De l'Italie et de la Tour de Babel : - Un petit éclaircissement sur Babel : Il serait à penser que la Babylone d'Irak ait adoptée ce nom de Babel, dont l'origine antérieure au sumérien n'est pas expliquée. Selon la Genèse 10,10 Nimrod régna d'abord sur «Babel, Erec [Uruk], Accad et Calné, au pays de Shinar» mais ceux-ci étaient des terres inhabitées. La Genèse n'associe aucunement Nimrod, un arrière-petit-fils de Noé, à la Tour qui n'est construite qu'après avoir énoncé une longue descendance à ce dernier. Gènese 10,32 «Telles sont les familles des fils de Noé, selon leurs générations, selon leurs nations...». «Comme ils (les lointains fils de Noé) étaient partis de l'orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Schinear, et ils y habitèrent.» Cette Tour de Babel est placée selon la Genèse au pays de Shinar, possiblement du nom Shene nahar «deux rivières»; the word “plain” (biḳ‘ah) means the wide open expanse of a river valley. (Ces fils se sont donc établit en Occident bien après Noé et Nimrod, tel que les Assyriens nomment la Mer Méditerranée. Le nom Shinar rappelant la mer Adriatique et Tyrrhénienne, ou les deux fleuves troyens.) Ce qu'on sait avec assurance est que vers 3000 ans av. J-C, l’Égypte dynastique, la civilisation de Sumer, et celle de la Troie historique (Hittites) apparaissent en même temps, à ces mêmes endroits cités, et construiront éventuellement de hauts édifices. Ceci propose un schisme. De l'autre côté de l'Océan, les Mayas proposent aussi le mythe du FirstFather arrivée en bateau et une date. Le fameux calendrier maya qui finissait en 2012 était un cycle de 5125 années commencé en 3113 av. J-C. - La piste d'Estodius : A synopsis of Signorili's "De iuribus et excellentii surbis Romae" opens with Signorili, 'secretarius incliti Magistratus almae Urbis', making his obeisance to the recipient of his treatise, Pope Martin V (1420). The legend, as recounted by Signorili, tells how, after the sons of Noah had built the Tower of Babel, Noah sailed with them to Italy, and founded a city where Rome now stands, calling it Noe after his own name, the actual spot being still (in Signorili's day) called Archa Noe, though some called it the arcus Nervae after the inscription to be seen there. The Area di Noe, an archway in the Forum of Nerva, was demolished in the early 17th century, known from the Anonymus Escurialis drawing: on the frieze of the adjacent Temple of Minerva; only the fragment IMP. NERVA remains. (Le fragment est «P Minerva» inversé.) The account is derived from a source called 'Estodius' - the same quoted by the Graphia Aureae Urbis, Martinus Polonus (Martini Oppaviensis Chronicon v. 399), and Giovanni Cavallini, in the similar, though not identical, accounts they give of Noah's foundation of Rome. [35] Signorii fait ensuite état des premiers fondateurs, d'un Saturne crétois, d'un Janus fils de Japhet, quoi que les fils de Japhet sont mentionnés par Flavius Josèphe et d'autres comme peuplant l'Europe dont la Phrygie et la Thrace. (Si on oublie la suite de Signorii sur le Janus et Saturne, on peut déjà théoriser cette Tour de Babel.) «Moreover in these towns with walls collapsed, you see the relics and memorials of men of old. This fort father Janus built, that Saturn; Janiculum was this called, that Saturnia. (Aenid 355–8)» Ensuite Romulus dans le Graphia Aureae Urbis Romae (unknown writer 1154-1275), unit les villes de Rome à celle de Noé, on présume, en les entourant d'un mur. (Enfin, il serait encore à penser que l'Italie cache d'autres mystères que la Troie, Rome, la Papauté et l'Axis d'Hitler; c'est ce que cache les sept montagnes ou disons les villages emmurés par Romulus, ces royaumes qui ne sont pas que spatial mais temporel. Enfin la Rome qui régnera sur le monde, selon les antiques prophéties, est identique au passage Genèse 11,9 «C'est pourquoi on l'appela du nom de Babel, car c'est là que l'Éternel confondit le langage de toute la terre, c'est de là que l'Éternel les dispersa sur la face de toute la terre.» Or qu'est-ce que confondre le langage sinon de ne plus s'entendre, donc faire la guerre, donc la présence de Minerva. [Ref. au VOL. 2, Minerva / Athéna libyenne et Neith.)
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The topographical and archaeological study of the antiquities of the city of Rome 1420-1447, Peter Spring, University of Edinburgh, 1972