes

Du 6 au 10 juillet 2026, l’École Hôtelière de Genève ouvre ses portes aux jeunes de 15 à 19 ans. Ateliers immersifs, visites professionnelles, découverte du luxe, introduction à l’intelligence artificielle, management événementiel, art culinaire, réalité virtuelle et remise de certificats : une semaine inoubliable pour explorer l’univers de l’hôtellerie et s’inspirer pour l’avenir. Une expérience dense, rythmée et variée. Chaque journée est conçue comme une plongée dans un aspect spécifique de l’hospitalité :

– Lundi – La gestion hôtelière

Les jeunes découvrent les coulisses du Geneva Marriott Hotel, un établissement de prestige. Ils rencontrent des professionnels, visitent les espaces réservés au personnel et comprennent l’organisation d’un grand hôtel : accueil des clients, logistique, coordination entre les services. Une manière concrète de voir que l’hôtellerie, c’est bien plus qu’un simple séjour.

– Mardi – Le luxe

Encadrés par un expert du secteur, les participants explorent l’univers du luxe. Qu’est-ce qui différencie une expérience d’exception ? Quels sont les métiers qui y mènent ? La journée se poursuit par une visite dans un hôtel genevois de prestige, pour toucher du doigt la précision, le raffinement et l’art du détail.

– Mercredi – L’événementiel

Place à la créativité ! Le matin, ateliers pratiques pour apprendre à concevoir et organiser un événement. L’après-midi, immersion dans les coulisses d’un festival international à Nyon. Une opportunité rare de comprendre comment se prépare une manifestation de grande envergure et de mesurer l’importance du travail d’équipe.

–Jeudi – L’intelligence artificielle et le marketing

Les nouvelles technologies transforment aussi l’hôtellerie. Lors d’un workshop interactif, les jeunes découvrent comment utiliser l’IA et les réseaux sociaux pour promouvoir un produit ou un service. L’après-midi, des ateliers ludiques leur permettent de créer des miniardises, d’élaborer des mocktails et de préparer une mise en scène événementielle.

– Vendredi – L’art culinaire et la réalité virtuelle

La journée démarre avec une session en réalité virtuelle, où les participants expérimentent des environnements numériques appliqués à l’hôtellerie. Puis place à la gourmandise et à la créativité avec des ateliers de chocolat, de pâtisserie et d’art floral. Enfin, les jeunes organisent un apéro dînatoire pour leurs parents, avant de recevoir leur certificat officiel lors d’une cérémonie conviviale.

Plus que des métiers : des compétences d’avenir

L’hospitalité est une véritable école de vie. Les études dans ce domaine permettent de développer des compétences universelles, reconnues comme essentielles par le World Economic Forum dans son rapport Future of Jobs.

Esprit critique, collaboration, créativité, intelligence émotionnelle, communication interculturelle : autant de compétences « made in Switzerland », qui caractérisent la rigueur et la qualité de l’hospitalité helvétique. Ces savoir-faire et savoir-être constituent un bagage précieux, utile dans n’importe quelle carrière, de la gestion d’entreprise au marketing, en passant par le digital ou l’événementiel.

La Semaine Découverte permet quant à elle de faire ses premiers pas dans cet univers et de se familiariser avec ces valeurs et compétences qui seront au cœur d’un parcours complet en hôtellerie.

Une expérience marquante et plébiscitée

La Semaine Découverte n’est pas un simple programme d’orientation. C’est une expérience transformatrice, où l’on apprend en pratiquant, en expérimentant et en partageant.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les éditions 2024 et 2025 étaient complètes, et les participants ont attribué une note moyenne exceptionnelle de 9,5/10.

Les témoignages confirment cet engouement :

– « Une expérience inoubliable qui a confirmé mon choix d’orientation » (Appolline).

– « Une semaine intense et joyeuse avec beaucoup de découvertes » (Ellana).

– « Une semaine de rêve et des amitiés pour la vie ! » (Sarah).

Parents et encadrants soulignent aussi la valeur de cette immersion. Elle permet aux adolescents de prendre confiance, de découvrir leurs forces et parfois de révéler une vocation.

Des places limitées pour 2026

La prochaine édition aura lieu du 6 au 10 juillet 2026 sur le campus de l’EHG, au cœur du parc de l’Ariana. Les places étant limitées, il est fortement conseillé de s’inscrire à l’avance. Les inscriptions sont ouvertes dès maintenant sur le site de l’école.

Une occasion unique : la Journée Portes Ouvertes

Avant la Semaine Découverte, l’EHG invite le public à sa Journée Portes Ouvertes le 5 novembre 2025, de 14h00 à 17h00.

La participation est gratuite, mais l’inscription est obligatoire et se fait directement en ligne sur www.ehg.ch

Au programme : les étudiants de l’EHG vous guideront à travers un tour du campus pour découvrir les installations. Les équipes des admissions, les enseignants, les partenaires et le bureau des stages seront disponibles pour présenter les formations, expliquer les opportunités de carrière et répondre à toutes vos questions.

C’est une excellente opportunité de plonger dans l’univers de l’école, d’échanger directement avec celles et ceux qui la font vivre et de découvrir ce qui fait la singularité de cette institution centenaire.

Semaine Découverte en bref – 5 jours d’immersion

– Jeunes de 15 à 19 ans

– 9,5/10 de satisfaction en 2024 & 2025

– Prochaine édition : du 6 au 10 juillet 2026

– Campus : École Hôtelière de Genève, parc de l’Ariana

Plus d’informations sur la journée Portes Ouvertes

Le Bachelor professionnel –renforcer le modèle à succès suisse

Alors qu’à l’échelle mondiale les diplômes de Bachelor et de Master sont considérés comme la référence de l’enseignement tertiaire, la Suisse mise avec la formation professionnelle supérieure (FPS) sur un système dual unique. Mais ce modèle à succès perd peu à peu en visibilité. Une révision récente de la loi peut changer la donne. Rencontre avec Peter Berger, président de la Conférence des écoles supérieures (association de toutes les Hautes Écoles Spécialisées – HF)

Conférence des écoles supérieures

Monsieur Berger, selon vous, qu’est-ce qui caractérise la formation professionnelle supérieure (FPS) ?

La formation professionnelle supérieure, à laquelle appartiennent aussi les Hautes Écoles Spécialisées (HF), représente une particularité du paysage éducatif suisse – et un véritable atout. La FPS répond directement aux besoins de notre économie et constitue un élément essentiel du système de formation dual, que l’on peut à juste titre qualifier de facteur clé du succès de notre pays. Son objectif principal est d’offrir aux professionnels la possibilité d’obtenir des diplômes de niveau tertiaire, qualitativement équivalents à ceux d’une université ou d’une haute école spécialisée. C’est précieux, car cela permet aux personnes qui, après l’école obligatoire, choisissent un apprentissage

Ce manque de notoriété est un vrai problème. Dans de nombreuses grandes entreprises, les services des ressources humaines sont internationaux et connaissent mal le système éducatif suisse.

– Peter Berger, Président de la Conférence des écoles supérieures

plutôt que la voie académique classique, afin d’accéder à des carrières attrayantes. La Suisse gagne ainsi des spécialistes

innovants et orientés vers la pratique, dont les compétences correspondent exactement aux besoins du marché du travail.

En avril dernier, le Conseil fédéral a adopté le message relatif à la modification de la loi sur la formation professionnelle afin d’améliorer la visibilité et la reconnaissance de la FPS.

Pourquoi ce pas est-il nécessaire ? Malheureusement, la situation a évolué au fil des années au détriment de la FPS et des HF. Avec les réformes de Bologne, les titres de Bachelor et de Master se sont imposés comme standards mondiaux des diplômes tertiaires. Aujourd’hui, lorsqu’on parle d’un diplôme tertiaire, on pense presque toujours au Bachelor. Cela a conduit à ce que la FPS, bien qu’elle délivre des diplômes tout aussi valables, ne bénéficie souvent pas de la reconnaissance qui lui revient. Ce manque de notoriété est un vrai problème. Dans de nombreuses grandes entreprises, les services des ressources humaines sont internationaux et connaissent mal le système éducatif suisse. Ils tendent donc à préférer les candidats titulaires d’un Bachelor ou d’un Master. Même des secteurs comme le tourisme, où la FPS est pourtant très présente, souffrent de ce déficit de perception, car la valeur de ces diplômes est souvent mal comprise à l’international.

Quelles solutions proposez-vous pour remédier à ce problème ?

Nous devons renforcer la réputation de la FPS et des diplômes HF en leur attribuant des titres compréhensibles au niveau international. C’est un élément central de la révision législative actuelle. Il ne s’agit pas seulement de valoriser la formation professionnelle supérieure et les HF, mais bien l’ensemble de la formation professionnelle. Car l’académisation croissante de notre pays n’est pas sans inconvénients : nous avons besoin de praticiens capables d’innover en fonction des besoins concrets des secteurs. Cet ancrage dual a toujours été un avantage concurrentiel énorme pour la Suisse. Jusqu’ici, nous n’avons pas assez montré qu’il est possible d’obtenir un diplôme de haut niveau sans maturité gymnasiale. Cela doit changer.

Quel est le calendrier de la révision législative ?

Le projet fédéral sera probablement examiné par le Conseil des États début septembre, puis transmis à la commission du Conseil national. Idéalement, le Parlement pourrait voter dessus lors de la session de printemps 2026.

Quelles mesures concrètes la révision prévoit-elle ?

Une nouveauté essentielle est l’introduction de titres comparables. Concrètement, les appellations « Professional Bachelor » et « Professional Master » seront introduites pour les diplômes de la formation professionnelle supérieure. Ces titres doivent souligner l’appartenance des diplômes au niveau tertiaire et accroître leur visibilité internationale. Dans les langues officielles, ces ajouts ne pourront être utilisés qu’avec les titres protégés correspondants. En outre, un droit d’usage pour l’appellation « Haute École Spécialisée » sera introduit, afin que seules les institutions proposant un cursus HF reconnu puissent porter ce titre (un aperçu des autres mesures figure dans l’infobox).

Un déséquilibre central subsiste : le financement. La réalité financière

reste défavorable à la formation professionnelle supérieure.

Président de la Conférence des écoles supérieures

Cette révision donne-t-elle enfin à la FPS les mêmes chances que le secteur universitaire et celui des hautes écoles spécialisées ?

Cette révision est un premier pas, très important, mais nous sommes encore loin d’une véritable égalité. Un déséquilibre central subsiste : le financement. La réalité financière reste défavorable à la formation professionnelle supérieure. La Conférence HF, tout comme des associations telles qu’edu-suisse, continueront donc à se mobiliser après l’adoption de la loi pour obtenir plus d’équité. Notre objectif est que toutes les personnes visant une formation tertiaire trouvent des conditions comparables. Nous sommes convaincus que la formation professionnelle et ses filières avancées deviendront encore plus essentielles pour la compétitivité de la Suisse.

À propos d’edu-suisse Edu-suisse est une association qui s’engage pour une plus grande diversité de l’offre éducative et pour un système de formation suisse fort. Elle entretient des échanges réguliers avec d’autres associations économiques, le monde politique et l’administration. Ses membres incluent des institutions de formation privées, mais aussi des associations et organisations professionnelles. Les 18 institutions, associations et entreprises membres emploient ensemble environ 5000 collaborateurs pédagogiques, 1000 employés administratifs et comptent chaque année environ 30 000 diplômés.

Les mesures prévues

Le message du Conseil fédéral concernant la modification de la loi sur la formation professionnelle est actuellement devant le Parlement.

L’objectif est d’accroître la notoriété, la visibilité et la reconnaissance des Hautes Écoles Spécialisées et de la formation professionnelle supérieure dans son ensemble. Les mesures envisagées sont les suivantes :

– Introduction d’un droit d’usage de l’appellation « Haute École Spécialisée ».

– Introduction des titres « Professional Bachelor » et « Professional Master » pour les diplômes de la formation professionnelle supérieure, afin de souligner leur niveau tertiaire et renforcer leur visibilité.

– Introduction de l’anglais comme langue d’examen supplémentaire possible pour les examens professionnels et les examens des hautes écoles spécialisées, afin d’harmoniser les conditions au sein du tertiaire.

– Assouplissement pour les études post-diplômes NDS HF : ces cursus n’auront plus besoin de passer par une procédure de reconnaissance fédérale et pourront être lancés de manière autonome par les HF. Le Département fédéral de l’économie (DEFR/WBF) définira ensuite les exigences minimales concernant l’offre de formation continue dans les Hautes Écoles Spécialisées (MiVo-HF).

Plus d’informations sur edu-suisse.ch

SVIT School : se former aux métiers de l’immobilier, entre passion et perspectives d’avenir

L’immobilier occupe une place centrale dans nos vies. Acheter, vendre, louer, gérer ou valoriser un bien : autant d’actes qui nécessitent une expertise, un savoir-faire et une réelle compréhension du marché. Et derrière les vitrines des agences et les transactions, se cache une multitude de métiers passionnants, riches en interactions humaines et en défis techniques. Pour celles et ceux qui souhaitent s’y lancer, que ce soit au début de leur carrière ou dans le cadre d’une reconversion, la SVIT School s’impose comme une référence en Suisse.

Une école ancrée dans un réseau solide La SVIT School n’est pas une école comme les autres : elle bénéficie du soutien et du savoir-faire du SVIT Suisse, l’association suisse de l’économie immobilière, active dans toute la Suisse. Cette filiation lui confère une proximité unique avec les réalités du terrain et les besoins des professionnels. Résultat : des formations reconnues, orientées vers la pratique, qui ouvrent directement les portes d’un secteur en pleine évolution.

L’immobilier, un secteur qui recrute Qu’il s’agisse de gestion locative, de courtage, de comptabilité immobilière, d’estimation immobilière, de développement de projets ou de conseils en investissement, l’immobilier est un domaine où la demande en main-d’œuvre qualifiée reste forte. La stabilité du marché, conjuguée aux nouvelles exigences liées à la durabilité, au numérique et aux besoins de logement, en fait un secteur dynamique, porteur d’opportunités pour les jeunes et pour les personnes en quête d’un nouveau départ professionnel.

Une offre de formation variée et adaptée

La SVIT School propose une large gamme de cours, conçus pour répondre aux différents niveaux d’expérience et aux aspirations de chacun, avec des approches pédagogiques qui privilégient la pratique et l’application immédiate des outils au quotidien :

Cours d’introduction à l’économie immobilière : c’est le point de départ d’une carrière dans l’immobilier. Il propose aux participants une formation générale complète et leur permet d’acquérir les bases fondamentales en matière de gérance, de droit, d’expertise, de courtage, de marketing et de comptabilité. Son but est d’abord de donner une vue d’ensemble de l’économie immobilière à ceux qui débutent dans le domaine, soit au terme de leur apprentissage, soit après une réorientation professionnelle.

Transparence, fiabilité et qualité de service sont au cœur des enseignements, afin de former des professionnels capables d’inspirer confiance et de bâtir des relations durables.

– Formations métiers (Certificat) : destinées à celles et ceux qui veulent développer leurs compétences et obtenir une reconnaissance professionnelle sur le marché.

– Formations fédérales (Brevet) : adaptées aux professionnels en activité qui souhaitent approfondir un domaine spécifique de l’immobilier et valider leur expertise dans ce domaine : gérance, estimation immobilière, développement immobilier ou courtage immobilier.

Diplôme fédéral d’administrateur de biens immobiliers : pour les plus ambitieux, une formation axée sur la gestion d’entreprise avec une vision de l’immobilier à 360°.

– Formations continues et perfectionnement : des séminaires et autre formations courtes pour se perfectionner et se tenir à jour tout au long de sa carrière dans l’immobilier.

Un tremplin pour les jeunes

Pour un jeune qui sort de l’école, il n’est pas toujours simple de trouver une voie claire et motivante. Les métiers de l’immobilier offrent un équilibre rare entre travail de terrain, responsabilités commerciales et vision stratégique. Grâce à la SVIT School, les jeunes bénéficient d’une

formation professionnalisante qui leur ouvre des perspectives concrètes : travailler dans une agence, gérer un portefeuille de biens, conseiller des clients ou encore évoluer vers des postes de direction.

Une seconde carrière épanouissante

De plus en plus de personnes choisissent de se réorienter vers l’immobilier après une première expérience professionnelle dans un autre domaine. Pourquoi ? Parce que ce secteur permet de capitaliser sur des compétences transversales comme la communication, la négociation ou la gestion de projet. La SVIT School accompagne ces parcours atypiques en proposant des programmes adaptés et reconnus, permettant une transition fluide et valorisante.

Une pédagogie tournée vers la pratique

Au cœur de l’approche de la SVIT School, on retrouve une pédagogie active et pragmatique. Les cours sont dispensés par des professionnels en activité, qui partagent leur expérience concrète du terrain. Les études de cas, les mises en situation et les échanges nourrissent un apprentissage vivant, directement applicable dans la réalité professionnelle.

Professionnalisme et éthique

Se former à la SVIT School, c’est aussi intégrer une culture de l’exigence et de l’éthique. L’immobilier ne se résume pas à des chiffres et des contrats : il implique un engagement envers les clients, les partenaires et la société. Transparence, fiabilité et qualité de service sont au cœur des enseignements, afin de former des professionnels capables d’inspirer confiance et de bâtir des relations durables.

Un secteur d’avenir

Les évolutions du marché immobilier posent de nouveaux défis :

– Durabilité : l’efficacité énergétique et la rénovation des bâtiments deviennent des priorités.

– Numérisation : les nouvelles technologies transforment la manière de gérer, vendre et louer des biens.

– Urbanisation : la demande croissante en logements dans certaines régions nécessite des compétences en planification et en gestion.

La SVIT School prépare ses candidats à relever ces défis, en leur offrant une vision moderne et prospective du métier.

Une porte ouverte sur des carrières passionnantes Que l’on soit jeune diplômé, curieux de se lancer dans un secteur concret et stimulant, ou adulte en quête d’un nouveau départ professionnel, l’immobilier offre des opportunités riches et variées. Avec ses formations reconnues, sa proximité avec le terrain et son accompagnement personnalisé, la SVIT School constitue un tremplin idéal pour franchir le pas et bâtir une carrière épanouissante. L’immobilier n’est pas qu’un métier : c’est un univers où chaque projet compte, où chaque rencontre ouvre de nouvelles perspectives. S’y former, c’est choisir un avenir solide, humain et porteur de sens.

Plus d’informations sur www.svit-school.ch

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Un accompagnement sur mesure pour une scolarité épanouie

l’ISL, chaque élève compte. Dans un monde éducatif en constante évolution, l’école lausannoise place le bien-être et l’accompagnement personnalisé au cœur de sa mission. Son service d’aide aux élèves, fruit d’un développement continu, s’inscrit pleinement dans cette volonté d’offrir à chaque enfant un parcours scolaire adapté à ses besoins.

Répondre aux besoins spécifiques de chaque élève

L’ISL accueille plus de 850 élèves de 3 à 18 ans. Consciente que chaque parcours est unique, l’école propose un suivi adapté aux besoins spécifiques des enfants, qu’ils rencontrent des difficultés d’apprentissage, des troubles du langage, des besoins socio-émotionnels ou qu’ils présentent un haut potentiel.

Près d’un tiers des élèves bénéficient aujourd’hui d’un soutien personnalisé, qu’il s’agisse d’un suivi en anglais langue additionnelle (EAL) ou dans le cadre du soutien à l’apprentissage (LS). Cela confirme l’engagement fort de l’ISL en faveur d’une éducation inclusive et sur mesure.

Former, c’est soigner l’avenir

Grâce à une équipe pluridisciplinaire composée de 17 professionnels –spécialistes de l’éducation, psychologues scolaires, logopédistes et conseillers en bien-être – les élèves profitent de plans d’accompagnement individualisés, d’ateliers ciblés et de programmes innovants, tels que le Programme de lecture structurée. Cet encadrement permet de lever les obstacles à l’apprentissage et d’offrir à chacun les meilleures conditions pour s’épanouir.

Un service accessible et réactif, rare dans le paysage scolaire Contrairement à de nombreuses structures où les délais d’attente ou le

manque de ressources freinent l’accès à un soutien adapté, l’ISL se distingue par la réactivité et la proximité de son service. Les familles apprécient la disponibilité des professionnels et la qualité du dialogue entre l’équipe éducative, les élèves et les parents.

« L’excellence académique ne peut exister sans un environnement bienveillant où chaque élève se sent soutenu. À l’ISL, nous avons investi dans une approche humaine et personnalisée de l’éducation, car nous croyons que le bien-être est indissociable de la réussite scolaire. » –Frazer Cairns, Directeur Général de l’ISL.

Un engagement fort en faveur d’une éducation holistique

L’évolution constante du service de soutien s’inscrit dans la vision globale de l’ISL : celle d’une école internationale innovante, inclusive et profondément attentive aux besoins de ses élèves. Ce positionnement en fait un acteur éducatif de référence dans le canton de Vaud, reconnu pour sa capacité à conjuguer exigences académiques et suivi personnalisé.

International School of Lausanne Chemin de la Grangette 2, 1052 Le Mont-sur-Lausanne +41 21 560 02 02 www.isl.ch

Espace Compétences est le centre de formation continue de H+ Les Hôpitaux de Suisse pour les métiers de la santé et du social. Nos formations sont innovantes, de haute qualité et toutes reconnues par H+.

Brevets et Diplômes fédéraux

Assistant-e spécialisé-e en soins de longue durée et soins psychiatriques

Responsable d’équipe dans des organisations sociales et médico-sociales

Diabétologie, soins gériatriques et psycho-gériatriques

Directeur-trice d’organisations sociales et médico-sociales

Gestion des institutions de santé

Coordinateur-trice en médecine ambulatoire

Expert-e en prévention de l’infection associée aux soins

Spécialiste de la sécurité

Formations certifiantes et de perfectionnement

Bloc opératoire

Communication, droit et éthique

Expertises en soins infirmiers : diabétologie, longs séjours et psychiatrie

Management pour médecins cadres

TARDOC : introduction théorique et ateliers pratiques

Spécialiste et expert-e en gestion des institutions de santé

Stérilisation, hygiène et prévention de l’infection

Transporteur-euse de patients ou personnes à mobilité réduite

Prestations sur mesure

La DSG célèbre 50 ans de passion et de transmission

La Deutsche Schule Genf (DSG) a célébré ce week-end son 50e anniversaire, réunissant plus de 800 membres de sa communauté scolaire – élèves, parents, professeurs, anciens collaborateurs et alumni – pour deux journées de festivités riches en émotions.

Fondée en 1975, l’école accueille aujourd’hui plus de 450 élèves de 3 à 18 ans sur son campus de Vernier, ainsi qu’une école de langue allemande fréquentée par 600 élèves externes.

Grâce à son programme bilingue et exigeant, la DSG prépare au Deutsches Internationales Abitur (DIA), un diplôme reconnu dans le monde entier, ouvrant l’accès aux meilleures universités en Suisse, en Allemagne et à l’international. Ce diplôme et cet ancrage local font de la DSG un véritable pont entre la Suisse romande et le monde germanophone.

Une cérémonie officielle marquante Vendredi soir, la célébration a débuté par une cérémonie solennelle et conviviale, en présence de personnalités telles que :

– Markus Potzel, nouvel ambassadeur d’Allemagne et du Liechtenstein en Suisse.

– Gian-Reto Agramunt, maire de Vernier, accompagné des conseillers administratifs Mathias Buschbeck et Martin Staub

– Clément Leclerc, consul général de France à Genève

– Et Mathis Kern, consul honoraire de la République fédérale d’Allemagne à Genève

Les discours ont retracé 50 ans d’histoire et présenté les perspectives d’avenir de l’école,

illustrées par une exposition artistique des élèves sur « la DSG du futur ».

Un moment fort a été la présentation en avant-première de l’hymne de l’école produit entièrement par les élèves et chanté en français et allemand qui a ému l’ensemble de l’assemblée.

La soirée s’est conclue par un cocktail dînatoire offert avec le soutien de l’Ambassade d’Allemagne.

Samedi : une fête ouverte à tous

Le lendemain, la DSG a organisé une grande fête populaire et intergénérationnelle, rassemblant familles, anciens et amis de l’école.

Le programme a ravi petits et grands :

– Carrousel, rodéo et ateliers de cirque (Cirquenbulle)

– Spectacles des élèves

– Un show d’humoriste allemand

– Et les surprenants « Vélos fous » de Mille et Une Roues, conçus avec des matériaux recyclés

Moment phare de la journée, l’Urban Move Academy, basée à Vernier, a électrisé le public avec ses démonstrations de parkour, breakdance, danse, skate et autres disciplines urbaines.

Des ateliers d’initiation ont permis aux jeunes de découvrir ces arts et sports urbains et de s’exprimer à travers le mouvement.

Retrouvailles et transmission

La fête a aussi été l’occasion pour les alumni et anciens collaborateurs de retrouver leurs camarades, d’échanger avec les équipes actuelles et de

renforcer les liens entre générations au sein de la communauté scolaire.

Le DIA, un diplôme tourné vers le monde

L’une des forces de la DSG est la préparation au Deutsches Internationales Abitur (DIA), l’équivalent de la maturité suisse.

Ce diplôme d’excellence permet aux élèves d’accéder aux universités suisses, allemandes et internationales, tout en valorisant le multilinguisme et l’ouverture interculturelle – des compétences clés dans un monde globalisé.

Un anniversaire qui regarde vers l’avenir

Ce week-end a illustré la mission de la Deutsche Schule Genf : allier tradition et modernité, tout en restant profondément ancrée dans sa commune et ouverte sur le monde.

Un moment fédérateur qui confirme le rôle essentiel de l’école dans la vie éducative et culturelle de la région genevoise.

Retrouvez l’article sur FOCUS.swiss

Deutsche Schule Genf Chemin de Champ-Claude 6 CH-1214 Vernier

dsg@dsgenf.ch +41 22 795 07 10 dsgenf.ch

Performance de Urban Move Academy devant le public et le bâtiment principal de la Deutsche Schule Genf.
De gauche à droite: Dieter Greulich, directeur d’école et Markus Potzel, ambassadeur d’Allemagne en Suisse. Initiation au cirque avec Cirquenbulle.
Première interprétation en direct de l’hymne de l’école UNSER WIR.

Faire du sport tout en s’amusant

C’est en découvrant les parcs de trampolines aux États-Unis qu’Yvan Lapraz a eu l’idée d’importer le concept en Suisse, avec un objectif clair : faire bouger les gens sans qu’ils aient l’impression de faire du sport.

Une activité à vivre en famille

Ouvert à tous dès 7 ans, The Jump Spot et ses trampolines offrent une activité capable de faire bouger même les plus réticents. Enfants, parents, et parfois même grands-parents s’y retrouvent pour partager un moment loin du rythme effréné du quotidien.

Ici, nul besoin d’être un athlète ou de venir équipé : « Ce qui est formidable, c’est que l’activité n’a rien d’élitiste et ne nécessite aucun équipement. Tout le monde peut participer et surtout, s’amuser. » confirme le fondateur.

L’effort physique devient ainsi un jeu et le plaisir de bouger ensemble prend naturellement le dessus sur la performance.

Un vrai parcours du combattant Le centre offre une multitude d’installations conçues pour stimuler petits et grands, dans une ambiance à la fois ludique et sportive. Les plus jeunes apprécient particulièrement les airbags géants qui leur permettent de tenter de nouvelles figures depuis une tour, un trampoline ou un trapèze, sans craindre la chute.

Le parcours Ninja Warrior connaît lui aussi un franc succès. Il combine force physique, coordination et équilibre à travers une série d’obstacles, qui exigent autant d’agilité que de persévérance. Les jeux interactifs ont également le vent en poupe auprès des jeunes.

Quand

Grâce à un système de détection de mouvements, les participants contrôlent un personnage virtuel par leurs propres gestes, comme s’ils étaient plongés dans un jeu vidéo grandeur nature.

Enfin, la zone haute performance attire les adolescents et les sportifs plus expérimentés. Équipée de trampolines de compétition et accessible dès 13 ans, elle offre un cadre idéal pour perfectionner ses techniques, s’entraîner à des figures plus complexes ou simplement se dépasser dans un environnement stimulant.

La sécurité avant tout

Bien que le trampoline puisse parfois être perçu comme un sport à risque, Yvan Lapraz se veut rassurant : « À The Jump Spot, la sécurité est notre priorité. Avec plus de 3300 m², chacun dispose de l’espace nécessaire pour éviter les collisions. La visibilité est excellente, ce qui permet aux gens de se repérer facilement. » Les blessures restent rares, même si une mauvaise réception ou une entorse peuvent

survenir. « Comme dans tout sport, il faut un minimum de maîtrise de son corps. Mais les risques sont faibles et bien encadrés », ajoute-t-il.

Des anniversaires inoubliables Le centre accueille régulièrement des fêtes d’anniversaire, très prisées des enfants. Ces derniers peuvent profiter librement des installations avec leurs amis, avant de partager un plateau de donuts proposé pour le goûter. Un café-bar et une fontaine à sirops sont également à disposition pour une pause bien méritée.

Plus d’informations sur www.thejumpspot.ch

la qualité et le partage rencontrent l’humain et l’animal

RENTRÉE DE NOS PROCHAINES FORMATIONS:

Éducation canine: 13 & 14 décembre 2025

Equicoaching: 07 & 08 mars 2026

Naturopathie animale: 27 mars 2026

Naturopathie humaine (Diplôme Fédéral)/animale, Herboristerie, Zoothérapie, Guérisseur, Éducation canine, Equicoaching, Hypnose, Cours à la carte reconnus ASCA et RME.

Sierre VS et Crissier VD

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+41 (0)78 735 34 04

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SUIS-NOUS SUR LES RÉSEAUX !

PROCHAINES PORTES OUVERTES: 27 septembre - 14h - 18h à Sierre

Naturopathie, herboristerie, hypnose, guérisseur: septembre 2026

Toutes nos formations peuvent être suivies en cours d’emploi. En effet, elles se déroulent principalement sur un à deux week-end par mois.

focus.swiss

Former les enseignants d’aujourd’hui et imaginer l’école de demain

Implantée sur deux sites bilingues (Saint-Maurice pour le Valais romand et Brigue dans le Haut-Valais), la Haute école pédagogique du Valais (HEP-VS) est l’institution cantonale mandatée pour former les futurs enseignants du primaire au secondaire en passant par l’enseignement spécialisé.

Avec une vision tournée vers l’innovation, l’interdisciplinarité et l’adaptation aux défis éducatifs actuels, la HEP-VS joue un rôle central dans le paysage scolaire valaisan. « L’ADN de la HEP Valais est de s’appuyer sur une vision et des valeurs fortes, qui placent l’humain au centre. Chez nous, l’étudiant n’est pas un numéro. Notre différence réside dans notre taille humaine. Ici, les étudiants évoluent en petits groupes, bénéficient d’un accompagnement personnalisé et entretiennent une proximité réelle avec leurs professeurs. Tout le monde se connaît, ce qui favorise un climat d’échanges et de confiance », souligne Caroline Rudaz-Ebener, directrice adjointe pour l’enseignement.

Une offre de formation de base au cœur de la mission

La formation initiale constitue le socle primaire de la HEP-VS. L’institution

Témoignages d’étudiants

Rita Silva suit actuellement un Bachelor en enseignement primaire à la Haute école pédagogique du Valais (HEP-VS). Elle est passionnée par le contact avec les enfants et achèvera son parcours en juin 2026. Rencontre avec une étudiante motivée, déjà pleinement engagée dans sa future vocation d’enseignante.

Qu’est-ce qui vous a amenée vers l’enseignement ?

Y a-t-il eu un déclic ?

Mon apprentissage en pédiatrie m’a beaucoup marquée : le lien étroit avec les enfants m’a confirmé ma vocation. J’adore travailler avec eux ! Pendant ma maturité, j’ai d’ailleurs reçu le prix de la meilleure élève de ma classe pour avoir organisé et géré

propose à ses étudiants des formations de base visant à préparer les enseignants pour les degrés primaires, secondaires I et II, ainsi que pour l’enseignement spécialisé. Ces programmes couplent les dimensions théoriques (pédagogie, didactique, sciences de l’éducation) et les stages pratiques en établissement scolaire, afin d’assurer une montée en compétences progressive et concrète.

À cette formation de fond s’ajoute une spécificité qui fait la force et l’originalité de la HEP-VS : son caractère bilingue, véritable laboratoire d’ouverture culturelle et pédagogique. « Nous possédons cette richesse bilingue propre à notre canton. Brigue est germanophone, Saint-Maurice francophone. Cette immersion permet aux futurs enseignants de découvrir la diversité linguistique et culturelle du Valais. C’est un véritable défi, mais aussi une valeur ajoutée précieuse. Nous proposons également un cursus bilingue débouchant sur un diplôme officiel. Les étudiants qui alternent d’une école à une autre développent ainsi rapidement des capacités d’adaptation et une sensibilité interculturelle. Ils acquièrent une autre manière d’enseigner et de gérer la diversité en classe. » Souligne la directrice adjointe.

des cours d’appuis, ce qui m’a donné encore plus confiance en moi.

Comment se déroule concrètement votre formation à la HEP-VS ?

Très bien ! Je suis très satisfaite de la qualité de la formation. Les premières années se composent de cours théoriques et de stages pratiques d’un mois, encadrés par des enseignants formateurs. Ces stages doivent être validés pour réussir le semestre.

En dernière année, un projet pilote a été mis en place : les étudiants de la HEP-VS sont engagés entre 10 à 40 % pour enseigner dans des classes valaisannes. Cela permet de suivre les élèves sur l’année entière et c’est très enrichissant !

Pourquoi avoir choisi ce dispositif combinant pratique et théorie ?

Lorsque le projet a été présenté en deuxième année, j’ai tout de suite été captivée. J’ai postulé en mars et commencé dès août avec ma propre classe. Le vendredi, j’enseigne en autonomie à des élèves de 8–9 ans, une fois par semaine.

Une formation ancrée dans la réalité du terrain

Le profil des étudiants évolue, tout comme la société. Pour répondre à ces changements, la HEP-VS a choisi d’adapter ses formations pour les rendre plus flexibles et d’intensifier les allers-retours entre la haute école et le terrain scolaire. Cette alternance renforcée permet aux futurs enseignants de se préparer plus concrètement aux réalités de leur métier, tout en bénéficiant d’un accompagnement personnalisé.

« Nos étudiants ont ainsi l’opportunité à présent de gérer une classe de A à Z tout en étant accompagnés par un collègue formé. Ils ont par exemple pu vivre leur première rentrée scolaire ou encore participer à leur première réunion de parents - un moment toujours impressionnant », indique Caroline Rudaz-Ebener.

Vous sentez-vous déjà enseignante, même si votre Bachelor n’est pas terminé ? Oui, mais je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre. Je reste attentive aux conseils et recommandations des praticiens formateurs. Ce que j’aime, c’est que pour les enfants, je reste leur maîtresse, pas « la stagiaire de la HEP ». Mon statut a aussi changé auprès des enseignants : je suis davantage considérée comme une collègue que comme une stagiaire.

Votre formation intègre un semestre dans l’autre partie du canton. Comment avez-vous vécu votre semestre dans la partie germanophone du canton ?

Au début, j’étais stressée car je n’étais pas vraiment à l’aise en allemand. Mais finalement, l’expérience a été incroyable et tout est venu assez naturellement. J’ai même pu donner des cours en allemand et y ai enseigné le français.

Qu’avez-vous appris dans cet environnement ?

Que je suis capable de m’adapter et qu’il faut croire en soi. La HEP Valais fournit beaucoup de ressources pour préparer

Défis et perspectives

La HEP-VS doit relever plusieurs défis : assurer une formation équivalente sur ses deux sites bilingues, intégrer les modalités hybrides et répondre aux transformations rapides du monde éducatif. « Le numérique, l’intelligence artificielle, mais aussi le vivre-ensemble, la durabilité, la santé, notamment mentale de nos jeunes, et le développement de l’esprit critique sont autant d’éléments qui transforment nos pratiques. Notre rôle est de former des enseignants capables de conjuguer compétences pédagogiques, techniques et surtout relationnelles avec la volonté de mettre la personne au centre », insiste Caroline Rudaz-Ebener.

En renforçant ses partenariats locaux et internationaux, l’institution entend favoriser le transfert d’innovation et accompagner durablement les enseignants face aux enjeux de demain. Mais derrière ces dispositifs et projets, il y a surtout la vocation première du métier, celle qui donne tout son sens à l’engagement des étudiants. Comme le résume Caroline Rudaz-Ebener : « L’enseignement est un merveilleux métier. Un métier qui a du sens. Les enseignants ont la chance de pouvoir faire leur part pour façonner le monde de demain en préparant les élèves à être les acteurs de ce monde. »

les leçons. Avec les enfants, c’est plus simple : ils ne jugent pas et facilitent l’acclimatation. Cela a été très formateur.

Qu’aimeriez-vous faire après votre diplôme ?

Je veux enseigner, c’est sûr et certain ! J’ai hâte de pouvoir montrer encore davantage ma personnalité en classe, avec plus de confiance. Plus tard, j’aimerais aussi devenir praticienne formatrice afin d’accueillir à mon tour de futurs étudiants et de leur transmettre tout ce que j’ai appris.

Prochain rendez-vous : Portes ouvertes le 26 novembre 2025, de 8h00 à 12h00 à la HEP-VS de Saint-Maurice.

Plus d’informations sur www.hepvs.ch

Rita

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C40 ans de passion : réédition de la mythique RockWatch

’est au cœur des Alpes suisses, dans le célèbre sommet de la Jungfrau, que prend naissance la nouvelle RockWatch. Tissot a choisi d’y extraire une matière première d’exception : un granit vieux de 300 000 ans, façonné par les forces de la nature depuis des millénaires. C’est ce fragment d’éternité qui sert aujourd’hui de cadran à la réédition de l’un des modèles les plus audacieux de l’histoire de la maison : la RockWatch, une montre culte relancée à l’occasion de son 40e anniversaire. Numérotée et limitée à seulement 999 exemplaires, cette création exclusive est bien plus qu’un garde-temps. Elle est un manifeste, une ode à la montagne et à l’esprit pionnier suisse.

Remonter le temps et façonner l’histoire

Lorsque Tissot lance pour la première fois la RockWatch en 1985, le monde de l’horlogerie est surpris. L’idée est simple mais révolutionnaire : utiliser une pierre naturelle comme cadran, non pas décorative mais brute, authentique. Le granit, matériau emblématique des Alpes, devient ainsi la signature d’une montre audacieuse. Avec ses nuances grises et bleutées, son bracelet de cuir noir et ses aiguilles aux couleurs vives rappelant les balises des sentiers

alpins, la RockWatch s’impose comme un symbole de créativité et d’identité suisse.

Quarante ans plus tard, ce design visionnaire n’a rien perdu de sa force. La réédition de 2025 ne se contente pas de reproduire un modèle culte, elle l’inscrit dans une histoire plus vaste. La RockWatch est à la fois un bijou pratique et élégant, un objet patrimonial et une création horlogère intemporelle. Elle raconte le terroir, les traditions, la passion d’un pays pour ses montagnes omniprésentes. Elle incarne aussi l’esprit des pionniers : ceux qui, équipés de cordes et de piolets, sont partis à l’assaut de l’Eiger et de la Jungfrau, ces cimes rocailleuses et enneigées qui dominent la vallée de Grindelwald.

La Jungfrau, un écrin naturel et culturel

La réédition prend tout son sens grâce au partenariat exclusif entre Tissot et la Jungfraubahn, le chemin de fer mythique qui relie Interlaken, Grindelwald et Kleine Scheidegg au « Top of Europe », la gare la plus haute d’Europe, perchée à 3 454 mètres d’altitude. C’est dans ces tunnels creusés au cœur de la montagne que le granit utilisé pour la RockWatch a été extrait.

Plus qu’un simple matériau, cette pierre est une part de la montagne elle-même, un témoin de sa force et de sa majesté. Le choix de la Jungfrau, sommet emblématique culminant à 4158 mètres et voisin de l’Eiger, n’est pas anodin. Sa silhouette évoquant les courbes d’une jeune femme appartient à l’imaginaire collectif et incarne la beauté et la fragilité de la nature suisse. À travers la RockWatch, Tissot invite chacun à emporter un fragment de cette légende alpine.

Comme le souligne Sylvain Dolla, directeur général de Tissot : « Avec ce partenariat, nous avons imaginé la création de ce modèle en revalorisant les blocs de granit issus des tunnels creusés au cœur de la Jungfrau. C’est une collaboration à la fois exclusive et valorisante. La RockWatch permet de porter au poignet un fragment de montagne, un éclat d’histoire et d’éternité.»

Une création technique et poétique La RockWatch ne se limite pas à un concept. Elle est le fruit d’un savoir-faire horloger précis et exigeant. Façonner une pierre brute en cadran de montre demande une maîtrise exceptionnelle. Chaque granit est découpé, poli et intégré avec soin, tout en conservant ses nuances naturelles et ses textures uniques. Protégé par un verre saphir bombé, le cadran de 38 mm conserve toute la force de sa matière originelle.

Chaque pièce raconte une histoire différente : veinures, reflets et cicatrices minérales confèrent à chaque montre sa propre identité. Aucune RockWatch ne ressemble à une autre, ce qui en fait une pièce profondément personnelle.

Distribuée uniquement dans 26 points de vente Tissot, la série est ultra-limitée. Elle est livrée dans un écrin évocateur, une boîte reprenant l’aspect d’un cube de

granit, comme pour prolonger l’expérience jusque dans le geste d’ouverture. Dotée d’un mouvement à quartz, avec deux aiguilles bâtons argentées, elle conjugue modernité et sobriété.

Entre héritage et singularité

La RockWatch est plus qu’une montre. Elle est un symbole. Elle relie la tradition horlogère suisse à la force immuable de la nature. Elle évoque l’air pur des glaciers, le silence des cimes, la lumière changeante des parois rocheuses. Elle capture un peu de la Jungfrau, un peu du « Top of Europe », pour l’offrir à celui ou celle qui la porte.

Chaque exemplaire devient ainsi un objet rare, une pièce de collection qui célèbre à la fois le passé et l’avenir. En rééditant ce modèle culte, Tissot ne se contente pas de rappeler une réussite de son histoire. La maison affirme une vision : celle d’une horlogerie enracinée dans son territoire, capable de transformer une pierre millénaire en une icône intemporelle.

Un fragment d’éternité au poignet La RockWatch est un manifeste en faveur de l’authenticité et de la rareté. Chaque cadran est unique, chaque montre porte la trace de la montagne dont elle est issue. Porter une RockWatch, c’est emporter avec soi un fragment d’éternité, un symbole de liberté et de force. À travers cette réédition, Tissot rappelle que l’horlogerie suisse ne se résume pas à une prouesse technique : elle est aussi une histoire, une culture et une passion. La RockWatch est un hommage vibrant à la montagne et à l’esprit pionnier qui a forgé l’identité helvétique. Plus qu’un garde-temps, elle est une légende, une œuvre à la fois rare et intemporelle, destinée à ceux qui veulent porter au poignet un morceau de l’âme des Alpes.

Texte Alix Senault

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