





Après deux ans et demi d’absence, le colloque annuel Leadersphère est de retour au Collège militaire royal de Saint-Jean (CMR Saint-Jean). L’événe ment se tiendra le 4 octobre en pré sence de plusieurs panélistes issus des milieux militaire et civil. Il abordera les défis auxquels est confronté le lea dership canadien dans l'environnement international.
Cette année, le colloque a pour thème Analyser, décider, agir: répondre aux défis de sécurité contemporains. Chacun des panels s'articulera autour d'un point clé du processus de décision straté gique.
Marina Sharpe et Élisabeth Vallet, respectivement professeure adjointe et professeure agrégée au programme d’Études internationales du CMR SaintJean, sont les deux organisatrices de cette édition. Elles y ont vu une op portunité d’apporter une perspective féminine. «Pour les femmes, la sécurité touche plus d’aspects que ceux de la guerre et des conflits. Notre perspective est plus large et va même jusqu’à tou cher les enjeux climatiques», explique Élisabeth Vallet.
Sa complice mentionne que c’est pour cette raison qu’elles ont invité des femmes occupant des positions de pouvoir à prendre la parole dans le
cadre de cet événement. «Nos pané listes proviennent des milieux civil et militaire et n’œuvrent pas tous dans le domaine académique. Pour nous, il était important de réunir ces trois pôles décisionnels.»
Le premier panel, Analyser, présentera l'expertise universitaire sur les défis contemporains en matière de sécurité. «On y abordera le déclin démocratique, la cybersécurité, la violence sexuelle dans les conflits armés, les changements climatiques et la réponse aux pandé mies», précise Mme Vallet.
Le deuxième panel, Décider, consistera pour sa part en un forum qui permettra aux femmes dirigeantes de réfléchir à la place du genre dans le processus dé cisionnel en matière de sécurité. «Nous souhaitons que les élèves-officiers et les aspirants de marine qui assisteront au colloque puissent entendre et mieux comprendre la vision des femmes de pouvoir», soutient Mme Sharpe.
Le dernier panel, Agir, est composé de
Panel 1 - Analyser : l’expertise des chercheurs sur les défis de sécurité contemporains
- Aphrodite Salas, professeure adjointe, Journalisme, Concordia University
- Dietlind Stolle, Ph. D., professeur, Science politique, McGill University
- Simon Hogue, Ph. D., professeur adjoint, Études internationales, CMR Saint-Jean
- Megan Mackenzie, Ph. D., Chaire Simons en droit international et sécu rité humaine, Études internationales, Simon Fraser University
- Alexandra Lesnikowski, Ph. D., professeure adjointe, Géographie, Concordia University
praticiens qui réfléchiront aux mêmes défis que le premier panel, mais dans une optique opérationnelle.
OUVERT À TOUSCe colloque phare du CMR Saint-Jean n’est pas réservé aux militaires et aux employés civils de la Défense nationale. «Toute personne intéressée par le sujet peut s’inscrire gratuitement et partici per», assure Élisabeth Vallet.
Bien que l’événement sera diffusé sur le web, seuls les gens inscrits et présents sur place pourront intervenir auprès des panélistes.
Panel 2 - Décider : le genre dans les décisions de sécurité
- Madeleine Redfern, chef des opéra tions, CanArctic Inuit Networks Inc.
- Martine Saint-Victor, directrice générale, Edelman Canada
- Béatrice Vaugrante, directrice de pro gramme, Amnistie internationale
- Christine Normandin, députée de Saint-Jean et vice-présidente du Comité permanent de la Défense nationale
- Lcol Melanie Lake
- Mme Catherine François, journaliste, TV5
- Laurence Deschamps-Laporte, Ph. D., professeure adjointe, Science poli tique, Université de Montréal
- Brigadier-général James Lambert
- Jacqueline O’Neill, ambassadrice du Canada pour les femmes, la paix et la sécurité
- Laure Waridel, Ph. D., professeure associée, Sciences de l’environnement, UQAM et co-fondatrice de Mères au front
- Brigadière-générale Krista Brodie
à Trois-Rivières. «Comme plusieurs de mes confrères, je me suis joint au NCSM Radisson dans le but de vivre une expé rience au cours de mes vacances d’été. J’ai toutefois eu la piqûre et j’ai décidé d’y faire carrière.»
Au fil des ans, il a pris de l’expérience au sein des Forces armées canadiennes (FAC). «J’ai eu l’opportunité d’occuper différents emplois en classe A ou en classe B. J’ai également effectué divers déploiements à l’étranger dont Opération CARRIBE, en Martinique, et Op POSEIDON CUTLASS, en Corée du Sud et aux Fidji.» Il a également partici pé au programme d’échange CANZEX, en Nouvelle-Zélande, et à l’exercice Talisman Sabre en Australie.
Lorsqu’il a rejoint les rangs du NCSM Radisson, il ne s’attendait pas à en de venir le commandant un jour. Toutefois, dès le début, il a su démontrer un bon leadership et a accepté toutes les op portunités qui s’offraient à lui. «J’ai tou jours été curieux et intéressé à effectuer de nouvelles tâches.»
est de remettre la machine en route. «Avec la pandémie de la COVID-19, nous avons été moins présents au sein de la communauté, mis à part notre im plication au sein des opérations LASER et VECTOR. Là, il est temps de rappeler notre existence à tous nos partenaires ainsi qu’à la population.»
D’ici la fin de l’année 2022, il compte donc mettre beaucoup d’efforts à rebâtir les liens avec la communauté. «D’autant plus que l’an prochain, la réserve de la Marine royale du Canada célébrera ses 100 ans.»
Actuellement, le NCSM Radisson compte 110 membres. Capc Bourassa compte tout mettre en œuvre pour aug menter ce nombre à 150. «On se donne trois ans pour y arriver. L’important, c’est d’aller chercher de nouveaux membres, mais surtout de tout mettre en œuvre pour les retenir chez nous.»
Il y a six mois, capitaine de corvette Jérémie Bourassa a pris le commande ment du Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) Radisson. Au cours de ce mandat post-pandémie, il souhaite entre autres rappeler aux Trifluviens la mission de cette unité de la réserve navale de la Marine royale canadienne.
C’est en 2008 que Capc Bourassa a dé cidé de s’enrôler au sein de l’unité située
Il ajoute que tout au long de son par cours, il a eu la chance d’avoir sur sa route d’excellents mentors. «Chacun d’entre eux m’a beaucoup apporté. Au jourd’hui, j’essaie à mon tour d’être une bonne personne-ressource.»
Le Capc Bourassa est détenteur d’un baccalauréat en comptabilité et d’un MBA en gestion de projet.
À titre de nouveau commandant du NCSM Radisson, Capc Bourassa a du pain sur la planche. Son premier objectif
Un autre objectif du Capc Bourassa est de prioriser la formation technique. «Avec la rotation de personnel que nous vivons, il est important de mettre l’accent sur l’entraînement de la Marine. On va mettre la formation en administra tion un peu de côté pour développer les capacités de nos troupes sur un navire.»
Pour ce faire, l’unité de réserve dispose de matériel. «Nous avons des simula teurs qui recréent l’environnement d’un navire. Nous en avons même un qui recrée la salle des machines. On peut y comprendre le fonctionnement du moteur. Un autre simule parfaitement la passerelle.»
Le Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) Radisson a été implanté au cœur de la région élargie de la Mauricie et du Centre-du-Québec en 1986. Cette unité de la réserve navale de la Marine royale cana dienne (MRC) compte 110 marins provenant de plus de 30 munici palités. Sa mission est d’entraîner des individus et des équipes spé cialisées afin d’appuyer la MRC dans ses efforts opérationnels au Canada et à l’étranger.
Description de l’insigne D'or, une fasce ondée d'azur chargée de deux burèles ondées d'argent, aux deux rames posées en sautoir au naturel et, surmon tée par la tête d'un jeune voya geur au naturel.
Ce navire doit son nom à Pierre Esprit Radisson, qui a mené des explorations et qui a participé à la traite des fourrures en canoë. Il s'était installé sur les hauteurs sablonneuses qui portèrent plus tard le nom de Trois-Rivières.
Devise
41e Centre des services de santé des Forces canadiennes
La saison de l’automne marque l’arrivée de la période de la grippe. Cette année, lors de la campagne de vaccination contre l’influenza, le vaccin contre la COVID-19 (dose de rappel) sera aussi disponible pour les personnes intéres sées.
L’efficacité du vaccin contre l’influenza est acquise deux semaines après l’ad ministration: il est donc important de se faire vacciner en début de saison.
La grippe est une affection respiratoire contagieuse qui peut causer de graves complications pouvant parfois entraî ner l'hospitalisation des personnes atteintes. La vaccination est le moyen le
plus efficace de protéger sa famille et soi-même.
Ce tableau vous indique si votre protec tion contre le virus COVID-19 doit être restaurée. Une dose de rappel vise à maintenir adéquatement la série vacci nale primaire.
Délai dose précédente
Les membres doivent appeler au 514 252-2777 # 4916 pour prendre rendez-vous.
Au plaisir de vous y voir!
Fortitudo in peseverantia (Le cou rage dans la persévérance)
Couleurs Or et bleu
3e dose (ou 1re de rappel)
4e dose (ou 2e de rappel)
Délai après maladie
6 mois 3 mois
6 mois 6 mois
Des séances de vaccination pour les membres auront lieu à la clinique médicale les 18, 19 et 20 octobre, sans rendez-vous. Si vous ne pouvez être présent lors de ces journées, veuillez communiquer avec la section d’immu nisations pour prendre un rendez-vous: 450 358-7099 # 7704.
Photo: courtoisie Le capitaine de corvette Jérémie Bourassa. LE NCSM RADISSON EN BREF COMBATTONS Page Facebook NCSM RadissonLe nombre de demandes alimentaires a augmenté de 35 % depuis 2019 chez Moisson Rive-Sud. C’est pourquoi l’or ganisme à but non lucratif a besoin de vos dons dans le cadre de la Campagne de charité en milieu de travail de la Défense nationale (CCMTDN).
Moisson Rive-Sud a été fondé en 1992. Depuis 30 ans, son principal objectif est d’assurer la sécurité alimentaire de la population fragilisée et améliorer sa qualité de vie. «Nous sommes un centre de distribution qui dessert les organisa tions communautaires de la Montérégie», explique son directeur général, major (retraité) Dany Hétu.
Depuis 2019, la quantité annuelle de nourriture distribuée s’élève à 4,3 mil lions de kilogrammes. «Cela correspond à un montant de 40 millions $». Il ex plique que la pandémie de la COVID-19,
la guerre en Ukraine et l’inflation sont les principales causes de cette aug mentation des demandes de nourriture. «Quand je suis arrivé en poste il y a six ans, nous desservions 83 organismes. Aujourd’hui, ce nombre est passé à 119.»
Il précise que selon le rapport annuel phare de Banques alimentaires Canada, le Bilan-faim, près de 23 000 personnes ont des besoins d’aide de nourriture en Montérégie. «Ce qui est d’autant plus in quiétant, c’est que ce nombre augmente chaque année.»
Outre la distribution d’aliments aux or ganismes, Moisson Rive-Sud offre aussi du soutien depuis quelques années à des écoles de milieux défavorisés. «Ces denrées permettent aux membres du personnel de ces établissements de pouvoir préparer un repas ou une col lation pour les élèves qui n’ont pas de lunch en raison des problèmes finan ciers de leur famille.»
Autrefois, Moisson Rive-Sud arrivait à desservir sa clientèle avec les dons des compagnies agroalimentaires. Toutefois, depuis 2020, l’augmentation importante du nombre de demandes force l’orga nisme à acheter également des denrées. «Nos achats permettent de pallier le manque de nourriture et de diversifier les types de produits.»
Il a donc fallu que l’organisme de charité puise dans ses réserves financières pour
compenser le manque de nourriture.
«L’an prochain, un poste budgétaire sera créé à cette fin.»
C’est pour cette raison que les dons en argent sont importants. «Toutes les causes sont bonnes. Par contre, il est important que les gens sachent que les dons à Moisson Rive-Sud créent un effet de levier qui permet à de nombreux organismes de la Montérégie de venir en aide aux familles qui éprouvent des difficultés financières.»
VOUS VOULEZ DONNER?La Campagne de charité en milieu de
travail de la Défense nationale se dérou lera jusqu’au 9 décembre. Vous pouvez soutenir financièrement PartenaireSanté, Centraide du Grand Montréal (ou tout autre Centraide au Canada) ou n’im porte quel organisme de bienfaisance canadien enregistré.
Encore une fois cette année, pour les Garnisons Saint-Jean et Montréal, l’ob jectif s’élève à 220 000 $.
dont vous profitez. De plus, s’ils ouvrent
compte entre
juin et le 30 septembre, ils seront aussi automatiquement inscrits à notre concours Merci aux clients2
Passez le mot. Partagez les économies réalisées. Inscrivez-vous pour gagner.
Le concours de l’été se déroulera jusqu’au 30 septembre 2022, alors inscrivez-vous dès maintenant et ne ratez pas votre chance de gagner.
Visitez le site bmo.com/sbcdcconcours, balayez le code QR. Rendez-vous dans n’importe quelle succursale de BMO au Canada.
Et 80 000 $ en prix en argent à gagner2.Faire un don en ligne Major (retraité) Dany Hétu, directeur général de Moisson Rive-Sud. Photo: Cpl Katia Danis-Lemay –Imagerie Saint-Jean
Capitaine Michael Salov, capitaineadjudant, 3e Unité de soutien du Canada
Suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022, des mil lions de réfugiés ukrainiens ont fui vers l'Europe de l’Ouest, dont plus de 2 millions vers la Pologne. Le 14 avril, le Canada a annoncé le déploiement des Forces armées canadiennes (FAC) pour fournir de l’aide humanitaire aux réfu giés ukrainiens en Pologne. Quelques jours plus tard, la Force opérationnelle Pologne (FOP), composée de plus de 120 membres des FAC, s’est déployée pour appuyer les Forces de Défense territoriale polonaises jusqu'au 31 juil let 2022.
La plupart des troupes ont été fournies par une compagnie d'infanterie du 3e bataillon, Princess Patricia's Canadian Light Infantry (3 PPCLI), tandis que la 1re Division du Canada fournit la grande majorité de l'état-major.
De nombreux militaires spécialisés de partout au Canada ont également été attachés à la mission, notamment du personnel médical, des membres des FAC parlant ukrainien et russe pour agir en tant que linguistes, et un détache ment entier d'aumôniers militaires
parlant ukrainien pour fournir un soutien spirituel, psychologique et émotionnel aux réfugiés. Alors que les spécialistes se concentraient sur l'assistance aux réfugiés, la compagnie d'infanterie de la FOP a commencé à s'entraîner simultanément avec les forces armées polonaises pour démontrer la solidarité de l'OTAN face à l'hostilité étrangère. La mission dans son ensemble a été un succès retentissant, ses multiples fa cettes étant positivement affichées dans les médias.
Cependant, comme pour toute opéra tion, les caméras sont rarement bra quées sur le personnel de soutien qui permet aux opérations des FAC de se dérouler, tels que les spécialistes des communications, les commis et les ex perts en logistique. Pour une force opé rationnelle de cette taille, l'empreinte logistique de la FOP en termes de personnel était remarquablement petite. Seuls trois membres de la branche logistique ont été déployés. Le premier était l'officier logistique du 3 PPCLI qui s'occupait des besoins spécifiques de la compagnie d'infanterie. Les deux autres provenaient de la 3e Unité de soutien du Canada (3 USC) à Montréal et ils avaient pour tâche de soutenir l'ensemble de la force opérationnelle.
La 3 USC est l’unité principale des FAC spécialisée dans la gestion du matériel. Son rôle au sein de la FOP consistait à déployer un acheteur dans le but de procurer des articles indispensables au bon fonctionnement de la mission sur le marché local. Cela incluait les fournitures de bureau et l'équipement électronique requis par le personnel de l’état-major ainsi que du matériel médical pour les médecins de la FOP afin qu’ils puissent assurer le traite
ment des réfugiés ukrainiens. Il y avait également les divers articles requis par la compagnie d'infanterie pour prendre soin d'eux-mêmes et de leur équipe ment, afin de les garder en pleine forme pour s’entraîner avec les forces armées polonaises et supporter les centres de transition des réfugiés. Un deuxième membre de la 3 USC a été déployé en tant qu'officier des contrats et logisticien principal (J4) pour la force opération nelle.
À titre d'officier de contrats, ce membre a établi et géré des contrats avec divers entrepreneurs locaux, obtenant des logements pour l’entièreté de la FOP et établissant une flotte de véhicules de lo cation, parmi d’autres besoins essentiels. Ce membre a également maintenu la liaison logistique avec les forces alliées américaines et polonaises, ainsi qu’avec d’autres entités des FAC présentes en Europe de l'Est. Ces relations ont abouti à des accords fructueux permettant aux forces alliées de se soutenir mutuelle
ment afin de combler divers besoins. Bien qu'on parle ou qu’on pense rarement à eux, les membres du per sonnel de soutien des FAC, travaillant souvent dans l’ombre des opérations, accomplissent souvent les tâches les plus fondamentales. Sans leur apport, les missions des FAC n’auraient pas le même niveau de succès.
En fin de compte, tous les membres de la FOP peuvent être fiers sachant que leur travail d'équipe a permis à plus de 30 000 réfugiés ukrainiens de complé ter la biométrie pour leur déplacement vers le Canada. De plus, 2 700 ren contres médicales ont eu lieu et 6 400 Ukrainiens ont reçu des soins pour traumatismes émotionnels, spirituels et mentaux. Ces succès s'ajoutent aux propres initiatives des membres la FOP en soutien aux orphelinats, aux refuges pour femmes et aux soirées cinéma qui ont permis d’offrir au moins quelques heures de répit aux familles de réfugiés ukrainiens.
Maude Laflamme, agente aux services communautaires et sociaux, CRFM
Si vous arrivez d’une autre province, la première étape est de vous inscrire à la Régie de l’assurance maladie du Qué bec (RAMQ). Il y a quelques années, les familles militaires arrivant de l’extérieur du Québec devaient attendre pendant une certaine période avant de pou voir bénéficier de l’assurance maladie québécoise. Rassurez-vous, ce n’est plus le cas!
Votre famille a accès dès son arrivée, même si vous n’avez pas votre carte d’assurance maladie entre les mains!
Le système de santé est l’un des princi paux facteurs d’inquiétude des familles de militaires qui s’intègrent dans un nouveau milieu. Comme chaque pro vince a son propre système, il est sou vent difficile pour elles de s’y retrouver lorsque vient le moment de consulter. Le Centre de ressources pour les fa milles des militaires (CRFM) a quelques trucs pour vous aider à vous intégrer dans le système de santé québécois!
Vous n’avez qu’à téléphoner au 1-800-561-9749 et mentionner votre statut de famille militaire nouvellement arrivée dans la région. Vous devrez fournir une copie de votre message de mutation aux autres documents deman dés lors de votre inscription.
Si, comme une grande majorité des gens, vous êtes à la recherche d’un
médecin de famille, vous pouvez vous inscrire sur la liste d’attente du guichet d’accès pour la clientèle sans médecin de famille. Vous devez alors communi quer avec votre centre de santé et de services sociaux (CSSS) par téléphone. Une infirmière vous rappellera afin de compléter votre inscription.
Chaque demande est évaluée et priorisée selon les critères de vulné rabilité établis par la RAMQ. Si votre demande nécessite un suivi plus rapide, il est alors conseillé de ne pas vous fier uniquement à cette liste, mais de plutôt continuer vos recherches auprès des cliniques médicales de votre région.
Le CRFM vous donne accès à des licences pour la télémédecine. Ces licences sont gratuites et d’une durée d’un an. Intéressé?
Écrivez à SvcPersCRFMSoutienPsySt Jean@forces.gc.ca ou téléphonez à 450 358-7099 # 2917 (Saint-Jean) ou 450 462-8777 # 6821(Saint-Hubert).
Ce document est rempli d’informations sur les services de santé disponibles dans votre région. N’hésitez pas à demander votre copie à l’une des trois succursales du CRFM !
Demandez à la pharmacie de votre ancienne localité de faire parvenir votre dossier familial à votre nouvelle phar macie au Québec. Ceci lui permettra d’avoir un historique des médicaments de votre famille et facilitera les renouvel lements en cas de besoin.
maude.laflamme@forces.gc.ca
450 462-8777 # 6835 (Saint-Hubert)
450 358-7099 # 5059 (Saint-Jean)
Une grue de l'armée polonaise alliée aide la Force opérationnelle Pologne à charger son équipement sur un véhicule de fret engagé localement via contrat. Photo : Adjum Steven PlatzAprès une carrière militaire de 30 ans, principalement dans le domaine de la finance, M. Gre nier s’est joint aux Fonds non publics en 2006. Coordonna teur des Biens non publics, il a quitté ses fonctions le 2 septembre.
Le Cpl Haché a fait preuve d’un rende ment exceptionnel en permettant à la coordination de la garnison Saint-Jean de maintenir son effi cacité opérationnelle lors de l’absence de l’officier d’administra tion.
À l’occasion de son départ à la retraite, le Svc Ops a souligné le dévouement indéfec tible, la diligence, la rigueur, la diplomatie, l’approche inclusive et le sens du devoir de l’Adjum Paquette.
Devant le succès remporté par l’atelier Recharge ta machine au printemps der nier à la garnison Montréal, la Promo tion de la santé a décidé d’y aller avec une deuxième édition cet automne.
C’est maintenant le temps de s’inscrire!
À compter du 12 octobre, les militaires et les employés civils de la Défense de la garnison Montréal pourront participer à la série d’ateliers préparée afin de les
sur la santé physique et psychologique.
Il est maintenant bon de se reprendre en main. Au printemps, la dizaine de participants a adoré leur expérience.
Certains comptent même revenir cet au tomne», indique Carl Coicou, spécialiste en promotion de la santé et animateur principal de ces ateliers.
Il y aura 16 séances, réparties sur huit se maines. Saines habitudes de vie, entraî nement physique, qualité du sommeil, consommation d’alcool et nourriture seront quelques-uns des sujets abordés.
«Le tout se déroulera à raison de deux midis par semaine. Dépendamment du terme abordé, je demanderai à mes collègues des Programmes de soutien au personnel de préparer une activité physique.»
Notons que les participants qui le dé sirent pourront également consulter M. Coicou en privé pour aborder cer tains sujets plus en profondeur.
Ces ateliers gratuits s’adressent aux militaires et aux employés civils de la Défense (fonction publique et fonds non publics) qui sont détenteurs de la carte PSP (abonnement au centre sportif). Il est possible de s’inscrire jusqu’au 7 octobre en écrivant à carl.coicou@forces.gc.ca
Pour obtenir la carte PSP
Nous aidons gratuitement les anciens combattants et les familles militaires en transition à occuper des emplois dans le domaine de la technologie. Si vous connaissez quelqu’un qui peut en bénéficier, envoyer-le à WYWM.
Aucune expérience n'est requise
Soyez prêt à travailler en 100 heures
Cours techniques gratuits à vie
Salaires à partir de 60 000 $ à 120 000 $
withyouwithme.com/caf
Photo: archives Quelques participants du programme Recharge ta machine au printemps dernier, en compagnie de Carl Coicou. Carl Rodier Certificat de reconnaissance du commandant du GS 2 Div C Capitaine Mélanie Brault Mention élogieuse du comman dant de la 2 Marc-André Dion Mention élogieuse du comman dant de la 2e Division du Canada Michel Grenier • Mention élogieuse du com mandant du GS 2 Div C • Pièce commémorative du commandant du Service des opérations du GS 2 Div C • Certificat de départ à la retraite Caporal Alexandre Haché Pièce commémorative du commandant du Service des opérations du GS 2 Div C Comptoir de service du Service des technologies de l’information de Montréal - re présenté par Jaqueline Trevors et Hefdhi Lemsi Mention élogieuse du comman dant de la 2e Division du Canada DU DE SOUTIEN DE LA 2e DIVISION DU CANADA Adjudant-maître Stéphane Paquette Certificat d’apprécia tion du Service des opérations du GS 2 Div CChaque candidat de l’École de lea dership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC) qui effectue sa qualification militaire de base (QMB) doit passer par l’épreuve des cinq jours d’exercices militaires au site d’entraîne ment de Farnham. Pour mieux com prendre cette réalité, Jonathan Hébert, moniteur en conditionnement physique et sport aux Programmes de soutien du personnel, a accepté de vivre l’expé rience du 18 au 23 juillet.
C’est l’instructeur d’un peloton d’élèves-officiers et d’aspirants de la marine du Collège militaire royal de Saint-Jean (CMR Saint-Jean) qui a proposé cette expérience à M. Hébert. «J’ai trouvé l’idée intéressante. Avec l’autorisation de mes supérieurs, je me
La Journée du sport des Forces armées canadiennes (FAC) sera de retour cette année le mercredi 19 octobre à la garnison Saint-Jean ainsi que le jeudi 20 octobre à la garnison Montréal et au Collège militaire royal de Saint-Jean.
Pour l’occasion, diverses activités sportives sont prévues, autant pour les militaires que pour les employés civils
suis donc rendu sur place pour vivre l’aventure.»
Le moniteur en conditionnement phy sique, qui a eu l’opportunité de vivre la même expérience que les étudiants du CMR Saint-Jean, explique que ce qu’il a trouvé le plus difficile au cours de cette semaine a été la météo. «Les conditions étaient mauvaises. Soit nous avions une chaleur extrême, soit nous avions droit à la pluie.»
En ce qui concerne la difficulté des exer cices effectués à Farnham, M. Hébert soutient que cela était moins exigeant que ce à quoi il s’attendait. «Il faut dire que je suis un gars qui maintient une bonne condition physique. Je crois que ce ne sont pas tant les exercices qui sont ardus, mais plutôt l’en semble des tâches que les candidats doivent exécuter qui est intense.»
Il ajoute qu’il n’est pas évident pour les partici pants de passer cinq jours consécutifs dans de telles conditions de vie. «C’est très inconfortable pour eux. Plus les jours avancent, pire c’est.» Pour M. Hébert, une
(fonction publique et Fonds non pu blics). Réservez cette date et surveillez les différentes publicités qui seront affi chées et publiées prochainement sur les pages Facebook PSP Région Montréal et Collège militaire royal de Saint-Jean / Royal Military College Saint-Jean pour connaître les activités auxquelles vous pourrez vous inscrire.
Il s’agit de la 10e édition de cette jour née. Pour les Programmes de soutien du personnel, c’est l'occasion de rappe ler les nombreux bienfaits du sport : physiques, mentaux et sociaux. C'est aussi une excellente façon d'accueillir les militaires dans les activités sportives officielles, après une longue pause de deux ans.
Du 9 au 15 octobre se tiendra la semaine de prévention des incendies. Le Service des incendies du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada vous rappelle l’importance du plan d’évacuation et du détecteur de fumée.
Il est important que tout le monde pla nifie et pratique une sortie de secours à domicile. Tout le monde doit être pré paré à l'avance, afin de savoir quoi faire lorsque l'avertisseur de fumée retentit.
Puisque chaque maison est différente, chaque plan d'évacuation en cas d'in cendie sera également différent.
Ayez un plan pour tout le monde à la maison. Les enfants, les personnes âgées et les personnes handicapées peuvent avoir besoin d'aide pour se réveiller et sortir. Assurez-vous que quelqu'un les aidera!
Les avertisseurs de fumée détectent la fumée bien avant vous, vous alertant du danger. Ils doivent être installés dans chaque chambre, à l'extérieur des chambres à coucher (comme un couloir) et à chaque étage (y compris le soussol) de votre m aison. Ne placez pas de détecteurs de fumée dans votre cuisine ou votre salle de bain.
grande partie de la réussite des cinq jours à Farnham repose sur l’attitude des participants. «Une grosse composante est mentale. Selon l’humeur des parti cipants, la journée est vraiment vécue différemment.»
Jonathan Hébert estime que ces cinq jours vécus à Farnham ont été très instructifs. «Cela m’a vraiment aidé à mieux comprendre ce dont mes clients ont besoin pour être en mesure de réussir cette épreuve avec succès. Je suis quelqu’un qui n’aime pas me baser uniquement sur mes perceptions.»
Il a ainsi adapté certains de ses entraî nements pour bien préparer les candidats à passer cette étape importante du QMB. «Tout au long de ces jour nées, ils doivent entre autres marcher en portant un sac à dos très lourd. J’ai donc pen sé à des exercices qui les ai deront à faire cela sans trop s’épuiser et surtout, à le faire en évitant les blessures.»
d’avoir accepté l’invitation. «J’invite à mon tour mes collègues à vivre cette expérience s’ils en ont l’occasion. En ce qui me concerne, cela m’a permis d’aller encore plus loin dans les services que j’offre aux candidats de l’ELRFC ainsi qu’aux étudiants du CMR Saint-Jean.»
Choisissez une alarme répertoriée par un laboratoire d'essais, ce qui signifie qu'elle répond à certaines normes de protection.
Pour une meilleure protection, utilisez des avertisseurs combinés de fumée et de monoxyde de carbone inter connectés dans toute la maison. Ceux-ci peuvent être installés par un électri cien qualifié, de sorte que lorsque l'un sonne, ils sonnent tous. Cela garantit que vous pouvez entendre l'alarme, peu importe d'où elle provient dans votre maison.
Suivez-nous pour connaître les nouvelles de la communauté militaire!
Le 16 septembre, l’équipe des Programmes de soutien du personnel (PSP) de la garnison Montréal a tenu une matinée sportive. De 8 h à midi, 157 personnes, principalement des militaires, ont répondu favorablement à
cette invitation.
Marceisnei Oliveira, moniteur en condi tionnement physique et sport pour les PSP, indique que plusieurs activités étaient proposées pour l’occasion.
«Il y avait la possibilité de s’amuser au disque-golf et au tennis de table. Nous avons aussi offert des cours comme le spinning et le poirier (handstand).
Ceux qui le désiraient ont pu participer à des tournois de volleyball de plage, de tennis et de pickleball.» Ce sont les cours de spinning qui ont attiré le plus de participants.
Le moniteur est fier de mentionner que
les participants provenaient de nom breuses unités de la Force régulière et de la Réserve, notamment de la 2e Division du Canada et de la Force opération nelle interarmées (Est), du 202e Dépôt d’ateliers, de la 4e Unité de contrôle des mouvements des Forces canadiennes, de la 4e Compagnie du renseignement et du 34e Régiment des transmissions. «Nous avons également réussi à attirer des militaires du 4e Bataillon, Royal 22e Régiment et de la Gestion des sys tèmes d’armes du CF-18 – Détachement Mirabel.»
Rappelons que tout au long de l’an née, les PSP de la garnison Montréal
proposent dans leurs installations des activités sportives permettant aux mili taires d’atteindre et maintenir un niveau personnel de santé et de condition physique suffisant pour satisfaire aux exigences opérationnelles des Forces armées canadiennes.
Malheureusement, les comportements violents sont une réalité à laquelle des familles sont confrontées et celles de la communauté militaire n’y échappent pas. Par chance, des organisations telles que le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) de la région de Montréal travaillent à mettre en place des activités de sensibilisation et de prévention face aux différentes formes de violence familiale.
Francine Habel, directrice générale du CFRM de la région de Montréal, soutient qu’il y a toujours eu au sein de l’organisation un comité dévoué à cette problématique. «Toutefois, au fil des ans, ce dernier a pris différentes formes.»
Actuellement, le CRFM de la région de Montréal est membre de l’Équipe consultative en violence familiale
(ECVF) formée de quatre autres services œuvrant au sein de la communauté miliaire: le 5e Régiment de la police militaire, l’aumônerie, les Programmes de soutien du personnel (Promotion de la santé) ainsi que le 41e Centre des ser vices de santé des Forces canadiennes.
«Mme Habel explique que l’ECVF oc cupe un rôle de premier plan au niveau de l’information, de la prévention et de la sensibilisation, ainsi que pour la plani fication de programmes. «Les membres de l’équipe se chargent, au besoin, de référer les familles vers les bonnes res sources pour leur offrir l’aide adaptée à leur situation. Puis, ils assurent un suivi.»
L’ECVF a plusieurs mandats dont un est de prévenir la violence avec une campagne sur les saines relations.
«Nous devons également informer la chaîne de commandement du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada en lui dressant entre autres un portrait de la communauté militaire de la région. Notre mission vise aussi à l’informer sur les choses mises en place pour gérer les situations de violence.»
Parmi les autres mandats, notons celui d’établir un plan d’action annuel, des procédures et des plans locaux; tenir des rencontres d’équipe régulières afin d’évaluer les procédures mises en place ; faire un rapport sur les lacunes des procédures et des plans locaux. «Nous devons aussi maintenir un engagement à long temps au niveau de la probléma tique de violence familiale».
Les membres des Forces armées cana diennes, tout comme leurs conjoints et les partenaires, doivent toujours être en état de préparation mentale. C’est pour quoi il est essentiel de promouvoir les relations saines. Dans cet esprit, les Ser vices de bien-être et moral des Forces canadiennes tiendront cette année la Campagne sur les relations saines, du 17 au 21 octobre.
À cet effet, le CFRM et ses partenaires de l’équipe consultative ont prévu une série d’activités qui se dérouleront au cours de cette période. «Le comité, particulièrement l’équipe de la Promo tion de la santé, a travaillé à la création d’un livret dans lequel on retrouvera une série d’activités à faire en couple, avec les amis et la famille.»
Les gens pourront se procurer ce livret gratuitement et s’amuser avec leurs proches afin de favoriser la bonne communication», mentionne Myriam Dutour, coordonnatrice au programme des familles des vétérans, au CRFM de la région de Montréal.
Les informations pour le téléchargement du livret d’activités seront sous peu diffusées sur les réseaux sociaux.
Une conférence sur les saines relations a aussi été prévue le 20 octobre à l’auditorium de la garnison Saint-Jean. «Elle sera animée par Bru no Landry, humoriste et animateur,» explique Mme Dutour.
Intitulée Les dix commandements de Bruno, la conférence abordera des sujets tels qu’accepter les différences et favoriser le dialogue, intégrer les forces des collègues dans un travail d’équipe ainsi que laisser une trace positive sur les réseaux sociaux. Le conférencier partagera son expérience et le fruit de ses réflexions en donnant des trucs efficaces pouvant être appli qués à plusieurs facettes de la vie, à la maison comme au travail.
L’entrée pour la conférence sera gratuite. Les nombre de places étant limité, il faudra toutefois s’y inscrire. Les gens qui le souhaitent pourront également assister virtuellement à la conférence qui sera diffusée sur Teams. Encore là, il faudra s’inscrire au préalable.
Lorsque j’enseigne les cours de nutrition aux candidats de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, les œufs suscitent toujours des questions.
Même s’ils font partie de notre alimentation depuis longtemps et qu’on les sert du petit-déjeuner jusqu’au souper, certains préjugés persistent sur eux.
Voici donc cinq mythes qui ont la vie dure et la réalité qui les accompagne. En espé rant vous aider à démêler le vrai du faux concernant les œufs!
La réalité : Au début des années 2000, la science a commencé à indiquer très clairement que la consommation d'œufs mène à l'augmentation des transpor teurs de cholestérol à haute densité (HDL) qu’on appelle le «bon cholesté rol». Les HDL sont de bons transporteurs qui mènent le cholestérol de la périphé rie vers le foie.
Le 2/3 des gras présents dans les œufs sont des gras insaturés.
À retenir : la Fondation des maladies du cœur et Diabète Canada ne recom mandent pas de limiter la consomma tion d’œufs pour les adultes en bonne santé.
Une étude en 2019, publiée dans la revue de l’American Heart Association et menée auprès de plus de 400 000 indi vidus suivis en moyenne pendant 12 ans a démontré que la consommation d’œufs n’augmente pas le risque de ma ladie cardiaque. Les mêmes conclusions ont été publiées dans le British Medical Journal sur d’autres études similaires.
La réalité : Consommer des œufs crus semblait donner de bons résultats pour Rocky, le boxeur des films d’Hollywood. Sachez toutefois que l’on n’obtient pas plus de protéines en les mangeant de cette façon.
Ingérer des œufs crus est une pratique plus risquée pour attraper la salmo nellose, une infection qui peut parfois rendre gravement malade.
À retenir : un œuf donne 6 grammes de protéine et contient les 9 acides aminés essentiels dont le corps a besoin. Il s’agit donc d’une protéine complète.
Crus ou cuits, les oeufs contiennent la même quantité de protéines. Par contre, le taux d’absorption des protéines est de 91 % lorsqu'ils sont cuits et de 50 % lorsqu’ils sont crus.
La réalité : Les jaunes d’œufs ne font pas grossir. Ils contiennent des protéines supplémentaires et d’autres substances utiles, comme la vitamine D, qui contri buent à l’absorption du calcium.
Les œufs sont peu caloriques. En moyenne, 2 œufs = 140 calories.
La consommation d’œufs aide à se sen tir rassasié en augmentant les niveaux de leptine, une hormone qui contribue
à se sentir rassasié après avoir mangé.
À retenir : des expériences ont prouvé que manger des œufs au petit-déjeuner réduit la quantité de nourriture que l’on mange et donc le nombre de calories ingérées.
Manger 1 ou 2 œufs le matin est probablement une des façons les plus abordables et saines d'avoir des proté ines au déjeuner, un repas important qui contribue à la gestion du poids.
La réalité : La température change souvent dans la porte du réfrigérateur puisqu’on l’ouvre et la ferme souvent. Il est préférable de conserver les œufs à l’intérieur du frigo, là où la température est constante.
À retenir : le meilleur endroit pour stocker des œufs est sur la tablette du milieu.
Les œufs peuvent se conserver environ un mois au réfrigérateur, à condition de rester dans leur emballage d’origine ou d’être dans un récipient fermé.
La réalité : Que l'œuf soit blanc ou brun, sa valeur nutritive est identique. La cou leur de la coquille diffère selon la race des poules qui les pondent.
À retenir : au Canada, la race blanche est très populaire et pond des œufs blancs. Les poules rousses de race Rhode Island pondent des œufs bruns.
N’hésitez pas à parler de votre consommation d’œufs et votre condition de médicale avec votre médecin.
Vous pouvez également consulter le site web de la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC du Canada.
358-7099,
steve.comeau@forces.gc.ca
Capitaine Frédéric
514 252-2777, poste 4530 frederic.thouin717@forces.gc.ca
358-7099
ANNONCES : Bélinda Raîche
Garnison Saint-Jean, bur. K-125, B.P. 100, Succ. bureau-chef Richelain QC J0J 1R0
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450 358-7423
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450 358-7099 poste 6346 • belinda.raiche@forces.gc.ca
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ISSN 0384-0417
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Servir féminise les grades. Dans un souci d’inclusion et de respect de la diversité des genres, si vous ne voulez pas voir votre grade féminisé, veuillez communiquer avec la rédaction.
Prochaine parution 13/10/2022 Date de tombée 3/10/2022
• Servir est une publication non officielle autorisée et publiée bimensuellement avec la permission du commandant du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada. Les opinions et les points de vue exprimés ne sont pas nécessairement ceux du MDN, des FAC et des SBMFC/ Personnel des FNP.
• Les demandes de publication doivent être ache minées en Word par courriel. La rédactrice en chef se réserve le droit de rejeter, de modifier ou de publier tout matériel rédactionnel ou publicitaire.
L’équipe de basketball des Patriotes invite les militaires de tous les niveaux à assister à ses pratiques hebdomadaires qui ont lieu à la garnison Saint-Jean les lundis, de 11 h 45 à 12 h 30, et à la garnison Montréal les mercredis, de 16 h à 18 h30.
Les Patriotes recherchent des membres pour composer l’équipe qui représentera la région lors du Championnat régional de basketball qui aura lieu au cours des pro chains mois à la garnison Saint-Jean. Joignez-vous à l’équipe locale sans tarder!
Pour information : 450 358-7099 # 7264 ou claudie.bussieres@forces.gc.ca
Nos boutiques sont situées aux garnisons Saint-Jean et Montréal et elles louent des équipements de plein air pour l’été et l’hiver à des prix avantageux aux militaires, aux membres des boutiques et aux détenteurs de la carte de membre PSP. Voici un aperçu des équipements disponibles.
-Sports d’hiver: planches à neige (régulières et junior), raquettes (régulières et junior), équipements d’escalade de glace, patins, traîneaux et crampons, skis alpins, skis de fond et skis Hok
-Vélos: de montagne, de route, hybrides, de cyclotouring, à pneus surdimensionnés (fat bike), supports à vélo
-Activités aquatiques: canots et kayaks (divers types), avirons, pagaies de mer, planches à pagaie et remorques à canot-kayak
Contact : Saint-Jean: 450 358-7099 # 6450 | Montréal: 514 252-2777 # 2752
La fin de l’été approche. Si vous cherchez un endroit sécuritaire pour stationner votre VR, pensez à nous! Des espaces de stationnement sont disponibles à la Garni son Montréal, au site de Saint-Hubert (avril à octobre) ou à celui de Farnham!
Le lancement officiel de la saison de la Ligue de hockey intramuros de la région de Montréal (LHIRM) aura lieu le 6 octobre, à 16 h, sur la glace du Collège militaire royal de Saint-Jean.
Quatre équipes sont actuellement formées: Les Trappeurs/ELRFC 1, Les Castors, ELRFC 2 ainsi que Services techniques/CMR/autres unités. Toutes les parties seront disputées les lundis et jeudis, de 16 h à 17 h 30. Les militaires intéressés à se joindre à l’une des équipes sont invités à communiquer directement avec l’un des quatre capitaines d’équipe aux adresses suivantes :
• Trappeurs/ ELRFC 1: Marc-Andre.Bergeron@forces.gc.ca
• Castors: Etienne.Girard@forces.gc.ca
• CFLRS: Raymond.parent2@forces.gc.ca
• Svc Tech/CMR/autres unités: Dominic.Allard4@forces.gc.ca
Du 10 octobre au 5 décembre, le centre sportif de la garnison Montréal propose deux cours à l’heure du dîner. Le premier est un cours de mobilité qui aura lieu tous les mardis. Le deuxième est un cours de mise en force qui aura lieu les jeudis.
Lieutenant-colonel Francis Roy commande le Black Watch (Royal Highland Regi ment) of Canada. Dans sa vie civile, il occupe le poste de chef de l’environnement au service Conservation des ressources du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada. Passionné de course depuis plusieurs années, il s’est découvert un goût pour les longues distances en 2021. Cet été, il a participé à des courses de 80 et 125 kilomètres.
La course de 80 kilomètres a été effectuée au début du mois de juillet dans le cadre du Québec Mega Trail dont les parcours sauvages et spectaculaires relient les berges du majestueux fleuve Saint-Laurent aux deux montagnes les plus célèbres de la Capitale Nationale, le Massif de Charlevoix et le Mont-Sainte-Anne. «J’ai com plété le trajet en 16 heures et 54 minutes. «J’étais vraiment fier à mon arrivée!»
L’athlète soutient qu’il a trouvé ce trajet particulièrement difficile. «Il y avait beau coup de dénivelés importants. C’était très exigeant physiquement.» Il avoue qu’à deux reprises au cours de cette course, il a pensé abandonner. «J’ai malgré tout persévéré et réussi à terminer le parcours.»
Fier de sa réussite, il a décidé d’aller encore plus loin et de s’inscrire à l’Ultra-Trail Harricana du Canada qui, lui, propose des chemins serpentant dans la nature sauvage de Charlevoix. Cette fois, il a choisi de faire un parcours de 125 kilomètres.
L’événement vient d’avoir lieu le 2 septembre.
Malheureusement, ni la santé du coureur ni les conditions météorologiques n’étaient optimales lors de cet événement. «J’étais très enrhumé. En plus, il faisait une chaleur hors du commun. C’était horrible.»
Après 38 kilomètres, le réserviste a décidé d’abandonner. «Mon corps n’était vrai ment pas en mesure de poursuivre. D’ailleurs, en raison de la chaleur intense, des centaines de participants ont mis fin à leur course avant d’atteindre leur objectif.»
Les mésaventures du Lcol Roy à l’Ultra-Trail Harricana ne l’ont pas découragé de continuer à participer à des courses de longues distances. «Je compte reprendre l’entraînement sous peu en vue de participer à de nouveaux Mega Trails en 2023.»
Il compte également s’investir afin de trouver les meilleures façons de s’alimenter pendant une course de longue distance. «Je vais faire des recherches à ce sujet afin de trouver quels sont les aliments appropriés dans ce genre de situation pour mettre toutes les chances de mon côté.»
câble
vée location au mois, pour une personne, non-fumeur, pas d’animaux. Jean-Claude Pouliot 450 358-3662