CHÊNE-BOUGERIES

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Chêne-Bougeries est mentionné pour la première fois en 1270 sous le nom de Quercus. En 1801, il a été mentionné comme Chêne-les-Bougeries. ChêneBougeries a été habité pendant la majeure partie de son histoire, et ni les Romains ni les Genevois ne s’y sont installés. L’hôpital de la lèpre qui occupait une partie de la commune était une préoccupation importante pour les Genevois; ce n’est que lorsque cette maladie a été vaincue vers le XVIe siècle que Chêne-Bougeries a vraiment commencé à se développer. Chêne-Bougeries avait un aspect essentiellement champêtre. Parmi les propriétés agricoles, fleurissent les grandes propriétés que les riches bourgeois de la ville ont établies. Fuyant la ville de Genève, ils viennent passer la belle saison dans cette agréable campagne. Admirablement bien placée sur une route très bien desservie, la commune permet une installation toute l’année, au calme de la campagne sans quitter la ville. Ce sont ces propriétés qui ont façonné Chêne-Bougeries et l’aménagement de ces hôtels particuliers a conduit au développement de parcs, promenades, bosquets, vergers, prairies et champs. Les Petites Bougeries, actuellement place Audeoud, magnifiquement plantées d’arbres, sont le lieu de toutes les cérémonies. Sur la route de Chêne en direction de la ville, avant les Eaux-Vives, on trouve Grange-Canal qui sert de faubourg. Cette localité avec sa brasserie, sa vinaigrerie, ses cafés et ses boutiques, bénéficie de la fréquentation de la route de Chêne et fait le lien entre la ville et le cœur de Chêne-Bougeries. Les habitants de Chêne-Bougeries se nomment les Chênois et Chênoises.

Chêne-Bougeries mesure 4,13 km2. 83,1 % de cette superficie correspond à des surfaces d’habitat ou d’infrastructure, 10,1 % à des surfaces agricoles, 5,8 % à des surfaces boisées et 1,0 % à des surfaces improductives.

Un chêne entier, avec fruits et racines sur fond d’argent représente les armoiries de Chêne-Bougeries. La description «D’argent au chêne arraché au naturel» est entérinée par un arrêté du Conseil d’Etat daté du 6 mars 1925.

Mes client.e.s me contactent le plus souvent après avoir perdu des heures à réunir les documents nécessaires à la préparation de leur déclaration fiscale ou de leur demande de rente AVS, après avoir brassé les archives familiales, parce que les piles sur leur bureau commencent à s’effondrer – ou parce que leur ordinateur semble avoir avalé leurs scans…

Oui, et pas seulement. Je mets en place avec mes client.e.s une logique organisationnelle directement liée à leurs besoins spécifiques, pour qu’elles et ils conservent la maîtrise de leurs documents et de leur administratif. C’est donc du coaching organisationnel plutôt que de la gestion administrative. Mais je propose aussi des abonnements pour «faire à la place de la personne», si c’est ce qu’elle souhaite.

Bien sûr. Il m’est arrivé de dépouiller les archives commerciales d’une entreprise pour établir des statistiques, d’assurer l’administratif d’une personne âgée pour soulager ses proches, ou de transcrire un récit de vie. Ma formation et mon expérience me permettent également de pratiquer le «débroussaillage» de situations administratives complexes. Tout cela en toute confidentialité, évidemment.

Les solutions que je propose sont très pragmatiques, mais elles reposent sur une réflexion plutôt académique, structurée – en un mot, je fais du «pragmadémique».

My clients usually call me after having lost hours trying to collect all the documents needed for their tax returns or their pension application, after digging through the family archives, because the piles on their desk start falling over – or because their PC seems to have swallowed all scanned documents…

Yes, among others. Together with my clients, I set up an organisational logic directly related to their specific needs, so that they can stay in charge of their paperwork and administration. In short, organisational coaching rather than administrative management. But I also offer subscription services if the clients need me to handle their paperwork on their behalf – if this is what they want.

Of course. For instance, I have gone through a local business’s archives to compile statistics, I regularly carry out administrative tasks for an elderly person to relieve the family caregivers, and I am transcribing a client’s life story. My training and experience also allow me to cut through complex administrative thickets. All under strict confidentiality, obviously.

I come up with very pragmatic solutions built on rather academic, structured analyses – in a nutshell, I do «pragmademics».

L’arrivée du Printemps, les jours s’allongent et bon nombre d’entre nous peuvent se sentir fatiguées, sans énergie... Pas d’inquiétude mais vous êtes victimes de la « fatigue du printemps ». Le meilleur moyen de chasser cette fatigue est de comprendre ce qu’il se passe dans notre corps et surtout de renforcer son système immunitaire.

La nature n’est pas la seule à connaitre le phénomène du renouveau, après ces longs et sombres mois d’hiver. Dès les premiers rayons du soleil, notre corps sort de son hibernation, il se réveille. Il s’est protégé du froid en réduisant son métabolisme et sa température, pour fonctionner à petit feu. Avec l’arrivée du Printemps, notre organisme doit se réhabituer, ce qui peut avoir des conséquences sur notre bien être.

1. Sortez de la maison, les activités extérieures vont stimuler votre équilibre hormonal et vous rendre de bonne humeur. 2. Douche écossaise pour booster la circulation et stimuler le système lymphatique. 3. Une alimentation saine avec beaucoup de fruits et de légumes frais stimule le métabolisme et apporte au corps des vitamines et minéraux essentiels. 4. Se lever tôt et se coucher à des heures raisonnables. Cela permettra à votre corps de produire plus de sérotonine et de bloquer la mélatonine, l’hormone du sommeil. 5. Faites le plein de soleil, sa lumière favorisera la formation de vitamine D.

Quand Hippocrate édicte cette maxime, « Que ton aliment soit ta seule médecine » il y a 2400 ans, il ne sait pas encore que ce sont les vitamines présentes dans les fruits et les légumes qui nous permettent de conserver la santé. Notre système immunitaire en a besoin pour fonctionner correctement. Comme le corps humain est incapable de produire la plupart de ces vitamines par lui-même, il nous faut nous les procurer par l’alimentation. Autre allié du système immunitaire : l’argousier. Cette baie orange vif qui pousse au cœur d’un buisson d’épines contient en effet plus de vitamine C que les agrumes.

Véritable don de la nature, la couleur verte Ce sont la chaleur et la favorise l’harmonie du corps, de l’âme et lumière du soleil qui rendent de l’esprit. Une simple balade en forêt peut la vie possible sur notre permettre de réduire la pression artérielle, planète. La lumière du soleil d’atténuer les tensions musculaires et de stimule en effet la synthèse renforcer le système immunitaire. Même de la vitamine D au niveau de en hiver, lorsque les arbres sont nus, le vert notre peau, indispensable à la reste incontournable. solidité des os. Dans le cerveau, elle favorise également la production de sérotonine, une hormone stimulante aussi appelée hormone du bonheur. Aussi maussade et propice aux refroidissements que soit la saison, il faut donc s’astreindre à sortir quotidiennement à la lumière du jour. Car même par temps couvert, l’énergie solaire parvient jusqu’à nous.

Pas besoin de prendre un bain glacé : alterner régulièrement eau froide et eau chaude, ou au moins terminer sa douche matinale par un jet frais vivifiant permet de booster la circulation et de stimuler le système lymphatique, un élément souvent négligé et pourtant essentiel de notre système immunitaire

Je suis convaincue que les techniques douces de santé sont un excellent moyen pour le corps de se maintenir ou de rétablir un état d’équilibre et un fonctionnement harmonieux. La diversité des techniques permet de choisir la plus adaptée selon le goût des clients et les buts visés. Ma pratique consiste donc à mettre à disposition des ressources dans lesquelles le corps va choisir et utiliser ce qui lui convient le mieux. J’ai grand plaisir

à exercer selon cette vision qui laisse un maximum de liberté et d’autonomie à la personne qui reçoit les soins. Cela permet d’éviter aussi toute emprise ou attitude de dépendance. Je vous propose : Réfl exologie des pieds ou des mains ou massages relaxants du dos avec, pour les trois propositions les fl eurs de Bach adaptées à chaque zone selon les travaux de Dietmar Krämer et Helmut Wild.

Uniquement sur rendez-vous - 2 chemin de la Ruelle - 1224 Chêne-Bougeries Tél. 079 451 03 39 - michelecapt@hotmail.com - www.couleurbienetre.ch

La thérapie des fleurs de Bach utilise principalement des essences florales pour la prévention et le traitement de maux. L’accent est mis en particulier sur l’état émotionnel des patients.

Le Dr Edward Bach, médecin et homéopathe anglais (1886-1936), est à l’origine de l’utilisation des essences florales. Il partait du principe qu’un déséquilibre de l’état d’esprit était à l’origine de toutes les maladies. À son avis, chaque maladie serait causée par un état émotionnel négatif. C’est pourquoi, le traitement des problèmes émotionnels occupe le premier plan dans la thérapie des fleurs de Bach.

Au début des années 80, Mechthild Scheffer, naturopathe de Hambourg, introduit l’œuvre d’Edward Bach dans l’espace germanophone. Depuis, elle a développé le système original des fleurs de Bach. Entre-temps, la thérapie des fleurs de Bach s’est également répandue dans d’autres pays et plusieurs nouveaux remèdes floraux extraits d’autres plantes ont vu le jour.

Le Dr Bach identifia et classifia 38 états émotionnels négatifs, en désharmonie avec la nature humaine, comme la peur, l’insécurité, la solitude, l’hypersensibilité ou l’impatience. Pour tous ces états émotionnels pouvant provoquer certains maux, il créa 38 extraits de fleurs. Les forces énergétiques des essences florales sont censées exercer une influence positive sur les émotions négatives et contribuer ainsi à l’harmonisation du corps et de l’esprit.