Ma Famille

Ma famille

Les aidants-proches, ces héros méconnus du quotidien.

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Acide folique en début de grossesse : pourquoi est-ce un must ?

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Un colis repas savoureux à l’ancrage local.

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« La recherche de l’équilibre est primordiale »

Concilier travail, enfants, vie de couple et vie de femme : Sandrine Corman se raconte.

Ritournelle, un spectacle qui évoque avec justesse, émotions, force et espérance l’itinéraire d’un enfant de l’aide à la jeunesse.

Retrouvez-nous le 2, 3 et 18 avril à Woluwé, Liège et Nivelles !

Soutenu pour la fédération des services d’accompagnement

Depuis plus de 100 ans, la Ligue des familles vous défend

Analyser régulièrement les besoins des parents et porter leur voix, c’est la mission que s’est donnée la Ligue des familles. Et pour Madeleine Guyot, sa Directrice Générale, « comme ils le savent mieux que nous, elle est loin d’être finie ».

Madeleine Guyot

DIRECTRICE GÉNÉRALE

DE LA LIGUE DES FAMILLES

Si des évolutions positives peuvent être notées, la Belgique n’est pas la meilleure élève en matière de parentalité !

Si des évolutions positives peuvent être notées, comme l’allongement du congé de paternité (passé de 2 à 4 semaines grâce au travail de la Ligue), la Belgique n’est pas la meilleure élève en matière de parentalité ! Un congé de maternité le plus court d’Europe, un manque criant de places en crèche, une école trop coûteuse sont autant de manquements qui mettent les parents toujours un peu plus en difficultés. Une récente étude mondiale indique que nous sommes au top 3 des pays qui présentent un taux aigu de parents en burn out parental, c’est dire…

Afin de rester informés de vos préoccupations, nous réalisons tous les deux ans le baromètre des parents. De ses résultats (disponibles fin mars 2024) découlent nos revendications. Nous veillons à considérer tant un grand nombre de parents qu’un nombre plus restreint, comme dans le cas des familles endeuillées ou du transport scolaire des enfants en situation de handicap.

Relayer vos difficultés auprès des responsables politiques est notre boulot. Agir concrètement en votre faveur tient de leur responsabilité, et ils doivent le faire de manière concer-

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Compléments alimentaires

L’acide folique, un must en début de grossesse.

tée. La Fédération Wallonie-Bruxelles est concernée au premier chef par la pénurie des places en crèche ou par la gratuité scolaire. Mais être parent dépend aussi d’une meilleure conciliation vie familiale – vie professionnelle grâce à un congé parental mieux rémunéré, ce qui dépend ici de nos

Nous avons à coeur de rappeler aux différentes autorités politiques qu’elles sont toutes concernées par la queston de la parentalité.

politiques fédérales. Les Régions sont elles aussi concernées quand il s’agit de mobilité et d’amélioration des espaces publics ou encore d’infrastructures pour les milieux d’accueil. Nous avons donc à cœur de leur rappeler qu’ils sont tous concernés par les enjeux de parentalité. Pour nous aider à continuer de vous défendre, nous avons besoin de vous. Alors n’hésitez pas, contactez-nous et affiliez-vous ! ■

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Loisirs

Les Lacs de l’Eau d’Heure, entre sport et nature.

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D/2024/12.996/9

Les aidants-proches, ces héros méconnus du quotidien

Hospitalisations plus courtes, maintien à domicile des aînés… De telles mesures permettent certes des économies, mais les proches en payent souvent les conséquences. Entretien avec Maxime Delaite, Directeur de l’ASBL Aidants Proches, une association qui cherche à aider… ceux qui aident.

Texte : Philippe Van Lil

Toute personne venant en aide, hors d’un cadre rémunéré, à quelqu’un en perte d’autonomie peut être considéré comme un aidant-proche. « En Belgique, plus d’un million de personnes sont dans un tel cas, soit

12,2 % de la population. Résultat des politiques publiques actuelles, le soutien aux personnes malades ou invalides incombe de plus en plus à leurs proches », estime Maxime Delaite. Malgré leur dévouement, beaucoup d’aidants-proches se retrouvent isolés. « C’est en particulier le cas des femmes qui doivent à la fois prendre soin d’un parent malade, de leurs enfants… et travailler ! Ces personnes finissent par s’épuiser. » Pourtant, des dispositions légales existent. « La loi prévoit que les aidants-proches peuvent être reconnus officiellement comme tels et qu’ils ont la possibilité de prendre

un congé de 3 mois maximum lié à cette reconnaissance. Le problème, c’est que beaucoup de personnes qui pourraient y prétendre ne sont pas suffisamment informées de l’existence de ce dispositif. Qui plus est, les demandes doivent passer par les mutuelles, qui sont débordées, et les démarches prennent du temps. »

L’ASBL Aidants Proches tente de remédier à ce manque de visibilité. « Nous visons trois publics : les aidants-proches, pour lesquels nous mettons entre autres une permanence téléphonique à disposition (081.30.30.32) ; les professionnels,

Partir en vacances avec son chien : quelle destination choisir ?

Vous partez en vacances et désirez emmener votre chien avec vous ?

Floriane Brackx, Directrice de l’asbl Sans Collier, nous livre quelques conseils de base et des destinations européennes enclines à accueillir votre animal de compagnie dans les meilleures conditions.

Texte : Philippe Van Lil

Comme le rappelle Floriane Brackx, « avant de partir en vacances, la première chose à faire est d’aller voir un vétérinaire pour un check-up de la santé de son animal. Ceci permet de s’assurer qu’il est en ordre de vaccination par rapport au pays de destination et de lui préparer une petite trousse de secours spécifique. Il faut aussi vérifier si le chien est bien identifié, notamment grâce à sa puce qui doit être référencée au nom du propriétaire. »

Côté destinations, notre interlocutrice privilégie, pour le bien-être de l’animal des endroits où l’on peut se rendre en voiture ou en train. Pour elle, l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Italie sont les trois pays les plus « dog-friendly ». Ses coups de coups de cœur : la côte amalfitaine en Italie, qui dispose de de nombreuses plages autorisées aux chiens ; les Highlands en Écosse, appréciées pour ses vastes étendues de landes sauvages, ses lochs scintillants et ses montagnes majestueuses ; la Forêt-Noire en Allemagne, qui abrite un grand nombre de randonnées accessibles aux chiens. Il est également essentiel de disposer d’un logement qui accepte les chiens. « Il est facile d’en trouver un. Il suffit de mettre un filtre dans la barre de recherche de certains sites internet, comme Booking.com ou Airbnb, ou de taper ‘hôtels acceptant

En Belgique, plus d’un million de personnes peuvent être considérées comme aidantsproches, soit 12,2 % de la population.

que nous sensibilisons, formons et accompagnons dans leurs projets ; les personnalités politiques et des corps intermédiaires comme les mutuelles et les syndicats, à l’égard desquelles nous faisons du lobbying. D’ailleurs, nous avons publié un mémorandum pour que le vécu et les besoins des aidants-proches fassent partie des enjeux des prochaines élections de juin. » ■

Pour plus d’informations : aidants-proches.be

Avant de partir en vacances, la première chose à faire est d’aller voir un vétérinaire pour un checkup de la santé de son animal.

les chiens’ comme mots clés sur Google pour y trouver des sites spécialisés. » Sinon, d’autre options s’offrent encore à vous : le camping-car, qui évite tout problème d’hébergement ; confier votre animal de compagnie à un proche ou à une pension pour chiens ou encore faire appel à l’asbl Sans Collier, si vous ne désirez pas emmener votre toutou avec vous. ■

Pour plus d’informations : sanscollier.be

Sur scène, la troupe de 10 danseuses restitue aussi fidèlement que possible la corporalité et la dynamique propres aux jeunes enfants accueillis par l’association.

Ritournelle met en scène la vie des enfants en attente de familles d’accueil

Emmanuelle Lamberts

PSYCHOLOGUE ET METTEUSE EN SCÈNE DU SPECTACLE

Lucile

Echterbille

ÉDUCATRICE ET ASSISTANTE À LA MISE EN SCÈNE

À ce jour, près de 50 % des enfants de la pouponnière bruxelloise Notre Abri attendent une place en famille d’accueil. La situation est quasi identique dans tous les établissements d’accueil de l’aide à la jeunesse. Devenir famille d’accueil constitue un acte de solidarité citoyen qui permet à ces enfants de se construire. Le spectacle de danse Ritournelle entend nous y sensibiliser.

Texte : Philippe Van Lil

Un refuge pour les petits

L’asbl Notre Abri accueille 64 enfants de 0 à 6 ans, 24h/24 et 365 jours par an. « Pour différentes raisons, ils n’ont pas la possibilité de rester au domicile de leur parents », nous livre Emmanuelle Lamberts, psychologue et metteuse en scène du spectacle. « En leur proposant un refuge dans nos locaux et dans des familles d’accueil, nous leur offrons la chance d’être accompagnés dans leur développement par des adultes qui leur portent toute l’attention dont ils ont besoin. »

Pas question pour autant de couper les liens avec la famille. « Il ne s’agit pas d’une adoption. Notre association vise à répondre à des situations de crise de manière transitoire et nos équipes effectuent un travail de diagnostic afin d’établir le parcours le plus souhaitable pour leur bien-être à long terme. Cela peut conduire à un retour dans la famille d’origine comme à un départ dans une famille d’accueil. »

Redonner de la visibilité aux enfants

Confrontées au quotidien à cette situation, Emmanuelle Lamberts et Lucile Echterbille, éducatrice et assistante à la mise en scène, ont ressenti le besoin de faire bouger les choses. Elles ont créé le spectacle Ritournelle. La démarche vise avant tout à donner davantage de visibilité au destin si particulier et parfois tragique de ces enfants. « Malheureusement, leur situation reste largement ignorée par le grand public. Ça fait du bien de parler de ces petits, de leur donner vie sur scène. C’est pour nous un moyen de provoquer des prises de conscience. Nous espérons qu’ainsi, les gens auront envie de se mobiliser pour les aider », nous confie Lucile Echterbille.

Sur scène, la troupe de 10 danseuses d’une vingtaine d’années est composée pour moitié de professionnelles et pour moitié de semi-professionnelles. « Elles restituent aussi fidèlement que possible la corporalité et la dynamique propres aux jeunes enfants accueillis par l’association. Ce spectacle sans aucune parole nous fait découvrir la vie d’une petite fille dont la maman est victime de troubles psychiques. On assiste à sa mise en institution, à ses problèmes en milieu scolaire et à son départ en famille d’accueil. C’est bien sûr un parcours de vie poignant », détaille Emmanuelle Lamberts.

Quand l’art reflète la réalité

La remarquable capacité de ces enfants à rebondir face aux épreuves de la vie est l’un des grands thèmes de la pièce. « Cette résilience ne va cependant pas de soi. Elle se forge lors d’un processus de construction psychique », estime Emmanuelle Lamberts. « Sur scène, ce cheminement est symbolisé par des pièces de puzzle. Elles sont jetées sur le sol par la mère de façon chaotique et forment des obstacles instables que la petite fille tente de surmonter. Pour finir, elle parviendra à rassembler les pièces avec l’aide de sa maman d’accueil. »

Cette œuvre artistique souligne aussi le rôle essentiel des adultes, en premier lieu des travailleurs sociaux, dans le développement de ces enfants. « Ce travail difficile n’est pas toujours reconnu à sa juste valeur. Les cas de burn-out et le turn-over sont nombreux au sein de ce personnel. Le manque chronique de moyens force les éducateurs à devoir en faire toujours plus, avec une charge mentale très lourde à la clé. »

Impossible pourtant de laisser ces enfants à leur sort. « En période de crise, tout le monde souffre. Toutefois, les personnes les plus fragilisées souffrent encore plus que les autres. C’est dans ces moment-là qu’il faut se montrer encore plus solidaire », conclut Emmanuelle Lamberts. ■

Ça fait du bien de parler de ces enfants, de leur donner vie sur scène. C’est pour nous un moyen de provoquer des prises de conscience. Pour plus d'informations sur le spectacle :

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Une maison de repos et de soins avec la liberté de choix en son coeur

Située à Anderlecht, en Région bruxelloise, la résidence Trèfles est une maison de repos et de soins implantée dans un joli écrin de verdure. Chaque détail y est pensé pour le confort, le plaisir et la liberté de choix de ses habitants. Visite des coulisses avec sa directrice, Valérie Van Berlamont.

Valérie Van Berlamont, directrice de la résidence

❙ La résidence Trèfles compte quelque 160 résidents. Comme l’explique Valérie Van Berlamont, qui en est la directrice depuis un peu plus d’un an après en avoir été directrice adjointe durant plusieurs années, « la résidence accueille divers profils : tant des personnes autonomes que dépendantes, chacune ayant un parcours de vie di érent et ses propres défis. Pour nous, c’est un élément essentiel de considérer chaque habitant comme une personne unique et d’avoir un regard positif sur le vieillissement. Pour qu’ils se sentent bien, nous faisons en sorte qu’ils prennent part aux décisions, se sentent chez eux et prennent du plaisir. Ils doivent pouvoir vivre dans un climat serein et agréable, quelles que soient les di cultés physiques ou cognitives qu’ils rencontrent. »

Un accompagnement de qualité

L’une des spécificités de la résidence est l’accompagnement de personnes présentant des di cultés cognitives ou fonctionnelles. « À cet e et, elle dispose d’unités adaptées, dont les équipes de soignants tissent de réels liens avec les habitants afin de pouvoir accompagner chacun en fonction de ses capacités restantes. » Plus globalement, la résidence propose une approche pluridisciplinaire à tous ses résidents, incluant un grand nombre de paramédicaux afin de répondre à tout type de pathologie : un kiné, un éducateur spécialisé, un ergothérapeute, une psychologue, une référente pour la démence, etc. « Cette équipe vient en soutien de l’équipe médicale d’infirmiers et d’aides-soignants qui, eux, sont présents 24 heures sur 24. »

Autre point fort de cette maison de repos et de soins : l’alimentation. « Le groupe Novadia, dont fait partie la résidence Trèfles, propose une alimentation de qualité dans un cadre similaire à l’hôtellerie, avec notamment la présence de serveurs et plusieurs plats proposés au menu. » Ici aussi, insiste notre interlocutrice, « nous o rons la liberté de choix aux résidents. En réalité, que ce soit pour la nourriture, les soins, l’habillage, les activités ou toute autre chose, nous appliquons la méthode Montessori. Il s’agit d’une philosophie d’accompagnement qui permet d’ouvrir la liberté des choix ; c’est au personnel à s’adapter aux désirs des résidents et non l’inverse. D’ailleurs, nous avons un comité de résidents qui se réunit tous les mois. Le but est de faire part des di cultés et des points que les habitants désirent voir améliorés. Lors de celui-ci, les proches sont aussi conviés. Nous accordons une grande importance à l’accompagnement des familles. Ensemble, nous construisons la vie dans l’établissement. »

Des activités à foison

Du côté des activités, au sein comme à l’extérieur de la résidence, le choix proposé aux résidents et décidé par eux ne manque pas non plus : voyages, excur-

sions, visites culturelles, shopping dans les centres commerciaux… « Nous organisons aussi des activités festives, comme les fêtes de fin d’année ou les anniversaires, que nous célébrons de manière grandiose dans une salle décorée et rehaussée par la présence d’un orchestre. Nous mettons également sur pied des marchés de Noël et de Pâques au sein de l’établissement. »

« Contrairement aux idées reçues sur la mauvaise image qu’ont parfois eue les maisons de repos dans le passé, il est possible d’y vivre heureux et d’y être reconnu et respecté en tant que personne », note encore Valérie Van Berlamont. « D’ailleurs, lorsqu’une personne désire nous rejoindre, nous lui proposons quasi systématiquement d’aller visiter d’autres maisons de repos que la nôtre, afin qu’elle puisse choisir en toute liberté le type d’espace qui lui convient le mieux. »

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Sandrine Corman :

« La recherche de l’équilibre est primordiale »

Présente notamment du lundi au jeudi de 10h à 12h30 sur Bel RTL, dans « On est là pour s’entendre », Sandrine Corman mène une carrière professionnelle bien remplie. Animatrice en télévision et en radio, elle est aussi une maman épanouie au sein d’une famille recomposée dont elle prend soin. Pour elle, tout est question d’équilibre entre assumer ses responsabilités et pouvoir improviser, avec même une certaine forme d’insouciance.

Quels souvenirs gardez-vous de votre enfance ?

Sandrine Corman : « Je n’ai que des souvenirs heureux de mon enfance. J’ai la chance d’avoir grandi dans une famille unie, avec mes deux frères, et des parents qui se sont rencontrés très jeunes et qui sont ensemble depuis 50 ans. On habitait à Henri-Chapelle, un village près de Verviers, où résidaient aussi mes grands-parents, qui avaient une ferme et une laiterie, ainsi que mon parrain et mon oncle. C’était à la campagne, on était tout le temps à l’extérieur, comme des aventuriers. Je me souviens des hivers où l’on dévalait des pentes avec des toiles en sac de jute dans des prairies enneigés. Quelle vie épanouissante ! »

Texte : Philippe Van Lil

Je n’ai que des souvenirs heureux de mon enfance : j’ai la chance d’avoir grandi dans une famille unie, avec mes deux frères.

Comment cela se passe aujourd’hui avec vos enfants ?

S. C. : « J’ai une grande famille recomposée, car mon mari et moi avons quatre garçons au total. Nous habitons aussi un peu à la campagne, puisque c’est dans le Brabant wallon. Toutefois, il est évident que les temps ont changé. Les enfants raffolent des GSM et des tablettes et possèdent bien plus de choses. Pour ma part, je fais cependant en sorte de toujours leur accorder un maximum de temps et d’attention, tout en leur inculquant les valeurs reçues de mes parents : la politesse, le sens de la famille, le respect des autres et surtout la générosité. Je suis d’ailleurs persuadée que la plupart des parents veulent inculquer ces valeurs à leurs enfants. »

Quel conseil donneriez-vous aux parents de familles recomposée ?

S. C. : « Dans ma famille, j’ai la chance que ça se passe vraiment très bien ; nos garçons s’entendent à merveille. Il faut toutefois bien veiller en tant que parents à se montrer aussi attentifs, patients et tolérants avec les enfants du conjoint qu’avec les siens. On pourrait naturellement avoir tendance à s’occuper bien plus de ses propres enfants. Il faut bien se rappeler que les enfants n’ont rien demandé… On leur a imposé cette situation ! »

Comment gérez-vous votre emploi du temps pour allier vie professionnelle et vie de famille ?

S. C. : « Ce n’est évidemment pas facile… Les journées sont toujours trop courtes ! Heureusement, j’ai la chance d’avoir un mari avec qui, même s’il a lui aussi une vie professionnelle bien remplie, nous nous entraidons beaucoup pour nous occuper de nos enfants quand l’autre n’est pas disponible. Ce qui est tout aussi important, c’est de garder du temps pour son couple. Mon mari et moi, nous nous faisons une ou deux

Dans une famille recomposée, il faut veiller à se montrer aussi attentifs, patients et tolérants avec les enfants du conjoint qu’avec les siens.

soirées à nous deux par semaine, par exemple au restaurant ou cinéma ; de même, on part chaque année en voyage à deux, en amoureux. À la maison, on est toujours accaparés par les enfants, ce qui est normal. Par ailleurs, il faut aussi garder du temps pour soi, en faisant du sport, en prenant l’air avec ses copines, etc. »

Le secret, c’est donc aussi de s’accorder des moments de qualité ?

S. C. : « Oui, il faut tout faire afin de prendre le temps pour de tels

moments. En réalité, il s’agit de trouver un véritable équilibre entre le travail, le couple, les enfants et sa vie de femme. J’ai la chance d’avoir un métier passionnant, ce qui m’aide déjà beaucoup à trouver mon équilibre. Une des clefs de la réussite dans la vie, c’est aussi d’assumer ses responsabilités, tout en gardant une sorte d’insouciance et en sachant improviser. La routine, c’est ce qui tue le couple et le reste. Enfin, c’est vraiment essentiel d’être à l’écoute et présent à 100 % avec ses proches. » ■

© PHOTO RTL BELGIUM / KILAM

Sandrine Corman

ANIMATRICE TV ET RADIO

Acide folique en début de grossesse : pourquoi est-ce un must ?

Le début d’une grossesse, aussi magique puisse-t-il être, est souvent associé à une panoplie de contraintes alimentaires pour la future maman. Côté vitamines, l’une d’entre elles ne doit pas être négligée : l’acide folique. Le Docteur Pascale Grandjean, gynécologue et membre du conseil d’administration du CRGOLFB, nous explique son importance cruciale.

Texte : Maria-Laetitia Mattern

L’acide folique, c’est quoi au juste ?

Dr Pascale Grandjean : « L’acide folique est une vitamine de la famille des vitamines B – précisément la vitamine B9. On la retrouve dans notre

alimentation : légumes verts, choux de Bruxelles, épinards… Sauf que ces légumes sont généralement cuits, ce qui limite leur teneur en vitamines. On la retrouve aussi dans les fèves, les légumineuses ou dans certains fruits frais tels que les fraises et les melons. Mais sa présence est insuffisante : la femme enceinte a besoin de deux fois plus de cette vitamine qu’un adulte en bonne santé ! Cette supplémentation est donc nécessaire. »

Quand commencer ce complément alimentaire ?

Dr P. G. : « Il est nécessaire de le prendre au moins quatre semaines avant le début de la grossesse et de

continuer jusqu’à la fin du premier trimestre. L’acide folique a l’avantage d’être facile à digérer. Il permet de compenser le déficit alimentaire fréquent chez les femmes qui souffrent de nausées et de vomissements en début de grossesse. »

Quel est le risque en cas de carence ?

Dr P. G. : « L’acide folique est nécessaire au développement des cellules neuronales et donc du cerveau d’un enfant. Il faut savoir que toute

l’embryologie se passe lors des trois premiers mois de la grossesse. Le déficit en acide folique peut provoquer des anomalies du tube neural, c’est-à-dire des ouvertures du tube neural ou spina bifida, avec une perte de liquide céphalo-rachidien. Une supplémentation sous forme de vitamines permet d’éviter plus de 50 % de ce risque d’anomalie. Ce qui est non négligeable. Or un tiers des futures mamans ne sont pas au courant qu’elles ont une influence là-dessus grâce à ce complément. » ■

Whoogy’s :

« Il faut décomplexer la cuisine pour enfants »

Gaufres aux brocolis, frites de légumes, mini burgers : qui a dit que la cuisine pour enfants était ennuyeuse ? Sous la toque de Whoogy’s en tout cas, elle prend une tournure colorée, savoureuse et imaginative. Rencontre. Texte : Maria-Laetitia Mattern

Avec plus de 700 k followers sur Instagram, Hugo alias Whoogy’s est connu pour ses recettes gourmandes (toujours agrémentées d’une touche de piment d’Espelette). Alors lorsqu’il est devenu papa, hors de question pour cet influenceur culinaire de priver son bambin de ses délicieux mets. Son idée va même plus loin : partager ses bons plans avec tous les autres.

Whookids : des recettes saines et fun pour les mômes

« Quand Margaux, ma compagne, était enceinte de notre fils Marius, on aimait s’imaginer ce qu’on allait lui préparer à manger. Les gens nous disaient : ‘Oublie, il mangera des pâtes au jambon’. Mais nous, on restait persuadés qu’il était possible d’imaginer des alternatives plus sympas. »

C’est ainsi que naît Whookids : d’une envie d’amener de la fantaisie et de la saveur dans l’assiette, dès le plus jeune âge. En cuisinant des recettes pour enfants (dont les adultes raffolent aussi), faciles, de saison et à base de bons produits. Et ça cartonne. « Bien sûr, comme tous les enfants, il y a des choses que notre fils n’aime pas manger », explique Hugo. « Mais on aime le rendre curieux, lui faire découvrir des saveurs, des textures. »

Liberté, créativité & batch cooking « La clé dans la cuisine pour enfants, c’est que le visuel soit attirant. On part de formes iconiques comme la gaufre, les crêpes, les nuggets, mais cuisinées de manière saine, comme les gaufres aux brocolis ou les frites de légumes avec un ketchup de betterave, par exemple. »

Une recette parfaite à partager en famille :

PASTA-PESTO-BROCO

Les ingrédients (pour 4 ou 5 portions) :

■ 1 joli petit brocoli

■ 1 beau bouquet de basilic frais

■ 1 (petite) dose de parmesan

■ 1 poignée de pignons de pin

■ 200 g de pâtes (pâtes grecques, pâtes aux légumes, pâtes alphabet, ... faites-vous plaisir !)

■ Le zeste d’un citron jaune

■ Huile d’olive

Les étapes :

■ Bien laver le brocoli et lui couper les pieds (qu’on l’on garde évidemment pour de futures soupes ou bouillons).

■ Faire cuire les pâtes jusqu’à ce qu’elles soient parfaitement al dente.

■ Faire cuire les têtes de brocoli dans de l’eau (ou mieux à la vapeur) jusqu’à ce qu’elles soient parfaitement tendres à cœur (+/- 10 minutes).

■ Pendant ce temps, préparer les éléments du pesto : les feuilles de basilic, le parmesan râpé, le zeste de citron et les pignons de pin.

■ Quand les brocolis sont cuits, les disposer dans un récipient plus haut et étroit.

■ Y ajouter les éléments du pesto, un peu d’eau de cuisson et de l’huile d’olive puis mixer le tout jusqu’à obtention d’une texture fluide mais avec encore un peu de texture.

Pour Hugo, il faut aussi démythifier la cuisine sophistiquée au quotidien. « Bien sûr, en semaine, après une journée de boulot, il est normal d’être trop fatigué pour concocter des bons petits plats. L’idéal est de s’amuser le week-end et d’en profiter pour faire du batch cooking, c’està-dire d’anticiper en cuisinant du stock pour les soirs de semaine. » ■

La clé dans la cuisine pour enfants, c’est que le visuel soit attirant : on part de formes iconiques mais cuisinées de manière saine.

■ Ajuster avec du sel, du poivre et les épices de votre choix (et en fonction de l’âge de votre/vos enfant(s)).

■ Quand les pâtes sont cuites, les égoutter en veillant bien à garder de l’eau de cuisson sur le côté.

■ Verser le pesto sur les pâtes et mélanger le tout sur un feu tout doux en adaptant la texture avec un peu d’eau de cuisson.

■ Verser la dose souhaitée de pasta-pesto-broco dans une belle assiette.

■ Et pour les petits gourmands, ajouter un filet d’huile d’olive et un peu de parmesan râpé.

Bon appétit les petits (et les grands ) !

Retrouvez les recettes d’Hugo via @whoogys @whookids_food @whoogys @whookids

© PHOTO VALENTIN LE CRON

Hugo alias Whoogys INFLUENCEUR FOOD

Stéphane Ronse

FONDATEUR DE FOODBAG

Un colis-repas belge savoureux

Produits locaux, ingrédients frais et recettes originales : les colis-repas de Foodbag privilégient la qualité et la durabilité.

Texte : Olivier Clinckart

Une trentaine de plats et cinq styles de cuisine : Foodbag propose et livre à domicile des repas privilégiant une alimentation saine et durable.

En y ajoutant la flexibilité, comme l’explique Stéphane Ronse, fondateur de Foodbag : « Contrairement à d’autres sociétés de paniers repas, il n’est pas obligatoire de s’abonner à nos services. Nous laissons le choix à nos clients, qui peuvent passer une commande unique ou opter pour un abonnement hebdomadaire ou bimensuel. »

Cette flexibilité se traduit également dans le choix des menus : les clients composent le menu qui leur plaisent et décident pour combien de personnes ils commandent. Et il y en a pour tous les goûts : cuisine du monde, plats végétariens et flexitariens, menus pour enfants...

Une offre durable et anti-gaspillage Pour Stéphane Ronse, l’ancrage belge est un critère fondamental : « Nous travaillons avec des produits de saison et un réseau d’environ 80 fournisseurs locaux, ce qui nous permet de réduire au maximum le circuit du producteur au consommateur. De même, les produits ne restent pas plus de 48 heures chez nous, ce qui réduit la consommation énergétique en termes de stockage et de réfrigération. »

Un circuit vertueux qui permet de la sorte de lutter efficacement contre le gaspillage alimentaire : « Dans les supermarchés, une proportion non négligeable des produits frais doit être jetée. Chez nous, ce n’est pas le cas : une fois que nos clients ont effectué leur commande, nous achetons la quantité nécessaire chez nos fournisseurs, ce qui n’entraîne donc pas de surplus. » Foodbag dispose également de son propre service de livraison : ses chauffeurs - une équipe de jeunes retraités qui sont heureux de pouvoir rester actifs - vous livrent votre colis-repas, du vendredi au lundi inclus. Autant d’atouts qui facilitent la vie des consommateurs, tout en leur permettant de consommer des produits locaux et de qualité. ■

Travailler avec des fournisseurs locaux permet de réduire au maximum le circuit du producteur au consommateur.

Pour plus d’informations : foodbag.be

PROFiTEZ PLEiNEMENT DE VOS MATiNS

Les Lacs de l’Eau d’Heure, entre sport et nature

Les Lacs de l’Eau d’Heure, le plus grand ensemble lacustre de Belgique, sont un véritable joyau naturel au cœur de la Wallonie. Cette merveille écologique est le résultat d’un ambitieux projet d’aménagement hydroélectrique et de gestion des eaux initié dans les années 1970. Conçu à l’origine pour prévenir les risques d’inondations, assurer l’étiage de la Sambre et produire de l’électricité, le site s’est progressivement transformé en une destination de loisirs très appréciée.

Entourés de forêts verdoyantes et de collines, les cinq lacs offrent aujourd’hui un cadre idyllique pour une multitude d’activités en plein air. Ils sont devenus un lieu de ren-

contre privilégié pour les amateurs de nature, de sports nautiques et terrestres, ainsi qu’une source d’évasion pour ceux qui cherchent à se ressourcer loin de l’agitation urbaine. Les Lacs de l’Eau d’Heure incarnent une harmonie parfaite entre développement durable et tourisme.

À l’approche des vacances de Pâques, focus sur une destination incontournable pour les amoureux de la nature et les passionnés de sport : les Lacs de l’Eau d’Heure. Étendu sur pas moins de 1800 hectares, ce site exceptionnel promet une évasion totale au cœur d’un écrin de verdure, où l’eau et la forêt se rencontrent pour offrir un spectacle naturel époustouflant !

Il est possible de séjourner sur place et de profiter de la nature.

Un paradis de découvertes et de divertissements

Les Lacs de l’Eau d’Heure sont le terrain de jeu idéal pour les familles en quête d’évasion et de moments partagés. Séjournez au Golden Lakes Village ou dans le village de vacances « Landal », où confort et nature se conjuguent à merveille. Les enfants trouveront leur bonheur dans les plaines de jeux couvertes et lors d’une partie de mini-golf en famille. L’aventure continue avec le Crocodile Rouge, une expérience unique à ne pas manquer. Pour les adeptes de sensations, le Laser Game et la visite du plus grand barrage de Belgique offrent des moments de découvertes et de plaisir.

L’adrénaline et l’aventure au rendez-vous

Les Lacs de l’Eau d’Heure se transforment en véritable paradis pour les sportifs avec une multitude d’activités nautiques et terrestres. Testez vos compétences en wakeboard au Spin Cablepark, ou laissez-vous tenter par une session de kayak, paddle ou planche à voile à l’Espace Fun.

Les amateurs de vélo seront ravis de découvrir le Bike Park, avec ses pistes VTT, VTC, free ride, et bien plus encore. Pour les marcheurs, le Ravel offre de magnifiques promenades au bord de l’eau. Et pour une

aventure en hauteur, le Natura Park vous attend avec ses parcours suspendus, ses tyroliennes géantes et sa tour en bois offrant une vue imprenable sur les environs. Initiez-vous au golf en profitant des infrastructures du Pro1Golf Center.

Détente et gastronomie Bien que l’accent soit mis sur les activités familiales et sportives, les Lacs de l’Eau d’Heure n’oublient pas pour autant le bien-être et la gastronomie. Le centre wellness  « À l’Heure du BienÊtre » vous invite à la détente après une journée d’activités, tandis que les gourmets pourront se régaler au restaurant Le Tri-marrants, au Rôtiss’heure, ou à la Brasserie des Lacs, où les saveurs locales enchanteront les palais.

Les Lacs de l’Eau d’Heure : une destination pour chaque visiteur, qu’il soit en couple, en famille ou en groupe. Entre aventure, sport, détente et découverte, préparez-vous à vivre des moments inoubliables au cœur de l’une des plus belles régions de Belgique. Venez respirer, explorer et vous émerveiller aux Lacs de l’Eau d’Heure – votre évasion nature et sportive vous attend ! ■

Pour plus d’informations : lacsdeleaudheure.be

Les cinq lacs constituent le plus grand ensemble lacustre de Belgique. Partez en escapade amphibie avec le Crocodile Rouge !

Une liste de naissance pour préparer l’arrivée de bébé

Lorsqu’on prépare l’arrivée d’un nouveau-né, il est important de sélectionner le matériel de naissance adéquat : poussette, siège-auto, berceau, vêtements ou encore tétines, la liste est longue et souvent méconnue des jeunes parents ! Afin d’être prêts à temps, rien de tel que de mettre en place une liste de naissance digitale reprenant tous les produits dont vous avez besoin. Texte : Diane Theunissen

Des cadeaux utiles, qui font plaisir Finis les doublons, les tables à langer inadaptées et les doudous en matières synthétiques : grâce aux listes de naissance, vous recevez des cadeaux dont vous avez besoin, et que vous avez choisis. Chaque naissance est unique, tout comme votre mode de vie et votre intérieur ; une liste de naissance vous permet de bien cibler le matériel dont vous avez besoin, en accord avec vos goûts et vos habitudes.

À la naissance de bébé, une partie de votre entourage manquera sans doute d’imagination quant au cadeau à offrir. En établissant une liste de naissance, vous permettez également à vos proches de viser juste, et d’avoir une vision claire sur l’utilisation de l’argent qu’ils sont prêts à investir.

Une liste de naissance vous permet de bien cibler le matériel dont vous avez besoin, en accord avec vos goûts et vos habitudes.

Établir sa liste de naissance en magasin : une étape à ne pas négliger

Que ce soit les amis, les collègues ou la famille, l’entourage a souvent son mot à dire quand au matériel à privilégier pour l’arrivée de bébé. Résultat : vous êtes assailli d’informations, et ne savez plus où donner de la tête ! En allant faire un tour en magasin, vous aurez l’occasion de découvrir le matériel, de faire le tri selon vos

besoins et vos envies, et de comprendre l’utilité de chaque produit ; vous pourrez sentir la matière des vêtements, comparer les différents modèles de poussettes, ou encore dénicher ce fameux relax bleu ciel, assorti à la chambre de bébé.

Ce qui est idéal pour une famille ne l’est pas nécessairement pour une autre, et certains produits à la mode ne vous conviendront peut-être pas. Établir votre liste de naissance en boutique vous permettra de faire vos choix en connaissance de cause, et vous évitera de mauvaises surprises.

Quelques produits indispensables

Sur une liste de naissance, on retrouve forcément vos derniers coups de cœur, mais aussi le matériel essentiel aux besoins fondamentaux de bébé : le sommeil, l’alimentation, la promenade, le bain et les soins, l’habillage, ou encore l’éveil et le jeu.

■ Pour faciliter les premières nuits d’un nourrisson, l’usage d’un coussin réducteur – également appelé cocon – est fortement recommandé : tel un petit nid, le coussin rassure le bébé et lui permet de retrouver sa position fœtale initiale. Étant donné la petite taille du cocon, on peut le déposer partout dans la maison, que ce soit dans un berceau, un lit-cage, ou encore dans un parc. N’oubliez pas : il vaut mieux éviter de couvrir les bébés avec une couverture. Veillez plutôt à privilégier l’usage d’une gigoteuse.

■ Quant au repas, il est essentiel de se munir d’un kit de biberon. Cependant, acquérir un chauffe-biberon n’est plus nécessaire : depuis quelques années, les pédiatres recommandent une température ambiante pour le lait.

■ Pour vous assurer de pouvoir transporter bébé en toute sécurité,

veillez à ajouter un siège-auto à votre liste de naissance. Attention : avant la sélection, n’oubliez pas de prendre les mesures de la banquette arrière de votre voiture.

■ Autres produits indispensables : les tétras. Ces grands carrés en coton aéré sont généralement utilisés pour l’allaitement, et sont également très pratiques pour emmailloter votre bébé. Chose intéressante, ils seront presque automatiquement transformés en doudous par votre bout de chou. Oubliez donc le superbe nounours qui vous fait de l’œil : un bout de tissus qui absorbe l’odeur de maman fera l’affaire.

L’arrivée d’un bébé demande beaucoup d’organisation. Établir une liste de naissance vous aidera à y voir plus clair, et à ne manquer de rien le Jour J ! ■

3 enfants sur 10 n’ont pas accès aux loisirs

Depuis 70 ans, Arc-en-Ciel s’engage auprès des enfants et jeunes vulnérables pour leur donner accès à des activités de loisirs actifs et éducatifs !

40 € = 1 journée d’animation

80 € = 2 jours de vacances

240 € = 1 semaine en séjour

Plus d’infos sur www.arc-en-ciel.be

offrez des vacances à un enfant

Offrez une journée d’animation ou un séjour de vacances à un enfant défavorisé, en faisant un don sur le compte BE47 6300 1268 0080, avec la communication « Vacances 2024 ».

Tout don de 40 € et plus donne droit à une déduction fiscale de 45%.

Merci pour votre générosité !