





vivants des pensionnats ainsi qu’à leurs familles et leurs communautés.
Pour caporal-chef Laurence Séguin, adjointe au recrutement des pro grammes Carcajou et Autochtones, ce moment est très important. «Procéder à la levée de ce drapeau, c’est rendre hommage à des âmes qui ont été arrachées trop vite et à d’autres qui ont beaucoup souffert.»
et les communautés touchées par le système des pensionnats autochtones au Canada. Chaque élément représenté (la famille, les enfants, les semences dans le sol, l’arbre de la paix, la branche de cèdre, le symbolisme cosmique, la ceinture métisse, la plume d’aigle et l’inukshuk) a été soigneusement choisi par les survivants consultés lors de sa création du drapeau. Ceux-ci prove naient de partout au Canada.
Yves Bélanger, ServirÀ l’occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, différentes activités ont eu lieu dans la communauté militaire.
Rappelons que cette journée est un événement annuel ayant lieu chaque 30 septembre. Son but est de rendre hommage aux enfants autochtones qui ne sont jamais rentrés chez eux, aux sur
Elle ajoute que ce moment de réconci liation permet aux Autochtones de re prendre leur place et apporte un certain équilibre. «Cela permet d’en apprendre plus sur le passé et de s’assurer que cela ne se reproduise pas.»
Le jeudi 29 septembre, le drapeau des survivants a été levé aux garnisons Saint-Jean et Montréal. Ce drapeau rend hommage aux survivants des pension nats autochtones et à toutes les vies
Les élèves-officiers, aspirants de marine et les membres du personnel ont pu découvrir un peu plus la culture autoch tone. «Nous avions invité Luce Bélanger, ainée métisse algonquine. Les gens ont pu échanger avec elle sur la culture autochtone tout en goûtant à un thé de cèdre ou un café», explique capitaine Rachel Lefebvre, officière d’affaires publiques, de l’institution.
Depuis le 26 septembre, l’Équipe Diversité + de la région de Montréal propose le visionnement en ligne (sur Office D365) d’une discussion sur la réconciliation ayant pour thème Ussiniun – Renouveau.
Trois membres notoires de communautés autochtones du Québec y prennent la pa role: cheffe Adrienne Jérôme du Conseil de la Nation Anishnabe de Lac-Simon, chef Réal Mc Kenzie du Conseil des Innus de Matimekush-Lac-John, et Konrad Sioui, ancien grand chef de Wendake, de la Nation Huronne-Wendat. Ils y échangent leurs points de vue sur cinq questions reliées au thème de la confé rence, notamment les obstacles à la réconciliation, la motivation des Autoch tones à se joindre aux Forces armées ca nadiennes ainsi que les messages qu’ils souhaitent transmettent aux membres allochtones.
Le drapeau des survivants a été levé le 29 octobre à la garnison Montréal.
Visionnez le récit d’une survivante
Les Forces armées canadiennes vous proposent d’écouter le récit d’une survivante autochtone qui a été privée de son enfance autochtone dans les années 1950-1960.
Visionnez une entrevue avec le champion pour les peuples autochtones
Le lieutenant-général Jocelyn Paul, commandant de l’Armée, parle de son expérience per sonnelle et invite chacun à un exercice de réflexion.
Le drapeau des survivants.
Visitez le Centre national pour la vérité et la réconci liation.
Musiciens aguerris IV au Camp musical Val-des-Sources à Val-des-Sources pour une deuxième année consécutive. Cent pour cent des membres y ont pris part: un exploit pour une unité de la Réserve!
Ce fut l’occasion pour l’ensemble, com posé d’une trentaine de musiciens, de pratiquer de manière intensive pendant une fin de semaine. La direction musi cale était assurée par lieutenant Martin Ringuette et sergent Jonathan Moreau, le directeur musical adjoint. Du matin jusqu’au soir, les musiciens ont joué, avec des périodes de répétition par petit groupe d’instruments.
y sera à l’honneur!
Puisque l’ensemble musical offre éga lement des prestations lors de dîners régimentaires, l’exercice a permis de préparer des arrangements de pièces plus pop, dont une demande spéciale du sergent-major régimentaire, adju dant-chef Gabriel Chrétien, D’la bière au ciel de Jim Corcoran!
sion pour développer le jeu d’ensemble et consolider la cohésion et le moral en début d’année. Dans cet esprit, sergent Gabriel Gauthier avait apporté son four à pizza. Le samedi soir, il a préparé des pizzas maison pour tous ses collègues. Un hit instantané!
Musique des Fusiliers de Sherbrooke
Du 23 au 25 septembre, la Musique des Fusiliers de Sherbrooke a tenu l’exercice
La Musique a pu peaufiner son réper toire de musique de film en vue de son concert prévu à la fin du mois de novembre. Et soyez avisé: John Williams
L’exercice a été l’occasion pour la Mu sique de tenir une discussion de groupe sur les conflits, l’éthique et le harcèle ment. Menée par la sergente-majore de la Musique, adjudante-maître Catherine Sévigny, l’activité a permis aux membres de partager leurs points de vue et expé riences.
Il s’agissait de la quatrième édition de Musiciens aguerris, une excellente occa
Pour suivre les activités et obtenir les dé tails concernant le concert de novembre (gratuit et ouvert à tous), visitez la page Facebook de l’unité.
Du 24 au 26 septembre, l’Escadre des élèves-officiers était au site d’entraîne ment de Farnham afin de participer à l’exercice LEADERSHIP CONQUÉRANT.
Encore une fois, les futurs officiers ont participé à différentes activités de ter rain telles que la routine en bivouac, le champ de tir, la course à obstacles et la traque furtive (stalking). Ils ont égale ment participé à divers scénarios conçus
pour l’occasion. Cette année, l’exercice de la tour de rappel a été remplacé par les exercices de Parcours d'évaluation du potentiel de leadership (PEPL).
L’élève-officière Daphnée Therrien, de l’escadron Richelieu, qui occupait une fonction de leadership dans le cadre de cet événement, explique que cette année, les élèves-officiers seniors ont été plus impliqués dans l’organisation de l’exercice. «Nous étions heureux d’être-là. Les participants ont eu droit à la meilleure édition de LEADERSHIP CONQUÉRANT des trois dernières années.»
Pour sa part, l’Élof Dylan Fortin, de l’escadron Richelieu, en était à sa pre mière participation à cet exercice. Ce futur officier d’infanterie a adoré son expérience. «Jusqu’à maintenant, mon
exercice préféré est celui de tir. J’avais eu la chance d’en faire un peu lors de ma Qualification militaire de base à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes cet été. J’adore tirer au fusil.»
Il raconte qu’une des simulations de mission à laquelle il a participé consis tait à fouiller un groupe de réfugiés. «Je n’avais jamais fait ça avant. Malheu reusement, mon binôme et moi avons été «tués» au cours de l’exercice par un réfugié qui avait un couteau caché. Toutefois, nous avons beaucoup appris de cette expérience. Je sais maintenant comment faire une fouille de façon sécuritaire.»
L’Élof Therrien ajoute qu’après cette simulation, les étudiants internationaux ont pour leur part montré comment les
fouilles sont effectuées dans leurs pays. «Cela a été un beau partage d'expé rience.»
Chaque année, l’Ex LEADERSHIP CONQUÉRANT permet aux escadrons d’accumuler des points en vue de rem porter la Coupe du commandant.
Iberville a été l’escadron gagnant de la fin de semaine. Les escadrons Tracy et Jolliet ont pour leur part terminé en deuxième position. «Les résultats ont été très serrés et l’ensemble de l’Escadre des élèves-officiers a réalisé un travail incroyable», précise la Capitaine Rachel Lefebvre, officière d’affaires publiques au CMR Saint-Jean.
Photos: CMR Saint-JeanNous vous proposons ici une courte mise en situation. Si vous viviez une telle situation, iriez-vous chercher de l’aide?
Cher Service de gestion des conflits et des plaintes,
Mon nouveau superviseur est très maussade et parfois revêche. Quand il arrive le matin, je le salue avec un «bonjour». La plupart du temps, il passe devant mon bureau et fait comme si je n'existais pas. Parfois, il dit «on verra ça». Il me traite comme si je ne connais rien, car il ne me délègue pas de travail et il vérifie constamment mon travail. Je connais bien mon travail puisque j’ai 25 ans d’expérience au gouvernement. Je voudrais établir une bonne relation de travail avec lui, mais comment puis-je faire étant donné sa disposition? Pou vez-vous m’aider?
Cher employé chevronné,
On dirait que vous marchez sur desœufs avec ce nouveau superviseur.Il semble aussi que vous n'avez pasencore fait connaissance. Envisager unediscussion franche avec votre superviseur peut être intimidant, surtout si vousavez peur de sa réaction. Établir unebonne relation de travail avec ce superviseur vous rendrait plus à l'aise avec lui.Je vous félicite donc de vouloir aborder cette discussion «TLI», c’est-à-dire au début du processus, à l’échelle locale etde façon informelle.
Y a-t-il des moments de la journée où ilest plus accessible? Qu'est-ce qui vousfait craindre de l'approcher? Quelleest votre méthode typique pour faireface à des gens revêches? Vous n'êtespas sûr de la façon d'aborder le sujet?Travailler avec un coach de conflit peutvous aider à identifier les compétencesen gestion de conflit que vous souhaitezaméliorer et à vous préparer pour avoirune conversation productive avec votre superviseur.
Le coaching de conflit est un service individuel confidentiel que le Service de gestion des conflits et des plaintes (SGCP) fournit à toute personne au sein de l'équipe de la Défense. Chaque session dure environ une heure et le nombre de sessions est spécifique au besoin du client. Le coaching est facile ment accessible, car il peut être effectué en personne ou par téléphone.
Dans les régions Saint-Jean et Montréal, vous pouvez joindre les conseillers du SGCP au 514 252-2777
• Serge Hamel : # 4353
• Isabelle Bussières : # 2549
• Capitaine Cindy Lapointe : # 2894
• Adjudant-maître Dominic Labelle : # 6365
Vous pouvez trouver les coordonnées de votre bureau SGCP dans notre site Web.
Un service unique par notre personnel expert qui vous :
Conseille à chacune des étapes de votre carrière et même après
Sert là où vous
Le samedi 10 septembre a eu lieu une journée familiale dans le cadre des fes tivités du 80e anniversaire du 25e Dépôt d’approvisionnement des Forces cana diennes (25 DAFC). L’activité a été or ganisée en collaboration avec le Centre de mise en service de l’équipement de l’Armée canadienne (CMSEA).
Les employés civils et les militaires du 25 DAFC et du CMSEA pouvaient pour l’occasion inviter leurs familles immé diates à venir visiter les lieux. Plus de 400 personnes ont franchi les tourni quets avec le sourire pour venir admirer les nombreux armements et véhicules en démonstration statique ainsi qu’un poste sanitaire d’unité présenté par le personnel du 4e Groupe des services de santé et la 52e Ambulance de cam pagne.
Un détachement du 2e Régiment d’artil lerie de campagne a pris une part active à la journée avec leur obusier C-3 de 105 mm. Selon les observateurs avertis qui avaient généralement entre 5 et 12 ans, le sommet de la visite était le parcours d’essai des lunettes de vision nocturne alors que les plus vieux, eux, préféraient la roulotte de simulation de tir aux armes légères du Centre d’ins truction de la 2e Division du Canada qui s’est joint à nous pour l’occasion.
Avec la météo idéale, l’opération a été un franc succès!
Supporto Ergo SumLa semaine de sensibilisation aux relations saines aura lieu du 17 au 21 octobre 2022. L’équipe consultative en violence familiale - Région Montréal vous propose pour l’occasion trois outils pour renforcer les liens avec ceux qui vous entourent.
Ce document contient une foule d’idées d’activités à réaliser à votre rythme avec votre conjoint, les membres de votre fa mille et vos amis. Elles vous permettront d’entretenir avec eux des relations har
monieuses, de faire une introspection et d’ouvrir le dialogue en ce qui a trait à l’état de vos relations et aux façons de les améliorer.
le livret
Bruno Landry, ex membre du groupe d’humour Rock et Belles Oreilles, offrira une conférence où il abordera des thèmes comme accepter la différence et favoriser le dialogue, focaliser sur les qualités des gens qui nous entourent, intégrer les forces des collègues dans un travail d’équipe ou intégrer l’humour dans notre quotidien.
Cette conférence en français est gra tuite. Elle aura lieu le jeudi 20 octobre, de 12 h à 13 h 30 à l’auditorium de la garnison Saint-Jean. Il sera également
possible d’y assister virtuellement, sur la plateforme Teams.
L’activité s’adresse aux membres de l’équipe de la Défense, aux membres de leur famille et à leurs amis.
Inscription
Enfin, vous trouverez sur le site national des Services de bien-être et moral des Forces canadiennes des fiches-conseils, des témoignages, des cours en ligne, des webinaires et les coordonnées des ressources à votre disposition.
Accéder au site
du Théâtre des Petites Lanternes. La pièce donne une voix à des vétérans, à des familles de militaires et à leurs proches à propos des blessures liées au stress opérationnel et post-traumatique, de leur marginalisation et des innom brables répercussions sur les militaires, leur entourage et auprès de la collecti vité.
La réalisation de ce projet a été toute une aventure. Pendant une année com plète, plus de 200 vétérans ont écrit de vibrants témoignages. C’est à partir de ces carnets d’écriture que les respon sables du projet ont créé la pièce.
ment intervenir auprès d’eux.» Ce sont des intervenants du CRFM ou des pairs aidants du programme Soutien social; blessures de stress opérationnel (SSB SO) qui offriront ce soutien.
Mme Dutour conclut en mentionnant que le CRFM met tout en œuvre pour que ce projet artistique soit présenté à
Saint-Jean-sur-Richelieu et dans la ré gion de Montréal. «Cela devrait se faire au cours du printemps 2023.»
Après plusieurs mois de travail acharné, la pièce de théâtre Projet Monarques sera présentée pour la première fois au public le 8 novembre, à la salle Maurice-O’Bready à Sherbrooke. Elle a été créée par le Théâtre des petites lan ternes, en collaboration avec les Forces armées canadiennes (FAC).
Le Centre de ressources pour les fa milles des militaires (CRFM) de la région de Montréal collabore à ce projet de puis ses débuts en 2019. «Nous sommes là pour favoriser les contacts avec les FAC et pour apporter notre soutien», indique Myriam Dutour, coordonnatrice au programme des familles des vétérans au CRFM.
Projet Monarques est une initiative de théâtre bilingue, à l’échelle canadienne,
Sur scène, les spectateurs retrouveront cinq figures qui condenseront les voix de centaines de vétérans et vétéranes, de militaires et de leurs proches: cinq lignes de vie comme autant d’histoires témoignant du quotidien de ces gens, affectés de différentes manières par leurs blessures.
Mme Dutour explique que Projet Monarques sera présenté d’abord à Sherbrooke, le 8 novembre, en français, puis un peu partout au Québec, autant en anglais qu’en français. Bien sûr, les membres de la communauté militaire y sont attendus en grand nombre.
«À chacune des représentations, un intervenant sera sur place. «Si jamais la pièce suscite des réactions chez les spectateurs, ils pourront immédiate
Angèle Séguin, directrice artistique du Théâtre des Petites Lanternes et co-autrice pour le Projet Monarques
Les monarques sont les seuls papillons à parcourir jusqu’à 5 000 kilomètres lors de migra tions massives durant lesquelles a lieu la naissance de la génération suivante des papillons. Ce long voyage, essentiel à leur survie, les soumet à des conditions météo rologiques rudes, auxquelles plusieurs d’entre eux ne survivent pas. C’est ce parcours éprouvant et transformateur qui a inspiré le titre de la pièce.
Au moment où vous lisez ces lignes, Vanessa McAlpine, monitrice de conditionnement physique et sport aux Programmes de soutien du personnel (PSP) à la garnison Saint-Jean, arrive tout juste de Lettonie dans le cadre de l’opération REASSURANCE. Cette aven ture, débutée le 21 avril, lui a donné le goût de vivre d’autres expériences de déploiement.
En Lettonie, elle occupait le poste de coordonnatrice du conditionnement physique, des sports et des loisirs. «Nous sommes trois coordonnateurs et une superviseure. Nous travaillons conjointement pour offrir les meilleurs services aux membres des Forces ar mées canadiennes, mais aussi à toutes les nations faisant partie de l’OTAN.»
En tant que coordonnatrice, son objectif premier est d’aider les militaires à gar der un bon moral et les soutenir physi quement, mentalement et socialement durant leur déploiement. «Je m’occupe de tout ce qui englobe l’entraînement physique et l’organisation d’événements sportifs ou récréatifs. Je planifie et anime des cours en groupe comme de l’entraînement fonctionnel, du spinning, du yoga ou des cours de mobilité. De plus, à quelques reprises, j’ai donné des ateliers sur divers sujets comme le yoga et la méditation, l'échauffement et la santé mentale.» En ce qui a trait au volet récréatif, la coordonnatrice planifiait et animait des activités en soirée comme du bingo ou de la peinture. «Nous avions aussi des soirées de cinéma et de karaoké.»
Elle a aimé plusieurs choses de son travail. «Tout d’abord, je dois dire que l’équipe est exceptionnelle. Mes collè gues de travail sont devenus de bons amis à l’extérieur. Cela crée une meil leure connexion et une meilleure chimie au sein de l’équipe.»
Vanessa McAlpine s’est jointe aux PSP de la région de Montréal il y a deux ans. «J’avais besoin d’un nouveau défi au niveau professionnel. Je souhaitais transmettre mes connaissances et aider une clientèle que je connaissais plus ou moins. L’opportunité de partir en déploiement était aussi une motivation pour moi.»
leadership et de recrues des Forces ca nadiennes ainsi qu’aux militaires. «J’aime pouvoir les aider à se surpasser pour accomplir leurs objectifs. Il est aussi inté ressant de suivre un peloton du début à la fin afin de voir son évolution. »
Il s’agit du premier déploiement de Mme McAlpine. Elle explique que ses journées pouvaient être très chargées.
«Elles changent tous les jours selon les tâches ou les activités prévues et selon celles organisées par d’autres nations».
Elle aimait se lever tôt afin d’avoir la chance de s’entraîner. «Tout au long de la journée, je préparais mes classes, l’événement que j'allais donner, les pro grammes d’entraînement personnalisés et toutes autres tâches administratives. Nos activités de loisir commençaient pour leur part autour de 20h, donc nous les préparions vers 19h.»
Elle ajoute que cette expérience à l’étranger lui a donné le goût de parti ciper à d’autres déploiements au cours des prochaines années. «J’aimerais pouvoir travailler au Koweït ou bien sur un bateau pour vivre quelque chose de différent. Toutefois, je reviendrais en Lettonie n’importe quand!»
En plus d’être passionnant, son travail en déploiement lui a permis de saisir la réalité des militaires. «C’est maintenant plus facile de comprendre le travail qu’ils accomplissent lorsqu’ils partent en mission, mais aussi celui qu’ils effectuent sur leur base respective.
Nous aidons gratuitement les anciens combattants et les familles militaires en transition à occuper des emplois dans le domaine de la technologie. Si vous connaissez quelqu’un qui peut en bénéficier, envoyer-le à WYWM.
expérience
Lorsqu’elle est à la Garnison Saint-Jean, ce qu’elle aime le plus de son travail est de transmettre de bonnes habitudes de vie, tant physiques, psychologiques que sociales, aux candidats de l’École de
Mme McAlpine a profité de ses temps libres pour découvrir les beautés de la Lettonie. «Je me suis promenée un peu partout près de la base. J’ai visité les villes d’Adazi, Riga et Jurmala. J’ai entre autres découvert différents restaurants, la plage, des musées, des châteaux.» Lors de ses vacances, elle s’est même rendue en Italie. «Ce fut un très beau voyage!», conclut-elle.
vos repas à l’avance. En plus de vous sauver du temps, vous économiserez de l’argent!
1• Pour maintenir une habitude, il faut commencer progressivement. Si vous débutez par la préparation de crudités et d’un ou deux repas par semaine, vous ne vous sentirez pas dépassé et vous aurez plus de chances de continuer.
précoupés), aliments à grains entier (riz, quinoa, couscous), aliments protéinés (viandes précuites à réchauffer, œufs, pois chiches, thon)
3• Commencez par les aliments que vous connaissez et des repas simples. Ensuite, ajoutez de la nouveauté en vous inspirant des nombreuses recettes disponibles sur le web.
Janika Chartrand, spécialiste, Promotion de la santé
Pas toujours facile de manger santé!
Optimisez vos chances de réussite en préparant partiellement ou totalement
Chaque automne, depuis 1921, les différentes filiales de la Légion royale canadienne invitent la population cana dienne à honorer la mémoire de ceux qui ont fait l’ultime sacrifice durant la Campagne du coquelicot. Toutefois, ce que trop de gens ignorent, c’est que le port du coquelicot est soumis à cer taines règles.
2• Choisissez des ingrédients passe-partout. Basez-vous sur le Guide alimentaire canadien et prévoyez des aliments de chaque groupe: fruits et légumes (légumes surgelés ou frais
Afin de souligner le jour du Souvenir, le coquelicot doit être porté à compter du dernier vendredi d'octobre, mais pas avant! On le portera jusqu’au 11 no vembre et on le retirera des vêtements à la fin des cérémonies commémoratives.
La Légion encourage aussi le port du coquelicot lors des funérailles de vétérans, et pour tout autre événement commémoratif tel que l'anniversaire de la bataille de la crête de Vimy.
Le coquelicot doit être porté sur le côté gauche (celui du cœur) avec tout le respect qu’il se doit. Étant un symbole
4• Faites participer toute la famille. Vous pouvez même inclure vos voisins et amis pour augmenter la quantité et la diversité de vos repas.
sacré du Souvenir, rien ne doit modifier son apparence. Par exemple, il ne doit pas être fixé sur les vêtements avec une épinglette qui rendrait son cœur noir moins visible. Si vous ne souhaitez pas utiliser l’épingle fournie, vous pouvez vous procurer un bouton de coquelicot noir réutilisable pour maintenir la fleur bien en place.
Rappelons que les dons recueillis au cours de la Campagne du coquelicot sont conservés au niveau de chaque filiale de la Légion royale canadienne et détenus en fiducie afin de soutenir directement les vétérans et leurs familles au sein de leur communauté.
Visiter le site de la Campagne du coquelicot
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Nous reconnaissons également la force derrière l’uniforme. C’est la raison pour laquelle nous offrons à votre conjoint ou conjointe, aux membres de votre famille immédiate et à vos amis de la communauté de la Défense canadienne la même offre bancaire exclusive sans frais mensuels1 dont vous profitez. De plus, s’ils ouvrent un compte entre le 13 juin et le 30 septembre, ils seront aussi automatiquement inscrits à notre concours Merci aux clients2.
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Le Collège militaire royal de Saint-Jean (CMR Saint-Jean) a tenu son colloque annuel Leadersphère le 4 octobre dernier, organisé cette année par Mme Marina Sharpe et Mme Élizabeth Vallet, toutes deux professeures et chercheures à ce même collège. Sous le thème «Analyser, décider, agir: ré pondre aux défis de sécurité contempo rains», ce colloque signature a rassem blé des leaders de partout au pays pour aborder les défis auxquels le leadership canadien fait face dans l’environnement international.
Chercheur(-euse)s, ambassadeur(-drice) s, politicien(-ne)s, dirigeant(e)s d’entre prise, militaires se sont réunis autour de trois panels abordant les défis de sécurité contemporains à partir des points clés du processus de prise de dé cision stratégique. M. Charles-Philippe David, professeur de Science politique à l’UQAM et fondateur de la Chaire Raoul Dandurand, a ouvert le premier panel «Analyser» qui rassemblait cinq univer sitaires pour aborder ces défis sous leur prisme disciplinaire respectif. M. David a démontré comment nous assistons ac tuellement à un véritable déclin démo
cratique, tandis que les autres présen tateurs ont abordé les défis de sécurité sous l’angle de la cybersécurité, de la violence sexuelle au sein des forces armées, des changements climatiques et de la réponse aux pandémies.
Cette pluralité de points de vue et la riche discussion qui s’en est suivie ont permis d’élargir la conception tradition nelle de la sécurité reposant principa lement sur les relations diplomatiques et les forces armées en identifiant les risques émergents liés au numérique, au climat, et comme on l’a vécu récemment, aux pandémies. Sur ce dernier point, l’apport de la Dre Caroline Quach-Thanh qui a joué un rôle de premier plan durant la récente crise a été particulière ment apprécié.
On ne peut passer sous silence la contribution de Mme Megan Mackenzie de l’Université Simon Fraser qui a pré senté un bilan de ses recherches sur la violence sexuelle au sein des forces armées du Canada, de l’Australie et des États-Unis. Sujet difficile, sa contribution a notamment permis de circonscrire les jalons du discours médiatique sur la question. Les organisatrices n’ont pas manqué de saluer le courage de Mme Mackenzie pour aborder devant un public majoritairement militaire cette problématique délicate sur laquelle se penchent actuellement plusieurs paliers décisionnels, dans la foulée de la publi cation du Rapport Arbour.
Le deuxième panel «Décider» a offert un généreux forum de femmes dirigeantes qui ont réfléchi ensemble à la place du genre dans l’espace décisionnel en matière de sécurité. Mme Élizabeth Vallet, professeure agrégée de science
politique au CMR Saint-Jean, a facili té avec beaucoup de dynamisme les échanges entre cinq leaders exception nelles, dont Mme Béatrice Vaugrante (Amnistie internationale), Mme Christine Normandin (députée de Saint-Jean et VP du Comité permanent de la Défense nationale) et Mme Madeleine Redfern (CanArctic Inuit Networks Inc.). Les défis auxquels sont confrontées les femmes en théâtre opérationnel ont été abordés grâce à l’expérience éloquente de la lieutenante-colonelle Melanie Lake, qui a notamment commandé l’opération UNIFER en Ukraine et a été déployée en Afghanistan à plusieurs reprises.
Toutes ces femmes ont démontré comment tenir compte de la dimension du genre dans le processus de décision stratégique qui permet d’atteindre une meilleure inclusion et représentativité, et ce faisant, de maintenir une ap proche démocratique en protégeant les droits fondamentaux. Dynamiques et audacieuses, elles ont su démystifier la pertinence, voire le devoir, de tenir compte du genre lorsque vient le temps d’analyser, de décider ou d’agir, aussi bien dans un contexte international que domestique. De fil en aiguille, ont été abordés les enjeux plus vastes de la di versité, particulièrement du point de vue de la gestion des organisations.
Enfin, le dernier panel «Agir» était com posé de praticiens spécialisés à toutes fins près des mêmes spécialités abor dées dans le premier panel, auxquelles se sont ajoutées les opérations de maintien de la paix avec la contribution de Mme Jacqueline O’Neil, ambassa drice du Canada au Conseil de sécurité de l’ONU (femmes, paix et sécurité). Ce
panel s’est penché sur l’action, c’està-dire sur l’opérationnalisation des décisions stratégiques. L’expertise de terrain des présentateurs, dont celle du brigadier-général Lambert en cybersé curité, a su apporter une grande valeur à cette journée.
Ce colloque interdisciplinaire s’est distingué par la qualité exceptionnelle des conférenciers, certes. S’éloignant de la formule consacrée d’un colloque universitaire en mettant de l’avant une hybridité entre théorie et pratique et une pluralité d’expériences et d’exper tises disciplinaires, Leadersphère 2022 résonne comme autant de voix plurielles bien accordées, en ce sens que toutes et tous ont insisté à l’unisson, chacun à sa manière, sur la nécessité de tenir compte de points de vue non seulement divergents, mais aussi diversifiés afin d’accroître la qualité et la pertinence des analyses, des plans d’action et leur mise en œuvre.
En tout, 15 conférenciers ont pris part aux échanges auxquels ont également assisté les élèves-officiers et aspirants de marine du CMR Saint-Jean. Comme l’a mentionné le directeur des études de l’établissement, M. James Groen, dans ses mots de bienvenue: «cette édition de Leadersphère représente une autre étape dans l’évolution du CMR Saint-Jean en tant qu’université». En effet, cette toute première édition de Leadershère depuis que le CMR SaintJean est redevenu une université a fait place à des échanges interuniversitaires fructueux. Il met aussi en lumière le rôle même de ces échanges dans la mission d’enseignement du Collège, en particu lier pour les étudiants au baccalauréat en études internationales, mais aussi sur plan institutionnel. On pense ici à la contribution de Mme Mackenzie et à la vitalité avec laquelle ont été abordés la dimension du genre et la diversité, en jeux qui n’ont pas manqué de faire écho à l’important changement de culture entrepris par les FAC.
Nous sommes à la recherche de photos tactiques provenant d’utilisateurs canadiens de produits Tasmanian Tiger. Les photos choisies seront publiées dans notre catalogue 2023.
Limite pour l’envoi de vos photos : le 18 novembre 2022
Tous les détails sur : tasmaniantiger.ca/photos
Ceci n’est pas un concours. Aucune rémunération ne sera versée pour les photos publiées. Nous respecterons votre volonté de cacher votre visage et votre ID/Nom sur les photos. Certaines conditions s’appliquent.
Les militaires et les employés civils de la Défense (fonction publique et Fonds non publics) sont invités le mercredi 19 octobre, de 8 h à midi.
Activités:
• Compétition d’entrainement fonctionnel dans le grand gymnase - 3 catégories: débutant, intermédiaire et avancé
• Tournoi de volleyball dans le Fieldhouse
• Escalade à la palestre
• Badminton libre dans la palestre
Le Championnat national de soccer des FAC a eu lieu à Kingston du 26 septembre au 1er octobre. Quelques joueurs des Patriotes y sont allés pour représenter le Québec.
Les militaires et les employés civils de la Défense (fonction publique et Fonds non publics) sont invités le jeudi 20 octobre, de 8 h à midi.
Activités:
• 6 h 15: yoga I – Flow lever du soleil
• 7 h 15: yoga II – Flow en douceur
• 8 h 30: spinning
• 9 h 30: Défi de la guerrière ou du guerrier
• 10 h 30: tournoi de dodgeball par équipe de 10 Information: 514 252-2777 # 6371
Caporal Guillermo Lorenzana-Ramirez, du 34e Groupe-brigade du Canada et capitaine Arman Afkam, de la 4e Unité de contrôle des mouvements des Forces canadiennes avaient été repêchés par Les Lions de Valcartier. Leur équipe est revenue avec la bannière!
Caporale Shayna Ritchie-Hervieux, du 41e Centre des services de santé des Forces canadiennes, capitaine Jamie Tillapaugh, de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, et caporale-chef Kara-Christyne Cyr, du 34e Groupe-brigade du Canada, avaient été recrutées pour les Nationals
d’Ottawa. L’équipe a perdu en demi-fi nale contre celle de Trenton, qui repré sentait l’Ontario. Capitaine Tillapaugh,
Cpl Lorenzana-Ramirez et Cplc Cyr ont reçu les mentions de joueuses les plus utiles à leur équipe.
À la fin du mois de septembre, le capo ral Charles Goelen, du 34e Bataillon de services, représentait le Canada chez les hommes (moins de 75 kg), au Cham pionnat mondial de karaté, en Pologne. Il soutient que cette expérience a été au-delà de ses attentes.
Le réserviste raconte que dès le début de la compétition, il a compris que le niveau des participants était très élevé. «J’ai été éliminé au premier tour. Toute fois, je suis fier d’avoir été vaincu par le karatéka qui a finalement remporté le championnat dans notre catégorie, le Japonais Hotaka Yoshizawa.» Cpl Goe len est également très heureux d’avoir réussi à lui tenir tête. «J’ai été capable de combattre jusqu’à la fin!»
Il explique que cette expérience lui a permis de comprendre ce qu’il devait améliorer au cours de ses entraîne ments. «Je dois entre autres augmenter
la souplesse de mes jambes et travailler ma puissance.»
Le karatéka ajoute qu’il doit également renforcer les muscles de son torse. «Lors de mon combat, j’ai reçu de nombreux coups qui m’ont presque coupé le souffle. Il faut que je sois en mesure de mieux encaisser ce type d’attaque.»
Caporal Goelen raconte qu’il a adoré son passage en Pologne. «L’organisation était vraiment géniale. J’ai aimé pouvoir rencontrer des passionnés de karaté provenant de partout dans le monde. J’ai développé de bons liens avec eux.»
Ce voyage a aussi permis au militaire d’assister à des séminaires. «Les confé renciers étaient des maîtres et des champions mondiaux de karaté. Ils ont partagé avec nous leurs différentes techniques. C’était très pertinent et fort intéressant.» Parmi eux, les Japonais Norichika Tsukamoto et Yuji Shimamoto, deux champions du monde en karaté ainsi que Valeri Dimitrov, un Bulgare deux fois champion européen de karaté.
Le réserviste est présentement en Belgique pour rendre visite à sa famille. Dès son retour, il compte se remettre à l’entraînement. «Je vais me ternir
en forme dans le but de participer à plusieurs compétitions de karaté qui se tiendront au Québec et un peu partout en Amérique.» Son prochain grand défi aura toutefois lieu dans trois ans. «En
Le marché pour les camionnettes de taille intermédiaire est en pleine progression avec une augmentation de 22 % en 2019 aux États-Unis. Les amateurs comme moi avaient donc tous très hâte de voir ce que Chevrolet avait à offrir avec ce nouveau venu et nous ne sommes pas déçus!
Avec une allure revampée et un look beaucoup plus agressif, le Colorado saura plaire à plusieurs. Son look est incroyablement réussi. Une apparence soignée et plus sportive qui sera assurément très populaire auprès des futurs clients.
Il faut spécifier qu’un seul moteur est disponible, le 2,7 litres turbo, et selon le modèle choisi, le nombre de chevaux-vapeur sera différent ainsi que les capacités de remorquage. Par exemple, le modèle de base offrira 237 chevaux, un couple de 259 livres-pieds et 3 500 livres de capacité de remorquage. Le modèle ZR2 offrira pour sa part 310 chevaux, 430 livres-pieds et une capacité de remorquage de 7 700 livres.
Plusieurs modèles sont disponibles en fonction de vos besoins ou de votre bud get. Cependant, si vous êtes adepte de hors route comme moi, vous serez proba blement plus intéressé par le modèle ZR2. Il possède un châssis allongé et élargi pour une meilleure stabilité, une suspension surélevée d’origine de 3 pouces, des roues de style Beadlock avec différentiels autobloquants et une panoplie de petits gadgets très intéressants afin de vous faciliter la vie lors de vos aventures hors des sentiers battus.
Chevrolet n’a pas lésiné sur les technologies. Vous trouverez toutes les assistances à la conduite possible: assistance au freinage d’urgence, détecteur de piétons, assistance de changement de voie et beaucoup plus. Tout cela s’affichant sur un écran de 11,3 pouces. Avec ses 9 caméras, la camionnette vous offre des points de vue tout autour de votre véhicule et l’assistance nécessaire pour attacher une remorque. Le modèle ZR2 offrira même une caméra sous le véhicule pour le hors route. Pour être franc, celle-ci deviendra sûrement inutilisable dès qu’elle sera couverte de boue.
Vous trouverez cinq modes de conduite préenregistrés soit: normal, hors route, terrain, remorquage et Baja. Selon votre choix, la transmission et d’autres aspects de votre conduite s’adapteront mieux au type de terrain. Sur papier, le nouveau Chevrolet Colorado est très prometteur. J’ai donc bien hâte de le tester sur route !
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