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MOBILISONS-NOUS POUR ISRAËL !

M.L. : Se focaliser sur le présent. Réfléchir à ce que l'on peut faire au niveau personnel, familial et organisationnel. Élaborer un plan d'action et de communication au sein de la famille et maintenir une certaine routine quotidienne. Il faut aussi réduire l'exposition aux images choquantes diffusées sur les réseaux sociaux, limiter la consommation des médias, exprimer ses émotions. Il est important de reconnaître que l'on vit des moments éprouvants mais comprendre que l'on a le pouvoir de chercher de l'espoir même dans l'obscurité. Soutenir les autres et agir dans sa communauté aide. C'est ensemble que nous renforçons notre résilience.

Peut-on s'attendre à un traumatisme collectif similaire à celui qui a suivi la guerre de Kippour ?

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M.L. : Le traumatisme actuel ressemble plus aux traumatismes post-attentats que post-guerres. La réalisation de la fragilité du pouvoir, du sentiment de supériorité et de toute-puissance est liée à la rupture d'un mécanisme central de confiance en soi. Cela, lié avec le peu de confiance en la capacité du leadership à gérer, aura un impact significatif sur les processus sociaux qui se sont déjà estompés cette dernière année. La tristesse, le sentiment de désespoir et d'impuissance se réveilleront avec force une fois les combats terminés. n Propos recueillis par Nathalie Sosna-Ofir

Le travail du FSJU depuis le début des événements est d’agir en coordination avec nos partenaires historiques, notamment Latet, la Havaya Israeli et le FSJU Israël, pour la société civile israélienne.

Les populations soutenues en priorité :

• Les appelés situés aux points de ralliement pour accès aux produits hygiène et alimentation

• Les populations nécessiteuses – familles, personnes âgées et survivants de la Shoah

• Les évacuées des localités entourant Gaza

• Les familles contraintes de rester dans les abris antimissiles

Durée de l’opération :

Notre soutien - Alimentaire et hygiène :

(Selon notre évaluation et cartographie des besoins sur le terrain avec la coordination de la Sécurité Intérieure « home front »)

• Nourriture

• Produits d’hygiène

• Médicaments et matériel médical

• Jeux de relaxation pour enfants

Selon les premières estimations, le besoin d’une assistance d’urgence perdurera pendant au moins 8 à 12 semaines.

L’expertise du FSJU (partenaire du réseau Olam) et Latet dans la gestion de crises permet le ciblage précis des besoins et la sécurisation des dons.

Le FSJU est une association reconnue d’utilité publique. Certifiée Label IDEAS, attestant de bonnes pratiques en matière de gouvernance, finances et d’évaluation. Membre de France générosités

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