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L’authentique

La saison lancée !

Si la fréquentation de notre île durant les vacances de Pâques n’avait pas été extraordinaire, le long week-end de l’Ascension a fait le plein de « pontistes » et vacanciers. Mieux valait éviter les pistes cyclables, les ports et autres hauts lieux attractifs de notre île, à moins d’affectionner particulièrement les bains de foule.

S’ils restent très préservés des assauts touristiques, les sentiers de nos forêts sont davantage empruntés qu’auparavant, notamment par des cyclistes parfois

fabriqué àLoix

tout étonnés - voire agacés - de devoir mettre pied à terre sur certains passages sableux... Je formule un vœu auprès de nos élus, celui que la forêt soit maintenue dans son état naturel, certes entretenue et débroussaillée, mais surtout pas aménagée en vaste piste de jeu touristique. Elle demeure, en pleine saison, l’un des rares sites préservés de notre île.

Nathalie Vauchez

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Champions Cup : impossible n’est pas rochelais !

Pour la deuxième année consécutive, le Stade Rochelais est champion d’Europe, sous les yeux ébahis de dizaines de milliers de fervents supporters.

Sur le Vieux-Port de La Rochelle ils étaient près de 40 000 à être venus soutenir leur équipe préférée, alors que 3 000 autres remplissaient sobrement de jaune et de noir les gradins de l’Aviva Stadium et ses 51 000 places totalement vouées à l’équipe du Leinster à Dublin où se déroulait l’historique « combat » Et il fut âpre ! Dès les dix premières minutes l’équipe rochelaise encaissait trois essais, une première mi-temps qui laissait supposer la supériorité des Irlandais, mais « à joueurs vaillants rien d’impossible ! » hurlait JeanMichel, un supporter des Jaune et Noir depuis que son père, 91 ans présent lui aussi sur le port rochelais, l’emmenait à Deflandre les voir jouer alors qu’il ne savait pas encore marcher.

C’est toute une ville, tout un « peuple Jaune et Noir » qui a poussé derrière des joueurs qui eux n’ont rien lâché.

L’équipe de Ronan O’Gara est montée en puissance et a su maintenir les espoirs des supporters amassés devant les deux écrans géants sur le Vieux-Port de La Rochelle et les centaines d’autres partout dans la ville et bien au-delà.

Titanesque

Ce fut un match incroyable et intense en émotions, durant ces 80 minutes de jeu. Comme une marée montante et menaçante, l’équipe rochelaise buvait la tasse servie par les impassibles joueurs du Leinster. Mais les Maritimes savent nager et faire monter le suspense à son comble jusqu’à la dernière minute, comme ce fut le cas l’année dernière à Marseille lorsqu’ils ont remporté ce premier titre européen. Ce samedi 20 mai 2023 sera une autre date historique pour le Stade Rochelais. Ce fut un moment presque insupportable d’attendre ce coup de sifflet libérateur à la 77e minute de jeu, alors que les Rochelais menaient tout juste 27 à 26. La population amassée tout autour du Vieux-Port et dans les bars, avait les yeux happés par les écrans quand le signal libérateur s’est enfin fait entendre.

Cris de joie, hurlements libérateurs, sauts dans le vieux port où la mer était étale, feux d’artifices et instruments de musique sont venus balayer comme un ouragan soudain ce stress qu’ils avaient maintenu figé jusqu’alors. Une seconde étoile qui s’affiche dans le ciel rochelais, « un moment historique et inoubliable » déclareront les supporters. « On est fiers de notre équipe et d’être Rochelais ! », criait à l’unanimité un groupe d’une vingtaine de jeunes bariolés de jaune et de noir sur le visage. Des traces indélébiles. « Il n’y a pas de tradition folklorique à La Rochelle, mais ce qui nous unit et nous rassemble, c’est le rugby, ce sont les Jaune et Noir. »

joueurs du Stade Rochelais à bord d’un bus à impériale.

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Valérie Lambert

La foule était au rendez-vous, dimanche 21 mai, pour voir défiler sur le Vieux-Port les

A Saint-Martin, le logement saisonnier avance

Au menu du Conseil municipal, vie associative et patrimoine mais aussi sujets d’actualité exigeants.

souhaité impliquer les employeurs. En revanche, ces derniers seront obligés de prévenir en cas d’interruption de contrats de travail qui seront vérifiés. Pour ces différents types de logements, il en coûtera entre 180 et 400 € maximum aux candidats.

Logement saisonnier suite…

Rondement mené comme il est d’usage, le Conseil municipal martinais du lundi 15 mai a mixé dans une ambiance détendue des sujets divers, tous importants pour la vie de la commune.

Flux financiers Soutenir d’un côté, rentabiliser de l’autre. Au budget principal de la commune, les élus votent à l’unanimité les subventions accordées aux associations pour 2023, soit une somme de 66 310 K € . Elles ont été présentées par le conseiller municipal délégué Jean-Louis Ruault, que le 1 er adjoint Alain Bednarek a remercié pour son travail. « La commune est toujours présente pour les associations à hauteur de

65 à 70 K € et c’est une fierté pour nous », ajoute-t-il.

Autre vote financier, celui des tarifs des hébergements pour travailleurs saisonniers. Un sujet à fort enjeu sur lequel Saint-Martin avance par étape. Pour l’heure il s’agit de formaliser les conditions d’accessibilité aux emplacements réservés au camping municipal (cinq nus, deux tentes de 2 chambres et un mobil-home de 3 chambres), mais également au Centre d’hébergement de la place de la République (Maison des Associations), proposant d’ores et déjà six couchages. Bail de droit commun pour le premier, bail mobilité pour le second, toujours entre le saisonnier et la commune, celle-ci n’ayant pas

En conformité avec la loi Montagne, Saint-Martin, comme toute autre commune touristique, doit signer une convention avec l’Etat. Le diagnostic établi par un cabinet d’ingénierie montre une carence de 149 lits sur la commune (pour 672 sur l’ensemble du territoire). Après soustraction des 25 lits trouvés par la CdC par d’autres biais, reste une carence de 124 lits, que la municipalité s’estime en mesure de résorber à plus de 40 %. Comment ? Outre les hébergements évoqués ci-dessus, Saint-Martin a d’ores et déjà programmé l’ouverture totale du centre d’hébergement et l’opportunité de 50 lits disponibles au Collège (en 2024 seulement et l’absence des gendarmes pour cause de Jeux Olympiques), mais aussi l’ouverture d’une maison semicollective et la construction d’un logement au camping en 2025, puis la transformation de l’actuel centre de secours et la création d’un camping réservé après acquisition du terrain du Préau (nécessitant une révision du PLUi) à l’horizon 2026.

Moderniser l’éclairage public Autre enjeu important pour l’environnement et le budget.

Sous le signe de la maîtrise de sa consommation énergétique, la municipalité martinaise a décidé d’appuyer sur l’accélérateur par la modernisation de son éclairage public via le passage en luminaires LED. Déjà réalisé sur le quartier de la Cible, il s’agit maintenant de s’attaquer à l’intra-muros, en deux étapes délimitées géographiquement entre haut et bas du village. Pour cela, les élus votent, pour la première phase, une demande de subvention de 42 K€ au titre du « Fonds pour l’accélération de la transition écologique dans les territoires », autrement nommé Fonds Vert. A noter que les vieilles lampes seront, quand ce sera possible, récupérées par la Société Citéos et que « la température de couleur moyenne » des éclairages respectera faune et flore.

Et comme à Saint-Martin le patrimoine n’est jamais loin, concluons par les collections du Musée Ernest Cognacq, enrichies de dons généreux que Patrice Déchelette ne manque pas de saluer, et la convention de don signée avec l’AAMEC*, l’association souhaitant financer à hauteur de 2 140 € la restauration du mobilier archéologique découvert sur l’épave de Saint-Clément des Baleines, objet de fouilles délicates depuis plusieurs années.

* AAMEC : Association des Amis du Musée Ernest Cognacq

Traversée à la nage : de belles performances

Samedi 13 mai, se déroulait la traversée à la nage depuis la plage de La Repentie à La Rochelle jusqu’à celle de Rivedoux sur l’île de Ré, soit 3 km en ligne directe, le long du Pont. Un évènement organisé depuis de nombreuses années par le club de plongée Subaqua 17 La Rochelle.

Sur 224 nageurs inscrits, dont 42 % de femmes, 217 ont finalement pris le départ samedi 13 mai, et seulement 4 ont abandonné en cours de traversée. Il s’agit de l’une des rares épreuves de nage avec palmes en eaux vives de la façade atlantique, les participants ayant le choix entre plusieurs équipements : bi-palme, monopalme, et avec ou sans support de nage. La plus jeune participante Lou Jallais, a seulement 14 ans, le plus jeune participant Louis Berthomes s’est classé

Le classement :

second de la catégorie bipalmes en 36’35’’. Non moins jeunes participants, Françoise Merce 74 ans et Jacques Labastie 76 ans ont forcé l’admiration, par leur condition physique et leur détermination. La moins rapide, mais pas la moins méritante en 1h29’37’’, Edith Labaeye.

Une belle édition, qui a emballé nageurs et spectateurs !

1ère avec appui et meilleur temps, scratch féminin en 33’41’’ Céline Falempin

1er avec appui en 31’31’’ Sanjeu Didier

1ère en monopalme en 34’26’’ Corinne Gremaud

1er en monopalme et meilleur temps toutes catégories en 29’ 14’’ Matthieu Cordien

1ère en bipalmes en 39’24’’ Blandine Nicloux

1er en bipalmes en 36’11’’ Ludovic Gauthier

Pauline Leriche Rouard

Corollaire de l’attractivité économique portuaire, le besoin en logements pour salariés saisonniers.

217 nageuses et nageurs ont pris le départ de la traversée à la nage, le long du pont, âgés de 14 à 76 ans !

Les Huîtres de l’île de Ré, une marque et bientôt

une IGP ?

Une vingtaine d’ostréiculteurs de l’île de Ré ont créé il y a près d’un an un groupement ostréicole. La marque a été déposée il y a deux mois et le cahier des charges en vue de l’obtention d’une IGP* est en cours d’élaboration. Sébastien Réglin nous présente le sens de cette démarche.

Tous les produits du terroir de l’île de Ré se sont organisés, que ce soit le vin, la pomme de terre ou encore le sel, avec des collègues nous avons trouvé intéressant de davantage valoriser les huîtres de notre île. Et aussi, parallèlement, de se regrouper et s’organiser, face notamment aux élus, afin qu’ils aient un interlocuteur commun. », explique l’ostréiculteur flottais.

« Créer de la diversité » « L’Association des Producteurs d’Huîtres de l’île de Ré » (APH-Ré) a ainsi déposé au début du printemps la marque « Les Huîtres de l’Île de Ré », avec pour objectif d’obtenir une IGP*, à l’instar de celle obtenue il y a plusieurs années par Les Huîtres Marennes-Oléron et plus récemment par Les Huîtres de Normandie Cette marque rétaise vient-elle concurrencer celles des Huîtres du bassin de Marennes et de Charente-Maritime ?

« Pas du tout, nous souhaitons créer de la diversité et en aucun cas faire de l’ombre à ces marques, il s’agit de nous recentrer et de surfer sur un label porteur. En relation avec l’INAO* avec qui nous avons eu une première rencontre au cours de laquelle il a pris très au sérieux notre demande, nous avons commencé à travailler sur notre cahier des charges des Huîtres de l’Île de Ré.

Celui-ci exigera évidemment qu’une partie au moins de l’élevage d’huîtres soit fait sur l’île de Ré, nous avons choisi comme critère que la dernière année d’élevage des huîtres doit impérativement se faire sur l’île, et certains parcs d’huîtres seront prédéfinis. Toute notre production n’a pas vocation à revendiquer l’IGP. »

« Prouver la spécificité du goût de nos huîtres »

Si seulement une vingtaine de producteurs rétais (sur une cinquantaine), ayant le siège social de leur entreprise sur l’île de Ré, a pour le moment adhéré, l’association veut s’ouvrir à tous les producteurs du continent (Fouras, les Boucholeurs, etc.) qui viennent produire sur l’île de Ré et les intégrer dans la démarche IGP. L’élaboration du cahier des charges et l’obtention de l’IGP devraient prendre plusieurs années, a minima cinq ou six ans d’après Sébastien Réglin, avec des justifications et preuves fournies à la clé, quant à la spécificité de l’huître de Ré et de son goût unique. La volonté des producteurs rétais est d’ouvrir cette IGP à tous les modes de production, y compris celui de l’huître triploïde.

Corollaires du récent dépôt de marque, la communication et le marketing vont se mettre en place, un logo est en cours

de création, les outils de communication et le design des bourriches, ainsi que la signalétique, suivront. Deux commissions ont été créées au sein de l’association, l’une autour de la communication, l’autre autour des finances, chargée notamment de récolter les budgets nécessaires à cette démarche : adhésions, cagnotte en ligne, dons privés, financement des collectivités...

Un contrôle strict Mais alors que cette IGP ne concernera que certains producteurs intégrés dans la démarche et qu’une petite partie de leur production, comment éviter les récupérations « marketing » ? Comme dans tous les domaines, la marque « Île de Ré » faisant toujours vendre mieux... et plus cher, elle pourrait là aussi aiguiser des appétits peu scrupuleux. « Lors de la création du Groupement, nous avons élaboré des statuts qui lui permettront d’évoluer en ODG, organisme de gestion et de contrôle, dont l’une des missions essentielles sera justement d’assurer un contrôle strict et régulier, avec un organisme d’inspection et de contrôle indépendant. », rassure Sébastien Réglin. Outre l’intérêt d’une marque fédératrice des producteurs rétais, sur les salons,

PUBLI-RÉDACTIONNEL

par exemple, ce regroupement permet aussi une approche plus cohérente des collectivités. « Nous avons reçu un très bon accueil de la grande majorité des Maires de l’île de Ré à qui nous sommes allés expliquer le sens de notre démarche, ils vont nous suivre, et nous avons aussi des discussions avec l’intercommunalité, notre dossier deviendra forcément intercommunal. » L’association est ouverte à tous les producteurs, rétais et continentaux, faisant de l’élevage sur l’île de Ré, elle espère bien fédérer le maximum des ostréiculteurs concernés.

Nathalie Vauchez

*IGP : Indication Géographique Protégée, au niveau européen / INAO : Institut National de l’Origine et de la qualité.

APH-Ré

- Président : Sébastien Réglin (La Cabane Océane)

- Vice-président : Didier Fournier (Ré Ostréa)

- Secrétaire : Jana Rose (La Réthaise)

- Trésorier : Sébastien Henry (Huîtres Henry)

Contact : leshuitresdere@gmail.com

Immersion dans le monde des spiritueux rétais

Les néophytes découvrant l’île de Ré pour la première fois sont stupéfaits d’y voir de la vigne, il était important qu’ils puissent avoir un lieu pour répondre au mieux à toutes leurs questions.

secrets de fabrication des deux spiritueux charentais que sont le Cognac et le Pineau des Charentes, une visite s’impose. Celle-ci s’oriente autour de la distillerie, des chais de vieillissement du Cognac et du Pineau des Charentes. Vous y découvrirez leurs secrets d’élaboration.

4/ Vous préférez monter à cheval, ça se passe avec en collaboration avec les Ecuries du Moulin Moreau qui vous emmènent à travers vignes et forêts. À votre retour, une personne d’Uniré vous attendra avec différentes boissons des Vignerons pour un échange convivial et bon-enfant.

Uniré a obtenu en 2020 le label « Qualité Tourisme » pour la qualité de ses activités qui permettent de mieux connaître une partie du patrimoine rétais.

Pour plus de renseignements : www.vigneronsiledere.com/visites-degustations-vins-ile-de-re.html

Avec l’ouverture de leur nouveau cellier en 2020, Les Vignerons de l’île de Ré ont fait le choix de promouvoir au mieux leur métier, leurs produits, leur mode de travail et l’histoire rétaise liée à la vigne depuis des siècles.

Différentes formules vous sont proposées, avec le même fil conducteur :

Oui, nous avons le droit de produire du Cognac et du Pineau et on va vous expliquer le pourquoi & le comment !

Dès l’entrée du magasin, un jeu de senteur réalisé sur plusieurs fûts vous fera voyager dans le monde des odeurs. À l’espace Dégustation, vous pourrez découvrir les Vins, Pineaux et Cognacs.

Mais si vous souhaitez vraiment connaître tous les

Différentes formules vous sont proposées :

1/ « La visite sans rendez-vous » a lieu, en ce moment, tous les mardis et jeudis à 15h30 (en juillet et août, elle aura lieu du lundi au vendredi à 10h30 & 15h30). Elle se termine par une dégustation commentée de 2 Pineaux des Charentes.

2/ Une visite plus privative limitée à 12 personnes est également proposée à 17h00 sur réservation. Saucisson, fromage de chèvre et chocolat accompagnent une dégustation de différents produits de la cave.

3/ Tous les jeudis matins, vous pouvez partir à la découverte du vignoble en vélo en compagnie d’un guide qui vous racontera l’histoire de la vigne rétaise du moyen âge à aujourd’hui. Une pause gourmande, originale et unique s’imposera d’elle-même en milieu de circuit. La balade se conclue par la visite et une dégustation apéritive.

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Wipe Out Festival : du surf, de la convivialité et du fun !

La première édition du Wipe Out a surfé sur la vague du bonheur durant trois jours. La savoureuse programmation réalisée par Label Oyat, en partenariat avec la Java des Baleines et le FIFAV, a porté ses fruits en réunissant les curieux et les passionnés de glisse.

Denoyel, des joyaux de la culture surf qui ont attiré de nombreux curieux. Quant au samedi soir, les plus joueurs ont pu tenter de gagner cinq nuits à Bali en jouant au Quiz Surf. Les heureux gagnants et fin connaisseurs sont repartis avec leur prochain projet de voyage… Puis le groupe « Loolie and the surfing Rogers » a fait vibrer le Fort et les festivaliers sur une musique « surf rock » emmené par un saxophoniste déchaîné.

Un vrai FUN surf contest

Une première soirée qui a commencé « Fort » !

C’est dans l’enceinte du Fort la Prée à la Flotte que le Wipe Out a sonné le début des festivités ! Une soirée qui aura mis le surf sur le devant de la scène avec des expositions de photos de différents artistes locaux. Les couleurs de l’océan et de ses ondulations ont investi la chapelle du Fort et les pièces attenantes du lieu, offrant aux visiteurs une déambulation artistique allant des plages de l’île de Ré jusqu’à celle des pays nordiques… Cette mise en scène photographique était accompagnée de l’exposition de planches des trois shapers présents pour l’occasion. Une véritable exposition suspendue mise en scène par les artistes venus présenter leurs œuvres.

Cette soirée était aussi l’occasion de découvrir les films présentés par le FIFAV : des courts métrages réalisés par de jeunes Rétais et les films Le Chemin d’Arthur Bourbon et Biarritz Surf Gang de Nathan Curren et Pierre

Un contest qui portait bien son nom ! Cette compétition jugée sur les manœuvres, le style et… la touche de fun, organisée aux Grenettes durant le week-end, aura permis aux quarante participants de faire corps avec les vagues et d’offrir au public un magnifique spectacle sur l’eau. Julie, l’une des organisatrices du festival, nous raconte : « Il y a eu tous les niveaux de surf. Sur la finale et la demifinale, c’était même spectaculaire avec de très bons surfeurs, des participants de l’île de Ré et d’autres venus du sudouest et de Vendée. Tous les surfers ont vraiment joué le jeu tant sur la technique que sur le fun, c’était incroyable ! »

Il faut dire que les quatre compétiteurs arrivés en finale avaient du style. « Ils sont fous ! » Poursuit Julie. « Ben, l’un des finalistes a même réalisé la prouesse de venir avec sa planche et son escabeau sur lequel il a réussi à tenir quelques secondes ! » D’autres ont osé de belles folies sur leur planche : jongleries, salopette à paillettes et costumes de leur héros préférés… Un véritable défilé haut en couleur sur un océan émeraude qui rendait le tableau, depuis les Grenettes, tout simplement unique. Le trio tient à remercier les écoles de surf Ré Surf et Surf’in Ré qui ont accepté d’organiser cette compétition de surf pas comme les autres, et de l’animer d’une main de maître durant les deux jours. Comme prévu, l’annonce des gagnants s’est déroulée le dimanche à 18 h, avec

de très beaux prix à la clef dont une combinaison de surf (offerte par le surfshop Soöruz) et la planche de surf réalisée par les trois shapers pros de l’île de Ré, réalisée spécialement pour l’occasion en live devant le public au sein du Fort la Prée. Une création qui aura fait plusieurs heureux : le grand gagnant Malo Le Gall, jeune Rétais de 16 ans, mais aussi les shapers qui ont réalisé cette création collective. Pour les trois créateurs de boards, ce moment a été l’opportunité de passer un vrai moment ensemble et de créer de nouvelles synergies : « On se croise à l’eau, mais on n’avait jamais eu l’occasion de travailler ensemble. Ça a permis de donner une bonne dynamique à notre trio pour créer, mais aussi pour organiser des événements, des expos et des vides ateliers ensemble » , confie Flo de Fonky Shape. La dernière étape dite « de glaçage » n’ayant pas pu être réalisée sur le site, les trois shapers se sont donné rendez-vous après l’événement pour finaliser ensemble et jusqu’au bout cette création singulière. Le Wipe Out Surf Festival aura bel et bien permis de tisser du

lien entre tous les adeptes pros et amateurs de la discipline. Plus qu’une discipline, les organisateurs avaient également invité les acteurs qui participent à la préservation de l’environnement pour sensibiliser le public, et rappeler le lien fort entre ces enjeux et les sports de glisse. Les petits et grands auront pu profiter de la présence des associations locales Blutopia, SurfRider La Rochelle, Yoga à la plage, L’École Buissonnière… qui ont proposé durant les deux jours, différents ateliers participatifs.

Les organisateurs, encore sur leur petit nuage Claire de Label Oyat se dit « plus qu’heureuse, toutes les attentes qu’on avait, elles étaient là, ce sont même plus que nos attentes. Il y a eu une énergie de dingue, on l’a senti dès le vendredi ». Cet événement aura permis de belles rencontres pour certains, des retrouvailles pour d’autres, mais aussi de rassembler toutes les générations de passionnés de glisse. « On a rencontré la grande famille de surf rétais, on a pris le temps de discuter, de se rencontrer. Beaucoup d’habitués du nord et du sud de l’île de Ré étaient réunis, les jeunes, les plus âgés, les curieux, les passionnés, bref, un beau melting pot comme on l’imaginait ! », conclut-elle, dans un sourire plein d’émotions. Les trois organisateurs tiennent à remercier tous les partenaires, les artistes et les bénévoles pour leur soutien et leur confiance. Et pour 2024 ? Le trio annonce déjà haut et fort la couleur « Feu pour l’année prochaine ! Surtout que l’on aura un an pour pouvoir préparer la prochaine édition ! » Un rendezvous qui pourrait bien s’inscrire dans la durée pour continuer de réunir les passionnés et faire rayonner la culture surf sur l’île de Ré.

Amandine Hemery

© Nicolas Rayneau

© Nicolas Rayneau

© Nicolas Rayneau

Olivier de Cachalot SurfBoards, l’un des trois shapers, en pleine création de la planche réalisée en collaboration avec Flo de Fonky Shapes et Zacharie de Z-Board. Une création unique créée à six mains.

Un Fun surf contest donnant lieu à de vraies prouesses techniques, avec des participants venus surfer en costumes en tous genres !

Le trio de choc en charge de l’organisation : Julie Batisse, Claire Bouchard de la Poterie et Antoine Le Coq, « plus qu’heureux » de la réussite de cette première édition.

© Nicolas Rayneau

Les quatre finalistes (catégorie adulte) à la sortie de l'eau.

Le printemps des Baleines, par et pour les Villageois !

Après le succès des deux premières rencontres, une nouvelle édition animée par les habitants et les associations de Saint-Clément-des-Baleines aura lieu le 10 juin à partir de 18 h au petit Clos.

et habitants des alentours. Cette année, le programme s’annonce encore plus riche.

Une fête animée par les Villageois(es)

Cet événement initié par Label Oyat et la mairie de Saint-Clément a germé durant les soirées d’hiver sur l’île en 2022. Ils imaginent alors un moment pour tous les habitants de la commune et alentours, habitants de cœur ou de passage, pour se réunir et co-construire un temps fort ensemble. Une fête de village à laquelle toutes les associations peuvent participer, toutes générations et tous styles confondus. C’est ainsi qu’ont fleuri, au rythme des saisons, les premières éditions du printemps des Baleines en mai 2022 et de l’automne des Baleines en décembre. Un rendezvous devenu régulier qui réunit entre 200 et 300 personnes à chaque fois.

Une rencontre créatrice de nouvelles synergies « D’ordinaire, la création d’événement en commun se faisait plutôt par

ARS-EN-RÉ

génération » , explique Christophe Penot, adjoint au maire. « L’idée était de pouvoir créer de la mixité et d’impulser des synergies entre les associations » Mission réussie puisque, depuis, des liens sont nés et des croisements entre elles se sont créés. Les plus jeunes et les plus âgés se mêlant un peu plus sur les événements des uns et des autres. Pour Jonathan Odet de Label Oyat « ce qui est intéressant dans cette démarche, c’est la notion de co-construction d’un événement par les acteurs d’un même territoire. Réussir à co-créer ensemble - tout en restant assez flexible - un événement qui fonctionne, c’est plutôt un beau challenge et une belle réussite. »

Un moment festif, créatif et participatif

Le représentant de Label Oyat confie « avoir été surpris par le succès du dispositif, ce qui nous a tous donné envie de continuer et d’inscrire ce

rendez-vous dans la durée » . Les associations se sont de nouveaux réunies pour élaborer un programme, et une fois de plus, les talents de chacun(es) viendront rythmer tour à tour cette soirée : des ateliers danse, de création de boules de graines, des quiz, des chants, du théâtre, des expositions de photos, un coin lecture et de nombreuses animations qui promettent un moment festif pour tous les publics (lire encadré).

Le soutien financier de la Mairie et du Département permettra également une intervention musicale pour un moment de danse qui se veut joyeux et participatif. Sans oublier le traditionnel pique-nique du Comité des Fêtes qui ouvrira les festivités à 18 h. Et si certains souhaitent tester et partager leurs talents de maître pâtissier(ère), un concours de desserts aux fruits de saison sera également organisé avec un jury. Alors avis aux passionnés de cuisine, boulangers, restaurateurs... : le jury cherche encore une ou deux personnes pour intégrer ce concours culinaire aux notes sucrées et printanières ! Cet événement se veut créatif et convivial : une belle opportunité pour rencontrer les associations, danser, tester ses connaissances et profiter des spectacles proposés par les acteurs locaux. Toutes les activités sont gratuites, un apéro sera également offert par

Ramène ta Fraise... à Algorythme

la mairie. Une buvette est prévue sur place, tenue toute la soirée de manière inter-associative.

En cas de très mauvaise météo, l’événement se verra dans l’obligation d’être annulé. Les informations seront disponibles sur la page Facebook de la mairie et de La Java des Baleines.

Amandine Hemery

Animations

- Le pique-nique Villageois du Comité des Fêtes

- L’apéro offert par la mairie

- La chorale du club villageois

- L’école élémentaire : défis et quizz organisés par les élèves

- Le quizz patrimoine par Hervé Roques et Christophe Penot

- Des ateliers de danse orientale avec Vynie

- Les RéActeurs avec un aperçu de leur futur spectacle

« Les Moussaillons du Pertuis »

- Une exposition des photos des concours organisés par la mairie les années précédentes

- La bibliothèque avec cabane à histoire et bd

- Des ateliers avec Marie Schuch pour semer des graines

- La dictée de Marinette par Amandine

- Le quizz musical de la Java

Après Les Ânes en culotte et les Jardins de Mouillebarbe, les chantiers participatifs Ramène ta Fraise continuent sur l'île de Ré !

Les objectifs de Ramène ta Fraise : découvrir les fermes autour de chez soi et prêter main-forte à un agriculteur/une agricultrice pendant une matinée. Le prochain chantier participatif aura lieu le samedi 27 mai de 9h à 13h à Ars-en-Ré, avec

la super équipe d’Algorythme - Les Algues de l’Île de Ré, qui nous présentera le encore peu connu métier d’algoculteur.ice ! Au programme de la matinée : du bouturage d’algues (bien au sec !), la pose de lignes de culture et de la récolte de maceron

dans les marais. Et comme toujours, une visite de la ferme et un moment convivial pour terminer la matinée. Le lieu n’étant pas adapté aux plus jeunes, le chantier participatif est réservé aux adultes et enfants de plus de 10 ans. CP

Événement gratuit mais places limitées : inscription obligatoire via ce formulaire : forms.gle/2ReHQf7aVkhp4xRu6 ou par mail à animation@collectiffermesurbaines.fr

La première édition du Printemps des Baleines avait réuni de nombreux Villageois, visiteurs

La Fête du Port de La Flotte sous une météo radieuse

Vendredi 19 et samedi 20 mai, c’est la joie et la convivialité qui dominaient dès le matin à la Fête du Port de La Flotte, organisée par l’AUPLF*, en partenariat financier avec la Mairie et le Département.

Chants marins des Gaillards des Pertuis et des Frères du Port, Jazz band, balades en mer, visite d’un bateau de la Gendarmerie nationale, hélitreuillage avec la SNSM... ont rythmé ces deux journées.

De nombreux stands tous liés à la mer ont informé les visiteurs, tandis que peintres, sculpteurs, brocante marine... se sont implantés sur le front de mer, ravissant passionnés et chineurs d’art marin.

MAMMIFÈRES MARINS - SENSIBILISATION

Les dauphins invités surprise à La Flotte

Cerise sur le gâteau, Les Cols Bleus animaient le stand restauration et buvette dans la (très) bonne humeur, en journée et pour la première fois en soirée : plats à base de thon grillé, moules et autres mets de la mer ont attiré la foule !

Ce fut, comme toujours, un très bel évènement.

Nathalie Vauchez

* Association des Usagers du Port de La Flotte

Les Flottais, visiteurs de la Fête du Port et badauds ont eu la surprise, dès 9 h vendredi 19 mai, de voir 200 panneaux de dauphins exposés cours Félix Faure, à proximité immédiate du port.

La moitié représentant des cétacés évoluant librement dans l’océan, l’autre moitié blessée, prise dans des filets de pêche etc.

La LPO et Ré Nature Environnement, avec à leur tête Allain BougrainDubourg et Dominique Chevillon, présidents respectifs de ces deux associations naturalistes, entourés de Grégory Ziebacz et Jean-Roch Meslin, ont souhaité ainsi, avec la complicité du maire de La Flotte, Jean-Paul Héraudeau, réitérer l’opération de sensibilisation menée il y a quelques mois sur l’esplanade des Invalides à Paris, où 400 photos de dauphins avaient été exposées, avec un très fort relais médiatique.

Le Conseil d’Etat avait, quelques semaines après, tranché en faveur de France Nature Environnement et de la LPO, en accédant à leurs demandes notamment de suspension spatiotemporelle de la pêche en hiver, créant une vive réaction d’un certain

nombre de pêcheurs. Les déclarations du Ministre de la Mer, s’opposant publiquement à la mise en œuvre de ces mesures, sont vivement dénoncées par Allain Bougrain-Dubourg. « Le Ministre s’oppose ainsi à la plus haute juridiction de notre pays, c’est inacceptable ! L’Etat français a 6 mois pour appliquer ces mesures, qui doivent donc être opérationnelles pour septembre. S’il n’est pas au RV, la LPO et FNE mèneront des recours, certainement en référé », a déclaré Allain Bougrain-Dubourg à Ré à la Hune, précisant : « C’est pris par certains pêcheurs comme une sanction, alors qu’au contraire cela devrait l’être comme une richesse potentielle, comme ce type de mesures l’a été pour la coquille Saint-Jacques ou encore le thon rouge en Méditerranée, qui en ont bénéficié. En pleine période de fraie, une suspension spatiotemporelle de la pêche permettrait de préserver le bar ou encore le merlu... ».

SAINT-CLÉMENT DES BALEINES

Avant d’être appliqué, le contour précis de cet arrêt spatio-temporel de la pêche doit encore être précisé : lieux, dates, modalités de pêche et de contrôle...

A suivre de près, tant la côte atlantique et l’île de Ré paient chaque année un lourd tribut à la mortalité de ces

Adoptez un arbre de La Forêt Rouge !

mammifères marins, qui échouent par centaines sur nos côtes durant les mois d’hiver, présentant dans la très grande majorité des cas des traces de capture de pêche, qui leur est fatale.

Nathalie Vauchez

L’installation artistique de Marie Schuch sera inaugurée les 3-4 juin 2023 en sa présence, dans le cadre des « Rendez-vous aux jardins ».

Près de 150 arbres seront plantés à l’automne 2023 sur le terrain du Moulin Rouge.

2023 une année de transition et de préfiguration

Cette « forêt » en devenir est préfigurée cet été par une installation artistique de l’artiste Marie Schuch. Ce lieu éphémère est à la fois une représentation poétique du futur espace boisé et un test grandeur réelle des usages et des espaces. Cette installation, qui sera en place tout

l’été, est également un projet participatif, vous permettant d’adopter l’un des 90 arbres*. Marie mettra en place l’installation la semaine précédente, l’impact visuel sur le terrain devrait être assez fort. Une session de plantation participative sera organisée à l’automne 2023. Vous pourrez venir planter

votre arbre ! Si vous n’êtes pas disponible votre arbre pourra être planté par nos soins. Sculpteure plasticienne de l’environnement, artiste de pratique curatoriale, Marie Schuch habite et travaille à Saint-Clément-desBaleines.

Le concept artistique de cette œuvre s’intéresse au « topos » du site et propose une installation paysagère grandeur nature adaptée et in situ. La couleur rouge est un appel, voire une posture dans l’environnement et signale une intention singulière. La démarche est de proposer pour le lieu-dit du Moulin Rouge, de s’inscrire, de se positionner avec le public dans le futur.

Allain Bougrain-Dubourg, Dominique Chevillon, Grégory Ziebacz, Jean-Roch Meslin et Claude Rieg répondaient dès le matin aux questions des badauds intrigués par cette exposition choc.

Les chants marins ont chauffé l’ambiance dès le matin !

Inauguration

Une nouvelle salle d’exposition à Rivedoux

Vendredi 12 mai, le Collectif des Artistes de Rivedoux inaugurait la petite salle Robert Vergnaud à l’occasion de la première exposition d’artistes rivedousais.

La municipalité de Rivedoux ne disposant d’aucune salle d’exposition pour les artistes, une solution a

été recherchée et trouvée en la petite salle jouxtant la salle des fêtes Robert Vergnaud. Quelques aménagements ont été réalisés pour la rendre opérationnelle, en particulier pour pouvoir accrocher des tableaux et les éclairer correctement, si bien que la soirée du 12 mai était à la fois une inauguration du lieu et un vernissage de la mini-exposition.

Patrice Raffarin a chargé le Collectif des Artistes de

Rivedoux de l’exploitation de cette salle et du planning des expositions qu’il souhaite voir nombreuses cette saison. La miniexposition du 12 mai présentait les travaux des artistes peintres : Evy Demaline – Sophie Dubrunquet –Brigitte Fontauzard, Ozlem et de la photographe Claire Poyer. La sobriété des photos en noir et blanc de Claire Poyer, leur recherche graphique et l’exploitation des perspectives attirait l’attention des visiteurs face aux tableaux colorés des artistes peintres, ceux de Sophie Dubrunquet exceptés.

Collectif des artistes de Rivedoux

Programme de la saison

Du 12 au 21 mai et du 21 au 27

août : Brigitte Fontauzard

Du 31mai au 4 juin et du 6 au

10 septembre : Ozlem

Du 7 au 11 juin : Claire Poyer

Du 10 au 16 juillet : Stéphanie Aubin

Du 5 au 6 août : Sophie Dubrunquet

Du 17 au 23 juillet : Evy Demaline

34 rue Pasteur

17940 RIVEDOUX-PLAGE 09 86 36 06 71

LE LOOFA BAR #LEROOFTOP

Avec sa vue à couper le souffle, le Loofa Bar du RELAIS THALASSO Île de Ré est un lieu unique qui s’apprécie à chaque moment de la journée et à toutes les saisons. Déjeuner vitaminé et gourmand, apéritif Wellness au bord de l’eau, sa cuisine saine et savoureuse saura ravir tous les palais.

En effet, cette dernière peint à l’huile et utilise une palette de couleurs douces, des gris, des bleus, de l‘ivoire, créant un univers très particulier, calme et paisible. Chacun des artistes de ce collectif exposera à nouveau et cette fois seul dans le courant de l’été, ce qui permettra de mieux apprécier la qualité et la diversité des œuvres.

Catherine Bréjat

Permettant l’accès à l’espace Spabien-être intérieur et à la piscine extérieure, l’abondant Brunch’île du dimanche vous promet un pur moment gourmet et de détente, face à l’océan.

L’espace Wellness propose son bassin intérieur d’eau de mer chauffée avec banquettes et transats bouillonnants, ses parcours sensoriels, son hammam&ses jets massants. La piscine extérieure chauffée et son espace lounge offrent un cadre idéal pour prolonger ce moment hors du temps et profiter du buffet à volonté composé de délicieux plats salés et sucrés à base de produits locaux, frais et de saison. Àsavourer !

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EIRL Agent commercial indépendant de la SAS I@D France immatriculé au RSAC de La Rochelle sous le numéro 794 915 256, mandataire indépendant en immobilier (sans détention de fonds), titulaire de la carte de démarchage immobilier pour le compte de la société I@D France SAS.

Patrice Raffarin et Isabelle Ferré invitant l’assistance à partager le verre de l’amitié.

Bientôt, un traiteur ouvert à l’année à Saint-Clément

Saint-Clément des Baleines accueillera cet été un nouveau commerce ouvert à l’année, rue de la Boulangerie. Au menu : de l’épicerie fine, une petite cave et des plats à emporter.

Laure et Paul Trichard viennent à peine de signer leur contrat de location et de récupérer les clefs de leur nouvelle boutique. Mais ils espèrent bien ouvrir leur commerce dès le début de l’été, après avoir réalisé quelques travaux. « Nous devons mettre en place, dans l’arrière-boutique, un laboratoire où nous pourrons réaliser toutes les préparations », explique Paul Trichard. « Les rendez-vous avec les artisans sont déjà pris et le planning des travaux calé. On espère que tout sera fini pour la mi-juillet »

Ce local, propriété de la Mairie, a enfin trouvé preneur après de longs mois à vide. Situé rue la Boulangerie, face au restaurant À l’Ouest, il tombait à pic pour ce jeune couple installé à Paris, mais désireux de quitter la capitale pour l’île de Ré. « J’ai vendu

mon restaurant à Paris au mois de septembre », explique Paul. « J’avais le désir de faire autre chose et de trouver un local pour faire traiteur. » « Ça a été un gros coup de cœur », continue Laure, sa femme. « Nous pensions plutôt essayer de trouver un local dans

NOUVEAU COMMERCE – LA FLOTTE

le sud de l’île, parce que plus facile et plus sûr en termes d’activité. Mais ce local est parfait ! La superficie, l’aménagement… tout nous convient ! Et comme nous avons une maison, ici, à SaintClément, la décision a été très vite prise ! On est très heureux de participer à faire vivre le village. » Le couple compte faire évoluer sa proposition au fil des saisons. L’été, l’offre sera axées sur des produits d’apéritif, des tartinables, des salades, des accompagnements pour les barbecues ou de quoi se composer le pique-nique parfait. L’hiver, des

Oliviers & Co : La Méditerranée sur l’île

Tous deux amoureux de l’Italie, Geoffroy et Agnès de Villaines ont ouvert début avril dernier, en plein cœur de La Flotte, sous la franchise de marque Oliviers & Co, un magasin dédié aux produits méditerranéens. Pour la petite histoire, Olivier Baussan, créateur en 1996 de cette enseigne, qui compte environ 25 boutiques en France et a essaimé à l’étranger, est aussi à l’origine de L’Occitane. Comme pour le vin, chaque huile d’olive possède sa propre personnalité, résultante du terroir, du savoir-faire des hommes, de la variété et de la maturité des olives utilisées. Sélection exigeante, traçabilité unique du verger aux bouteilles, qualité et fraîcheur constituent la marque de fabrique des huiles Oliviers & Co qui viennent de tous le contour méditerranéen : Italie, Espagne, Portugal, Maroc, Grèce et France. Huiles d’exception, sélectionnées par l’oléologue maison, huiles du quotidien et huiles aromatiques pour lesquelles les fruits sont pressés en

même temps que les olives, chacune a son histoire et sa saveur bien caractéristique. Basilique, ail, ou encore citron se marient divinement bien avec l’olive, pour ces huiles d’olives uniques. Loin de commercialiser seulement des huiles, Oliviers & Co propose d’autres gammes de produits : sauces pour pâtes, produits à tartiner : tapenades (avec anchois) ou olivades par exemple au citron confit, chèvre courgette, basilic ou encore amande se dégustent sur des croûtons à l’apéritif. La gamme de vinaigres balsamiques, tous de première qualité, se décline selon le nombre d’années de vieillissement, les plus anciens formant d’exquis velours balsamiques. Les vinaigres aux fruits - figue, pamplemousse, mangue, framboise, grenade, etc. - sont à accorder avec les mets. La gamme de produits à la truffe : pâtes, crème de parmesan, concassés à la truffe... est à se damner. Côté produits sucrés, les navettes de Provence à base de fleurs d’oranger, les crèmes à la pistache ou au citron de

Sicile, sans oublier la crème de chocolat et noisette du Piémont séduiront les plus gourmands. Petite touche personnelle, Geoffroy et Agnès proposent aussi quelques produits qu’ils ont euxmêmes sélectionnés, tels les cafés de Naples (compatibles Nespresso) et un vin italien.

La passion des propriétaires des lieux se ressent dès que l'on franchit le pas de ce magasin très joliment aménagé, avides qu’ils sont de raconter l’histoire de leurs produits et de dispenser leurs précieux conseils culinaires.

petits plats maison seront proposés à emporter. Côté épicerie, ce sera du 100 % français et au maximum régional. La cave sera légère et non exhaustive, juste de quoi accompagner les mets proposés. Que ce soit en épicerie ou en traiteur, Laure et Paul travaillent avec des producteurs et artisans coups de cœur dont ils veulent faire découvrir les produits. Avec eux, arrivent à Saint-Clément des produits de qualité, de la vie dans le centre-bourg et de l’activité à l’année, mais aussi deux enfants en bas âge qui seront scolarisés sur le RPI SaintClément-Les Portes ! A tous niveaux, la commune est gagnante. Alors rendez-vous mi-juillet !

Aurélie Bérard

Laure et Paul Trichard devant leur nouveau local, rue de la Boulangerie à Saint-Clément.

Nathalie Vauchez

Retrouvez toute la Méditérranée dans cette jolie et savoureuse boutique.

Savourez la tradition Réthaise !

Oliviers & Co à La Flotte 2 ter rue Gustave Dechézeaux

décoration - aménagement - architecture intérieure

la boutique

Gervasoni, Adico, Elitis, Fantini, Gravelli, Popham Design, Tensira, Tubes, Ethimo, Le Monde Sauvage, Cielo Ceramica, Gommaire, Honoré, LCDA, Mathieu Challières, Menu, Mobler, Orac Décor, Signature, Viebifeffe, Guadarte, Mad & Len …

La Croix-Michaud 4 bis rue des Caillotières 17630

La Flotte-en-Ré

instagram: @lessingulieres_iledere - Facebook: Les Singulières-ile de ré - 06

contact@lessingulieres.fr www.lessingulieres.fr

Quand la déco voit double

Ce n’est plus à prouver, l’art et la mode traduisent l’état de la société. Qu’en est-il en décoration intérieure ?

Crise sanitaire, crise économique, pression écologique, contexte géopolitique… face à un environnement extérieur anxiogène, la maison, qui n’était déjà plus un simple

habitat depuis les années cocooning, se hisse à un niveau encore supérieur pour devenir non seulement lieu de vie mais aussi un lieu à vivre, espace de liberté où exprimer pleinement notre personnalité. Réponse ou réaction face aux agitations du monde et aux incertitudes quant à l’avenir ? Plusieurs tendances déco émergent ou se confirment. En apparence contraires mais pas que…

Grand écart

C'est en penseur de faisabilité que l'entreprise

Fin de l’abondance, de l’insouciance, des certitudes… notre époque montre les signes d’une finitude perturbante nous obligeant à modifier nos habitudes et à nous adapter, une étape intermédiaire portant en elle les germes d’une nouvelle créativité fondée sur d’autres critères. D’un côté, le besoin de se rassurer avec des valeurs sûres, de l’autre celui d’illuminer un quotidien maussade. D’un côté une maison raisonnée, raisonnable et feutrée, de l’autre

Heraudeau Construction devient réalisateur de qualité. Dans chaque savoir-faire, un artisan!

une maison originale voire exubérante. Deux tendances que nous pouvons dessiner à grands traits ou par petites touches dans nos intérieurs. En toile de fond, une certitude : consommer moins et mieux.

La couleur pour thérapie Elle adoucit ou dynamise, nimbe de poésie ou explose de vitalité. La couleur s’invite en deux grandes familles.

Neutres colorés, pastels glacés ou encore vert olive, terracotta, indigo, lavande mais aussi orange, bruns et rouges dans leurs nuances les plus profondes, réjouiront les amateurs d’intemporalité tandis que les plus audacieux iront voir du côté des couleurs primaires, par nature intenses et fortes, toute droites issues d’un clin d’œil aux années 80.

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Couleur orange mais brûlé pour le dernier canapé Gervasoni.

(Lire la suite page 13)

Parmi elle, le vert vif, entre l’acide Granny Smith et l’herbe fraîchement coupée. Mais il faut oser… Total look ou à petits pas, la couleur s’impose, y compris sur les canapés.

Matières et motifs Qu’elles soient naturelles ou à la pointe de l’innovation, les matières sont soigneusement choisies. Version eighties (décidément de retour), triomphe du verre tel que l’on ne l’a pas vu depuis longtemps. Sur le mobilier en plateau de table basse ou en façade, incolore ou non, il impose sa transparence et ses effets de lumière sans détrôner les matières naturelles portées par les bois chaleureux.

Les motifs jouent la douceur et la délicatesse poétique des décors exaltant la nature (fleurs, animaux, minéraux) ou bien une exubérance directement issue des nouvelles technologies, tout ou presque étant possible aujourd’hui. Quelle que soit l’orientation, ils se déclinent sur tissus, coussins ou murs sur en fresques parfois monumentales.

Rondeur et modularité

Répondant à l’envie de douceur et de confort face à la brutalité du monde, l’arrondissement des formes se confirme. Exit le tranchant et les angles droits, vive la rondeur, les courbes ou l’effet vague se déclinant sur le mobilier. Quant à la modularité, elle s’impose

comme une évidence dans les petites surfaces mais aussi par volonté d’adaptation à différents usages. Le bout de canapé se transforme en pouf, les étagères s’adaptent aux murs, le mobilier entre et sort au gré des saisons. On ajoute, on enlève, on déplace.

Une maison durable

Entre deux tendances aux effets parfois opposés, une ligne de force : la durabilité.

Que ce soit pour des raisons économiques ou éthiques (ou les deux), le consommateur d’aujourd’hui n’est plus tout à fait celui d’hier : il souhaite acheter mieux, connaître les origines d’une pièce, savoir de quoi c’est fait et comment. Amateurs de valeurs sûres comme de nouveauté trouveront dans les innovations de quoi satisfaire à leurs exigences. Matériaux recyclés ou biosourcés les réconcilient autour d’un courant de fond : une maison plus responsable.

Plus que jamais, l’idée est au mix & match. Car on peut à la fois refuser l’uniformisation pour exprimer librement son originalité et être soucieux

de valeurs éthiques. Pourquoi choisir puisque l’on peut à partir d’une base, intégrer par accessoires et petits éléments de décorations, les tendances d’une seule saison. L’essentiel semble ailleurs : il s’agit de donner du sens à nos intérieurs, plus que jamais points d’ancrage de notre propre réalité.

Pauline Leriche Rouard

Merci à Cécile d’Humières de la boutique Les Singulières à La Flotte pour son éclairage et la photo illustrant cet article.

Luminaire de jardin Paranocta.

Préparez dès à présent vos soirées d’été !

Olivier Tradition, votre couvreur sur l’île de Ré

Ne vous trompez pas dans la recherche de votre artisan toiturier, faites confiance à un spécialiste ! L’Entreprise Olivier Tradition est, depuis plusieurs générations, votre professionnel reconnu pour son sérieux et son savoir-faire. Sa palette d’interventions s’étend de la couverture sous toutes ses formes, à la charpente, la zinguerie et Velux.

Yannick, chef d’entreprise depuis 21 ans, travaille en étroite collaboration avec les plus grands noms des fabricants français et européens pour obtenir les meilleurs matériaux en qualité et en termes d’aspect extérieur. Il participe à l’élaboration d’une gamme pour remettre en valeur l’architecture de l’île. Il s’attache à rigoureusement sélectionner les coloris des éléments à mettre en œuvre par ses équipes (17 personnes). « Je n’hésite pas à acheter une tuile un peu plus cher si je sais que son coloris est en harmonie avec la tradition rhétaise. Depuis les années 2000, certains fabricants nous ont inondés de produits industriels à bon marché. La conséquence est que nous avons perdu en qualité de paysage puisque les teintes des couvertures ne correspondent plus à la véritable île de Ré ».

Rassurez-vous, Yannick saura également vous conseiller afin que votre maison corresponde à ce que vous êtes venu chercher dans ce petit coin de paradis. « Nos clients ont besoin d’être guidés dans leur

choix, nous les conseillons jusqu’à la livraison des travaux ». Ne soyez plus soucieux des travaux qui se dérouleront durant votre absence. « Nous mettons un point d’honneur à rendre un travail propre et soigné. Je répète toujours à mes employés que nos clients ne doivent pas s’apercevoir que nous sommes passés. C’est signe que nous avons bien travaillé. Lorsqu’ils reviennent enchantés par nos conseils et notre réalisation, nous savons que c’est notre meilleure carte de visite ».

les

L’ Audit énergétique, nouvelle règle incontournable

Nouvel entrant au DDT*, l’audit énergétique est obligatoire depuis le 1er avril dernier.

Il ne doit pas être confondu avec le Diagnostic de Performance Energétique ((DPE) qu’il ne remplace pas mais vient compléter. Émanation de la loi Climat & Résilience visant à lutter contre le dérèglement climatique, l’entrée en vigueur de l’audit énergétique était initialement prévue au 1er septembre 2022 avant d’être repoussée au 1er avril 2023 selon un décret publié au Journal Officiel le 11 août 2022. Décryptage.

Rappel sur le DPE

En application depuis 2006, les modalités de son calcul ont été modifiées en 2021 et il est désormais entré dans les mœurs. Le Diagnostic de Performance Energétique a pour mission d’évaluer la consommation énergétique d’un logement et ses émissions de gaz à effet de serre (GES). Réalisé par un professionnel certifié, le DPE classe les logements selon une grille allant de A à G, ceux recueillant une note F ou G étant considérés comme des « passoires thermiques ». Rappelons que depuis le 1er janvier dernier, les logements classés G ne sont plus autorisés à être remis en location sans travaux de rénovation préalables.

L’audit énergétique, qu’est-ce-que c’est ?

Nouvelle obligation, l’audit énergétique intervient aujourd’hui lors de la mise en vente d’un logement classé F ou G sur le DPE (passoire thermique), et concerne immeubles et maisons individuelles. Son objectif est avant tout d’informer l’acquéreur, afin que celui-ci puisse intégrer les travaux de rénovation énergétique dans son projet. A noter que l’audit énergétique doit être remis au candidat acquéreur dès

La vente en viager , y avez-vous pensé ?

la première visite du bien et devra ensuite être joint à la promesse de vente au même titre que les autres éléments du dossier de Diagnostic technique.

Que contient l’audit énergétique ?

Tout d’abord des éléments complémentaires au DPE ou s’appuyant sur celui-ci : état des lieux général (ventilation, chauffage, éclairage, etc.) et performance. Surtout, il doit proposer des solutions à travers un parcours de travaux adapté aux caractéristiques de bâti du bien et assorti d’informations importantes : estimation du montant des travaux à effectuer et des économies d’énergie correspondantes, mais aussi de l’impact possible sur la facture énergétique, considérant que celle-ci ne peut être que théorique car dépendante des habitudes de consommation individuelle. L’audit énergétique doit également mentionner les principales aides pouvant être sollicitées pour mener à bien le calendrier de travaux réalisable en une ou plusieurs étapes.

Au même titre que le DPE et les autres diagnostics techniques, l’audit énergétique doit être réalisé par un professionnel certifié.

Pauline Leriche Rouard

Calendrier

- 1er avril 2023 pour les logements classés F ou G au DPE

- 1er janvier 2025 pour les logements classés E

- 1er janvier 2034 pour les logements classés D

Sainte Marie de Ré

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Diagnostics immobilier professionnels et particuliers

Le viager, un mode de transaction immobilière unique en son genre offre une alternative intéressante pour les propriétaires en quête de revenus réguliers tout en conservant l’usage de leur bien.

Sur l’île de Ré, une entreprise familiale et indépendante, HENAULT Immobilier , s’est diversifiée il y a quelques années en intégrant le viager dans ses services. Forte de 23 ans de présence sur le territoire et de plus de 950 transactions immobilières réalisées, elle propose une expertise locale précise et réaliste.

Le viager offre une solution financière attractive pour les propriétaires seniors qui souhaitent sécuriser leur avenir et bénéficier d’un complément de revenus réguliers. En vendant leur bien en viager, ils peuvent rester chez eux, ne plus avoir en charge l’entretien lourd de leur habitation, améliorer leur revenu mais c’est aussi la possibilité de transmettre immédiatement à ses enfants.

L’évaluation du prix d’un viager repose sur plusieurs critères, dont l’âge du propriétaire et la valorisation du bien immobilier. HENAULT Immobilier met à profit son expertise locale pour évaluer avec précision le bien, en prenant en compte sa localisation, ses caractéristiques et l’état du marché immobilier sur l’île de Ré. Cette approche personnalisée permet d’obtenir une évaluation juste et équilibrée.

TÉMOIGNAGE Monsieur Gérard D. qui se voyait contraint de vendre sa maison pour payer les frais de succession. Cette décision était très difficile pour lui et ses enfants, la vente de la nue-propriété l’a selon ses propres termes sauvé de cette situation :

Mme Isabelle Hénault m’a remarquablement guidé pas à pas, dans la vente de ma maison. C’était une décision compliquée à la suite d’un héritage. Il fallait réagir vite et prendre la bonne décision entre vendre la maison ou faire une vente en nue-propriété pour conserver la jouissance du bien. Mme Hénault m’a expliqué de façon très claire les différentes possibilités avec leurs avantages et leurs défauts. Grâce à son réseau de contacts, elle a réussi à trouver plusieurs acquéreurs. Nous avons donc choisi la nue-propriété. En un temps record, elle a su organiser toutes les autorisations administratives, les expertises, auxquelles s’est ajoutée la nouvelle réglementation du rapport énergétique le 1er avril. Je recommande vivement cette agence pour son professionnalisme, la disponibilité et la gentillesse de son équipe. Un grand merci pour tout.

L’importance de choisir un acteur local de confiance : opter pour les services de HENAULT Immobilier présente de nombreux avantages pour une transaction en viager. Cette entreprise est reconnue pour son intégrité, sa transparence et son professionnalisme. Son engagement envers ses clients, sa connaissance approfondie du marché local et sa capacité à offrir des solutions adaptées font d’elle un acteur majeur dans le domaine du viager sur l’ile de Ré.

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La Couarde-sur-Mer, l’Ile de Ré en son cœur

Village frontière pris entre deux courants, La Couarde-sur-Mer révèle une vie singulière, comme attirée entre deux contraires.

Un coup d’œil sur une image satellite suffit à le constater : La Couarde-sur-Mer est au cœur du territoire, se rétrécissant en cet endroit avant de s’arrondir ensuite vers les contrées du Nord, et le « sur-mer » a du sens. Car ici, l’eau n’est jamais très loin, qu’elle déferle en vagues du côté Ouest ou scintille au soleil dans les marais salants à l’Est.

La Couarde laisse deviner de nouveaux paysages qui s’imposeront plus loin en leur nature restée sauvage.

Village frontière

On y accède par les départementales venant de Saint-Martin et du BoisPlage, et que ce soit à pied, à vélo ou en voiture, pas de doute, il se passe quelque chose sur le trajet. Le paysage se « désurbanise », comme si se préparait dans les champs le passage à autre chose. Traversant le village, les deux ailes départementales se rejoignent sur un vaste rond-point. Sommesnous déjà ailleurs ? Non. Le territoire couardais s’allonge sur la route d’Ars, bordée par les frondaisons de la Forêt du Bois Henri IV, au-delà du lieu-dit La Passe en passant par Les Prises. Et c’est un rond-point bien plus modeste qui marque la frontière : à droite, direction la presqu’île de Loix, tout droit, le Nord de l’Ile nous attend.

Authentique et secret

Marche arrière, au village à proprement parler. Véritable labyrinthe, le bourg d’antan est un entrelacs de venelles. Hauts murs blancs, portails dissimulés au fond de minuscules impasses chargées de fleurs… les demeures couardaises préservent leur intimité.

Après s’être perdus avec délices, on arrivera toujours quelque part. Il suffit

pour cela de suivre le clocher de l’église. Sur sa place, un kiosque à musique, et en perspective, une longue rue bordée de commerces, et des venelles encore, par où rejoindre l’océan.

Avenue du Mail, le Marché du même nom. Même esprit qu’au Bois-Plage, dedans les produits frais, dehors un

tas de choses. Mais la ressemblance s’arrête là : en façade des quartiers résidentiels tardifs du littoral, restaurants et bars se succèdent jusqu’à l’avenue d’Antioche. Discret et replié sur lui-même du côté de l’église, voilà La Couarde ouvert sur l’océan. On dirait presque un autre centre village… cette commune a-telle deux vies ? Peut-être… Plus loin, le visiteur aura tout loisir de se perdre à nouveau du côté du Chemin des Brardes et ses résidences noyées dans la verdure.

Station balnéaire prisée

Et de longue date, puisque La Couarde peut s’enorgueillir du statut de première station balnéaire de l’Ile. Déjà loin du continent pour un dépaysement total, il est également plus accessible que le lointain village des Portes-en-Ré qui n’est pas encore, au début du vingtième siècle, la référence que l’on sait.

D’où vient l’engouement des premiers vacanciers en mal d’horizon dégagé ? Des plages, semblant s’étendre à

l’infini et sans entraves de l’entrée du village jusqu’à la digue du Boutillon. Plage des Folies, des Aneries, du Peu des Hommes, de la Pergola, du Peu Ragot, des Prises… les noms se suivent comme autant de possibilités d’aller poser serviette et parasol par de multiples voies d’accès, parfois bien cachées.

Rien d’étonnant donc à ce que la route d’Ars soit bordée côté Est par de nombreux campings accueillant chaque saison leur lot d’estivants amateurs de villégiature naturelle.

Bien sûr, au fil de cette immense bande de sable fin, les activités nautiques ne manquent pas. Voile, planche à voile, kite-surf, ski nautique ou paddle ont la vie belle, tandis que sur la plage du Peu Ragot, les générations successives apprennent à nager dans le bassin de l’Ecole de voile Les Dauphins du champion couardais Antoine Albeau.

Et capitale de la culture

Elle s’appelait autrefois Association Rétaise de Développement culturel, elle a été rebaptisée Ré Domaine Culturel. Née avec le Maire Paul Neveur, à la fois salle de cinéma et de spectacles, La Maline est une institution. Alors qu’un sérieux coup de jeune s’impose, la Communauté de Communes rétaise choisit de la maintenir en terre couardaise. Une décision forte illustrant la volonté du territoire de se relier en son cœur par la Culture. Après douze ans de péripéties, La Maline du vingt et unième siècle n’a rien à envier à de grandes salles continentales. Epicentre de l’Ile de Ré, La Couarde en est sa capitale culturelle.

Au cœur de village, l’église observe les allées et venues.

Au Marché du Mail, courses, shopping et café du matin.

(Lire la suite page 17)

par la longue piste cyclable venant de Saint-Martin. Les premiers de l’Ile, miroitant sous le soleil estival et ouvrant vers les terres salées du Nord.

Arrêt obligé à la base nautique et son vaste plan d’eau où travaillent assidûment de jeunes champions, et au petit port du Goisil. Pontons de bois, chenal étroit ouvert sur l’océan par où les embarcations des plaisanciers prennent le large jusqu’à la Fosse de Loix.

Mais que se passe-t-il à l’Est ?

D’un côté de la départementale venant de Saint-Martin le village, de

Un été à La Couarde

l’autre… pas grand-chose. Enfin si quand même. Côté terre des champs de vignes et côté mer… des ostréiculteurs et des marais salants que l’on contemple à perte de vue et à vélo,

En juin, à chaque week-end sa fête ! Le 3, place à la nature avec l’inauguration des jardins familiaux mais aussi ateliers écogardes, troc plantes et concert. Le 10, c’est l’heure du reggae avec un concert proposé par l’association Ré-Jouir et le 17, une soirée spéciale se prépare à La Maline pour clôturer ce premier semestre. Quant au 21, inutile de le rappeler, la musique est en fête.

A La Couarde, le cœur de l’été est riche en traditions : vide-greniers, marchés nocturnes au Peu Ragot et le plein d’animations à la bibliothèque. Les temps forts de juillet et août ? « Terre et Mer », exposition photos dédiée au secteur primaire, une séance cinéma en plein air avec Astérix et Obélix pour invités le 3 août, une soirée son et lumière le 18 et bien d’autres choses encore… Il faut bien garder quelques surprises ! PLR

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Le paysage est celui d’une carte postale, on est loin, très loin, dans l’espace et dans le temps.

D’un côté l’agitation permanente du Sud, de l’autre la sereine majesté du Nord. Entre deux eaux, La Couarde a trouvé son propre rythme.

L’hiver, elle offre des horizons sauvages et désertés sans aller plus avant et l’été, le village est en effervescence. D’ailleurs, c’est en son territoire que perdure le dernier lieu où danser jusqu’au bout de la nuit. Mythique, La Pergola continue de faire le bonheur des tribus familiales.

Pauline Leriche Rouard

Ouvert du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 - 14h30 à 18h30

Pittoresque et charmant, le chenal du Goisil regarde au Nord, vers le village de Loix.

CARNET DE VOYAGE(S)…

CHACUN DES DIX VILLAGES DE L’ÎLE DE RÉ REVÊT DE MULTIPLES FACETTES, QUI SE DÉVOILENT À QUI VEUT BIEN LES DÉCOUVRIR.

Le Bois-Plage, village terre-mer

Son nom même signe sa personnalité. Entre vignes et océan, vastes espaces boisés et maisons traditionnelles, Le Bois-Plage cultive la douceur de vivre.

Il gagne à être connu. Au-delà d’une image touristique qui ne l’a pas toujours servi pour le meilleur, Le Bois-Plage se révèle bien plus qu’un village balnéaire. Résolument familial, attentif à son environnement exceptionnel autant qu’à son attractivité économique, il cultive sans ostentation une identité singulière.

Mais où commence Le Bois-Plage ?

On pense être encore à Saint-Martin, on est déjà en territoire boitais. Mais du côté des Evières, peu de place pour les activités humaines. Ici règne une nature souveraine, arbres vénérables et précieuse biodiversité faisant l’objet d’une vigilante protection. On entre au Bois (pour le nommer comme les insulaires) de différentes manières. Venant de Saint-Martin, passage par le quartier du Morinand, lieu-dit aujourd’hui rattaché à la

commune. Et si la rue principale semble bien droite, c’est sans compter avec les voies plus étroites qui la bordent de tous côtés. Charge aux curieux d’en découvrir les charmes à pied ou à vélo. Mais avant de s’y perdre un peu, détour par le Moulin de Bellère, dernière trace de la présence des nombreux moulins qui agrémentaient autrefois le paysage de leurs hautes silhouettes.

Venant de Rivedoux et passé le rond-point du Gros Jonc, la départementale de l’itinéraire Sud mène jusqu’au centre village en passant par la Coopérative vinicole qui illustre la tradition viticole du village.

Un village agricole

Il fut un temps où le littoral était plutôt source de dangers que de plaisirs. Avec ses rues étroites et ses maisons à étages sagement alignées, le centre village était historiquement tourné vers l’intérieur. Nulle surprise donc à ce que certaines venelles nous amènent aux vignes bordant le village à l’Est, par lesquelles les villageois allaient autrefois travailler aux champs, leurs journées rythmées par les cloches de l’église Notre-Dame de Tous les Saints, épicentre protecteur du cœur village. Partout, des fleurs. Mimosas l’hiver, coquelicots, valérianes, buissons de lavande et bien sûr roses trémières, alternent selon les saisons, et accompagnent de leurs couleurs déambulations pédestres ou à vélo. Ce n’est que bien plus tard, et en sa qualité de commune devenue balnéaire, que Le Bois s’étendra côté

Plages où, du quartier du Gros Jonc à celui du Petit Sergent, maisons et villas de plain-pied nichées dans les pinèdes et souvent résidences secondaires, donneront le ton d’une vie parfumée d’embruns.

Plages majestueuses

Les plages parlons-en, car celles du Bois sont parmi les plus belles (et les plus célèbres) de l’Île de Ré, léchées par des eaux de baignade dotées du Pavillon Bleu.

Gros Jonc, Pas-des-Bœufs, Gollandières, Petit Sergent… du Sud au Nord du village, elles se succèdent et semblent se ressembler. Mais les Boitais ne s’y trompent pas. Fuyant les entrées principales par trop fréquentées en haute saison, ils préfèrent marcher dans le sable pour se trouver un coin à l’écart où planter leur parasol, à moins qu’ils n’y parviennent par de petits chemins plus discrets, après avoir serpenté à travers les dunes.

Journée d’été au Bois-Plage

Pour les sportifs, les marcheurs ou les contemplatifs, elle commence dès potron-minet sur les plages, par une promenade immersive les yeux perdus vers le large. Marée haute, marée basse donnent alors le rythme de la journée.

Direction l’incontournable marché qui fait la fierté des Boitais. Prudents, ils s’y rendent tôt, surtout si l’envie leur prend d’un café en terrasse. Car bientôt celle-ci ne désemplira plus. Sous la halle couverte, produits maraîchers, huîtres et poissons, au dehors shopping estival.

(Lire la suite page 19)

21 rue de l’église Le Bois Plage en Ré 05 46 50 51 03 La Cabine lacabine_iledere

DNUD, ANTIGEL, KIWI ST TROPEZ, GRAIN DE SABLE, SIMONE PÉRÈLE…

Longues et blondes, les plages boitaises ont un petit goût de paradis. 2 III,

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A l’heure de midi, les allées sont pleines et les vélos s’agglutinent. Au cœur de la journée, peu de monde dans les rues d’un village alangui de chaleur. Tribus familiales et amicales se sont éparpillées sur les plages, surveillées de haut par les mouettes inquiètes de voir leur territoire si peuplé. Plus tard, alors que le soleil décline, elles reviendront sur le sable déserté, n’hésitant pas approcher les amateurs de pique-nique à la fraîche devant l’océan.

Dans le village, l’agitation matinale s’est apaisée. A pied ou à vélo, chacun vaque à ses affaires, la peau chauffée par le soleil. C’est l’heure des manèges, des animations de La Guinguette et du glacier. A moins que l’un des grands évènements estivaux installé dans la salle polyvalente n’ait amené son lot de visiteurs.

Plus tard, on dînera en terrasse à quelques pas de l’océan du côté des Gollandières, ou tout simplement chez

Il se passe toujours quelque chose au Bois-Plage

Paisible l’hiver, Le Bois-Plage explose d’énergie en été. Alors pas un jour ou presque sans une animation festive. Du côté de la désormais incontournable Guinguette, la musique donne le ton et les concerts se succèdent, organisés par la municipalité ou bien initiatives associatives. Conviviale nouveauté, ils seront enrichis cette année de la présence de foodtrucks. Les soirs de relâche musicale, place aux moules-frites ou aux soirées cabarets. Toujours des temps forts, les week-end du 14 juillet et du 15 août cumuleront les réjouissances avec concert, déambulation et feux d’artifice. Après cette effervescence estivale, septembre se calme, enfin presque. C’est le mois des vide-greniers et brocante, sans oublier la traditionnelle Fête des Vendanges pour un été finissant en beauté ! PLR

soi si une invitation ne nous conduit pas ailleurs. Familial, Le Bois-Plage n’est guère noctambule. Une fois éteintes les lumières du village, il ne reste plus qu’à regarder scintiller les étoiles dans la pénombre des jardins ou au bord des piscines, avec peut-être et selon le sens du vent, un bruit de fond des vagues s’échouant sur le rivage.

Riche de son histoire, naturel, océanique, chic sans être snob, accueillant et dynamique, au fond, que peut-il bien manquer au Bois-Plage ? Un port,

répondront les marins dans l’âme et tous les amateurs aimant à rêver devant les bateaux. Oui, non, peutêtre… après tout celui de Saint-Martin n’est pas si loin, rendant facile une échappée portuaire.

Alors on a beau chercher non… il ne manque rien. Bien dans sa peau, Le Bois-Plage assume sa personnalité multiple, revendiquant l’accueil de (très nombreux) vacanciers sans rien perdre de son âme.

Pauline Leriche Rouard

ABC de la réglementation nationale de la publicité

RÉUNION PUBLIQUE

Publicité extérieure : qu’en pensent les Rétais ?

Les catégories de dispositifs publicitaires

Les objets publicitaires sont classés en trois grandes catégories :

La Communauté de Communes de l’île de Ré organise mardi 30 mai une nouvelle réunion publique sur le Règlement local de publicité intercommunal (RLPi) de l’île de Ré.

Ce document d’urbanisme réglemente les dispositifs d’enseignes, de publicité et de pré-enseignes implantés sur le domaine public ou sur parcelles privées, dès lors qu’elles sont visibles d’une voie ouverte à la circulation publique », comme nous l’expliquait, en août 2021, Patrick Rayton, 1er vice-président de la CdC*. Il permet d’assurer un équilibre entre les besoins des professionnels/ associations en matière d’affichage extérieur et la préservation du patrimoine et des paysages.

• l’enseigne , qui recouvre toute inscription, forme ou image apposée sur un immeuble ou scellée au sol sur l’unité foncière, relative à une activité qui s’y exerce ;

collectivités publiques, sera aussi régulée par le RLPi.

Cette seconde réunion publique permettra d’évoquer le projet de règlement envisagé par les élus et leurs partenaires et de prendre note des remarques formulées par les Rétais.

• la pré-enseigne , correspondant à toute inscription, forme ou image indiquant la proximité d’un immeuble où s’exerce une activité déterminée ;

Il vise à renforcer la préservation du cadre de vie et encadrer la visibilité des activités commerçantes, tout en permettant le développement économique. L’annonce (affiches, banderoles, pancartes...) des animations associatives, culturelles, sociales et sportives, ainsi que des

Et après ?

Un bilan de la concertation sera effectué début juillet. Le projet de RLPi sera arrêté en octobre par le Conseil communautaire et présenté pour avis aux personnes publiques associées dans la foulée. Il sera soumis à enquête publique au début de l’année 2024.

• la publicité , qui est destinée à informer le public ou à attirer son attention, et qui est hors des deux précédentes définitions.

Ce document d’urbanisme réglemente les dispositifs d’enseignes, de publicité et de pré-enseignes visibles d’une voie ouverte à la circulation publique.

Réunion publique RLPi

Source : notice Technique du décret n°2012 – 118, Annexe de l’Instruction du Gouvernement du 25 mars 2014

Deux types de réglementation s’appliquent à ces dispositifs : les règlements locaux de publicité (communaux ou intercommunaux) – dits RLP(i) – et le règlement national de publicité dit RNP.

* Lire notre article : www.realahune.fr/pourquoiun-reglement-de-publicite-intercommunal/

Source : notice Technique du décret n°2012 –118, Annexe de l’Instruction du Gouvernement du 25 mars 2014

Le 30 mai à 15h30 au siège de la CdC - 3, rue du Père Ignace à Saint-Martinde-Ré. Cette réunion publique sera retransmise en direct sur le site Internet de la Communauté de communes. Le lien du direct est à retrouver dans la rubrique « Agenda » et sera communiqué sur la page Facebook de la CdC.

Pour mémoire, certains dispositifs sont soumis à des régimes de déclaration ou autorisation préalable.

Dedans, dehors, le Marché du Bois-Plage est le plus important de l’ïle.

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Bières de Ré, de délicieuses bières locales

Installée au cœur de l’Île de Ré depuis

1996, la brasserie artisanale Bières de Ré propose des bières de qualité aux arômes authentiques et délicats. Au fil du temps, la gamme s’est élargie et la brasserie propose désormais trois bières traditionnelles (blanche, blonde et ambrée), ainsi qu’une déclinaison brassée à partir de malts et de houblons BIO. À cela s’ajoutent des créations audacieuses comme la bière au miel de Ré, la Triple et ses trois types de houblons, la Déferlante et sa saveur très marquée, la Stout aux Café, l’IPA (India Pale Ale) ou encore les bières aromatisées au Cognac ou aux agrumes. Des bières artisanales multi médaillées lors de prestigieux concours.

Parmi les nouveautés de cette année, 2 bières brassées avec des fruits : une bière citron-gingembre et une aux fruits rouges qui vous séduiront par leur grande fraicheur et leurs arômes naturellement fruités.

Les brasseurs ont à cœur de produire des bières locales, authentiques, de qualité, tout en gardant l’esprit artisanal de la brasserie. Privilégiant l’approvisionnement des ingrédients en circuit court, le malt utilisé est par exemple cultivé et malté dans la région.

Si la modernisation de l’outil de brassage et de fermentation est importante, en revanche les recettes qui ont fait le succès de la brasserie comme la « Blanche de Ré » perdurent.

Engagée en faveur du développement durable, sensible aux enjeux écologiques, la brasserie Bières de Ré n’a de cesse de minorer son impact environnemental en réduisant notamment sa consommation d’énergie et d’eau. Rien d’étonnant quand on est autant attaché à la splendeur et à la préservation des paysages de l’île de Ré.

Découvrez également la gamme de spiritueux « LE PERTUIS ». Deux whiskies savoureux avec une finition en futs de Pineau des Charentes pour le Single Cask et une finition en futs de Bourbon, Cognac et Pineau des Charentes pour le Pure Malt. Une Vodka infusée aux graines de macerons. Un Gin aux arômes délicats de genièvres, sublimés par une note citronnée. Un Gin aux houblons. Un Pastis traditionnel et un Pastis bleu aux notes originales de poivre et de menthe sauvage.

La Brasserie élabore également une gamme de sodas Bio « OREA » aux arômes naturels qui comprend une limonade, un cola et un tonic. Un vieux rhum du Panama et un Spiced Rhum complètent l’offre pour des cocktails savoureux.

Visitez la boutique / brasserie située à Sainte-Marie-de-Ré et admirez le travail des brasseurs en action. Une agréable façon de découvrir le savoir-faire traditionnel de ces artisans passionnés et d’accompagner votre été avec des produits locaux de qualité.

NOUVEAU : STUDIO PILATES AU BOIS-PLAGE

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Stéphane Puteaux s’est installé sur l’île de Ré au Bois-Plage depuis 2021 et y pratique : la naturopathie, approche holistique de la santé utilisant des méthodes naturelles telles que l’alimentation, les plantes médicinales, l’exercice et la relaxation, afin de retrouver l’équilibre naturel du corps, de prévenir les maladies et atteindre ainsi un état optimal de santé. le reiki, méthode de guérison énergétique qui utilise l’énergie Reiki pour aider à réduire le stress, soulager la douleur

et renforcer le système immunitaire. la géobiologie, étude des influences de l’environnement sur la santé humaine, en identifiant les zones de stress géopathique et en proposant des solutions pour les réduire ou les éliminer.

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Exposition et jardins partagés

Du jeudi 1er au dimanche 4 juin, l’Atelier de verre de Maryvonne Brullon organise une exposition « Artistes au jardin » 8, rue de la Parée à La Couarde, avec les vanniers Sylvie et Patrick Diraison, la céramiste Sylvie Beaudet-Costa (à partir du 2 juin), et les Couardais Fanchon, artiste peintre et Xavier Barthe, artiste « faiseur de choses »

Le samedi 3 juin, dans le cadre de l’inauguration par la municipalité des nouveaux jardins partagés, les « Amuse-gueules conteurs »

Sainte-Marie de Ré 1er Parcours des Arts pour Île, Arts & Culture

mèneront tous ceux qui le souhaitent au départ du Kiosque à 14h30, dans une balade contée d’environ une heure, vers ces nouveaux jardins familiaux.

La balade passera par le square de l’école puis par le square du monument aux morts, avant de faire une halte, contée, bien sûr, à l’Atelier de verre et à son jardin décoré par les cinq artistes, où chacun pourra revenir flâner à son gré.

Exposition-vente des affiches AIR

L’association des Amis de l’Île de Ré organise une exposition rétrospective de ses affiches éditées depuis plus de 50 ans, le 1er juin 2023 au restaurant Les Mouettes à La Couarde de 10h à 16h.

Les artistes peintres des 3 dernières années seront présents pour dédicacer leurs œuvres qui seront proposées en vente promotionnelle. Les éventuels candidats peintres pour l’affiche 2024 seront les bienvenus. Possibilité de restauration sur place.

Ars-en-Ré

Concert de la Philharmonie de l’île de Ré

La « Philharmonie » de l’île de Ré, orchestre dit d’harmonie, rassemblant environ 35 musiciens venant de toute l’île (et dont la plupart joue dans une ou plusieurs des autres formations) sous la baguette d’un chef professionnel, se produira le 11 juin à 18 h à la salle des fêtes d’Ars-en-Ré. Cette importante formation entretient par ailleurs une convention de partenariat avec l’Ecole de musique et assure officiellement à travers la classe d’orchestre (11 élèves cette année) l’initiation à la pratique collective orchestrale.

Cette classe le « POP » (petit

orchestre de la Philharmonie), se produit à chaque concert. Ce sera le cas le 11 juin où vous pourrez, lors d’une manifestation en trois parties, entendre le POP jouer deux ou trois morceaux seul, puis avec les séniors qui eux aussi joueront seuls. Quant au programme, il sera constitué d’un medley des précédentes manifestations. CB

Inauguré mercredi 17 mai en présence de la Maire de Sainte-Marie de Ré Gisèle Vergnon et de l’artiste invité d’honneur Gilles Charrière, le 1er Parcours des Arts de Sainte-Marie est organisé par la dynamique association Île, Arts & Culture, désormais présidée par Isabelle Chevalier, en partenariat avec la Médiathèque et la Mairie de Sainte-Marie de Ré. Jusqu’au 5 juin près de 150 œuvres des artistes membres d’Île, Arts & Culture sont et seront exposées dans 5 lieux maritais : Petite Ecole, salle des Tilleuls, ANCRE Maritaise, Médiathèque, Relais Thalasso Île de Ré. Au côté des œuvres du sculpteur animalier Gilles Charrière, seront exposées les peintures, sculptures, modelages, mosaïques, céramiques, pastels... d’artistes rétais et

rochelais, tous membres de l’association, qui en compte une centaine. Plusieurs animations organisées à la petite Ecole de La Noue, ponctuent ce parcours des Arts : concert le jeudi de l’Ascension, contes par Chantal Constant et ce dimanche 28 mai à 19h, est proposé un concert des musiciens Jean-Pierre & Didier (duo guitare et harmonica), au chapeau. Ce parcours des Arts vous invite à découvrir SainteMarie sous un prisme artistique et à aller à la rencontre d’artistes passionnés. A noter que toute l’année (6j/7) les artistes d’Île, Arts & Culture exposent dans leur local aux Ateliers Dazelle, et donnent des cours à des prix modestes. NV

Parcours des Arts : Sainte-Marie-La Noue Du 17 mai au 5 juin de 10h à 13h et de 16h à 19h

Rendez-vous aux jardins

Samedi 3 juin, dès 9h, le jardin ouvrira ses portes, David Guibert, chargé de développement du jardin pédagogique, accueillera le public. Parmi les animations : LPO (9h à 13h) avec le jeu « Birdy Memory » , Les dorloteurs d’abeilles (9h à 13h) exposition de «dorlotoirs» à abeilles sauvages. Bons Plants (9h à 13h) avec distribution de plants de légumes (dans la limite des stocks disponibles). Voyage olfactif (10h30 à 11h30) : découvrez le temps d’une relaxation le pouvoir des plantes aromatiques. Bain de lune (11h30 à 12h15) : un moment poétique de chansons au jardin. Une création acoustique minimaliste pour un public intimiste. La matinée sera clôturée par un pot convivial.

CP

Jardin pédagogique : Impasse du Meunier Lieu-dit des Deux Moulins 17580 Le Bois-Plage-en-Ré. Entrée libre.

Rivedoux-Plage

Jardins familiaux et fête des associations

Le 3 juin prochain aura lieu l’inauguration des jardins familiaux de la Lorieuse*. A cette occasion les administrés sont invités à partager un vin d’honneur et un piquenique convivial pour ceux qui le souhaitent.

La thématique des ren dez-vous au jardin 2023 étant « la musique aux jardins » posera une animation autour du chant des oiseaux. Entrée par la petite rue du Bois Fleury.

Le 10 juin se déroulera la fête des associations * et l’accueil des

nouveaux habitants de la commune sur l’esplanade de la Mer. De la commune ou rétaises dispensant des cours à Rivedoux, la vingtaine d’associations présentes organisera des initiations, des temps d’échange, des animations de 10h à 18h. Buvette et petite restauration sur place. A 11h30 le Maire accueillera les nouveaux Rivedousais autour d‘un verre de l’amitié, partagé avec les associations.

* Entrées gratuites

Maryvonne Brullon

L’exposition « Artistes au jardin » durera quatre jours.

L’orchestre en répétition lors d’un reportage effectué par RéTV.

Le Bois-Plage-en-Ré

Du Fort aux Baleines, La Java est là !

A peine les installations démontées au Fort la Prée, l’équipe de La Java a monté le grand chapiteau des Baleines. Du 26 mai au 26 août, entre festivals, concerts live, soirées cirque, bals, spectacles pour enfants, soirées jeux et quizz, La Java fera tourner les têtes.

Vendredi 26 mai, la saison de La Java des Baleines s‘ouvrira sur le concert des Golden Parachute. Un style électro percutant mélangé à de la chanson française, de la guitare folk, du ragga, une section cuivre, des envolées vocales lyriques hors du commun. Dans un style Ragga Folk Pirate sur-vitaminé et humoristique, leur spectacle raconte les aventures de l’équipage d’un navire pirate partant en mer aussi déterminé qu’ivre mort, en quête d’une vie meilleure... Tarifs : 5 € . Demi-tarif pour les 12-18 ans. Gratuit pour les moins de 12 ans.

Le festival Gipsy Island revient les 2 & 3 juin. Vendredi 2 juin , à 20h30, le spectacle flamencoéquestre « La caravane équestre itinérante » créera une majestueuse

rencontre entre les cavaliers de Caballo Loco et la Compagnie Flamenca La Caramelita. C'est au rythme saccadé et aux mouvements envoûtants du flamenco que les voltigeurs et dresseurs évolueront avec leurs chevaux pour donner aux spectateurs un spectacle époustouflant. Au programme danse flamenca, numéros de dressage et voltige à couper le souffle pour le plaisir des yeux et oreilles, des petits et des grands. Spectacle suivi par le concert rumba de La Caramelita. Tarif : 15 € / pers. Demi-tarif pour les 12-18 ans. Gratuit pour les moins de 12 ans.

Samedi 3 juin à 21 h, avec Gypsy King Tribute, un concert de reprises des chansons des Gipsy king… par la famille des Gipsy Kings ! Ritano, Poeta, Noyou et Giovanni viennent rendre hommage sur la scène de la Java à la carrière et au répertoire fabuleux de la famille manouche la plus célèbre de France. Tarif : 15 € / pers. Demi-tarif pour les 12-18 ans. Gratuit pour les moins de 12 ans.

Mercredi 7 juin, à 21h, place à la musique équatorienne contemporaine,

avec le concert Sonidos Ecuatoriales à 21 h, réunissant 5 des plus grands artistes équatoriens du moment : Grecia Albán, Alex Alvear, Miguel Sevilla, Lyzbeth Badaraco et Daniel Idrovo Mora. Tarif : 5 € / pers. Demitarif pour les 12-18 ans. Gratuit pour les moins de 12 ans.

Vendredi 9 juin, à partir de 18 h, grâce au festival La PachangaFiesta Latina, l’'île de Ré se mettra aux couleurs de l'Amérique latine ! L’association Latinoaméricaine IntégRé, créée il y a un an sur l’île de Ré, vous propos, en partenariat avec La Java des Baleines, de découvrir et danser les rythmes joyeux latino-americains. Le groupe IAVNANA , qui chante sur l'île de Ré depuis longtemps, a sélectionné 9 chants d'Amérique Latine pour cette soirée ! Los Pulpitos, groupe né en 2022 de la rencontre de huit musiciens voyageurs, propose de la cumbia, du forro, de la maloya, mêlant langues, rythmes, instruments latinos et réunionnais. Ema Yazurlo et Quilombo Sonoro clôturera la soirée. Ce musicien argentin présente son dernier album Brillando composé d’un vaste contenu de musiques du monde, comme la cumbia, l´électrofolk, swing et les musiques populaires sud-américaines. Les instruments sonores et ethniques tels que le ronroco, le cuatro, le charango sont au centre de son chemin qui touche le monde intérieur dans une atmosphère musicale mondiale. Il est également prévu la performance de l'artiste chilien Aramis Villarroel (Aramishi Cirque Show) qui effectue une tournée en Europe.

De sublimes dauphins en exposition

Un marché de créateurs et des plats typiques latino-américains se donneront rendez-vous aussi pour vous accueillir dans une ambiance chaleureuse et festive.

Tarifs : 8 €. Demi-tarif pour les 12-18 ans. Gratuit pour les moins de 12 ans.

Samedi 10 juin , à 21h, Toro , alias Victor Suire, artiste du cru, puisqu’originaire des Portes, DJ et producteur, qui compose une musique aux influences electro pop, vous fera danser et chiller avec un cocktail sous le chapiteau ! Tarifs : 5 €. Demi-tarif pour les 12-18 ans. Gratuit pour les moins de 12 ans.

Retrouvez la suite de la programmation de La Java des Baleines dans nos prochaines éditions.

Informations recueillies par Nathalie Vauchez

Semaine type à La Java

Evidemment, la semaine type à La Java, hors festival se déclinera comme à l’accoutumée. A partir du 26 mai et jusqu’à début juillet : concerts les mardis et vendredis ; les mercredis : à 18 h Donin fera danser et chanter les plus petits. A 20 h 30, la scène s’ouvrira à tous les musiciens ou chanteurs, pour des soirées jam uniques ; Quizz musical spécial Java les jeudis, spectacle de cirque suivi du Grand Bal de La Java les samedis.

Une exposition de photographies, Les grands-dauphins du pertuis Charentais » est proposée du 7 au 18 juin 2023 à l'Ancre Maritaise, par l’équipage de La Janthine.

Mystérieux pertuis charentais, qui fait surgir de ses profon deurs des animaux merveil leux que l'on croit à tort uniquement présents dans les eaux lointaines du grand large ! Les grands dauphins (Tursiops truncatus) sont racontés par les poèmes de Danielle Siron et magnifiés par les photographies de l'équipage de la Janthine de l'associa tion Ré Nature Environnement.

Des étincelles de gouttes d'eau projetés sur leurs corps, des risées de lumières soulignant leurs présences dessinent un décor éphémère et étonnement graphique à leurs passages devant l'objectif...

Cette exposition à mi-chemin entre travail scientifique et recherche

artistique, témoigne de cette chorégraphie émouvante et innée, lorsque les grands dauphins se déplacent en groupe entourant et protégeant leurs petits de l'année...

Plus d'une quinzaine de photos illustrent la beauté de ces animaux dans des eaux-miroirs, sous des cieux pastels, dans des reflets nés des embruns d'eau salés. Ces clichés illustrent en définitive le jeu théâtral de la vie dans les pertuis en mélangeant les

reflets des couches d'eau successives avec les lumières changeantes du ciel, pour sublimer les corps des grands dauphins...

Cette exposition permet, in fine, de sensibiliser sur le privilège d'avoir de telles visites dans les habitats privilégiés et uniques que sont nos pertuis charentais pour la sauvegarde et la protection de ces animaux emblématiques... les mammifères marins....

L’ANCRE Maritaise

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17740 Sainte-Marie-de-Ré

mi-chemin entre travail scientifique et recherche artistique, cette exposition sublime la beauté des dauphins.

Vendredi 2 juin, le spectacle flamenco-équestre « La caravane équestre itinérante » créera une majestueuse rencontre entre les cavaliers de Caballo Loco et la Compagnie Flamenca « La Caramelita ».

EXPOSITION SAINT-MARTIN DE RÉ

Une douceur animale en grand format

Saint-Martin a rejoint le club des communes exposant des œuvres d’art. Après mûre réflexion, la municipalité s’est laissée séduire par les œuvres du sculpteur animalier Michel Bassompierre de réputation internationale et a donné son feu vert à la galerie PromenArts pour l’installation de l’exposition « Douceur Animale ».

Depuis le 4 avril, on peut admirer sur certains sites de la capitale rétaise des œuvres d’art du sculpteur Michel Bassompierre, qui s’illustre dans la sculpture animalière depuis les années 70. C’est à l’initiative des galeries PromenArts que cette exposition, qui durera jusqu’au 30 septembre, existe. Cinq sculptures monumentales, dont quelques privilégiés ont pu observer la délicate mise en place, sont présentées dans les lieux emblématiques de SaintMartin : le port, les remparts, le parvis de l’église, avenue Victor Bouthillier et sur l’îlot, devant la galerie PromenArts où d’autres pièces de l’artiste sont visibles.

Michel Bassompierre est l’un des sculpteurs les plus renommés dans le domaine de la sculpture animalière. Observateur attentif, il sait en se concentrant sur les attitudes caractéristiques de chaque animal, capter l’essentiel de son être et le représenter de manière très ressemblante. Il privilégie les animaux aux formes rondes tels les éléphants d’Asie, les gorilles ou les chevaux qu’il sculpte en marbre ou en bronze dans les petits formats. Son style élégant est immédiatement reconnaissable et séduit par sa rondeur. L’ours occupe une place de choix dans son bestiaire comme parmi les pièces disséminées dans la commune. Ces derniers ont

pour compagnon un puissant gorille situé en face du musée Ernest Cognacq. Ces œuvres d’un grand format sont réalisées en résine. Elles s’intègrent agréablement à l’architecture de la commune et semblent avoir été bien acceptées par leur environnement humain. Nul doute que leur départ ne laisse un vide à la fin de la saison !

Le Festival d’Arts Actuels : des œuvres issues du silence

Le 12e Festival d’Arts Actuels se déroulera, comme depuis plusieurs années maintenant, sur les îles de Ré, du 27 mai au 9 juin et d’Oléron du 2 au 11 juin. Une occasion de découvrir de nouveaux artistes et les œuvres récentes de ceux qui participent régulièrement à la manifestation.

année est le silence, un vaste sujet qui se décline en une multitude de silences. Silence inspiré, silence apaisant, silence méprisant mais aussi silence musical, silence d’amour, il est la respiration musicale, artistique de ceux qui ont quelque chose à dire. Le résultat de ces diverses déclinaisons et de bien d’autres encore, vous attend dans l’île de Ré aux endroits habituels : à Saint-Martin dans la salle des colonnes de l’ancien hôpital et au musée Ernest Cognacq et au Bois-Plage dans la salle des mariages de l’ancienne mairie ainsi qu’au cellier et dans la salle des alambics de la coopérative Uniré. Exceptionnellement cette année la Poudrière de Saint-Martin sera fermée en raison de travaux.

Le Festival, sur lequel plane toujours l’ombre des créatrices Chantal Gousseau et Catherine Métais, doit se comprendre comme un tout, un ensemble, bien que se déroulant sur deux îles, Oléron (ou l’inverse) se visitant dans la foulée car la Citadelle du Château dispose d’infrastructures appropriées pour héberger les œuvres de grand format. Le thème retenu cette

Une vieille connaissance Jackie Groisard est l’invité d’honneur de cette année et nous entraîne à travers une trentaine de tableaux et gravures dans son univers très particulier. Un monde où rien n’est figé. Les œuvres présentées dans cette exposition évoquent des processus de transmutations physiques tout en étant ancrées dans un monde moderne.

Sa peinture est instinctive, rien n’est prévu à l’avance, et il peut mettre plusieurs mois avant d’achever sa toile. Il attend d’atteindre un équilibre qui lui appartient avant de la livrer à décrypter au public. L’artiste, qui participe régulièrement au festival, n’est pas un inconnu. Depuis son installation dans notre région, il s’est investi dans de nombreux collectifs, dont EZA, expose dans différentes galeries et a été récompensé en 2012 par le Prix des Mouettes et en 2017 par le salon d’Automne de Royan. Au-delà du festival, son exposition se tiendra jusqu’au 2 juillet 2023, au Musée Ernest Cognacq. Au total 75 artistes exposeront dans le cadre de ce festival : 31 à Ré et 35 à Oléron. Les peintres représentent à Ré

Festival des Arts Actuels

Île de Ré du 27 mai au 9 juin

Saint-Martin et Le Bois-Plage

Île d’Oléron du 2 au 11 juin

La Citadelle au Château d’Oléron

100 % gratuit / Entrée libre de 10 h à 18 h.

Ré à la Hune est une publication gratuite éditée par Rhéa Marketing : 183 rue des Gros Peux17940 Rivedoux-Plage / Tél. 05 46 00 09 19 / Fax : 05 46 00 09 55 / Mail : realahune@rheamarketing.fr

Ce journal vous est offert par les Annonceurs, nous les en remercions vivement. Il est mis à votre disposition par tous les commerçants et lieux qui le souhaitent, merci à eux.

Directrice de la Publication : Nathalie Vauchez / Maquette : RC2C / Mise en page : Valérie Le Louer Rédaction, photos : Aurélie Bérard, Catherine Bréjat, Amandine Hemery, Valérie Lambert, Pauline Leriche Rouard, Nathalie Vauchez, DR, sauf mention expresse Dessin : Philippe Barussaud / Régie publicitaire : Rhéa Marketing : 05 46 00 09 19 Frédéric Pallot-Dubois : 06 14 29 47 21 Nathalie Vauchez : 06 71 42 87 88 rhea@rheamarketing.fr.

Imprimeur : Imprimerie Rochelaise / N° ISSN : 2257-0721 - PEFC 10-31-1240

plus d’un tiers des exposants et l’on découvrira de nombreuses installations, dont celle du collectif Art Fil Rouge, quelques photographes et parmi les sculpteurs Christian Aymard et JeanJacques Regaudie, président de M’LART. Un grand coup de chapeau aux membres de cette association, dont les membres désormais peu nombreux ont fourni un travail énorme pour proposer cette exposition au public.

Catherine Bréjat

Artistes exposant dans l’île de Ré

3M – Art Fil Rouge – Aymard Christian – Baudry Thierry – Bonnet Didier –Bouyer Jerôme – Brnner Cyrille – Callède

Marie-Françoise – Cartier Chantal CDAIR – C’est en cours – Champetier de Ribes

Bénédicte – Chemit Gérard – Chevalier

Nicolas – Chojnacka Anna – Deguillaume

Aline – EMMAT – Fleury Hervé – Gaultier

Katrine –Groisard Jackie – Joussaume

Annabelle – Klur Michelle – Labache

Patricia – LN DESS – Lucy - Pantonnier

Michelle – Regaudie Jean-Jacques

– Isabelle Régnier – Toucas Patrick –Wisdorff Véronique – Wissing Jean-Yves

Toute l’actualité de l’île de Ré sur www.realahune.fr

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Catherine Bréjat

L’une des sculptures monumentales installée sur les remparts de Saint-Martin.

L’apothéose du doudou, tableau de Jackie Groisard, invité d’honneur du festival.

THÉÂTRE

– ARS-EN-RÉ

« Rien ne blesse », un spectacle puissant

La Mer Écrite et ses comédiens présenteront leur prochain spectacle les 3 et 4 juin à Ars-en-Ré : âmes sensibles s’abstenir !

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Rien ne blesse », c’est le titre de ce spectacle, mis en scène par Marine de Missolz. Au-delà d’un spectacle, il s’agit d’une performance théâtrale conçue à partir d’un montage de monologues et de scènes dialoguées issues de quatre pièces écrites par le dramaturge

allemand Falk Richter : Trust, Nothing Hurts, Ivresse et Play Loud.

Des textes forts sur l’individu et le mal-être contemporain Marine de Missolz, qui travaille avec ses élèves depuis plus d’un an pour certains, annonce la couleur : « Il ne s’agit pas d’un spectacle divertissant ! Ce sont des textes qui mettent en scène le mal-être contemporain, l’isolement tragique d’individus fracassés par la société capitaliste et ses diktats de réussite personnelle, son obsession de l’entreprise rentable. Des êtres en quête d’amour mais qui ne savent plus comment aimer ». Les textes sont puissants, les monologues impressionnants et la langue est crue, à vif. Le titre de la pièce « Rien ne blesse » est donc, un tantinet ironique, et constitue plutôt un cri de détresse.

Un choix artistique qui émane du confinement

« La décision de mettre en scène ces textes est arrivée pendant le confinement », explique la metteuse en scène. « Au-delà des débats sur le bien fondé des mesures alors prises par le gouvernement, j’ai ressenti une immense colère, une grande tristesse, l’impression d’être dépossédée de mon libre-arbitre, de mon être. La lecture des textes de Richter a alors agi sur moi comme un exutoire ». Selon elle, ces textes, écrits il y a une quinzaine d’années, gardent aujourd’hui toute leur actualité et leur pertinence, même si elle concède tout de même « leur caractère extrême et un peu trash à certains moments ».

Un choix qu’elle fait « d’une part, car c’est une matière extraordinaire de travail pour les comédiens amateurs avec lesquels je monte ce projet ; Et d’autre part parce que l’un des objectifs que je me suis fixés avec La Mer Écrite est de développer sur l’île de Ré des formes ultra contemporaines de théâtre, alors assez peu représentées »

Déconseillé aux moins de 15 ans Cette performance théâtrale est vouée à susciter polémiques et controverses. Un parti pris clairement choisi et assumé par la metteuse en scène. Un spectacle qui ose se confronter au monde, et à livrer des messages forts sur notre époque. La troupe de comédiens confie avoir hâte de rencontrer son public, mais Marine préfère annoncer ce spectacle fortement déconseillé aux enfants et aux jeunes adultes de moins de 15 ans… La pièce se jouera en extérieur, sur la placette de la salle des fêtes d’Ars-en-Ré, à deux reprises. Il est également conseillé au public de venir bien couvert pour profiter pleinement du spectacle.

Amandine Hemery

« Rien ne blesse »

Samedi 3 juin à 20h30

Dimanche 4 juin à 17h

Placette de la salle des fêtes d’Ars-en-Ré. Entrée prix libre. Buvette et petite restauration. Spectacle mis en scène par : Marine de Missolz avec le soutien de la Mairie d’Ars-en-Ré et de la Communauté de Communes de l’île de Ré

Avec : Capucine Bornet, Jean-Christophe Brard, Denis Dupré, Patricia Caillaud, Laurent Leminihi, Alain Pétiniaud, Sébastien Petit, Maïté Simon.

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La troupe de théâtre de la Mer Écrite se prépare pour la présentation de son nouveau spectacle qui s’annonce (très) fort en émotions.

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