


Confiseur
Rédactrice en Chef
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Jacques de la Chaise
Rachel Thomas
Maria Sumalla
Clémence Varène
Marion Sammarcelli
Lucie Guerra
Sarah Sirel
Stagiaire Rédaction
Conseiller Éditorial
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Conceptrice-Rédactrice
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Tania Szpiczak
Pierre Echardour
Perla Amar
Benjamin Haddad benjamin.h@lebonbon.fr
Tél. : 06 20 23 54 49
Tél. : 01 48 78 15 64
15, rue du Delta – 9e
510 580 301 00040
Vous savez comment différencier un Parisien en vacances et un Parisien qui a repris le boulot ? À sa démarche. Ou plutôt, à sa vitesse de déplacement.
Le Parisien (et la Parisienne, bien entendu) dans son environnement naturel est un animal véloce, vif, agile. Nourri au jambon-beurre, au café noir ou à l’avocado toast, il peut atteindre – lorsqu’il est en forme, ou bien en retard – des vitesses de pointe tout à fait honorables pour un bipède.
Approchez, mais sans bruit : regardez, là, deux Parisiens dans le couloir du métro. Observez cette grâce, ce balancier précis, cette concentration féroce vers leur objectif, ce dédain absolu pour ce qui les entoure, tout leur être est porté par l’efficacité de leurs foulées, et d’un réflexe inné, ils esquivent les bancs de touristes.
Et là, sur ce boulevard, une Parisienne en talons aiguilles. Admirez la souplesse du mouvement, la technicité du pas sur pavé irrégulier. Elle consulte sa montre : oui, elle sera à l’heure à son rendez-vous.
Les zoologistes sont unanimes : les Parisiens ne marchent pas, ils foncent, roulent, cavalent, slaloment. Et avalent en moyenne entre 7 et 9 kilomètres par jour, entre leur boulot, leur bistro, leur resto et leur dodo.
Heureusement, leur frénésie connaît parfois un bref répit : lorsqu’ils tombent sur un Bonbon qui les invite à flâner.
Allez, finis les tongs. Bonne rentrée, les Bonbons !
¤ Mikado
Le Théâtre Lepic et le Théâtre Des Béliers présentent
« LA FIN DU MONDE EN VERSION MONTY PYTHON. UN RÉGAL. GÉNIALISSIME ! » LA PROVENCE
« C’EST FOU, C’EST DRÔLE, C’EST FRAIS. ON EST BLUFFÉ ! » L’AFFICHE
Une pièce de et mise en scène par LANCELOT CHERER
Avec EUGÉNIE THIEFFRY BAPTISTE DUPUY en alternance avec ENZO MONCHAUZOU et LANCELOT CHERER
On ouvre les portes de la Bpi !
Après six mois de déménagement, la Bpi rouvre ses portes dans l’immeuble Lumière, près de Bercy Village. Au programme : plus de 317 000 ouvrages, 1 500 places de travail, une salle musique, un salon jeux vidéo et une cafétéria. Toujours gratuite et sans inscription, ce paradis du savoir conserve son esprit : libre accès et programmation culturelle foisonnante. Un nouveau chapitre s’ouvre pour ce lieu culte parisien !
Bpi
40, av des Terroirs de France - 12e
On explore le centre culturel de Paris avec les Traversées du Marais
Du 5 au 7 septembre 2025, les Traversées du Marais vous embarquent pour une 11e édition riche en découvertes ! Au programme, 30 propositions culturelles et surtout une déambulation gratuite durant trois jours, dans une vingtaine de lieux parisiens aussi incontournables qu’insolites et atypiques. Concerts, expositions, installations spectacles… Il y en a pour tous les goûts !
Les Traversées du Marais
Du 5 au 7 septembre 2025
On voyage au coeur des fables de La Fontaine
Alors que les enfants reprennent le chemin de l’école, la Cité Immersive des Fables, dans le 8e, transforme ses 1 000 m2 d’espace en une véritable expérience sensorielle où les célèbres fables de La Fontaine prennent vie sous vos yeux. Un nouveau parcours immersif entre spectacles, vidéoprojections et dispositifs ludiques avec un casting 5 étoiles en prime.
Fables Immersives
Cités Immersives
5, rue de Berri – 8e
Ouverture en septembre 2025
On célèbre l’art urbain à la Gaîté Lyrique
Après avoir sillonné la France, le Hip Hop
Talents – contest qui célèbre les cultures urbaines – célèbre sa grande finale à la Gaîté Lyrique le 13 septembre. Une journée entre rap, danse et street-art, qui sacrera trois chanceux lauréats, avec un jury d’exception où l’on peut compter notamment le rappeur Rim’K ou encore l’animateur radio Fred Musa.
Hip Hop Talents
Gaîté Lyrique
3 bis, rue Papin – 3e Samedi 13 septembre 2025 à 14h
On investit dans de belles fenêtres en bois
C’est la rentrée, c’est le moment idéal pour préparer son nid douillet pour la saison automnale qui arrive à grand pas. Et contre la descente drastique des températures, on a trouvé une solution : de bonnes fenêtres. Spécialisé dans celles en bois, 1001 fenêtres sera votre meilleur allié. Finitions parfaites, excellent rapport qualité-prix... N’hésitez plus !
1 001 fenêtres
71, rue Condorcet – 9e
Tél. : 01 45 33 03 86
On fait le plein de visites avec les Journées européennes du Patrimoine
Du 19 au 21 septembre, Paris se transforme en un vaste terrain de jeu à l’occasion des Journées européennes du Patrimoine. Comme chaque année, il est possible de (re)découvrir des monuments incontournables de la capitale, des Invalides à l’Élysée... mais aussi de profiter de ce week-end pour sortir des sentiers battus.
Journées européennes du Patrimoine
Du 19 au 21 septembre 2025
On le sait, le mois de septembre, ce n’est jamais facile. Entre le retour au travail et la fin de l’été, il y a de quoi déprimer. Mais heureusement, on vous a trouvé une cantine absolument parfaite pour égayer un peu vos journées. Rendez-vous dans le 9e pour découvrir Cocottes gourmandes, un resto de quartier comme on les aime, où l’on mange bien. Très bien.
C’est dans le cœur vibrant du 9e qu’Amine vous accueille tous les midis de la semaine, pour une pause-déjeuner aux petits oignons. Ici, le principe est simple, vous choisissez votre protéine et vos accompagnements pour réaliser une assiette qui vous ressemble, dans la plus pure tradition de la cuisine française. Des plats gourmands, réconfortants, que l’on a tous dégustés un jour chez ses grands-parents : rôti de porc, fricassée de volaille à l’ancienne et hachis parmentier, gratin dauphinois, épinards à la crème ou encore petits pois carottes. C’est d’ailleurs chez sa propre « mémé » que notre hôte est allé puiser 75% de ses recettes.
Et une chose est sûre, elle cuisinait visiblement très bien. À peine entré dans cette petite cantine (qui dispose d’une terrasse pour profiter des derniers jours de beau temps), on est happés par des odeurs plus qu’alléchantes. Et le résultat dans les assiettes est plus qu’à la hauteur. Il faut dire que tout est confectionné sur place, par de vrais cuisiniers, avec des ingrédients sourcés, à 99% d’origine française, bio ou
à Haute Valeur Environnementale (HVE). Les plats s’adaptent aux saisons, et varient régulièrement pour ne jamais nous lasser, même si les grands classiques, comme l’incroyable purée façon Robuchon, sont dispos (presque) tous les jours. Le restaurant offre un service de restauration sur mesure pour les entreprises et les particuliers, adaptable à tous les besoins.
Et pour respecter la plus pure tradition française, toutes les préparations passent bien évidemment par des cocottes, et par n’importe lesquelles, les célébrissimes cocottes Le Creuset. D’ailleurs, le restaurant est devenu il y a peu revendeur officiel de la marque, et si vous venez vous régaler, vous pouvez bénéficier d’une réduction de 10% sur l’un des produits de leur catalogue. On adore ! ¤
C.V.
Cocottes Gourmandes 14, rue de Châteaudun – 9e Du lundi au vendredi de 11h45 à 14h cantinecocottesgourmandes.com
Il y a les opticiens classiques, et puis il y a La Fabrique de Lunettes, cette adresse incontournable du boulevard du Temple où l’on ne vient pas seulement corriger sa vue, mais aussi affirmer son style. Envie d’un relooking de rentrée ? C’est par ici !
Dès l’entrée, on oublie les néons tristes et les vitrines sans âme. Le décor donne le ton : ambiance fifties, fauteuils vintage, magazines à l’ancienne et douce odeur de café. Ici, l’essayage se transforme en véritable moment de plaisir : on prend son temps, on essaie, on échange avec une team d’experts dans un cadre qui ressemble plus à un salon qu’à une boutique.
L’accueil est chaleureux, personnalisé, et chaque client est accompagné de l’examen de vue au choix final des montures. Une chose saute aux yeux : Alexis et son équipe connaissent leurs collections sur le bout des doigts et n’hésitent pas à sortir LA paire introuvable ailleurs, celle qui colle parfaitement à votre visage et à votre style. Pas de frames sages ni fades, mais de belles pièces pour femmes et hommes confondus.
Mais leur vrai twist, ce sont les services : location de lunettes pour une soirée ou quelques jours, coin réparation pour donner une seconde vie à vos anciennes montures, montage express pour les pressés, et même un abonnement à 180 € par an pour changer de lunettes comme on change de mood.
Tous les verres sont fabriqués en France, et chaque correction est expliquée simplement pendant l’examen de vue (qui peut d’ailleurs se faire directement sur place, si votre ordonnance date de moins de 3 ans). Côté pratique, on peut même payer en quatre fois. En somme, un lieu où l’on ne vient pas seulement y voir plus clair, mais aussi en sortir plus beau !
¤ R.T.
La Fabrique de Lunettes 11, bd du Temple - 3e
Les 13 et 14 septembre, le magazine Sphères investit le tiers-lieu Césure pour lancer la première édition de son festival. Un événement haut en couleur, qui célèbre les communautés artistiques et celles et ceux qui les font vibrer.
De l’art, de la fête, de la culture et des rencontres : il semblerait que Sphères ait rassemblé tous les ingrédients d’un festival parfaitement réussi. Et on vous conseille de vous préparer parce que les 13 et 14 septembre prochains, le Sphères Festival promet de marquer les esprits et de faire autant de bruit qu’il ne mettra des paillettes dans votre vie.
À cette occasion, cinq communautés artistiques auxquelles le magazine trimestriel a consacré une édition sont invitées et chacune est représentée par une marraine ou un parrain à la fois ambitieux, talentueux et inspirant : Paloma pour les Drag Queens, Marvin Bonheur pour la photographie, Camille Cabanis pour la mode, Dodie pour les tatouages et Vinii Revlon pour la danse.
Au programme ? De quoi se régaler et s’ambiancer, bien sûr, mais aussi un marché de fripes et designers de seconde main, des tatouages flash, et l’exposition photos Racines consacrée au travail de Louisa Ben, Sybe et Armony Dailly sur les femmes de classes populaires et des minorités. À cela s’ajoutent un atelier de voguing
animé par Mariana Benenge et GG Palmer, un drag show de Mascadrag — qui clôturera également la journée du dimanche —, un autre de Paloma, Ruby on the Nail et Sergueï, ainsi qu’un DJ set assuré par Séquence Crew et Nick V, le samedi 13 septembre.
Le dimanche 14 prolonge les festivités : on retrouve le marché, les tattoos, l’exposition, mais aussi une série de talks engagés menés par Piche, Dodie, Paloma, Fashion Quiche et bien d’autres invité·e·s. Chaque communauté présentera ainsi un programme singulier, pétillant et fédérateur.
Et pour accueillir un tel événement, le lieu n’a pas été choisi au hasard. Le rendez-vous est donné à Césure, dans le 5e, véritable temple du monde associatif, artistique et solidaire à Paris. Prêt·e pour la fête ? ¤ L.G.
Sphères Festival Césure
13, rue Santeuil — 5e Samedi 13 septembre 10h-22h30
Dimanche 14 septembre 10h-20h spheresfestival.com
Ça y est, septembre a pointé le bout de son nez ! C’est parti pour une nouvelle et fabuleuse année et on vous propose de l’entamer tambour battant. Films, musiques, livres, expos... On vous a déniché les plus grandes pépites de la rentrée à dévorer sans modération. Préparez-vous à vous faire plaisir et à briller en société !
Les Jardins perdus, Rouda Juillet 2023. Alors que la cité des Jardins perdus est à feu et à sang suite à des émeutes, Zac apprend que son frère Martin a disparu. S’il soupçonne au départ une passion amoureuse de jeunesse, très vite, la rumeur se répand. Son petit frère serait sous l’emprise d’un groupuscule d’extrême droite. Zac décide de suivre le même chemin que celui qu’il considère comme son meilleur ami pour le retrouver. Avec Les Jardins perdus, Rouda nous offre une fresque sociale et familiale portée par une plume légère et poétique, au rythme sans faute.
Éditions Liana Levi
En librairie depuis le 28 août 2025
Sirāt, par Óliver Laxe
Sirāt, c’est l’ovni du Festival de Cannes, celui que l’on n’attendait pas, une virée en enfer psychédélique, disent les critiques, véritable révélation partie d’un scénario pour le moins surprenant : un road trip au cœur des montagnes marocaines, empêtré dans une rave clandestine avec, en toile de fond, la recherche de Mar, ado égarée. Couleurs entêtantes, ambiance apocalyptique et quête spirituelle guident une famille marginale qui ne sera pas épargnée par le voyage, nous faisant relativiser sur nos petits tracas de rentrée.
En salles le 2 septembre 2025
Exposition Excessivement savoureux, de Kova
Notre plasticienne chouchou KOVA investit la galerie L’œil Bleu avec Excessivement savoureux, une expo libre et instinctive autour de la cinquième saveur, l’umami. Entre peinture, gravure et céramique, elle explore désir, plaisir et limites dans un souffle organique et coloré. Un solo show intense où se mêlent contrôle et exubérance, finesse et énergie brute.
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Excessivement savoureux, de Kova
Du 11 au 14 septembre
Galerie l’oeil bleu 32, rue Notre Dame de Nazareth - 3e
Cripple Crow (20th anniversary deluxe edition), de Devendra Banhart
C’est un anniversaire exceptionnel : l’album Cripple Crow de Devendra Banhart célèbre ses 20 ans. Et pour l’occasion, l’album sorti en 2005 sur XL Recordings, fait peau neuve et ressort son nouveau label, Heavy Flowers. À quoi s’attendre ?
À une incroyable dose de folk et surtout une édition limitée triple vinyle avec neuf morceaux supplémentaires dont cinq démos inédites et deux titres live jamais publiés.
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Sortie le 12 septembre 2025
À deux pas de la place de Clichy, Squisito est une adresse mêlant épicerie fine et comptoir traiteur qui transporte nos papilles jusqu’en Italie. On a goûté, adoré et… on a déjà envie d’y retourner !
Saviez-vous qu’un petit coin d’Italie s’est installé à Paris ? Il s’appelle Squisito, « exquis » en italien. Un nom qui n’a pas été choisi au hasard : dans cette boutique entre épicerie et traiteur, nichée dans le quartier des Batignolles, tout y est justement exquis. Derrière ce projet, Claudio, chef cuisinier originaire des Pouilles, bien décidé à faire briller
les saveurs de son pays natal au cœur de la capitale française.
Chez Squisito c’est bien simple, on mange comme en Italie. Tous les mets proposés sont 100 % italiens, inspirés des recettes traditionnelles de la mamma — « les meilleures, bien sûr », souligne Claudio. Sur les étagères, côté épicerie, on retrouve pâtes, vins, sauces, huile d’olive, fromages et charcuteries tout droit importés d’Italie. Mais c’est du côté traiteur, que la magie opère : entre le rouge éclatant des tomates, le vert de la roquette et le doré des arancini, c’est une véritable explosion de couleurs qui s’offre à nous.
Chaque jour, Claudio et son équipe mettent un point d’honneur à confectionner les plats maison, selon les règles et traditions locales : pizza al taglio (à la coupe), focaccia farcie ou façon pugliese, avec une pâte maison aussi légère que croustillante, arancini, mais aussi des lasagnes et plats du jour renouvelés quotidiennement. Sans oublier les options végétariennes, vegans et sans porc, toujours au rendezvous. Les amateurs de douceurs ne sont pas en reste avec le Tiramisu revisité au fil des saisons (café, pistache, citron, fraise, nocciolata…), les Pasticciotti, le fondant au chocolat et autres délices
sucrés tout aussi gourmands et faits maison, qui nous font fondre de plaisir.
Et sans surprise, Squisito séduit les grands comme les petits ! Entre la clientèle de bureau et les habitants du quartier, on y vient autant pour l’accueil chaleureux que pour savourer, sur place ou à emporter, une cuisine généreuse et authentique. Goûtez, vous verrez : vous aussi, vous trouverez ça « squisito » ! ¤ L.G.
Squisito 16, bd des Batignolles — 17e
Du mardi au samedi @squisito.paris17e
En septembre, l’Atelier des Lumières propose une nouvelle exposition immersive qui vous transporte sur la Lune, aux côtés d’une personnalité bien connue dans l’univers du cinéma.
L’Atelier des Lumières continue de nous surprendre comme de nous éblouir. Après l’annonce récente du retour de l’exposition consacrée à Van Gogh, le célèbre musée immersif parisien se tient prêt à vous embarquer pour un nouveau voyage des plus célestes. À partir du 24 septembre 2025, préparez-vous à mettre le cap sur la Lune. Et vous n’allez pas être seul·e dans cette aventure singulière. Une voix qui vous sera probablement familière, vous accompagnera tout le long de l’expérience.
C’est aux côtés de l’acteur Tom Hanks — co-auteur de l’expérience avec Christopher Riley — que vous allez pouvoir profiter de ce nouveau voyage « Destination Lune ». Après le grand succès qu’elle a rencontré à Londres, l’expérience immersive pose pour la toute première fois ses valises en France à la rentrée. Entre projections monumentales et bande-son originale enregistrée avec le Royal Philharmonic Orchestra, vous allez avoir l’impression de vivre une expérience spatiale unique au cœur d’un vaisseau. Des missions Apollo aux prochains voyages prévus avec le programme Artémis, la conquête de la Lune n’aura plus aucun secret pour vous.
L’intégration de Tom Hanks à ce projet n’est pas un hasard. L’acteur et réalisateur voue une passion pour tout ce qui a attrait à l’exploration spatiale. Un appétence qui s’est retranscrite dans son travail : il a joué dans le film Apollo 13, co-écrit le film Magnificent Desolation : Walking on the Moon 3D, et produit la série From the Earth to the Moon. Pour cette version parisienne de l’exposition qui mêle documentaire et émotions, c’est Jean-Philippe Puymartin, la voix française de l’acteur qui sera le narrateur. Paré·e au décollage ? ¤ L.G.
Destination Lune : un voyage immersif avec Tom Hanks Atelier des Lumières 38, rue Saint-Maur — 11e À partir du 24 septembre 2025 atelier-lumieres.com
Ça y est, c’est la rentrée. Le retour du métro-boulot-dodo, le bronzage qui se fait la malle et la météo automnale qui commence déjà à pointer le bout de son nez. Alors pour égayer tout ça, on découvre les nouvelles tables parisiennes qui sauront donner du peps (et de nouvelles saveurs) à ce mois de septembre.
L’Envie le Banquet
Après Orgueil et la Colère, ces deux adresses parisiennes à gros succès, le chef Eloi Spinnler continue son aventure parmi les sept péchés capitaux et s’attaque cette fois-ci à l’envie avec un tout nouveau restaurant qui redonne sens au buffet à volonté. Une adresse moins bistronomique, plus lâcher prise, dans un grand espace de 500 m2 dans le Marais. Au menu ? Une centaine de propositions toutes faites maison, dont 60 salées, 15 fromages et 25 desserts.
148, rue du Temple – 3e Plus d’infos sur lebanquet.paris @bonaloi.paris
Palacio
Nouveau lieu festif entre théâtre, gastronomie et spectacle, le Palacio vous plonge dans un décor somptueux et quelque peu sulfureux, entre velours, lumière tamisée, colonnes romaines et grands palmiers. Et à l’heure du dîner, on célèbre le Pays basque avec des pintxos revisités et cuissons à la braise, le tout en admirant un show orchestré par danseur·euse·s, acrobates et performeur·euse·s en tout genre.
3, rue Taitbout – 9e
Plus d’infos sur palacioparis.com @palacio.paris
La Fondation
Ouvert au printemps dernier, La Fondation – lieu de vie entre hôtel, rooftop, spa, mur d’escalade – continue de se dévoiler et ouvre son deuxième restaurant au public. Après sa brasserie au rez-de-chaussée, on se retrouve donc au 8e étage pour une ambiance plus bistronomique, avec au menu, une vue à couper le souffle, une déco design à souhait, une terrasse cosy et de belles assiettes portées par les talents du chef Thomas Rossi.
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La Fondation
40, rue Legendre – 17e
Plus d’infos sur lafondationhotel.com @lafondation.paris
Le Bon Bock
En 2025, le Bon Bock s’offre une seconde jeunesse ! Véritable institution du 18e, l’adresse a été reprise et remise en valeur par les anciens propriétaires du Petit Bouillon Pharamond (Benjamin Moréel et Christopher Prêchez) qui remettent le couvert cette fois-ci dans le plus ancien restaurant de Montmartre. Ouvert depuis 1879, le resto nous embarque dans le Paris d’antan, avec décor rétro et cuisine française pointue.
Le Bon Bock
2, rue Dancourt – 18e
Tél. : 01 42 58 95 52 @lebonbock_montmartre
Cette année, L’Écritoire, papeterie emblématique et familiale au cœur de Paris, célèbre ses 50 ans. Un anniversaire grandiose qui marque un demi-siècle d’excellence, de délicates attentions et de fabuleux mots couchés sur le papier.
Il est de ces adresses parisiennes dont on ne peut s’empêcher de vanter les mérites à quiconque voudrait l’entendre, une fois découvertes. Certainement, L’Écritoire en fait incontestablement partie. Discrètement nichée dans le passage Molière, cette papeterie maîtrise aussi bien l’art de l’écriture et des mots que l’illustre écrivain ayant donné son nom à la rue. Cartes, carnets, stylos, plumes, porte-plumes, encres, sceaux… Ici, les étagères boisées abritent tout le nécessaire pour écrire les plus belles des histoires.
Et justement, la plus belle de toutes est celle de la création de ce lieu comme il n’en existe aucun autre. C’est en 1975, que Sofie, alors âgée de 20 ans, fonde cette boutique en réunissant les héritages de ses deux grands-pères : l’un possédait un local de 17m2, l’autre dirigeait une entreprise d’encriers scolaires qui existait depuis la fin du 19e siècle. « Ma mère a alors récupéré tous les godets, les a installés dans
ce fameux local, et c’est là que L’Écritoire est né. C’était une histoire de coïncidences », affirme Valentine, sa fille, désormais à la tête de l’entreprise familiale. Au fil des années, l’offre de produits s’est enrichie de cartes postales, carnets et autres merveilles, jusqu’à devenir une papeterie comme on les imagine.
Depuis, 50 ans se sont écoulés et L’Écritoire continue de jouer un rôle essentiel dans la vie des Parisien·ne·s et des visiteurs de passage. « C’est surtout un endroit de rencontres. C’est ce qui m’a toujours animée : je reste ici et le monde entier vient me rendre visite », confie-t-elle. Un cadeau, une intention… Valentine se montre optimiste et confiante quant à l’avenir de cette institution : « Il y a un retour du goût de l’écriture, de prendre le temps de faire les choses, de se poser, réfléchir, créer… Les gens adorent farfouiller, regarder une carte qui va faire plaisir à quelqu’un qu’ils aiment. » ¤ L.G.
L’Écritoire
26, passage Molière — 3e Lundi au Vendredi de 11h-19h Dimanche de 15h30-18h30 lecritoire.fr @lecritoireparis
Crooner cabossé, toujours à contre-courant, Baxter Dury chante les échecs comme d’autres écrivent des hymnes.
À 53 ans, l’éternel outsider élégant troque le costard froissé contre des machines lumineuses le temps d’un disque futuriste et dansant, Allbarone, où l’autodérision se mêle au désir et où les losers de Shoreditch croisent les fantômes de Pigalle. Rencontre avec un hyperactif funambule de l’attention qui ne tombe jamais vraiment.
Allbarone, c’était un terrain d’expérimentation écrit dans l’urgence. Qu’est-ce que ça change de composer sous pression ?
C’était parfait pour moi en réalité. Je n’avais pas le luxe de réfléchir trop longtemps, c’est vite devenu une sorte de dîner de Noël permanent, un joyeux bazar avec un peu de tout et beaucoup de rien. Avec Paul Epworth (producteur d’Adele et Florence & The Machine, ndr), on travaillait tous les jours pendant des heures, et je devais réagir vite en écrivant les textes entre nos sessions. Cette spontanéité empêche l’ego de s’installer. On ne se demande pas si c’est génial, on avance. J’avais besoin de ce rythme pour que les morceaux sonnent justes. C’était assez nouveau, je ne travaille pas toujours de cette manière mais c’est très plaisant d’alterner justement. Tu vois, c’est mon 8e album, et changer régulièrement ma manière de travailler c’est ce qui me permet de continuer aussi longtemps.
Le premier jour en studio avec Paul Epworth, tu joues tes morceaux et il les zappe aussitôt.
Tu dis que ça t’a soulagé.
Oui, parce qu’au fond j’en avais marre de mon propre son. Il m’a coupé la route d’un truc confortable mais stérile, et je crois qu’il a compris ce que je n’osais pas faire. Moi, j’aurais pu continuer à me répéter. Comme je te disais, tu rentres vite dans une spirale, des habitudes… Lui a imposé un cadre plus radical et ça m’a obligé à me jeter dedans. Finalement c’était libérateur. Il a cette façon presque télépathique de voir la musique : il ne cherche pas à plaire, il veut que ce soit brillant, sinon ça finit à la poubelle. C’est rude mais efficace.
Avec Allbarone, tu as pris un virage plus électro. C’est la mort du crooner crade en costard ?
Non, il est toujours là, mais il est sorti en boîte. C’est un alter ego en pleine rave. Je n’ai pas abandonné l’ironie ou les personnages pathétiques, mais la musique les porte différemment. C’est moi, mais version cyberpunk.’
Tu prends toujours plaisir à te moquer de personnages pathétiques mais attachants. À quel moment tu réalises que tu parles de toi ?
Comment tu as deviné que je parlais de moi ? Ok, j’avoue, mais je parle aussi de tous ces mecs un peu paumés à Londres que je croise quotidiennement, j’écris sur un bourgeois loser de Shoreditch,
un gangster de Chiswick, et puis il y a moi en costume nylon. C’est un miroir, évidemment. Mais c’est plus facile de parler des autres pour finir par se reconnaître.
Le morceau « Schadenfreude » a une cruauté jouissive. Est-ce qu’il faut avoir beaucoup souffert pour écrire ça ?
Est-ce que tu connais la définition de ce mot allemand ? Je suis allé le chercher loin parce que c’était exactement ce que je voulais. C’est le fait de ressentir de la joie face au malheur de quelqu’un d’autre. Tu sais, ce petit plaisir honteux quand quelqu’un d’autre se plante. C’est universel. Évidemment, j’y mets mes propres désillusions, mais c’est plus de la mise en scène qu’une thérapie.
Tu as dit un jour : « Je fais de la musique pour les gens qui ont du style mais qui n’ont pas réussi leur vie. » C’est toujours ton public ?
J’ai dit ça ? Ça ne me ressemble pas… Mais je m’inclus dedans. Ce n’est pas péjoratif, au contraire. J’aime les gens un peu cabossés mais qui savent se tenir droit dans la rue, les élégants ratés.
Tu te sens concerné ? Tu penses être un élégant raté ?
Oui, je n’ai clairement pas la vie que la société voudrait m’imposer. Je suis à contre-courant du modèle classique : 53 ans, pas marié, j’aime encore sortir, je vis entre les villes, les hôtels, les concerts… Ça peut sembler bancal, mais c’est ma manière de rester en mouvement. Si je rentrais trop dans le cadre, je crois que je ne saurais plus écrire.
À quel moment tu t’es dit que tu allais transformer une chaîne de bars en lieu mythologique de la loose sentimentale ?
Allbarone, ça tient son nom d’une chaîne de bars à vin londoniens un peu quelconque, tu en trouves partout dans la ville, et ce n’est généralement pas un endroit pour un date réussi. C’était le nom parfait pour ça. Ces bars sont des endroits où les gens se rencontrent via une application et finissent seuls avec un spritz tiède. C’est un décor de comédie triste, et ça m’allait très bien.
Alors la chanson éponyme raconte une histoire vraie ?
Oui. C’est une soirée qui a vraiment existé, un date minable qui s’est terminé sous la pluie. J’ai toujours aimé ces instants pathétiques, parce qu’ils sont à la fois tristes et drôles. Et le fait que ce soit dans un endroit aussi banal rendait ça encore plus parfait. Ça m’a semblé être le symbole idéal d’un certain romantisme raté. C’est drôle, d’ailleurs, parce qu’ils sont super fiers de la chanson et l’ont postéesur les réseaux !
Tu dis que c’est l’album de ta carrière. Comment on vit ça quand on a toujours mieux écrit sur l’échec que sur le succès ?
C’est une bonne question. J’y vais avec méfiance… Je n’aime pas trop dire que c’est le meilleur, mais je sens qu’il est plus direct, plus neuf. Ça change, en fait ! Ça ne sonne pas comme un groupe qui radote, ni comme un paquet cadeau avec un mélange de jolies choses un peu trop polies. C’est brut, ça vit, et ça me ressemble davantage.
Tu joueras à la Salle Pleyel en décembre. Tu as un souvenir marquant à Paris ?
J’ai déjà eu des nuits très belles ici.
J’ai beaucoup fréquenté Paris, j’ai des tas de souvenirs… Pigalle tard, les trottoirs brillants sous la pluie et ce sentiment d’être au centre de tout. Paris et Londres se ressemblent dans ça : deux villes qui t’adorent et t’ignorent en même temps. Mais à Paris, quand je passe du son tard le soir, je trouve les gens plus fous, plus joyeux, plus démonstratifs. J’étais au Silencio hier soir et tous ceux qui étaient là étaient tellement heureux de vivre.
¤ Sarah Sirel
Allbarone / Heavenly Recordings / [PIAS] Disponible le 12 septembre 2025
En concert à la Salle Pleyel (8e) le 4 décembre
Bélier
21 mars – 19 avril
Une grande décision devra être prise à la rentrée ! Je vois une décision d’ordre amicale, peut-être amoureuse, sûrement un pote avec qui vous allez coucher, quoi que vous décidiez, cela vous libérera de vos démons. Sacré programme !
Gémeaux
21 mai – 21 juin
C’est le moment propice pour agrandir la famille ! Je vois des mariages, des grossesses, des nouveaux tafs. Et oui, bande d’infidèles, les astres vous proposent enfin une option de stabilisation, à vous de la saisir !
Lion
23 juillet – 22 août
Pas cool rentrée les lions, vous éprouverez des difficultés à vous adapter à une situation qui vous emmènera dans un bon vieux déni des familles. Des transformations à prévoir, qui pourront aller jusqu’à la rupture.
Taureau
20 avril – 20 mai
Vous êtes dépendants de quelqu’un, ou quelque chose ! C’est pas bien ! Mais cette rentrée sera le moment choisi par l’Univers pour vous en débarrasser et poser vos limites, youpi tralala.
Cancer
22 juin – 22 juillet
La rentrée va bien se passer ! Vous avez des super potes, un.e super conjoint.e, un taf de ouf ! C’est le printemps en septembre, incroyable tirage les amis ! Attention quand même à votre genou.
Vierge 23 août – 22 septembre
Pour vous, cette rentrée sera synonyme de liberté, plein de belles choses arrivent pour votre anniv’. De fâcheux événements qui ont pu arriver cet été vont trouver une résolution dès le 4 septembre ! Bravo à vous !
Coucou mes petites loutres, ici c’est Raph et Perlouze, sa fidèle carto ! On vous souhaite une excellente rentrée placée sous le signe de la Vierge, et un méga bon annif à tous les natifs !
¤ Miss Raph & Perlouze
Balance
23 septembre – 23 octobre
Un événement bien merdique approche les balance, vous m’en voyez dégoûté ! Mais celui-ci vous changera à jamais et pour le meilleur ! Vous prendrez conscience de votre valeur et l’automne sera votre saison je vous le promets !
Sagittaire
23 novembre – 22 décembre
Il va vous arriver un truc pas cool, mais les cartes précisent que c’est un retour de karma donc l’un dans l’autre… Bref, voyez ça avec l’Univers j’y suis pour rien. Mais le positif c’est que tout ça n’est que construction d’un avenir meilleur.
Verseau 21 janvier – 18 février
J’ai tiré le bonheur à l’envers, cela ne va pas dire non plus que vous allez être malheureux, mais attention aux idées que vous vous faites du bonheur, c’est un concept fragile et éphémère… Mais vous allez lire un bon livre !
Scorpion
24 octobre – 22 novembre
Ma boule voit des sentiments et des profondeurs. Pour ceux qui font de la plongée c’est clair, pour les autres je vous laisse voir ce que ça évoque. Le plus logique serait une nouvelle rencontre !
YEAH !
Capricorne 23 décembre – 20 janvier
Vous pensez beaucoup à votre ex… Mais ce n’est pas réciproque. Vous êtes en fin de cycle là. Je ne sais pas quoi vous conseiller… Prenez des vacances ? Ah bah non vous n’en avez plus… Bonne chance !
Poissons 19 février – 20 mars
C’est le bon moment pour faire des bébés ou prendre un chien ! Vous rayonnez mais vous avez besoin de changements ! Profitez de ce petit îlot de bonheur pour faire un grand changement, sinon ça sent le drama !
Welcome on board
Lara, Manon, Jagoda, Emma & Efflam !
Good luck
Hâte de te revoir en short mon Fancho
Yanis & Louis
Noémie
Un Super Bon Anniv à vous :
Bonne rentrée les Bonbecs
Cette année c’est promis, on vise le titre !
Vive le Bonbon FC !
Miss you xu !
Ma fille, mon bonheur, ce 22 août, 17 ans déjà. Je te souhaite un bel anniversaire.
Pour passer une annonce, rien de plus simple, envoyez un mail à : quentin.m@lebonbon.fr Jet’aimema Tigrootcaliente ! YourLion
Sois heureuse, je t’aime et je suis fière de toi mamamissamousta <3
Merci Claire & Arsène, je vous aime