Le Bonbon - Été 2025

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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!

Modèle Jean-Baptiste Faner

Photographe Yona

Romet

Confiseur

Rédactrice en Chef Rédacteur·rice·s

LE BON ÉDITO

Jacques de la Chaise

Rachel Thomas

Maria Sumalla

Flora Gendrault

Clémence Varène

Marion Sammarcelli

Lucie Guerra

Sarah Sirel

Secrétaire de Rédaction

Conseiller Éditorial

Directeur de Création

Directrice Artistique

Designer Graphique

Stagiaire Graphiste

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Social Media

Community Manager Photographe

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Directeur

Directeur des ventes

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Directeur de Clientèle

Culture et Partenariats

Stagiaire Culture

Chef·fe·s de Projets

Louis Haeffner

Michael Pecot-Kleiner

Tom Gordon

Elise Turben

Cyril Charbois

Juliette Quaranta

Quentin Mercier

Béatrice Ligier

Adèle Colonna-Cesari

Marilou Therre

Maymouna Sakho

Yona Romet

Hugo Dominguez

Yanis Si Youcef

Raphaël Breuil

Théo Pouillet

Tahys Adele

Lucas Gruber

Carla Aboudaya

Capucine Huguin

Nicolas Delmatto

Benjamin Haddad

Camille Garicoitz

Pierre de la Chaise

Anouk Ardiet

Inès Favereau

Alexandre Savineau

Gala Fernandez

Tanguy Richaud

Iman Bertin

Tom Douard

Marin Lambert

Deborah Puiggali

Conceptrice-Rédactrice

Responsable Digital

Alternante Digital

Les bons stagiaires

Contact

Tania Szpiczak

Pierre Echardour

Perla Amar

Alice, Côme, Lazare

Benjamin Haddad

benjamin.h@lebonbon.fr

Tél. : 06 20 23 54 49

Tél. : 01 48 78 15 64

15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040

J’ai toujours habité Rive droite. Néo-bobos, vélos-cargos, bouffe locavore, café filtré à la main et soirées dans des tierslieux, ça me connaît. Mais bon, à force, c’est lassant... Que voulez-vous, l’humain est ainsi fait : il a besoin d’aventures, de fraîcheur, de sensations fortes.

Entre deux verres de kombucha, on m’a dit un jour qu’il existait un pays lointain et étrange – dangereux aussi – du nom de “Rive gauche”. Poussé par ma soif d’exotisme, j’ai alors levé les yeux vers ce nouvel horizon et, sac à dos sur les épaules, je suis parti en expédition.

Pour m’y rendre, j’ai dû traverser un fleuve – à la brasse. Aucun garde à la frontière, pas de caméra de surveillance, je me suis faufilé entre les lignes, clandestinement.

Premières impressions sur cette terre inconnue ? Incroyable ! les trottoirs sont larges comme des autoroutes ! Bizarre, personne n’a de tatouage. Surprenant, les gens sont tout le temps endimanchés, comme s’ils assistaient au jubilé d’une vieille tante catho. Et puis aussi, même les clochards sont mieux sapés que moi. Et ils prennent la carte bleue.

L’argent, parlons-en : leur monnaie est plus forte, mon pouvoir d’achat inexistant. Du coup, je me suis contenté d’une balade sur le boulevard Saint-Germain, je suis passé en feu follet devant le Flore, et je suis rentré chez moi. Histoire d’économiser, et de revenir. Un jour.

Et cette fois-ci, j’aurai un allié de choix : un exemplaire du Bonbon qui, quelle que soit la rive de la Seine, est expert en bons plans.

Bonnes vacances les Bonbons !

¤  Mikado

Inès – Caviste – Seine-Maritime

LÉGER EN ALCOOL, RICHE EN ARÔMES.

Seul le cidre réunit les contraires. Légèrement alcoolisé (le plus souvent entre 2 et 6 degrés), il est pourtant d’une grande richesse aromatique. Pour respecter ses saveurs fruitées et sa fine pétillance, servir votre cidre bien frais.

Tant de qualités à (re)découvrir

On s’adonne à des activités festives et sportives avec l’Été du Canal

L’Été du Canal est de retour pour une 18e édition ! Au programme, des activités incontournables telles que des croisières à thème ou encore des spectacles, mais aussi deux nouveautés : “Canal en pagaies”, une descente du canal de l’Ourcq sur 10 km, et la “Grande marche Héritage olympique” qui permettra de redécouvrir les lieux emblématiques des JO de Paris 2024.

L’Été du Canal

Du 5 juillet au 10 août 2025

On investit dans de belles fenêtres en bois

Les beaux jours reviennent et les températures n’en finissent plus de monter. Pour se protéger de la chaleur sans faire tourner le ventilateur non-stop ou enchaîner les douches (on pense à la planète), on a trouvé la solution : de bonnes fenêtres. Spécialisé dans celles en bois, 1001 fenêtres sera votre meilleur allié. Finitions parfaites, excellent rapport qualité-prix… n’hésitez plus !

1001 fenêtres

71, rue Condorcet – 9e

Tél. : 01 45 33 03 86

On va voir un film en plein air à La Villette

L’emblématique cinéma en plein air du parc de La Villette fait son grand retour pour souffler sa 34e bougie. Installé·e confortablement dans un transat’ ou sur un plaid, sous les étoiles ou autour d’un pique-nique champêtre, on y (re)découvre des chefs-d’œuvre du septième art, et ce gratuitement et sans réservation !

Ciné à La Villette

211, av. Jean-Jaurès – 19e Du 23 juillet au 17 août 2025

© William Beaucardet
© Yannick Van Houtven
©ArthurCrestani

En quête des pancakes les plus fluffy de Paris ? Cap sur O Sha, où Dalila détient la recette parfaite pour des crêpes spectaculaires, aussi épaisses qu’aériennes, salées comme sucrées. L’adresse idéale pour un brunch des plus girly !

ORGIE DE PANCAKES ULTRA FLUFFY

Délicatement doré sur le dessus, chaudement mœlleux à cœur et quelques bons centimètres d’épaisseur, voici à quoi ressemble un bon fluffy pancake dans nos rêves les plus fous, et, on l’a découvert depuis peu, chez O Sha. Confortablement installé boulevard du Temple, ce joli restaurant tout de rose vêtu propose mille et une déclinaisons autour de ces crêpes emblématiques du Japon, version sans gluten. Une évidence pour Dalila, patronne passionnée par le pays du Soleil-levant..

En septembre 2023, elle ouvre – et fleurit, au sens propre comme au figuré – son propre restaurant, reprenant le flambeau d’un traiteur oriental familial. Pour sa première aventure derrière les fourneaux, Dalila se donne un défi de taille : inventer une recette capable de rivaliser avec les chefs nippons. Il lui faudra six mois d’essais acharnés. La composition ? Mystère bien gardé. Il faut donc se rendre sur place pour que la magie opère.

Parmi les best-sellers, les mêmes qui ont conquis notre cœur, on retrouve d’abord

les traditionnelles options sucrées, à déguster en dessert ou au goûter. Matcha, banoffee, fruits rouges ou tiramisu, les toppings sont généreux, les saveurs au rendez-vous, et ça dégouline juste comme il faut. Toutefois, on s’en remet aussi à O Sha pour bruncher avec de beaux pancakes salés, garnis comme des burgers : The Béné (bacon de bœuf, œuf mollet, sauce hollandaise maison) ou Smoked salmon et son guacamole.

Cerise sur le gâteau : sur place, on déguste aussi des sandos croustillants, des croissants régressifs et des boissons réconfortantes, entre latte, café et bubble tea. Vous l’aurez compris, O Sha coche toutes les cases du spot à pancakes parfait. Le plus dur ? Ne pas tout goûter d’un coup. ¤  F.G.

O Sha Fluffy Pancake 46, boulevard du Temple – 11e Tél. : 01 42 54 44 20 Tous les jours, de 12h à 20h @o_sha_fluffy_pancake

Communiqué | L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

QUATRE SPOTS OÙ SE RAFRAÎCHIR CET ÉTÉ

Alors que l’été s’est bel et bien installé, accompagné de ses températures étouffantes, il faut planifier des activités en fonction pour accueillir sereinement la canicule. Tour en bateau, dégustation de glaces ou encore spots de baignade, voici 4 lieux où faire redescendre la température. C’est parti !

Jade Genin

L’été ne serait pas vraiment l’été sans les granités-neige de Jade Genin, véritables plaisirs glacés qui mêlent inspirations japonaises du kakigori et douceurs coréennes façon bingsu. Fidèle à son exigence artisanale, la cheffe revient cette année avec une explosion de fraîcheur et de saveurs, râpée à la minute, sans sirop, arômes, ni sucres blancs. Et cette année, on craque pour les saveurs originales aux légumes (l’une au concombre, l’autre au poivron), ou pour l’indétrônable parfum tiramisu !

33, avenue de l’Opéra – 2e

Bercy Encore

Après le succès de Bercy Beaucoup ces dernières années, un nouveau chapitre s’ouvre avec Bercy Encore, un projet inédit au cœur du 12e. Pendant tout l’été, c’est une programmation culturelle riche qui vous attend : concerts, bal populaire, jardinage urbain, compost, fablab, insertion professionnelle, verger partagé, recyclage, ateliers citoyens… Sur plus de 7000 m², on apprend à rêver et à transformer la ville autrement. Entre guinguette et ressourcerie, c’est le spot où se donner rendez-vous tout l’été !

7, boulevard Poniatowski – 12e

Bassin du bras de Grenelle

Délicieuse nouvelle pour l’été : un nouveau lieu de trempette ouvre en plein cœur de la capitale ! En contrebas du quai de Grenelle, dans le 15e, un grand bassin de baignade inauguré le 5 juillet s’apprête à vous accueillir. Pensé comme une piscine naturelle en plein fleuve, ce bassin flottant permettra à 150 nageurs simultanés de piquer une tête dans un cadre de rêve, au pied de la tour Eiffel et face à l’île aux Cygnes. Une prouesse technique aussi rafraîchissante que symbolique, qui promet d’attirer les foules.

Bras de Grenelle – 15e

AKWA

Envie de voguer sur le canal de l’Ourcq entre potes pour profiter des beaux jours ? On connaît votre prochain QG. Depuis le mois d’avril, AKWA s’est installé au bord du bassin de la Villette avec un nouvel espace de navigation. Au programme : barques électriques silencieuses, bateauxplancha pour se régaler au fil de l’eau, offre de restauration 100% végétarienne, et même des ateliers, des cours de sport ou encore des rencontres culturelles. En bref, on profite de la fraîcheur du canal au rythme d’une programmation de folie !

37, quai de la Seine – 19e

© AKWA
© Clément Dorval/Ville de Paris
illedeParis

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Il y a des terrasses cachées juste ce qu’il faut pour échapper au tumulte parisien, mais bien assez en vue pour faire parler d’elles. Celle de Mazmez en fait partie. Calme, baignée de lumière, ici on prend le temps, on partage, on “mazmez”. Comprenez : on picore, on savoure, on vit.

SOLEIL LEVANT

Derrière cette nouvelle adresse, on retrouve Hugo, 31 ans, bonne humeur contagieuse et mini-star des fourneaux. Avec plus de 150K sur Insta, il a fait saliver les réseaux en revisitant les grands classiques libanais. Maman italienne, papa libanais, il a grandi entre les zestes de citron confit et les risotto al dente. Son resto est à son image : métissé et solaire.

Chez Mazmez, on vous invite à oublier tout ce que vous savez sur la cuisine libanaise. Ici, pas de cliché ni de taboulé tiède au persil fatigué. Le labné maison s’offre des éclats de betterave confite et de l’orange sanguine pour réveiller les papilles. Les pois chiches se lovent dans une fatteh de courgette nappée d’une sauce tahini, et cet œuf cocotte, blotti dans une crème de champignons et un confit d’agneau aux 7 épices… une assiette pleine d’émotion née des souvenirs de Hugo, entre deux grands-mères : l’une qui l’emmenait cueillir les champignons en forêt, l’autre qui laissait mijoter le confit d’agneau pendant des heures. En dessert, la poire pochée à la cardamome dans une crème de mascarpone fouettée, posée sur un lit de kadaif croustillant.

Tout dans ce lieu respire le sens du détail et de la transparence. La déco, imaginée par l’agence lyonnaise Obier, mêle matériaux recyclés, chaleur boisée et inspirations levantines. La cuisine, elle, s’inscrit dans une logique de saisonnalité et d’agriculture raisonnée. Les viandes sont françaises, fermières et halal, les cocktails maison sont concoctés avec amour par Célya, et l’hospitalité libanaise y est érigée en art de vivre.

Et pour ceux que le choix angoisse, Hugo a tout prévu avec le menu Kell Shi, qui vous embarque dans un voyage sensoriel à 35€ tout compris : deux assiettes salées, une sucrée, un verre. Vous n’avez plus qu’à vous laisser porter ! ¤  R.T.

Mazmez 5, rue René-Boulanger – 10e Ouvert tous les soirs, service non-stop le week-end Assiettes entre 9€ et 15€ Menu Kell Shi à 35€ @mazmez_restaurant

Il y a des oasis qu’on ne voit pas pousser. Des secrets que Paris cache à l’abri du vacarme, bien au-dessus du périph’. Et puis

il y a Plantation Paris, ferme urbaine XXL perchée sur les toits du 18e, qui sort de sa réserve pour inviter tout le monde à (re) mettre les mains dans la terre et le cœur dans l’assiette.

7000 M2 DE PLANTATION SUR LES TOITS

Une ferme urbaine de 7 000 m² perchée sur les toits du nord de Paris, des légumes qui poussent en plein ciel, des concerts, des fleurs comestibles, du houmous maison, des talks inspirants et des week-ends à respirer autrement… Plantation Paris, c’est le lieu dont on rêvait sans le savoir, et il ouvre enfin ses portes à tout le monde.

Cette parcelle magique de 7 000 m2 en plein air vaut le détour. À la manœuvre ? Une team de choc pour qui écologie rime avec action : Lucie Basch, la reine de l’anti-gaspi (Too Good To Go, Poppins), Stéphane Vatinel, pape des tiers-lieux green (La Recyclerie, La Cité Fertile…), Hugo Sialelli, ambassadeur de la bière artisanale (Brasserie Pietra), et Sidney Delourme, co-fondateur du lieu. Ensemble, ils rêvent grand et bio. Et surtout, ouvert.

Plantation Paris, ce n’est plus seulement une ferme d’agroécologie urbaine où l’on cultive micro pousses et grandes idées pour nourrir les assiettes du Cheval Blanc ou les pizzas de Dalmata. C’est devenu un lieu de vie, un espace de respiration pour une ville plus fertile. Un îlot de biodiversité qui accueille

le public, un laboratoire vivant où écologie rime avec culture, transmission et convivialité.

« Ce qui m’a frappée lors de ma première visite à Plantation, c’est à quel point un lieu comme celui-ci est rare à Paris », raconte Lucie Basch.

« On est entouré de plantes, de récoltes en plein air et d’abeilles, et pourtant on est à 5 minutes du cœur battant de la ville. C’est un endroit qui prouve que nous pouvons végétaliser nos villes, pour les rendre plus souhaitables et habitables ».

Concerts bucoliques, projections engagées, talks inspirants, cuisine ultra-locale et végétale, l’été s’annonce fertile en émotions sur ce rooftop pas comme les autres. Tous les weekends, Plantation Paris devient le théâtre vivant d’une autre idée de la ville ; une ville qui prend le temps de pousser autrement.

¤  R.T.

Plantation Paris

37, rue des Cheminots – 18e

Tél. : 01 40 34 61 72

Ouvert tous les week-ends d’été www.plantation.paris @plantation_paris

© Timescope

PARIS À TRAVERS LE TEMPS

Apprendre l’histoire de Paris au détour de ses cours, d’une expo ou d’un livre, c’est une chose. Pouvoir en faire l’expérience en direct à travers les yeux d’un Parisien de l’époque, c’en est une autre. C’est le projet complètement fou imaginé par Timescope, qui nous propose cet été de redécouvrir l’histoire de la capitale, sur les lieux mêmes où elle s’est déroulée.

C’est sur les quais de Seine, au niveau du pont Louis-Philippe, que commence cette balade pas comme les autres. Pendant une heure, munis d’un casque de réalité virtuelle et d’un casque audio, nous voici partis jusqu’au Pont-Neuf pour retracer plus de 2000 ans d’Histoire. Au programme, 1,2 km de marche, plus de 15 arrêts, et surtout un dépaysement complet, sans jamais quitter Paris. À chaque stop, il suffit de porter le casque de VR devant ses yeux, comme une paire de jumelles, pour que les alentours se transforment instantanément.

Dès la première capsule temporelle, autant vous dire que l’effet est immédiat. À 360° autour de nous s’étendent des marécages alors que les premiers hommes s’installent sur ce qui deviendra par

la suite l’île de la Cité. Et c’est tout simplement bluffant. De la création de Lutèce à la Renaissance en passant par la peste noire, la construction de Notre-Dame ou la crue de la Seine de 1910, chaque tableau est saisissant de réalisme et de précision.

Ce qu’on retient avant tout de cette déambulation, accessible à tous dès 8 ans, c’est la précision des images proposées. Toutes ont été réalisées avec des spécialistes, après consultation d’archives, de cadastres et autres documents afin de nous transporter au plus près de la réalité. Et l’on doit avouer qu’on est restée sans voix face à certaines scènes spectaculaires, comme l’incendie du pont au Change en 1621, ou les vues aériennes de la capitale qui ponctuent la visite. Casque vissé sur les oreilles pour une immersion totale et continue, on passe d’une époque à l’autre en un clin d’œil, pour redécouvrir Paris de façon marquante.

¤

Les Origines de Paris Pont Louis-Philippe – 3e À partir du 25 juin 2025 originesdeparis.com

LE BRUNCH DE L’ÉTÉ

Un brunch buffet ultra gourmand, un décor coloré… Rangez vos passeports, Miami Boulevard vous propose un voyage gustatif de folie en plein cœur de Paris.

Cet été, c’est décidé, on s’offre un aller simple pour la Floride sans même quitter Paris !

À Miami Boulevard, dans le 1er, c’est un voyage aussi unique que gourmand qui nous attend. Dans ce décor où fleurissent les couleurs pastel, on croirait avoir traversé l’Atlantique pour rejoindre les établissements qui bordent Ocean Drive.

Pourquoi c’est notre adresse favorite ? Parce que tous les samedis et dimanches de 9h à 16h, Miami Boulevard propose un brunch des plus alléchants. Présenté sous forme de buffet, on y trouve des plats salés et sucrés, ainsi que des boissons chaudes et froides et même des eaux détox. C’est bien simple, ici, le client se sert, tout est à volonté, et tout est inclus dans le prix imbattable de 29€.

Côté salé, il y a notamment les indétrônables œufs brouillés, omelettes, bacon, saumon fumé, quiches faites maison, mais aussi des salades fraîches et de saison et des pizzas au feu de bois. Grande nouveauté cette année, des grillades viennent s’ajouter au menu ! Viandes classiques, halal ou même légumes et pommes de terre pour les végétariens, tout le monde pourra se délecter de mets cuisinés au barbecue.

Un brunch ne serait évidemment pas un brunch sans les délices sucrés dont

on raffole tant. Il y a des fruits frais, certes, mais surtout des pancakes, gaufres, crêpes, donuts, cookies et autres pâtisseries qui nous font saliver rien qu’à y penser. La cerise sur le gâteau ? La fontaine à chocolat !

On arrose le tout avec un petit café, un jus d’orange voire un cocktail – Mimosa champ ou Sangria blanche –, et le tour est joué. On y retourne le week-end prochain ? ¤  L.G.

Miami Boulevard 19, bd. de Sébastopol – 1er

Tél. : 07 49 85 70 23 Brunch les samedis et dimanches de 10h à 15h

Tarifs : 29€, 20€ (-12 ans), gratuit (-3 ans) miami-boulevard.com  @miamiboulevardparis

TOUS SUR LES QUAIS

Pendant tout l’été, Chloé Charles, ancienne candidate de Top Chef, prend les commandes de Plat/form, une guinguette éphémère au bord de la Seine qui risque bien de devenir cette année le spot de vos soirées estivale.

Alors que les beaux jours commencent enfin à pointer le bout de leur nez dans la capitale, les open-airs fleurissent aussi vite que les cerisiers japonais. Et parmi eux, ce spot tout doux où dialoguent art, musique, gastronomie, mixologie et bonne ambiance, revient pour une deuxième édition qui s’annonce extrêmement gourmande.

En bas de la BnF, la terrasse éphémère Plat/form, un espace de 500 m², a tout pour vous séduire. C’est l’alternative parfaite au paquet de chips et au pack de bière pour profiter des quais tout en bénéficiant d’un cadre splendide, d’une cuisine de qualité et d’une programmation musicale incroyable.

Après Alexandre Marchand l’année dernière, c’est une autre cheffe également passée par les cuisines de Top Chef qui prend les rênes en 2025 : Chloé Charles. Grâce à des plats de saison, simples mais toujours justes, elle représente ce lieu qui cherche à redéfinir les liens entre art, engagement social et gastronomie.

Véritable laboratoire culturel, Plat/ form vous propose à la fois une offre de restauration à table et une offre de finger food au comptoir, à partager plus tranquillement. Assiettes à partager, plats gourmands ou pizzas réconfortantes, chacun est sûr d’y trouver son compte.

Le midi, on s’offre un délicieux déjeuner au soleil. Et le soir, on s’installe côté buvette pour s’ambiancer grâce à des animations et DJ sets incroyables. Au coucher du soleil, on déguste de délicieux cocktails et autres boissons estivales tout en profitant de la proximité de la Seine et de sa fraîcheur

bienvenue. Cerise sur le gâteau, tous les week-ends, c’est barbecue party, pour satisfaire les Parisiens en manque de jardin. Et comme la guinguette sera ouverte jusqu’au mois d’octobre, ça vous laisse largement le temps d’y aller encore, et encore, et encore, et… ¤  C.V.

PLAT/FORM

14, port de la Gare – 13e

Tél. : 07 69 78 72 29 Ouvert jusqu’en octobre 2025 plat-form.fr @plat.form.paris

QUATRE ROOFTOPS POUR CHILLER CET ÉTÉ

Il fait beau, il fait chaud, et rien de tel que de prendre un peu de hauteur pour admirer les sommets de notre belle capitale, un verre à la main !

Au Top

Un rooftop planqué comme on les aime, avec Paris en toile de fond et des assiettes qui sentent le soleil. Au Top, c’est cette adresse suspendue au-dessus du Marais, où le ciel flirte avec les fourneaux, et où chaque plat a le goût des vacances. Dans l’assiette, des produits ultra-sourcés, des cuissons maîtrisées et des saveurs qui transpirent le Sud. C’est l’adresse parfaite pour voir Paris d’en haut, et savourer un moment de douceur hors du temps avec cette vue imprenable sur les  toits de la capitale.

Au Top 93, rue Vieille-du-Temple – 3e

Hôtel Dame des Arts

Le rooftop aux accents italiens est de retour pour la saison estivale ! Rendez-vous sur le toit de l’Hôtel Dame des Arts, en plein cœur du Quartier latin, pour profiter des doux rayons de soleil dans une atmosphère chic et intemporelle. Face à Paris et ses plus beaux monuments, on se délecte de cocktails classiques revisités avec panache, comme le Spritz à la mangue et au vin orange, ou le Negroni truffé, le tout accompagné de quelques bons tapas aux saveurs de la Botte.

Hôtel Dame des Arts 4, rue Danton – 6e

Tuco Bar

Tuco, c’est le rooftop italien qui enchante la vue et les papilles. À l’image de l’Hôtel Wallace au décor italo-vintage, le lieu met la culture de la Botte à l’honneur. Dans les verres et les assiettes, charcuterie et fromages frais, bières et vins, tout est importé directement auprès de producteurs italiens. Côté cocktails, des classiques twistés aux saveurs de l’Italie, et des déclinaisons de Spritz savoureuses. Servi avec une bonne stracciatella et de la focaccia maison sur les toits de Paris, on n’a jamais été aussi proche du 7e ciel !

Hotel Wallace 89, rue Fondary – 15e

Han-Rooftop Guimet

Direction le 16e pour profiter de soirées festives cet été et jusqu’au 4 octobre 2025 ! Niché au sommet du musée Guimet, le Han Rooftop vous accueille les jeudis, vendredis et samedis soirs dès 19h pour vibrer au rythme des performances live et des DJ sets – To Van Kao, Mai Linh, Grace Kim et bien d’autres – et vous régaler avec la street food coréenne de Misso du restaurant de la cheffe Young-Hyung Lee.

Musée national des Arts asiatiques - Guimet 6, place d’Iéna – 16e

© David Giancatarina
© Hôtel Dame des Arts

Elle raconte l’adolescence comme une tempête, les soirées comme des refuges, l’humour comme une armure. Mahaut Drama fait rire, réfléchir et parfois les deux en même temps. Stand-uppeuse queer et politique, chroniqueuse chez Quotidien, elle joue partout où ça résonne et manie les mots avec autant de tranchant que de tendresse. Dans Que jeunesse se passe, son premier livre, elle signe une ode vibrante à l’amitié, à la fête, aux excès et à tout ce qu’on vit quand on pense que rien ne peut nous arrêter. Rencontre avec une femme libre, spontanée, drôle et résolument vivante.

FÊTE, FÊLURES ET SENTIMENTS

Dans Que jeunesse se passe, la fête est vraiment un personnage à part entière. Qu’est-ce qu’il représentait, cet espace, à cette époque ?

Je n’ai jamais vraiment arrêté de faire la fête, ça représente donc une longue période, de mes 13 ans à aujourd’hui.

C’était un endroit de récréation, sans règle, sans adulte. Je vivais avec ma mère qui était très stricte avec moi, et là je trouvais un espace dans lequel je n’étais pas critiquée, des sociétés autonomes où les règles de la vie de tous les jours n’existaient plus, tu pouvais avoir la personnalité que tu as et elle était célébrée. C’est agréable car on m’a toujours dit que j’avais un style particulier, que je m’habillais « trop », et quand j’ai trouvé le milieu queer, eh bien plus du tout. C’est aussi un lieu de liberté où le collectif est plus fort que l’individuel, j’y ai construit des amitiés fortes, ma famille choisie

qui ne m’a jamais laissée tomber. Et même si la fête est considérée par beaucoup comme quelque chose tenant du déséquilibre, pour moi c’est un endroit très rassurant.

Tu dirais que la fête a autant abîmé des choses chez toi qu’elle en a sauvé ?

Elle en a plus sauvé. C’était mon outil de développement, d’intégration aux autres, j’ai toujours trouvé ça plus intéressant d’être la plus folle ou la plus bourrée que la bizarre de la classe. Ça m’a offert une place, ça m’a permis de survivre jusqu’à maintenant. Je dirais que mes nuits ont sauvé mes jours. Et c’est parce qu’il y a plein de choses qui sont alignées dans ma vie aujourd’hui que je suis capable de passer à autre chose. Depuis la sortie du livre, j’ai commencé un travail vers la sobriété, rien n’est encore définitif mais je fais en sorte de passer à une autre période de ma vie.

À quel moment tu as senti que tu devais écrire ce livre ?

J’ai commencé à l’écrire pendant le confinement, juste pour moi, et puis j’ai laissé tomber. Un an ou deux après, une maison d’édition m’a proposé d’écrire un livre, j’ai envoyé ce que j’avais déjà commencé et iels ont adoré. Je ne me suis pas posé plus de questions à ce moment-là, j’ai fait ce témoignage pour passer à autre chose. Et plus tard, un ex qui est l’un de mes meilleurs amis a retrouvé des feuillets que je lui avais envoyés quand j’avais 22 ans, dans lesquels je parle des mêmes sujets que dans le livre, ma famille, le besoin d’être belle… Là, j’ai compris que ça avait toujours été en germe. Et la conséquence à laquelle je ne m’attendais pas, c’est que ça a débloqué pas mal de choses avec mon père et que ça a ouvert la conversation.

Qu’est-ce que ça change, de mettre des mots sur une période qu’on a passée à essayer de survivre sans trop y penser ? Ça clôt un chapitre. Le témoignage est là, il appartient à qui veut le lire. J’ai toujours eu peur de perdre la mémoire, j’ai toujours eu plein de journaux intimes, et là c’est la formule ultime du journal intime. C’est important d’écrire les choses pour les expier. Il y a cette histoire que je raconte à la fin du livre qui est une histoire vraie : à cause de la précarité à Paris, j’ai dû loger chez un marchand de sommeil, on était assez nombreux et il y a un dealer qui s’est mis en tête de me tuer… J’ai enfin commencé à en parler à une psy, je sentais qu’il fallait que je m’en débarrasse. Je garde aussi en tête la difficulté de percer dans le stand-up, j’en parle beaucoup et j’aime à penser que ça peut être un petit guide. Ce qui m’a permis de dépasser les difficultés, c’est l’amitié : j’ai créé la première scène de stand-up queer et féministe avec Tahnee et deux amies qui nous ont rejointes, et c’est parce qu’on est ensemble qu’on va plus vite. J’ai aussi reçu des messages de jeunes stand-uppers qui

© FIFOU

me remerciaient et qui se reconnaissaient dans les difficultés que j’aborde.

Tu n’avais pas de modèle à qui t’identifier, toi ? Non mais il y avait des gens que je trouvais inspirants, engagés, qui voulaient dire quelque chose. Shirley Souagnon, Tania Dutel, Haroun… Hyper drôles, hyper intelligents. Ils m’ont montré que le stand-up pouvait être un bon vecteur d’idées.

À quel moment tu t’es dit que tu allais transformer cette armure qu’est l’humour en métier ?

Je ne me le suis jamais vraiment dit. Je me suis dit que j’allais tenter ma chance, voir si des gens intelligents pensaient que j’avais du potentiel, ce qui a été le cas. J’ai commencé le stand-up à 21 ans mais je ne l’ai pas envisagé comme un métier avant que ça ne le devienne, entre 2022 et 2023, donc à 27 ans, quand j’ai commencé à tourner avec un spectacle, gagner des cachets et que je suis rentrée à France Inter. Je ne me faisais pas trop d’espoir avant ça car j’avais trop testé de jobs, le théâtre, le graff, le journalisme, et je savais que les choses ne dépendaient pas que de moi, c’est une histoire de rencontres et de planètes qui s’alignent. Tout ce que je savais, c’est que je ne voulais pas travailler dans un bureau, c’était ma dernière chance, ma dernière tentative pour pouvoir m’exprimer librement.

Ça te permet de te réconcilier avec ces fêlures avec lesquelles tu joues ? Je dirais que oui. J’étais une enfant différente, j’ai dû m’adapter et c’est une joie que ça ait marché et que je sois arrivée dans un milieu dans lequel une personne comme moi est valorisée. Dans le stand-up, on aime les fous. Ils se jettent sur scène, ils s’en foutent… Forcément c’était mon endroit ! En plus tu vaux ce que tu es, c’est-à-dire que c’est un des seuls métiers dans lequel tes faiblesses deviennent tes forces. Je suis la fille déglinguée, un peu intello mais en même temps vulgaire, et c’est devenu ma force. C’est d’ailleurs le seul

job duquel je n’ai pas été renvoyée de tous ceux que j’ai eus.

Tu touches à des luttes importantes. Est-ce qu’il t’arrive encore de t’auto-censurer ? Je suis obligée car j’ai été harcelée par l’extrême-droite il y a un an, ça a pris des grandes proportions, et aujourd’hui je dois faire un peu plus attention à ce que je choisis de dire pour ma sécurité. Autant que je reste en vie, que je sois utile et que je continue à faire passer des messages en m’autocensurant un peu. Je vois bien que les choses ont changé depuis quelques années. Rien que par rapport à mon arrivée chez Inter à l’époque, j’entrais dans la cour des grands avec la bande d’Inter, Guillaume Meurice, Waly Dia, Charline… Un an après on passait à une fois par semaine et ensuite on a tous été renvoyés. C’est insidieux, mais on enlève Les Guignols, on enlève ça… À la fin, où reste le contrepouvoir, avec le droit de se moquer et le droit à la satire qui est hyper important pour prendre la température d’une démocratie ?

¤ Sarah Sirel

Que jeunesse se passe, éd. Robert Laffont, déjà disponible

Drama Queen, le 3 décembre 2025 aux  Folies Bergère – 9e

UN ÉTÉ FESTIF

Bélier

SPÉCIAL ÉTÉ

21 mars – 19 avril

Un été assez stressant pour vous mes fonceurs entêtés, je vois des plans annulés, certainement une rupture ou un airbnb annulé par l’hôte. Quoi qu’il en soit, ça sera improvisé, et ça, vous n’aimez pas trop ! Courage ! Attention aux propositions de jeux de société, certaines parties peuvent s’avérer dangereuses…

Gémeaux

21 mai – 21 juin

Les Gémeaux sont dans un nouveau cycle astral, après une grosse période de doute de plus de douze ans, vous vous ouvrez enfin au monde et à ses plaisirs, j’en vois beaucoup à Ibiza ou en Grèce, en tout cas sur une plage chère et moche, sans complexe, à aimer la vie… Celle-ci vous le rendra.

Lion

23 juillet – 22 août

Beaucoup de Lion passent les vacances en couple et décident de tout miser dessus. Et tout se passerait bien si une fois de plus votre narcissisme n’allait pas tâcher ce tableau idyllique… Ah les Lion, on vous aime mais vous nous breakez quand même bien les feet.

Taureau

20 avril – 20 mai

C’est dark un peu pour vous les Taureau aussi cet été, je préfère vous le dire, ça sera pas un gros été de chope et de farniente, mais plutôt de remise en question. Je vous vois en location, seul·e, en train de checker la météo avec des animaux qui courent autour de vous !

Cancer

22 juin – 22 juillet

Vous faites des économies les Cancer, vous restez chez les darons ou vous vous faites prêter des apparts. Boooooring ! Vous passez des vacances raisonnables mais cela ne vous dérange pas car, célibataires, je vois que ça marche plutôt bien pour vous sur le plan des désirs charnels (oui oui, je parle de sexe).

Vierge

23 août – 22 septembre

Un été placé sous le signe du sexe qui va être une manière pour vous de régler vos légers conflits amoureux. Je vous vois au Brésil ou dans une ambiance tropicale, un truc bien cher et assez inutile vu que vous passez votre temps à l’hôtel.

Coucou

mes petites loutres ! Je sais que vous êtes de plus en plus à douter de mes pouvoirs, ainsi je vais vous dire avec exactitude ce que vous faites cet été, par signe. Je vous le souhaite délicieux, et que ceux qui ont un été pas top se rassurent, je vois une rentrée absolument frapadingue. Miss Raph comme toujours accompagné de Perlouze et sa boule magique.

¤ Miss Raph & Perlouze

Balance

23 septembre – 23 octobre

Les Balance ne prennent pas de vacances avant septembre, car je vois une agrafeuse dans ma boule. Rester au boulot en août ne vous aidera pas à obtenir une promotion, répondre aux appels entrant et finir à 16h17 ne constitue pas pour moi un travail tel que le monde de la win le conçoit. Mais on vous embrasse.

Sagittaire

23 novembre – 22 décembre

Vous, vous partez en club de vacances Belambra. Vous trouvez un bon équilibre entre consumérisme inutile et ennui, mais c’est pas vous ! Échappez-vous, quittez femme, mari, amis, belle famille et enfants, vous ne les aimez pas ça crève les yeux, et ouvrez votre cœur à ce·tte jardinier·e qui vous fait de l’œil.

Verseau

21 janvier – 18 février

Je vois des Verseau qui boudent avec un bob sur un pédalo. Vous n’êtes pas content parce que votre maman a refusé de vous payer une glace sur la place du marché. Apprenez de vos erreurs passées et voyez la vie autrement, c’est vous qui avez tâché votre short avec un sorbet aux fraises, pas votre mère.

Scorpion

24 octobre – 22 novembre

Une situation se décante, je vois du sexe à foison et un certain art de vivre qui ferait pâlir des gens de la Renaissance. Vous allez redécouvrir vos sens grâce à une rencontre étonnante, ou alors un vieux pote que vous connaissez déjà. Attention aux parcmètres l’été, ça douille !

Capricorne

23 décembre – 20 janvier

Vous partez dans un endroit très cher et pas top.

Cela vous apprendra à tout organiser 6 ans à l’avance et ne pas laisser une part de liberté dans l’organisation de vos vacances. Vos proches ne vous supportent plus, il va falloir entamer une thérapie de groupe les Capricorne, tous ensemble, pour changer.

Poissons

19 février – 20 mars

Votre conjoint·e va vraiment faire un truc qui va vous saouler. En plus, j’ai la carte de l’âme sœur qui sort donc vous êtes à deux doigts de manger les mêmes crêpes hors de prix en bord de mer, mais avec quelqu’un qui a vraiment des choses intéressantes à vous raconter. À club méditer !

L’ÉTÉ ON Y EST

Pour passer une annonce, rien de plus simple, envoyez un mail à : quentin.m@lebonbon.fr

Félicitation

le Bonbon FC, 2ème Championnat ! Très belle performance !

Bravo Juliette pour les illus

Profite de ton

Chômage Lifestyle Amber la LarbineQueen !

Bienvenue Deborah : )

Hâte de vadrouiller sur les côtes catalanes avec toi !

Tous à mon mariage avec mon « Jardinier » Lune de miel à Buenos Aires chez Lucia !! Merci à toutes et tous !

Carles

@romanceromance_ « Recherche Appart désespérément » 9/18e 700€ MAX, Bon dossier Ne mord pas

Regarde ma petite Wan tu es dans le magazine !

Tu es la plus forte et la plus fabuleuse des mamans, love you

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