Bien plus qu'une maison - 2023

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BIEN PLUS QU’UNE MAISON

4-6 INTERVIEW THABO SEFOLOSHA
8-11 INTERVIEW CAROLINE FREY 12-15 INTERVIEW PASCAL MEYER 17-25 CONSEILS NOUS RÉPONDONS À VOS QUESTIONS 26-43 VENTE NOTRE SÉLECTION DE BIENS À VENDRE
003 Été 2023 Lausanne Riviera La Côte Genève LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER
Architecture Étude de faisabilité Développement de projets Demandes d’autorisations Direction de travaux Suivi architectural Réalisations Immeubles et villas Bâtiments administratifs Transformations lourdes Rénovations et assainissements Rénovations énergétiques Depuis plus de 20 ans Autres spécificités Numérisation de plans Expertises Conseils personnalisés Spécialisation LPPPL Analyse énergétique ATELIER.COM SA Quai de la Veveyse 4 - 1800 Vevey Succursale Chemin des vignes 3 - 1260 Nyon 021 922 60 36 info@atelierpointcom.ch www.atelierpointcom.ch

Le mot de Robin Crisinel

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Sommaire

Éditeur : Duboux Immobilier

Rue du Petit-Chêne 26, 1003 Lausanne

Conception : GDNO Sàrl

Rédaction : Odile Habel

Graphisme : alafolie.ch

Crédits photographiques : Couverture et P.4

Alessandro Velloni, P.8 Olivier Maire, DR

Impression : Stämpfli SA

Tirage : 37'000 exemplaires

Diffusion : Canton de Vaud

Les informations sur les offres immobilières contenues dans ce magazine sont non contractuelles et peuvent être sujettes à modification.

C’est dans un contexte d’incertitudes économiques, entre hausses des taux hypothécaires, raréfaction des objets à la vente et inflation, que sort le nouveau numéro de notre magazine Bien plus qu’une maison.

L’occasion pour nous de vous offrir une pause bienvenue, une respiration dans un monde en tension qui semble s’être lancé dans une course folle au toujours plus vite.

Loin de nous, bien sûr, l’idée de faire l’éloge de l’immobilisme alors même que notre régie connaît ces dernières années un développement important, mais une petite touche de slow attitude permet de se réconcilier avec le temps et de fermer la porte, du moins un moment, aux préoccupations.

Plus que jamais notre magazine se veut le complice de ce temps retrouvé, de ces moments volés à l’agitation et à l’urgence pour en faire des parenthèses dédiées à soi !

Confortablement installé chez vous, nous vous invitons à lâcher prise et à redécouvrir le simple plaisir de tourner les pages. Nous vous emmenons aux ÉtatsUnis en NBA avec le basketteur Thabo Sefolosha, premier Suisse à avoir évolué à un tel niveau, mais aussi en Valais dans les vignes de Caroline Frey, œnologue et vigneronne passionnée, et dans l’univers de l’entrepreneur Pascal Meyer, le fondateur de la plateforme communautaire QoQa.

Bon été et surtout bonne lecture !

Interview
Interview de
Nous répondons à vos questions 26 Notre sélection de biens à vendre 44 Ser vices de l’agence 45 Courtage 46 Gérance 47 Administration PPE 48 Rénovation 49 Développement de projets immobiliers
Nos succursales Impressum
4 Interview de Thabo Sefolosha 8
de Caroline Frey 12
Pascal Meyer 17
50
5 LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER ÉDITO
Robin Crisinel
6 INTERVIEW BIEN PLUS QU'UNE MAISON

THABO SEFOLOSHA

« J ’AVAIS ENVIE DE REVENIR DANS MA RÉGION »

Après plus d’une décennie passée aux ÉtatsUnis en NBA, Thabo Sefolosha, l’enfant du pays, est revenu dans sa région. À 38 ans, il a fait son grand retour à la compétition au Vevey Riviera Basket, le club de ses débuts. À Vevey, dans un petit café face au lac où il a ses habitudes, Thabo Sefolosha évoque son expérience américaine, son plaisir de retrouver le terrain, mais aussi sa reconversion professionnelle.

Tout le monde connaît le Thabo basketteur qui a joué aux États-Unis, mais moins le Thabo qui vient de la Riviera vaudoise…

Je suis né à Vevey et j’ai passé toute mon enfance ici. C’est une région à laquelle je suis attaché et où j’ai d’excellents souvenirs. J’ai grandi avec une maman artiste, un papa musicien, un frère, Kgomotso, qui a un an de plus que moi, et des frères et sœurs avec qui j’ai diverses différences d’âge. Une grande famille qui explique aussi que je suis attaché à cette région et que j’ai eu envie d’y revenir après avoir passé 15 ans aux États-Unis à jouer au basket.

Comment s’est faite votre rencontre avec le basket ?

Au début, je jouais au streetball avec mon frère, Kgomotso. Dans la rue trois contre trois, trois contre deux… J’ai commencé le basket quand j’avais 10 ou 11 ans. Quand j’habitais à la Tour-de-Peilz,

j’avais un voisin qui m’avait amené sur les terrains et un jour il m’a proposé d’aller avec l’équipe de Blonay. C’est là que j’ai débuté et j’ai passé cinq ou six ans. J’ai ensuite fait deux ans avec l’équipe première de la Riviera. J’avais 16 ou 17 ans. Je n’avais pas beaucoup joué la première année, mais davantage la deuxième et j’ai eu des coachs qui m’ont donné la confiance en moi. J’avais été remarqué lors d’un tournoi avec la sélection vaudoise avec laquelle j’ai joué en France, en Espagne et dans d’autres pays.

Après un tournoi, Emmanuel Schmitt, un coach français, a appelé l’équipe pour se renseigner sur moi. C’est le premier qui m’a vu jouer et qui s’est dit qu’il fallait me faire sortir des frontières suisses. Emmanuel Schmitt était coach assistant de l’équipe de Chalon-sur-Saône et coach de l’équipe espoirs. Mais c’était l’année où j’intégrais l’équipe de la première en Suisse et j’ai préféré faire cette expé-

rience ici. C’était aussi ma première année au gymnase et j’avais beaucoup de choses à gérer. Je n’ai pas foncé sur l’occasion, j’ai attendu une année avant de partir en France. Entre-temps, le coach avait été promu et il voulait toujours que j’intègre l’équipe des espoirs. Il aimait mon jeu et l’idée était de faire un bout de chemin ensemble.

Comment était-ce ?

J’ai fait trois ans en France où j’ai, du reste, passé mon baccalauréat en sciences économiques et sociales. Après deux ans comme espoir, l’équipe de Chalon m’a proposé un contrat professionnel et j’ai commencé à jouer au basket à 100%. J’avais réussi à sortir mon épingle du jeu lors de ma dernière saison et j’ai pu participer à l’All Stars avec l’équipe des étrangers. Il y avait beaucoup de joueurs de l’Est, des Américains, des professionnels… Je devais avoir 20 ou 21 ans.

« Son plaisir de retrouver le terrain, mais aussi sa reconversion professionnelle »

C’est aussi à cette époque que j’ai découvert le côté business du sport. J’étais tout jeune et j’avais signé avec un agent qui m’avait été présenté par le coach de Chalon, ce qui est déjà ambigu. Ils m’ont fait signer un contrat de trois ans avec l’équipe de Chalon en me disant que de toute façon je n’avais pas le choix, qu’étant passé par l’équipe espoirs je leur devais des années. En gros, je me suis fait un peu avoir par l’équipe qui s’est dit qu’elle allait avoir un joueur jeune à moindre frais. À ce moment-là, j’ai eu la chance de rencontrer Hirant Manakian et son frère. Ce sont des gens qui ont

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une super éthique, qui sont justement là pour aider les jeunes face aux clubs et ils ont réussi à me faire transférer en Italie, à Biella, pendant un an. Dès lors, je me suis inscrit à la draft aux États-Unis, mais sans garantie d’être appelé. Je suis allé 30 jours aux États-Unis pour me faire voir des équipes et participer à des entraînements. Tout s’est très bien passé et je me suis fait « drafter » par les Chicago Bulls. J’avais 22 ans.

C’est le début de l’expérience américaine ?

Oui, mais je ne savais pas trop à quoi m’attendre. J’avais fait venir ma famille à New York pour profiter de ce moment-là dont j’avais rêvé. Je voulais le vivre avec la famille. Et directement après avoir été « drafté », on m’appelle pour me dire que je devais aller à Chicago le lendemain alors que je pensais prendre trois ou quatre jours de repos. Je n’avais pris aucune pause depuis l’Italie et, en fait, j’ai enchaîné dans ce rythme de la NBA du jour au lendemain. J’ai joué 14 saisons en NBA et je suis resté un peu après à cause du Covid.

Qu’avez-vous retenu des États-Unis ?

J’y ai passé 15 ans, ce qui représente la moitié de ma vie. C’est enrichissant, mais il y avait aussi des choses choquantes comme les inégalités sociales. Mais cette expérience américaine m’a fait énormément grandir. Déjà de voyager, de voir

d’autres cultures est quelque chose de super enrichissant.

Mais vous avez choisi de revenir ici… Il y a plusieurs choses. J’étais parti avec dans l’optique de faire carrière dans le basket, ce que j’ai pu faire. La mission a donc été accomplie. Après avec la famille, les parents qui vieillissent, les enfants qui grandissent ont aussi été des arguments en faveur d’un retour. Culturellement, je suis beaucoup plus proche de la manière dont les choses sont faites ici. C’est une autre façon de vie dans laquelle je suis plus confortable.

Et maintenant vous jouez au Vevey Riviera Basket…

Effectivement, je vais finir la saison avec le club, rester en forme, partager ma passion avec les jeunes de la région et c’est un plaisir de renfiler les chaussures et de passer un peu de temps sur les terrains. Je ne savais pas comment mon corps allait réagir. Ce n’est pas facile, mais ça vaut la peine.

Comment s’est faite votre reconversion professionnelle ?

Alors si on attend d’avoir fini de jouer pour se poser la question c’est déjà trop tard. La transition peut prendre deux, trois ou quatre ans, tout dépend de la personne. En ce qui me concerne, j’ai eu la chance de m’intéresser assez tôt à ce qui se passait en dehors des terrains.

Mon frère baignait déjà dans le monde de l’immobilier. C’est un secteur qui m’a toujours attiré. Du reste, il y a déjà plus de dix ans qu’avec mon frère nous avons lancé une entreprise. En fait, c’est tout ce genre de choses qu’il faut faire en parallèle pour ne pas se retrouver bec dans l’eau quand on arrête de jouer. Ce n’est pas une démarche facile et il est certain que je suis dans une situation un peu privilégiée car je peux prendre mon temps.

Parallèlement, toujours avec mon frère, nous organisons des camps de basket. L’objectif est surtout de partager notre passion pour ce sport et permettre - ou pas - au basket suisse de trouver un deuxième souffle.

Avez-vous déjà pensé à rejoindre la Fédération suisse de basket ?

Maintenant que je suis revenu je commence à y penser car il y a vraiment beaucoup de choses à faire, d’opportunités pour développer le basket ici. J’ai fait des propositions qui n’ont pas toujours reçu le suivi nécessaire donc pourquoi pas ne pas prendre les choses en main.

« Je reste très impliqué avec les jeunes de la région qui représentent la relève »
8 INTERVIEW BIEN PLUS QU'UNE MAISON
Thabo Sefolosha en défense sur Lebron James
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10 INTERVIEW BIEN PLUS QU'UNE MAISON

CAROLINE FREY

le Chardonnay. Pour chaque domaine, on est dans le prolongement de l’histoire.

Caroline Frey possède aussi des vignes en Valais et dans le Lavaux. Passionnée, toujours à arpenter ses domaines entre la France et la Suisse, la jeune quadragénaire franco-suisse a fait de Grandvaux, où elle s’est installée, son refuge, renouant avec les origines de sa famille et ses souvenirs d’enfance quand elle passait ses vacances dans la région.

Comment est née votre passion pour le vin ?

Je suis d’origine champenoise, ce qui fait que j’ai grandi au milieu des vignobles. Mon père avait repris une maison de champagne et des vignobles quand j’étais petite, nous avons donc vécu au rythme des vendanges. C’est plutôt la partie vignes et viticulture qui m’a amenée au vin. La passion de travailler dans la nature avec, en plus, l’univers gustatif à la fin.

En fait, c’est un métier qui associait plusieurs passions : les plantes, la botanique et le côté épicurien avec la cuisine et la gastronomie. Ce cocktail me convenait assez bien.

Ensuite, j’ai fait des études très axées sur les sciences avec un diplôme en sciences de la vie et de la terre, et j’ai complété par le Diplôme national d’œnologue. C’est à ce moment que je suis vraiment

entrée dans le monde du vin. Ensuite, il y a eu ces projets familiaux consistant à reprendre des domaines en France : le Château La Lagune et Jaboulet en 2006 et, plus récemment, en 2015, le château de Corton C.

Fully est venu en 2016, ce qui fait que j’ai déjà quelques millésimes à mon actif, puis Grandvaux, il y a trois ans. La production de Fully est petite, mais c’est un très beau vignoble.

Quelles sont les caractéristiques de ces domaines ?

Ils sont très différents. La Lagune est un grand cru classé depuis 1855. Nous faisons le vin avec les mêmes cépages qu’il y a 200 ans. En fait, chaque domaine a son histoire, chaque région a ses cépages.

Dans la vallée du Rhône c’est le Syrah pour les rouges, en Bourgogne c’est le Pinot et

À Fully, j’ai gardé les vieilles vignes qui ont, pour la plupart, plus de 100 ans. Il s’agit de Chasselas, de Petite Arvine et de Johannisberg. Quand on a la chance d’avoir un patrimoine, il serait dommage d’en faire table rase et de recommencer à zéro.

La digitalisation concerne maintenant tous les domaines. Comment voyez-vous l’évolution du métier de vigneronne ?

À la vigne comme à la cave, nous restons assez classiques. Nous ne sommes pas touchés par la digitalisation. Nous restons au rythme de la vigne. Nous sommes dans le temps très long, nous ne pouvons pas tellement accélérer les choses. C’est du reste assez agréable dans un monde où tout est plus rapide. Quand on arrache une vigne et qu’on la replante, on sait qu’elle ne fera pas de raisins avant cinq ou six ans. On n’a pas encore trouvé le moyen d’aller plus vite et heureusement !

En revanche, en ce qui concerne la partie distribution et communication, nous essayons d’utiliser des outils un peu plus actuels, mais dans notre métier, le plus important reste l’authenticité et la sincérité. Nous voyons maintenant se développer les blockchains, les NFT et les vins dans le métavers. Ce n’est pas un univers qui nous correspond et nous n’y rentrons pas.

Je crois aussi qu’il y a encore des univers où l’on est face à une certaine réalité et au rythme de la terre. Nous ne contrôlons pas tout. Le vin est très apprécié parce qu’il vient peut-être aussi compenser des excès de la digitalisation et l’accélération de tout. Le vin c’est le temps long, c’est la nature, c’est la terre et il en sera toujours ainsi.

À la tête des trois domaines familiaux parmi lesquels le prestigieux Château La Lagune à Bordeaux, l’œnologue et vigneronne
11 INTERVIEW LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER
« L ES RACINES DE MA FAMILLE SONT EN SUISSE »

Justement, qu’en est-il de la durabilité ?

La qualité de nos vins est complètement liée à celle de nos terroirs. Les vignes que nous cultivons ont parfois été plantées il y a plus de cent ans. Nous recevons un héritage et nous écrivons une petite page de l’histoire de ces vignes.

tifiés agriculture biologique et, depuis les années 2000, nos entreprises sont ISO 14001, une norme qui porte sur la gestion environnementale. Cette certification concerne, par exemple, les fournisseurs, le type de produits que l’on va utiliser ou encore la gestion des ressources et des déchets. La notion de durabilité est présente dans l’ensemble de la chaîne. Et tout ce que nous faisons en faveur de l’environnement va aussi se retrouver dans la qualité de nos vins.

Qu’est-ce qui fait, selon vous, un grand vin ?

on cultive bien la vigne, on peut faire un grand vin.

Aujourd’hui, quand on achète un Cabernet, un Merlot ou un Sauvignon, on choisit un cépage. C’est un peu standard.

Un grand vin, en revanche, a un goût unique que l’on ne retrouvera pas. Si vous achetez une bouteille de La Lagune, c’est un goût que l’on ne peut pas reproduire.

Quelle est aujourd’hui la place des femmes dans le monde du vin ?

Je n’ai pas l’impression que les femmes soient sous-représentées même si cette idée persiste. Au contraire, il y a de plus en plus de vigneronnes. Après, il y a encore cette notion que le vin est plus masculin, mais je pense que c’est en train de passer. Il y a de grandes vigneronnes et cela depuis de nombreuses années. Je pense, par exemple, à Marie-Thérèse Chappaz qui est une figure emblématique du monde du vin.

Avez-vous de nouveaux projets ?

Nos projets ont toujours une part d’affectif. Le Valais, par exemple, s’est fait parce que j’y allais tout le temps pour faire de la montagne. De plus, quand j’ai débuté mes études d’œnologie, j’ai été formée par l’un des plus grands œnologues, Denis Dubourdieu, aujourd’hui décédé, qui me faisait déguster des Petites Arvines de chez Marie-Thérèse. Pour moi, ça a toujours été une référence. Tout cela a fini par me conduire en Valais.

Si, un jour, un nouveau projet se fait, ce serait peut-être dans le Val d’Aoste parce que l’histoire familiale a commencé là-bas. Nous avons retrouvé dans des archives la trace d’arrière-arrière-grandspères qui étaient vignerons.

Nous devons penser aux futures générations pour qu’elles aient la chance, comme nous, d’avoir des vignes en très bon état. Le destin de nos entreprises dépend directement de la bonne santé de la terre. Tous nos vignobles sont cer-

Il faut déjà avoir la chance de posséder un grand terroir. Entre Bordeaux, la Bourgogne, la vallée du Rhône, le Valais et le Lavaux, nous avons des terroirs qui ont des géologies excessivement intéressantes et variées. À partir de là, si

Votre sœur Céline est à la tête de Firstcaution et votre autre sœur, Delphine, a lancé sa marque de vêtements. Vous êtes toutes les trois entrepreneuses… 8js, la marque de Delphine, marche très bien et elle m’a rejointe dernièrement dans les affaires viticoles en tant que directrice marketing et communication. Nous avions fait des essais avec différentes personnes, mais nous avions toujours un peu buté sur ce poste. Mais avec ma sœur c’est fantastique car elle me connaît, elle sait ce que je fais et tout fonctionne très bien. Nous allons pouvoir mettre en place pleins de nouveaux projets.

« Pour chaque domaine, on est dans le prolongement de l’histoire »
12 INTERVIEW BIEN PLUS QU'UNE MAISON
La maison bleue en bas de
l'Hermitage

Et ma sœur Céline a une réussite exemplaire dans un univers différent, cependant nous avons tous plaisir à nous retrouver autour d’une belle bouteille des domaines familiaux.

Est-ce que l'entrepreneuriat était une évidence ?

Je n’ai jamais senti la fibre entrepreneuriale, mais lorsqu’on exerce un métier qui est une passion, je pense que les choses se font naturellement. Et puis, nous avons aussi été éduquées comme ça par un père qui est un entrepreneur par excellence. (ndlr Jean-Jacques Frey a construit le groupe familial en France dans l’immobilier commercial puis dans le vin.)

Vous avez des vignes à Grandvaux. Quelle relation entretenez-vous avec le canton de Vaud ?

Je me suis installée en 2004 à Grandvaux où j’ai eu mon premier appartement. Il y a donc un bon moment que je crapahute dans le coin. Maintenant, j’ai cette maison de vigneron à Grandvaux que l’on a rénovée et dans laquelle je vais emménager.

Aujourd’hui, ma famille est installée dans le canton de Vaud, alors pour moi c’est un peu un retour aux origines puisque mon grand-père était suisse. Même si nous avons grandi en France, nous venions passer les vacances d’été ici. Quand j’étais enfant, je rapportais toujours des petites bouteilles de shampoing de l’hôtel que j’avais vidées pour les remplir de

l’eau du lac Léman. J’ai toujours senti une attache assez forte avec cette région. Retourner en Suisse était une évidence. C’est là que se trouvent les racines de ma famille. Je me déplace beaucoup, mais ma vie est ici. Ma fille va à l’école à Pully et elle est au ski club de Château-d’Oex. Cette année, elle a été championne suisse romande U12 de géant et de slalom.

13 INTERVIEW LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER PUBLICITÉ
La colline de l'Hermitage
14 INTERVIEW BIEN PLUS QU'UNE MAISON

PASCAL MEYER

« J E PRÉFÈRE ÊTRE UN FAISEUR QU’UN STRATÈGE »

Qui aurait misé sur le succès de QoQa, la plateforme communautaire de e-commerce fondée il y a 18 ans par Pascal Meyer ?

Sûrement pas son ancien professeur de marketing, comme le raconte en riant le très successful entrepreneur de 43 ans dont la société affiche un chiffre d’affaires de plus de 100 millions de francs. Portrait d’un entrepreneur atypique, chaleureux et trublion.

Vous êtes Vaudois d’adoption mais vos racines sont dans le Jura. Qu’est-ce qui vous a conduit dans le canton de Vaud ?

Je suis né en 1980 et je suis arrivé à l’âge de 15 ans de mon Jura natal dans le canton de Vaud, car mes parents avaient envie de revenir en ville. J’ai fait mon gymnase ici ainsi que ma maturité commerciale. J’ai ensuite suivi une formation accélérée de concepteur multimédias en deux ans au lieu de quatre. Après, j’ai tout de suite commencé à travailler comme responsable multimédias dans une agence de communication et ensuite comme IT manager dans une entreprise à dimension internationale où je m’occupais de l’ensemble de la structure informatique de la boîte pour une quinzaine de pays. C’était très intéressant. J’avais 25 ans, je m’occupais de tout cela et c’était un beau challenge.

En quoi consistait le travail ?

Il y avait de tout : le réseau que l’on al-

lait installer dans notre succursale aux États-Unis ou encore le choix du système ERP, qui est un choix hyper-stratégique. Il fallait monter un team avec plusieurs personnes au sein de la boîte avec des compétences différentes afin de pouvoir faire cette sélection de nouveaux systèmes spécialisés. Il y avait toutes sortes de choses à mettre en place. C’était vraiment une chouette expérience.

Vous a-t-elle donné l’idée de lancer QoQa ?

Non, j’ai depuis toujours ce goût pour l'entrepreneuriat et j’ai eu des boîtes dans la création digitale. Au début du web, dans les années 2000, je me suis occupé par exemple d’un grand groupe de pharmacies. Après, je me suis occupé de différents mandats pour d’autres boîtes.

J’ai toujours fait, en parallèle de mes études, des projets en lien avec le e-commerce, le web ou le multimédia. Plein de choses de ce style! Mais même avant déjà,

avec un pote, nous avions monté une petite boîte où l’on faisait du contenu et différentes choses liées au digital.

Comment avez-vous appris à concevoir des sites ? Était-ce au sein de l’agence de communication ?

J’avais déjà appris avant car je m’intéressais au sujet. J’ai suivi la formation de concepteur multimédia, surtout pour avoir le papier. Nous étions la première volée en Suisse à faire cette formation. Certaines choses étaient très pointues et d’autres non, car c’était aussi nouveau pour l’école. Nous assistions même des professeurs pour certaines choses, c’était très intéressant. Et comme mon pote et moi nous étions déjà entrepreneurs, c’était quelque chose qui nous passionnait et qui nous parlait.

Cette expérience d'entrepreneuriat est-elle à l’origine de QoQa ?

Non, je pense que c’est vraiment une fibre que l’on a en soi. Depuis tout jeune, je proposais déjà des trucs à la récré à mes copains. Je partais en vacances et je rapportais dix trucs et je demandais qui en voulait. Le côté entrepreneur est quelque chose qui m’a toujours plu. C’est vraiment en moi cette envie de vouloir faire des choses, ce qui peut aussi être un défaut. Parfois, je veux absolument faire et je ne veux pas moins réfléchir alors qu’il faut avoir le bon équilibre. En fait, dans mon esprit, j’aime mieux être un faiseur qu’un stratège.

Comment est née la plateforme ?

C’était en 2005 suite à un concept que j’avais vu aux États-Unis. J’avais contacté la société pour lui proposer de le lancer en Europe, mais la direction n’était pas intéressée. À partir de là, j’ai modifié le concept en faisant quelque chose qui soit un peu plus communautaire, parce que c’était important pour moi. L’idée de

15 INTERVIEW LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER

base était de partager un bon plan avec des potes. Quand j’ai commencé, nous étions vingt potes et maintenant nous ne sommes pas loin d’un million de potes qui nous suivent !

qui m’avait dit que je n’allais pas réussir. Et quand je lui ai dit le nom - QoQa - il m’a dit que c’était foutu d’avance. En fait, mon idée était d’utiliser pour se marrer un nom qui soit reconnaissable pour tout le monde, mais qui veuille dire autre chose. QoQa ce n’est pas ce que l’on a l’habitude de s’imaginer en Romandie ou en français.

En quoi le concept des États-Unis étaitil différent ?

Il n’avait pas la fibre communautaire que nous avons développée. C’était un peu plus la farfouille, c’était un peu moins lissé. Par contre, j’avais beaucoup aimé le ton des Américains. Mais même si je me suis un peu inspiré d’eux, au final notre concept est bien différent. Il est très local, très suisse.

L’idée du nom ?

Quand j’ai commencé, j’avais contacté l’un de mes anciens profs de marketing

J’ai choisi exprès ce nom-là et quand j’ai montré l’orthographe, on m’a dit: « Oublie, les gens ne vont jamais s’en souvenir. C’est trop compliqué. C’est déjà mort dans l’œuf. » Et j’ai dit non. Du reste, j’avais déjà acheté tous les noms de domaine. Mais à la base, c’était vraiment fait pour se marrer et pour rendre un nom facile à retenir et qui interpelle. Quelque chose d’un peu délire et sans se prendre au sérieux.

Avez-vous eu une réaction de la part de Coca-Cola ?

Non, car on ne joue pas sur les mêmes produits. Et on a aussi fait les choses dans les règles de l’art avec notamment un dépôt de marque officiel.

En 2008, QoQa se faisait remarquer en proposant le premier iPhone (Edge) en Suisse. Aujourd’hui, l’offre de QoQa s’est diversifiée avec Qwine, Qclock, Qkids…

Il y a d’abord eu Qwine qui est né suite à un test fait sur QoQa. On a vu que les gens adoraient picoler et on s’est dit qu’il y avait un truc à faire. On a engagé une personne experte dans le domaine du vin et on a ajouté un truc assez sympa: satisfait ou remboursé. Concrètement, si on boit une bouteille de vin qui ne nous plaît pas, on peut renvoyer les cinq autres et on rembourse les six bouteilles. Ce système nous obligeait aussi à avoir une très bonne sélection. On a débuté avec une offre par semaine, ensuite deux, et après on a développé Qwine et après Qsport, parce que la communauté a dit que ce serait cool le sport. On a fait des tests, on a trouvé deux experts dans le domaine du sport et on a démarré Qsport. Après, il y a eu Qkid, Qooking, Qclock… Il y a eu des déclinaisons dans Qwine, Qprimeurs, Qspirits…

« Quand j’ai commencé, j’avais contacté l’un de mes anciens profs de marketing qui m’avait dit que je n’allais pas réussir. Et quand je lui ai dit le nom
- QoQa - il m’a dit que c’était foutu d’avance »
Le Stamm, le restaurant de QoQa
16 INTERVIEW BIEN PLUS QU'UNE MAISON
Les équipes en séance de travail

Maintenant, l’idée est de tout rassembler sous une seule marque. Notre travail cette année est de resimplifier QoQa pour que cela redevienne simple pour les gens comme au début.

Quelle est votre source d’inspiration pour les nouveaux produits ?

Il y en a plusieurs, notamment les foires. On va voir à Las Vegas ce qui se passe. Il y aussi ce qu’on peut lire online sur les tests de produits, les nouvelles marques qui naissent, les projets de start-up

avec lesquelles on a eu de plus ou moins bonnes expériences. On a aussi la chance d’avoir une communauté qui nous propose des produits et nous avons nos collaborateurs en interne. L’important est d’être à l’écoute, de voir comment les gens voient les choses.

Pour moi, QoQa ce n’est pas un site de e-commerce, c’est un état d’esprit. Vous avez plus de 45'000 followers sur Instagram. Quel est votre secret ?

En fait, on a plusieurs Instagram que l’on va regrouper en un seul, ce qui va beaucoup augmenter le nombre de followers. Le truc, c’est aussi le contenu que l’on partage. S’il n’y a que des offres, c’est lassant. Il faut venir avec des insides de QoQa, donner des recettes… Le premier pilier de QoQa est le partage.

QoQa s’est aussi lancé dans l’immobilier… Nous avons développé la vente d’objets immobiliers selon une approche nouvelle en Suisse, mais déjà actée dans les pays anglo-saxons. L’idée étant de proposer une alternative nécessitant moins de fonds propres et moins de revenus pour le futur propriétaire.

Pourquoi le choix de la loutre pour QoQa ? Mon frère était scout et il est arrivé au rang de loutre. J’avais trouvé cela très drôle et j’ai gardé l’expression. Un jour, tout au début de QoQa, une personne avait commandé quelque chose et il y a eu un problème. J’ai dit: « Désolé, notre loutre a eu un problème. » Tout le monde a rigolé et c’est resté.

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Le nouveau quartier général de QoQa, à Bussigny
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Nous répondons à vos questions

Pour de nombreuses personnes, le domaine de l’immobilier reste complexe, fait d’un vocabulaire particulier et de lois difficiles à assimiler. Vous trouverez donc ici les réponses aux interrogations soulevées par nos clients. Nous espérons ainsi faciliter votre compréhension sur des sujets liés à l’achat et la vente d’un bien immobilier.

19 NOUS RÉPONDONS À VOS QUESTIONS LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER

L’achat d’un appartement en DDP : alternative intéressante ou fausse bonne idée ?

Depuis quelques années maintenant, un nouveau modèle d’acquisition d’une propriété immobilière pour les particuliers s’est développé sur le marché, suscitant beaucoup d’intérêt et quelques interrogations. Faisons le point de la situation !

Le droit de superficie n'est pas nouveau, puisque les Romains le pratiquaient déjà. Il est toujours utilisé de nos jours, constitué en un droit distinct et permanent inscrit au Registre foncier (DDP). Il permet à un propriétaire (le superficiant), souvent une collectivité publique, de mettre son terrain à disposition (fonds grevé) d’un développeur immobilier (le superficiaire), tout en gardant la propriété du fonds et sans avoir à investir dans une construction et l’entretenir. En contrepartie, le superficiaire touche une rente – soit une sorte de loyer - pour une durée plus ou moins longue, mais au maximum 99 ans.

Le DDP présente l’avantage pour le superficiaire de coûts de développement plus faibles, puisqu’ils ne comprennent pas l’acquisition du bien-fonds. En revanche, il devra ajouter la rente à son plan financier et devra se résoudre à perdre son droit à l’échéance du droit de superficie, si le superficiant lui refuse un renouvellement.

En pratique, et lorsqu’il est bien conçu, le droit de superficie permet de trouver des solutions équilibrées. Est-ce que cela est réplicable à l’acquisition d’un logement familial ? Quel intérêt alors à conclure un droit de superficie pour acheter un appartement ?

Les modèles ont permis d’offrir des logements financièrement attractifs, tant que les taux d’intérêt étaient historiquement bas. La situation a depuis changé, de sorte que l’offre pour des appartements en droit de superficie pourrait disparaître car plus onéreuse que la PPE.

Indépendamment des aspects financiers, le DDP présentet-il des avantages pour une personne à la recherche d’un appartement ? Pour en juger, il faut se référer à l’acte constitutif signé chez le notaire, dès lors que la loi ne réglemente pas précisément les relations entre le superficiaire et le super-

Ificiant. La protection de l’acquéreur est donc moindre par rapport à la PPE et sa réglementation légale détaillée. L’acquéreur potentiel aura tout intérêt à relire attentivement le projet d’acte et s’interroger sur la durée du droit de superficie et son renouvellement à l’échéance, le calcul de l’indemnité que doit verser le superficiant à la fin du DDP (droit de retour) ou encore ses devoirs d’entretien des constructions. Lorsque l’immeuble est d’abord construit par un promoteur qui cède ensuite le DDP à l’acquéreur final, il faut de plus examiner les garanties pour les défauts.

Parfois, DDP et PPE sont utilisés simultanément : l’immeuble est construit en DDP, sur lequel est constituée une PPE dont les lots sont vendus aux acquéreurs finaux. Cela a pour avantage de réintroduire le régime de la PPE et sa réglementation détaillée, tout en bénéficiant des avantages économiques du droit de superficie, mais le système est alors très complexe juridiquement.

Il n’est, en conclusion, pas possible d’affirmer que l’acquisition d’un appartement en droit superficie présente des avantages économiques certains par rapport à une PPE classique, ni à l’inverse qu’il s’agit d’un modèle à éviter. Ce qui est certain, c’est qu’il s’agit d’une mécanique compliquée qui devrait plutôt s’adresser à des acquéreurs bien renseignés, et enclins à prendre des risques par rapport aux modèles traditionnels. À bon entendeur !

Article rédigé par Me Marc-Etienne Favre Spécialiste FSA droit de la construction et de l'immobilier

LEXIMMO AVOCATS Rue de Bourg 20 CP 6711 CH 1002 Lausanne T +41 (0)21 613 08 08 F +41 (0)21 613 08 09 E : me.favre@leximmo.ch www.leximmo.ch
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Révision des plans d’affectation La densité, un cadeau parfois empoisonné

Les communes vaudoises révisent leur Plan d’affectation communal (PACom) afin de rendre celui-ci conforme aux nouvelles dispositions de la Loi fédérale sur l’aménagement du territoire (LAT) et de la Loi vaudoise sur l’aménagement du territoire et les constructions (LATC). Dans ce cadre, certaines parcelles sont dézonées, en zone agricole ou de verdure, alors que d’autres sont maintenues en zone à bâtir. Parmi ces dernières, certaines bénéficient d’une augmentation de droits à bâtir.

De prime abord, les propriétaires maintenus en zone à bâtir ou bénéficiant d’une augmentation de droits à bâtir se réjouissent de ne pas voir leur immeuble dévalué. Toutefois, ces situations recèlent des pièges nécessitant un examen attentif et une intervention afin d’éviter un cadeau empoisonné. À défaut, certains propriétaires devront démolir leur habitation sur une parcelle sous-densifiée et d’autres s’acquitter d’une taxe pour une plus-value non réalisée.

Pour s’assurer de la mise à disposition effective des terrains en zone à bâtir, l’art. 52 al. 2 let. b LATC prévoit qu’une commune peut imposer dans le règlement de son PACom un délai de construction de 7 à 12 ans et en cas d’inexécution prélever une taxe d’incitation correspondant annuellement à 1% de la valeur fiscale, ratio augmenté de 0.5% chaque année suivante jusqu’à concurrence de 5%. Alors même que cette disposition est prévue uniquement pour une « parcelle non bâtie », la Direction générale du territoire et du logement (DGTL) exige un régime identique pour des parcelles bâties lorsque la révision du PACom nécessite la destruction du bâti existant ou permet la construction d’un nouveau bâtiment. Ainsi, des propriétaires de parcelles sous-densifiées, majoritairement des villas, risquent d’être fiscalement contraints de démolir leur habitation pour permettre la réalisation de l’entier de la densification autorisée par un PACom. Cette pratique, décrite dans la fiche d’application « Disponibilité des terrains », étant contraire au texte légal, les propriétaires concernés seraient bien inspirés de s’y opposer.

Les propriétaires bénéficiant d’une augmentation de droits à bâtir lors de la révision du PACom devront s’acquitter d’une taxe sur la plus-value. Sa quotité sera fixée après l’entrée en

vigueur du PACom et correspondra à 20% de la plus-value découlant de la densification supplémentaire, montant arrêté par expertise. Sa perception est toutefois différée à la vente de l’immeuble (ou tout acte juridique pouvant donner lieu à un impôt sur les gains immobiliers), ou à l’entrée en force d’un permis de construire (sauf pour des rénovations usuelles sans utilisation de droits à bâtir supplémentaires). Dans ce dernier cas l’entier de la taxe est exigible indépendamment de l’ampleur des droits à bâtir réalisés. Les propriétaires s’exposent également aux risques que la plus-value définie schématiquement par expertise soit supérieure à la réalité, notamment si toute la densification théorique ne peut pas se réaliser et/ou si sa valeur a été surestimée. Pire, pour les propriétés par étages (PPE), il est loin d’être acquis que la densification supplémentaire puisse se concrétiser et la plus-value se matérialiser. En outre, la loi ne précise pas si la vente d’un lot de PPE engendre la perception de la taxe pour tous les copropriétaires ou uniquement pour le vendeur. Les propriétaires souhaitant éviter ces écueils auraient tout intérêt à défendre leurs droits.

Durant l’enquête publique d’un PACom, les propriétaires concernés peuvent formuler une opposition. En cas de décision levant cette opposition, adoptant et approuvant le PACom, un recours peut être déposé dans les 30 jours auprès de la Cour de droit administratif et public du Tribunal cantonal vaudois (CDAP).

Mathias Keller, avocat spécialiste FSA droit de la construction et de l’immobilier LEXIMMO

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L’équipement des immeubles en bornes électriques : un casse-tête juridique

L’évolution de la mobilité électrique dépend naturellement de la possibilité de recharger son véhicule sur son lieu d’habitation. En Suisse, les habitants sont majoritairement locataires ou propriétaires d’un appartement dans une copropriété par étages (PPE). La plupart des habitants suisses ne peuvent donc pas, de leur propre chef, décider d’installer des bornes de recharge privées pour véhicules électriques, mais sont tributaires du bon vouloir de tiers. L’absence – en l’état –d’un véritable « droit à la prise » peut ainsi constituer un obstacle juridique à l’installation d’infrastructures de recharge, alors que le nombre de véhicules électriques ne cesse de croitre. Quels sont ces obstacles ? Comment les surmonter ?

Dans le cadre d’une PPE, l’installation de bornes électriques touche généralement des parties communes, notamment des murs et des câbles électriques dans des garages communs. Une telle intervention nécessite ainsi le prononcé d’une décision des copropriétaires, prise lors d’une assemblée générale, après présentation d’un plan et descriptif des travaux. Le règlement de copropriété peut spécifier à quelle majorité une telle décision doit être prise. À défaut de règle particulière, la majorité requise dépend de la nature des travaux. En principe, les travaux qui ne profitent qu’à un seul copropriétaire sont qualifiés de « somptuaires » et nécessitent l’unanimité des copropriétaires ! En revanche, si la borne sert à différents habitants, elle est assimilée à une « mesure utile », puisqu’elle augmente la valeur de l’immeuble. Dans un tel cas, la double majorité, soit la majorité des propriétaires et des quotesparts, est alors nécessaire. Cela étant, au vu de l’intérêt grandissant pour l’électromobilité, il serait également envisageable de considérer qu’une telle installation soit « nécessaire », impliquant une décision à la majorité simple. Il s’agit d’une question d’interprétation, qui dépendra des pratiques, forcément évolutives, des tribunaux. Plutôt que de multiplier les demandes individuelles, les copropriétaires peuvent également décider conjointement d’équiper leur parking commun, grâce à une solution collective, qui peut s’avérer utile et économiquement favorable.

Dans le cadre d’un contrat de location, le locataire ne peut pas exiger du bailleur qu’il installe une infrastructure de recharge. L’aménagement du raccordement électrique ne

peut se faire qu’avec le consentement du bailleur, puisqu’il revient à modifier la chose louée (en principe, une simple place de parc en une place raccordée). Le bailleur peut avoir un intérêt à une telle installation, dans la mesure où l’amélioration de la chose louée constitue, en principe, une plus-value à l’immeuble justifiant une augmentation de loyer. Il procédera alors lui-même aux travaux d’installation, en choisissant des bornes individuelles ou à usage partagé, en équipant une ou plusieurs places.

Si le bailleur ne souhaite pas se charger du suivi des travaux, il peut également consentir à ce que le locataire équipe luimême la place de parc d’une borne électrique. Dans une telle hypothèse, les parties ont tout intérêt à définir, en amont, les modalités d’exécution des travaux, la prise en charge du coût des travaux, les éventuelles sûretés (afin d’éviter l’inscription d’une hypothèque légale des artisans et entrepreneurs) et les modalités d’utilisation, une fois la borne installée (notamment, la prise en charge de l’électricité, au titre de frais accessoires ou de frais de consommation, mais aussi de l’abonnement et du contrat de maintenance). En fin de bail, et à défaut d’accord contraire spécifique, le bailleur perd son droit à exiger la remise en état. De son côté, le locataire peut prétendre à une indemnité correspondant à l’amélioration de la chose louée, non encore amortie à la fin du bail. Bailleur et locataire ont donc intérêt à réglementer modalités et conditions d’une telle installation, afin d’éviter toute mauvaise surprise. Au besoin, ils n’hésiteront pas à se faire conseiller dans la rédaction d’un tel contrat, qui peut s’avérer complexe.

Cléa Bouchat, Docteure en droit, avocate au barreau & chargée de cours UNIL LEXIMMO

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Villas et appartements en PPE : ralentissement de l’évolution mais des prix toujours excessifs

La hausse des taux d'intérêt est enfin perceptible dans l'évolution des prix de l'immobilier. Cependant, le marché de l'immobilier en propriété semble ne pas se laisser impressionner par les signes de changement sur le front des taux d'intérêt. Bien que l’on constate un ralentissement de l’évolution des prix, cela ne se traduit pas par une baisse des prix.

En 2022, la Banque nationale suisse a mis fin au régime des taux d'intérêt négatifs en relevant continuellement le taux directeur entre 2022 et 2023. Ces hausses de taux se font désormais sentir également dans le secteur immobilier. En effet, les valeurs du « SWX IAZI Investment Real Estate Price Index », qui mesure l'évolution des prix des immeubles de rapport sur la base des transactions actuelles du marché, n'ont guère évolué, s’inscrivant à 0,4% au 1er trimestre 2023. En revanche, le marché des logements en propriété reste indifférent à la fluctuation des taux d'intérêt pour la fin du 1er trimestre 2023. Les prix des transactions ont ainsi de nouveau augmenté de 1,0% par rapport au trimestre précédent, les villas (1,0%) et les appartements en PPE (0,9%) faisant l'objet d'une demande à peu près égale auprès des acquéreurs. Les propriétaires d’une villa ou d’une PPE peuvent donc se réjouir de ce marché toujours à la hausse en 2022. À contrario, les éventuels acquéreurs aspirants à devenir propriétaires voient donc leur rêve de posséder un logement s’éloigner encore un peu plus.

Est-ce le point d’inflexion ?

Les taux d'intérêt hypothécaires actuels à taux fixe de longue durée ne dépassent pas le taux fictif de 4 à 5% calculé par les banques mais il a plus ou moins doublé pour les nombreux propriétaires qui doivent renouveler leur hypothèque ou qui se sont laissé séduire par le SARON. Selon la Banque nationale suisse, avec un taux d'intérêt de 3%, de nombreux ménages dépassent déjà la règle selon laquelle pas plus d'un tiers du revenu brut ne doit être consacré au logement. Pour ces ménages, le pire serait de devoir effectuer des amortissements hypothécaires extraordinaires supplémentaires en cas de baisse des prix de l'immobilier. Mais pour l’instant, rien n’indique un tel scénario.

La forte immigration, la rareté des terrains et la bonne santé de l’économie sont autant de facteurs qui soutiennent le marché immobilier aujourd’hui et, certainement encore demain.

Différences entre les communes vaudoises Plus un propriétaire potentiel s'éloigne en périphérie pour chercher l'objet de ses rêves, plus il a de chance de trouver une solution abordable.

Afin d'examiner les différences de prix entre les communes, vous trouvez ci-dessous quelques commentaires non exhaustifs :

- Plusieurs communes bénéficient d’excellents atouts. À titre d’exemple, les communes de Coppet et de Tannay sont situées au bord du lac. Pour une villa standard, les acheteurs dépenseront en moyenne environ CHF 2 millions, tandis qu'un appartement en PPE ordinaire se vend 20% moins cher.

- Ceux qui limitent leur budget à CHF 1 million trouveront par exemple leur bonheur dans la commune rurale vaudoise de Bercher, située à environ 30 minutes du centre de Lausanne (si le trafic est fluide). Ils trouveront également des biens immobiliers dans la partie du canton de Vaud limitrophe au canton du Valais, par exemple, dans la commune d’Ollon. À nouveau, la distance ralentit les potentiels acheteurs et donc les prix.

Les zones rurales ont profité du COVID qui a poussé les familles à s’installer hors des villes et la loi sur l’aménagement du territoire (LAT) restreint l’activité de la construction. La transition énergétique, la fiscalité ainsi que l’économie (via des taux d’intérêt en hausse) restent cependant des indicateurs à surveiller ces prochains mois. L’évolution de la démographie positive et l’augmentation des coûts de construction sont d’autre part des facteurs qui rendent le marché de l’immobilier encore plus résilient.

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Financer mon projet de rénovation énergétique

V: à qui m’adresser ?

Face à l’urgence climatique et à la flambée des prix de l’énergie, la Suisse a très tôt adopté une démarche ambitieuse pour accélérer la transition énergétique dans le secteur du bâtiment. Cela s’est traduit par des mesures politiques concrètes (loi sur l’énergie) et la création de normes strictes (Label Minergie) pour favoriser la sortie de terre de bâtiments moins gourmands énergétiquement et moins émetteurs de CO2; en un mot, plus durables.

Le pays a aussi pris toute une série de mesures incitatives pour encourager les propriétaires d’immeubles et de maisons individuelles à s’équiper de systèmes plus écologiques. C’est ainsi que l’installation de panneaux solaires (thermiques et photovoltaïques), de pompes à chaleur et d’autres énergies renouvelables est désormais assortie de crédits d’impôts et de subventions.

Compte tenu du nombre de solutions et de dispositifs proposés, la Suisse a enfin travaillé sur l’axe de la communication, via des campagnes de sensibilisation et d’information à destination des architectes, des professionnels de la construction et de l’immobilier, mais aussi vers le grand public, locataires et propriétaires.

On le voit, c’est tout un secteur qui se mobilise sur deux fronts, la construction et la rénovation énergétique. Et c’est précisément là que réside l’enjeu le plus important, car les émissions de nos bâtiments pèsent lourd sur notre empreinte carbone. Nous devons donc réussir à emmener le maximum de propriétaires sur le chemin d’un avenir plus durable pour tous.

Le problème, c’est qu’une rénovation énergétique ne se décide pas du jour au lendemain. D’abord, parce qu’il existe une myriade de solutions techniques possibles pour rendre un bâtiment plus propre et plus efficient. On peut par exemple améliorer son isolation thermique, ou bien remplacer un mode de chauffage ou de climatisation vieillissant par des sources d’énergies renouvelables. Ensuite, parce que même si ces technologies sont moins énergivores et génèrent au fil des années de réelles économies, le coût initial de leur installation fait souvent peur aux propriétaires.

Pour à notre tour jouer un rôle actif dans ce mouvement collectif vers la transition énergétique, Plus Financement

Immobilier s’est fixé l’objectif de mettre plus de simplicité dans cette démarche et d'aider les propriétaires à franchir le pas, car il faut dire que la complexité règne !

Complexité technique d’abord, car chaque installation est différente et nécessite un traitement au cas par cas. De plus, il n’est pas toujours aisé de savoir à quelles aides financières on peut avoir droit (subventions, prêts à faible taux, bonus fiscaux). Enfin, parce que s’il est déjà compliqué de convaincre un propriétaire, inciter une copropriété à rénover est encore plus ardu ! Afin de lever tous ces freins, nous avons mis en place un outil simple pour accompagner les propriétaires à chaque étape du processus :

1. Identification des besoins et des priorités de rénovation

2. Estimation des coûts, du montant des aides et de la valorisation du bien

3. Étude et comparaison du potentiel de financement par fonds propres ou par crédit hypothécaire

4. Montage d’un plan de financement complet incluant l’optimisation fiscale

5. Suivi de projet et de son financement jusqu’à sa réalisation totale

Les propriétaires sont ainsi mieux informés des bénéfices, mieux aidés dans la recherche de financements et disposent d’une vision claire de la dimension technique de leur chantier. Car même complexe, la rénovation énergétique n’a que des avantages. Elle est source d’économies, donne un surcroît de valeur aux biens immobiliers et participe à donner à notre futur un avenir !

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Ces deux magnifiques appartements rénovés sont idéaux pour un premier investissement. Situées au rez-de-chaussée d’un immeuble, ces appartements jouissent d’une proximité immédiate avec le centre-ville, la gare et les rives du lac.

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Dès CHF 810’000.–

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SERGEY

NOUVELLE PROMOTION D’APPARTEMENTS NEUFS

Situé à seulement 5 minutes d’Orbe, dans le village de Sergey, ce nouveau projet est composé de onze appartements et d’un local commercial à vendre. De construction soignée, ces logements de 2 à 5.5 pièces seront livrés au début de 2025. Découvrez ce nouveau projet sur https://auvillage-sergey.ch.

Réf. 981192

Service des ventes

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Dès CHF 370'000.–

41 À VENDRE LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER NOUVEAU PROJET

NOVILLE

APPARTEMENT DE 3.5 PIÈCES

Ce lumineux appartement en duplex est idéal pour un premier achat ou un investissement ! Il se compose d’un hall d'entrée avec armoires, d’une grande pièce à vivre, d’une cuisine ouverte et d’une salle d'eau avec douche + WC au premier étage. Au deuxième étage, vous y trouverez deux chambres à coucher, une mezzanine ainsi qu’une salle d'eau avec baignoire et une colonne de lavage.

Réf. 957301

Lauranne FattebertKannengieser +41 21 321 90 40 CHF 590’000.–

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MONTREUX

NOUVELLE PROMOTION DE 10 APPARTEMENTS

Située dans la vieille ville de Montreux, cette nouvelle promotion dispose de dix appartements allant de 2.5 à 4.5 pièces disponibles à la vente. Commercialisation été 2023.

Lauranne FattebertKannengieser +41 21 321 90 40 Prix sur demande

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Entretien d’immeubles, agencement de cuisine, menuiserie et ébénisterie.

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REVEROLLE

MAGNIFIQUE MAISON DE 10 PIÈCES

Située seulement à 10 minutes de la ville de Morges, cette belle maison de 10 pièces offre le calme et les grands espaces de la campagne. Elle saura vous séduire par son grand volume, son beau jardin avec piscine extérieure couverte et sa vue dégagée sur le lac.

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Bien plus qu’une régie

Actifs depuis plus d’un demi-siècle sur le marché immobilier romand, nous sommes au bénéfice d’une excellente réputation et d’un capital confiance reconnu. L’implantation de nos agences tout au long de l’Arc lémanique nous permet de bénéficier d’une réelle connaissance du marché local et de vous offrir un service de proximité et des services immobiliers de premier ordre.

DATES CLÉS

1952

Création de la société par Georges et Jacques Duboux, père et fils

1982

Pierre Duboux, petit-fils du fondateur et actuel responsable des ventes et associé, rejoint la direction de la régie

2001

Robin Crisinel, actuel CEO et associé, rejoint la régie

2005

Ouverture de la succursale Riviera

2011

Bernard Von Gunten, actuel directeur des agences de la Côte/ Genève et associé, rejoint la régie lors de l’ouverture de ces succursales

CHIFFRES CLÉS

4 SITES

Siège

Lausanne Versoix

Rolle Vevey

+650 LOTS

Plus de 650 lots de copropriétés en gestion

93 MIO

93 millions d’états locatifs sous gestion

46 SERVICES DE L’AGENCE BIEN PLUS QU'UNE MAISON

Courtage

Vendre ou acquérir un bien immobilier est une étape importante dans la vie. Pour vous permettre de réaliser le projet de vos rêves, Duboux Immobilier vous accompagne à chaque étape en vous conseillant les meilleures alternatives.

Conscients que chaque projet immobilier est unique, notre approche l’est aussi. Nous mettons un point d’honneur à personnaliser notre accompagnement en prenant le temps de connaître vos besoins, vos envies et vos attentes. Petit appartement ou bien de luxe, nous traitons chaque mandat avec diligence et professionnalisme.

En nous confiant votre projet, notre courtier sera votre seul et unique interlocuteur. Il veillera à maintenir avec vous une relation de confiance, qui constitue la base nécessaire pour vous assurer un suivi de qualité. Il vous guidera durant toutes les étapes, de l’estimation à la vente. Il respectera vos intérêts, en vous apportant de précieux conseils sur le plan financier, légal et notarial. Chacune de ces prestations est naturellement incluse dans notre offre sans coût supplémentaire.

Nous accordons également une grande importance au maintien d’une relation transparente et réactive.

Le département Courtage réunit des professionnels qui se retrouvent régulièrement pour échanger et faire avancer leurs mandats respectifs. Cet esprit de collaboration permet une communication active, des échanges spontanés et l’émergence de solutions. Le département Rénovation apporte son soutien à notre équipe de courtiers afin de valoriser, si nécessaire, votre bien et lui offrir le meilleur rayonnement possible sur le marché. Ainsi, nous optimisons votre projet et atteignons vos objectifs dans les meilleurs délais.

L’immobilier est un marché en constante évolution. Les régulations deviennent de plus en plus structurées et complexes. Il est donc nécessaire que nos collaborateurs puissent non seulement vous accompagner vers une évaluation du juste prix, mais également vous conseiller sur les diverses questions juridiques et fiscales qui viendront se poser lors de la vente ou de l’achat de votre bien.

Ainsi, en plus de leur formation initiale, tous nos courtiers bénéficient d’un enseignement continu. En alliant leurs compétences professionnelles et leurs qualités humaines, nous pouvons vous proposer des prestations de haut niveau et garantir le succès de votre projet.

Grâce à nos différentes agences situées à Lausanne, Vevey, Rolle et Versoix, ainsi qu’à notre présence sur les principaux réseaux sociaux, nous disposons d’une grande visibilité sur tout l’Arc lémanique.

À travers nos 4 agences, nous avons développé un large réseau d’acheteurs, de vendeurs et de partenaires qui nous permettent de satisfaire un grand nombre de demandes. Notre affiliation à SwissRéseau, réunissant 16 agences immobilières, augmente fortement notre capacité de satisfaire nos clients, par le biais de collaborations entre agences, sans impacter votre facture finale.

Afin de valoriser les biens immobiliers qui nous sont confiés et avant de les publier sur les différents supports en ligne ou dans la presse spécialisée, nous utilisons, en plus de nos photographies

professionnelles, des outils tels que des visualisations 3D, du Homestaging numérique, des visites virtuelles ou encore la réalisation de nouveaux plans. Grâce à cela, le futur acquéreur peut se projeter davantage et nous augmentons ainsi les chances de déclencher une visite.

Duboux Immobilier s’est dotée des compétences d’un professionnel, responsable des diverses actions marketing. Ainsi, nos offres et services peuvent être présentés sur les réseaux sociaux et dans une Newsletter mensuelle que nous envoyons à toute notre base de données clients recherchant activement un bien immobilier à acheter.

N’hésitez pas à contacter notre département Courtage pour la réalisation de votre rêve.

47 SERVICES DE L’AGENCE LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER

Gérance

Département historique de Duboux Immobilier, le département Gérance est au cœur des activités de l’entreprise familiale. Duboux Immobilier offre une prestation de qualité constante et répond aux besoins de l’ensemble de sa clientèle, en traitant chaque mandat de manière prioritaire et personnalisée.

tion comptable et juridique extrêmement fiable et juste. Le décompte de gérance peut être fourni de manière trimestrielle, semestrielle ou annuelle. Votre situation peut en tout temps être consultée sur notre plateforme en ligne et vous pouvez ainsi obtenir des informations en lien avec votre bien immobilier à n'importe quel moment et dans le monde entier.

De la réception des dossiers de locataires potentiels à l’état des lieux d’entrée, nous favorisons le contact humain et instaurons une excellente communication avec les futurs locataires. Nous œuvrons efficacement en amont pour proposer un appartement fonctionnel et confortable dès la remise des clés, afin que les locataires puissent se sentir chez eux dès les premiers instants.

En outre, notre service contentieux est à l’écoute des locataires et des propriétaires et leur apporte des solutions en tout temps. Grâce à ce précieux soutien,

Chiffres clés

+ de 9'000 objets en gérance

~ 650 lots PPE

Chaque propriétaire est suivi par un seul team, constitué d’un gérant d’immeubles qualifié et de collaborateurs certifiés. Nous assurons ainsi une grande réactivité et une communication efficace. En traitant avec un minimum d’interlocuteurs, notre client reçoit un accompagnement sur mesure.

Toujours dans l’esprit de cultiver des relations de confiance et de proximité avec nos clients, chaque gérant s’occupe aussi bien des éléments techniques, administratifs et juridiques. Il propose des solutions adaptées, quel que soit le domaine touché. Que vous soyez un client privé ou institutionnel, ou qu’il s’agisse d’une location commerciale, notre équipe est à même de vous apporter les meilleures réponses.

Grâce à l’analyse de l’état locatif ainsi qu’à une excellente connaissance du marché immobilier régional, nous vous apportons des conseils aguerris en vue de l’optimisation et de la valorisation de votre bien.

Les synergies avec le département Rénovation permettent également d’établir une analyse précise de l’état général du bâtiment, des appartements et des possibilités de travaux. À tout moment vous pouvez, en tant que propriétaire, demander le support de ce département qui interviendra rapidement et vous conseillera pour optimiser et pérenniser la valeur locative de votre bien immobilier.

Notre département Finance assure à l’ensemble de nos propriétaires une ges-

les contestations sont quasi inexistantes et la prospérité dans les relations entre locataires et propriétaires est préservée.

Tous les collaborateurs du département Gérance sont au bénéfice d’une formation dans l’immobilier. Il est primordial pour nous d’offrir l’opportunité à nos employés d’effectuer des formations continues dans l’immobilier, d’accéder à des brevets fédéraux, de suivre des séminaires sur le droit du bail et de maintenir ainsi constamment à jour leurs connaissances professionnelles.

Proximité, proactivité et réactivité sont les maîtres-mots du département Gérance.

48 SERVICES DE L’AGENCE BIEN PLUS QU'UNE MAISON

Administration PPE

L’administration d’immeubles constitués en PPE exige du savoir-faire, de la rigueur et de la précision, mais également une dose certaine de patience et de sensibilité !

En effet, des hommes et des femmes venus d’horizons divers sont réunis dans une seule et même entité. Leurs attentes et leurs comportements diffèrent. Notre mission est de les écouter, les réunir et les guider afin de leur permettre de prendre ensemble les bonnes décisions, tout en maintenant une bonne harmonie au sein de la copropriété.

Notre département PPE est administré par une équipe dynamique et polyvalente. Possédant d’excellentes compétences techniques et juridiques, elle favorise un contact direct et privilégié avec le client. Les maîtres-mots sont : proximité et réactivité.

Notre expérience des projets de copropriétés ainsi que notre capacité d’écoute nous permettent de vous offrir une gestion de qualité, tout en participant à la pérennité des relations de confiance avec les copropriétaires. En

plus de la prise en charge des détails techniques, administratifs, financiers et juridiques, nous vous conseillons afin de trouver des solutions optimales aux éventuels problèmes rencontrés, notamment concernant les rénovations énergétiques et mises en conformité au niveau de la sécurité.

Une bonne gestion de PPE passe également par une parfaite tenue de la comptabilité. Grâce à une collaboration étroite avec le département Finance, nous vous garantissons une totale maî-

trise et transparence de la gestion de votre patrimoine.

Les synergies établies entre les départements de notre régie permettent une avancée rapide et efficace des projets :

• Le service Rénovation évalue et planifie les travaux à effectuer dans les parties communes.

• Le service Courtage se tient à disposition des copropriétaires qui souhaitent vendre ou acheter.

• Le service Gérance permet aux copropriétaires de mettre leur bien en location. La mise en valeur, la gestion technique, administrative et comptable seront assurées par notre équipe.

Duboux Immobilier gère un portefeuille de copropriétés le long de l’Arc lémanique, sur Genève, dans le Gros-de-Vaud, le Nord vaudois et la Broye vaudoise.

Nous avons su attirer votre attention ? Notre responsable PPE se tient à votre entière disposition.

Nous sommes à même de vous garantir un accompagnement personnalisé et un service de premier ordre en tout temps

49 SERVICES DE L’AGENCE LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER

Rénovation

Dès notre création, nous avons développé de multiples compétences qui nous permettent d’intervenir en matière de rénovation au sein de nos différents départements

(Courtage / G érance / PPE). L’excellente synergie et la proximité qui existent entre nos services assurent une grande réactivité dans les projets de travaux.

Dans les projets liés au département Courtage, il apporte des conseils essentiels permettant la valorisation des biens et l’optimisation commerciale en prévision d’une vente.

Dans le département Gérance, il offre aux propriétaires un précieux soutien concernant les questions de rénovation d’appartements et de maintenance des immeubles. Ainsi, nous veillons à limiter la vacance et à optimiser les travaux dans les appartements et surfaces commerciales.

Lors de l’élaboration et de la construction de nouveaux projets, le département Rénovation effectue une analyse sur le terrain, puis assure la mise en adjudication et

Notre connaissance des différentes entreprises permet de proposer un travail de qualité à un prix concurrentiel

Le département Rénovation a une vision globale et transversale de l’activité immobilière, ce qui lui permet d’établir des propositions innovantes aux clients.

Duboux Immobilier, à travers son département Rénovation, propose notamment :

• Une expertise immobilière incluant une analyse des biens et une proposition de plan financier

• L’élaboration de planifications de travaux

• Des propositions d’amélioration au niveau énergétique

• Des rénovations partielles et complètes d’appartements et de surfaces commerciales

• La direction et supervision des travaux

Les rénovations sont également un sujet important pour nos copropriétaires, afin de garantir la mise aux normes de sécurité des installations existantes, assurer un maintien correct de l’immeuble, pérenniser le patrimoine des copropriétaires et également rénover leur lot isolé, si celui-ci est en gérance chez nous.

Comme précédemment indiqué, la mise aux normes est aussi du ressort du département qui peut compter sur de solides connaissances légales (LPPPL, LDTR, LATC, normes SIA, CO2 2050).

Certains propriétaires institutionnels et privés font également appel à notre régie pour des rénovations énergétiques dans l’application des nouvelles normes CO2 2050 (normes fédérales et cantonales) - modifications des systèmes de production de chaleur, installation de panneaux photovoltaïques, amélioration de l’enveloppe énergétique du bâtiment et d’autres travaux divers.

la planification. Il s’occupe également des demandes d’autorisation et son activité va de l’organisation du chantier au suivi administratif et financier du projet.

Le département Rénovation est à disposition de notre clientèle privée et institutionnelle, afin d’offrir le plus large éventail de conseils et de choix. Notre mission est d’établir une relation de confiance avec nos clients, afin de répondre au mieux à leurs besoins et de les mettre en lien avec des partenaires externes régionaux fiables.

Grâce à notre large réseau de partenaires, nous offrons des conseils avisés aux clients. Notre connaissance des différentes entreprises actives dans le domaine permet de proposer un travail de qualité à un prix concurrentiel.

N’hésitez pas à contacter notre responsable Rénovation pour toute question ou demande en lien avec votre projet.

50 SERVICES DE L’AGENCE BIEN PLUS QU'UNE MAISON

Développement de projets immobiliers

Notre département « D éveloppement immobilier » s ’adresse à nos partenaires privés et institutionnels. Il a comme mission de rechercher des terrains disponibles pour la construction de villas, de logements PPE ou de logements locatifs, ainsi que d’identifier des biens immobiliers nécessitant des rénovations ou une mise en valeur.

torités concernées et, en parallèle, nous mettons en route les actions nécessaires au bon déroulement de la commercialisation. Dès le permis de construire en mains, nous déclenchons l’ouverture du chantier, qui sera géré directement par une entreprise générale ou un cabinet d’architecture, sélectionné par nos soins et validé par notre client. Après l’attribution du projet, notre département Rénovation veille naturellement et tout au long des travaux au respect des délais et des coûts de construction. Il est primordial pour nous de pouvoir remettre le bien dans les temps impartis et selon le plan financier établi initialement.

Notre activité se situe sur l’ensemble de l’Arc lémanique, et nous mettons un point d’honneur, dans chacune de nos démarches, à respecter l’environnement et, si possible, à l’embellir. Nous nous efforçons ainsi à faire en sorte que nos projets participent au rayonnement du paysage régional.

Dans un premier temps, chaque projet est évalué par rapport au marché. Nous élaborons une analyse précise pour savoir s’il répond aux conditions actuelles

et nous évaluons les risques éventuels en cas d’évolution positive ou de rétraction du marché. Nous engageons ensuite une étude de faisabilité par un cabinet d’architecture régional et nous entamons une démarche de prospection auprès de différents instituts de financement ou directement auprès de courtiers en hypothèques.

Lorsque le projet et le financement sont validés, nous articulons une demande de permis de construire auprès des au-

Le développement immobilier requiert de solides connaissances des différentes procédures administratives ainsi que le juste choix des partenaires pour l’ensemble des corps de métier engagés. Nous avons à cœur de réaliser chaque projet en entretenant des relations transparentes et de confiance avec toutes les parties prenantes. Nous veillons à être disponibles et nous accompagnons les propriétaires jusqu’à la remise des clés afin que chaque projet soit synonyme de plaisir et de succès !

N’hésitez pas à prendre contact avec notre direction pour toute demande en lien avec le développement de projets immobiliers.

51 LE MAGAZINE DE DUBOUX IMMOBILIER SERVICES DE L’AGENCE

Nos succursales

Lausanne Siège

Rue du Petit-Chêne 26

Case postale 5879

CH – 1003 Lausanne

T. Gérance +41 (0) 21 321 50 70

lausanne@regieduboux.ch

T. Courtage +41 (0) 21 321 90 40

courtage@regieduboux.ch

Horaires d’ouverture lu-ve

8:00-12:00 / 13:30-16:30

Horaires téléphoniques

8:30-11:30 / 14:00-16h00

La Côte

Route de la Vallée 7

CH – 1180 Rolle

T. +41 (0) 21 321 90 70

lacote@regieduboux.ch

Riviera

Avenue de la Gare 17-19

CH – 1800 Vevey

T. +41 (0) 21 961 98 30 riviera@regieduboux.ch

Genève

Route Suisse 15

Rue des Dissidents 4

CH – 1290 Versoix

T. +41 (0) 22 775 01 50

geneve@regieduboux.ch

Horaires d’ouverture lu-ve Sur rendez-vous uniquement

Horaires téléphoniques

8:30-11:30 / 14:00-16h00

Horaires d’ouverture lu-ve 8:00-12:00 / 13:30-16:30

Horaires téléphoniques

8:30-11:30 / 14:00-16h00

Horaires d’ouverture lu-ve

8:00-12:00 / 13:30-16:30

Horaires téléphoniques

8:30-11:30 / 14:00-16h00

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