Le mot de Robin Crisinel
CEO« Déjeuner en paix », loin du fracas du monde et des mauvaises nouvelles, chantait Stephan Eicher dans les années 90. C’est ce que nous vous proposons avec le nouveau numéro de notre magazine Bien plus qu’une maison. Un moment de calme, hors du temps, pour reprendre son souffle, se recentrer sur soi pour mieux repartir. Car l’essentiel est là : repartir plein de confiance en l’avenir à l’image d’un marché immobilier qui reprend des couleurs. La hausse des taux d’intérêt qui semble endiguée et la demande toujours soutenue pour l’arc lémanique dessinent un tableau positif.
C’est cette démarche volontaire, cette formidable envie d’aller de l’avant qui nous anime au quotidien que nous voulons partager avec vous grâce à notre magazine et aux parcours inspirants, souvent atypiques, de personnalités emblématiques.
René Prêtre, ancien chef de la chirurgie néonatale du CHUV, aujourd’hui retraité actif, évoque son engagement humanitaire et ses projets tout comme Lauriane Gilliéron, Miss Suisse 2005, qui après une carrière d’actrice lance sa boîte de production.
Quant à Zoé Claessens, jeune championne de BMX Racing, elle évoque sa passion pour ce sport cycliste extrême et son envie de décrocher une médaille aux Jeux olympiques de Paris.
Bon été et surtout bonne lecture !
Sommaire
Impressum
Éditeur : Duboux Immobilier
Rue du Petit-Chêne 26, 1001 Lausanne
Publicité & conception :
GDNO Sàrl
Rédaction : Odile Habel
18 La Clinic Lémanic
23 Nous répondons à vos questions
30 Notre sélection de biens à vendre
55 Notre agence
58 Nos succursales
Graphisme : alafolie.ch
Crédits photographiques :
Couverture, P.6, P.10 , P.13
Alessandro Velloni,
P.14 Jean-Claude Durgniat
P.16 Nico Van Dartel
Impression : Stämpfli SA
Tirage : 37'000 exemplaires
Diffusion : Canton de Vaud
6
René Prêtre, retraité actif qui n’a pas lâché le bistouri : deux jours par semaine au CHUV et des missions humanitaires pour cet éternel passionné.
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Zoé Claessens, au top trois du classement UCI, la coureuse de BMX Racing, un sport cycliste extrême, a encore brillé en février dernier.
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Nous adressons nos remerciements au cinéma de Malley pour nous avoir accordé leurs locaux lors du photo shooting de Lauriane Gilliéron. Les informations sur les offres immobilières contenues dans ce magazine sont non contractuelles et peuvent être sujettes à modification.
RENÉ PRÊTRE
« MON
RÊVE LE PLUS FORT, C’ÉTAIT LE BLOC OPÉRATOIRE »
Quarante ans après être entré au bloc pour la première fois et plus de 6'000 opérations cardiaques sur des enfants et de jeunes adultes plus tard, René Prêtre, qui fut le chef de la chirurgie cardiaque du CHUV pendant plus de dix ans, est désormais retraité. Mais un retraité actif qui n’a pas lâché le bistouri : deux jours par semaine au CHUV et des missions humanitaires pour cet éternel passionné.
Vous êtes maintenant retraité. Comment se passe votre nouvelle vie ?
Bien, mais je n’ai pas complètement arrêté de travailler, car mon métier de chirurgien me plaît toujours. Par contre, je me suis débarrassé de cette charge administrative qui pesait de plus en plus.
Je suis content de ne plus être chef de service et content de rester chirurgien. J’ai deux jours opératoires par semaine, c’est parfait. Cependant, j’opère moins d’enfants, parce que quelqu'un est venu prendre cette fonction. Mais j’ai de tout temps aussi opéré de jeunes adultes, en particulier pour des réparations de leurs valves, et je continue de le faire.
Quand vous êtes chef de service, vous êtes à la tête d’une petite PME en quelque sorte. Vous devez la faire tourner, vous devez aussi régler les conflits qui se présentent. Même s’ils ne sont pas nombreux, il y en a quand même de temps en temps.
Et puis, il y a aussi les plans de carrière, toujours plus difficiles à construire et à respecter. Tout cela prend beaucoup de temps et d’énergie. Au début, je l’ai fait avec énormément d'enthousiasme. Mais ensuite, je ne dirais pas qu’il y a une certaine lassitude, mais c'est vrai que ce drive-là a perdu en puissance. Mon moteur le plus fort, c'était véritablement le champ de bataille, c’est-à-dire : le bloc opératoire.
Comment avez-vous vécu votre premier matin sans horaire, sans obligation ? J’étais plutôt content, en particulier parce que j’avais fini très fort, il y avait encore beaucoup de patients qui voulaient que je les opère avant mon départ. C’est comme lorsque vous finissez des examens. Après le gros rush, vous avez tout d’un coup une grande liberté qui s’ouvre à vous, il n’y a plus de soucis. Vous avez un temps dont vous pouvez profiter pleinement, sans avoir à penser à ce qu’il faut encore faire.
L'autre chose que je trouvais extraordinaire était de pouvoir éteindre mon téléphone toute la nuit, tout un week-end, alors qu’avant, il était toujours ouvert. À la fin, c’était plutôt rare que l’on m’appelle, mais cela arrivait quand même. Cette disponibilité est capitale, lorsque vous êtes chef et voulez être au courant de ce qui se passe dans votre service. Et là, tout d'un coup, je pouvais avoir oublié mon téléphone et ce n’était pas un problème, rien de grave ne pouvait se passer. Soudain, la liberté vous est offerte, vous n’êtes plus contraint d'être atteignable à tout moment.
Vous travaillez encore deux jours par semaine au CHUV : quand on aime son travail, on a de la peine à tout arrêter… Ah, évidemment ! Oui, j’aime ce travail. D’ailleurs, je ne devrais pas utiliser ce terme. Le mot « travail » a en lui une connotation contraignante, un peu négative. Pour un artiste, pour parler de son métier, on utilise le verbe « jouer », parce qu’il exerce sa passion. Il joue du violon, du piano ou au tennis. Pour moi aussi, on aurait pu dire : il joue « à la
Pour moi aussi, on aurait pu dire : il joue « à la chirurgie » parce que c'est ma passion.
chirurgie » parce que c'est ma passion. Ça a toujours été ce que j'avais envie de faire et si on m’avait interdit le bloc opératoire, j’aurais été très malheureux. Alors aujourd'hui, je continue de jouer un peu et je suis satisfait de l'équilibre actuel trouvé.
Avez-vous redécouvert des passions que vous aviez négligées en raison de votre travail ?
Il m’est arrivé de me dire : si j’avais plus de temps, je ferais ceci ou cela. Mais en fin de compte, alors que j’ai le temps maintenant, je n’ai pas entrepris tellement d’autres choses. Ces vœux étaient plus dans mon imaginaire que dans la réalité. Maintenant, j’ai eu un petit garçon, Bastien, il y a quelque temps. Cela change énormément la donne et je suis extrêmement content de pouvoir le voir grandir. J'ai ce luxe de ne plus avoir à regarder ma montre, mon agenda et de pouvoir lui consacrer beaucoup de mon temps.
Vous avez toujours été très impliqué dans l’humanitaire. Continuez-vous vos missions ?
Oui, je les ai même intensifiées. J’ai deux programmes phares, le Cambodge et le Mozambique, et deux autres annexes. Nous avons développé un programme de formation pour que les médecins de làbas acquièrent leur autonomie, ce qu’ils ont fait et bien. Toutefois, il faut encore se rendre sur place pour consolider les choses. Et puis, il y a des domaines dans lesquels ils doivent encore progresser. Auparavant, avec le travail, je ne pouvais faire que deux missions par année contre quatre aujourd’hui.
Je discute d’un autre projet au Rwanda et je suis aussi en contact avec la Chaîne de l’espoir, l’association française liée à l'hôpital Necker, à Paris, où j’ai travaillé. Elle est très engagée dans un projet qu’elle aimerait développer en Côte d'Ivoire, à Abidjan. Je pourrais venir en soutien, mais en aucun cas le prendre en charge, car cela demande beaucoup d’énergie.
Vous avez évoqué la formation sur place. Faites-vous encore venir des enfants pour les opérer en Suisse ?
Oui, mais au compte-gouttes, ici au CHUV. C’est bien, mais aller sur place c’est encore mieux, car cela permet de réaliser davantage d’opérations et de former les gens. Et pas que des chirurgiens, mais également des anesthésistes, des réanimateurs, du personnel de soins intensifs, des physiothérapeutes… En fait, tout l’hôpital en profite. J’ai aussi remarqué, ce que je n’avais pas vu au début, que l’on crée sur place des postes de travail avec des salaires corrects, et cela aussi c’est important.
Avez-vous d’autres projets en dehors de l’humanitaire ?
Par le passé, je me disais que j'aimerais bien gravir le Cervin. Mais il faudrait pour cela déjà commencer par faire un peu
d’endurance, voire de la varappe ici ou là. Je n’ai toujours rien commencé !
Qu'est-ce qui vous a marqué dans votre parcours professionnel et privé ?
Beaucoup de choses, car finalement chaque opération était une aventure. Certainement moins pour moi que pour les parents, confrontés à ce grand stress que représentait une opération sur le cœur de leurs enfants. C’était extrêmement marquant, car même une opération qui, pour moi, était facile restait pour eux angoissante.
Si je regarde l’évolution de mon parcours de chirurgien cardiaque, quand je suis étudiant, je veux être chirurgien, car je trouve ce travail manuel passionnant. Mais, pour moi, le cœur est dans une sphère inatteignable. J'avais l'impression qu'il fallait des passe-droits pour y accéder et je n’y pensais même pas. J’avais visé, comme formation, la chirurgie abdominale, qui est une très belle chirurgie. Le hasard a voulu que l’on m’envoie aux États-Unis et c'est là-bas que l’on m’a invité, vu mes bonnes aptitudes comme chirurgien, à entrer dans ce monde cardiaque que je croyais inaccessible. À ce moment, je me suis lancé dans le cardiaque un peu comme un sportif, qui affronte et aime les challen-
ges avec cette envie de démontrer à tous qu’il en a la capacité et qu’il est très bon dans ce domaine. J’étais un peu comme ces alpinistes qui ont envie
C'est avec le temps que j'ai pris conscience de la dimension humaine incroyable associée à cette chirurgie. C’est ce que je dis maintenant, en vieux sage, à mes assistants : on a la vie d’un enfant entre les mains et ça, c’est en soi incroyable.
de vaincre des sommets difficiles, tous les sommets en fait. C'est avec le temps que j'ai pris conscience de la dimension humaine incroyable associée à cette
chirurgie. C’est ce que je dis maintenant, en vieux sage, à mes assistants : on a la vie d’un enfant entre les mains et ça, c’est en soi incroyable. Alors, évidemment, quand cette dimension-là m’est soudain apparue, elle m’a donné le vertige. Heureusement, peut-être que je n’en ai pas été conscient au début, car ce vertige, une certaine peur m’auraient peut-être bloqué.
Vous évoquez l’aspect sportif. Vous avez du reste un passé dans le foot, comme Robin Crisinel, le CEO de Duboux Immobilier…
Oui, mais lui, il a été gardien, entre autres, au Lausanne Sport. Chapeau ! Moi, je n’ai joué qu’au FC Boncourt, en première ligue. C’était une époque où il n’y avait que trois premières ligues. C’était déjà un bon niveau et on luttait chaque année pour accéder aux finales d'ascension en ligue nationale B. On n’a jamais réussi, mais on avait cette ambition et on s’amusait beaucoup.
Entretenez-vous toujours un lien particulier avec le sport ?
Oui, mais il s’est un peu effrité depuis que le football n’est plus aussi accessible. Maintenant, il faut s’inscrire sur des plateformes et il y a aussi trop de matches. Vous pouvez avoir un Classico six fois dans la même année. La multiplication des matches tue leur importance, elle a tué ces quelques grands rendez-vous qu'on attendait tous, religieusement, avec tant d’impatience et qui restaient gravés si longtemps dans nos mémoires.
Quel lien entretenez-vous avec l'immobilier en général ?
Je n’ai pas de lien particulier. Depuis un an et demi, nous avons commencé à chercher un bien pour nous, pour ma petite famille. C’est un secteur que je ne connais pas et si je me lançais pour faire des affaires, je suis certain que je ferais de grosses erreurs.
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LAURIANE GILLIÉRON
« JE VEUX CRÉER MES PROPRES OPPORTUNITÉS »
Miss Suisse 2005, Lauriane Gilliéron a poursuivi une carrière d’actrice à Los Angeles où elle a habité douze ans. De retour en Suisse depuis 2018, elle a enchaîné les rôles et lancé sa propre boîte de production, 5pm Productions. Elle tournera prochainement un court et un long-métrage.
Quel souvenir gardez-vous de la période où vous étiez Miss Suisse ?
J'avais toujours regardé les concours de miss, car à l’époque, il n’y avait pas grand-chose en matière d’événementiel à la télé et j’aimais bien. J’avais fait du mannequinat et le concours de Miss Suisse était un spectacle à part entière. Mais je n’étais pas dans l’idée de participer. J’étais inscrite en droit à l’université parce que ma meilleure amie y était. J’avais arrêté la danse. Je ne savais pas quoi faire de ma vie, ce qui est normal à 21 ans. Le droit m’intéressait, mais ce n’était pas pour moi. Je ne me voyais pas passer dix heures par jour à la bibliothèque pour passer les examens.
Un jour, je feuillette un journal où il y avait une annonce qui disait : si vous avez entre 18 et 25 ans et que vous mesurez au moins un mètre soixante-huit. Ce fut le déclic, car un mètre soixante-huit, c’est
ma taille alors que je pensais qu’il fallait être bien plus grande pour être Miss Suisse. J’ai envoyé les trois photos demandées, passé le casting à Zurich et j’ai été sélectionnée.
J'en garde un très bon souvenir, car c'était un challenge. J’avais fait de la gym et de la danse et je me suis toujours donnée à fond dans ces disciplines. J’espérais gagner, bien sûr, car je ne fais jamais quelque chose sans vouloir être la meilleure, mais je n’avais rien anticipé. Je n’avais aucune idée de ce qu’allait être ma vie si je gagnais.
Pourquoi ? Aviez-vous des doutes sur votre capacité à remporter le titre ? Je doute toujours de mes capacités, cela fait partie de mon caractère… et j’avais peur de me ridiculiser. Et puis, je n’aime pas perdre, je ne suis pas quelqu’un qui assume très bien l’échec. Mais en même
temps, j’ai du courage et quand je décide d’entreprendre quelque chose, je fonce… Je me disais simplement : « On verra bien. » Quand j’ai gagné, tout s'est enchaîné. Franchement, je ne me rappelle pas grand-chose de cette année-là. Tout a changé du jour au lendemain. Cette élection a complètement redirigé ma vie.
Et le concours Miss Univers où vous avez remporté la troisième place ?
C’était à Los Angeles, je n’étais jamais allée en Amérique… Il y avait une énergie, ça m’a emporté. En fait, j’ai toujours secrètement voulu être actrice. Mon frère faisait du théâtre, mais je n’avais jamais osé.
J’avais déjà ce côté battante depuis toute petite, par contre, croire que tout est possible et arrêter de se sousestimer, c’est quelque chose que j’ai volé aux Californiens et ramené avec moi.
Aux États-Unis, je me suis dit pourquoi ne pas essayer ? Miss Univers, plus que Miss Suisse, a vraiment été un tournant, car j’ai vraiment vu la suite que je pouvais donner à ma vie. C'était décisif.
Comment s’est déroulée votre carrière ?
Je suis arrivée à L.A. avec juste mes deux
valises. Je m’étais inscrite dans une école pour six mois avec cours intensifs. En fait, je ne savais même pas si j’allais aimer, si j’étais capable de jouer la comédie, mais j’ai adoré ! Je suis ensuite rentrée quelques mois en Suisse et je suis repartie pour de bon en 2007. Mon premier rôle date de 2008 et après, j’ai enchaîné… J’ai fait des trucs cool, pas autant que j'aurais espéré, même si c’était bien.
En 2009, j’ai eu ma green card, car j’étais une personnalité dans mon pays, ce qui est l’une des trois options possibles pour l’obtenir, et j’ai pu alors vraiment travailler.
Vous avez fait la pub pour Nespresso avec George Clooney et Matt Damon… J’avais tourné avec Al Pacino dans un
film, mais c’était un très, très petit rôle. Cette pub avec George et Matt était la chose la plus excitante d’un point de vue tournage qui me soit arrivée là-bas. Il s’agissait vraiment de petits films qui étaient tournés avec la même équipe que celle avec laquelle ils travaillent pour leurs films. J’étais avec des stars planétaires dans les mêmes conditions que celles d’un film. C’était génial et puis, surtout, je ne m’y attendais pas. Deux ans auparavant, j'avais auditionné pour la même pub, mais je n’avais pas été prise et là, j’ai passé tous les tours. J’ai fait le premier casting et mon agent m’a appelée tout de suite après, car j’avais fait une bonne impression et le réalisateur voulait être sûr que j’étais disponible aux dates de tournage. Mais
je savais que rien n’était fait. Je m’étais conditionnée depuis longtemps à ne rien espérer. Il y a eu encore plusieurs rounds et j’ai été prise. Sur le tournage, on m’a ensuite demandé de faire d’autres pubs. Je ne savais pas que c’était avec Matt Damon, ce fut la surprise.
George et Matt sont très sympas et respectueux. J’ai été étonnée, car Matt est quelqu’un de plutôt timide alors que George est un politicien dans l’âme. Quand il arrive quelque part, il traite bien tout le monde, il fait rire, il donne de l’attention à chacun. Il est exactement comme on s’attend à ce qu’il soit.
Pourquoi avez-vous décidé de rentrer en Suisse ?
Pour plusieurs raisons d’ordre professionnel mais aussi émotionnel… mais principalement, car j’avais, depuis quelque temps, le sentiment de faire du surplace. L’élément déclencheur a été la série Quartier des banques de la RTS dans laquelle j’ai commencé à jouer. Ils sont venus me chercher en 2016 pour tourner l’année suivante. J’ai réalisé tout d’un coup que je pouvais faire ce que j’aimais en Suisse, près de ma famille.
Quelles différences entre les tournages hollywoodiens et suisses ?
Les moyens financiers, bien sûr, mais le professionnalisme est le même. Par contre, à Hollywood, il y a tout de suite une hiérarchie qui se met en place avec le réalisateur comme capitaine du bateau. Ici, c’est plus la synergie de tout le monde qui fait le film. Mais ce qui est impressionnant aux États-Unis, ce sont les studios. En matière de différence entre les États-Unis et la Suisse, la principale
Miss Univers, plus que Miss Suisse, a vraiment été un tournant, car j’ai vraiment vu la suite que je pouvais donner à ma vie. C'était décisif.
est la mentalité. J’ai pris le meilleur des deux. Aux États-Unis, j’étais humble malgré mon parcours, ce qui m’a ouvert des portes. Cependant, j’ai pris cette vision américaine qui veut que tout soit possible si on y met vraiment du sien. J’avais déjà ce côté battante depuis
toute petite, par contre, croire que tout est possible et arrêter de se sous-estimer, c’est quelque chose que j’ai volé aux Californiens et ramené avec moi.
Vous sentez-vous mieux ici ou aux États-Unis ?
Je suis un caméléon. Aujourd’hui, je suis plus en accord avec moi-même en étant ici, mais à 20 ans, j’étais parfaite à L.A.
Vous êtes très engagée pour la défense des animaux…
L’amour pour les animaux fait partie de mon ADN. Je me dis toujours que dans ma dernière partie de vie, je me consacrerai à eux. Je suis une hyper-sensible et, pour moi, les animaux sont thérapeutiques et très salvateurs. Je ne suis pas toujours à l'aise avec les humains, je me sens souvent jugée. Pour moi, les animaux sont nos égaux même s’ils sont différents. Ils méritent autant de respect que l'être humain. Cela me rend folle, la manière dont on les exploite et les
maltraite. Je suis devenue végétarienne à l’âge de 7 ans. Mes grands-parents avaient une ferme et ma grand-mère adorait ses animaux. Elle ne les aurait jamais mangés, mais j’ai compris un jour que « le cousin » du petit lapin avec qui je jouais dans le foin chez mes grands-parents était dans les assiettes. Je déplore le fait qu’aujourd’hui les gens achètent leur steak sans se soucier d’où vient le produit et sans faire le rapport avec le fait qu’il a fallu qu’un animal meure pour ça.
Quels sont vos nouveaux projets ? En 2023, j'ai monté ma propre boîte de production, 5pm Productions. Un clin d’œil au fait que c’est toujours l’heure de l’apéro quelque part dans le monde… parce qu’avec ma partenaire de projets de production et scénariste, nous avons toujours eu nos idées à l’apéro, en papotant.
Cet été, je vais tourner un court-métrage que j'ai coécrit et qui sera un peu la carte
de visite de ma boite de production. Un jour, j'aimerais réaliser des projets dans lesquels je ne jouerai pas, mais pour l’instant mon objectif est de créer mes propres opportunités. J’ai aussi un autre projet, d’ici la fin de cette année, pour un long-métrage. Il s’agira d’un drame fantastique sur les violences conjugales.
ZOÉ CLAESSENS
« JE VISE UNE MÉDAILLE AUX JEUX
OLYMPIQUES DE PARIS »
À 22 ans, la Vaudoise Zoé Claessens affiche un palmarès impressionnant. Au top trois du classement UCI, la coureuse de BMX
Racing, un sport cycliste extrême, a encore brillé en février dernier en remportant deux nouveaux succès de Coupe du monde, en Australie. Interview d’une surdouée.
faire comme s’il s’agissait d’une course normale sinon il y aurait eu trop de stress.
Je pense que la course reste mon meilleur souvenir parce que c’était vraiment spécial avec les hélicoptères qui filmaient. Ce n’était pas ma meilleure course, mais c’était une bonne expérience.
Comment se passe la sélection pour les JO ?
Qui êtes-vous Zoé ?
Je suis une professionnelle du BMX. J’habite à Villars-sous-Yens et je m’entraîne à Aigle au Centre mondial du cyclisme (CMC) où je m’étais déjà entraînée pendant trois ans avant de partir dans le sud de la France. Je suis ensuite revenue ici. En 2021 et 2023, j’étais championne d’Europe en élite. Cette année, en février, j’ai remporté deux épreuves de Coupe du monde de BMX, à Brisbane, en Australie.
À quel âge avez-vous commencé le BMX ?
J'ai commencé quand j'avais environ sept ans, car mon père faisait du BMX. C’est lui qui a fondé le club d’Echichens, à quinze minutes de chez moi. Mes deux grands frères se sont mis au BMX et j’ai juste suivi. Je n’ai jamais fait d’autre sport.
Finalement, le BMX est une affaire de famille…
Oui, mon père, avec son frère et ses amis, a créé une piste de racing dans la forêt. Il a fondé le club et l’a fait progresser jusqu’à aujourd’hui où il compte parmi les plus importants de Suisse avec 200 à 250 membres.
Vous avez participé aux JO de Tokyo en 2021. Quel souvenir en gardez-vous ? Mis à part le résultat un peu décevant, car j’ai échoué en demi-finale, c'était cool. Mais c’était un peu spécial parce que c’était pendant le Covid. Il n’y avait pas de supporters et personne dans les tribunes.
Je suis tombée en demi-finale, je pense que j’étais encore un peu jeune et que je n’avais pas assez d’expérience. Mais pour le reste, c’était vraiment bien, une bonne expérience des JO. Par exemple, quand j’ai fait le premier tour de piste, il y avait les anneaux olympiques dans le virage, c’était incroyable. Lorsqu’on arrive dans le village olympique, c’est énorme ! En fait, il s’agit d’une petite ville avec des monstres buildings et tous les athlètes dedans. Ils mangent tous au même endroit. Je ne m’y attendais pas. J’étais déjà allée au JO de la Jeunesse, à Buenos Aires, mais c’est plus petit.
Qu'est-ce qui vous a le plus marquée ? L’atmosphère du village olympique ?
Les liens avec les sportifs ? Oui, tout cela, mais je me concentrais beaucoup sur ma course. J’essayais de
Les résultats des Coupes du monde et de certaines courses permettent d’obtenir des points par pays. Il y a ensuite un classement et les onze premiers pays ont au moins une place. Les deux premiers ont trois places et les troisième et quatrième pays ont deux places et ensuite une. Nous, la Suisse, nous étions dixièmes, donc une seule place réservée pour celle qui faisait les meilleurs résultats et je l’ai eue.
Y a-t-il aujourd’hui un pays qui domine ce sport, au plan féminin ?
Les athlètes hollandaises sont assez fortes et également les Américaines, Britanniques et les Australiennes. Chez les garçons, il y a les Français.
Comment se déroule la journée d’une athlète de BMX ?
En général, je fais un entraînement par jour. Je me réveille entre 6 et 8 heures et je prends mon petit-déjeuner. Après, je fais une pause d’au moins une heure et demie pour digérer, en me préparant pour aller à l’entraînement. Ce matin, par exemple, je fais de la musculation pendant trois heures et ensuite, je déjeune. Après, j’ai parfois encore un petit entraînement l’après-midi comme faire des sprints dehors avec mon vélo. J'aime également bien faire du stretching avant d'aller dormir.
Il est aussi très important pour un athlète de se reposer, ce que j’essaie de faire le
plus possible, et de bien manger. Je me couche également tôt, vers 22 heures. En moyenne, je dors entre huit et dix heures par nuit.
Je consacre aussi du temps à mes réseaux sociaux, à mon site Internet et à mes sponsors. J’ai un manager qui m’aide, mais je fais toute seule mes réseaux sociaux. Pour les sponsors, il assure la plus grande partie des recherches, mais je donne des idées et parfois, les gens veulent parler directement avec moi.
Vous cherchez des sponsors pour Paris 2024 ?
Oui, et en Suisse, c’est toujours un peu difficile de trouver des sponsors, même si je fais de très beaux résultats et que je gagne des Coupes du monde. Le BMX commence à être connu, mais il l’est beaucoup moins que d’autres sports comme le ski.
Quel est votre objectif pour les JO 2024 ?
Je vise au moins une médaille, mais rien n'est joué d'avance parce qu’en BMX, il suffit d'une petite erreur et c'est fini. J’essaie de faire comme pour une course normale, de faire tour par tour et puis on verra le résultat.
Vous vous consacrez uniquement au BMX ?
Maintenant oui, j’ai terminé le gymnase il y a un an et demi. J’avais dû faire une pause de deux ans entre ma deuxième et troisième année, car je participais aux JO de Tokyo. Mais avec le Covid, ils ont été décalés d’un an, ce qui m’a obligé à arrêter deux ans et à retourner au gymnase. C’était assez dur de reprendre des études à plein temps et de m’entraîner. J’ai bien aimé, mais c’était un peu trop. Parfois, on finissait les cours à 17 heures et j’avais après une séance de musculation de trois heures. Ensuite, il fallait encore réviser.
Quelle profession auriez-vous aimé exercer s’il n’y avait pas eu le BMX? Depuis que je suis petite, j’aimerais bien être enseignante pour les enfants, mais je ne suis pas encore sûre. J’ai fait le gymnase de culture générale et j’aimerais bien faire une passerelle pour faire la maturité spécialisée option pédagogie (MSOP) et ensuite rejoindre la Haute école pédagogique (HEP) quand j’aurai fini ma carrière. Si je ne suis pas en capacité de faire enseignante, je voudrais bien travailler dans le domaine du sport ou devenir coach. Je pourrais ainsi travailler avec ma passion.
Après, on verra, si j’ai une bonne idée, je peux peut-être lancer un business. Mon père a créé l’entreprise Claessens'Kids qui produit des veilleuses indicatrices de réveil pour enfants et il vient d’en fonder une autre, Savum, qui propose un cleap qui se fixe sur un savon solide. Comme cela, il ne glisse pas des mains. Mon frère a aussi une nouvelle start-up de lumières pour vélo. Je suis dans une famille d’entrepreneur.
Pensez-vous qu’il y a un rapport entre le sport et l’entrepreneuriat ?
En tout cas j’apprends beaucoup en étant une athlète de haut niveau même si je ne fais pas d’études.
Aujourd’hui, arrivez-vous à vivre de votre activité de BMX ?
Oui, car j'ai la chance de pouvoir m'entraîner et loger au centre mondial du cyclisme. Par contre, si je devais tout assurer, le loyer, la nourriture, les voyages, ce serait chaud. Mais je ne vais pas pouvoir
rester indéfiniment et mon objectif est de continuer à m’entraîner en Suisse.
D’autres sports vous passionnent ?
J’aime bien le tennis. J’en fais après la saison quand j’ai deux ou trois semaines de récupération. J’ai du plaisir à regarder les matchs de tennis et également le vélo sur route.
Je suis une fan de Roger Federer et de Fanny Smith, qui fait du skicross et qui habite près de chez moi. On se voit parfois à des événements, par exemple lors du Mérite vaudois. J’ai eu l'occasion de lui parler un peu. Elle était aussi venue une fois essayer le BMX, à Echichens, mais je n’étais pas là.
Qu’est-ce qui est le plus difficile dans votre vie d’athlète de haut niveau ?
J’adore m’entraîner, donc je n’ai pas trop de problèmes avec ça. Mais je pense que le mental, c'est plus compliqué. Pour gérer cet aspect-là, il faut faire des compétitions et parler avec l’entraîneur, ce qui aide. Mon entraîneur était un athlète de haut niveau en BMX, il a participé à trois reprises aux JO, il a été champion du monde et il gagnait beaucoup de compétitions. Il sait ce que je ressens, car il l’a déjà vécu.
Comment avez-vous rencontré votre entraîneur ?
Lorsque je suis arrivée pour la première fois au centre mondial du cyclisme, c'était lui qui entraînait le groupe. Depuis là, je n'ai jamais changé d'entraîneur, car il a vraiment beaucoup de connaissances et j’adore m'entraîner avec lui.
Zoé, victorieuse en AustralieCLINIC LÉMANIC
DEPUIS PLUS DE 25 ANS, LA CLINIC LÉMANIC
À LAUSANNE AU SERVICE DE LA MÉDECINE
ANTI-ÂGE ET ESTHÉTIQUE !
La Doctoresse Véronique Emmenegger
(Directrice médicale) et Darrell Jacobs (CEO) sont les cofondateurs dynamiques de la Clinic Lémanic à Lausanne, centre médical et esthétique privé de renommée internationale, en mains familiales depuis plus de vingt-cinq ans. Tous deux mettent l’entier de leur énergie et de leur passion au service de la médecine anti-âge et esthétique. Ils nous expliquent leurs « secrets » de longévité. Interview croisée.
Dre Véronique Emmenegger : Depuis le début de l’aventure, nous défendons une conception thérapeutique de la médecine esthétique. Nous ne cédons pas aux excès et ne transigeons pas non plus sur la qualité et la sécurité des soins. À la Clinic Lémanic, ce sont les médecins qui prennent en charge la patientèle.
Darrell Jacobs : Malgré notre rayonnement international, nous sommes restés une entreprise avec une identité suisse, capable d’offrir des soins hautement personnalisés et d’excellente qualité. Cette stabilité donne confiance à nos patients. Nos médecins hautement qualifiés consolident aussi notre très bonne réputation.
Comment se distinguer de la concurrence ?
V.E. : Nous affirmons volontiers que la beauté dépend aussi de la santé et que l’on ne devrait pas séparer les deux. Le bien-être, c’est-à-dire l’harmonisation de la santé et de l’esthétique, est l’un des grands buts de la médecine dite anti-âge. Nous développons et consolidons ceci depuis de nombreuses années.
D.J. : Il faut se maintenir à la pointe des connaissances scientifiques et techno-
logiques tout en plaçant la relation humaine au centre des préoccupations. Il est important pour le patient que son corps soit respecté. Il ne sert à rien de posséder des appareils médicaux performants sans le savoir-faire des praticiens.
La demande pour paraître jeune plus longtemps augmente-t-elle de nos jours ?
V.E. : Oui, et ce n’est pas seulement lié à l’apparence. De plus en plus de patients souhaitent améliorer leur qualité de vie. Ils recherchent un bien-être et l’envie de
« vieillir jeunes » en fait partie. À ce désir profond répond le Better Ageing. C’està-dire une médecine dont l’ambition est de prolonger la qualité de vie, en s’appuyant sur les récents progrès technologiques et scientifiques notamment en génétique et nutrigénomie. Le Better Ageing englobe tous les traitements anti-âge, préventifs et régénératifs, qu’ils soient médicaux ou esthétiques. La région lémanique est d’ailleurs l’un des berceaux de cette médecine nouvelle, intégrative, que nous proposons à la Clinic Lémanic. Nos programmes sont hautement personnalisés. Nous ne faisons pas de médecine standardisée, mais exclusivement des traitements sur mesure, adaptés à chaque patient.
D.J. : Arrive un âge où la prévention devient importante, passant par une bonne hygiène de vie, avec du sport naturellement, mais aussi par des bilans réguliers,
voire des cures de santé. Dans notre clinique, nous proposons entre autres des programmes de détoxification pour les personnes actives qui souhaitent conserver leur vitalité, leur énergie, et leur joie de vivre. Ces programmes sur mesure visent à éliminer les toxines provoquées par le stress et le mode de vie actuels.
Quelles sont les tendances ?
V.E. : Ce qui est vraiment tendance, ce sont les traitements peu invasifs, ayant un effet naturel et durable, par exemple les thérapies par la lumière, le froid, les radiofréquences et les ultrasons. Les patients qui viennent nous voir demandent de plus en plus fréquemment des interventions légères, avec le moins de chirurgie « lourde » possible et qui ne dénaturent pas leurs caractéristiques individuelles.
Ce qui est vraiment tendance, ce sont les traitements peu invasifs, ayant un effet naturel et durable.
D.J. : L’esthétique n’est plus réservée aux femmes. De plus en plus d’hommes recourent à des interventions, pour enlever par exemple un excès de graisse, corriger des paupières tombantes, atténuer des rides, soigner une perte de cheveux, etc. Il est devenu important d’être à l’aise dans
son corps afin de se sentir bien en société.
Après plus de vingt-cinq ans d’existence, quelle est votre plus grande fierté ?
V.E. : Être connue et reconnue comme une clinique de référence en esthétique médicale, en Suisse et à l’étranger, est bien entendu une grande fierté. À ce titre, je suis fière d’avoir reçu en 2019 l’emblème international IIPP « Entreprendre et Réussir » au siège de l’UNESCO à Paris. Il récompense les prestations de la Clinic Lémanic dans le domaine de la médecine anti-âge, préventive et régénérative. D’autres prix nous ont été décernés, notamment l’an dernier à Monaco, mais ce qui importe par-dessus tout est la pleine satisfaction de notre patientèle. Elle demeure l’une de nos priorités.
D.J. : Je suis fier de notre développement international. Notre clientèle provient aussi bien de Suisse, d’Europe ou d’Asie, que des pays de l’Est et du Proche-Orient. Nous pouvons aussi être fiers d’avoir développé notre propre ligne de produits anti-âge cosmétiques en partenariat avec SwissLine, ainsi qu’une gamme exclusive de micronutriments à 100% naturels, élaborée avec notre équipe de recherches sous le label HEALTH BOOSTTM. Ces produits actifs peuvent être proposés en complément à une thérapie.
Est-ce que les incertitudes géopolitiques actuelles pèsent sur le business ?
V.E. : Il est certain que la guerre en Ukraine, les tensions au Proche-Orient
ou l’après Covid n’aident personne. Pour autant, et pour ne citer qu’un exemple, l’un des effets de la récente crise sanitaire dans le domaine esthétique a été une hausse significative des consultations de la part de patients locaux. Et le temps passé dans des conférences à distance, à se parler face caméra, a incité à se regarder soi-même différemment. Les gens se sont trouvés plus facilement des petits défauts.
D.J. : Durant une période, nos patients venant de l’étranger ont évidemment été moins nombreux. Nous avons dû réagir de manière rapide et forte pour nous adapter à cette nouvelle situation. Fort heureusement, les voyages ont repris quasiment à la hauteur de l’avant Covid. Nous sommes confiants en l’avenir, nos visions à long terme portent aussi leurs fruits.
La Clinic Lémanic a été fondée à Lausanne en 1998 par la Doctoresse Véronique Emmenegger et M. Darrell Jacobs. Elle est aujourd’hui une référence incontournable pour la médecine esthétique, anti-âge, préventive et régénérative. Elle doit sa renommée internationale à sa recherche constante d’innovations médicales et à sa philosophie axée sur le bien-être et la santé des patients. L’excellente qualité de ses traitements lui a valu plusieurs récompenses prestigieuses dont deux distinctions de l’IIPP, remises au siège de l’UNESCO à Paris : « Mérite au développement des Technologies en Médecine et Esthétique » (2012) et « Emblème International Entreprendre et Réussir dans le domaine de la Médecine anti-âge, préventive et régénérative » (2019). En 2010, la clinique a reçu le Trophée de cristal à Moscou, récompensant la meilleure clinique esthétique en Europe. En 2020, c’est le prix de la meilleure clinique anti-âge internationale que se sont vus décerner les cofondateurs de la Clinic Lémanic. Et l’an dernier à Monaco, en présence de S.A.S le Prince Albert II, le Prix de la meilleure clinique en Médecine anti-âge et préventive.
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Thibault Degouve
Expert & Business Development Partner
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E: thibault.degouve@ch.belfor.com
Nous répondons à vos questions
Pour de nombreuses personnes, le domaine de l’immobilier reste complexe, fait d’un vocabulaire particulier et de lois difficiles à assimiler. Vous trouverez donc ici les réponses aux interrogations soulevées par nos clients. Nous espérons ainsi faciliter votre compréhension sur des sujets liés à l’achat et la vente d’un bien immobilier.
À quelles conditions un droit de passage nécessaire peut-il être accordé ?
Aux termes de l'art. 694 al. 1 CC, le propriétaire qui n'a qu'une issue insuffisante sur la voie publique peut exiger de ses voisins qu'ils lui cèdent le passage nécessaire, moyennant pleine indemnité. Le droit de passage nécessaire implique, comme d'autres restrictions légales indirectes à la propriété (par ex. la conduite et la fontaine nécessaires), une « expropriation privée », en sorte que, de jurisprudence constante, le Tribunal fédéral fait dépendre l'octroi d'un passage nécessaire de conditions très strictes. De la genèse de l'art. 694 CC, il a d'abord déduit que le droit de passagefondé sur le droit de voisinage - ne peut être invoqué qu'en cas de véritable nécessité. Il n'y a nécessité que si une utilisation ou une exploitation conforme à la destination du fonds exige un accès à la voie publique et que celui-ci fait totalement défaut ou est très entravé. Le Tribunal fédéral a admis que l'octroi d'un droit de passage nécessaire peut être également réclamé pour un terrain situé en zone à bâtir : même dans une commune dont les zones ont pourtant été planifiées, l'accès suffisant à des biens-fonds situés en zone à bâtir peut en effet faire défaut, alors même qu'un tel accès est nécessaire pour l'obtention d'une autorisation de construire. L'entrée en vigueur de la loi fédérale sur l'aménagement du territoire du 22 juin 1979, qui détermine
quelles sont les conditions d'accès du point de vue du droit public, n'a pas non plus rendu l'institution du passage nécessaire dénuée de tout intérêt.
En principe, la question de savoir si un bien-fonds, même situé en zone à bâtir, dispose d'un accès suffisant pour l'utilisation ou l'exploitation conforme à sa destination relève également du droit public. Le zonage devrait en effet avoir pour conséquence que, dans une zone à bâtir, les biensfonds soient équipés conformément au plan et que les passages nécessaires soient ainsi superflus. Il arrive néanmoins toujours que des parcelles destinées à la construction ne disposent pas d'un accès suffisant à la voie publique. Dans ce cas, le propriétaire foncier doit recourir en premier lieu aux institutions du droit public si elles lui permettent d'obtenir un équipement convenable. Aussi longtemps que l'on peut réaliser un équipement adéquat par les moyens du droit public, il n'y a pas de nécessité d'octroyer un passage. Dans cette mesure, le propriétaire qui veut demander un passage nécessaire doit établir qu'il a fait - en vain - tout son possible pour obtenir par les moyens du droit public un accès à son immeuble.
Une autorisation de construire n'est délivrée qu'à la condition que le terrain soit équipé. Un terrain est réputé équipé lorsqu'il est desservi d'une manière adaptée à l'utilisation prévue par des voies d'accès. Ce sont les moyens de la planification qui déterminent en premier lieu l'accès suffisant ; celui-ci peut également être aménagé par une convention privée conclue entre les propriétaires concernés. L'accès est suffisant lorsqu'il est garanti non seulement pour ceux qui profitent de la construction, mais également pour les véhicules des services publics. Les accès doivent être sûrs et appropriés aux possibilités de construction des parcelles selon le plan de zone. L'étendue des installations et la détermination de l'accessibilité suffisante relèvent du droit cantonal. Du point de vue du droit fédéral, il suffit que la route d'accès soit suffisamment proche des constructions et des installations. Il n'est pas nécessaire que la route soit car-
rossable jusqu'au terrain à bâtir ou même jusqu'à chaque bâtiment ; il suffit que les usagers ou les visiteurs puissent accéder avec un véhicule à moteur (ou un moyen de transport public) à une proximité suffisante et qu'ils puissent ensuite accéder aux bâtiments ou aux installations par un chemin. La notion de droit de passage nécessaire au sens de l'art. 694 CC est indépendante des règles cantonales ou communales en matière de construction ; en tant que notion de droit privé, elle doit être interprétée selon des critères uniformes sur tout le territoire suisse. Il s'ensuit que le passage nécessaire ne saurait être octroyé en fonction d'exigences plus strictes que le droit public imposerait. Selon la jurisprudence, le propriétaire d'un bien-fonds situé dans une zone d'habitation peut prétendre pouvoir accéder à sa parcelle avec un véhicule à moteur pour autant que la topographie des lieux le permette.
La comparaison des exigences posées pour l'obtention d'un accès suffisant selon le droit public et pour l'octroi d'un passage nécessaire de droit privé démontre qu'en règle générale, celui-ci doit être refusé si un accès existe en vertu
du droit public. Dans le cadre d'un projet de construction, l'autorité qui octroie le permis de construire doit déterminer si un accès suffisant est garanti. Saisi d'un litige de passage nécessaire, le juge civil peut en principe se fonder sur l'autorisation de construire entrée en force dans la mesure où l'accès suffisant du droit public suppose généralement des exigences plus strictes que celles du passage nécessaire garanti par le droit privé. Des exceptions sont néanmoins réservées.
Xavier Diserens, avocat
BURYSEK & DISERENS
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T +41 (0) 21 317 57 70
F +41 (0) 21 317 57 77
E : diserens@etude-avocat.com www.etude-avocat.com
L’installation de pompes à chaleur selon le nouveau droit vaudois, une vraie simplification de la procédure ?
Les pompes à chaleur sont source d’émissions de bruit et peuvent, de ce fait, gêner le voisinage et porter atteinte à l’environnement. C’est la raison pour laquelle ces installations sont soumises en principe à autorisation.
Toutefois, dans un communiqué de presse du 27 juin 2023, le Conseil d’État vaudois a annoncé qu’il avait révisé les règlements en vigueur pour faciliter la procédure relative à l’installation de pompes à chaleur air/air ou air/eau sur le territoire cantonal, dans le but de faciliter et d’accélérer le remplacement des chauffages à énergie fossile. Selon cette révision, de telles installations ne sont désormais plus soumises à une demande de permis de construire.
Dans le détail, l’art. 68c du Règlement d'application de la loi sur l'aménagement du territoire et les constructions (RLATC) prévoit notamment une dispense d’autorisation de construire des pompes à chaleur à l’intérieur d’un bâtiment existant. Cette dispense vaut aussi pour les pompes à chaleur à l’extérieur d’un bâtiment existant, mais le règlement prévoit alors certaines conditions particulières d’intégration, de volume et de puissance et de respect d’autres intérêts publics prépondérants.
Malgré cette dispense de permis, le nouveau droit n’exempte pas les propriétaires d’annoncer leur projet de construction à l’autorité municipale. Cette annonce se fait au moyen d’un formulaire mis à disposition par le Canton, accompagné d’un plan de situation et de la fiche technique de l’installation. Ce formulaire n’est toutefois pas destiné aux voisins. Le Canton a ainsi reporté la charge de l’information sur le constructeur qui peut, s’il le souhaite, informer ses voisins du projet d’installation de pompe à chaleur.
D’une manière générale, il appartient à l’autorité communale d’accorder ou non une dispense d’autorisation de construire, respectivement d’examiner si les conditions du règlement cantonal, pour les pompes à chaleur à l’extérieur
d’un bâtiment existant, sont effectivement remplies. Si les conditions d’une dispense ne sont pas réunies, un projet d’installation de pompe à chaleur reste soumis à une procédure de demande de permis de construire.
Si ces modifications légales semblent répondre favorablement à un objectif de transition énergétique, elles posent toutefois des questions juridiques et pratiques pour la procédure de permis de construire. On pense ainsi spécialement au droit d’être entendu des voisins, qui disposent, selon la jurisprudence, d’un intérêt à un contrôle préalable de ces installations en raison de leur bruit de fonctionnement. Si le voisin privé de son droit d’opposition arrive à démontrer que la pompe à chaleur devait finalement être mise à l’enquête publique, la procédure s’en trouvera alors sensiblement ralentie, puisque le constructeur devra reprendre tout son projet dès le début. Pire, si le chantier est terminé, une mise en conformité, voire une remise en état, pourrait être, au final, exigée par les autorités !
Le constructeur prudent aura ainsi intérêt à faire appel aux services d’un mandataire compétent pour s’éviter toute mauvaise surprise et cela malgré la dispense d’autorisation de construire de sa pompe à chaleur.
Vincent Bays, avocat, docteur en droit
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Le droit de préemption des communes dans la LPPPL, état des lieux
Accepté par le peuple en 2017 par le biais d'une votation sur loi sur la préservation et la promotion du parc locatif (LPPPL), le droit de préemption permet depuis maintenant quatre ans aux communes vaudoises d’acquérir un bienfonds, construit ou non, sis en zone à bâtir en lieu et place d’un tiers (acquéreur alors évincé), aux mêmes conditions, afin de créer des logements d’utilité publique (LUP). La commune intervient directement dans des relations de droit purement privé avec des conséquences importantes pour les parties au contrat de vente originelle, et en particulier pour l’acheteur écarté.
Fruit d’un équilibre entre les différents intérêts en jeu, les conditions d’exercice de ce droit sont détaillées dans la loi (art. 31 ss LPPL), ainsi que dans le règlement d’application (art. 34 ss RLPPL) : Outre les conditions précitées, ce droit ne peut être exercé que dans des districts en pénurie de logements (art. 2 LPPPL), et sur des parcelles d’une surface d’au moins 1'500m2 ou situées dans les centres-villes. Les lots de PPE ou les transactions entre proches sont exclus.
La collectivité est en outre tenue par des impératifs temporels et doit construire dans un délai de 3 ans (calculés dès la date d’inscription au registre foncier du transfert de propriété), à défaut de quoi le vendeur dispose d’un droit de « racheter » la parcelle (droit de réméré), respectivement l’acquéreur de base, le droit de l’acheter (droit d’emption).
Enfin, l’acheteur écarté peut se voir indemniser pour les frais engagés dans le cadre d’un projet immobilier devenu caduc (art. 35 al. 3 LPPPL), selon un mécanisme toutefois encore pas ou peu utilisé.
Malgré ces limites, les premières expériences montrent une grande disparité entre les communes : de récentes affaires ont notamment défrayé la chronique, par exemple lorsqu’un tiers (souvent une coopérative d’habitation) finance l’opération en lieu et place de la collectivité publique et devient ainsi directement propriétaire. Le Conseil d’État a dernièrement durci les conditions d’exercice de ce droit, en imposant notamment à la commune de détenir elle-même les fonds nécessaires à l’achat de la parcelle en question. Une éventuelle mise à disposition de tiers ne peut ainsi avoir lieu que dans un second temps, par le biais d’une procédure d’adjudication publique (excluant le gré à gré). Cette modification du RLPPPL est toutefois actuellement combattue devant la justice par les milieux de défense des locataires.
Face à une procédure souvent complexe et incertaine, aux conséquences possiblement majeures, les futurs acheteurs et vendeurs auront tout intérêt à anticiper cette problématique dès les premières discussions, en intégrant ces aspects de façon exhaustive et détaillée dans le projet d’acte notarié.
Sylvain Tscheulin, avocatLEXIMMO AVOCATS
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Surfaces vendues, les notions et les risques
Lors d’une vente, la surface d’un bien immobilier représente une caractéristique impactant fortement le prix de la transaction. Les annonces et plaquettes de vente indiquent régulièrement la superficie d’un bien en utilisant une nomenclature diverse. On rencontre souvent les notions de surface habitable, surface utile ou surface pondérée.
La Suisse ne connaît pas de législation similaire à la loi Carrez de nos voisins français. Fédéralisme oblige, la surface habitable est une notion de droit cantonal regroupant les surfaces pouvant être aménagées et utilisées comme pièce d’habitation. Les surfaces intégrées dans le calcul dépendent des règles de police des constructions et principalement du règlement communal ainsi que des règles cantonales de salubrité. Les réglementations en la matière étant variées, une analyse doit être entreprise dans chaque situation. Pour une construction existante, cela peut également dépendre des affectations figurant dans les plans objet du permis de construire et d’éventuelles conditions mentionnées dans cette autorisation. L’acheteur avisé prendra la précaution de se faire remettre ces documents.
La notion de surface utile n’est pas définie par la législation. En pratique, elle regroupe la surface habitable et la surface dite occupable, soit la surface ne pouvant pas être affectée à l’habitation, mais qui ne doit pas rester vide pour autant. La limite de l’occupation licite d’un local non-habitable est impossible à tracer et dépend de la tolérance des autorités. Faire état d’une telle surface peut ainsi se révéler périlleux.
La surface pondérée n’est pas non plus définie par le législateur, mais fait parfois l’objet de recommandations d’associations professionnelles. Usuellement, cette surface intègre, selon un certain ratio, des surfaces extérieures du type terrasse et balcon. Il convient d’annoncer clairement les surfaces intégrées dans le calcul et leur pondération.
Les litiges en matière de surface sont fréquents. La jurisprudence considère qu’en l’absence de précisions, la mention d’une surface future suppose que celle-ci soit nette et non brute. Les juges fédéraux ont également retenu l’existence d’un défaut frauduleusement caché par le vendeur dont le courtier avait annoncé une surface supérieure à celle annoncée aux autorités fiscales pour la valeur locative.
Pour prévenir les litiges, il est important que l’acheteur sache quel type de surface il acquiert et comment celle-ci a été calculée. De son côté, le vendeur a intérêt à s’assurer de l’exactitude des renseignements communiqués à l’acheteur, y compris par son courtier, notamment dans le cadre d’annonce ou de plaquette de vente. La jurisprudence retient qu’une mention du type « ce document n’est pas contractuel » est une pure clause de style et ne saurait réduire à néant la valeur des informations transmises par un professionnel de l’immobilier lors d’une transaction. Le courtier étant un auxiliaire du vendeur, ce dernier supportera vis-à-vis de l’acheteur les éventuels manquements de son mandataire.
Mathias Keller, avocat spécialiste FSA Droit de la construction et de l’immobilier
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Notre sélection de biens à vendre
Que vous soyez à la recherche d’une villa familiale, d’un appartement en ville ou d’un bien immobilier de prestige, nous vous aidons à passer du rêve à la réalité. Prenez plaisir à feuilleter nos annonces immobilières, vous y trouverez, peut-être, le bien qui correspond à tous vos critères de recherche.
Présentation de nos courtiers
CARLO FESTA
Responsable des ventes cfesta@regieduboux.ch
Pendant de nombreuses années, Carlo Festa a occupé le poste de directeur au sein d'une entreprise spécialisée dans la communication visuelle.
Toujours en quête de nouveaux défis et d'opportunités stimulantes, il a ressenti le besoin naturel de sortir de sa zone de confort pour explorer de nouveaux horizons. C’est ainsi, qu’en 2011, sa carrière dans le domaine de l'immobilier a débuté. Passionné par la décoration intérieure et l'architecture, il trouve une véritable satisfaction à conseiller ses clients dans leurs choix et à les accompagner tout au long des procédures d'achat ou de vente immobilière.
Soucieux de justice et doté d'une nature ouverte, il est convaincu qu'un bon courtier se doit d'être à l'écoute de ses clients et de rester authentique, en particulier dans le secteur de l'immobilier. Chaque jour lui offre de nouveaux défis, et c'est précisément ce qu'il apprécie le plus dans son métier.
LAURANNE KANNENGIESER
Courtière en immobilier lkannengieser@regieduboux.ch
Après avoir obtenu son diplôme en droit public à la faculté de Draguignan (Var, France), elle a rapidement développé un vif intérêt pour l'immobilier. Ce n'était donc pas surprenant lorsqu'elle a décidé de créer sa propre agence immobilière dans le sud de la France, lançant ainsi sa propre aventure entrepreneuriale.
Son credo ? Travailler selon des valeurs qui lui tiennent à cœur : prendre le temps pour ses clients, partager, être disponible et avant tout, être à l'écoute. Grâce à son empathie naturelle et à son sens du savoir-être, certains de ses clients sont devenus de véritables amis.
L'amour qu'elle éprouve pour son mari l'a conduite à quitter la belle Côte d'Azur pour découvrir une autre Riviera, celle du canton de Vaud : tout aussi enchanteresse ! Elle a souhaité poursuivre sa carrière dans une agence partageant ses valeurs, et elle l'a trouvée en Duboux Immobilier : un accueil chaleureux et une amabilité envers tous ses clients.
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Cette magnifique bâtisse de 7 pièces, datant du 19e siècle a été entièrement rénovée en 2007 avec un souci du détail et élégance. Répartie sur 3 niveaux, elle offre une surface habitable d’environ 300 m2 en plus des combles aménageables d’environ 80 m2
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PPE RÉSIDENCE SIRIUS
NOUVEAU PROJET DE 18 APPARTEMENTS
Le village de Roche est idéalement situé pour ceux qui cherchent à s'éloigner de l'agitation de la ville tout en restant à proximité de toutes les commodités. Vous pourrez profiter d'un cadre de vie paisible entre montagnes et lac. Ces 18 appartements, allant de 2.5 à 4.5 pièces, seront au bénéfice d’une construction soignée moderne et équipés de tout le confort dont vous avez besoin pour vivre confortablement. Livraison prévue en hiver 2025/2026.
En partenariat avec la BCV.
Pour plus d'informations : www.residence-sirius.ch
Réf. 1209995
Service des ventes +41 21 321 90 40
CHF Dès 420'000.–
Latelier Vallotton architectes SA
Place du Tunnel 17 021 728 34 64
1005 Lausanne www lvsa ch
construction neuve - rénovation - transformation logement - administratif - commercial
"Chez LVSA, nous réalisons pour vous une architecture esthétique, confortable et génératrice d'émotions, dans un profond respect du contexte des souhaits du client et des besoins des usagers grâce à une parfaite maîtrise des techniques constructives, des coûts et des délais
Bien plus qu’une régie
Actifs depuis plus d’un demi-siècle sur le marché immobilier romand, nous sommes au bénéfice d’une excellente réputation et d’un capital confiance reconnu. L’implantation de nos agences tout au long de l’Arc lémanique nous permet de bénéficier d’une réelle connaissance du marché local et de vous offrir un service de proximité et des services immobiliers de premier ordre.
Notre agence
Aujourd’hui, notre agence est l’un des principaux acteurs sur le marché de l’immobilier de l’Arc lémanique avec plus de 40 collaborateurs travaillant sur 4 sites (Versoix, Rolle, Lausanne et Vevey).
Chiffres clés
4 SITES
Siège Lausanne
Rolle Vevey
Versoix
Dates clés
1952
Création de la société par Georges et Jacques Duboux, père et fils
1982
Pierre Duboux, petit-fils du fondateur, rejoint la direction de la régie
2001
Robin Crisinel, actuel CEO et associé, rejoint la régie
2005
Ouverture de la succursale Riviera
2011
Bernard Von Gunten, actuel directeur des agences de la Côte/ Genève et associé, rejoint la régie lors de l’ouverture de ces succursales
42
Collaborateurs
72
Années d’existence
2
Courtiers·ières en immobiliers
11
Gérants d’immeubles
95 MIO États locatifs sous gestion + 9'500 Objets en gérance
3
Administratrices PPE
+700 lots de copropriétés en gestion
Membre
8
Comptables
+20 +100
Chantiers de rénovation
Développement de projets immobiliers
Services
Gérance
Département historique de Duboux Immobilier, le département Gérance est au cœur des activités de l’entreprise familiale. Que vous soyez un client privé ou institutionnel, ou qu’il s’agisse d’une location commerciale, notre équipe, constituée d’un gérant d’immeubles qualifié et de collaborateurs certifiés, assure une grande réactivité et une communication efficace.
En outre, notre département Finance assure à l’ensemble de nos propriétaires une gestion comptable et juridique extrêmement fiable et juste. Le décompte de gérance peut être fourni de manière trimestrielle, semestrielle ou annuelle. Votre situation peut être consultée sur notre plateforme en ligne et vous pouvez ainsi obtenir des informations en lien avec votre bien immobilier en tout temps.
Courtage
Vendre ou acquérir un bien immobilier est une étape importante dans la vie. Pour vous permettre de réaliser le projet de vos rêves, Duboux Immobilier vous accompagne à chaque étape en vous conseillant les meilleures alternatives.
Nous mettons un point d’honneur à personnaliser notre accompagnement en prenant le temps de connaître vos besoins, vos envies et vos attentes. Petit appartement ou bien de luxe, nous traitons chaque mandat avec diligence et professionnalisme.
Développement immobilier
Administration de PPE
L’administration d’immeubles constitués en PPE exige du savoir-faire, de la rigueur et de la précision, mais également une dose certaine de patience et de sensibilité ! Notre mission est d’écouter, réunir et guider tous les copropriétaires afin de vous permettre de prendre ensemble les bonnes décisions, tout en maintenant une bonne harmonie au sein de la copropriété. Une bonne gestion de PPE passe également par une parfaite tenue de la comptabilité. Grâce à une collaboration étroite avec le département Finance, nous vous garantissons une totale maîtrise et transparence de la gestion de votre patrimoine.
Rénovation
Notre département Rénovation a une vision globale et transversale de l’activité immobilière, ce qui nous permet d’établir des propositions innovantes à notre clientèle.
Nous proposons notamment les prestations suivantes :
• Une expertise immobilière incluant une analyse des biens et une proposition de plan financier
• L’élaboration de planifications de travaux
• Des propositions d’améliorations au niveau énergétique
• Des rénovations partielles et complètes d’appartements et de surfaces commerciales
• La direction et supervision des travaux
Notre département « Développement immobilier » s’adresse à nos partenaires privés et institutionnels. Il a pour mission de rechercher des terrains disponibles pour la construction de villas, de logements PPE ou de logements locatifs, ainsi que d’identifier des biens immobiliers nécessitant des rénovations ou une mise en valeur.
Que vous soyez un investisseur cherchant à maximiser le rendement de votre investissement, un promoteur immobilier à la recherche de nouveaux terrains ou un propriétaire foncier désireux de valoriser votre bien, nous sommes là pour vous accompagner à chaque étape du processus.
Nos services comprennent :
• Études de marché approfondies
• Analyse de faisabilité
• Prospection auprès de différents instituts de financement
• Conception et planification
• Gestion de projet
• Commercialisation et vente
Nos succursales
Lausanne Siège
Rue du Petit-Chêne 26
Case postale 465
CH – 1001 Lausanne
T. Gérance
+41 (0) 21 321 50 70 lausanne@regieduboux.ch
T. Courtage
+41 (0) 21 321 90 40 courtage@regieduboux.ch
Horaires d’ouverture lu-ve
8:00-12:00 / 13:30-16:30
Horaires téléphoniques
8:30-11:30 / 14:00-16h00
La Côte
Route de la Vallée 7
CH – 1180 Rolle
T. +41 (0) 21 321 90 70 lacote@regieduboux.ch
Horaires d’ouverture lu-ve
Sur rendez-vous uniquement
Horaires téléphoniques
8:30-11:30 / 14:00-16h00
Avenue de la Gare 17
CH – 1800 Vevey
T. +41 (0) 21 961 98 30 riviera@regieduboux.ch
Horaires d’ouverture lu-ve
8:00-12:00 / 13:30-16:30
Horaires téléphoniques
8:30-11:30 / 14:00-16h00
Genève
Route Suisse 15
Rue des Dissidents 4
CH – 1290 Versoix
T. +41 (0) 22 775 01 50 geneve@regieduboux.ch
Horaires d’ouverture lu-ve
8:00-12:00 / 13:30-16:30
Horaires téléphoniques
8:30-11:30 / 14:00-16h00
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Des idées pour votre nouvelle cuisine ?
Vous en trouverez dans l’une de nos nombreuses expositions en Suisse. sabag.ch