Automation Magazine nr 224 (FR)

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SIEMENS LES DÉFIS INTRALOGISTIQUES NÉCESSITENT UNE TECHNOLOGIE DE POINTE Des vitesses de rotation élevées dans les entrepôts et une durée de stockage limitée, des quantités de commandes plus petites et des délais de livraison courts, des taux de retour croissants, des volumes de livraison plus importants à court terme et une plus grande focalisation sur le développement durable : voici quelques-uns des nombreux défis de la (l’intra) logistique. « Ces tendances de marché vont clairement de pair avec l’avènement du marché du commerce électronique et la pandémie du Covid-19 qui a accéléré cette évolution dans une large mesure. L’automatisation poussée et la digitalisation des processus et des applications logistiques jouent un rôle crucial dans la relève de ces défis et sont autant de compétences fondamentales de Siemens », déclare Jurgen De Wever, responsable du segment de marché (intra)logistique chez Siemens. « Les entreprises industrielles doivent être plus flexibles pour répondre aux besoins du marché individualisé et en constante évolution. » « Un premier élément important est qu’il ne s’agit pas d’automatiser et de digitaliser davantage la production – les machines, les lignes de production et les processus – mais tous les flux de marchandises internes à travers la chaîne de production », poursuit Jurgen De Wever. Un second élément est la logistique entre la production et l’entrepôt et la mesure selon laquelle les entrepôts peuvent fonctionner de manière flexible, efficace, rentable et durable 24/7. Dans ces deux domaines de l’intralogistique, l’usage combiné de la robotique, de la cobotique, des véhicules autonomes et des systèmes de manutention prendra encore plus de sens dans un cadre où le suivi et la traçabilité deviennent plus essentiels. » « De nombreuses technologies innovantes, multidisciplinaires par nature, trouvent ici leur champ d’application. Il s’agit de les combiner de manière judicieuse selon les besoins intralogistiques. L’utilisation de jumeaux digitaux et de méthodes de simulation peut simuler l’impact des véhicules autonomes combinés, par exemple, à des systèmes de palettisation robotisés. Cela s’applique tant aux installations existantes qu’aux nouvelles constructions. A partir de là, et dans le but d’une mise en service impeccable et accélérée des systèmes de transport, il y a l’étape logique : d’abord le virtuel et puis l’installation.’ ‘La gestion ultérieure des installations intralogistiques peut être facilitée par des tableaux de bord de performance des actifs. Ils reposent sur l’application intelligente – les hardware et software standard optimisés dans le domaine de l’automatisation et la technologie d’entraînement. Ceci, combiné à une utilisation avec des structures IoT et

Jurgen De Wever: « Tant dans l’intralogistique de production que dans les entrepôts, il faut viser la combinaison d’une réalité digitale basée sur la robotique, la cobotique, les véhicules autonomes et les systèmes de manutention, dans un cadre où le suivi et la traçabilité deviennent plus essentiels. »

« Les entreprises industrielles doivent être plus flexibles pour répondre aux besoins du marché individualisé et en constante évolution. »

l’intelligence artificielle, offre de nombreuses opportunités pour augmenter considérablement la disponibilité et les performance des applications et des processus intralogistiques. Siemens propose les systèmes, les plateformes et les compétences utiles à cela. » Le système d’entraînement décentralisé G115D en un bel exemple. Suivez ce lien pour en apprendre davantage: https://magazine.siemens.be/fr/products/nouveau-systemedentrainement-decentralise-sinamics-g115d-concuspecialement-pour-les-applications-de-convoyage/ www.siemens.be AUTOMATION MAGAZINE JUIN 2021 / 43


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