Découvrez la magie hivernale: nature, confort et activités uniques vous attendent !
Un regard unique sur la saison et ses traditions avec Jérôme de Warzée.
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Adoptez une alimentation responsable pour un avenir durable
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Plongez dans l’histoire et les saveurs uniques d’un fromage d’exception !
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Introduction
Avec 360.000 followers, l’influenceuse Nora Dumoulin, alias Noracontetout, connaît un franc succès sur les réseaux sociaux, dont les contenus sont centrés sur la rénovation et le do-it-yourself. Voici ses conseils pour un hiver chaleureux.
Texte : Philippe Van Lil
L’hiver, ça évoque quoi pour vous ?
Noracontetout : « Tout d’abord la neige, vu que j’habite dans les Ardennes ! Ensuite les moments douillets, bien au chaud sous une couverture devant un film. Je me rappelle particulièrement les matins de Noël de ma jeunesse, quand on se levait tôt le matin pour aller déballer les cadeaux posés sous le sapin. Aujourd’hui, en hiver, j’adore me balader dans ma région, autour de Malmedy, dont les paysages sont incroyables, ainsi que flâner dans de grandes villes comme Bruxelles, dont j’apprécie les marchés de Noël, les illuminations et les décorations. »
Quels conseils donnez-vous en termes de cadeaux de fin d’année ?
N. : « À titre personnel, j’essaye toujours d’offrir des choses utiles pour le quotidien, plutôt que des objets qui finiront au fond d’un placard, ou alors de quoi vivre une expérience hors de l’ordinaire, comme des places pour un spectacle. Si l’on ne connaît pas bien la personne, on peut toujours se renseigner auprès de son entourage. »
Nora Dumoulin
ALIAS NORACONTETOUT INFLUENCEUSE
Vous êtes aussi férue de cadeaux que l’on faits soi-même…
N. : « En effet ! Ils montrent qu’on cherche à faire plaisir à quelqu’un en donnant de sa personne. En plus, ça ne coûte pas forcément très cher. On peut faire des biscuits ou offrir les ingrédients pour les réaliser. L’an dernier, en guise de cadeau, j’avais offert à une personne un beau bocal dans lequel j’avais placé de la farine, du sucre et d’autres ingrédients secs, ainsi qu’une recette comprenant entre autres les éléments à ajouter.
J’offre aussi parfois des cosmétiques ou des objets tels que des bougeoirs, des miroirs et des vases, tous réalisés par mes soins. » ■
Pour les confectionner, des vidéos montrent toutes les étapes sur mes réseaux : www.noracontetout.com
@noracontetout
Évasion nature
Explorez un écrin de nature où détente et aventure se rencontrent.
Le goût d’exception livré chez vous avec votre artisan boucher local.
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Un hiver douillet et créatif, où chaque cadeau fait maison raconte une histoire. fr.planet-lifestyle.be
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Philippe Van Lil
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D/2024/12.996/31
La 24e édition de « Liège, Cité de Noël » se tient jusqu’au 4 janvier prochain. Pas moins de 2 millions de visiteurs se pressent chaque année à ce qui est bien plus qu’un simple marché de Noël. Avec ses quelque 200 chalets, sa grande roue, sa patinoire, sa piste de luge, sa pyramide de Noël, ses soirées DJ et ses nombreuses autres animations, la Cité Ardente vous met le feu. Texte: Philippe Van Lil
Un village dans la cité À l’origine du succès des fêtes de fin d’année de la Cité Ardente, on trouve le Village de Noël de Liège. Souvent présenté comme le plus grand et le plus ancien marché de Noël de Belgique, il n’a pas de quoi rougir face à ceux, si populaires, qui se tiennent outre-Rhin. Implanté place Saint-Lambert, il en est déjà à sa 37e édition, désormais organisée par les asbl Enjeu et Le Tournevent. Qui dit village de Noël dit bien entendu chalets, où le flâneur peut acquérir décorations de Noël et cadeaux originaux comme des santons ou des bandes dessinées en liégeois… ou encore déguster des bières de Noël, du vin chaud, des huîtres ou autre foie gras. Outre ce village, l’une des originalités de « Liège, Cité de Noël » est de s’étendre le long de rues et de places où se dressent entre autres une mairie, une église et un bureau de poste spécialement dédicacés à l’événement.
Il dispose même de son propre Conseil Villageois, composé d’un mayeur et d’échevins. Ce n’est évidemment pas tout. Sous l’impulsion de l’échevine du Développement économique de la Ville de Liège, Maggy Yerna, le millésime 2024 du Village déborde de créativité. Ainsi, devant l’Opéra, le traineau du Père Noël attend les plus petits, tandis que l’église Saint-Remacle toute proche abrite l’exposition « Crèches et santons provençaux », un hommage émouvant à nos traditions les plus chères.
Autre fait marquant : pour la première fois à Liège, une pyramide de Noël, dressée place du Marché, marque le paysage du haut de ses 12 mètres. Cette tradition médiévale nous vient tout droit d’Allemagne, où elle tend à remplacer le fameux grand sapin. En matière d’altitude, ne manquez pas non plus la Grande Roue du Village qui dépasse les 40 mètres de hauteur.
Des animations à gogo
Liège, où la magie de Noël prend vie.
Les amoureux de la glisse ne sont pas en reste : la Piste de Luge de Châtel permet de se divertir dans une atmosphère montagnarde, tandis que la Patinoire de Noël de la Place de la Cathédrale peut accueillir un grand nombre de personnes sur son immense superficie couverte de 540 m². À noter que les chalets qui entourent la patinoire nous invitent à une pause conviviale, qu’elle soit gourmande ou autour d’un verre. Votre sport à vous, c’est plutôt le déhanché du bassin ? Aucun souci : une série de soirées musicales et DJ vous mettront des fourmis dans les jambes, dont la soirée de clôture le samedi 4 janvier avec le groupe de reprises « La bande à Lolo ». Mentionnons aussi le magnifique spectacle familial du Petit Prince de Noël. Il se déroule dans la cathédrale Saint-Paul du 13 au 19 décembre. Œuvre de Luc Petit et des Nocturnales, il met en scène danseurs, charmeurs, acrobates, mages et comédiens pour conter l’histoire d’un petit bonhomme aux cheveux d’or, qui s’inspire bien sûr du récit d’Antoine de Saint-Exupéry.
Toute la ville en fête
On ne vous a offert ici qu’un aperçu des festivités. Pour retrouver tout le programme, rendez-vous sur www.villagedenoel.be
Toute cette ambiance festive ne reste pas circonscrite au centre de la métropole. Outre les illuminations particulièrement soignées de l’hôtel de ville et de la rue Feronstrée - la grande artère commerçante -, des décorations ornent les façades de bâtiments emblématiques situés dans toute la ville. C’est ici l’occasion idéale de redécouvrir des quartiers un peu plus excentrés comme Angleur, Chênée, Grivegnée, Jupille et bien d’autres. Cet air de fête sera d’ailleurs rendu encore plus palpable avec l’ouverture exceptionnelle des commerces les deux dimanches avant Noël. ■
Au cœur de la Wallonie, sur les communes de Froidchapelle et Cerfontaine, les Lacs de l’Eau d’Heure ont su s’imposer comme la première destination touristique de la région. Thibaut Dispa, Directeur général, nous expose ce que le domaine nous réserve en cette saison.
Texte: Philippe Van Lil
1.800 hectares d’étendue
Cela peut paraître surprenant, mais les plus grands lacs de Belgique sont une création plutôt récente. En effet, les 600 ha de plans d’eau du site de l’Eau d’Heure sont apparus au début des années 70. Il s’agissait alors de trouver une solution pour réguler le niveau de la Sambre durant la saison sèche. « La réalisation de deux barrages, trois pré-barrages et cinq lacs avait pour but d’assurer le passage des péniches et de prévenir la pollution des zones urbaines. Il y avait vraiment des objectifs environnementaux », observe Thibaut Dispa. À cet égard, on notera que de nos jours, la centrale hydroélectrique de la Plate Taille permet également de fournir le pays en énergie décarbonée.
C’est à la fin des années 80 que les décideurs locaux ont pris conscience du potentiel touristique du site.
Une parenthèse de calme et de découvertes.
Les activités nautiques y sont alors devenues une attraction majeure. En haute saison, de mai à octobre, on peut aujourd’hui pratiquer, le long des 70 km de berges, la planche à voile, le kayak, la voile, le bateau à moteur et le jet-ski. Outre les plans d’eau, les 1.800 ha du domaine comptent aussi un tiers de forêts et un tiers de prairies, un vrai plaisir pour les randonneurs et les sportifs.
Enfin, depuis les années 2000, le domaine attire, en plus des touristes d’un jour, des personnes qui y viennent pour plusieurs jours, notamment dans ses centres de vacances actifs tout au long de l’année.
Des activités outdoor et indoor
En hiver, les activités ne manquent pas. En extérieur, outre le golf, huit itinéraires de balades de longueurs différentes peuvent être parcourus à pied ou à vélo. Si le chemin du Chevreuil ne fait que 3 km, la promenade qui fait la boucle autour de l’Eau d’Heure en compte plus de 20. Au total, plus de 100 km de sentiers sont à votre disposition. « Des visites en compagnie de guides nature permettent également de découvrir la faune et la flore locales », précise notre interlocuteur.
En intérieur, il y a aussi de quoi faire. Ne manquez pas notamment la visite guidée du barrage de la Plate Taille, le plus haut ouvrage de Belgique. Au départ du centre d’accueil, on pénètre dans les entrailles de l’installation, avant de visiter la salle des maquettes, l’auditorium, puis la salle des machines. La visite se
termine au sommet de la tour panoramique, qui culmine à 107 mètres. « Le domaine accueille en outre un laser game et des escape rooms, sans oublier les deux centres wellness », s’enthousiasme Thibaut Dispa. « On peut y profiter de bains, de saunas, de massages et de toutes sortes de soins. »
La saison idéale pour un peu de quiétude
Côté hébergements, vous avez l’embarras du choix : hôtel, gîtes, villages de vacances… Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. L’hôtel et les villages de vacances sont implantés dans un cadre idyllique au bord des lacs, à quelques minutes des forêts et des plans d’eau. Les gîtes, eux, se situent un peu plus en retrait. « On peut très bien passer une journée autour des lacs et s’y faire une balade nature, puis aller visiter d’autres sites touristiques dans la région », souligne le directeur général.
Un havre de paix au cœur de la Wallonie pour se ressourcer toute l’année.
Les services de restauration sont tout également variés et accueillants. Friteries, sandwicheries, pizzerias, rôtisseries… le visiteur ne reste pas… sur sa faim ! Les gourmets ne manqueront pas de se régaler des produits du terroir dans le restaurant bistronomique du domaine. « L’avantage de venir en cette saison est de pouvoir bénéficier de la quiétude des lieux. C’est le moment idéal pour venir se ressourcer », conclut Thibaut Dispa. ■
Pour planifier votre prochain séjour, rendez-vous sur lacsdeleaudheure.be
Le long du parcours des Plaisirs d’Hiver, venez vous réchauffer et profiter de l’ambiance de VIAGE. Dans ce temple du divertissement situé au cœur du piétonnier bruxellois, vous vivrez une expérience unique où la magie de Noël opère vraiment.
Texte : Philippe Van Lil
Espaces de jeux, concerts, soirées dansantes, diners spectacles, restaurant de qualité, bars, événements B2B… VIAGE est bien connu des Bruxellois pour son ambiance chaleureuse et conviviable. La période des fêtes n’échappe pas à la règle : « Une programmation mémorable vous attend. Nous avons mis les petits plats dans les grands, avec des
artistes bruxellois et internationaux, des live shows et des soirées thématiques pour Noël et Nouvel An », se réjouit Siham Makrache, Directrice Marketing & Communication.
Vivez la magie de Noël au cœur du temple du divertissement !
Un voyage festif entre concerts, soirées et délices gastronomiques Les vendredi 13 et 20 décembre, de 21h à 2h du matin, auront lieu les soirées festives Winter Wonderland. Elles vous feront découvrir les tubes
de Noël interprétés par des groupes en direct, mais aussi des artistes burlesques et cabaret éblouissants, ainsi qu’un set de l’excellent DJ Oberon. Le tout sera agrémenté de nourriture, de boissons et de la présence … du Père Noël - le vrai ! - et de ses anges. Emerveillement garanti ! Épinglons aussi le concert d’Aberdeen le 13 décembre. Ce groupe nous fait revivre fidèlement le répertoire de Nirvana, avec la même énergie et la même passion que le trio légendaire, en interprétant ses plus grands succès. Ne manquez surtout pas non plus la soirée du Nouvel An en mode menu gastronomique 5
services façon Las Vegas, suivi d’une soirée dansante endiablée.
VIAGE aux Plaisirs d’Hiver, c’est encore bien d’autres choses sur ses 14.000 m² de divertissement : sa superbe façade décorée de fleurs pour l’occasion, son Rooftop Winter Bar avec vue sur la capitale ou encore le chalet d’altitude. Le mieux est de venir découvrir tout cela de vos propres yeux, seuls, avec des amis ou en famille. ■
Pour plus d’informations : Viage.be/fr
À seulement 35 minutes en train de Bruxelles, Lille constitue une destination touristique de choix. La période hivernale regorge d’événements, sans oublier les grands classiques de la ville. Voici notre sélection. Texte: Philippe Van Lil
Village de Noël
Au cœur de la ville, le village de Noël de la place Rihour est un incontournable des fêtes de fin d’année. Cet hiver, il accueille plus de 50 artisans de la région, permettant aux touristes d’acquérir des cadeaux originaux et de déguster des spécialités locales. Les plus petits apprécieront également de pouvoir prendre des photos avec le Père Noël. Ne manquez pas non plus de monter sur la Grande Roue pour jouir d’un panorama somptueux.
Patrimoine architectural
La capitale des Flandres peut s’enorgueillir de posséder un patrimoine architectural de tout premier plan. Mis en valeur par la douce lumière
hivernale, cet héritage est particulièrement visible autour de la GrandPlace et du quartier du Vieux-Lille.
La ville jouit aussi de chefs-d’œuvre plus récents, comme le Beffroi de l’Hôtel de ville. Pour les amateurs d’architecture militaire, un passage par la citadelle Vauban s’impose.
Vie culturelle
La métropole abrite une multitude d’institutions culturelles de premier plan, avec un événement exceptionnel en ce moment : l’expo de la plupart des dessins du peintre Raphaël au Palais des Beaux-Arts. A Roubaix, l’impressionnant Musée de la Piscine dévoile l’œuvre de l’artiste Jeanne Dodeigne, figure de proue du Groupe de Rou-
baix. Enfin, le festival Lillarious, dédié à l’humour, se déroulera en février.
Lille est aussi une destination idéale pour les gourmets et les gourmands. Des ‘food courts’ fleurissent à travers toute la ville, ainsi des lieux aux noms évocateurs, comme La Friche, Chaud Bouillon, Kitchen Market ou Hall U Need. Une trentaine de micro-brasseries vous attendent aussi pour les petites ou les grandes soifs. ■
Depuis près de 15 ans et fort d’une communauté d’utilisateurs engagés, Coyote est devenu un outil de sécurité routière en temps réel incontournable. Et si bénéficier des services Coyote passe par la souscription d’un abonnement payant, c’est parce que Coyote propose aux automobilistes un éventail de fonctionnalités inédites leur permettant de rouler dans les meilleures conditions. Parmi les alertes les plus singulières, Coyote comprend entre autre, la prévention somnolence, des alertes précises en amont de tous types de perturbations, l’alerte des véhicules fantômes (20 vies sauvées en 2023 !) ou bien la sécurité prédictive, étudiée à l’approche de tous les virages dangereux.
Un tout nouveau boitier Coyote pour très bientôt, l’expérience Coyote inégalée ! Ainsi, même si les données Coyote demeurent anonymisées, les partenariats avec les autorités et partenaires se sont multipliés au cours des dernières années (régions, Police, Gouverneurs, BE-Alert, Ecole de conduite à Mettet, Orange, Infrabel, Be Mobile…) grâce aux datas Coyote qui peuvent aider à mieux décider en matière de mobilité et sécurité routière.
Vincent Hébert, Directeur Général de Coyote Systems Benelux ajoute « la sécurité de nos utilisateurs est notre responsabilité et nous avons vocation à guider les automobilistes, pour une route sans danger en leur garantissant un trajet en toute sérénité. Nous continuerons à aider les automobilistes à rouler prudemment. D’ailleurs je suis heureux de vous annoncer la commercialisation dès le mois novembre 2024, de notre tout nouveau boitier, le Coyote Max, pensé par notre communauté d’utilisateurs et développé par nos ingénieurs »
COYOTE SECURE : un service inédit de récupération de véhicules après-vol Depuis peu et fort de son succès en France (300 000 voitures équipées), Coyote propose en Belgique, une solution unique pour récupérer votre véhicule en cas de vol.
Unique car ce produit est inbrouillable (technologie brevetée Coyote) et non branché (il possède une batterie et peut donc être installé et camouflé à de nombreux endroits au sein des voitures). Le produit Coyote Secure permet de retrouver votre voiture y compris dans les sous-sols ou containers, là où les voleurs habituels de voitures se rendent invisibles avec des produits classiques de géolocalisation.
Comme le précise Vincent Hébert, « Permettre à nos clients de retrouver leurs véhicules volés dans la journée, grâce à Coyote Secure, y compris dans les parkings et sous-sol, est une grande satisfaction pour ces victimes » !
91% des voitures volées sont retrouvées dans les 48h et Coyote vous rembourse votre investissement de produit si votre véhicule n’est pas retrouvé dans le mois !
Tous les produits Coyote sont accessibles sur le site www.coyotesystems.be ou dans les magasins stores Coyote.
Depuis leurs débuts aux Pays-Bas en 1968, les domaines Center Parcs rencontrent un succès jamais démenti. Liesbeth Vandamme, Directrice commerciale pour la Belgique, l’impute à une formule originale qui allie confort moderne et expérience d’immersion dans la nature. La période hivernale réserve aussi bien des surprises.
Texte: Philippe Van Lil
Un concept visionnaire
Le concept des villages de vacances Center Parcs est issu de l’imagination fertile d’un homme d’affaires néerlandais, Piet Derksen. Dès le début des années 60, ce visionnaire avait anticipé l’avènement de la société de loisirs aux Pays-Bas. Dans un premier temps, il ouvrit un magasin d’articles de sports à Rotterdam, le Sporthuis Centrum, avant de s’orienter vers la production de matériel de camping. « Puis, en 1968, il franchit une nouvelle étape en créant un parc de vacances à De Lommerbergen. C’était le premier domaine de loisirs au monde », note Liesbeth Vandamme. Par la suite, d’autres domaines verront le jour, dont celui de ‘De Eemhof’ en 1981, qui deviendra un symbole de la marque, grâce à une innovation : l’Aqua Mundo. « Il s’agit d’un parc aquatique équipé d’une
piscine à vagues, de chutes d’eau et de toboggans. C’est Piet lui-même qui a déterminé la température de l’eau, le type de plantes présentes dans le parc et tout le reste », précise-t-elle. En 1986, la marque « Center Parcs » fait son apparition et commence à s’imposer à l’international. Aujourd’hui, pas moins de 27 domaines accueillent les vacanciers aux Pays-Bas, en Belgique, en France et en Allemagne. Les ingrédients de base sont toujours les mêmes : des sites ouverts toute l’année, un lien privilégie avec un environnement naturel, un confort sans failles, des activités à profusion.
Winter Wonders, des activités de saison palpitantes
L’hiver n’échappe pas à la règle, avec bien entendu ses spécificités. Ainsi, sur le thème des Winter Wonders, le programme est particulièrement alléchant : un atelier de traîneaux de rennes, un atelier chalet d’hiver, une Winter Wonders Route pour découvrir les alentours sous une perspective rafraîchissante éventuellement enneigée, des parades de Noël, etc.
En termes de destinations de saison, notre interlocutrice a ses préférences : « Pour ceux qui désirent une atmosphère montagnarde ou une touche d’aventure, mes coups
de cœur pour se ressourcer en cette période-ci sont le domaine d’Hochsauerland en Westphalie et le Center Parc de Vielsalm dans les Ardennes. »
Se préparer au mieux pour un séjour inoubliable Par ailleurs, toutes les activités qui font la réputation des Center Parcs restent accessibles en cette saison. Les promenades dans la nature environnante, tout comme les activités en intérieur telles que le bowling, sont par exemple de mise. Même chose en ce qui concerne les activités aquatiques, qui constituent souvent l’attraction principale d’une grande partie des visiteurs. « Pouvoir se réchauffer dans la piscine alors qu’il neige dehors, c’est une expérience inoubliable ! », s’enthousiasme Liesbeth Vandamme. Signalons aussi que chaque domaine dispose en plus d’activités spécifiques supplémentaires et les nombreux restaurants permettent chaque fois de se régaler aussi des spécialités locales.
Pour préparer au mieux son séjour, Liesbeth Vandamme recommande d’installer l’application Center Parcs sur son smartphone : « On peut y gérer sa réservation, faire le check-in et réserver des activités. Il y a aussi l’application Digital Nature Discovery, qui permet de faire connaissance avec
Un hiver enchanteur entre nature, confort et aventures inoubliables.
l’environnement naturel du site de manière interactive. » L’appli des Center Parcs permet aussi d’être informé de l’actualité et des nouveautés.
Un nouveau domaine au Danemark
À ce propos, notre interlocutrice soulève déjà un coin du voile : « En août 2025, le premier domaine Center Parcs ouvrira ses portes au Danemark : Nordborg Resort. Il est situé sur l’île d’Als, au sud du pays, près de sa frontière avec l’Allemagne. La région offre des promenades au cœur de forêts magnifiques et le long de côtes sublimes, le tout agrémenté de la découverte de sites historiques incroyables. »
Entièrement dédié à la nature, le domaine comptera 440 cottages avec différents niveaux de luxe, les maisons de vacances Comfort, Premium et VIP offrant le plus haut standing. « Ce sera donc ici une excellente occasion de découvrir de nouveaux horizons, tout en bénéficiant du confort qui caractérise nos séjours », conclut Liesbeth Vandamme. ■
Pour plus d’informations : centerparcs.fr
Lieu de spectacles et d’expositions, le Delta est aussi un lieu de vie et d’échanges implanté au cœur de la province de Namur. En cette période, il nous réserve de belles surprises.
Texte: Philippe Van Lil
■ Marianne Van Hirtum - Dans le cadre des 100 ans du surréalisme, cette poétesse namuroise reconnue, par ailleurs artiste plasticienne à la créativité surprenante, est mise à l’honneur. Toutes ses œuvres sont visibles pour la première fois jusqu’au 26 janvier.
■ La moindre des choses - Cette exposition collective a été créée par des résidents de deux instituts de santé mentale et par des artistes. À voir jusqu’au 26 janvier.
■ Des chimères dans la tête - À la croisée des arts visuels et de la chorégraphie, ce spectacle familial nous plonge dans une histoire d’enfants qui jongle entre fantasmagories, cauchemars et pointes d’humour. Dissimulés derrière le décor, trois interprètes se jouent de la pesanteur pour faire apparaître un bras… une jambe… une main… évoquant des pattes, des ailes, des antennes, bref de belles illusions d’optique. A découvrir le 8 janvier à 20h00.
■ Machine de cirque - Tout droit venu du Québec, ce spectacle nous emporte dans un univers drôle et clownesque. Plus téméraires et touchants les uns que les autres, six personnages manient de main de maître la planche coréenne, les quilles, la batterie…et la serviette de bain ! Rendez-vous le 25 janvier à 20h00.
■ Coline Rio en concert - Figure incontournable de la nouvelle chanson française, cette autrice compositrice française sera présente le 30 janvier au Delta. Une belle occasion d’écouter notamment en live des chansons de son nouvel album, « Ce qui nous lie ».
■ Des ateliers - Le mardi, en alternance, des ateliers créatifs et gratuits permettent de s’essayer à différentes pratiques artistiques,
Professeur Pierre Di Toro
Vous n’aurez pas à attendre les prochaines vacances d’été pour retrouver la dolce vita de la botte italienne. Comme tout au long de l’année, l’Istituto Italiano di Cultura accueille cet hiver les amoureux de la péninsule, de sa culture et de sa langue.
Texte : Philippe Van Lil
« Notre institut a pour mission de promouvoir la langue et la culture italiennes. Ainsi, nous encourageons les échanges et tissons des liens entre l’Italie et la Belgique », nous confie le professeur Pierre Di Toro, Directeur de l’Istituto Italiano di Cultura. Côté langue, la démonstration n’est plus à faire de la belle sonorité de l’italien et de la richesse de
Un lieu de culture, de surprises et de rencontres pour tous les âges.
ou de participer dès fin janvier aux Rendez-vous Nature et Santé en lien avec l’espace potager sur la terrasse panoramique du Delta. Les mercredis, diverses activités sont proposées, comme les jeux d’échecs, du karaoké et du gaming. ■
Plus d’infos sur ces événements : www.ledelta.be
ses œuvres littéraires. Pour l’enseigner, l’institut dispense des cours pour tous les niveaux, des débutants aux pratiquants confirmés. Ils ont lieu une fois par semaine à raison de 3 heures par cours. Côté culture, une centaine d’événements sont organisés chaque année : films les lundis, expositions, concerts, cours de théâtre et de cuisine… « Notre structure entend diffuser la culture italienne sous toutes ses formes. Nous voulons aussi explorer les liens qui existent entre l’Italie et la Belgique dans des domaines aussi variés que la littérature, les arts visuels, la mode et même la technologie. Nous avons particulièrement à cœur de toucher
la communauté italienne de Belgique et de lui donner la chance de renouer avec ses racines. »
Operamus est le dernier projet culturel en date d’envergure de l’institut. Il permettra prochainement à quelque 2.000 enfants d’une vingtaine d’écoles en Belgique de s’initier à la langue de Dante à travers le chant. Au cours des six prochains mois, l’institut orchestrera leurs efforts pour s’approprier les subtilités du bel canto. « Pour ces jeunes, c’est une opportunité inestimable de découvrir à la fois la langue italienne et le monde de l’opéra. L’objectif final de cette démarche ambitieuse est de donner une série de concerts à Bozar », s’enthousiasme Pierre Di Toro. ■
Un voyage vers l’Italie au cœur de Bruxelles, entre langue, art et tradition.
Pour plus d’informations : iicbruxelles.esteri.it/fr
Au cœur de la Belgique, le territoire situé entre Namur et Charleroi regorge de trésors touristiques souvent méconnus. Françoise Carpiaux, Coordinatrice de la maison du tourisme Terra Curiosa, nous en dévoile quelques incontournables.
Texte : Philippe Van Lil
Terra Curiosa… Voilà un nom qui pique notre curiosité. « Il s’agit en réalité de l’appellation de notre maison du tourisme en même temps que du territoire qui couvre les communes de Sombreffe, Gembloux, Sambreville, Jemeppe-sur-Sambre et Floreffe », nous confie Françoise Carpiaux.
Cette destination encore trop méconnue est une étape parfaite pour une escapade en Wallonie. Elle recèle une riche mosaïque de villages ruraux, de campagnes verdoyantes et de nature insoupçonnée avec ses grottes, bois, étangs et rivières. Le visiteur peut découvrir, à pied, à vélo et à dos d’animaux, les 500 km de sentiers qui innervent le territoire. « Le réseau est organisé en un système de points-nœuds pour les cyclistes. Ils peuvent ainsi créer leur propre circuit suivant leurs envies », fait remarquer notre interlocutrice. Bientôt, le même système sera disponible pour les randonnées pédestres,
comme c’est déjà le cas à Sombreffe.
Les férus de découvertes du patrimoine ne seront pas non plus en reste. Ils pourront par exemple se plonger dans l’histoire de l’abbaye de Floreffe ou remonter encore plus loin dans le temps en parcourant les salles de l’Espace de l’Homme de Spy, dédié à notre lointain cousin, l’Homme de Néandertal.
« Cet hiver, le château féodal de Corroy-le-Château accueille, dans son décor préservé, un spectacle immersif intitulé ‘Mystères et Sortilèges’ », relève encore Françoise Carpiaux. Gourmands et gourmets, eux, ne manqueront une halte à la Ferme-Brasse-
Une mosaïque de nature, patrimoine et découvertes au cœur de la Wallonie.
rie de Bertinchamps, où ils pourront en outre déguster l’une des douze variétés de bières proposées.
La région offre encore bien d’autres curiosités, sites incontournables, monuments, parcours mémoriels, musées, activités folkloriques et sportives, sans oublier les produits du terroir et tous les types d’hébergements comme des gites et chambres d’hôtes. ■
Humoriste, chroniqueur, présentateur du Grand Cactus sur la RTBF, mais avant tout auteur, Jérôme de Warzée l’admet sans ambages : « Je ne suis pas le type le plus lifestyle du monde ». Pour nous, il a néanmoins accepté de se livrer à l’exercice sur le thème imposé du jour : l’hiver. Pointes d’humour garanties…
Texte : Philippe Van Lil
Qu’est-ce l’hiver évoque pour vous ?
Jérôme de Warzée : « Ma maman adore tout ce qui est nordique. Pendant des années, elle a d’ailleurs été importatrice de matériel de ski… et, forcément, elle nous a emmenés le plus souvent possible aux sports d’hiver. Mon problème, c’est que quand j’avais 16 ans, alors que nous étions en Suisse et qu’il y avait de basses températures absolument record cette année-là, je me suis gelé quatre doigts… à tel point qu’on a bien failli me les amputer ! Résultat : j’ai passé 15 jours à l’hôpital pour la régénerescence des cellules de mes doigts… et le froid n’est pas l’un de mes meilleurs amis ! »
Avez-vous un lieu de prédilection où vous rendre pendant l’hiver ?
J. D. W. : « Franchement, quand la température passe sous zéro degré… je reste entre quatre murs !
Je suis en outre plutôt un sédentaire ; je n’aime pas trop voyager. De plus, décembre est un mois particulièrement chargé côté travail ; toutes les équipes de la RTBF sont sur le pont pour les émissions de fi n d’année et la reprise de la saison se fait très tôt en janvier. Vu qu’on prépare les émissions 15 jours à l’avance, il m’est déjà arrivé d’avoir des réunions de rédaction… le 1er janvier ! »
Les fêtes approchent… Vous n’oubliez tout de même pas de vous nourrir correctement ?
J. D. W. : « En aucune manière !
D’ailleurs, j’aime passer du temps en cuisine. Cela m’a toujours intéressé depuis mon plus jeune âge. En outre, c’est l’une des rares activités qui parviennent à me calmer. Comme tout bon Belge qui se respecte, je suis un grand fan des plats en sauce. Pour moi, une bonne entrecôte sauce béarnaise, avec des frites bien sûr, ça vaut tous les plats au homard du monde. Le crève-cœur - et aussi le crève-foie ! -, c’est qu’avec l’âge, je dois commencer à faire attention, surtout par rapport au poids. Je ne pourrais plus manger comme je le faisais à 30 ans, sans quoi… je ne pourrais plus sortir de chez moi ! »
Quand la température passe sous zéro, je reste entre quatre murs ! Du temps… c’est tout ce que j’aimerais qu’on m’offre à Noël.
Qu’aimeriez-vous qu’on vous offre à Noël ?
J. D. W. : « Du temps… si possible ! J’aimerais écrire encore plus. Souvent, on a dix projets devant soi, mais pour avancer, on se met toujours à fond sur l’un ou l’autre, tout le reste devant être sans cesse repoussé. Et puis j’aimerais aussi passer plus de temps avec ma fille ; depuis qu’elle est à l’unif, on ne se voit plus que le week-end ou de temps en temps. Enfin, j’aimerais faire du sport… j’en ai vraiment besoin ! Pour le reste, je ne suis pas très matérialiste et on ne peut pas me faire plaisir avec une ‘bonne bouteille’… Je n’ai jamais bu aucun alcool de ma vie ! »
Quels sont vos projets pour 2025 ?
J. D. W. : « Il est un peu tôt pour en parler précisément, mais l’équipe du Grand Cactus travaille sur un gros projet. Je crois que les gens seront un peu surpris quand on le dévoilera… dans le bon sens, je l’espère !
J’aimerais aussi remonter un jour sur scène. Cela fait cinq ans que je ne l’ai plus fait. J’ai un projet scénique sur lequel j’ai travaillé l’été dernier, mais le Grand Cactus et la radio sont très chronophages. Je remonterai sur scène, promis, mais pas avant 2027. J’aimerais aussi écrire une pièce de théâtre, une nouvelle émission de télé, un roman…. Mais bon, il faut savoir raison garder. »
Un mot de conclusion, histoire d’élever encore le débat ?
J. D. W. (s’étouffant de rire) : « Vous seriez bien le premier à compter sur moi pour élever le débat ! Je vous dirais bien qu’en cette période troublée, j’invite les gens à s’aimer les uns les autres. Mais pour moi qui me targue de toujours balancer de l’original, cela n’irait pas… Quelqu’un l’a déjà dit avant moi ! Et je ne voudrais pas qu’on aille encore dire que je me prends pour… Dieu ! » ■
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L’Aquaculture Stewardship Council est une ONG internationale indépendante à but non lucratif. Son objectif est de transformer l’aquaculture conventionelle en un modèle plus durable et plus responsable, pour nourrir la population mondial grandissante.
Les produits de la mer portant le label ASC proviennent d’élevages qui limitent leur impact sur l’eau, la biodiversité et l’environnement, qui respectent leurs employés et tiennent compte des populations locales.
Bien Choisir, c’est L’avenir.
Bien connu pour ses collaborations aux émissions Les ambassadeurs et le 8-9 sur le RTBF en radio et en télé, le cuisinier Julien Lapraille nous livre ses coups de cœur pour un hiver gourmand et gourmet.
Texte : Philippe Van Lil Quels plats privilégiez-vous en hiver ?
Julien Lapraille : « Ce que j’aime avant tout en cette saison, ce sont des plats hyper réconfortants, comme un chicons au gratin, une délicieuse carbonade, un osso buco ou une
bonne choucroute. Au beau milieu de la grisaille de l’hiver et des gens qui tirent parfois un peu trop la tête, ce côté pot-au-feu redonne le sourire aux lèvres, de la convivialité et de la gaieté. Comme toujours, ce qui est important en cuisine, c’est de faire se plaisir dans un esprit de partage. »
Un conseil pour les repas de fêtes ?
J. L. : « Par-dessus tout, faites ce que vous aimez préparer et manger. Ensuite, question de bien accueillir vos hôtes et de passer du temps avec eux, il faut choisir un plat à préparer à l’avance et qu’il n’y aura plus qu’à
réchauffer. Ça ne sert à rien de vous barricader en cuisine toute la soirée ! Ce qui est aussi sympa, j’adore ça, c’est du bon pain, du bon beurre, du bon vin, des plateaux avec des mélanges de tapas, de fromages et autres qu’on pose sur la table et où tout le monde se sert quand il a envie… et hop ! voilà une soirée entourée de nos proches… Pas besoin de chichi ! » ■
Un plat d’exception pour les fêtes
Julien Lapraille nous livre une excellente recette pour nos fêtes de fin d’année : un éventail de tuile de pain, foie gras poêlé mi-cuit et duo pommes/ poires. En voici les Ingrédients pour 2 personnes :
■ 2 tranches foie gras cru
■ 1 feuille laurier, thym
■ 1 pomme, 1 poire
■ 5cl jus pomme, 5cl jus poire
■ 5cl vinaigre cidre
■ 1 c.à.s. de sucre
■ ¼ betterave cuit
■ 2 têtes de chou-fleur
■ 2 fines tranches de pain
■ 1 branche de persil plat
■ fleur de sel, poivre
■ huile olive
■ épices à salade
Pour connaître la préparation de cette succulente recette, scannez le QR Code.
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Disaronno est sans doute la liqueur la plus emblématique de la dolce vita à l’italienne. D’ailleurs, les Belges ne s’y trompent pas, puisqu’ils représentent les plus grands consommateurs par habitant de la boisson lombarde. Entretien avec Grégory Gobbe, Country Manager Belux chez Disaronno.
Une histoire de famille
La première trace de la fabrication de l’amaretto remonte à 1525. Sur une fresque de l’église de Saronno, un disciple de Léonard de Vinci peint la madone, prenant la femme aubergiste comme modèle pour son œuvre ; elle le remercie avec une fiole de liqueur faite par ses soins. Vers 1600, un membre de la famille Reina redécouvre la recette, qui se transmettra désormais de génération en génération.
Aujourd’hui encore, la société qui distille le Disaronno appartient à la même famille et la production a toujours lieu dans le même village de Lombardie.
Il faudra ensuite attendre le début du XXe siècle pour que les Reina, qui possèdent une petite épicerie, commercialisent la première bouteille du précieux liquide. « Aujourd’hui encore, la société qui distille le Disaronno appartient à la même famille et la production a toujours lieu dans le même village de Lombardie », s’enthousiasme Grégory Gobbe. Présente en Belgique depuis longtemps, la marque y assure elle-même la distribution de ses boissons depuis 2020.
L’iconique bouteille carrée, symbole de la marque, apparaît quant à elle dans les années 1970. Elle est le fruit de la collaboration entre la famille Reina et un artisan verrier de Murano, l’île vénitienne répu-
tée pour le savoir-faire de ses sou eurs. « Cette bouteille, c’est un peu l’équivalent du flacon Chanel ; sa silhouette racée est devenue indissociable de notre marque. Par ailleurs, depuis 2013, plusieurs éditions limitées, conçues avec le concours de designers célèbres comme Versace, sont régulièrement proposées aux fidèles », précise notre interlocuteur.
Un goût inimitable
En partie secrète, la recette du Disaronno est composée de noyaux d’abricots et de pêches et d’amandes amères. Ce sont elles qui donnent ce goût inimitable à la boisson. C’est d’ailleurs de là que vient le nom « amaretto », qui signifie « petite amertume » en italien. De leur côté, les noyaux d’abricot apportent une nuance fruitée et un certain équilibre à la liqueur.
Cette bouteille, c’est un peu l’équivalent du flacon Chanel ; sa silhouette racée est devenue indissociable de notre marque.
En 2001, la firme italienne décide de rebaptiser son produit phare « Disaronno Originale » au lieu de « Amaretto Disaronno ». « Pour nous, il s’agissait de nous démarquer face à la concurrence et d’a rmer notre identité », justifie le Country Manager. « Pour aller plus loin dans la démarche, un autre produit a été lancé il y a trois ans :
Disaronno Velvet. Cette liqueur crémeuse à base de lait de Hollande est un produit végan, dont la texture et les arômes sont absolument uniques. »
Conseils de barman
Le Disaronno classique constitue la base de nombreux cocktails. Il permet d’obtenir des boissons plus douces et moins chargées en alcool que, par exemple, des recettes à base de vodka. Parmi les grands classiques, mentionnons le populaire Disaronno Sour, réalisé avec du jus de citron et du blanc d’œuf, ainsi que le Disaronno Fizz, fait avec du jus de citron et de l’eau gazeuse. On peut aussi mélanger cette liqueur avec d’autres alcools. Le Disaronno Disarita, par exemple, s’obtient en ajoutant de la téquila et du jus de citron à la liqueur italienne. Plus innovant, le Disaronno Mule est un mélange de 5cl de Disaronno, de 2 cl de jus de citron frais et d’une Ginger Beer. Comme son illustre prédécesseur, le Disaronno Velvet se prête également à merveille à ce genre de recettes. Seul, on le consomme en long drink, avec de la glace pillée, ou bien ‘on the rocks pour se réchau er lors d’une froide soirée d’hiver. En cocktail, il se révèle délicieux en compagnie de whisky dans le Velvet Godfather, ou dans celui-ci mélangé à de la liqueur Tia Maria et à de la vodka dans le Velvet White Espresso Martini. « De nombreuses autres variations existent bien entendu. Il y en a vraiment pour tous les goûts. Vous trouverez d’ailleurs pas mal de recettes sur notre site », conclut Grégory Gobbe.
Avec une production annuelle de quelque 70.000 tonnes, le Comté est, en termes de volume, la première production fromagère d’appellation d’origine protégée (AOP) de France. Originaire du massif du Jura, il offre une grande diversité de saveurs qui permettent de le déguster dans une série de déclinaisons très variées. Texte: Philippe Van Lil
Le Comté est fabriqué depuis plus de 700 ans dans une zone s’étendant sur quatre départements : le Doubs, le Jura, une partie de l’Ain et quelques communes de la Saône-et-Loire. Dès 1958, il fut l’un des premiers fromages français à se voir octroyer un label AOC - appellation d’origine contrôlée -, modifié en AOP en 1996. Cette reconnaissance traduisait déjà à l’époque son importance économique et culturelle pour ce vaste territoire de l’est de l’Hexagone.
400 litres de lait par meule À l’origine, le Comté était un moyen de conservation du lait autant qu’une spécialité gastronomique. La plupart des paysans ne pouvant entretenir que quelques vaches, ils mutualisaient leurs efforts en amenant leur petite production dans une fromagerie - une fruitière, selon le terme local, puisqu’on y amenait le fruit de sa production. Celle-ci était ensuite mise en commun pour produire de grandes meules de Comté. Chaque meule ne nécessite pas moins de 400 litres de lait. Selon les exigences reprises dans le cahier des charges AOP, ce lait ne peut provenir que de cette seule zone géographique. Il ne peut en outre être produit que par des vaches de races locales - la montbéliarde et la simmental française -, nourries uniquement d’herbe fraîche en belle saison et de foin récolté dans les prairies locales en hiver. Aucun ensilage et aucune utilisation d’OGM ne sont tolérés.
La tradition perdure de nos jours et ce sont 2.400 exploitations agricoles qui livrent leur lait aux 140 fruitières réparties sur tout le territoire. Pour exprimer au mieux la
diversité des terroirs, la zone de collecte de chaque fruitière est limitée à un cercle de 25 km de diamètre. Le maître fromager travaille le lait tous les jours selon les savoir-faire traditionnels, notamment dans des cuves de cuivre ouvertes. Chaque meule fabriquée porte une plaque d’identification. Elle est ensuite confiée aux soins des maisons d’affinage, une quinzaine sur le Massif, pendant quatre mois minimum, jusqu’à 24 mois voire plus.
Une infinité de nuances gustatives
Diversité des terroirs, tour de main unique des maîtres fromagers et savoir-faire des affineurs sont autant d’éléments qui vont apporter aux dégustateurs que nous sommes une infinité de nuances gustatives. Certains seront séduits par des Comté plus jeunes, avec un goût plus lactique et plus beurré. D’autres préféreront des fromages aux saveurs plus puissantes, plus fruitées ou même avec une note plus animale.
Fromage à pâte pressée, le Comté se découpe aisément… ce qui est plus facile à manipuler qu’une meule complète, qui avoisine les 40 kilos ! Il a toute sa place sur un plateau de fromages, mais sera aussi un ingrédient de choix dans de nombreuses recettes.
Un fromage où tradition et savoir-faire révèlent une richesse infinie de saveurs.
S’il s’apprécie en cubes à l’apéro avec une vaste gamme de boissons - jus de fruits, vins, spiritueux ou même une bonne trappiste d’Orval ou de Chimay -, une tranche de Comté jeune sera aussi un délice au petit-déjeuner, relevé d’une touche de miel, sur une tartine. On peut le découper en cubes pour relever une salade ou l’intégrer à une bonne fondue entre amis. Il est enfin souverain dans l’accompagnement de plats de poissons et crustacés. Cette diversité d’utilisation plaît aux gourmands et aux gourmets ! C’est ainsi que plusieurs Chefs belges et stars des réseaux sociaux se sont récemment amusés à créer des recettes inédites avec du Comté. Des menus exclusifs « Sorry not sorry » à découvrir dans plusieurs restaurants partenaires tout au long de l’année, mais à retrouver aussi sur leur site belge - comté. be - pour les reproduire à domicile. ■
Pour plus d’informations : Comte.be/fr
Valable du 18/11/2024 au 23/12/2024
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« Nouveaux épisodes et sets LEGO® DREAMZzz™ : L’aventure continue ! »
◼ Les nouvelles aventures de LEGO DREAMZzz arrivent avec de nouveaux épisodes captivants de la série et des sets de construction encore plus fascinants. La série, qui raconte les exploits de Mateo, Izzie, Cooper, Logan et Zoey dans un monde où les rêves prennent vie, est désormais accompagnée de nouvelles aventures. Ces épisodes palpitants montrent comment les héros a rontent les Chevaliers des Cauchemars, apportant des moments de suspense et d’émotion aux jeunes téléspectateurs.
Mais les enfants ne s’arrêtent pas à regarder, ils peuvent aussi devenir acteurs de l’histoire grâce aux nouveaux sets LEGO DREAMZzz. Ces sets inspirés des personnages et des scènes de la série permettent aux enfants de créer leur propre version du monde onirique. En construisant des véhicules et des créatures fantastiques, les jeunes bâtisseurs peuvent recréer leurs
scènes préférées ou inventer de nouvelles aventures. Par exemple, le van tortue de Mme Castillo ou le bus de l’espace de M. Oz sont des constructions magiques qui o rent des heures de jeu créatif.
Ces sets ne se contentent pas de divertir, ils encouragent également les enfants à utiliser leur imagination pour inventer des histoires uniques et stimulent leur développement créatif. En plus du plaisir de construction, ces jeux sont conçus pour favoriser un meilleur sommeil, en transformant l’expérience de jeu en un moment de détente.
Destinées aux enfants dès 6 ans, les sets LEGO DREAMZzz leur o rent la possibilité de plonger dans un univers où leurs rêves prennent vie. Grâce à des instructions de montage ludiques et accessibles, les jeunes constructeurs peuvent explorer sans limite les possibilités infinies du monde de LEGO DREAMZzz.
Que ce soit pour reproduire les aventures de la série ou inventer de nouvelles histoires, ces sets sont une invitation à libérer la créativité, à rêver et à jouer, tout en vivant des moments magiques avec les personnages de la série. L’aventure est à portée de main !
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L’humidité est un problème souvent sous-estimé, mais ses conséquences peuvent être graves, tant pour la santé des occupants que pour la durabilité des bâtiments. Adopter des solutions expertes pour identifier et traiter ce problème est essentiel pour préserver un environnement sain et protéger la valeur de son habitation.
Les conséquences de l’humidité
❙ Impact sur la santé : Les environnements humides favorisent le développement de moisissures et champignons, qui libèrent des spores et des toxines dans l’air. Ces polluants peuvent provoquer des allergies, de l’asthme ou d’autres troubles respiratoires, affectant particulièrement les enfants, les personnes âgées et les individus sensibles.
L’humidité maîtrisée garantit un habitat sain et durable.
❙ Détérioration des bâtiments : L’humidité s’infiltre dans les matériaux poreux des structures, causant gonflements, fissures et cloques sur les murs, plafonds ou sols. Si elle n’est pas traitée, elle peut affaiblir durablement les fondations et entraîner des coûts de réparation élevés.
❙ Conséquences économiques : Outre les frais de réparation, une maison humide consomme davantage d’énergie, car l’air refroidi nécessite un chauffage accru. Cela se traduit par des factures énergétiques plus élevées.
Les solutions professionnelles pour contrôler l’humidité
❙ Identification précise des causes :
Une analyse approfondie permet de détecter l’origine de l’humidité : infiltrations, remontées capillaires,
Des solutions expertes pour un habitat sain et durable.
ventilation insuffisante ou surisolation. Ce diagnostic est crucial pour apporter une solution adaptée à chaque situation.
❙ Le traitement de l’air :
Un air sain est crucial. L’installation de centrales de traitement de l’air, comme celles que Murprotec offre, permet d’assurer une circulation d’air frais. En plus d’assainir
l’air intérieur, ces systèmes contribuent également à prévenir la formation de moisissures.
❙ Imperméabilisation des sous-sols :
Par le biais de techniques comme le drainage et le cuvelage, Murprotec s’assure que les sous-sols restent secs, évitant ainsi les infiltrations et les dégâts d’eau.
❙ Traitement des murs par injection :
Murprotec utilise des techniques d’injection d’une émulsion, exclusivement produite par l’entreprise, sous pression spécifique pour traiter de manière radicale et définitive l’humidité ascensionnelle.
❙ Maintenance et suivi à long terme :
Enfin, après le traitement, Murprotec offre des interventions qui garantissent une tranquillité d’esprit pouvant durer jusqu’à 30 ans. Ils assurent également un service après-vente efficace, témoignant de leur engagement envers la qualité et la satisfaction de leurs clients.
Chaque habitation étant unique, Murprotec propose des diagnostics gratuits afin de fournir des solutions sur mesure adaptées aux besoins spécifiques de chaque client. L’humidité dans une maison peut entraîner des conséquences graves et variées, mais avec les solutions adéquates de Murprotec, il est possible de transformer un environnement humide en un espace sain et durable. En optant pour des interventions appropriées, les propriétaires peuvent non seulement améliorer la qualité de vie des occupants, mais aussi préserver la valeur et la sécurité de leur bien immobilier. Ne sous-estimez jamais l’importance de gérer proactivement l’humidité pour garantir un foyer sain et sécurisé. ■
Le chauffage aux bûches fournit plus de 60 % de l’énergie renouvelable en Wallonie. Afin de s’en servir de manière optimale et en respectant l’environnement, voici quelques conseils de base de Ludovic Charloteaux, Chargé de projet Bois-Énergie pour la campagne de sensibilisation « La Maîtrise du feu ».
Texte : Philippe Van Lil
Bois naturel et sec - N’utilisez que du bois naturel comme bois de chauffage. Proscrivez les matériaux de récupérations tels que de vieux meubles recouverts de colles, de vernis ou de peinture. Choisissez aussi un bois bien sec contenant moins de 20 % d’humidité. Rien de plus facile
à vérifier : tapez deux bûches l’une contre l’autre ; si ça sonne creux, on peut s’en servir sans problème.
Poêle moderne - Utilisez un poêle moderne, dont la puissance est adaptée à la surface de votre domicile. Évitez les anciens modèles à foyer ouvert. Préférez-leur les poêles disposant de deux arrivés d’air, car l’air secondaire introduit au centre de la chambre de combustion permet de brûler tous les gaz et les particules imbrûlées. Ceci réduit la pollution de l’air.
Allumage inversé - Cette pratique consiste à organiser sa pile de bûches dans le poêle, en plaçant les plus grosses en dessous, les moyennes au milieu et les plus petites tout en haut.
On démarre alors le foyer avec un allume-feu naturel placé au sommet. Le combustible se consume ensuite de haut en bas ; la flamme purifie ainsi les gaz remontant vers la cheminée en les brûlant une seconde fois. Efficace et écologique !
Entretien - L’entretien du poêle est primordial. Pour une combustion optimale, il doit être parfaitement étanche. Vérifiez donc minutieuse-
Découvrez le confort ultime d’un poêle à bois ou à pellets. Les flammes enchanteresses apportent non seulement de l’ambiance dans votre maison, mais aussi du confort et de la sécurité. Avec la dernière génération de poêles, vous bénéficierez d’une chaleur efficace et respectueuse de l’environnement grâce à de très faibles émissions - tout est prêt pour l’avenir !
Économisez sur vos coûts énergétiques avec le bois ou les pellets, l’un des combustibles les plus économiques. Ne soyez pas victime de l’augmentation des factures d’énergie ou d’une éventuelle panne de courant, restez maître de votre chauffage. Qu’il s’agisse d’une froide soirée d’hiver ou d’une fraîche journée de printemps, votre poêle est toujours prêt.
Rendez votre maison encore plus chaleureuse, au sens propre comme au sens figuré, avec un poêle qui convient à votre style et à votre portefeuille. Choisissez la liberté, l’atmosphère et la durabilité dès aujourd’hui. Laissez les flammes danser, FIRE UP LIFE.
Chauffer son foyer, c’est aussi respecter l’environnement : adoptez les bons gestes avec le bois !
ment les joints au début de la saison de chauffe. En outre, faites ramoner le conduit de cheminée au moins une fois par an. Bien qu’il n’existe aucune obligation légale en la matière, il est plus prudent de faire appel à un professionnel. ■
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