Le Bonbon Rive Gauche - Mai 2025

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Modèle Tom Gaston
Photographe Yona Romet

Confiseur

Rédactrice en Chef Rédacteur·rice·s

LE BON ÉDITO

Jacques de la Chaise

Rachel Thomas

Maria Sumalla

Flora Gendrault

Clémence Varène

Marion Sammarcelli

Lucie Guerra

Sarah Sirel

Secrétaire de Rédaction

Conseiller Éditorial

Directeur de Création

Directrice Artistique

Designer Graphique

Office Manager Assistantes

Social Media

Community Manager Photographe

Responsable Vidéo

Journalistes Vidéo

Réalisateurs et Monteurs

Alternante Vidéo Stagiaire Vidéo

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Directeur

Directeur des ventes

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Culture et Partenariats

Chef·fe·s de Projets

Louis Haeffner

Michael Pecot-Kleiner

Tom Gordon

Elise Turben

Cyril Charbois

Quentin Mercier

Béatrice Ligier

Adèle Colonna-Cesari

Marilou Therre

Maymouna Sakho

Yona Romet

Hugo Dominguez

Yanis Si Youcef

Raphaël Breuil

Zoé Stène

Théo Pouillet

Tahys Adele

Evan Abramowicz

Lucas Gruber

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Capucine Huguin

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Benjamin Haddad

Camille Garicoitz

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Pierre de la Chaise

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Iman Bertin

Tom Douard

Marin Lambert

Conceptrice-Rédactrice

Responsable Digital

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Contact

Tania Szpiczak

Pierre Echardour

Perla Amar

Benjamin Haddad

benjamin.h@lebonbon.fr

Tél. : 06 20 23 54 49

Tél. : 01 48 78 15 64

15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040

Ce mois-ci, le Tout-Paris ne parlera que du Festival de Cannes, mais quand on habite la capitale, pas besoin d’y descendre pour se faire des films.

Une scène d’horreur ? Il suffit de prendre le métro le matin, en heure de pointe.

Un thriller ? C’est quand je perds mes clefs dans mon appart’ et que je mène l’enquête.

Film érotique : lorsque j’entends ma voisine faire monter son amant, une fois son mari parti. D’ailleurs, ça peut aussi virer au drame si ledit mari remonte à l’improviste et surprend le plan-séquence en plein tournage.

Dans le registre science-fiction, le prix des cafés sur certaines terrasses est digne des pires uchronies – et pourtant, la réalité dépasse souvent la fiction.

Pour la comédie, mon pote qui veut se reconnecter avec la nature en plantant un pot de basilic sur son balcon ou en enlaçant des arbres aux Buttes-Chaumont ferait un excellent acteur principal.

Horror movie ? Les zombies en sortie de nightclub à 5h du mat’. Heureusement, leurs mâchoires sont si serrées qu’ils ne mordent pas.

Un péplum ? Les légions de CRS sur la place de la République, un jour de manif’.

Un film d’action ? Je suis à la bourre à un rendez-vous, je slalome entre les passants ou je demande au taxi d’accélérer... et de griller les feux rouges.

Mais la palme revient à la romance que j’entretiens depuis de nombreuses années avec le Bonbon, que j'aime et qui, lui au moins, ne me déçoit jamais...

¤  Mikado

DU 22 AU 25 MAI 2025

5e ÉDITION

BAL BRÉSILIEN, ROLLER DANCE, SPECTACLES, ART CONTEMPORAIN, COURS DE SPORT...

On se protège du bruit! Avec les beaux-jours qui reviennent, Paris s’anime nuit et jour et le simple vitrage ne suffit plus. On a la solution : les fenêtres à l’ancienne en bois de 1 001 fenêtres. Meilleur matériau pour l’isolation thermique et acoustique, le bois est chaleureux et écologique. Alors pourquoi ne pas l’adopter immédiatement ?

1001 fenêtres

71, rue Condorcet – 9e

Tél. : 01 45 33 03 86 1001fenetresparis.com

On explore le flou dans l’art au musée de l’Orangerie

Dans les toiles de Monet, le flou joue un rôle essentiel. À travers l’exposition Dans le flou, le musée de l’Orangerie explore l’importance de ce choix esthétique dans l’art, de 1945 à nos jours. Un parcours thématique fascinant qui questionne les processus créatifs et offre une lecture nouvelle des œuvres d’art connues de tous·tes. Tous les vendredis, des nocturnes sont organisées !

Musée de l’Orangerie

Jardin des Tuileries – 1er Jusqu’au 18 août 2025

On va écouter des airs de jazz à Saint-Germain-des-Prés

Le rendez-vous est donné du 12 au 19 mai 2025 pour 8 incroyable journées rythmées par la musique. À l’occasion de la nouvelle édition du Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés, de nombreux lieux tels que l’église SaintGermain-des-Prés, la Monnaie de Paris ou l’Odéon-Théâtre de l’Europe accueillent de fabuleux concerts !

Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés Du 12 au 19 mai 2025

Historiquement, Fernand Léger et les Nouveaux réalistes ne se sont jamais côtoyés. Artistiquement pourtant, un lien indéniable existe entre les œuvres du cubiste et celles du mouvement de Niki de Saint Phalle, Martial Raysse ou Yves Klein. C’est de ce constat que part le Musée du Luxembourg pour nous offrir une exposition grandiose et colorée, mêlant toutes ces créations dans un dialogue fascinant.

UN PEU DE LÉGÈRETÉ

Du jaune, du vert, du rouge, du bleu (Klein, bien entendu), à peine rentré dans l’exposition, c’est un véritable feu d’artifice de couleurs qui nous attend. De salle en salle, le musée nous invite à découvrir l’œuvre aussi diverse que pop de Fernand Léger, et son impact indéniable sur des artistes aussi célèbres que Roy Lichtenstein, Daniel Spoerri ou Christo et Jean-Claude. Chacune des créations du premier est exposée à côté de l’une des seconds, dans des parallélismes extrêmement troublants, montrant les liens que l’art tisse entre les générations. À travers des thématiques aussi diverses que les éléments, les objets, la représentation de la vie ou le Beau, l’exposition nous invite à découvrir des pièces monumentales, devant lesquelles on ne peut s’empêcher de s’arrêter. Parmi nos grands coups de cœur, la statue gigantesque de Miles Davis imaginée par Niki de Saint Phalle, la Vénus bleue d’Yves Klein, ou encore (et surtout) Le Cycliste de Karel Appel, qui met des paillettes dans les yeux et donne le sourire aux lèvres.

Des toiles et des statues qui interrogent nos perceptions, notre rapport à l’Histoire et à la vie de manière plus générale. Dans cette exposition que l’on regrette presque trop courte, on (re)découvre des œuvres franches, osées et fraîches, qui s’affranchissent des codes et des techniques. Des créations que l’on prend plaisir à contempler encore et encore, et qui nous offrent une véritable ode à la couleur.

Un cadeau assez logique finalement, quand on sait que l’un des adages de création de Fernand Léger était : « Faisons entrer la couleur, nécessité vitale comme l’eau et le feu ». ¤ C.V.

Tous Léger !

Musée du Luxembourg 19, rue de Vaugirard – 6e

Tél. : 01 40 13 62 00 Jusqu’au 20 juillet 2025 museeduluxembourg.fr @museeduluxembourg

JEUDI 5 ET VENDREDI 6 JUIN

11H À 19H

SAMEDI 7 ET DIMANCHE 8 JUIN

11H À 18H

RÉSERVATION EN LIGNE CONSEILLÉE SUR AIDES.ORG/BRADERIE

ENTRÉE 2 €

QUAND LA MODE PORTE LA LUTTE.

BETC LES MAGASINS GÉNÉRAUX

1, RUE DE L’ANCIEN-CANAL 93500 PANTIN MÉTRO : ÉGLISE-DE-PANTIN

5 OCTOBRE, AGNÈS B., ALL THE WAYS TO SAY, AMERICAN VINTAGE, AMI PARIS, ANNE FONTAINE, ANTIK BATIK, A.P.C, ARCHE, AUBADE, BALABOOSTÉ, BALIBARIS, BALLORIN, BA&SH, BÉTON CIRÉ, BLEU DE CHAUFFE, BOCAGE, BOQA, CARNE BOLLENTE, CARO & ZOLIE, CARREFOUR SOLIDARITÉ, CFOC, CHLOÉ, CHRISTIAN LOUBOUTIN, CLAUDIE PIERLOT, COQ EN PÂTE, CÔTELÉ PARIS, CRAIE STUDIO, CYRILLUS, DRIES VAN NOTEN, ELSA ESTURGIE, ÉMOI ÉMOI, EPONYME, FRNCH, FURSAC, HAST, HIRCUS, HOD PARIS, IMAÏ, IRIÉ, ISABEL MARANT, JACK GOMME, JÉRÉMY TARIAN, JÉRÔME DREYFUSS, .KATE LEE, KARINE LECCHI, KENZO, KERZON, L’ATELIER PLUME, LES MOTS DOUX, LES PETITES JUPES DE PRUNE, L’HABILLEUR, LILI CABAS, LISON PARIS, MAISON KITSUNÉ MAJE, MAPOÉSIE, MICHINO PARIS, MINTYWENDY, MI/MAI, MI-RÊ COSMETICS, MOULIN ROTY, NAT & NIN, NÉNÉS-PARIS, N’GO SHOES, NORTH COMMUNICATION, OUEST PARIS, PAIN DE SUCRE, PALOMA CASILE, PASCALE MONVOISIN, PASSAGE DU DÉSIR, PIROUETTE CACAHOUÈTE, POMPON BAZAR, PULLIN, RON DORFF, ROSEANNA, ROSHANARA PARIS, ROUKEYS, SARTORE, SEASON PAPER, SESSÙN, SOEUR, SONGE LAB, STUDIO BOHÈME, THE FRANKIE SHOP, THIERRY COLSON, TSUMORI CHISATO, UNIVERS PRESSE, VILEBREQUIN, YASMINE ESLAMI, YSÉ, ZADIG&VOLTAIRE… TOUS

PHOTO ROBERTO BADIN

FASHION ET SOLIDAIRE

En juin prochain, l’édition printemps-été de la Grande Braderie de la Mode de AIDES reviendra à Pantin. L’occasion de profiter de bons plans mode, tout en participant à une action solidaire.

C’est l’événement qu’on ne manquerait sous aucun prétexte ! Du 5 au 8 juin prochains, la Grande Braderie de la Mode de l’association AIDES fait son grand retour aux Magasins Généraux de Pantin. Pendant quatre jours, cette édition printemps-été 2025 sera placée sous le signe de la mode et de la solidarité.

Pour l’occasion, une centaine de marques – Isabel Marant, Kenzo, Ba&sh… –proposeront des pièces de prêt-à-porter et des accessoires femmes, hommes et enfants, ainsi que de la papeterie et des objets de décorations, bradés jusqu’à - 70%.

Parce que la prévention et le dépistage sont essentiels pour parvenir à la fin de l’épidémie de VIH/sida, l’intégralité des bénéfices récoltés permettra de financer les différentes actions menées par les militant·es de l’association en  Île-de-France. Aujourd’hui encore, 190 000 personnes vivent avec le VIH en France. En s’offrant une session de shopping à la Grande Braderie de la Mode de AIDES, vous ne contribuerez pas uniquement à une économie circulaire et à de bonnes affaires, mais vous participerez également, à votre échelle, à la lutte contre l’épidémie de VIH/sida. Vous venez ?

¤  L.G.

Grande Braderie de la Mode de AIDES

Magasins Généraux de BETC 1, rue de l’Ancien-Canal – Pantin

Du 5 au 8 juin 2025 aides.org/braderie

Communiqué | L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

LA DOLCE VITA AU SOMMET

Vous le savez, au Bonbon, on adore vous faire découvrir les meilleurs spots de la capitale. Et ce mois-ci, on a trouvé une petite pépite cachée au cœur du 15e : Tuco Bar & Rooftop. Un lieu résolument parisien niché sur le toit de l’Hôtel Wallace, où on déguste cocktails et assiettes de la Botte accompagnés d’une playlist italo disco.

Ça y est, le soleil est de retour. Sauf que les jardins privés n’étant pas monnaie courante à Paris, pas toujours facile de trouver où faire le plein de vitamine C. Du coup, on a trouvé pour vous. Tuco, c’est un peu la terrasse que vous n’avez pas, mais qui vous fait immédiatement vous sentir comme à la maison. Des plantes, des fauteuils confortables, une vue incroyable sur la tour Eiffel, et surtout le soleil toute la journée, bref, tout ce qu’on aime.

À l’image de son lieu d’accueil, l’Hôtel Wallace, au décor italo-vintage, le rooftop met les saveurs et la culture de la Botte à l’honneur. D’ailleurs, Tuco n’est autre que le nom du compagnon de Wallace dans Le Bon, la Brute et le Truand, un… western spaghetti ! Preuve en est qu’ici, la perfection est poussée dans les moindres détails. Une précision et une qualité que l’on retrouve dans les verres et les assiettes conviviales. Charcuterie, fromages frais, foccacia, bières pression et vins nature, tous sont importés directement auprès de vignobles

et producteurs dénichés en Italie. Niveau cocktails, on retrouve des classiques twistés aux saveurs de l’Italie, et des déclinaisons de Spritz magiques. De notre côté, coup de cœur pour le Bourbon Primavera : bourbon, lavande, citron et bergamote.

Ici, on arrive à n’importe quelle heure de la journée pour partager un bon moment en famille ou entre copains.

Et la bonne nouvelle, c’est que si les températures sont un peu capricieuses, on peut toujours se réfugier à l’abri au bar Tuco, situé sous une grande verrière. Un endroit aussi confidentiel que lumineux et cosy, qui vous enchantera autant que son acolyte des hauteurs ! ¤ C.V.

TUCO Bar & Rooftop

Hôtel Wallace 89, rue Fondary – 15e

Tél. : 01 87 53 53 30

Tous les jours jusqu’à minuit  @hotelwallaceparis

À L’AVENTURE

Explorer Paris autrement, ça vous tente ?

Ça tombe bien, en ce mois de mai, Merrell, maison spécialisée dans les chaussures et équipements outdoor, vous propose de participer à une chasse au trésor unique dans les rues du 9e. L’occasion de s’offrir une randonnée urbaine pas comme les autres, et de tenter de remporter l’un des nombreux cadeaux mis en jeu.

À partir du 5 mai et pendant 2 semaines, Merrell et le Bonbon vous proposent de participer à une chasse au trésor exceptionnelle dans l’un des quartiers les plus prisés de la capitale, imaginée spécialement pour l’occasion. Au programme : 5 étapes à valider pour tenter de remporter l’un des super lots !

Depuis plus de 30 ans, Merrell travaille pour vous proposer des produits ingénieux rigoureusement testés pour vous offrir les meilleures sensations. Des équipements alliant technique et style, pour répondre à toutes vos attentes, et faire de vous des pros de la randonnée urbaine. Et pour vous mettre en jambes, la marque vous propose de participer à une chasse au trésor, à la recherche de QR codes qui vous mèneront jusqu’aux récompenses. Une aventure unique, qui vous permettra de peut-être repartir avec des paires de baskets Merrell, des tee-shirts du créateur Pablo Attal, des bons de réduction et cadeaux chez Citadium et Paperboy, ou encore un incroyable séjour à Marseille, histoire de tester les randonnées urbaines autour du Vieux-Port.

Pour tenter votre chance, rien de plus simple. Rendez-vous à partir du 5 mai sur la web app’ imaginée pour l’événement, qui vous permettra de découvrir le premier indice et vous mènera à l’un des 5 QR codes disséminés à des points stratégiques du 9e. À l’aide d’une carte interactive et d’une boussole intégrée, déplacez-vous de point en point pour les scanner et arriver à la page finale, qui vous permettra de vous inscrire au tirage au sort. Une occasion unique de vous faire plaisir et de plonger dans l’univers de la randonnée urbaine grâce à Merrell ! ¤  C.V.

Chasse au trésor Merrell À partir du 5 mai 2025 Merrell.com

Article réalisé en collaboration avec Merrell

L’HEURE

DE L’APÉRO !

Situé en plein centre de Paris, à deux pas du Louvre, Café Auguste est la brasserie dont on ne se passe plus. Pour déjeuner, dîner ou pour profiter d’un afterwork généreux et gourmand en terrasse ou en intérieur, c’est le lieu où l’on fonce les yeux fermés.

Stores rouge flamboyant, nom inscrit d’un jaune qui capte le regard… Lorsque l’on se trouve rue de Rivoli, impossible de manquer Café Auguste. Ouverte quotidiennement, cette brasserie idéalement située dans le centre de Paris vous accueille chaleureusement tout au long de la journée, tant pour déjeuner et dîner que pour profiter d’un apéritif en fin

de journée ou faire des rencontres, puisque le mardi soir est consacré au speed dating.

Café Auguste, c’est un cocon mêlant fleurs et boiseries, avec une équipe chaleureuse et bienveillante. Ici, la modernité rencontre le vintage pour donner cette atmosphère de brasserie traditionnelle où l’on aime se rendre, le temps d’un repas ou d’un petit verre, après une journée de travail. Dès 17h, une large sélection de tapas est d’ailleurs proposée au menu. Frites de patate douce, tempura de crevette, gyosa de poulet, briques de chèvre délicatement parfumées au thym et sucrées au miel, ou encore

samoussa de légumes, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies.

Pour savourer pleinement l’expérience gustative, on accompagne le tout d’un verre de vin ou de l’un des nombreux cocktails, avec ou sans alcool, qui composent la carte. Notre recommandation ? Le classique Espresso Martini dont on raffole, ou le Coconut Love, à base de coco, jus d’ananas et jus de mangue, qui vous fera chavirer par ses saveurs exotiques. Que ce soient les boissons ou les tapas, les quantités servies sont généreuses, pour notre plus grand plaisir.

Envie de continuer la soirée ? Ça tombe bien, des plats aussi savoureux qu’incontournables sont également proposés. Cordon bleu et sa purée, lasagnes végétariennes aussi légères que fondantes, ou avocado toast qui nous fait encore saliver rien que d’y penser, chez Café Auguste, des plats que l’on mangerait sans fin et sans faim vous sont concoctés. C’est bien simple, l’essayer, c’est l’adopter ! ¤  L.G.

Café Auguste

154, rue de Rivoli – 1er

Tél. : 09 53 37 63 22

Lun. au sam. 8h-minuit, dim. 9h-21h @auguste_cafe

Qu’est-ce que chacun de ces deux pays a planté en toi, dans ta manière de penser, de ressentir, d’être au monde ?

Une chose qui fait partie de mon éducation française, c’est que j’aime avoir des conversations profondes. Il y a une aisance sociale en France autour de ça, alors que ça fait prétentieux en Angleterre.

Pour mon côté anglais, j’ai un grand amour pour le thé britannique avec un peu de lait, bien sûr ! J’en bois au moins 6 ou 7 tasses du matin jusqu’au soir. Ma mère ne buvait pas d’eau, elle buvait du thé. Quand on allait à la plage, elle amenait une flasque de thé avec elle. Elle m’a toujours répété : « quand il fait chaud, il faut boire du chaud, c’est mieux pour la santé », je ne sais même pas si c’est vrai… En plus elle est blanche comme tout, elle était toujours en manches longues, couverte de crème solaire, chapeau, parasol, à boire du thé sur la plage à côté des Françaises seins nus et des mecs en speedo. C’était quelque chose !

« L’AUTODÉRISION, C’EST

UNE FAÇON DE PRENDRE LE CONTRÔLE »

En tant que femme humoriste, est-ce que tu as le sentiment qu’on te laisse parler librement ? Ou tu ressens encore des plafonds invisibles dans le milieu ? Il est évident pour moi qu’en France on est beaucoup plus en arrière en termes d’égalité homme/femme dans l’industrie du stand-up. Je vois qu’il y a des femmes qu’on ne fait pas progresser alors qu’elles sont très drôles et plus fortes que beaucoup de mecs, juste parce qu’il y a plus d’hommes dans les comedy clubs. C’est inacceptable. J’ai pas envie de voir des plateaux où

© Rachel Sherlock

il n’y a que des mecs. Et si le public est moins à l’aise avec les femmes sur scène, il faut les mettre sur scène pour que le public s’habitue. C’est la responsabilité artistique du comedy club. Il y a des femmes, il y a des gays, il y a des personnes transgenres qui font du stand-up, ils ont des choses à dire, des histoires à raconter, il faut les écouter.

Justement, le rire peut être un outil politique. Est-ce que tu considères ton travail comme engagé, même subtilement ?

Oui et non. Je ne parle pas de sujets brûlants et tabous dans le monde. Je suis allée voir

Lou Trotignon, il a un super spectacle, Mérou, c’est hyper beau, très bien écrit, sur son expérience d’être transgenre. Moi je ne suis pas sur un engagement pareil, mais je pense que dans le stand-up, rien que l’acte d’être une femme sur scène qui prend de la place et qui parle de son expérience, pour ma part celle d’avoir grandi dans une famille monoparentale avec ma mère et mes sœurs, c’est en soi un acte engagé. Après, sur les réseaux, j’aborde ce que c’est que d’être une femme célibataire, épanouie, de 35 ans, sans enfant, et c’est une voix qu’on n’a pas forcément beaucoup entendue. Mais est-ce que je fais par exemple le travail de Camille et Justine ou de Lou Trotignon ?

Non. Et ça, j’en ai hyper conscience.

Tu fais partie de ces artistes qui n’ont pas peur de montrer leurs failles. Est-ce que tu trouves qu’il y a une forme de beauté dans la fuite, dans le fait de ne pas être stable ?

C’est drôle le nombre de personnes qui me disent « t’es hyper courageuse de te montrer en vidéo comme ça, sans maquillage ». Je me dis qu’elle est basse, la base du courage…

C’est drôle, parce que quand j’ai des histoires romantiques avec des mecs, je leur demande de ne pas trop regarder mes réseaux. Il faut comprendre que les réseaux sociaux, pour moi, c’est un peu les vestiaires des filles ou les toilettes des meufs en boite de nuit.

J’ai conçu ça pour les femmes ou les hommes gay. Alors forcément, ouais, je suis pas

maquillée, je parle d’une connerie que j’ai faite ou d’une honte, mais comme tu en parlerais avec tes copines, tu vois ?

L’humour, ça a toujours été ta manière de désamorcer les tensions ?

Oui, je pense que c’est un truc d’enfance. J’étais la petite Anglaise un peu chelou, alors c’était une façon d’être acceptée. Peut-être qu’on allait se moquer de moi, donc je me moquais de moi d’abord.

On était toujours chaotiques, j’arrivais avec des vêtements d’Anglaise, on était toujours à la bourre, j’avais pas de papa, ma mère conduisait une vieille Golf défoncée…

L’autodérision, c’est une façon de prendre le contrôle. Et je me donnais déjà en spectacle à la cantine, je savais déjà faire rire les gens.

Au fond, il y a beaucoup d’humoristes qui étaient des personnes qui se sentaient à l’écart, pas acceptées… Ils vont chercher l’amour des gens pour réparer ça.

¤ Sarah Sirel

Fugue

Au théâtre des Variétés les 15, 16 et 17 mai 2025

VIVE LE PRINTEMPS

Coucou mes petites loutres, que ce printemps ensoleillé vous porte chance et fortune ! Perlouze, ma fidèle tireuse, me demandait un sous-thème, je ne savais pas quoi lui proposer car on fait un spécial sexe tous les mois, alors nous avons au fil du tirage trouvé un trait commun à tous ou presque : le changement de vie ! Joyeux mois de mai à vous tous·tes !

¤ Miss Raph & Perlouze

Balance

23 septembre – 23 octobre

Vous êtes stables, réglés, comme des horloges… Mais je vois le 8 de coupe, la guérison, fini le mentos dans le coca light, plus personne ne vous saoulera maintenant que vous êtes la reine de la soirée, et oui je vois une majorité de femmes touchées par ce message, pour une fois.

Sagittaire

23 novembre – 22 décembre

Acceptation d’une perte, et maîtrise de soi. Vous allez enfin ressentir de nouvelles émotions et passer à autre chose. Que vous quittiez ou le soyez, ça sera la bonne décision, croyez-moi les Sagit’. Sinon la santé c’est pas top, c’était le mois d’avril et vous vous êtes découverts d’un fil…

Verseau

21 janvier – 18 février

Scorpion

24 octobre – 22 novembre

Pour vous aussi c’est la prise de conscience, vous arrivez à dompter les forces anxieuses qui vous pirataient vos sommeils. C’est le mois de la stabilité et de l’harmonie, c’est le moment de prendre des décisions ! (mariage, divorce, achat de tondeuse à gazon)

Capricorne

23 décembre – 20 janvier

Comme d’hab’ vous allez tout réussir, argent, succès, bla bla bla… Mais au niveau des sentiments, plus rien ne va… Quand est-ce que vous allez faire le choix du cœur bande d’insensibles… On se revoit au numéro spécial saint Glin-Glin.

Il faut renoncer à quelque chose pour pouvoir mieux avancer. Ensuite le résultat c’est tout simplement le succès dans tout ce que vous entreprendrez, et… je dois aussi le dire, une libido sans limite ! Attention aux Verseau les célib’s. Poissons

19 février – 20 mars

Ton problème, c’est te maîtriser et maîtriser tes émotions. Si tu arrives à garder ton sang froid, tu pourras à ce moment-là kiffer la vibe avec ton mec (ou autre). Sinon c’est cool, mais attention aux jambes. Sautez régulièrement dans le vide.

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