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La Troie historique de Hisarlik en Turquie (Asie-Mineure
by rogerbbb
La Troie historique de Hisarlik en Turquie (Asie-Mineure) - “Next April I intend to lay bare the entire hill of Hissarlik, for I consider it certain that I will find there Pergamos, the citadel of Troy.” Heinrich Schliemann, August 22, 1868, Letter to his brother Hans and his sister Doris. Selon l'Énéide : «Ainsi finit Priam ; ce fut ainsi que, sous la volonté des destins, il sortit de la vie, les yeux remplis des flammes de Troie et des ruines de Pergame, lui dont naguère ses peuples et ses terres innombrables faisaient le superbe dominateur de l’Asie (Asie-Mineure).» On lit encore en l'Énéide, lorsque Énée se dirige vers la Thrace et vers sa Phrygie originelle, que Troie est la seconde ville du nom : «Ô Dieu de Thymbra, donne-moi une demeure assurée ; donne-nous, après tant de fatigues, des murs, une postérité, une ville durable ; protège le second Pergame troyen, les restes du massacre des Grecs et du farouche Achille.» (La thèse est la suivante, Troie étant appelé Pergame, le site dit de la Troie historique serait l'antique Pergame phrygienne; à ne pas confondre avec la ville de Pergame fondée au VIIIe siècle av. J-C en Anatolie. Pergame et la Troie de Hisarlik sont côte à côte puisque ce serait les mêmes villes, une régnant au IIe millénaire, l'autre refondée après la Guerre de Troie. Tant qu'au nom Luwian attribué à la Troie historique, Wilusa, qui contient la racine Ilus, cela s'explique par un dieu primordial cité dans les fragments de Sanchioniaton, Ilus aussi dit Cronus. La Troie italienne des épopées et la Troie historique phrygienne (niveau VII-VIII) se chevauche mais très peu.) Les différentes campagnes de fouilles ont mis au jour les restes superposés de neuf villes, étiquetées de la plus ancienne (Troie I, entre 3000 et 2500 av. J.-C.) à la plus récente, d’époque romaine. Aucune ne correspond vraiment à la cité de Priam. Trois cents habitants tout au plus auraient pu vivre dans la Troie VIIa, alors qu'Homère en décrit cinquante mille. En revanche, Troie VI, datée entre 1800 et 1300 av. J.-C., laisse imaginer une grande ville avec des fortifications. Il fût établi qu’elle n’avait pas été détruite par un siège, mais par un tremblement de terre, vers 1275 av. J.-C. Korfmann découvre qu'au VIIIe siècle av. J.-C., des colons grecs de l'île de Lemnos ont construit une sorte de "lieu de pèlerinage" ou de "station touristique" sur le site de Troie VII, abandonné depuis la fin du IIe millénaire av. J.-C., soit entre l'an 1250 et l'an 1000 av. J.-C. (Les dates ne correspondent pas : tour à tour on désigne Dardanos ou Ilos comme fondateur ce qui laisse quelques générations depuis la fin de Troie à sa fondation, soit peut-être 300 ans, alors que Hisarlik est de 1500 ans plus âgé.) - Un royaume qui domine sur l'Asie-Mineure : archaeologists have announced the rediscovery of a 3200 years old 29-meter-long (95 ft) Luwian hieroglyphic inscription. When in 1878, villagers in Beyköy discovered the artifact, according to Mellaart's notes, the inscription was copied by a French archaeologist named Georges Perrot. According to Fred Woudhuizen, the inscription narrates the story of a prince named Muksus from Troy (Pergame) and his military exploits, while it also mentions the enigmatic “Sea People” confederation. Prince Muksus, a Trojan (Phrygian) prince, led a naval expedition for Mira that conquered Ashkelon, now in modern-day Israel, and built a fortress there. The text also tells of King Kupanta-kuruntas' rise to the throne of Mira, western Turkey. After a Trojan (Phrygian) king named Walmus was overthrown, Kupanta-kuruntas' father King Mashuittas seized control of Troy (Pergame). Mashuittas quickly reinstated Walmus to the throne of the Bronze Age city in exchange for his loyalty to Mira. Once his father died, Kupanta-kuruntas became king of Mira, though he was never the official king of Troy (Pergame). The ancient leader describes himself as a guardian of Troy (Pergame), asking future rulers to guard Wilusa (Pergame) like the great king of Mira did. [21] (Considérant l'hypothèse que la Troie historique est la Pergame antique qui a été détruite et reconstruite quelques siècles après, le texte se lit plus fluidement.) According to James Mellaart, the earliest Indo-Europeans in northwest Anatolia were the horse-riders who came to this region from the north and founded Demircihöyük (Eskisehir Province) in Phrygia c. 3000 BC.
21 https://www.ancient-origins.net/news-history-archaeology/3200-year-old-stone-inscription-narrates-tales-sea-peopleand-trojan-prince-021655
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They were allegedly ancestors of the Luwians who inhabited Troy II. Pergame à l'âge du bronze? «Nevertheless, the lower valley is where developments seem to concentrate in the 2nd millennium BCE, as almost all possible imports and unusual wares (e.g. Mycenaean, Schamotte and Creamy Ware) were all found there and are likely linked with activities of the settlements in the vicinity of the coast. What might have possibly come as a surprise was that the site of Pergamon, so dominant in the valley during the later periods, seems to have played a very small, and certainly not a central role in the prehistory of the valley. (Peter Pavuk and Barbara Horejs, Institute of Classical Archaeology, Charles University, Prague)» (À ce que je comprend les traces d'occupation à l'âge du bronze ne sont retrouvées que dans les vallées et territoires alentour de la Troie historique d'Hisarlik. L'Énéide fait aussi une distinction entre Toie et Pergame : «Teucer, en était parti lorsqu’il aborda au cap Rhétée et choisit la Troade pour y fonder son royaume. Ilion ni la citadelle Pergame n’étaient encore debout ; on habitait le fond des vallées.» Et encore le pluriel à Énéide 3, 345 «Je m'avance, et je reconnais une petite Troie et Pergame, imitant leurs grands modèles» Ceci quoi qu'on distingue parfois Pergame comme étant la citadelle.)
- Des premières cartes de la Troie historique. La divination d'Alexander Pope (1716) : When Alexander Pope was planning the publication of his translation of the Iliad (1715-20) no map was available, Pope settled down to make his own map to illustrate events in the Iliad. Lady Mary Wortley Montagu was at Constantinople 1716-18, when her husband was British ambassador to the Porte, and exchanged letters with Pope. Lady Mary and her husband visited the Trojan plain, Homer in hand. «You could give me great eclaircissements upon many passages in Homer since you have been enlightened by the same sun that inspired the father of poetry. You are now glowing under the climate that animated him (Homer); you may see his images rising more boldly about you, in the very scenes of his story and action; you may lay the immortal work on some broken column of a hero's sepulchre; and read the fall of Troy in the shade of a Trojan ruin.» She anwered «[I] found a stone on which Mr. W[ortle]y plainly distinguished the words of Sigaen Polin. We ordered this on board the ship. [] There is some pleasure in seeing the valley where I imagined the famous duel of Menelaus and Paris had been fought, and where the greatest city in the world was situated. [] While I viewed these celebrated fields and rivers I admired the exact geography of Homer, whom I had in my hand. Almost every epithethe gives to a mountain or plain, is still just for it.» [22] (Le dialogue a tout d'une tentative de divination pour retrouver les ruines, par le toucher d'artefacts, de rochers et colonnes, par le livre d'Homère – la divination par Homère existe depuis l'antiquité –, les songes sont souvent utilisés dans ces cas, et sur le promontoire elle semble avoir des visions. Le voyage de Montagu serait postérieur à la première publication de la carte de Pope, pourtant il demande des informations et les lettres de Montagu auraient été modifié pour publication 50 ans après sa visite. Mme Montagu était près du pouvoir britannique et de la noblesse italienne. Ses lettres décrivaient les Turques de l'intérieur, le titre même en rend compte "Accounts of the Policy and Manners of the Turks, Drawn from Sources that have been inaccessible to other Travellers" Il n'est pas impossible qu'elle eût agit comme espionne, la dissension qui en faisait des barbares aux yeux des européens, d'ailleurs jamais accepté dans l'UE, était encore forte et en vogue au XVe et XVIe siècle [Ref. au VOL. 3 : Ordre de la Toison d'Or]. Ce genre de mancie sur la Troie Anatolienne se faisait pendant l’Antiquité et peut se lire dans l'Heroikos de Philostrate.) - La Société des Dilettanti : une société savante britannique créée au cours de l'année 1733-1734 cherchant à établir une science explicative des antiquités à partir d'une recherche archéologique. En 1734, des gentlemen qui avaient voyagé en Italie, désireux d’encourager en Grande-Bretagne le goût pour ces objets fondèrent la Société. Le comte de Sandwich, un des premiers Dilettanti, voyagea au Levant en 1738-1739. Richard Chandler fit un sondage de terrain en 1764 en vue de la Troie historique pour cette Société disant «A map belonging to Mr. (Robert) Wood, and made, as we supposed, by a French-man, in 1726, served as a
22 Robert Wood and the Problem of Troy in the Eighteenth Century, by T. J. B. Spencer, Journal of the Warburg and
Courtauld Institutes,Vol. 20, No. 1/2 (Jan. - Jun., 1957). http://www.jstor.org/stable/750152
guide. The author, it is imagined, believed, as other travellers had done, that this was the site of Troy, or of a more recent city named Ilium, instead of Alexandria Troas.» [Mapping the Ottomans, by Palmira Brummett, p.309] Alexandria Troas n'est qu'à 15-20km de la Troie historique d'Hisarlik, fondée sur le site d’une ancienne bourgade Sigée en 310 av. J.-C. par un général d'Alexandre le Grand, Antigone le Borgne. (Pour plusieurs raisons, si la vraie Troie était connue dans la nobilité royale, surtout italienne, on aurait avantage à financer des expéditions pour retrouver l'antique Pergame Phrygienne.) Robert Wood, membre de la société en 1763, est aussi un des premiers à publier une carte de la Troade (1775), produite par Giovanni Battista Borra en 1750. La Société se serait effacée vers 1812 devant la croissance du British Museum. - Un témoignage à vérifier : Basil (Vasily) Grigorovitch Barsky, né en 1701 et décédé en 1747, est un moine, dont le voyage débute à Kiev jusqu'à la moitié de sa vie, et dont les carnets comportent de précieuses descriptions de l'Orient du XVIIIe siècle. Voici un résumé de son passage en Italie du livre "A journey to the holy places, in Europe, Asia and Africa, located in 1723, and completed in 1747, written by Vasily Grigorovich-Barskiy". «In particular, the author goes from Rome to Naples in August and ends up in Troy, from Troy to Naples there is 20 miles. On the way, he fell ill and was treated already in Troy (Troia), the capital of a whole county. It is said something about the dilapidated Troy in Anatolia, a new fortress was built in its place.» [23] Son histoire : Le 23 avril 1724, Grigorovitch commença son voyage qui dura près de 25 ans. En passant par la Slovaquie, la Hongrie et l'Autriche. Toujours en 1724, ce dernier arriva en Italie. Il passa par Bari le 25 juillet et atteignit Rome le 29 août où il resta une vingtaine de jours. Extrait du livre : «At Saint Nicholas’ relics in Bari, Italy, Barskii asked a traveling companion what caused the manna [holy oil] to seep out of the relics. They concluded that it was secreted “through a small window hidden by a cleverly designed instrument” in a ploy to fool the masses.» Après avoir visité Florence et Venise, il quitta l’Italie pour l’île de Corfou, le 28 février 1725. En 1741, pendant qu'il traversait Constantinople, on lui offrit une place de prêtre dans son ambassade russe. Grigorovitch refusa et se retrouva pour la deuxième fois au mont Athos, en Grèce. Il y resta jusqu’en 1747 et se consacra à l’écriture d'un carnet sur le mont Athos. Il nous renseigne sur des détails inédits, introuvables dans d'autre livres. Il rentra dans les ordres du mont Athos et travailla en tant que bibliothécaire. Il rentra à Kiev le 2 septembre 1747 en se sauvant d'une arrestation due à un désaccord avec le nouvel ambassadeur de Constantinople. Il y mourut le 7 octobre avant d'avoir publié ses carnets. La première publication eut lieu en 1778 par Rouban, complètement remaniée, avec tous les passages ressemblant à du merveilleux ou du miracle enlevés. Nicolas Boursakov et le prince Potemkin rééditèrent son œuvre sous le nom de «Voyages de B. Grigorovich aux lieux saint d'Europe, d'Asie et d'Afrique, commencés en 1723 et terminés en 1747.» [Wikipedia] (Les carnets de Barsky n'ont été traduit que partiellement, et il est assez claire qu'on aie voulut le faire taire comme pour plusieurs autres qui parlent de Troie, à l'exemple des livres perdus de Tite-Live dont je reparlerai; est aussi intéressant le chevauchement avec l'existence de la Société Dilettanti qui s'apprête à mettre en valeur la Troie d'Anatolie. Il faut ici distinguer que la Troie sur sa carte représente probablement une enclave au nom de Troia en la province de Foggia, Italie; ville qui aurait été fondé selon la légende par Diomède de suite après la Guerre de Troie. Le récit laisse supposer quelques révélations sur l'histoire de Troie. L'homme a-t-il été éliminé?) «Vasily Barsky, describing Christian shrines, was not just a pilgrim, but a researcher who was called upon to report to his motherland accurate information about the far Eastern countries... rejecting fiction and not avoiding inconvenient facts. Barsky formulated : "It is shame for a true and conscientious historian to conceal the truth, because when the good deeds of the ancients are described and praised, it benefits the readers giving an example, while stories of bad deeds encourage them to withdraw from evil [Wanderings 1887:408]".» [24]
23 Pour le site avec les cartes : https://well-p.livejournal.com/670081.html. Traduction automatique tirée de ce site : https://sanout.ru/en/leisure-and-recreation/troya-ilion-troya-i-troyanskaya-voina-drugie-dostoprimechatelnosti/ 24 Reviewing the sacred object. Vassiliy Barskiy as the first Russian researcher of the Christian East. Yulia N. Buzykina.
- Ura-Linda-Chronik – l'histoire phrygienne de Troie et de la Grèce. L'exemplaire manuscrit de la Chronique d'Ura-Linda aurait été copié en 1256 selon Ottema, et conservé dans la famille Over de Linden depuis cette date. La succession d'un ordre de prêtresses dédiées à la déesse Frya, se serait succédé depuis le Déluge jusqu'au IIIe siècle av. J.-C. La Chronique fait état des rencontres avec les peuples européens, Italiens, Grecs entre autre avec Cadmus et Ulysse, etc... Tendance nazie : Already in August 1935 Herman Wirth started his first expedition to Scandinavia to examine ancient rock drawings and to reproduce plaster cards of them. March 1936, Himmler prohibited Wirth from autonomously corresponding in the name of the “Ahnenerbe”. Therefore he interdicted public discussions on the Ura-Linda-Chronik and engaged Otto Mausser to scrutinize internally what could be said about it without leaving safe ground. (Le manuscrit fût déclaré frauduleux par nul autre que les nazis eux-mêmes mais Himmler demanda une révision.) Version anglaise de William R. Sandbach publiée en 1876. L'auteur propose selon quelques fragments que l'auteur initial aurait pu être un contemporain de César. Le livre nous apprend qu'au temps de Cadmus, un commerce existait entre les Frisiens et les Phéniciens. Une prêtresse du château de l'île de Walcheren, Minerva, aussi appelé Nyhellenia, s'est installée dans l'Attique et a fondé un château à Athènes. La datation est la suivante, le livre est écrit en 1256, soit 3449 années après un certain déluge (-2193); Adela qui écrit le premier livre se situerait en -559, le dernier auteur entre -70 et 11 après J-C. Les Frisiens disent venir de Friso du côté Indo-Perse. Frya a établit sa loi "Tex" et la religion de l'éternelle lumière, le culte consistait en celui d'une lampe perpétuelle (foddik) par les prêtresses vierges. Enfin, une auteure nommée Apollonia de la lignée d'Adela, en tant que «cheffe des vierges» vers 540 av. J-C, a fait un voyage du Rhin vers la Suisse. (Le Déluge est probablement celui d'Ogyge qui est abordé au prochain chapitre. Tant qu'au lien avec les nazis, il est un fait postérieur et non-contemporain à sa publication. On y fait, dans la chronique, une dissertation sur le mot Eva, nom qui sera paradoxalement celui de la future femme d'Hitler. Eva est cette faculté de l'âme de se juger, la "scintillae conscientiae" qui est couplé à la mer tranquille de la psyché de Cronos-Wr-alda. Le nom Krekalanders est utilisé pour définir autant les Grecs que les Italiens, soit les Mycéniens; il existe une confusion entre les Gaules et les Phéniciens, ce qui n'empêche pas de les reconnaître. Le manuscrit étant de plusieurs auteurs de plusieurs époques, il faudra en juger un chapitre à la fois.) - Chapitre 30 sur Troie. IN THE YEAR ONE THOUSAND AND FIVE AFTER ATLAND WAS SUBMERGED, THIS WAS INSCRIBED ON THE EASTERN WALL OF FRYASBURGT. «After twelve years had elapsed without our seeing any Italians in Almanland, there came three ships, finer than any that we possessed or had ever seen. On the largest of them was a king of the Jonischen Islands whose name was Ulysses, the fame of whose wisdom was great. To him a priestess had prophesied that he should become the king of all Italy provided he could obtain a lamp that had been lighted at the lamp in Tex-land. For this purpose he had brought great treasures with him, above all, jewels for women more beautiful than had ever been seen before. They were from Troy, a town that the Greeks had taken. All these treasures he offered to the mother, but the mother would have nothing to do with them. At last, when he found that there was nothing to begot from her, he went to Walhallagara (Walcheren). There was established a Burgtmaagd (vestale) whose name was Kaat, but who was commonly called Kalip, because her lower lip stuck out like a mast-head. Here he tarried for years, to the scandal of all that knew it. According to the report of the maidens, he obtained a lamp from her; but it did him no good, because when he got to sea his ship was lost, and he was taken up naked and destitute by another ship. There was left behind by this king a writer of pure Frya’s blood, born in the new harbour of Athens, who wrote for us what follows about Athens, from which may be seen how truly the mother Hel-licht spoke when she said that the customs of Frya could never take firm hold in Athens.» (Le texte est cohérent pour plusieurs raisons, d'abord des lampes perpétuelles ont été retrouvé dans certaines tombes troyennes; ensuite Ulysse par malheur dérive longuement après Troie,
Russian Journal of Church History. 2020; 1(1):3. (In Russ.) doi: 10.15829/2686-973X-2020-1-1-3
certains perdent leur bateau et dérivent nu effectivement. Il faut ensuite noter le nom Frya se rapprochant de Phrygia, sachant que leurs contemporains Thraces sont montés en Europe par la Bulgarie. Enfin le mythe du feu perpétuel se retrouve dans le zoroastrisme dans la région indo-iranienne, l'époque de Zoroastre est datée entre 2000 et 600 av. J-C. Il emprunta au mazdéisme le culte du feu entretenu. Le récit ne coïncide pas avec celui des errances d'Ulysse mais pourrait s'appliquer à un «fils d'Ulysse» possédant des trésors troyens en héritage. Télégonos fût envoyé avec Pénélope dans les Îles des Bienheureux, et la mort de Télémaque est variable. Finalement on présume la datation comme un repère temporel seulement.) Sur les Étrusques : «At first the men of Athens only married women of our own race, but the young men as they grew up with the girls of the country took them to wife. The bastard children of this connection were the handsomest and cleverest in the world; but they were likewise the wickedest, wavering between the two parties, paying no regard to laws or customs except where they suited their own interests. As long as a ray of Frya’s spirit existed, all the building materials were for common use, and no one might build a house larger or better than his neighbours; but when some degenerate townspeople got rich by sea-voyages and by the silver that their slaves got in the silver countries, they went to live out on the hills or in the valleys. There, behind high enclosures of trees or walls, they built palaces with costly furniture, and in order to remain in good odour with the nasty priests, they placed there likenesses of false gods and unchaste statues. Sometimes the dirty priests and princes wished for the boys rather than the girls, and often led them astray from the paths of virtue by rich presents or by force. Because riches were more valued by this lost and degenerate race than virtue or honour, one sometimes saw boys dressed in splendid flowing robes, to the disgrace of their parents and maidens, and to the shame of their own sex.» (Il faut décoder les repères géographiques. On a associé les grecs et mycéniens aux Krekalanders, les mycéniens s'étendaient en Grèce et en Italie à cette époque cité de Troie. Beaucoup de poteries mycéniennes du XIII-XIIe siècle av. J-C ont été trouvé en Italie. Bref ce qu'on nomme Athènes est à double-tranchant, les pirates tyrrhéniens Étrusques s'étant répandus en Italie peu avant Troie avaient des moeurs semblables, fétiches et sexualité - voir la section sur Pompéi. C'est donc dans cette atmosphère que vint s'installer les troyens en Italie.) - Chapitre 14 (USEFUL EXTRACTS FROM THE WRITINGS LEFT BY MINNO) - sur les fables et les gens de Finda : «Minno was an ancient sea-king. He was a seer and a philosopher, and he gave laws to the Cretans. He was born at Lindaoord, and after all his wanderings he had the happiness to die at Lindahem. [] Lyda’s people can neither make laws nor obey them, they are too stupid and uncivilised. Many are like Finda. They are clever enough, but they are too rapacious, haughty, false, immoral, and bloodthirsty. The toad blows himself out, but he can only crawl. The frog cries “Work, work;” but he can do nothing but hop and make himself ridiculous. The raven cries “Spare, spare;” but he steals and wastes everything that he gets into his beak. Finda’s people are just like these. They say a great deal about making good laws, and every one wishes to make regulations against misconduct, but does not wish to submit to them himself. Whoever is the most crafty crows over the others, and tries to make them submit to him, till another comes who drives him off his perch.» (On cite que Troie est composé de gens de Lyda et Finda, on supposerait que Lyda est la Lydie phrygienne; la présence de fables telles que celles rapportées par Ésope, quoi qu'ici plus sommaire, permettent d'accréditer une partie du texte.) - Chapitre 15 (FROM MINNO’S WRITINGS) - Sur Pallas-Athéna de Troie. (Résumé du chapitre : Minos de Crète raconte des évènements passé, on peut supposer au temps de la fondation de Troie. Des princes et des officiants vont voir Minerve-Athéna qui leur donne des conseils, il est probablement question de l'Athéna grecque. Suite à un conseil qui leur déplaît, ceux-ci s'en vont propager une version corrompue de sa doctrine depuis Krekaland (Italie et Grèce) jusqu'aux Alpes; on peut inférer l'arrivée des Troyens en Italie avec leur propre version d'Athéna. Ces derniers ont copié et repris les rites mycéniens à leur propre façon, fait la promotion de la richesse, créé des statues, attitré des Vesta incultes en les gardant semblables aux esclaves locriennes. Cette façon de faire romaine de prendre les dieux des autres, et le lieu même «vers les Alpes» indiquent le lieu de la Troie italienne.) «When Nyhalennia, whose real name was Min-erva, was
well established, and the Krekalanders (Mycenaeans) loved her as well as our own people did, there came some princes and priests to her citadel and asked Min-erva where her possessions lay. Hellenia answered, I carry my possessions in my own bosom. What I have inherited is the love of wisdom, justice, and freedom. [] She was once asked, If you are not a witch, what is the use of the eggs that you always carry with you? Min-erva answered, These eggs are the symbols of Frya’s counsels, in which our future and that of the whole human race lies concealed. Time will hatch them, and we must watch that no harm happens to them. The priests said, Well answered; but what is the use of the dog on your right hand? Hellenia replied, Does not the shepherd have a sheep-dog to keep his flock together? What the dog is to the shepherd I am in Frya’s service. I must watch over Frya’s flocks. We understand that very well, said the priests; but tell us what means the owl that always sits upon your head, is that light-shunning animal a sign of your clear vision? No, answered Hellenia; he reminds me that there are people on earth who, like him, have their homes in churches and holes, who go about in the twilight, not, like him, to deliver us from mice and other plagues, but to invent tricks to steal away the knowledge of other people, in order to take advantage of them, to make slaves of them, and to suck their blood like leeches. [] If, then, your god is so exceedingly good, why does he not turn away the bad? asked the priests. Hellenia answered: Frya has placed us here, and the carrier, that is, Time, must do the rest. For all calamities there is counsel and remedy to be found, but Wr-alda wills that we should search it out ourselves, in order that we may become strong and wise. If we will not do that, he leaves us to our own devices, in order that we may experience the results of wise or foolish conduct. [] said Hellenia, but ravens and other birds of prey feed only on dead carrion, whereas the plague feeds not only on carrion but on bad laws and customs and wicked passions.» Les faussaires : «Hellenia stood up and said: The sparrows follow the sower, and the people their good princes, therefore it becomes you to begin by rendering yourselves pure [] The people began to mock and to jeer, so that she did not dare to pursue the subject; [] they went all about from the heathenish Krekaland to the Alps, proclaiming that it had pleased the Almighty God to send his clever daughter Min-erva, surnamed Nyhellenia, over the sea in a cloud to give people good counsel, and that all who listened to her should become rich and happy, and in the end governors of all the kingdoms of the earth. They erected statues to her on all their altars, they announced and sold to the simple people advice that she had never given, and related miracles that she had never performed. They cunningly made themselves masters of our laws and customs, and by craft and subtlety were able to explain and spread them around. They appointed priestesses under their own care, who were apparently under the protection of Festa, our first Eeremoeder, to watch over the holy lamp; but that lamp they lit themselves, and instead of imbuing the priestesses with wisdom, and then sending them to watch the sick and educate the young, they made them stupid and ignorant, and never allowed them to come out. They were employed as advisers, but the advice which seemed to come from them was but the repetition of the behests of the priests» (Le chien, le corbeau et la chouette sont présents sur la fresque de Cenchrées, la souris est un symbole du patriarche troyen Teucros, et les oeufs ont été présenté comme en lien avec la Thrace, Thrace qui est plus près des Frisiens des Pays-Bas ou de Frya. Pour aider à distinguer Grecs et Troyens, on cite au Chapitre 42 qu'en 305 av. J-C «Then he brought us to the new port of Athens, where all the true children of Frya had formerly gone.») - Chapitre 4. THIS WAS INSCRIBED UPON THE WALLS OFF RYASBURG IN TEXLAND, AS WELL AS AT STAVIA AND MEDEASBLIK - sur la Déesse Phrygienne : «Wr-alda, who alone is eternal and good, made the beginning. Then commenced time... After the twelfth Juulfeest she brought forth three maidens: Lyda out of fierce heat. Finda out of strong heat. Frya out of moderate heat. [] The laws that Finda established were written on golden tables, but the object for which they were made was never attained. The good laws were abolished, and selfishness instituted bad ones in their place. O Finda! then the earth overflowed with blood, and your children were mown down like grass. Yes, Finda! those were the fruits of your vanity. Look down from your watch-star and weep. [] Powerful Frya! At the glance of her eye the lion lay down at her feet and the adder withheld his poison. Pure Frya! Her food was honey, and her
beverage was dew gathered from the cups of the flowers. [] Most happy Frya! Like the starry host in the firmament, her children clustered around her. [] Obedient children! When they came to themselves again, they made this high mound and built this citadel upon it, and on the walls they wrote the Tex, and that every one should be able to find it they called the land about it Texland. Therefore it shall remain as long as the earth shall be the earth.» (On nous dit ici que les ancêtres des troyens, Lyda et Finda sont des bandits, qu'ils ont changé les lois premières. Frya est telle la dame aux fauves, la déesse des cieux étoilés.) - Chapitre 37-38 - les troyens et l'AION. «Wr-alda is the ancient of ancients, for he created all things. Wralda is all in all, for he is eternal and everlasting. Wr-alda is omnipresent but invisible, and therefore is called a spirit. All that we can see of him are the created beings who come to life through him and go again, because from Wr-alda all things proceed and return to him. Wr-alda is the beginning and the end. Wr-alda is the only almighty being, because from him all other strength comes, and returns to him. Therefore he alone is the creator, and nothing exists without him. Wr-alda established eternal principles, upon which the laws of creation were founded, and no good laws could stand on any other foundation... In the progress of time all creation alters and changes, but goodness alone is unalterable; and since Wr-alda is good, he cannot change. As he endures, he alone exists; everything else is show. Among Finda’s people there are false teachers, who, by their over-inventiveness, have become so wicked that they make themselves and their adherents believe that they are the best part of Wr-alda, that their spirit is the best part of Wralda’s spirit, and that Wr-alda can only think by the help of their brains. [] for although they presumptuously pretend among themselves that they are gods, they proclaim the unconsecrated false gods, and declare everywhere that these idols created the world and all that there in is—greedy idols, full of envy and anger, who desire to be served and honoured by the people, and who exact bloody sacrifices and rich offerings; but these presumptuous and false men, who call themselves God’s servants and priests, receive and collect everything in the name of the idols that have no real existence, for their own benefit.» (En usurpant le dieu temporel, le Demiurge et se plaçant comme maître de l'univers, l'homme en vient à dépendre d'intermédiaire qui dérègle la bonne marche du monde, par crainte d'effondrements mondiaux ces hommes sont craints masquant par l'ignorance la bonté naturelle du monde. C'est l'allégorie de la caverne. On a plutôt associé les Finda qui semble un peuple phrygien aux troyens mais on se rapproche aussi des israélites.) - Chapitre 44 - sur le monde à venir : «Our descendants shall teach their people and their slaves the meaning of three words; they are universal love, freedom, and justice. At first they shall shine, then struggle with darkness, until every man’s head and heart has become bright and clear. Then shall oppression be driven from the earth, like the thunder-clouds by the storm-wind, and all deceit will cease to have any more power.» (Cette partie est intéressante car on dit du retour eschatologique en Matthieu 24.27 «Car, comme l'éclair part de l'orient et se montre jusqu'en occident, ainsi sera l'avènement du Fils de l'homme.» La mention du nuage orageux propose donc une autre interprétation, suite à une prise de conscience générale, le nuage qui représentait l'obscurité du monde, soit l'inconscient collectif, passe comme la tempête.) Chapitre 52 : après avoir expliqué l'usurpation des pouvoirs et des titres. «If you do not alter your course, in time it will grow so strong that you cannot see what will be the end. Your descendants will be flogged by it, and will not know whence the stripes come. But although you do not build citadels for the maidens and leave them to their fate, there will still remain some who will come out of woods and caves, and will prove to your descendants that you have by your disorderliness been the cause of it. Then you will be damned. Your ghosts will rise frightened out of their graves. They will call upon Wr-alda, Frya, and her maidens, but they shall receive no succour before the Juulshall enter upon a new circuit, and that will only be three thousand years after this century.» Chapitre 53 : «Black Adel was the fourth king after Friso. In his youth he studied first at Texland, and then at Staveren, and afterwards travelled through all the states... The Krekalanders (Italians) formerly belonged to us only, but from time immemorial descendants of Lyda and Finda have established themselves there. Of these last there came in the end a whole troop from Troy. Troy
is the name of a town that the far Krekalanders (Greeks) had taken and destroyed. When the Trojans had nestled themselves among the near Krekalanders, with time and industry they built a strong town with walls and citadels named Rome, that is, Spacious.» (Ici la Rome est «la Grande» comme Babylone la Grande Prostituée, c'est de cette empire trop vaste et sans âme qui vive dont viendra la ruine.) «Frya’s people. They must all rise up and drive Finda’s people out of Frya’s inheritance. If you will not do that, you will bring the slave-chains round your necks, and the foreign chiefs will ill-treat your children and flog them till the blood streams into your graves. Then shall the spirits of your forefathers appear to you, and reproach your cowardice and thoughtlessness» (Cela n'est pas sans rappeler comment Québec laisse la dictature s'instaurer sur le dos des enfants instrumentalisés.) - Frisiens - Sur l'origine du texte : (Le manuscrit d'Ura-Linda apparaît en Frise dans les années 1860 ; il est traduit en néerlandais en 1872 et on l'accuse d'être un faux. Sur une possible origine du manuscrit, une publication de 1590 avec le terme Stavoren évoqué dans la Chronique d'Ura-Linda.) In 1590, Suffridus Petrus (1527–97), professor of Classical Languages at Cologne and official historian of the States of Friesland, published a study on the hero Friso and the oldest history of Friesland, based on a ancient manuscript, ‘written in Frisian in Greek script’, that was ‘recovered’. According to this story, Friso landed on the Frisian coast in the year 3760 from creation (= c. 240 bc) and became the first king there. He built a temple there in honour of the god Stavo, after which that place would henceforth be called Stavoren. He also built a library and a royal palace there, which would later disappear back into the sea due to a large tidal wave. [25] - Suite archéologique. La forteresse Carpathienne-Mycénienne de Bernstorf en Allemagne. «In 2000 the extensive fortified citadel of Bernstorf near Munich in Germany, which burned down near c.1320 BC and had already yielded some gold regalia of rather Aegean appearance, produced two amber objects seemingly inscribed in Linear B. The hamlet of Bernstorf lies on the river Amber not far from the Danube and some 40 km north of Munich. It happens to be the site of the largest Middle Bronze Age fortification so far known north of the Alps. In 1992 two amateur archaeologists associated with the Archaeological Museum in Munich... discovered that the site was enclosed by a timber stockade that burned so fiercely that vitrification occurred. Burned timbers yielded a preliminary C date for its construction of 1370–1360 BC, during the local late Middle Bronze Age. Moosauer and Bachmaier discover among the uprooted treestumps an extraordinary hoard of amber and golden objects. The style of the goldwork was compared with that of the rich finds from the Shaft Grave Circle A at Mycenae. An initial C calibrated date of the wood from the sceptre, obtained in the laboratory at Oxford, gave a result of 1390–1091 BC. Kristiansen and Larsson regard them as a support for the thesis that there were extensive contacts in LH II–IIIA (1500–1300 BC) via the Adriatic, with the eastern Mediterranean. As they note, the Uluburun shipwreck of c.1305 contained both Baltic amber and an Italian sword.» [26] (C'est assez étonnant qu'untel feu aurait pu se produire à l'époque de la Guerre de Troie comme une dissension entre protagonistes quoi que la plupart des dates données précèdent celle-ci. L'auteur tente de déchiffrer l'inscription sur l'ambre et finit par lier des mercenaires de Grèce. On remarque de suite que la gemme d'ambre est identique à la couronne d'or retrouvée au même lieu; les symboles peuvent-ils être des yeux et des dents rappelant l'adage

25 Petrus, De Frisiorum antiquitate 1590, Vol. I Chap. 21 and Vol. III Chaps. 8–10; van der Woud 1990, 19–20; Grafton 1990, 121–123. 26 Richard Janko, “Amber inscribed in Linear B from Bernstorf in Bavaria: New Light on the Mycenaean Kingdom of
Pylos” in Bavarian Studies in History and Culture (2019). https://www.bavarian-studies.org/2019/janko

ancien «oeil pour oeil, dent pour dent»? Il me semble qu'on évoque ces mêmes liens entre l'Europe du Nord, les Mycéniens et Italie de l'Âge du Bronze dans la Ura-Linda-Chronik.) «Gebhard and Rieder consulted specialists about the Linear B. The face engraved on the triangular amber plate was coupled with the Linear B. The authors compare the face with the later ‘Lady of Phylakopi’, the two amber pieces supplying background to a proposed wooden cult statue that might have worn the gold diadem. The pronounced smile is as smiling faces on Mycenaean idols» - Les postes de traite nord-italien de Frattesina et Fondo Paviani. «At Campestrin di Grignano Polesine (Salzani 2011) – a site close to Frattesina (northern Italy) – has been discovered a workshop dedicated to amber production. The type of pottery indicate that Frattesina was continuously occupied between the XIIth and the IXth centuries B.C. After 1150 B.C. (in the Final Bronze Age), (elephant) ivory and ostrich egg were worked in Frattesina (e.g. Bianchin Citton 1984: 623; De Min 1986: 118). An ivory comb finds a parallel in execution and decoration in an example from a 12th century tomb in Cyprus (Peroni 1989: 274). Frattesina revealed groups of cremations in urns buried in the ground and separated by empty spaces. Other finds : winged axe, bronze hair-rings, pick axe, worked human femurs. The occupation of Fondo Paviani (near Frattesina) spans the Middle Bronze Age 3 to the Final Bronze Age 1–2 (c.1450–1000 BC). Mycenaean-type and Levantine-Cypriot Bichrome pottery from Fondo Paviani suggest a local production for both. The clay has been determined as local. Fondo Paviani amber has been identified as succinite and hence of Baltic origin. A lump of unworked amber and beads (Bianchin Citton 1988: 40) show the material was imported raw and worked in the site; together with crucibles for glass smelting, numerous lumps of unworked vitreous paste and thousands of beads (De Min 1986: 117-118).» [27] (La technologie était vraisemblablement assez développée pour utiliser des mécanismes de vis et rouage.)

27 Flows of people in villages and large centres in Bronze Age Italy through strontium and oxygen isotopes. PLoSONE 14. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0209693; The Aegean seen from the West, International Aegean Conference,
AEGAEUM 16, http://hesperos-aegaeum-16.conf.uoi.gr
- Quand Hitler découvre Troie : L'homme d'affaires allemand Heinrich Schliemann découvre Hisarlik vers 1870. Après la découverte de vestiges ornés de croix gammées par Heinrich Schliemann, le Danois Ludvig Müller et le Français Emile Burnouf (1821-1907) associent le svastika aux Indo-européens, ou Aryens, le dernier y ajoutant une théorie antisémite et de hiérarchisation des races. Dans Mein Kampf, Adolf Hitler écrit : «Après de nombreuses tentatives, je m'arrêtai à une forme définitive : un drapeau avec un fond rouge, un rond blanc et une croix gammée noire au centre. Après de longs essais, je trouvai aussi une relation définie entre la dimension du drapeau, la grandeur du rond blanc, la forme et l'épaisseur de la croix gammée». (Nouvelle hypothèse : lors des pérégrinations des Troyens d'après-guerre, les trésors sont amenés ici et là, on aurait pu en déterrer sur le site de l'antique Pergame Phrygienne; ainsi les Allemands n'auraient pas seulement trouvé des vieilles ruines phrygiennes mais aussi leur descendance troyenne.) - Un premier trésor : «M. Schliemann avait presque terminé les fouilles qu’il avait entreprises et se préparait à quitter la Troade, lorsqu’un dernier coup de pioche sur le haut du gros mur, à gauche de la porte et au pied même du mégaron, mit au jour des vases de métal et d’autres objets également en métal, réunis et quelquefois soudés ensemble par l’incendie ; ils étaient groupés dans un petit vide quadrangulaire et semblaient avoir été contenus dans un coffre de bois que le feu aurait détruit et fait disparaître. C’étaient des vases d’or et d’argent, des colliers d’or, des parures de femme, des bagues, des boucles et pendans d’oreilles en alliage d’or et d’argent, des armes de cuivre.» «Parfois les objets étaient entrelacés ou emboîtés l'un dans l'autre. Il y avait là entre autres un bouclier, un chaudron aplati, des dagues et des pointes de lance en cuivre, une aiguière, trois vases et des lames de couteau en argent, une flasque, un gobelet et deux petits pots en or. Le plus grand vase en argent contenait des parures d'or, dont deux diadèmes, un mince bandeau frontal, quatre pendentifs, six bracelets, 56 boucles d'oreille et 8 750 petits boutons et anneaux.» [28] «Le nombre des objets recueillis par M. Schliemann dans les couches inférieures d’Hissarlik dépasse vingt mille. Le lecteur sans doute ne s’attend pas ici à la description détaillée de ces objets [] Les vases fournis par les couches préhistoriques de Hissarlik sont dans la collection Schliemann au nombre de plusieurs milliers. [] Je ne dirai presque rien des grands vases contenant plusieurs hectolitres, à fond étroit ou pointu et que l’on mettait en terre pour y garder l’eau, l’huile, le vin, le blé même et d’autres aliments. Les mieux conservés ont été envoyés par M. Schliemann à Constantinople, où ils sont, dit-on, fort négligés ; quelques-uns font partie de son musée troyen. » (C'est précisément cette liste imprécise qui peut confondre les trésors d'Hisarlik et ceux de Troie; on en aurait difficilement la preuve mais le chemin anachronique l'y suppose. Dessins classiques sur les pièces du "Trésor de Priam", qui ne sont pas précisément troyens. On semble voir un âne sur la pièce gauche.) - Déplacement vers l'Allemagne : Schliemann ne dit rien de sa découverte aux autorités ottomanes. Le 17 juin 1873 il transportait en grand secret les objets à la frontière grecque et embarqua ensuite pour Athènes. De là il expédia aux plus célèbres sociétés savantes d’Europe une dépêche par laquelle il les avisait de sa découverte. Au terme d'une année de procès, Schliemann Il décida de donner de son plein gré 50 000 francsor au Musée impérial de Constantinople et lui restitua quelques éléments du trésor. Après avoir proposé le trésor à la vente auprès du Musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg, Schliemann l'exposa de 1877 à 1880 au Victoria and Albert Museum de Londres. En décembre 1880, Schliemann fit démonter les panneaux d'exposition du trésor de Troie des vitrines du musée londonien de South-Kensington, et les fit expédier à Berlin. (Cheminement important, le trésor "troyen" passe par l'empire britannique avant l'Allemagne.)

28 Wikipedia : Konstantin Akinscha, Grigori Koslow: Beutekunst. Auf Schatzsuche in russischen Geheimdepots.
Deutscher Taschenbuch Verlag, Munich, 1995. Pages 20 et 21
Schliemann ayant fait don du «Trésor de Priam» à l'Empire allemand en 1881, les objets rejoignirent en 1885 les collections du Völkerkunde museum. La collection est enrichie par le rachat à la Turquie des pièces laissées en dépôt à l'issue du procès en contrebande (1886), puis par le don d'antiquités égyptiennes (1887). Par testament, Schliemann léguait en 1891 à sa veuve Sophia les derniers objets du trésor encore en dépôt dans sa maison d’Athènes ; ceux-ci furent expédiés en 1893-94 à Berlin par la Direction du Musée Ottoman. (L'idée étant de retracer les trésors d'Hisarlik qui ont disparu pendant les guerres mondiales, pouvant contenir des objets troyens et dont on ne saura pas l'exacte consistance. Ces «vases de métal» nous évoqueront la Collection Crespi qui concerne justement des objets troyens déplacés depuis l'Italie pendant la Seconde Guerre Mondiale vers l'Amérique du Sud [Ref. au VOL. 3, Crespi].) Se trouvait encore la collection, dans les salles Schliemann de l'aile du Völkerkundemuseum de Berlin en 1931, lorsqu'éclata la Deuxième Guerre mondiale en 1939. En janvier 1941, devant la multiplication des raids aériens, on déplaça ces caisses dans les sous-sols de la Preußische Staatsbank. À la fin de l'année 1941, elles furent de nouveaux déplacées dans la tour de la Flak du Großer Tiergarten. Un «Ordre du Führer» de mars 1945 eût exigé le déplacement des collections muséales vers le front ouest, pour les soutirer aux Bolcheviks ; [29] seulement le directeur du Musée, le Dr. Wilhelm Unverzagt, s'y opposa et ordonna le retour des caisses au Parc de Tiergarten; Unverzagt resta à veiller jusqu'à l'arrivée de l’Armée rouge. Le 30 juin 1945, le Trésor de Priam était l'un des premiers butins de guerre à rejoindre l’aérodrome de Vnoukovo; le 10 juillet il rejoignait les collections du Musée Pouchkine, où il ne fut cependant jamais exposé. Aussi finit-on par le croire disparu. Ce n'est qu'en septembre 1987 que fut révélée la détention du trésor en Russie, lorsque Gregori Koslov examina des archives du ministère la Culture vouées à la destruction. En octobre 1991, le ministre de la Culture Nikolaï Gubenko avoua lors d'une conférence de presse que l'or de Schliemann était certainement tombé aux mains des Alliés occidentaux. (La puissance de la Babylone troyenne passe par ses cultes et la domination du monde suit la même logique à travers les siècles, tous héritent des palladias et de ses reliques : Troie → Rome → Byzance et l'Église (Ier millénaire) → Empires d'Europe (IIe millénaire) → Hitler.) - Le Swatiska : «Si ces petites masses de terre cuite, en forme de cône double et percées d’un trou vertical, que l’on connaît sous le nom arbitraire de fusaïoles, ont été des pesons de fuseau, celui-ci était certainement la machine tournante la plus employée à Hissarlik, car M. Schliemann en a rapporté plusieurs milliers et y en a laissé beaucoup d’autres. [] un certain nombre d’objets semblables ont été trouvés dans les terramares ou anciennes habitations lacustres des environs de Bologne et dans le cimetière préhistorique de Villanova ; les plus intéressans d’entre eux font partie des collections de MM. Bianconi et Gozzadini. Nous en avons aussi trouvé deux à Santorin... et les plus anciennes fusaïoles sont plates et même évidées, semblables à des roues pleines. [] Ce sont elles qui nous diront le plus de choses sur la religion de ce peuple ancien, sur son origine et même sur sa race. [] Les dessins répandus à profusion sur les fusaïoles ont presque tous un aspect monogrammatique et se composent de lignes : ainsi, pour représenter un lièvre, une ligne horizontale forme le corps, un petit crochet la tête, deux lignes obliques les oreilles, quatre lignes les jambes, et l’animal se reconnaît aisément ; un homme debout qui prie ou qui admire se compose d’une ligne verticale terminée en fourche par le bas, et en haut par un petit rond ; les bras sont une ligne horizontale qui se redresse à ses deux extrémités. Voici maintenant les principaux objets représentés de cette manière sur les fusaïoles troyennes. Parmi les choses naturelles figurées directement et sans intention symbolique, on remarque très souvent un soleil rayonnant, quatre soleils, sept soleils, douze soleils... Remarquons encore, parmi les figures les plus caractéristiques gravées sur les fusaïoles troyennes, la croix, la roue et le swastika. La fusaïole est elle-même une roue : elle a un, deux ou trois moyeux, trois, quatre, cinq, six et jusqu’à sept rayons. Quelques-unes sont des roues tournantes, mouvement qui s’exprime par la courbure des rayons divergens ; mais cette roue principale, qui représente soit le soleil, soit le mouvement général du ciel, porte souvent sur son disque d’autres roues simples, rayonnantes ou fulgurantes, ou
29 Wikipedia : Konstantin Akinscha, Grigori Koslow: Beutekunst. Auf Schatzsuche in russischen Geheimdepots.
Deutscher Taschenbuch Verlag, München 1995. Seite 23
entourées d’étoiles en nombre défini... nous avons maintenant trouvé la croix sur des objets d’origine aryenne depuis les temps préhistoriques jusqu’aux époques les plus avancées du christianisme. Il en est de même du swastika... Les archéologues chrétiens... se sont obstinés à la dire composée de quatre gamma ... c’est le signe âryen par excellence, et la voici sur une infinité de fusaïoles troyennes, combien de siècles avant le Christ. Voilà donc les principales figures tracées sur les fusaïoles, où l’on trouve aussi le monogramme de la chouette... On y verra aussi des boulettes de terre, pétries à la main et souvent mal modelées : elles sont très cuites et très dures ; presque toutes ont été trouvées à 5 mètres de profondeur, tandis que les fusaïoles se rencontrent dans toutes les couches anciennes. Je ne puis décrire ici toutes ces boules, qui sont comme des abrégés du monde céleste et peut-être du saint sacrifice ; j’en décrirai deux seulement. L’une est partagée en huit sections égales par des cercles qui se croisent à angle droit ; dans ces huit triangles sphériques, on voit une roue tournante, un disque fulgurant, un croissant avec un soleil et une foudre, de l’eau, un rameau, un autre rameau avec un croissant, une lune et douze soleils. L’autre porte un soleil tournant et rayonnant, deux swastikas, une foudre, la Grande-Ourse et d’autres étoiles.» [30] (Ainsi en 1874 on établissait le swatiska comme d'origine troyenne, supplantant quelques intégrations par les chrétiens ou les indiens. L'élément principal du symbole est un ancrage qui force le mouvement, donc «l'entraînement dans une guerre». Les symboles des fusaïoles ne sont pas troyens mais probablement phrygiens; «on remarque surtout le lièvre, deux espèces d’antilopes, l’une à cornes simples, l’autre à cornes divisées comme les bois d’un cerf ; il y a aussi la chenille, la sauterelle et l’homme en prière.» Le swatiska lui par contre se retrouve aussi en Crète minoenne, on en a plutôt fait un symbole «d'origine de la race».) - Démentir l'Histoire : «Tous ces faits s’accordent avec ce que nous savions déjà : si des Araméens ont occupé le sud de l’Asie-Mineure et des Touraniens la région nord-est, l’ouest et notamment la Dardanie étaient très anciennement habités par des Aryens, frères des Grecs... Ce peuple âryen, presque grec, habitait une forteresse très petite occupée par des maisons de terre au milieu desquelles s’élevait un riche palais. Les fouilles ont remis au jour ce palais et le trésor du seigneur qui l’habitait... l’Homère de l’Iliade n’est probablement qu’un nom sous lequel ont passé de bouche en bouche, comme les chansons franques et les tirades des sûtas indiens, les récits plus ou moins bien rhythmés des aèdes et des rhapsodes. L’imagination des temps postérieurs a donc été en grossissant et embellissant les actions des héros ; les dieux y ont eu leur part ; mille légendes se sont groupées autour de la légende troyenne, et l’incendie d’une petite forteresse asiatique est devenu une immense conflagration. Les fouilles ramènent les choses à leurs proportions réelles... Si l’on admet en outre qu’un poète du nom d’Homère a vécu au IX- siècle ou au Xe siècle et qu’il a composé l’Iliade, on comprendra que la légende troyenne avait eu le temps de grossir, les hommes de se transformer, de faire des conquêtes sur la nature, de s’enrichir et de se civiliser.» (L'auteur Emile Burnouf en 1874 finit par démentir Homère et l'histoire par la seule persuasion d'avoir découvert la ville de Troie.) «En 1788, Le Chevalier visita la Troade et, à son retour en France... il plaça la Troie homérique sur l’emplacement du village actuel de Bounar-Bachi... Il fut admis que Virgile s’était trompé avec le peuple et avec les politiques romains, qu’il avait faussement cru que de Troie on pouvait apercevoir Ténédos. [] Il y avait donc... deux opinions rivales : celle de l’antiquité... plaçait Ilion sur la hauteur d’Hissarlik, — celle des érudits modernes, suggérée par Démétrius de Scepsis et remise en honneur par Le Chevalier. [] [L’érudition moderne] cherche son point d’appui dans la réalité : elle fouille les sites des anciennes villes, les tombeaux, les cavernes...» [31] (Au XIXe siècles les archéologues insistent pour placer
30 Troie d’après les dernières fouilles faites en Troade, Emile Burnouf, Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 1, 1874 (p. 43-76). https://fr.wikisource.org/wiki/Troie_d%E2%80%99apr%C3%A8s_les_derni %C3%A8res_fouilles_faites_en_Troade 31 Troie d’après les dernières fouilles faites en Troade, Emile Burnouf, Revue des Deux Mondes, 3e période, tome 1, 1874 (p. 43-76). https://fr.wikisource.org/wiki/Troie_d%E2%80%99apr%C3%A8s_les_derni %C3%A8res_fouilles_faites_en_Troade
Troie en Troade phrygienne, cartographient, déplacent et replacent la Troie telle qu'ils voudraient la voir, jusqu'à nier Homère et Virgile. Nombre d'anomalies existent avec la théorie d'une Troie en Turquie, entre autre la quasi non-participation des Assyriens voisins, les nombreuses migrations troyennes qui sont hors de l'Anatolie, l'absence d'armes et d'armures sur le «terrain de bataille», etc... ) - Archéologie nazi en Crète : In the years 1941-42, Schörgendorfer served on Crete as a junior officer of the Kunstschutz, the‘Art Protection’ unit of the Wehrmacht that was dedicated to prohibiting any seizure or destruction of cultural heritage (Kott 2007, p.131). He illicitly excavated Tholos Tomb A and a small part of the neighbouring Minoan settlement at Apesokari without authorisation (Platon, 1947). On August 1941, Ringel had undertaken the occupation of Sir Arthur Evans’ Villa Ariadne at Knossos, property of the British School at Athens; he selected an unspecified number of archaeological artefacts from the British School excavations and sent them to the University of Graz. The Führer would allegedly decide after the war who would ultimately own the villa. Platon (document prot. no. 1291/1395), specified that ‘as orally stated by the excavators, the purpose of the excavation was to reveal Minoan buildings, which supposedly lie in the deeper strata’. Platon (Heraklion Museum archive, document with protocol no. 1567/1641) written on 11 December 1944, attests that "eleven Minoan clay vases, a bronze hydria, a stone tripod vessel, 6-7 glass beads, a few sherds of ‘eggshell ware’ and a metal box containing small vases were stolen" of the Stratigraphic Museum at the palace of Knossos. By August 1942, four excavations had already been initiated : Heinrich Drerup’s excavation at Aptera, Jantzen’s cave excavation at Koumarospilio on the Akrotiri peninsula, Kirsten’s excavation at Apodoulou, Schörgendorfer’s excavation at Apesokari, and Welter’s excavation at Cape Spatha/Diktynnaion. [32] (C'est précisément ce type d'information qui est difficile à suivre, les allemands cherchaient probablement des caves aux trésors troyens, c'est-à-dire des tombes, enterrées dans le lieu de leur origine crétoise; Knossos qui est lié au swatiska et au labyrinthe qui est le symbole de la migration troyenne d'après-guerre.)
- Olympie avant la Seconde Guerre : Les Jeux olympiques d'été de 1936, Jeux de la XIe olympiade de l'ère moderne, ont été célébrés à Berlin. Avec l'instauration du régime nazi en 1933, ces jeux devaient être l'occasion de prouver sa puissance et la «suprématie de la race aryenne», selon la terminologie nazie. Les découvertes nazi sur le site d'Olympie en 1937 viennent ranimer la flamme. «Ce que ces chercheurs ont réalisé à Troie (Hisarlik) et à Olympie peut être assurément considéré aujourd'hui comme le patrimoine commun de tous les peuples civilisés», écrit Alfred Rosenberg dans un supplément «spécial JO» au Vôlkischer Beobachter. Olympie est érigée en sanctuaire et symbole de l'idéal olympique, ou encore en souvenir des Jeux de Berlin. Selon la volonté du Führer il sera érigé un monument impérissable aux XIe Jeux Olympiques. L'archéologue Siegfried Fuchs nous explique que «le Führer a assumé un héritage, que depuis presque deux siècles les meilleurs parmi notre peuple se transmettent de main en main. Ce n'est pas par hasard : l'idéal olympique a vécu cet été en Allemagne sa réincarnation la plus éclatante et magnifique depuis l'antiquité...» Selon Bernhard Rust, «II s'agit donc de faire passer le Stade (le stade antique d'Olympie) du domaine idéal à celui de la réalité», ce qui nous montre une promotion de la science de l'«Allemagne nouvelle». Schleif travaillait pour le compte du SD, les services secrets de la SS, et participa activement à la mission archéologique d’Olympie. Selon Schleif (1943) «c'est l'Allemagne, en tant que nation de culture, qui est responsable du concept occidental d'«Olympie» Il y eut bien une stèle commémorative aux armes de l'Allemagne nazie, posée en 1937 à l'entrée du site, mais elle n'a pas dû rester
32 ARCHAEOLOGY IN THE WAR ZONE: AUGUST SCHÖRGENDORFER AND THE KUNSTSCHUTZ ON CRETE
DURING WORLD WAR II, byGeorgia Flouda, Heraklion Archaeological Museum, The Annual of the British School at
Athens, 2017. Sur l'excavation à Knossos : Department for the Administration of the Historical Archive of Antiquities and Restorations, Box 776A‘Excavations 1921 - 41’, document with incoming protocol no. 85751 of the Ministry of
Religious Affairs and National Education, dated 4 December 1941. https://doi.org/10.1017/S0068245417000028
en place bien longtemps après la retraite des Allemands en 1944. [33] Schleif prétendit que Pélops était un héros nordique de race aryenne qui conquit le Péloponnèse, terre sacrée sur laquelle se déroulèrent des concours solennels [Das Schwarze Korps, 29, le 16 juillet 1936.]. Des articles rassemblés dans Das neue Bild der Antike, rédigés en 1942 avaient pour but de démontrer que les Grecs étaient le produit de l’aryanisme. (Les nazis se prévalent beaucoup plus de subvertir la nation historique grecque que de descendre de Troie, ce qui reste une même problématique.)
- Hitler se prévaut de l'Atlantide : Selon son leur propre aveu : «[the] Aryan, during the ice age, engaged in building his spiritual and bodily strength in the hard fight with nature (...) We know that all of these people held one sign in common, the symbol of the sun. All of their cults were built on light, and you can find this symbol, the means of the generation of fire, the Quirl, the cross. You can find this cross as a swastika not only here [in Germany], but also exactly the same carved into temple posts in India and Japan. It is the swastika of the community (Gemeinwesen) once founded by Aryan culture (Kultur).» [34]
33 Battaglia Aldo. Olympie 1936: les fouilles du Führer. In: Matériaux pour l'histoire de notre temps, n°7-8, 1986. L'année 1936 dans le monde. pp. 2-5, https://www.persee.fr/doc/mat_0769-3206_1986_num_7_1_401425 34 S. Koehne, ‘Nazi Christmas’, 773-774, B. Mees, ‘Hitler and Germanentum’, Journal of Contemporary History 39.2 (2004) 255-270: 269-270.