Au cours des dernières semaines, le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) a proposé aux familles des militaires estriennes deux activités: une randonnée au parc na tional du Mont-Orford pour les ado lescents de 11 à 17 ans et une journée de cueillette de pommes au verger La Pommalbonne à Compton.
Les jeunes participants à la randonnée ont pu profiter de la plage, faire du pédalo ainsi que de la planche à pagaie. Ils ont partagé un bon repas et ont pu échanger sur leur réalité de jeunes de familles militaires afin de créer de nouveaux liens. La journée aux pommes a quant à elle offert l’opportunité aux familles de s’amuser tout en rencontrant d’autres familles de la communauté militaire.
Ces journées d’activités visaient aussi à présenter les différents services du
CRFM. Les jeunes ont ainsi pu découvrir les prochaines occasions de se ren contrer, notamment lors des séances d’échange entre nouveaux et anciens jeunes. De leur côté, les adultes ont pu se familiariser avec le programme d’éveil à la lecture pour les 0 à 5 ans ou sur l’aide aux devoirs. Le secteur de pré vention, soutien et intervention n’a pas manqué de présenter les services offerts par ses professionnels.
Pour connaître les activités à venir, visiter le portail du CRFM. La prochaine pro grammation sortira à la mi-décembre.
catherine.sevigny2@forces.gc.ca
450 358-7099 # 2349
Les Services de bien-être et moral des Forces canadiennes (SBMFC) ont créé le Bureau principal de garde d'enfants. Cette équipe temporaire débute l’ana lyse des besoins actuels et futurs des familles des militaires en matière de services de garde d’enfants. En répon dant à leur sondage, vous pourrez les aider à vous aider!
Afin d’élaborer des solutions et des recommandations possibles pour relever les défis liés à l’accessibilité de
ces services, l’équipe souhaite recueillir des renseignements auprès des familles des militaires. En partageant vos idées, vos commentaires et vos réactions, vous aiderez l’équipe à définir une stratégie. Il vous faudra environ 5 à 10 minutes pour répondre aux questions. Les renseignements colligés demeureront strictement confidentiels et anonymes, et ne seront utilisés qu’aux fins de la conception d’une stratégie en matière de garde d’enfants.
rédactrice
un souci d’inclusion et de respect de la diversité des genres, si vous ne voulez pas voir votre grade féminisé, veuillez communiquer avec la rédaction.
Servir féminise
Enseigne de vaisseau de 2e classe Olivia Nguonly, officière des affaires publiques, NCSM Donnacona
Une surprise de taille attendait l’équi page du Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) Donnacona le 24 septembre dernier. En effet, le commodore Pat Montgomery, commandant de la Réserve navale du Canada, était sur place afin de lui remettre la Coupe du commodore, une récompense présen tée pour la première fois en 2016 afin de reconnaitre la division de la Réserve navale qui a atteint les plus hauts stan dards à plusieurs égards.
Gagnants pour l’édition 2021-2022,
les 350 réservistes qui œuvrent au sein de l’unité montréalaise ont su se démarquer pour plusieurs raisons. Leur contribution aux opérations nationales ainsi que leur soutien à l'étranger, leur rayonnement à travers la communauté, leur impressionnant niveau de perfec tionnement et leur leadership hors pair en sont de parfaits exemples.
De plus, malgré les enjeux actuels de recrutement liés à la pandémie, le NCSM Donnacona est parvenu à enrôler le plus grand effectif de marins de toute
La Journée du sport des Forces armées canadiennes (FAC) a été soulignée le 19 octobre à la garnison Saint-Jean et le lendemain, à la garnison Montréal et au Collège militaire royal de Saint-Jean.
On le sait tous, le sport, c’est la santé. Et quand on le pratique dans la bonne humeur, il est encore plus bé néfique! Aussi, depuis 10 ans déjà, les Programmes de soutien du personnel proposent des activités variées,
accessibles à tous, lors de cette journée.
«Certains choisissent de pratiquer une activité qu’ils connaissent et apprécient. D’autres en profitent pour essayer une nouvelle discipline ou se challenger», mentionne Claudie Bussière, coordonnatrice des sports militaires à la garnison Saint-Jean. «L’important pour nous, c’est de donner une chance de plus aux gens de faire du sport et de s’amuser! La preuve, c’est que les participants de la compétition d’entraînement fonctionnel ont adoré leur expérience et qu’à leur demande, nous allons organiser une nouvelle compé tition dans les mois à venir.»
élèves-officiers et aspirant de marine ont pris part à la compétition d’entraînement fonctionnel (catégorie intermé diaire) à la garnison Saint-Jean.
PSP ont formé une équipe pour prendre part à la compétition
Capitaine Frédéric Thouin, officier des affaires publiques - garnison Montréal, GS 2 Div C
Dans le contexte actuel mondial où le niveau de menace peut escalader rapidement, il est important d’avoir une vigilance aiguisée et un état de préparation accrus en ce qui concerne la posture de sécurité. C’est pourquoi, annuellement, le Groupe de soutien de la 2e Division du Canada (GS 2 Div C) doit conduire l’exercice BASTION VERROUILLÉ dans le but de vérifier le niveau de préparation du personnel.
Les membres de l’Équipe de la Défense de la garnison Montréal ont fait face à une simulation avec acteur représen tant une situation critique le 12 octobre dernier. Cet événement a permis de voir l’efficacité du système en place et d’ana lyser ses lacunes dans l’optique d’amé liorer les procédures à suivre lors d’un incident critique. De plus, le corps de police municipal a participé à l’exercice, ce qui contribue grandement à la co
hésion entre nos services et augmente le niveau de préparation des équipes d’intervention dans la perspective où un vrai incident critique se produirait.
Bref, cette simulation a démontré que le personnel de la garnison Montréal com prend les procédures de confinement en place lors d’un incident critique. Mais il y a toujours place à l’amélioration. C’est pourquoi il est important d’exécu ter ce type d’exercice d’année en année.
Vos remises n’ont pas été
seront dans
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à servir@forces.gc.ca
grâce au compte de chèques du programme Performance.
Nous reconnaissons également la force derrière l’uniforme. C’est la raison pour laquelle nous offrons à votre conjoint ou conjointe, aux membres de votre famille immédiate et à vos amis de la communauté de la Défense canadienne la même offre bancaire exclusive sans frais mensuels dont vous profitez. De plus, s’ils ouvrent un compte entre le 13 juin et le 30 septembre, ils seront aussi automatiquement inscrits à notre concours Merci aux clients2
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Le concours de l’été se déroulera jusqu’au 30 septembre 2022, alors inscrivez-vous dès maintenant et ne ratez pas votre chance de gagner.
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Capitaine Philip Rochon, officier des affaires publiques, GS 2 Div C
Chaque année, des millions d'hectares de territoire canadien sont menacés par des incendies de forêt dont la cause est naturelle ou humaine. Les secteurs d'entraînement militaire du Canada ne sont pas à l'abri des brasiers qui, bien que mineurs en majorité, peuvent se transformer en incendies majeurs affec tant non seulement nos secteurs, mais également les régions voisines. Des membres du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada (GS 2 Div C) ont suivi une formation à cet effet.
C'est dans cette optique qu'une entente de formation a été signée avec la So ciété de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), un organisme à but non lucratif qui regroupe différents services forestiers gouvernementaux et privés dans le but de protéger nos forêts du feu.
Du 19 au 23 septembre, un total de 30 personnes de Farnham et Valcartier, en provenance des Champs de tir et secteurs d’entraînement ainsi que des Services d'incendie, ont participé à une formation internationalement reconnue en lutte contre les feux de forêt. Le per sonnel a alors acquis les compétences et les connaissances nécessaires pour prévenir, contrôler et combattre plus efficacement les incendies dans nos secteurs d'entraînement.
La formation portait sur une variété de sujets, allant des causes à la prévention des incendies, jusqu’aux équipements
de lutte contre les incendies de forêt en passant par l'utilisation optimale de ce matériel sur le terrain.
À ce jour, les zones d'entraînement de Valcartier ont connu plus de 20 in cendies en 2022, et ce, indépendam ment des consignes de sécurité et des mesures de protection en place. Cette formation devrait permettre à nos membres d'identifier les conditions qui augmentent les risques d’incendie et de fournir de précieuses recommandations pour atténuer ces menaces.
Nous avons une responsabilité collec tive de nous occuper adéquatement des secteurs d'entraînement. Cette forma tion devrait ainsi contribuer à conserver un espace optimal pour l’entraînement de générations futures de soldats cana diens.
Au cours des dernières décennies, le major retraité Claude Archambault a entrepris la recherche de ses ancêtres. Ce loisir, en plus de sa collection de monnaie, occupe une bonne partie de sa retraite.
Le vétéran soutient que cela fait une trentaine d’années qu'il effectue ces recherches généalogiques. «Tout a commencé alors que j’étais encore actif au sein des Forces armées canadiennes.
Un jour, j’ai reçu un message de l’Asso ciation des Archambault d’Amérique qui venait tout juste de voir le jour. J’ai donc accepté l’invitation de me joindre à cette association.»
À temps perdu, il a donc entrepris ses
Capitaine Marie-Claire Khadij, aumônier
Une nouvelle tradition est maintenant représentée au sein de l’aumônerie des Forces armées canadiennes (FAC). Pouvez-vous deviner laquelle?
Commençons par rappeler que les aumôniers des FAC servent tous les membres, peu importe leurs croyances, genres, orientations, etc. Vous devriez recevoir le même sourire accueillant peu importe quel aumônier vous allez voir, et recevoir les mêmes services de qualité.
De plus, les aumôniers sont des spé cialistes dans leur propre tradition et
démarches pour reconstituer son arbre généalogique. «C’est là que j’ai décou vert que le premier Archambault de ma lignée à débarquer sur le continent américain était Jacques Archambault. Il est arrivé ici en 1645.»
Alors qu’il est en déploiement en Eu rope en 1990, le Maj (ret) Archambault décide de se rendre à Larochelle, en France. «J’en ai profité pour aller dans cette région qui est le berceau de mes ancêtres et prendre contact avec les Archambault d’Europe. Cela m’a permis d’aller plus loin dans mes recherches.»
Tout au long de sa quête, le vétéran raconte qu’il a été impressionné par les différents membres de sa famille et par la variété de leurs métiers. «C’est là que l'on se rend compte que ça prend toute sorte de gens pour faire un monde. J’ai découvert qu’il y avait entre autres eu des menuisiers, des bâtisseurs d’église, des marchands de vin et des tailleurs de pierre.»
Le militaire a même appris qu’un certain
ils offrent des services spécifiquement dans leur tradition lorsque des membres le demandent.
Environ 40 % des membres des FAC ne s'identifient pas à une religion. Est-ce que vous vous considérez comme un athée, un agnostique ou simplement un non-théiste? Eh bien ! Vous avez maintenant également un aumônier qui peut vous offrir des services spécifiques à votre vision du monde! J’ai le privilège d’être la première aumônier humaniste des FAC.
L’humanisme, c’est une vision du monde basée sur les droits humains, la science, la compassion, la dignité humaine. C’est une philosophie de vie séculière qui affirme la responsabilité de chaque être humain de donner un sens à sa vie. Comme aumônier humaniste, je peux offrir toutes sortes de cérémonies: des mariages, des célébrations pour nom mer un nouveau bébé, une célébration pour une personne transgenre chan geant de nom, des funérailles, etc.
Certains diront «comment un aumônier
Archambault figurant dans son arbre généalogique avait été bouffon du roi de France. «J’en ai aussi eu un qui a été contrebandier», lance-t-il en riant.
Le Maj (ret) Archambault est très heu reux d’avoir pu retracer d’où il vient. «Pour moi, cela représente toute une richesse. C’est passionnant de savoir d’où nous venons.» Son fils est égale ment très fier du travail qu’il a effectué. «Il m’a demandé de lui transmettre tout ça lorsque j’aurai quitté ce monde.»
Pour ce vétéran, la généalogie a été une excellente façon d’occuper ses temps libres. «Je partage mon temps entre ce loisir et ma passion pour la monnaie. Je suis numismate depuis de nombreuses années.»
Il termine en invitant les gens qui aime raient découvrir leurs racines à chercher sur internet l’association liée à leur patronyme. «Il y a aussi des sites Internet comme Ancestry, qui permettent de retracer facilement les membres de nos familles qui nous ont précédés.»
peut-il être non religieux?». Les FAC définissent la spiritualité comme une quête de sens, nos valeurs, nos objectifs de vie, etc. Avec cette définition, nous pouvons affirmer que tous ont une di mension spirituelle, et donc des besoins spirituels méritant des services d'aumô nerie, même les athées, agnostiques et les non-théistes.
Je vous encourage à partager vos be soins spirituels avec vos aumôniers. Et si vous vous reconnaissez dans l’huma nisme, retrouvez-moi sur la page Face book bilingue Military Humanists - Cana da - Militaires humanistes ou écrivez-moi à marie-claire.khadij@forces.gc.ca pour recevoir des nouvelles mensuellement. L’aumônerie des FAC se diversifie de plus en plus pour assurer que tous les membres des FAC soient représentés, et c’est une belle nouvelle à célébrer !
Au moment de mettre en ligne, Servir a appris avec regrets le décès du major Claude Archambault, survenu le 18 octobre. Nous offrons nos plus sincères condoléances à la famille et aux proches. Nous nous souviendrons.
Dans le cadre de la campagne de charité en milieu de travail de la Défense (CCMTDN), Servir vous pré sente une entrevue avec Marie-Ève Simard. Enfant, elle a appris que sa mère souffrait de sclérose en plaques (SP). Aujourd’hui, elle est directrice du marketing et des communications à la Société canadienne de la sclérose en plaques, Division Québec. Elle explique comment cette organisation aide les malades et leurs proches.
Mme Simard avait 7 ans quand sa mère a commencé à tomber régulièrement.
«Au début, elle croyait avoir des pertes d’équilibre. Après plusieurs chutes, elle a décidé de consulter son médecin.» C’est à ce moment que le diagnostic est tombé et que la famille a eu l’impression qu’on lui tirait le tapis sous ses pieds. «Nous étions littéralement sous le choc. Nous savions que la situation de ma mère n’allait qu’empirer au fil des ans.»
Au début, Mme Simard, tout comme le reste de sa famille, ne connaissait rien au sujet de cette maladie. C’est la Société canadienne de la sclérose en plaques qui lui a permis de comprendre ce dont souffrait sa mère et de démysti fier la maladie. «En plus d’en apprendre plus sur le sujet, l’organisme m’a permis de rencontrer des jeunes qui, comme moi, avaient un parent souffrant de cette maladie.»
La SP est une maladie auto-immune chronique ciblant le système nerveux central. Puisque ce système est consti tué du cerveau, de la moelle épinière
et des nerfs optiques, la maladie peut entraîner des troubles de la vision, de la mémoire, de l’équilibre et de la mobilité.
«On la considère comme une mala die épisodique, c’est-à-dire qu’elle se caractérise par la survenue de troubles invalidants dont la gravité et la durée varient et qui sont souvent suivis par des phases de rémission.» Elle peut aussi se présenter sous une forme progressive.
Le Canada affiche l’un des plus hauts taux de SP au monde, comptant plus de 90 000 personnes atteintes. «Les gens vivant dans les pays nordiques sont les plus touchés.» Cette maladie se développe habituellement entre 20 et 50 ans, et touche principalement les femmes. «Seulement le tiers des per sonnes atteintes sont des hommes.»
La SP peut se manifester par des symp tômes tels que la fatigue extrême, l’incoordination, la faiblesse, les four millements ainsi que les troubles de la sensibilité, de la vision, de la vessie, de la fonction cognitive, en plus des chan gements d’humeur.
Mme Simard explique que la SP a plu sieurs répercussions sur les personnes atteintes. «Au début, ma mère pouvait se déplacer avec une canne, mais au fil des ans, elle a dû abandonner son emploi, car les déplacements étaient de plus en plus difficiles.» Cela cause ainsi d’importantes pertes financières. La maladie a également des répercussions physiques et émotives.
Cet organisme offre divers programmes pour aider les personnes atteintes à bien prendre en charge la maladie et composer avec elle. «Par moments, les gens se heurtent aux défis posés par la sclérose en plaques. Grâce au soutien offert par notre organisation, ils ne sont plus seuls pour les surmonter.»
Actuellement, il n’existe aucun remède contre la SP. «Toutefois, les chercheurs en apprennent chaque jour davantage sur les causes de cette maladie et sont plus près que jamais de trouver des
moyens de la contrer.»
Mme Simard soutient que la recherche a permis de trouver un médicament par injection qui ralentit la dégénérescence. «Nous avons confiance qu’un jour la re cherche permettra d’éradiquer complè tement cette maladie.»
Aujourd’hui, la mère de Marie-Ève Simard a 56 ans. «Elle vit encore seule en logement. Elle se déplace en fauteuil roulant, mais elle est encore mobile. Elle peut donc, par exemple, se lever pour cuisiner. C’est l’avancement de la recherche qui permet cela.»
La CCMTDN se déroulera jusqu’au 9 décembre. Vous pouvez soutenir financièrement PartenaireSanté, Cen traide du Grand Montréal (ou tout autre Centraide au Canada) ou n’importe quel organisme de bienfaisance canadien enregistré.
Rappelons que l’objectif à atteindre pour les garnisons Saint-Jean et Mon tréal s’élève à 220 000 $.
La fin de semaine du 19 et 20 novembre, l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes organisera des séances photo pour les familles intéressées. Il en coûtera 15$ pour la séance et les photos en format électronique (haut résolution) vous seront par la suite transmises par courriel. L’activité aura lieu entre 9 h et 14 h au mess Patriote de la Garnison Saint-Jean.
Pour réserver une séance et effectuer votre paiement, communiquez avec Christine Geoffrion au 450 358-7099
Attention: Militaires en transition
Nous aidons gratuitement les anciens combattants et les familles militaires en transition à occuper des emplois dans le domaine de la technologie. Si vous connaissez quelqu’un qui peut en bénéficier, envoyer-le à WYWM.
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Le
L’équipe
Le 2 octobre, Maxime Brouillard, spécialiste à la Promotion de la santé à la Garnison Saint-Jean, a pris part au Marathon du P’tit Train du Nord. Cou reur aguerri, il a terminé l’épreuve du
marathon avec un temps de 02:39:02, soit près d’une minute de moins que l’objectif qu’il s’était fixé.
Ce chrono lui a permis de se classer au second rang chez les hommes de 40 à 49 ans et en 6e place sur les 1 751 participants. «Je m’entraine à la course depuis 2015. J’ai fait le marathon d’Ottawa, celui de Boston, et quatre fois le P’tit train du nord. C’est ma meilleure performance à vie ! J’ai amélioré mon temps de près de cinq minutes par rapport à l’an dernier», mentionne cet employé des Programmes de soutien du personnel.
«Je m’entraine 12 mois par année à raison de 10 à 15 heures par semaine. Je suis fier parce que je réussis à bien performer tout en conservant un bon équilibre de vie. Je voudrais remercier ma conjointe, Estelle Auger, coordon natrice Emploi et éducation au Centre de ressources pour les familles des militaires, qui me soutient dans ma pratique sportive. Une bonne partie de mon succès lui revient! Bien sûr, j’aime réaliser des performances, mais j’aime aussi le bien-être mental que la course à pied me procure. Tout va mieux après avoir couru!»
À l’occasion de la fête d’Halloween, l’Agence du logement des Forces ca nadiennes et le Centre de ressources pour les familles des militaires vous invitent à décorer votre unité de lo gement résidentiel et à voter pour les plus belles décorations du quartier.
Il y aura des cadeaux pour les trois plus belles décorations et un prix coup de cœur sera attribué par… un panel de sympathiques vampires! Des photos des maisons gagnantes seront publiées dans la prochaine édition de Servir.
Pour voter, présentez-vous au Loft (40, rue La Vérendrye) entre le 17 et le 31 octobre et inscrivez sur un coupon l’adresse où se trouvent les plus belles décorations selon vous. Vous avez le droit de voter une seule fois. Ne trichez pas! Ce sont des zombies qui sont chargés du maintien de l’ordre! Information: 438 324-0611
Le vendredi 28 octobre, à 20 h, déguisez-vous et aller entendre le concert d’Halloween de la Musique des Fusiliers Mont-Royal.
L’ensemble sera dirigé par le major Pierre Leblanc, directeur musical, et l’adjudant Jean-Philippe Magny, di recteur adjoint. L’activité est gratuite, il y aura service de bar et les portes ouvriront à 19 h 30. Le manège est situé au 3721, avenue Henri-Julien, à Montréal.
Saviez-vous qu’il est possible de louer la palestre, le gymnase ou les installations ex térieures pour pratiquer vos activités préférées avec vos proches et amis? Le centre des sports offre cette possibilité tant aux individus qu’aux organisations. Il n’est pas nécessaire d’être membre du Plan PSP!
Que vous vouliez avoir accès à un terrain de pickleball de temps en temps, un ter rain de basketball toutes les semaines, ou que vous vouliez organiser un tournoi de volleyball pendant une fin de semaine, nous pouvons vous aider!
Information: 450 358-7099 # 7227
Le centre des sports dispose d’un mur d’escalade d’une hauteur de 33 pieds et d’une largeur de 53 pieds. Situé dans la palestre, il offre 12 voies d’escalade qui sauront satisfaire les apprentis tout comme les grimpeurs aguerris!
Les personnes détentrice d’une ac créditation pour notre mur d’escalade peuvent réserver une période d’entrai nement en appelant au 450 358-7099, poste 7262. (Pour obtenir une accrédita tion, communiquez avec la coordonna trice aux loisirs au 450 358-7099, poste 7261).
Le centre des sports offre aussi des séances d’initiation à l’escalade pour les petits et les grands.
Information et rendez-vous: 450 358-7099 # 7262
L’équipe des loisirs est toujours à la recherche de personnes dynamiques qui ont envie de faire une différence pour les membres de la communauté militaire. Si vous avez de l’expérience en service à la clientèle ou en animation, si vous êtes un spécialiste en activités aquatiques, de plein air ou que vous avez des qualifications spécifiques pour donner certains cours, nous aimerions vous rencontrer!
Information : 450 358-7099 # 7262
L’hiver est à nos portes et nous pouvons vous offrir un endroit sécuritaire pour sta tionner votre VR. Des espaces sont disponibles à la Garnison Montréal et sur
Dès le 1er novembre, les boutiques sports et plein air des garnisons Saint-Jean et Montréal commenceront à louer des équipements pour les sports d’hiver à court terme ou pour la saison.
Ce service est offert à tous, mais les abonnés du Plan PSP (6 mois ou un an) bénéfi cient d’un tarif plus avantageux. Équipements disponibles
• Skis alpins* (adulte et junior - bottes, casque et bâtons inclus)
• Planches à neige* (adulte et junior –bottes et casque inclus)
• Skis de fond* (adulte et junior – bottes et bâtons inclus)
• Raquettes* (adulte et enfant)
Locations court terme
• Fat bike
• Ski Hok (bâtons inclus)
• Traîneau
• Crampons
• Bâtons de marche
• Chaufferette au propane
Tous nos équipements peuvent être loués pour une journée, 7 jours ou 10 jours. Location long terme
Les équipements marqués d’un astérisque peuvent être loués pour la saison complète (1er novembre au 1er mars). Si les pieds de votre enfant allongent durant cette période et qu’il nous reste des équipements de sa nouvelle taille, vous ferons l’échange gratuitement!
Tarification
Nous nous vous invitons à communiquer avec nous pour obtenir la liste détaillée. Voici toutefois quelques exemples:
• ski alpin adulte – saison complète: 150$ (120$ pour les membres du Plan PSP)
• planche à neige junior – 10 jours: 75$ (50$ pour les membres du Plan PSP)
• fat bike – fin de semaine:
Information Saint-Jean :
(40$ pour les membres du Plan
Information Montréal : 514-252-2777
septembre dernier, la sergente
Charette, administratrice en chef des ressources humaines à la 52e Ambu lance de campagne, et le caporal-chef Tomy Leclerc, administrateur principal ressources humaines, au 35e Régiment des transmissions, ont relevé virtuel lement le Défi combinant le 5 et le
de la Course de l’Armée. Retour sur cette première expérience pour ce couple de militaires.
conjointe et moi avons complété les deux parcours en même temps, malgré notre différence de grandeur!», s’exclame Cplc Leclerc. «C’était impor tant pour moi qu’on commence et qu’on finisse en même temps. Ce n’était pas une course entre nous.»
Depuis son enrôlement en 2005, la course à pied est l’une des disciplines favorites du Cplc Leclerc pour garder la forme. «En ce qui me concerne, je préfère les sports d’équipe», explique
Sgt Charette. «Question de pouvoir sou tenir la cause et faire du sport avec mon conjoint, je me suis inscrite et j’ai débuté mon entrainement en juin 2022».
Si le couple souhaitait participer à la Course de l’Armée depuis un moment, leurs responsabilités professionnelles et leurs quatre enfants rendaient le déplacement à Ottawa compliqué. «Nous avons sauté sur l’occasion de pouvoir le faire virtuellement», explique Cplc Leclerc. C’est donc dans la région de Victoriaville que le couple a couru pour soutenir Appuyons nos troupes et Sans limites
«Dans notre région, ces deux organisa tions ne sont pas tellement connues et souvent, les gens ne savent même pas qu’elles existent. Nous sommes deux militaires de carrière. Nous avons pu constater à quel point Appuyons nos troupes et Sans limites aident nos pairs, qu’ils soient actifs ou retraités», explique Cplc Leclerc. «Si nous avons pu faire avancer la cause d’un petit pas, si nous avons réussi à sensibiliser quelques per sonnes de notre région, nous aurons fait beaucoup!», mentionne Sgt Charette.
Le sport occupe une grande place dans la vie du couple, et ce, depuis toujours. «Nous carburons à la vie sportive! Nous sommes régulièrement au gym. L’été, nous faisons partie d’une ligue de soc cer et d’une autre de balle molle. L’hiver, c’est le ski alpin et le ski de fond qui occupent une énorme place dans notre horaire», énumère Sgt Charette.
Et les enfants, suivent-ils les traces de leurs parents? «Nos enfants font partie d’équipes compétitives provinciales en soccer et basketball et nationale en cheerleading. C’est notamment grâce à eux que nous avons pris goût au soccer et que nous nous sommes inscrits à une ligue séniore», rappelle Cplc Leclerc. «Tout cela nous demande de la plani fication, mais nous en ressortons tous gagnants, car nous demeurons actifs et nous avons du plaisir. J’en profite pour remercier nos chaînes de commande ment respectives qui nous appuient en ce sens.»
Fier des jetons de participation qu’ils ont reçus de la Course de l’Armée, Cplc Leclerc pense déjà à l’an prochain. «Nous avons atteint notre objectif. J’es saie donc de motiver Annie pour faire le 21 km en 2023. Puisque l’événement se tiendra à Ottawa et que nous serons
un peu plus vieux, le travail sera plus difficile. Mais il est réalisable!», conclut le réserviste en riant.
Rappelons en terminant que le comité de direction des Biens non publics offri ra le remboursement d’une portion des frais d’inscription à la Course de l’Armée aux militaires et aux membres de leur famille (sous certaines conditions). Pour obtenir les formulaires de réclamation, écrire à marie-josee.bouchard2@forces.gc.ca. La date limite pour soumettre les docu ments sera le 30 novembre.
Le sport est au cœur de la vie familiale du caporal-chef Tomy Leclerc et de la sergente Annie Charette.
Au début du mois d’octobre, majore Sara McRae, médecin au 41e Centre des services de santé des Forces cana diennes – Saint-Jean, est revenue de son premier voyage à titre de représen tante canadienne au comité d’escrime du Conseil international des sports militaires (CISM). Elle s’est rendue en Pologne pour le Championnat mondial d’escrime.
Maj McRae a beaucoup apprécié ce voyage qui lui a permis de rencontrer des représentants de l’escrime militaire provenant de différents pays. «Nous avons eu la chance d’échanger et de déterminer les niveaux de compétition que nous souhaitons avoir au cours des prochaines années.»
Des athlètes de cinq nations, Canada, Ukraine, Pologne, France et Pays-Bas, étaient présents à ce championnat mon dial. «Les athlètes militaires ukrainiens et français étaient vraiment les plus forts.»
Maj McRae pratique l’escrime depuis longtemps. Depuis quelques années, ses obligations personnelles et profes sionnelles ne lui permettent plus de consacrer du temps à l’entraînement. Il est donc impensable pour elle de conti nuer à participer à des compétitions.
S’impliquer au niveau du comité CISM était une belle façon pour elle de rester active dans ce domaine. «J’ai ainsi la chance de donner du temps pour ce sport. Je peux maintenant redonner aux autres de ce que j’ai reçu à l’époque comme athlète.»
Maj McRae indique que l’escrime est une discipline qui allie l’entraînement physique et la stratégie. «Il est impor tant d’avoir une bonne forme physique pour pratiquer ce sport, car cela est très exigeant au niveau cardiovasculaire. Certains combats peuvent durer plus de 15 minutes. La force des jambes est donc primordiale.»
C’est lors de son arrivée au Collège militaire royal du Canada, à Kingston, que la militaire s’est intéressée à cette discipline. «J’ai constaté à quel point ce sport était fait pour moi.»
Parmi les trois armes possibles (épée, fleuret ou sabre), c’est à l’épée que la capitaine McRae combattait à l’époque.
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