





C’est du 20 au 26 novembre que se tiendra la Semaine nationale de sensibi lisation aux dépendances. Cette année, le thème sera Une communauté bien veillante. Pour l’occasion, la Promotion de la santé vous propose un répertoire de ressources.
Marie France Brunelle, spécialiste de la Promotion de la santé de la région de Montréal, explique que décider d’aller chercher de l’aide pour un usage problématique de substances ou une dépendance à l’alcool ou à la drogue peut être l’une des décisions les plus importantes d’une vie. «Que le service soit recherché pour soi ou pour une personne chère, il est crucial de trouver la bonne ressource.»
C’est pourquoi l’équipe de la Promotion de la santé a rassemblé dans un même répertoire les ressources d’aide dispo nibles dans la communauté militaire et civile à travers le pays pouvant s’avérer utile pour les problèmes de consomma tion de substance.
Elle rappelle qu’il est possible de venir en aide aux personnes qui ont un trouble lié à l’usage de substances. «Nous pouvons le faire en nous ren seignant sur la manière d’amorcer ces conversations difficiles, mais tellement importantes!»
Pour télécharger le répertoire des res sources d’aide, numérisez le QR code.
Au cours de la dernière année, l’acro nyme LGBTQ2+ a été modifié par le gouvernement fédéral pour devenir 2ELGBTQI+.
Sur son site Web, l’organisme Jeunesse J’écoute précise que 2E est un terme important dans certaines cultures au tochtones et pour certaines personnes autochtones. Il désigne une personne ayant un esprit féminin et un esprit masculin vivant dans le même corps. Il est souvent utilisé pour décrire l’orien tation sexuelle, l’identité de genre et/ou l’identité spirituelle.
2E: désigne les personnes aux deux esprits
L: désigne les personnes lesbiennes
G: désigne les personnes gaies
B: désigne les personnes bisexuelles
T: désigne les personnes transgenres
À chaque édition, nous vous proposons de nombreux liens pour obtenir plus d’informations sur les sujets que nous vous présen tons.
Même les publicités sont cliquables !
Mélanie Ratté est officière des plans et programmes en ressources humaines 2 à la 2e Division du Canada. Elle est également secrétaire du sous-comité 2ELGBTQI+ de l’Équipe Diversité + de la région de Montréal. Elle explique que l’élément 2E permet de reconnaître les personnes aux deux esprits (bispi rituelles) comme étant les premières communautés 2ELGBTQI+. «Ce terme représente également une autre façon dont le gouvernement du Canada pro gresse vers la réconciliation.»
Q: désigne les personnes queers I: désigne les personnes intersexuées, chez qui les caracté ristiques sexuelles se situent au- delà de l’orientation sexuelle, de l’identité de genre et de l’expression de genre.
+: comprend les personnes qui indiquent leur appartenance à divers groupes sexuels et de genre et emploient d’autres terminologies.
Servir féminise les grades. Dans un souci d’inclusion et de respect de la diversité des genres, si vous ne voulez pas voir votre grade féminisé, veuillez communiquer avec la rédaction.
Caporal-chef Charles Lemieux et Caporal-chef Enass Al-Ashi, 3 USC
Située sur la Garnison de Montréal, la 3e Unité de soutien du Canada (3 USC) a pour mission de générer des capaci tés spécialisées en approvisionnement pour supporter les opérations des Forces armées canadiennes (FAC) en théâtre.
Ce support de troisième ligne inclut la préparation du matériel pour l’ouverture de nouvelles missions, le réapprovi sionnement des contingents déployés, l’appui aux rotations périodiques des contingents outre-mer et la fermeture des missions. De plus, la 3 USC remplit un devoir institutionnel lors de la forma tion pré-déploiement des membres des FAC ayant un rôle dans la gestion du matériel sur terrain, en théâtre.
La 3 USC soutenait ce mandat de sup port depuis son établissement pendant la guerre froide, le 1er décembre 1989, à Lahr, en Allemagne. À ce moment, la 3 USC était sous le commandement des Forces canadiennes Europe (FCE). Par contre, elle se nommait le 3e Groupe de soutien du Canada (3 GSC) et se composait de la 35e Unité dentaire, de l’Unité postale des FCE et de la 311e Unité mobile de soutien avancé. En 1992, la fermeture et le rapatrie
ment des FCE a suspendu le mandat du 3 GSC. Sa dernière mission a eu lieu durant l’Opération SCIMITAR au Qatar, en soutien aux opérations d’avions de chasse CF-18 pendant la guerre du Golfe. Cette mission marquait l’histoire de la 3 USC et serait plus tard symbo lisée dans son insigne par la bande de sable jaune se trouvant en dessous d’un dragon à trois têtes. Les têtes d’aigle, de lion et de dauphin représentent le rôle de l’unité à soutenir les forces terrestres, aériennes et maritimes.
La bande de sable jaune symbolise aussi le retour du 3 GSC et sa première mission en 1993 sur l’Opération DELIVE RANCE en Somalie. Le mandat du 3 GSC a été renouvelé à ce moment sous le commandement du Sous-mi nistre adjoint (Matériels) en raison de la participation accrue des FAC aux opérations de l’Organisation des Na
tions Unies (ONU) ainsi que du besoin de soutien logistique opérationnel outre-mer. La participation du 3 GSC aux missions du maintien de la paix se pour suivait avec plusieurs distinctions.
En 2006, le commandement du 3 GSC est transféré au Commandement du soutien opérationnel du Canada (COM SOCAN) et son nom est changé pour la 3e Unité de soutien du Canada. Au cours de cette même année, la 3 USC a reçu la Mention élogieuse à l’intention des unités des Forces canadiennes par le Chef d’état-major de la défense. Cette reconnaissance soulignait le soutien continu et la contribution exception nelle de la 3 USC durant les opérations PALLADIUM en Bosnie-Herzégovine (1995-2004), HALO en Haïti (2004), ainsi que ATHENA et ARCHER en Afghanistan (2003-2006).
Depuis 2012, la 3 USC est sous le commandement du Groupe du soutien opérationnel interarmées des Forces canadiennes (GSOIFC), une compo sante essentielle du Commandement des opérations interarmées du Canada (COIC) responsable de tous les dé ploiements. Le mandat de la 3 USC se poursuit envers les différentes missions internationales en cours telles qu’Opéra tion REASSURANCE en Europe, OP IMPACT au Moyen-Orient et OP PRESENCE en Afrique de l’Ouest. Présentement, la 3 USC participe à la fermeture de la Force opérationnelle aérienne – Roumanie, une mission de police aérienne renforcée sous les auspices de l’OP REASSURANCE. Cette tâche importante inclura le rapatrie ment du personnel canadien et de tout l’équipement utilisé en théâtre depuis plus d’une décennie. Nous souhaitons la meilleure des chances à nos membres présentement déployés pour cette mission en sachant qu’ils rendront fiers la 3 USC et le Canada!
AGIR.
Du 29 septembre au 20 octobre, quatre participants au Programme d’enrô lement des Autochtones des Forces armées canadiennes (PEAFAC) issus de milieux autochtones à travers le Canada ont pu découvrir à l’aide des instruc teurs de l’École de leadership et de re crues des Forces canadiennes (ELRFC) ce que la profession des armes était. Formant le peloton Pegahmagabow, intitulé ainsi en honneur à Francis Pegahmagabow, soldat autochtone le plus décoré et qui a servi pendant la Première Guerre mondiale, ils peuvent maintenant se dire mission accomplie, alors qu’ils participaient à leur céré monie de fin de cours le 20 octobre dernier.
L’intention du programme est d’offrir à des Autochtones de partout au Cana da la chance de vivre, pendant trois semaines et sans condition d’engage ment, une familiarisation avec le monde militaire et l’entraînement de base par lequel les candidats doivent tous passer. Le but est d’amener les participants à s’enrôler dans les FAC en piquant leur intérêt grâce aux différentes oppor tunités de carrières, en les initiant à la vie en campagne et en touchant à plusieurs sujets abordés lors des cours de Qualification militaire de base (QMB) et QMB pour officiers. Au terme de leur
passage à l’ELRFC, s’ils ne désirent pas s’engager, le cours vise à leur offrir une expérience enrichissante et positive afin d’en faire des ambassadeurs auprès de leurs communautés.
Le cours de PEAFAC aura permis aux participants d’en apprendre davantage sur les valeurs fondamentales des FAC et de voir comment les concepts de courage, de loyauté et d’inclusion, pour ne nommer que ceux-ci, s’harmonisent avec les principes et enseignements autochtones. Ils ont par ailleurs eu la chance de toucher à l’équipement militaire de base (uniforme, armes, véhicules divers, etc.) et participé à des activités militaires variées qui leur permettent de rapporter une vision plus juste et positive du travail et des occa sions offertes dans le cadre d’un emploi au sein des FAC.
L’impact de la COVID-19 a été l’un des facteurs déterminants quant au recrute ment des participants. Alors que dans le passé les centres de recrutement pouvaient compter sur un bassin de candidats accumulés au fil du temps, la pandémie est venue brasser les cartes et vider ce bassin, imposant ainsi un effort supplémentaire pour trouver de potentiels participants. Le résultat étant que cette itération du PEAFAC voyait quatre candidats franchir nos portes, mais le succès demeure présent. Des quatre participants, deux ont signifié leur intention de postuler immédia tement ou très rapidement afin de s’enrôler comme fantassins dans la Force régulière alors qu’un troisième considère fortement s’engager dans un futur rapproché. Le quatrième retour nera dans son emploi civil, mais portera l’expérience qu’il aura vécue auprès de sa communauté.
La prochaine itération du cours PEAFAC est prévue en mai 2023, mais les détails doivent toutefois être confirmés.
Une deuxième distribution de jouets usagés aura lieu dans les locaux du 202e Dépôt d’ateliers (202 DA) le same di 3 décembre, de 9 h à midi.
Ces jouets sont ceux accumulés par l’équipe du 202e Dépôt d’ateliers dans le but de les réparer et de les remettre aux pompiers de la Ville de Montréal. Ces derniers les remettaient aux ci toyens faisant une demande de paniers de Noël via la Saint-Vincent-de-Paul. Depuis 1991, plus de 88 000 cadeaux ont ainsi été remis dans le cadre de ce programme. «En raison de la pandémie de la COVID-19, notre activité d’atelier de jouets a toutefois cessé d’exister», raconte Daniel Ha, technologue logis tique, au 202 DA.
Il explique que depuis la pandémie, les pompiers ont opté pour la remise de cartes-cadeaux au lieu d’offrir des jouets usagés. «Cette année, ils nous ont avisés
qu’ils ne prendront plus de jouets usa gés même si la pandémie est terminée.»
Afin de se départir du grand nombre de jouets entreposés, l’équipe de béné voles du 202 DA a invité, le 5 novembre, des organismes, écoles, services de garde et garderies à venir se procurer les jouets disponibles à la garnison Montréal. «Une vingtaine d’entre eux ont accepté notre invitation. Une soixan taine de palettes ont ainsi été écoulées.» Même si plusieurs jouets ont trouvé preneur, il en reste encore beaucoup qui sont entreposés au 202 DA. C’est pourquoi une deuxième distribution a été prévue pour le 3 décembre. «Jusqu’à maintenant, sept organismes de la région ont manifesté leur intention d’être au rendez-vous.»
Parmi les jouets encore disponibles, on retrouve des livres, des petites voitures, des camions, des Mega Block, des pou pées et accessoires, des jouets électro niques ainsi que des jouets pour bébé.
Les organisations et personnes intéres sées doivent obligatoirement s’inscrire à l’avance à l’adresse Daniel.Ha@forces. gc.ca. «Dans le courriel, il est important de bien inscrire le nom de toutes les personnes qui passeront le 3 décembre ainsi que le numéro de plaque du véhi cule qui sera utilisé.»
Pour découvrir les programmes des FAC à l’intention des Autochtones
L’intention du programme est d’offrir à des Autochtones de partout au Canada la chance de se familiariser avec le monde militaire et l’entraînement de base. Photo: CFLRS Il reste encore beaucoup de jouets entreposés au 202e Dépôt d’ateliers. Photo: courtoisie Pendant plusieurs années, des bénévoles ont consacré plusieurs heures au nettoyage et à la réparation des jouets dans le but de les remettre à des familles démunies.Adjudant-maître Antoine Caron, contrô leur MMS, 2e Division du Canada / Force opérationnelle interarmées (Est), et gérant de carrière provincial
Sergent Mathieu Villemaire est conduc teur de matériel mobile de soutien depuis 16 ans. Depuis août 2020, il est membre de l’équipe de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC). Voici l’exemple d’un membre des Forces armées cana diennes qui implante des changements positifs dans son unité afin de mieux la soutenir dans l’accomplissement de sa mission.
Après 16 mois comme instructeur auprès des pelotons d’entraînement, Sgt Villemaire a été affecté à la gestion de la section Transport de l’unité. Dès son arrivée, il a constaté qu’il y avait des problématiques persistantes depuis au moins une décennie et que des change ments s’imposaient, entre autres, dans les procédures d’opération de la section, et qu’une restructuration complète était nécessaire.
«Ça a toujours été fait comme ça» n’est pas une réponse acceptable pour Sgt Villemaire et c’est ce qui l’a poussé à
entreprendre une refonte de la section. Pour commencer, il a créé une position de responsable du pétrole, huile et lubrifiant (PHL) ainsi qu’une position de magasinier de combat au sein même de la section Transport afin de permettre le développement professionnel de son équipe. Par cette simple action, il a favorisé chez chacun des membres de son personnel, l’apprentissage, la res ponsabilisation et la confiance en soi en plus de les préparer à être fonctionnels dans une unité opérationnelle. Par le fait même, il a permis l’amélioration du niveau de motivation et du bien-être en général. Au niveau organisationnel, ces changements ont amélioré le suivi de l’équipement et permis de mieux déter miner son usage et les besoins.
Il faut savoir que la section Transport de l’ELRFC est petite, néanmoins essen tielle pour l’unité. C’était d’autant plus important pour Sgt Villemaire que ses membres touchent à toutes les facettes du métier tant pour stimuler leur déve loppement professionnel que pour être une section autosuffisante. D’ailleurs, c’est cette orientation opérationnelle qui a permis à la section de bien fonctionner dans un environnement où la COVID-19 persistait.
Un service à la clientèle plus flexible et plus axé sur les besoins du client a été implanté et la dotation de véhicules pour chaque peloton a été repensée afin de mieux soutenir les instructeurs qui ont des horaires très chargés. S’en est suivi une meilleure répartition des véhicules, une maintenance accrue de
la flotte et un meilleur alignement avec les priorités de l’unité. De cette façon, la section Transport contribue à la mission de l’École soit de former la nouvelle génération de militaires des FAC.
L’environnement a aussi été parmi les préoccupations de Sgt Villemaire. De puis son arrivée en poste, des pannes à l’huile et des trousses de déversements sont maintenant offertes aux pelotons qui quittent pour l’entraînement au site de Farnham, une mesure de prévention qui n’avait pas été observée depuis plusieurs années.
Toujours avec le souci environnemental, un projet de réduction des déchets en plastique est en cours. De concert avec la section du quartier-maître, la section a commencé à ramasser les bidons de lave-glace vides afin de pouvoir les réutiliser. Enfin, les produits dangereux les plus utilisés sont maintenant en vrac, de sorte que l’École réduira de moitié les déchets de plastique provenant des bidons de matière contaminée. «Il est important de réduire l’empreinte envi ronnementale de l’organisation le plus possible afin que les prochaines généra tions de militaires puissent en profiter», mentionne Sgt Villemaire.
Sgt Villemaire a comblé une lacune en termes de sécurité incendie. En effet, aucun véhicule de la flotte de l’ELRFC n’était équipé d’équipements de protec tion incendie. Depuis un an, il a équipé la majorité de la flotte de véhicules.
Des projets, Sgt Villemaire en a. «Plu sieurs sont en cours comme le déména gement de la section dans les nouvelles installations et l’implantation d’une remise extérieure pour les PHL pour l’École», précise-t-il. Il reconnaît que son équipe travaille d’arrache-pied et que sans elle et sans le soutien de sa chaîne de commandement, rien n’aurait été possible. «Ma motivation est l’amélio ration des conditions de travail et la sécurité de tous», dit-il en conclusion.
Lieutenant-général (retraité) Stuart A. Beare et Lieutenant-général (retrai té) Guy Robert Thibault ont rejoint la trentaine de membres du Temple de la renommée du Collège militaire royal de Saint-Jean (CMR Saint-Jean) dans la catégorie des Anciens. La cérémonie s’est déroulée le 4 novembre.
Les deux vétérans ont fait leurs études au CMR Saint-Jean de 1978 à 1981 et au CMR du Canada de 1981 à 1983.
Lgén (ret) Stuart A. Beare détient un baccalauréat en génie ainsi que des diplômes de commandement et d’état-major provenant de plusieurs collèges militaires dont le Royal Military College of science de Grande-Bretagne.
Pour sa part, Lgén (ret) Guy Robert Thibault détient un baccalauréat en sciences (mathématiques et physique).
Il est également titulaire d’une maîtrise en administration publique (gestion) de l’université Dalhousie. Il a aussi obtenu divers des diplômes de commandement et d’état-major au cours de sa carrière.
Rappelons que le Temple de la renom mée du CMR Saint-Jean a été inauguré en 2013. Il vise à stimuler le sentiment de fierté des élèves-officiers et aspirants de marine envers le CMR Saint-Jean et à les motiver à réussir.
Pour voir des photos supplémentaires
Encore une fois, des milliers de Canadiens ont souligné le jour du Souvenir afin de ne jamais oublier ceux et celles qui ont fait l’ultime sacrifice. Ces cérémonies ont permis aussi d’avoir une pensée pour tous ceux et celles qui ont servi leur pays et qui sont revenus blessés dans leur corps ou leur âme. Il s’agit également d’une façon de souligner le courage de leurs familles et celui des militaires qui continuent de servir le Canada avec fierté. Voici le résumé des différents événements qui ont eu lieu dans la région.
Plusieurs unités de réserve telles que le Black Watch (Royal Highland Regiment) of Canada, les Fusiliers Mont-Royal, le Navire canadien de Sa Majesté Donnacona, les Canadian Grenadier Guards, ainsi que des membres de la 2e Division du Canada étaient présentes à la cérémonie du 11 novembre. Le brigadier-général Stéphane Boivin, commandant de la 2e Division du Canada et de la Force opérationnelle interarmées (Est), était présent. Les gens présents ont pu voir une salve d’honneur de 21 coups de canon ainsi qu’un survol à basse altitude de deux hélicoptères CH-146 Griffon.
La musique était formée de membres des Forces armées canadiennes provenant de plusieurs unités, sous la direction du major Pierre Leblanc.
Le parc du Souvenir a fait peau neuve.
Le 6 novembre, à l’invitation de la filiale 079 Richelieu de la Légion royale cana dienne, des militaires de différentes unités, des élèves-officiers du Collège militaire royal de Saint-Jean, des membres des trois corps de cadets de la municipalité et des vétérans ont défilé dans les rues de Saint-Jean. Une cérémonie a suivi au parc Alcide-Côté.
C’est le 11 novembre que la cérémonie du jour du Souvenir a eu lieu à la Garnison en présence de dignitaires et d’invités.
À la fin de la cérémonie, les participants ont été invités à déposer leur coquelicot.
Le 6 novembre, des membres du Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) Donnacona ont commémoré le jour du Souvenir au parc Stoney Point, aux côtés de membres de la Filiale 85-90 de la Légion royale canadienne et de l’Escadron des cadets de l'Aviation royale du Canada, 686 Dorval-Lachine.
La mairesse de Saint-Jean-sur-Richelieu, Andrée Bouchard et la conseillère municipale du district 11, de Saint-Jean-sur-Richelieu,
la sécurité publique de Saint-Jean-sur-Richelieu.
De nombreuses personnes ont assisté à la cérémonie tenue au Champ d’honneur national. Quelques élèves-officiers et aspirants de marine du Collège militaire royal de Saint-Jean étaient présents pour l’occasion. Des coups de canon ont été tirés à la mémoire des vétérans aujourd’hui disparus.
Le 3 décembre, le vétéran Roger Chabot vous invite à visionner un film présentant les coulisses du tournage de sa série documentaire Bravery in arms (BIA) D-Day Dodgers du Canada qui sera présenté simultanément à travers le pays.
BIA D-Day Dodgers du Canada est une série vidéo qui dresse le parcours des militaires canadiens ayant pris part à la Campagne d’Italie lors de la Seconde guerre mondiale. Cette série documen taire de 14 épisodes est parsemée de reconstitutions historiques.
Producteur et réalisateur, le sergent (retraité) Roger Chabot explique que le film sera diffusé à partir de Halifax, en Nouvelle-Écosse. «Grâce à la techno logie, il pourra être vu par des gens de partout au pays puisque nous avons réussi à trouver plusieurs organisations intéressées à le diffuser.»
Il avoue être fébrile de présenter le fruit de plusieurs années de travail. «Je suis vraiment heureux d'être enfin rendu à l'étape de montrer les dessous du tournage.» Le film sera disponible à tous à compter du 10 décembre sur YouTube, via la chaîne Bravery in Arm
Quant à la série documentaire, elle sera disponible sur la même chaîne à compter de 2023. «Le premier épisode sera diffusé le 28 janvier.» C’est avec beaucoup de fierté que le vétéran parle de son projet. «Je suis content de pouvoir faire découvrir aux Canadiens une page oubliée de notre histoire. Je suis humblement reconnais sant de pouvoir en être le messager.»
Tous les membres actifs ou retraités des Forces armées canadiennes (FAC) ou de la Gendarmerie royale canadienne (GRC), et les membres admissibles de leur famille, qui n'ont jamais encore adhéré à la Légion, peuvent recevoir une année gratuite d'adhésion.
La Légion royale canadienne est l'un des plus ardents partisans de la communau té militaire du Canada. Depuis près d'un siècle, l’organisation offre des services essentiels aux vétérans.
La Légion royale canadienne offre éga lement la première année d'adhésion gratuite à tous les parents ou tuteurs, conjoints et enfants de 18 ans et plus des membres actifs, retraités ou décé dé des FAC et de la GRC, et qui n'ont pas encore adhéré à la Légion.
Sur la Rive-Sud de Montréal, le film sera présenté le samedi 3 décembre, à 14 h, dans les locaux de la Filiale 94 Greenfield Park de la Légion royale canadienne. Ceux-ci sont situés au 205 rue Empire, à Greenfield Park. À Montréal, la projection aura lieu à la Filiale 24/106 NDG, située au 5455, boulevard Maisonneuve.
«Il n’y a toutefois que 50 places disponibles dans chacune des salles.» Pour obtenir une place, veuillez écrire le plus rapidement possible à roger@chabotwarart.com.
Au Québec, une dizaine de municipalités permettent maintenant aux anciens com battants et vétérans de stationner gratuitement dans leurs rues. Pour ce faire, leurs véhicules doivent être munis de la plaque d’immatriculation des vétérans, émise par la Société de l’assurance automobile du Québec.
Villes participantes
• Cowansville
• Granby
• Louiseville
• Magog
• Saint-Hyacinthe
• Saint-Jean-sur-Richelieu
• Saint-Jérôme
• Sherbrooke (le vétéran doit obtenir un permis de stationnement, sous forme de vignette de la municipalité)
• Trois-Rivières
• Val-d'Or
• Victoriaville
La Légion royale canadienne – Direction provinciale du Québec explique la procé dure à suivre sur son site Web et fournit les documents à remplir.
Comme c’est la tradition à l’occasion du jour du Souvenir, des bénévoles du Centre de ressources pour les familles des militaires de la région de Montréal ont décoré l’entrée du secteur des unités résidentielles de logements de Saint-Hubert. Cette commémoration revêt une signification particulière et chère au cœur de la communauté des familles militaires, puisqu’elle rend hom mage aux soldats morts au combat.
Le 5 novembre l’Escadron 643 des cadets de Saint-Hubert a participé à une cérémonie qui s’est déroulée dans les rues de Saint-Hubert.
Le 6 novembre, des membres du 34e Bataillon des services étaient réunis au parc Mercille, à Saint-Lambert, avec plusieurs dignitaires et des vétérans de la région.
Le 5 novembre, une centaine de personnes étaient réunies pour la cérémonie du jour du Souvenir à Sorel-Tracy. Une parade est partie du Centre Sacré-Cœur pour se rendre au cénotaphe du carré Royal. La cérémonie était organisée par la Filiale 117 de la Légion royale canadienne. L’organisation a également tenu une cérémonie à Saint-Roch-sur-Richelieu.
La cérémonie tenue au cénotaphe du carré Royal à Sorel-Tracy.
La cérémonie tenue à Saint-Roch-sur-Richelieu.
Photo : Julie HébertLe dimanche 13 novembre, des membres des Fusiliers de Sherbrooke, du The Sherbooke Hussars, de la 52e Ambulance de campagne, du 35e Régiment des trans missions, de la Légion royale canadienne, des corps de cadets de Sherbrooke et des vétérans, ont participé à la cérémonie tenue à la basilique-cathédrale SaintMichel en présence de plusieurs invités et dignitaires. Une centaine de citoyens se sont réunis devant le cénotaphe de la rue King pour assister au dépôt des cou ronnes qui a suivi la célébration.
Le dimanche 25 septembre la cérémonie annuelle au cimetière Saint-Michel a eu lieu afin de rendre hommage aux vétérans décédés. Gilles Samson, membre de la So ciété de généalogie des Cantons-de-l'Est, était présent à titre d’officiant de cérémo nie. Plusieurs vétérans étaient présents pour l’occasion. Sur la photo, on aperçoit Nicolas Hébert, conseiller aux programmes d’Anciens Combattants Canada rattaché à l’entretien des cimetières, se recueillant devant la pierre tombale d’un vétéran.
Le 11 novembre, des membres du Régiment de Hull et d’anciens membres des Forces armées canadiennes ont rendu hommage à ceux qui ont combattu pour défendre les valeurs et libertés des Canadiens lors d’une cérémonie sur la rue Prin cipale, dans le secteur Aylmer.
Le 4e Bataillon, Royal 22e Régiment (Châteauguay), a participé à différents évé nements commémoratifs. Le 5 novembre, des membres étaient à Terrebonne. Le lendemain, ils ont participé à une cérémonie à Laval en compagnie de vétérans et de cadets de la Marine, de l'Armée et de l'Air.
Des membres de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes étaient présents le 5 novembre au parc des Vétérans.
La cérémonie du jour du Souvenir du 12e Régiment blindé du Canada a eu lieu le 12 novembre. Une courte cérémonie s’est tenue au manège général Jean-Victor Allard et une autre a eu lieu au cénotaphe du Platon au centre-ville.
Le 6 novembre, la Division d’entraînement spécialisé de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes a pris part à la cérémonie organisée par la Filiale 121 de la Légion royale canadienne.
Le 6 novembre, une parade a été tenue près du cénotaphe de la place LéonRinguet, notamment en présence de membres de la Filiale 02 de la Légion royale canadienne, de dignitaires et de membres 6e Bataillon, Royal 22e Régiment.
02
Photos:
La mairesse de Nicolet, Geneviève Dubois, était présidente d’honneur du coquelicot pour la région de Trois-Rivières. Le 27 octobre, elle a participé à quatre cérémonies de remises de coquelicot aux maires et mairesses de Bécancour, Louiseville et Trois-Rivières. L’événement était organisé par la
Le 11 novembre, l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes a pris part à une cérémonie à la place du Souvenir.
Le 27 novembre, à 15 h, la Musique des Fusiliers de Sherbrooke présentera le concert Silence, on joue à l'église Sainte-Élisabeth de North Hatley. Sous la direction du lieutenant Martin Ringuette, l’ensemble musical mettra à l'hon neur de grands thèmes de musique de film. Ce concert sera offert gratuitement.
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Un poste de percussionniste est actuellement ouvert au sein de la Musique des Fusi liers de Sherbrooke. Pour plus d'information sur le processus d'audition et le métier de musicien, écrire à denis.falardeau@ecn.forces.gc.ca
Filiale 35 (Trois-Rivières) de la Légion royale canadienne. De gauche à droite, Stéphane Vincent, président de la Légion royale canadienne – Filiale 35, André Gosselin, porte-drapeau, Michel Lauzier, Geneviève Dubois, mairesse de Nicolet, Lucie Allard, mairesse de Bécancour, Richard Boisclair, sergent d’armes et Claude Beaulieu. Photo: Eric de Wallens. De gauche à droite: Claude Belle-Isle, Michel Lauzier, Pierre Samson, 1er vice-président de la Légion royale canadienne – Filiale 35 et président du District 15, Lucien Desbiens, 2e vice-président et responsable de la campagne du coquelicot, Geneviève Dubois, mairesse de Nicolet, Stéphane Vincent, président, Richard Boisclair, sergent d’armes, Dan Bergeron, cornemuseur et Paul Lachance, professeur d’histoire au Lycée Jean Nicolet. Photo: Eric de Wallens. Photo: ELRFCEn tant que travailleur social au Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM), je me demande ce que ces situations ont en commun :
• Une épouse me parle de la manière dont son mari critique sa façon de réagir aux choses;
• Un mari me dit que sa conjointe ne comprend pas à quel point il est stres sé au travail et a besoin de temps pour se détendre à la maison;
• Une adolescente m’exprime que ses parents ne lui font pas confiance pour prendre de bonnes décisions. L’épouse, le mari et l'adolescente me disent qu'ils ne se sentent pas capables d'exprimer une émotion sans être critiqués pour l'avoir ressentie; ils ne disposent pas d'un espace sûr où ils sont certains d'être acceptés et, pour le moment, aimés.
Tous ont besoin de se sentir en sécu rité s'ils veulent s'ouvrir les uns aux autres. La confiance et la sécurité sont nécessaires à toute communication significative entre les personnes. Un travailleur social doit apprendre à instaurer la confiance immédiatement, et les compétences pour le faire ne sont pas magiques. Ces compétences sont
nécessaires aux couples, aux jeunes familles et aux familles matures, partout où les gens font face aux défis que la vie apporte. N'importe qui peut améliorer ses relations s'il s’efforce d’instaurer la confiance dans ses relations.
Acceptez et validez les émotions qu'une personne exprime: les émotions ne sont pas bonnes ou mauvaises - elles sont simplement là. Nous devons les accep ter telles qu'elles sont, sans jugement. Accepter les émotions de quelqu'un est la première étape pour établir la confiance. Voici quelques exemples de choses à dire, qui valident ce qu'une personne ressent:
«Tu dois te sentir très en colère.»
«Ta tristesse doit être douloureuse pour toi.»
«Wow, tu dois être frustré!»
Il n'est pas utile de dire à une personne qu'elle ne devrait pas ressentir quelque chose - cela ne fera que la rendre folle ou lui apprendre à vous cacher ses émotions. Voici certaines des choses que nous disons tout le temps et qui in valident réellement ce qu'une personne ressent:
«Tu ne te sens pas vraiment comme ça.»
«Tu exagères.»
«Comment peux-tu dire ça?»
«Ça ne peut pas être si pire.»
Si la situation nous a mis en colère ou nous a frustrés, il n'est pas toujours facile de prendre du recul et d'accepter ce que la personne ressent. Ce qui est important, c'est de créer un espace où
elle se sentira en sécurité pour s'expri mer. Le principe est le même que l'on parle à un jeune enfant, à un adolescent ou à toute autre personne qui nous est chère.
Le sentiment de confiance et de sécurité permet aux gens de s'ouvrir, de s'écou ter et de collaborer. Parfois, le simple fait d'écouter sans faire de commen taires suffit à inciter une personne en colère à se détendre et à exprimer plus calmement (avec moins de peur et de défensive) les raisons de ses émotions. Une fois que ce processus est lancé, il y a une opportunité de partage, d'ap prentissage les uns des autres, et de collaboration.
Je vous suggère le livre Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent des auteurs Adele Faber et Elaine Mazlish (2012).
Information 450 358-7099 # 7103
Bartholomew.Crago@forces.gc.ca
N'oubliez pas que le personnel du CRFM est là pour vous! N'hésitez pas à joindre un conseiller psychosocial au 450 358-7099, poste 2917. Quelqu’un vous rappellera dans les 48 heures suivantes.
Plusieurs activités sont organisées par les unités afin d’amasser des fonds pour la Campagne de charité en milieu de travail de la Défense nationale. Merci à ceux qui les organisent et à ceux qui y participent!
Le 17 novembre en matinée, 52 personnes ont accepté l’invitation de l’équipe des Programmes de soutien du personnel (PSP) de la garnison Montréal et ont permis d’amasser la somme de 310$. Yoga matinal et volleyball étaient proposés, de même que le nettoyage à l’ozone d’articles et vêtements de sport en échange d’un don en argent. Il y avait aussi la possibilité de faire suer l’équipe des PSP moyen nant un don d’un dollar pour chaque burpee fait par un membre de l’équipe.
UN BOOTCAMP PAYANT!
À la Garnison Saint-Jean, les moniteurs des Programmes de soutien du personnel ont permis à une quinzaine de personnes de participer à un bootcamp Comme dans l’temps, le 16 novembre à l’heure du dîner, dans le grand gymnase. Deux équipes se sont affrontées dans le cadre d’une course à obstacles. L’activité a permis de récolter 107$ .
Le 41e Centre des services de santé des Forces canadiennes vous offre la chance de gagner une paire de billets pour le match des Canadiens du 26 janvier pro chain les opposant aux Red Wings. Vous pouvez acheter un billet de tirage pour 5 $, 3 pour 10 $ et 10 pour 25 $. Le tirage aura lieu le 1er décembre, à 11 h 45, dans la salle multimédia de la clinique médicale de la garnison Saint-Jean. Vous pouvez acheter vos billets en écrivant à joany.piette@forces.gc.ca en indiquant votre nom, unité, numéro de téléphone et courriel civil.
À la rotonde de la garnison SaintJean, le 16 novembre en matinée, CANEX, la Financière SISIP, la Caisse Desjardins des militaires et les assu rances La Personnelle ont tenu leur activité Café sur le pouce. Pour 2$, les participants avaient droit à un café et un muffin. Une somme de 248,10 $ a été amassée.
L’équipe des aumôniers des garnisons Saint-Jean et Montréal organise la Guignolée annuelle. Les militaires et les employés civils sont invités à déposer des denrées non périssables dans les boîtes réservées à cet effet.
Le padre (major) Paco Simancas, aumônier principal, rappelle que cette activité vise à aider les militaires et les employés civils du ministère de la Défense nationale qui éprouvent des difficultés financières. «Chacun d’entre nous peut faire une différence. Nous comptons donc sur la générosité du plus grand nombre de personnes.»
Les donateurs ont jusqu’au 2 décembre pour déposer les denrées dans les boîtes identifiées à la Guignolée 2022. «Les militaires et les employés civils de la Défense qui désirent recevoir un panier de Noël ont également jusqu’au 2 décembre pour s’inscrire. Les familles inscrites seront invitées à venir chercher leur panier à nos bureaux du 12 au 16 décembre.»
Liste des denrées recherchées
• Bouillons de légumes, poulet, bœuf
• Protéines en boîte: poulet, saumon, thon, fruits de mer
• Beurre de noix (amande, arachides, ...)
• Légumineuses en boîte
• Grains entiers: riz sauvage ou brun, quinoa, pâtes de blé entier, gruau na ture, craquelins et céréales santé
• Compote de fruits, fruits en conserve
• Lait Grand Pré, boisson de soya ou d’amandes
• Noix et graines
• Huile, farine, sucre, vinaigre, épices
• Nettoyant, savon, shampooing, papier de toilette, couche
Pour information: 450 358-7099 # 7420 ou SvcPersDONSaumonerieSTJ@forces. gc.ca
Le 3 et le 4 novembre, des représen tants du Collège militaire royal de SaintJean (CMR Saint-Jean) se sont rendus à la St. Johns Elementary School, une école primaire de la Commission sco laire Riverside située à Saint-Jean-surRichelieu. Ils sont allés lire des histoires et discuter de diversité et d’inclusion avec des élèves de la maternelle à la sixième année.
Parmi les lecteurs, il y avait six élèvesofficiers du Club de lecture, cinq instruc teurs de l’Institut de la Profession des armes Adjudant-chef Osside et trente étudiants du cours d’anglais langue seconde de niveau intermédiaire de Margaret Wells. Cette activité, appelée Lire au suivant, est une initiative de Patrick Lévesque, coordonnateur des sports interescadrons des Programmes de soutien du personnel, Isabelle Lépine, enseignante de langue se conde, et Valérie Caya, adjointe à la direction (primaire). À noter la collabo ration très appréciée de Brian Peddar, agent de projets pour la commission scolaire Riverside.
Marie Belle Meunier, agente d’intégra tion communautaire, CRFM
Vous êtes nouveau dans la région? S’impliquer bénévolement est une ex cellente façon de faciliter votre intégra tion à votre nouvelle communauté.
Faire du bénévolat au Centre de res sources pour les familles des militaires (CRFM), c’est soutenir notre organisme dans sa mission de favoriser le mieuxêtre des familles militaires. C’est égale ment l’opportunité de tisser des liens avec d’autres membres de la commu nauté qui partagent les mêmes préoccu pations que vous.
Les matinées bénévoles regroupent des adultes de tous âges dans une ambiance décontractée. Ces rencontres leur permettent d’exercer leur créativité et de partager leur expertise dans des projets qui leur tiennent à cœur, selon leurs initiatives. Plusieurs tâches béné
voles sont également proposées, selon les intérêts de chacun.
Les matinées bénévoles ont lieu de 9 h à 11 h 30 les mardis à notre point de service de Saint-Hubert ainsi que les jeudis à celui de Saint-Jean. Lors des périodes de bénévolat, la halte-garde rie est offerte gratuitement aux enfants d’âge préscolaire des bénévoles, sous réservation.
Le CRFM est régi par un conseil d’admi nistration (CA) dont les membres sont élus par les familles militaires. S’impli quer au sein du CA offre l’occasion de relever de nouveaux défis et de déve lopper ses compétences. Ses membres jouent un rôle essentiel dans la gouver nance du CRFM.
Des bénévoles organisent parfois des activités pour les familles militaires. Dans le passé, des clubs de lecture, de tricot et d’artisanat ont vu le jour grâce à l’implication bénévole. Le CRFM a à cœur de soutenir ce type d’initiatives qui contribuent à la richesse et la force de notre communauté.
Si vous avez des idées d’activités ou de projets que vous aimeriez mettre sur pied, n’hésitez pas à communiquer avec nous et à vous joindre à nous! Information: 450 358-7099 #2915 ou marie-belle.meunier@forces.gc.ca
Photo: CMR Saint-JeanLe personnel de la Promotion de la santé envisage une communauté des Forces armées canadiennes saine, équitable, diversifiée et prête à fonc tionner, où tous les membres peuvent s'épanouir. C’est pourquoi ses membres donnent à l'organisation, à ses communautés et aux individus qui la composent les moyens d'éliminer les obstacles à la santé et au bien-être.
Saine nutrition, dépendances, préven tion des blessures, gestion du stress et gestion de la colère sont quelques-uns des sujets pour lesquels les militaires peuvent obtenir de l’aide.
Ceux qui souhaitent s’entraîner à la mai son ont accès gratuitement à plus d’une centaine de capsules vidéos préparées par les moniteurs en conditionne ment physique et sport de la garnison Montréal. Ces capsules sont toujours disponibles sur le site du Réseau des sports (RDS) sous la rubrique En forme Ces entraînements ont été enregistrés entre le mois de décembre 2020 et le mois d’octobre 2022.
Aux garnisons Saint-Jean et Montréal, les boutiques plein air font la location d’une foule d’équipements hivernaux, notamment des fat bikes, à des prix avan tageux. Informez-vous, car ce service est offert à tous, qu’il s’agisse de location à court ou long terme! Notez que les coûts de location sont moins élevés pour les membres du Plan PSP que pour les clients réguliers.
À la garnison Saint-Jean, la boutique est située dans le local M-174 du centre des sports.
À la garnison Montréal, la boutique est située à l’entrée du gymnase.
Pour visionner les capsules
Restez à l’affut! La programmation loisirs - hiver sera disponible à la mi-décembre. Vous y retrouverez la panoplie d’activités intérieures et extérieures qui sera offerte au centre des sports de la garnison Saint-Jean dès janvier. Seul ou en famille, soyez actifs et créez des liens sociaux grâce aux loisirs. Les membres de la communauté militaire et les citoyens de la région sont les bienvenus!
Information: 450 358-7099 # 7262
Les responsables des équipes représentatives invitent les militaires à se joindre aux Patriotes en vue des championnats régionaux des Forces armées cana diennes qui auront lieu au cours des prochains mois. Pour toute question, n’hési tez pas à communiquer avec eux.
Hockey junior (hommes de moins de 37 ans) : alexandre.grenier@forces.gc.ca
Hockey vétérans (hommes de plus de 37 ans) : guy.thivierge2@forces.gc.ca
Hockey féminin: dominique.poulin@forces.gc.ca
Volleyball féminin – l’équipe étant en construction, elle ne participera pas aux championnats : james.poirier@forces.gc.ca
Volleyball masculin : james.poirier@forces.gc.ca
Basketball masculin : alaa.mansour@forces.gc.ca
Basketball féminin – il n’y a pas d’équipe, mais les femmes ont la possibilité de se joindre à l’équipe masculine si elles le désirent : alaa.mansour@forces.gc.ca
pandémie de la COVID-19 a mis un frein aux compétitions pendant 2 ou 3 ans.»
Mat 2 Gouchie-Provencher avoue aimer l’escrime pour sa grande complexité. «C’est un sport qui est bien ancré dans l’histoire de l’humanité. Il allie la straté gie et la technique. Il inclut également une belle performance artistique.»
Il a repris les compétitions en octobre dernier dans le cadre de la première de la Coupe Canada qui s’est tenue à Vancouver. Il a terminé en 39e position parmi les 91 participants de la catégorie Homme senior épée. «Cet événement a vraiment permis de nous remettre dans le bain des compétitions. Je sais plus maintenant ce que j’ai à travailler et je compte bien améliorer mon score au cours de l’année.» Le 12 novembre, il a d’ailleurs remporté une médaille de bronze dans sa catégorie lors du Circuit régional des Épées de l’Est qui a eu lieu à Rimouski.
Le spécialiste en communication navale du Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) Donnacona, matelot de 2e classe Jake Gouchie-Provencher, a découvert l’escrime alors qu’il était très jeune. À 14 ans, pendant son passage à l’école secondaire, il a enfin pu ap prendre les rudiments de ce sport et en développer une véritable passion. «Ma famille habitait en campagne. Je n’ai donc pas eu accès à ce type de dis cipline sportive avant mon adolescence. Quand j’ai eu la chance d’essayer, j’ai im médiatement eu la piqûre», explique-t-il. Il a débuté les compétitions d’escrime il y a six ans. «Malheureusement, la
Les 5 et 6 novembre, il était également au Collège militaire royal du Canada, à Kingston. «Il s’agissait d’une compéti tion internationale ouverte à la fois aux militaires et aux civils.» Il affirme avoir adoré l’expérience qui lui a permis de rencontrer des escrimeurs d’un peu partout dans le monde. «Il y avait autant des spécialistes de l’épée canadiens que d’autres provenant des Pays-Bas ou des États-Unis. J’ai vraiment adoré cet échange entre athlètes.»
Pour être en mesure de se mesurer aux meilleurs escrimeurs de sa catégorie, Mat 2 Gouchie-Provencher s’entraîne trois fois par semaines. C’est au Club d’escrime Olympia de Longueuil qu’il parfait sa technique. «J’essaie de prendre part à 3 ou 4 combats avec mes collègues du club sur une base hebdo madaire.»
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