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ISSN 0384-0417
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Chers membres de la communauté militaire,
À l'approche des Fêtes de fin d'année, nous souhaitons vous adresser nos vœux les plus chaleureux. Cette période est l'occasion de se rassembler, de célébrer et de réfléchir aux moments marquants de l'année écoulée.
Nous vous encourageons à prendre le temps de vous reposer et de profiter des moments précieux avec vos proches. N'oublions pas ceux pour qui ce temps de réjouissance peut être difficile. Soyons présents les uns pour les autres et offrons notre soutien à ceux qui en ont besoin.
Que les Fêtes vous apportent joie, bonheur et moments inoubliables. Nous vous souhaitons une année 2025 remplie de succès, de santé et de prospérité.
| L'équipe de commandement du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada
C’est déjà le temps
des réjouissances
Le 24 novembre, les familles militaires de la région de Montréal étaient invitées par le Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) à un brunch au Zoo de Granby afin de démarrer les célébrations de fin d’année. Quelque 400 personnes étaient présentes.
Les enfants ont pris part aux différentes activités, dont une rencontre avec le père Noël, ainsi que des visites guidées de l’aquarium et du pavillon de l’Asie. Tout le monde est retourné à la maison énergisé et la tête remplie de beaux souvenirs.
L’équipe du CRFM de la région de Montréal remercie les participants venus en grand nombre et souhaite de joyeuses Fêtes aux membres de la communauté militaire.
Colonel Mathieu Dallaire et adjudant-chef Steve Tremblay.
Photos : CRFM
Photo : Cplc D. Duchesne-Beaulieu –- GS 2 Div CA
À mettre à votre agenda !
| Yves Bélanger, Servir
Les 18 et 19 février, la 2 e Division du Canada (2 Div CA) convie les militaires, les membres de leur famille, les vétérans ainsi que les employés civils de la Défense (fonction publique et fonds non publics) à deux jours d’activités axées sur le mieux-être.
L’Événement pour le mieux-être proposera des ateliers et conférences aux garnisons Montréal et Saint-Jean, au site de Saint-Hubert ainsi qu’à la Base Valcartier. Certaines activités auront lieu en présentiel alors que d’autres seront virtuelles. Elles se tiendront durant la journée, mais également en soirée.
Brigitte Laquerre, officière plans et programmes ressources humaines 4 au Quartier général de la 2e Division du Canada et Force opérationnelle interarmées (Est), est la coordonnatrice de cet événement. Elle explique qu’en collaboration avec les intervenants et intervenantes des Services de bien-être et moral des Forces canadiennes, entre autres, une programmation fort intéressante est en train de se construire. « Avec les divers ateliers et conférences, nous voulons aborder plusieurs aspects de la santé et du mieux-être, de la vie personnelle au milieu de travail. L’Équipe de la Défense a mis des thèmes de l’avant en 2021 dans la Stratégie de la santé globale et du mieux-être comme la santé physique et mentale, l’environnement psychosocial, la famille et les finances, notamment. »
Le principal objectif de ces deux journées est d’offrir un moment de ressourcement à tous ceux et celles qui prendront part aux activités. « Cela permettra aussi de mettre en valeur le grand apport des intervenants et intervenantes et de faire connaître les différents services et ressources en santé et mieux-être. »
Il est possible de s’inscrire dès maintenant à l’un des deux cours de premiers soins en santé mentale de la Commission en santé mentale du Canada qui seront offerts durant l’événement.
Dévoilement de la programmation et inscription
En janvier, l’ensemble de la programmation sera dévoilé. Les inscriptions pour les autres ateliers auront lieu à ce moment.
« L’Événement pour le mieux-être est à ne pas manquer ! Tout le personnel militaire et civil de la 2e Division du Canada / Force opérationnelle interarmées (Est) sera encouragé à participer par le commandant, le brigadier-général Patrick Lemyre, dans une communication à venir. Les membres des unités hébergées dans la région sont également invités à participer aux activités. »
Pour s’informer ou s’inscrire au cours de premiers soins en santé mentale brigitte.laquerre2@forces.gc.ca
Brigitte Laquerre coordonne l’Événement pour le mieux-être.
CCMTDN
soyons généreux
Vos activités de collecte de fonds
Vous aimeriez annoncer une activité de collecte de fonds ou en faire le compte-rendu ? Écrivez-nous à servir@forces.gc.ca
Plus de 1 000 $ amassés pour le même prisonnier
Chaque année, l’équipe du 5e Régiment de police militaire organise aux garnisons Montréal et Saint-Jean l’activité Faites arrêter un collègue Le sergent Benoit Bergeron, coordonnateur de la division canadienne du Détachement Saint-Jean de l’École des langues des Forces canadiennes (ELFC Det Saint-Jean), a été incarcéré dans la fausse prison pendant 50 minutes. « Entre collègues, nous avons décidé de lui jouer un tour », explique Alexis Audet, enseignant de français à l’ELFC Det Saint-Jean,
en riant. « Nous avons amassé 1 007 $ auprès des militaires et employés civils de la Défense nationale (fonction publique et fonds non publics), ce qui nous a permis de faire arrêter Sgt Bergeron pour une durée totale de 4 h 45. Nous lui avons toutefois permis de quitter la prison aménagée dans la rotonde de la garnison Saint-Jean après 50 minutes ! » Cette somme serait la plus importante jamais amassée pour l’arrestation d’une seule personne.
Lieutenant de vaisseau Philippe Duplessis, chef de la division canadienne, sergent Benoit Bergeron, coordonnateur de la division canadienne, ainsi qu’Andréanne Cloutier et Alexis Audet, professeurs de français. Tous sont du Détachement Saint-Jean de l’École des langues des Forces canadiennes.
Photo : ELFC – Det Saint-Jean
Ils amassent 215 $ avec… 638 bonbons !
C’est Sébastien Despars, gestionnaire supérieur des Programmes de soutien du personnel – région Montréal qui a remporté le pot de bonbons offert par l’équipe du Centre des ressources humaines militaires de la garnison Saint-Jean. En échange d’un don, les gens étaient invités à deviner le nombre de bonbons déposés dans une bonbonnière. M. Despars avait inscrit le nombre exact, soit 638 bonbons. L’activité a permis d’amasser la somme de 215 $.
Vos remises n’ont pas été publiées ?
Sgt Jolan
Sébastien Despars, gestionnaire supérieur des PSP – Région Montréal a reçu la bonbonnière des mains d’Odette Losier, commis à la réception aux Ressources humaines militaires de la garnison Saint-Jean.
9 SEMAINES POUR DEVENIR MILITAIRES
1. Vie militaire
4. Maniement d’armes 7. CBRN
2. Exercice et tenue 5. Compétences militaires 8. Entraînement en campagne
3. Premiers soins
6. Entraînement physique 9. Fin de cours
Compétences militaires Photos :
Les piliers d’entraînement
Conduite professionnelle et culture
Résilience
Condition physique
Chaque pilier a été nommé pour refléter les orientations stratégiques et les initiatives organisationnelles récentes sur le changement de culture, l’éthos militaire, la santé et le bien-être des membres, la prévention des blessures et l’engagement continu envers la croissance personnelle et professionnelle.
Adoptant les valeurs de diversité et d’inclusion, le programme reconnaît les candidats là où ils sont dans leur vie lors de leur inscription et leur fournit les ressources nécessaires pour devenir des membres efficaces des Forces armées canadiennes.
COMPÉTENCES MILITAIRES
Chaque semaine, le pilier des compétences militaires permet aux candidats d’apprendre des techniques qu’ils utiliseront tout au long de leur carrière militaire, notamment les mouvements de l’exercice élémentaire (drill), la préparation de l’équipement militaire et les premiers soins.
Les connaissances transmises et les compétences acquises grâce à l’instruction soutenue par ce pilier aideront les candidats à passer de la vie civile à la vie militaire. De plus, ils détiendront les ressources et les habiletés de base pour réussir dans leurs prochaines phases de formation.
La dernière semaine offre l’occasion aux candidats de se pencher sur leurs nombreux apprentissages afin d’embrasser leur nouvelle carrière militaire.
Semaine 9
La grande finale
Au cours de cette ultime semaine, les candidats pratiquent leurs mouvements de parade en compagnie d’instructeurs et avec un ensemble de musique afin d’être prêts pour l’événement qui marque la fin de leur qualification militaire de base (QMB). Après neuf semaines d’efforts soutenus, c’est devant famille et amis que les candidats célèbrent le début de leur carrière militaire lors de la cérémonie de fin de cours.
Là où tout commence
Les candidats procèdent à l’administration de fin de cours. Ils rapportent les biens qui leur avaient été prêtés le temps de leur QMB. Ils reçoivent les instructions qui les guideront vers leurs cours de métier respectifs. C’est la tête pleine de souvenirs et le cœur plein de fierté qu’ils voient la porte de l’École se refermer derrière eux et qu’ils voient celle de leur avenir militaire s’ouvrir devant.
Expérience
Les recrues profitent des derniers instants de réflexion auprès des différents mentors qui les ont épaulés tout au long de leur parcours. C’est aussi le dernier moment de partage sur leurs apprentissages et les acquis qui les suivront pendant toutes leurs années de service. Force, résilience, gestion du stress, habiletés professionnelles, compétences militaires, santé et bien-être : les différentes clés du succès leur appartiennent désormais. C’est à partir de ce moment que ces nouveaux militaires commenceront à récolter les fruits de leur labeur. Pour
Consultez
parus
Lors de la cérémonie de
Fier de travailler à l’ELRFC
Se dépasser au travail
Sergent Josaphat Nicolas-Marchal Poste : instructeur
Sergent Josaphat Nicolas-Marchal est originaire de Port-au-Prince, en Haïti. La présence des Casques bleus après le tremblement de terre de 2010 a été significative pour lui. Quelques années plus tard, il s’est installé au Canada. Une fois adulte, il était clair pour lui qu’il tenterait sa chance au sein des Forces armées canadiennes.
Il a fait ses débuts comme fantassin au sein du Royal 22e Régiment. En 2023, il s’est joint à l’équipe d’instructeurs de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes. « J’avais envie de partager mes connaissances et d’influencer positivement les membres de la relève. »
Sgt Nicolas-Marchal aime son rôle de mentor auprès des candidats, car il s’agit d’une façon de toujours se dépasser. « C’est génial de les accompagner dans leur cheminement, de les voir évoluer et développer des compétences. » Il explique que ses fonctions l’amènent lui aussi à faire de nouveaux apprentissages. « Travailler auprès des candidats m’a obligé à mieux planifier mes tâches. Cela m’a aussi permis d’apprendre la gestion d’un groupe d’étudiants. »
Les épreuves vécues au cours des neuf dernières semaines sont derrière. La satisfaction et la fierté sont palpables au terme de la cérémonie.
Portrait de candidat
Il
voulait suivre
Arnold Lund
Âge : 34 ans
les traces de son grand-père
Futur métier : ingénieur de combat
Originaire de l’Île-du-Prince-Édouard, Arnold Lund a passé les dernières années en Ontario. « Depuis mon enfance que je rêvais de m’enrôler dans les Forces armées canadiennes. Mon grandpère a servi dans les FAC et je me souviens de lui à ce moment-là. Pour moi, il était un super héros. Je voulais suivre ses traces. »
Toutefois, la vie l’a mené vers d’autres horizons. Au cours des dernières années, il occupait un poste de superviseur pour une entreprise ontarienne spécialisée dans la gestion environnementale des déchets. Papa de trois enfants, il a décidé en 2023 de réaliser son rêve.
Il dit avoir adoré son passage à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes. « C’est génial d’avoir des militaires qui nous nous transmettent leur savoir. Ils sont de bons mentors et j’espère avoir la chance de les croiser à nouveau au cours de mes années de service. »
Sa semaine préférée a été la huitième, celle de l’entraînement sur le terrain au site de Farnham. « J’avais l’impression de vivre concrètement ce qui m’attend au cours de mes prochaines années. »
Une nouvelle vie commence pour ces soldats et soldates ainsi que pour leur famille.
Le matériel militaire
au fil des ans
Chaque équipement ou véhicule présenté dans le cadre de cette chronique est exposé en permanence dans la galerie LeBreton, du Musée canadien de la guerre, à Ottawa.
| Le Musée canadien de la guerre a autorisé la reproduction des images et des textes ci-dessous, qui proviennent de sa publication sur la galerie LeBreton.
Le porteur universel MK II
Utilisé par le Canada, 1944-1961
de l’artillerie légère ou des remorques d’approvisionnement, et il sert à transporter les blessés.
La Ford Motor Company of Canada et la Dominion Bridge Company construisent quelque 29 000 porteurs universels Mk II durant la Seconde Guerre mondiale.
L’exemplaire du Musée, fabriqué en 1944, a été le dernier en service dans l’armée canadienne avant que celle-ci n’adopte les véhicules blindés de transport de troupes de la série M113, dans les années 1960. Le ministère de la Défense nationale l’a restauré avant de le remettre au Musée en 1968.
Un réserviste au cœur de la jungle
Le stage arrive à sa fin
| Sergent Quentin Szumski, Fusiliers Mont-Royal et Servir
N.D.L.R. L’hiver dernier, sergent Quentin Szumski a séjourné pendant huit semaines en Guyane française pour effectuer le stage Jaguar, un stage de commandant de peloton (PON) en milieu équatorial. Donné par le 3 e Régiment étranger d’infanterie (3 REI) de la Légion étrangère, ce stage se classe parmi les plus difficiles au monde. Servir publie ici la dernière partie de son récit.
Nous sommes maintenant rendus à la phase synthèse de notre stage, la T3. Elle est constituée d'un exercice de cinq jours en Martinique, suivi d’un exercice régimentaire de quatre jours à Cacao, en Guyane française. Pour la première partie, la préparation et le set d’ordres ont été donnés au Centre d'entraînement en forêt équatoriale (CEFE) du 3 REI situé
à Kourou, en Guyane. On pourrait ainsi commencer les ordres de missions à notre sortie de l’aéroport, une fois arrivés en Martinique. Nous nous sommes déplacés en avion militaire. Durant les cinq jours, on n’a pas croisé d’environnements comparables à ceux que nous avions connus en Guyane. Il s’agissait plus d’une savane sèche, impénétrable, et présentant des courbes d'élévation constantes, très abruptes. On devait se déplacer en secteurs civils, sur les sentiers et sur les routes. Le principal défi, en dehors des missions qui se sont succédé sans arrêt, a été l’accès à l’eau. À quelques reprises, on a dû rationner l’eau des jerrycans. Il faisait tellement chaud et sec que notre sueur et nos habits mouillés séchaient immédiatement.
Sergent Quentin Szumski
La phase synthèse : le sergent Quentin Szumski, des Fusiliers Mont-Royal, en compagnie du colonel Jean-Pierre Royet, commandant du 3 e Régiment étranger d’infanterie. Un échange amical après la cérémonie de fin de cours à Kourou, le dernier jour.
Photos : 3 REI
de fin de cours à Kourou, sur le terrain de parade du 3 e Régiment étranger d’infanterie. On aperçoit le sergent Quentin Szumski portant son uniforme canadien (avant-dernier de la rangée).
Cérémonie
Les missions se succédaient et nous prenions le contrôle d’objectifs civils d’envergure. Nous avons fini avec une phase défensive au Centre nautique d'entraînement en forêt (CNEF), du 33e Régiment d’infanterie de marine. Lors de cette dernière mission, j’ai été évalué comme adjoint de peloton. Nous avons rationné les munitions, car nous ne pouvions compter que sur la dotation initiale reçue dans l’avion. Pendant les cinq jours, nous ne pouvions pas être ravitaillés.
De retour en Guyane pour l’affrontement final
Une fois l’exercice terminé en Martinique, nous sommes retournés en Guyane en avions militaires pour nous déployer immédiatement à Cacao sur l'exercice régimentaire.
Il s’agissait d’un exercice de type Force on Force du peloton Jaguar contre une compagnie du 3 REI. Il s’en est suivi une multitude de manœuvres offensives et défensives. Bien que les membres du 3 REI étaient les gentils dans le scénario, donc les gagnants par défaut, on se faisait battre assez facilement. Leur cohésion et leurs compétences ont suscité notre respect.
Lors des derniers jours, nous avons eu accès à leur véhicule haute mobilité ainsi qu’aux transports de troupes. Suite à la dernière mission, vers 1h du matin, nous avons eu une cérémonie par le feu et nous avons reçu les t-shirts du cours. Cependant, cela ne nous garantissait pas d’obtenir notre brevet. Il y avait une dernière réunion d’instructeurs, le dernier
jour, pour mettre à jour les notes et performances de chaque candidat par phase, durant l’entièreté du stage.
Une fois la cérémonie terminée, on a eu un petit moment de cohésion avec les instructeurs (bières et cigarettes). Sans surprise, le stage n’était pas encore terminé. À 3 heures du matin, nous étions encore en train de nous laver dans le lac de la commune (c’était mérité !) et à 6 heures, nous étions debout pour démarrer la journée qui se terminerait par le dîner régimentaire à Cacao. De retour à Kourou, nous avons entamé le nettoyage des armes, la remise de l’équipement et ce fut la cérémonie de brevet le dernier jour.
Au terme de cette longue expérience, quatre candidats n’ont pas reçu le brevet, un s’est retiré de manière volontaire et un autre a dû se retirer pour des raisons médicales.
Selva !
Quelques constatations :
• 8 semaines, c’est long !
• Toute une expérience de vie.
• On revient avec des infections et des bobos.
• On garde contact avec les meilleurs camarades. !
Lors de la parade de fin de cours, un des instructeurs attache le badge jaguar sur l’uniforme de sergent Quentin Szumski.
« J’ai ressenti de la joie et une certaine fierté d’avoir fini le stage, mais surtout énormément de respect envers cet instructeur qui était responsable de la phase combat. Tous les instructeurs sont des adjudants-chefs et c'est celui-ci qui nous a donné les leçons de tactiques. C’est un tacticien et un instructeur hors pair, qui forge le respect par son expérience, sa présence et son aura. »
Merci à vous !
Si j’ai réussi le Stage Jaguar, c’est grâce à plusieurs personnes :
• Mael Belcourt, moniteur en conditionnement physique et sport aux Programmes de soutien du personnel. Il m’a entraîné à la natation au Collège militaire royal de Saint-Jean. Pendant deux mois, à raison d’une ou deux fois par semaine, il m’a proposé de dures séances d’entrainement à la piscine. Il est un coach très compétent. J’étais un des meilleurs nageurs du stage et mon niveau de préparation était bien supérieur au niveau requis pour cette itération.
• Adjudant Benoit Toillon, adjudant des opérations et PSFR aux Fusiliers Mont-Royal. Aussi détenteur du brevet du Stage Jaguar, il a tout fait pour que je sois sélectionné et il a réussi à obtenir la position. Par la suite, il m’a offert du suivi et son temps. Il m’a prodigué ses conseils et aiguillé pour que je puisse passer au travers.
• Ma chaîne de commandement à l'époque, le commandant des Fusiliers Mont-Royal, lieutenant-colonel Dominique Pilon, et le commandant adjoint, major Serge Turcotte. Ils ont accepté cette opportunité et ont soutenu ma candidature.
• Les instructeurs du 3 REI pour m’avoir transmis leur savoir et leur esprit de guerriers indéfectibles. Des remerciements aussi pour nous avoir poussés dans nos retranchements comme personne ne l'avait jamais fait avant.
Pour lire le récit complet de sergent Szumski
En bref
Participez au Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux !
Le Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux (SAFF) de 2024 a été lancé. Au cours des deux prochaines semaines, vous recevrez un courriel vous invitant à répondre à ce sondage. Le SAFF représente une occasion unique de fournir de la rétroaction et d’influer sur les améliorations apportées à la fonction publique fédérale, y compris au ministère de la Défense nationale.
Ce sondage couvre divers sujets comme la santé du personnel et de l’organisation, le leadership, la progression de carrière, ainsi que l’équité en matière d’emploi et l’inclusion. Il s’agit de l’un des outils les plus importants pour évaluer le bienêtre du personnel et pour orienter les décisions et les plans ministériels qui ont une incidence sur les membres de la fonction publique.
La participation au sondage est volontaire ; il ne faut que 30 minutes pour le réaliser, et il est totalement anonyme. Le SAFF prendra fin le 31 décembre 2024, et les résultats du Ministère seront accessibles au printemps 2025.
Donnez
votre opinion et remportez un prix !
|
SBMFC
En décembre, les Services de bien-être et moral des Forces canadiennes (SBMFC) invitent les lecteurs de tous les journaux des Forces canadiennes à participer à un concours pour remporter un prix d’une valeur de 300 $. Pour participer, ils doivent répondre à cinq questions sur leur journal local.
« C’est une manière de célébrer les retombées positives qu’ont les journaux pour chaque communauté militaire et de remercier les lecteurs et les collaborateurs pour leur soutien continu », explique Guylaine Fortin, gestionnaire de Servir. « S’informer sur l’actualité militaire locale et partager les nouvelles de son unité contribue à renforcer l’esprit de corps. » Les lecteurs de Servir qui participent au concours doivent indiquer qu’ils proviennent de Montréal, même s’ils résident dans une autre région.
Programme Sentinelle : les formations à venir
Le Programme Sentinelle des Forces armées canadiennes vise à soutenir le bien-être mental et physique des membres de l’Équipe de la Défense. À cet effet, l’Aumônerie invite les militaires et les employés civils (fonction publique et employés des Fonds non publics) à se joindre au programme. Elle rappelle également aux sentinelles formées que des séances de perfectionnement auront lieu au cours des prochains mois.
Pour obtenir des informations : 450 358-7099 # 7797.
Pour s’inscrire, il faut obtenir une nomination de sa chaîne de commandement et la faire parvenir à papken.topjian2@forces.gc.ca et Tchougbouimedjiko.tchougbouimedjiko@forces.gc.ca.
Formation pour devenir sentinelle
Garnison Saint-Jean
• En français : 21 janvier – 9 h à 15 h
• En anglais : 28 janvier – 9 h à 15 h
Garnison Montréal
• Bilingue : 4 février – 9 h à 15 h
Formation continue pour les sentinelles formées
Garnison Saint-Jean
• Gestion des émotions en français : 18 février – 9 h à midi
Garnison Montréal
• Gestion des émotions en Bilingue : 25 février – 9 h à midi
Votre transition de carrière
Parcours et étapes de la transition
Les incontournables d'une transition de carrière :
Compléter sa trousse de transition de carrière
Analyser et ajuster les retenues d’impôt à la source pour les pensions (SISIP, militaire, ACC et salaires)
Mettre en place son plan financier
Faire analyser et traiter l’écart salarial
Vérifier son allocation de départ (si applicable)
Évaluer l’ensemble de sa couverture de protection
Valider les instructions de retenues d’impôt à la source après le premier dépôt
Mettre en place une stratégie de maximisation de ses revenus
Mettre en place une stratégie fiscale compatible avec son nouvel emploi
Se faire accompagner pour analyser ses options relatives à une valeur de transfert
Planifier la situation financière des deux membres du couple
Planifier à long terme pour sa retraite
Recourir à un accompagnement adapté lors d’une transition médicale
Recourir à un accompagnement pour une dernière installation via le programme BGRS si nécessaire
Chaque parcours de transition est différent. Contactez nous pour un accompagnement personnalisé.
facebook.com/ caissedesmilitaires
caissedesmilitaires.com
1 866 307-3787
« It’s the most wonderful time of the year »
| Étienne-David
Fortin, gestionnaire, Promotion de la santé
Le temps des fêtes est le plus beau temps de l’année. Voici mes vœux qui, je l’espère, vous aideront à passer du bon temps.
Mon premier vœu : du plaisir
On le sait, nous sommes souvent pris dans le tourbillon des Fêtes. Prenez le temps de mettre sur pause vos obligations et retrouvez votre cœur d’enfant. Pour les parents, vivez ces moments pas seulement à travers les yeux de vos enfants, mais à travers les vôtres.
Choisissez des activités et rassemblements où vous savez que le plaisir sera au rendezvous. Pas de stress à la Clark Griswold (je sais, je trahis mon âge…). Vous n’avez pas besoin que toutes les traditions soient respectées et parfaites !
Célébrez en étant fidèle à vous-même ! Profitez-en pour faire une belle marche sous les étoiles avec un bon chocolat chaud ou un autre breuvage chaud. Organisez une soirée de jeux de société en famille ou participez à une soirée locale. Inscrivez-vous dans un organisme pour faire du bénévolat ou faites du raccompagnement avec l’Opération Nez Rouge… Je vous invite à consulter les pages internet et Facebook de votre ville ou de votre région pour trouver des activités qui vous ressemblent.
Mon deuxième vœu : consolidez, renouez ou trouvez de nouvelles
relations
Inspirez-vous du Grincheux pour renouer avec le véritable sens des Fêtes. Être ensemble et partager un bon moment, c’est probablement le meilleur moment pour y arriver ! L’offre d’activités étant accrue et les gens étant dans un esprit festif, ils seront plus enclins à créer des liens.
Prenez plaisir à débattre de vos différents points de vue. On peut avoir des opinions différentes, mais focussez sur le bien-être que vous procure le fait d’être avec vos proches et de parler de ce qui vous unit. L’important est de le faire dans le respect de l’autre et de soi.
Choisissez des activités qui conviennent à tous et qui amènent les gens à avoir du plaisir ensemble. Ça peut-être une traditionnelle partie de hockey ou une soirée autour d’un feu de foyer à écouter des chants de Noël…
Mon troisième vœu : profitez de tout en petite quantité !
On le sait, « je vais en profiter ! » ne veux pas toujours dire de prendre des quantités astronomiques. Je vous invite donc à profiter d’une grande diversité, en petite quantité.
Ou, encore, optez pour la qualité et non la quantité !
Mon dernier vœu : zéro culpabilité !
Je termine avec cet extrait d’une chanson de la Bolduc, un grand classique du temps des Fêtes québécois : « C’est l’bon temps d’en profiter… Ça arrive rien qu’une fois par année ! » Vous êtes le meilleur juge pour savoir ce qui vous permettra de tirer le positif de cette période de l’année.
Santé !
Des ressources d’aide
durant le temps des Fêtes
Dans quelques jours, nous allons quitter les installations de la Défense pour un congé bien mérité. Le contexte actuel cause beaucoup de stress dans toutes les sphères de notre société et les employés de l’Équipe de la Défense ne sont pas épargnés. Plus que jamais, c’est le moment de se soucier de notre santé mentale.
Alors que le temps des Fêtes est une période de réjouissance pour certains, pour d’autres cela peut s’avérer un temps difficile. Pensons aux proches de nos collègues militaires déployés qui vivront des Fêtes sans une personne qui leur est très précieuse. L’angoisse, l’inquiétude, la colère, la tristesse, la solitude ou encore l’impuissance sont des réactions possibles en cette période de l’année. C’est pourquoi il est primordial de reconnaître ces sentiments, chez soi et les autres.
Il est important d’être à l’écoute et d’aborder sans détour le sujet de la santé psychologique avec nos proches et nos collègues. Cela peut faire une grande différence.
Les membres de l’Équipe de la Défense peuvent compter sur ces ressources
Aumônerie
450 358-7099, poste 7420. À l’extérieur des heures normales, poste 7229
Programme d’aide aux membres des Forces armées canadiennes
1-800-268-7708
Ligne Info-familles
1 800 866-4546
Ligne d’assistance des padres et sentinelles (pour les réservistes seulement)
1-844-423-4769
Programme d’aide aux employés de la fonction publique
1-866-398-9505
Ligne d’aide aux employés des Services de bienêtre et moral des Forces canadiennes
1-855-853-0565
La ligne d’aide en situation de crise suicidaire
1-866-APPELLE
Les compagnons
d’hiver
| Un conte des Jours joyeux présenté par les journaux des FAC – SBMFC
Au cœur d’un quartier tranquille, où les vents d’hiver soufflaient des secrets à travers les branches dénudées, vivait Walter, un vétéran aussi marqué par le temps et endurci que les pierres qui bordaient les rues enneigées. Walter était une figure de mystère et de solitude, un reclus avec un air bourru qui semblait indifférent à la chaleur qui régnait dans le cœur de ses voisins.
Son visage portait les marques du temps, des lignes gravées qui témoignaient d’une vie remplie de difficultés et de tourments. Ses yeux, autrefois pleins de vie, brillaient désormais d’une lueur lasse qui laissait entrevoir les batailles qu’il avait menées, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des limites de son âme.
Vêtu de plusieurs couches de vêtements usés, Walter se déplaçait dans le quartier avec le poids du monde sur les épaules, une figure stoïque dans le décor d’un hiver froid et impitoyable.
Sa maison, modeste, témoignait d’une vie vécue en marge de la société. Ses fenêtres demeuraient toujours fermées, pour éviter les regards curieux de ceux qui osaient s’interroger sur l’homme qui se cachait derrière ces rideaux bien tirés.
La cour avant, délaissée et dépourvue de vie, reflétait la solitude que Walter s’était forgée.
Son caractère était aussi brusque que les vents d’hiver qui balayaient les rues. Sa voix, lorsqu’on l’entendait, portait le poids d’années de déceptions et d’attentes brisées. Pour le voisinage, il n’était qu’un vieil homme grincheux qui préférait la solitude à la chaleur des relations humaines. Ses interactions étaient rares, se limitant à des hochements de tête secs et à une grimace occasionnelle, laissant ses voisins chuchoter à propos de l’énigme de sa personne.
Toutefois, par un matin glacial de décembre, Walter découvrit un intrus dans sa cour ; un chien errant mal-en-point qui fouillait dans les lambeaux de sa vie abandonnée.
L’humeur de Walter, déjà aussi glaciale que l’air qui l’entourait, se détériora encore plus à la vue de l’intrus. Il lança un flot de mots durs et brandit un balai, tentant de chasser la créature perçue comme une nuisance irritante. Le chien, une créature délaissée dont les yeux laissaient entrevoir une vie de difficultés, refusa de céder au dédain de Walter. Il persista dans sa quête de chaleur et d’abri faisant montre d’une vulnérabilité par rapport au cœur de pierre de
Walter. Au fil des jours, l’agacement de Walter se transforma en frustration, le chien revenant comme un spectre implacable, ses yeux implorant la pitié dans le froid mordant.
Walter ressentit un froid intense dans ses os alors qu’il marchait dans la neige en direction du visiteur indésirable dans sa cour ; le cabot dépenaillé qui semblait s’être réfugié sur le pas de sa porte. La mine renfrognée de Walter s’accentua tandis qu’il s’approchait, balai à la main, l’air glacial ponctuant le silence.
« Encore toi ! Combien de fois dois-je te dire de ne pas approcher ? Tu n’as rien à faire ici. »
Le chien, qui ne se décourageait pas, leva des yeux suppliants, un appel silencieux à la compréhension.
« Oust ! Va-t’en. Trouve un autre endroit pour mettre du désordre. »
Avec un gémissement, le chien recula de quelques pas, mais pas complètement. Ses yeux étaient d’une vulnérabilité que Walter trouvait troublante.
« Tu t’obstines, n’est-ce pas ? Je ne veux pas de toi ici. Tu n’es rien d’autre qu’un problème. »
Le chien, les oreilles tombantes, recula encore, comme s’il essayait d’apaiser le personnage irrité qui se trouvait devant lui.
« Je me fiche qu’il fasse froid. Trouve un autre endroit où mendier. C’est mon territoire et tu n’es pas le bienvenu. »
Le chien, la queue entre les pattes, jeta un dernier regard suppliant à Walter avant de rebrousser chemin à contrecœur. Walter regarda la scène avec un mélange de frustration et de regret, le balai dans sa main paraissant plus lourd qu’avant.
« Chien têtu », marmonna Walter pour luimême. « Ce n’est pas difficile à comprendre. »
Walter, habitué à la solitude qu’il avait tissée autour de lui, trouvait la persistance du chien déconcertante. Chaque coup de balai, chaque mot tranchant, semblait renforcer la détermination de l’animal. L’invité indésirable devenait l’incarnation de la solitude que Walter cherchait à préserver. Pourtant, une entente silencieuse et tacite commençait à se tisser entre eux.
Malgré tout, alors que le chien disparaissait dans le paysage enneigé, Walter ne pouvait se défaire du sentiment que quelque chose en lui avait changé ; une reconnaissance réticente d’un lien qu’il ne voulait pas admettre.
Alors que les jours s’étiraient en semaines, les yeux du chien continuèrent d’implorer, demandant silencieusement un répit du froid impitoyable. Il revint infailliblement sur le pas de la porte de Walter, comme s’il était animé par la volonté de faire tomber les murs de son isolement. L’acceptation à contrecœur qui s’installa dans le cœur noirci de Walter était une reconnaissance, même involontaire, que la vulnérabilité pouvait peut-être se frayer un chemin dans la forteresse qu’il avait bâtie.
Un soir de gel, alors que la neige tombait, Walter se tint sur le pas de sa porte, regardant d’un air renfrogné la créature qui lui faisait face. Le chien, tremblant dans la nuit hivernale, le
regarda avec des yeux reflétant une familiarité poignante. Pris dans l’écho d’un souvenir lointain, Walter poussa un lourd soupir ; la première fissure dans la façade inébranlable qui le séparait du monde.
Dans ce moment de vulnérabilité, les souvenirs d’un champ de bataille lointain envahirent l’esprit de Walter. Il se souvint d’une fois où un villageois, dont les yeux rappelaient ceux du chien, l’avait aidé à se mettre à l’abri après qu’il eut été blessé dans l’exercice de ses fonctions. Ensemble, ils avaient cherché refuge dans la maison du villageois, un lieu de réconfort marqué par un cardinal sculpté sur la porte d’entrée en bois.
Avec sa forme frissonnante, le chien était devenu une métaphore vivante, un reflet du villageois qui avait autrefois fait preuve de bonté au milieu du chaos. Le soupir qui s’échappa des lèvres de Walter n’était pas
seulement une concession au froid, il s’agissait d’un aveu à contrecœur qu’il vît dans cette créature frêle et tremblante une lueur de la compassion qui l’avait sauvé au moment où il en avait le plus besoin.
Pour la première fois, Walter ouvrit sa porte pour repousser le froid mordant et accueillit le chien dans la chaleur de son foyer. Le chien, apparemment conscient du revirement de situation, se précipita à l’intérieur et se pelotonna dans un coin avec un soupir de satisfaction qui résonna dans la tranquillité du cœur de Walter qui se dégelait contre son gré.
Walter grogna : « Tu es bien têtu, n’est-ce pas ? Tu aurais dû trouver quelqu’un d’autre à embêter. »
Le chien pencha la tête, comme s’il comprenait les mots bourrus, mais choisissait de les ignorer. Walter soupira, réalisant que ses tentatives pour chasser le chien n’avaient fait que renforcer leur lien particulier. Il se pencha et gratta le chien derrière les oreilles, un geste qui le surprit lui-même.
Alors que les chutes de neige s’intensifiaient, Walter invita le chien à l’intérieur, à l’abri du froid mordant. La chaleur de la cheminée
les accueillit, jetant une lueur vacillante sur le fauteuil usé où Walter s’asseyait habituellement. Le chien se blottit à ses côtés et Walter, bien qu’hésitant, accepta que l’intrus à fourrure partage la chaleur du feu.
Au début, Walter imposa des règles aussi sévères que son comportement. « Pas de désordre, pas de pleurnicheries, et reste de ton côté. » Le chien, apparemment compréhensif, s’installa dans un coin, les yeux fixés sur Walter.
Au fil du temps, le vétéran autrefois bourru s’était adouci. La compagnie silencieuse du chien devint un baume pour l’âme endurcie de Walter. Il raconta ses batailles, ses victoires et ses défaites, et le chien l’écouta avec toute son attention. En retour, l’animal lui offrit une chaleur allant au-delà du feu qui crépite.
Walter, qui préférait autrefois la solitude de son monde clos, trouva désormais du réconfort dans la présence tranquille de cette créature peu soignée. Chaque fois qu’il remuait la queue et qu’il se blottissait contre la main de Walter, le chien comblait le fossé entre l’isolement que Walter avait choisi et la connexion dont il avait eu envie sans le savoir.
Dans le calme de cette nuit d’hiver, Walter découvrit le pouvoir transformateur de la compagnie. Alors que Walter et le chien s’asseyaient côte à côte, la chaleur du feu fit fondre le froid glacial de la pièce et les barrières glacées autour du cœur de Walter.
Les flammes vacillantes dansèrent dans les yeux du chien, reflétant la nouvelle compréhension qui s’était installée entre eux. Dans le silence, rompu seulement par le crépitement du feu, Walter se rendit compte que, contre toute attente, il avait trouvé un ami dans les endroits les plus inattendus. Autrefois intrus indésirable, le cabot dépenaillé était devenu un compagnon fidèle, et Walter, le vétéran grincheux, avait trouvé la chaleur de l’amitié dont il ne pensait pas avoir besoin.
Alors que la neige continuait de tomber dehors, Walter et le chien étaient assis en compagnie paisible, leurs cœurs réchauffés non seulement par le feu crépitant, mais aussi par la certitude que, parfois, la compagnie d’un ami fidèle est le cadeau le plus précieux qui soit.
Célébrez les Jours joyeux avec les Loisirs des PSP !
| SBMFC
Ce décembre, les loisirs communautaires des Programmes de soutien du personnel (PSP) vous invitent à célébrer la joie de passer du temps en famille et entre amis. Notre événement Jours Joyeux est rempli d’activités passionnantes pour tous. Participez à notre concours national et montrez votre créativité ! Chaque samedi, regardez nos vidéos d’artisanat sur Facebook pour y dénicher des idées amusantes et festives.
N’oubliez pas de visiter sbmfc.ca pour en savoir plus sur les événements locaux et les différents programmes de loisirs.
Deanna Little, gestionnaire nationale des loisirs, souligne l’importance de l’inclusivité : « Nous nous engageons à créer un
environnement où chacun se sent bienvenu et inclus. Nos programmes sont conçus pour rassembler les gens, célébrant la diversité et l’unité de notre communauté. »
Rejoignez-nous pour rendre cette saison des Fêtes mémorable et inclusive pour tous !
Visitez la page Facebook des SBMFC
Si la perte d’un être cher
assombrit votre temps des Fêtes
| Programme ESPOIR
Les Fêtes sont pour beaucoup un moment de joie où ils peuvent se réunir et célébrer avec leurs proches qu’ils attendent impatiemment. Cependant, pour les personnes endeuillées, cela peut être un douloureux rappel de ceux qu’elles ont perdus. Si vous êtes membre d’une famille militaire, le programme ESPOIR peut vous apporter du soutien.
Peu importe si la perte est récente ou non, le chagrin peut faire une résurgence dans des occasions qui célèbrent l’unité comme Noël, quand la tristesse s’approfondit à la pensée de la personne disparue. Vous pouvez vous sentir isolé lorsque tout le monde autour de vous est occupé avec les préparatifs des Fêtes et se prépare pour les réunions de famille.
ESPOIR est un programme national de deuil qui offre un soutien par les pairs aux membres des Forces armées canadiennes (actifs ou retraités) et aux familles de militaires qui ont perdu un être cher. Nos pairs aidants ont vécu le voyage du deuil et ils accompagnent leurs pairs dans leur propre processus avec compréhension et empathie.
ESPOIR sait que le besoin de soutien peut être plus grand pendant les Fêtes. Nous vous invitons à communiquer avec nous si vous sentez que le deuil est plus lourd et que vous aimeriez recevoir du soutien. Nous vous accueillerons, peu importe où vous en êtes dans votre parcours de deuil.
Rappelez-vous, le deuil est…
• Un processus et parfois, il peut être compliqué.
• Des vagues d’émotions complexes qui vous frappent aux moments les plus étranges.
• Avoir à prendre plus de temps pour s’occuper de soi.
• Demander de l’aide.
• Une expérience individuelle et ne devrait pas être soumise à la comparaison.
• Se sentir dans la brume certains jours.
• Trouver votre nouvelle normalité.
• Apprendre qu’il est normal de ne pas se sentir bien.
Contactez-nous au 1-800-883-6094 ou au HOPE-ESPOIR@forces.gc.ca si vous désirez bénéficier de nos services. Pour plus d’informations au sujet de nos ateliers sur le deuil à venir, visitez notre site web.
L’accompagnement,
la clé pour planifier ma transition de carrière
Une transition de carrière, ça ne s’improvise pas. Il faut une préparation réfléchie et approfondie, sur plusieurs aspects. C’est un processus qui prend du temps et qui est unique à chaque membre des Forces.
La clé d’une transition de carrière efficace et réussie? L’accompagnement. C’est le plus qui transformera la transition en une expérience positive et enrichissante. Un bon accompagnement, c’est ce qui fait la différence entre une transition stressante et une transition sereine.
Un accompagnement centré sur votre bien-être prend en considération l’évolution de la personne: ses finances, sa santé, son intégration sociale, son logement, son environnement culturel et social, etc.
Ces domaines sont les principaux éléments de planification à prendre en compte lorsque vous envisagez ou planifiez une transition de carrière. Ils influencent directement votre bonheur.
C’est ici que l’accompagnement prend tout son sens : il permet de clarifier les zones d’ombre, de répondre à vos questions et, surtout, de diminuer significativement le stress. L’incertitude
est souvent source d’angoisse. Avec les bonnes réponses, vous abordez chaque étape avec confiance.
Préparer une transition de carrière, c’est anticiper, ajuster et s’adapter au fil du processus. C’est réaliser des vérifications et obtenir des validations. Surtout, c’est savoir s’entourer de personnes qui possèdent l’expertise nécessaire pour vous guider. Chaque parcours est unique et un accompagnement personnalisé, centré sur le bienêtre, vous aidera à naviguer ces changements avec succès.
Ne laissez pas votre transition de carrière au hasard. Prenez le temps de bien vous entourer pour faire de ce changement une réussite.
Visitez
PATRICE BERGERON Directeur général
Les PSP : toujours là pour vous !
L'équipe des Programmes de soutien du personnel de la région de Montréal offre une vaste gamme de services aux membres de la communauté militaire et aux citoyens. Profitez-en !
Cours de dynamophilie
Vous êtes militaire de la Force régulière ou de la Réserve et vous souhaitez en apprendre davantage sur la dynamophilie ou améliorer votre technique ? Dès le 21 janvier 2025, à la garnison Saint-Jean, un cours de huit semaines vous attend pour perfectionner vos compétences dans les trois levées fondamentales : le développé couché (bench press), la flexion de la hanche (squat) et le soulevé de terre (deadlift).
Ce programme est dirigé par capitaine Valérie Leone, du 34e Groupebrigade du Canada. Experte en dynamophilie, elle cumule plusieurs années d’expérience dans cette discipline. Au cours de cette session, vous bénéficierez d’une planification d’entraînement sur mesure, d’un suivi personnalisé et de discussions sur des sujets variés pour vous aider à augmenter votre force musculaire et atteindre vos objectifs.
Horaire
Mardi, de 11 h 15 à 12 h 30, local M-202 Jeudis, de 15 h à 16 h 15, local M-105
Inscription (intranet de la Défense)
Information : marika.gosselin@forces.gc.ca
La programmation loisirs –hiver est en ligne !
La nouvelle programmation loisirs du centre des sports de la garnison Saint-Jean est en ligne. Vous y découvrirez les nombreuses activités qui sont offertes au cours de la saison froide. En plus des cours d’escalade et de grappling, on offre aussi des cours de musculation, de Zumba, de danse latine, de boxe anglaise. Des entraînements de spinning, sur circuit d’entraînement et de musculation seront offerts.
Parmi les nouveautés
• entraînement et combat médiéval
• méditation guidée
• yoga Hatha et yoga Flow
• mardi-jeux (soirées de jeux de société)
Pour consulter la programmation loisirs –- hiver 2025
Capitaine Valérie Leone.
C’est le temps de vous remettre en forme !
Bonne nouvelle ! Le programme de remise en forme Recharge ta machine sera de retour à la garnison Montréal à compter du 28 janvier. Organisé par la Promotion de la santé et l’équipe de conditionnement physique et sports des PSP, ce programme vise à promouvoir les saines habitudes de vie grâce à une variété de cours de groupe actives et éducatives.
Les participants disposeront d’un éventail complet de stratégies et d’outils afin de prendre les meilleures décisions pour améliorer leur santé et leur mieux-être à long terme. Au programme :
• activités physiques diversifiées
• sports collectifs
• jeux
• défis d’équipe
• discussion de groupe
• exposés
Les principaux thèmes abordés seront les clés de la motivation, le changement de comportements et de mode de vie, les principes et les méthodes d’entraînement, la saine alimentation, le contrôle du poids, l’hygiène du sommeil, la gestion du stress, la consommation d’alcool.
Les bienfaits du programme
« Être en bonne forme physique permet un meilleur rendement au travail, un plus haut niveau d’énergie et une réduction du risque de blessures musculosquelettiques », explique Carl Coicou, spécialiste de la Promotion de la santé. D’autres avantages s’ajoutent, notamment une meilleure condition physique globale, une plus grande force mentale et une socialisation accrue.
Les rencontres auront lieu les mardis et jeudis, de 11 h 45 à 13 h, au centre sportif de la garnison Montréal, et ce, jusqu’au 20 mars.
La date limite d’inscription est le 22 janvier, 16 h.
Le programme est offert gratuitement aux militaires de la Force régulière et de la Réserve. Il s’adresse également aux détenteurs de la carte PSP classique et aux employés civils de la Défense (fonction publique et fonds non publics), mais il y a des frais.
Information et inscription
Je suis fier de vous servir
!
«
Maël Belcourt a postulé aux Programmes de soutien du personnel il y a deux ans afin de se joindre à l'équipe des moniteurs en conditionnement physique et sport. « Je trouvais que c’était agréable de travailler avec des militaires. En raison de leur métier dans les Forces armées canadiennes, ils sont motivés et en quête de performance. »
Il aime aussi travailler avec les candidats de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes et leur transmettre les notions de bien-être physique et mental qu’apportent l’entraînement et la pratique d’un ou plusieurs sports.
Quand il n’est pas au boulot, il aime bien consacrer du temps à son propre entraînement physique. « J’aime aussi participer à des jeux de rôles tels que Donjons et dragons ou des jeux de stratégies comme Magic the gathering et Warhammer 40,000. »
Maël Belcourt
Moniteur en reconditionnement physique et sport – garnison Saint-Jean
S’est joint aux PSP en novembre 2022
Un concours pour garder la forme durant les Fêtes
Du 9 au 20 décembre, les Services de bien-être et moral des Forces canadiennes vous invitent à participer au Concours des 12 jours d’entraînement. Cette série d’entraînements quotidiens a été préparée afin de que les participants demeurent en pleine forme durant le temps des Fêtes.
Chaque jour, une nouvelle routine d’entraînement, adaptée à tous les niveaux de forme physique, sera présentée. Ces routines sont spécialement conçues pour énergiser et revigorer le corps, et ce, en 15 minutes ou moins. Ces exercices rapides et efficaces s’adaptent parfaitement à un emploi du temps chargé.
Comment participer
1. Branchez-vous chaque jour du 9 au 20 décembre sur la chaîne YouTube des FAC en forme (@caffitness.facenforme) pour effectuer votre entraînement.
2. Trouvez le mot mystère placé stratégiquement dans la vidéo d’entraînement.
3. Saisissez le mot mystère sur le formulaire de participation accessible sur sbmfc.ca
À gagner : un des douze ensembles de prix FAC en forme qui comprennent chacun une dragonne, un bracelet, un autocollant, une paire de chaussettes et un t-shirt, tous à l’effigie de FAC en forme.
Les participants seront aussi éligibles à remporter un des trois grands prix composés d’un sac à dos FAC en forme accompagné de l’ensemble des articles mentionnés plus haut.
Les avantages du fatbike
Le samedi 23 novembre, quelques courageux ont affronté le temps froid et venteux pour s’initier au fatbike en compagnie du spécialiste plein air Marc-Antoine Mercier. Ils ont pu constater que ce type de vélo se distingue principalement par ses pneus surdimensionnés qui offrent une grande surface de contact au sol, améliorant ainsi l’adhérence et la stabilité dans des conditions où un vélo classique serait moins performant.
Ceux qui désirent faire l’essai du fatbike peuvent en louer aux boutiques sports et plein air des garnisons Montréal et Saint-Jean.
Ils s’initient au tir à l’arc intérieur
Le 16 novembre, une douzaine de personnes ont participé à la séance d’initiation au tir à l’arc intérieur animée par le spécialiste en plein air Marc-Antoine Mercier.
Ils ont pu apprendre les techniques de base de ce sport, en plus de pratiquer leur tir. D’autres séance d’initiation auront lieu au cours de l’année 2025. C’est à surveiller !
Pour consulter la programmation hiver 2025
Numérisez le code QR pour accéder aux différentes plateformes des PSP !
Quelques-uns des participants.
Photo : courtoisie
Pour louer un fatbike
De gauche à droite, Stéphane Michaud, Isabelle Laflamme et Kevin Lussier lors de l’activité d’initiation au fatbike.
Photo : courtoisie
Lara Bargone raconte
son expérience de soigneuse sportive
| Yves Bélanger, Servir
Dans le monde des sports militaires, une figure souvent discrète, mais essentielle veille en coulisses : le soigneur sportif. Ces professionnels dévoués, armés de connaissances techniques et d’une grande passion, sont là pour prévenir et soigner les athlètes au cours d’un championnat régional, national ou international.
Lara Bargone, spécialiste en reconditionnement physique à la garnison Montréal, travaille au sein des Programmes de soutien du personnel (PSP) depuis cinq ans. Elle s’investit corps et âme pour le bien-être physique des militaires.
Sortir de la routine
Arrivée à la garnison de Montréal en novembre 2023, Lara connaît bien les défis physiques auxquels sont confrontés les militaires. Kinésiologue de formation, elle a eu le goût de suivre la formation de soigneurs sportifs (niveau 1) offerte par les PSP.
Depuis, elle a connu quatre expériences en tant que soigneuse sportive, notamment au Championnat national de golf des Forces canadiennes à Borden et au Championnat régional de soccer à Petawawa. « J’adore participer à des événements sportifs militaires. Cela me permet de sortir de ma routine et de relever de nouveaux défis. Cela me permet aussi de rencontrer de nouvelles personnes et d’échanger avec elles. »
Les blessures sportives : des défis uniques selon le sport
Les blessures auxquelles Lara fait face sont aussi variées que les disciplines sportives. Le soccer, par exemple, expose les joueurs à des blessures aiguës : entorses, claquages musculaires, ainsi que des blessures fréquentes aux genoux et aux chevilles. « Mais dans le monde du golf, les types de blessures sont beaucoup plus reliés à l’usure. Les golfeurs, à force de répéter des gestes techniques, peuvent développer des douleurs chroniques, surtout aux coudes, aux poignets et au bas du dos. »
Passer au niveau 2
Lara invite tous ceux qui souhaitent vivre cette aventure à s’inscrire au prochain cours de soigneur sportif des PSP - Région Montréal. Une session devrait être annoncée au printemps. « Il n’est pas nécessaire d’œuvrer dans le milieu de la santé pour suivre le cours. L’important, c’est de vouloir donner des soins efficaces aux athlètes blessés lors d’un championnat. Et les cours offerts par les PSP permettent d’acquérir cette expertise. »
Dans un avenir rapproché, Lara espère aller plus loin dans son expérience de soigneuse sportive en suivant le cours de niveau 2, afin de devenir soigneuse en chef lors des événements sportifs des Forces armées canadiennes.
Information
Photo : archives
Lara Bargone, spécialiste en reconditionnement physique à la garnison Montréal, est au nombre des précieux soigneurs sportifs essentiels à la tenue des championnats des Forces armées canadiennes.
Les activités
qui vous attendent cet hiver
Voici les activités que les Loisirs communautaires de la garnison Saint-Jean offriront cet hiver. Il y en a pour tous les goûts et elles s’adressent autant aux personnes seules qu’aux couples ou aux familles.
Grâce au programme Circonflexe-prêt-pour-bouger, les résidents de la Montérégie peuvent y participer gratuitement (veuillez prendre note qu’une preuve de résidence est exigée lors de l’activité).
Dépôts de réservation
Au moment de l’inscription, un dépôt de 20 $/personne sera exigé pour une activité d’une journée et de 50 $/personne pour les activités de plus d’une journée. Les dépôts seront entièrement remboursés aux participants qui respecteront leur engagement en se présentant aux activités. Les remboursements se feront, au plus tard, dans les cinq jours suivants l’activité.
Les personnes qui ne se présentent pas à l’activité et celles qui n’aviseront pas le centre des sports de leur absence au moins cinq jours avant l’activité n’obtiendront pas le remboursement du dépôt qu’elles ont fait lors de leur inscription.
Il est à noter que si l’organisation annule une activité, tous les dépôts reçus pour l’activité seront remboursés intégralement.
Journée multiactivités extérieures
Journée de découvertes plein air à Saint-Bernard-de-Lacolle.
La randonnée en ski de fond, la marche en forêt avec raquette, la trottinette des neiges, la glissade sur chambre à air et le patin seront à l’honneur.
Date :
samedi 11 janvier, 10 h ou 13 h
Lieu : Parc régional Saint Bernard
Clientèle : pour tous
Inscription : avant le 6 janvier
Coûts :
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Autres : 20 $ par bloc d’activité
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité. L’équipement pour toutes les activités est fourni. Possibilité de manger sur place avant ou après l’activité selon le choix du bloc d’heures.
Introduction à la trottinette des neiges, au fatbike et au patin à glace
Avec l’encadrement de nos spécialistes plein air, venez vous initier au patin à glace, à la trottinette des neiges et au fatbike sur neige.
Date :
samedi 18 janvier, 10 h ou 15 h
Lieu : parc Ronald-Beauregard
Clientèle : 10 ans et plus
Inscription : avant le 15 janvier
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP
plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 10 $ par bloc d’activité
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité. Trottinettes, fatbike et patins fournis (vous pouvez apporter vos propres fatbike et patins). Apportez votre lunch, le dîner aura lieu pendant la randonnée.
Tarifs et inscription
Tarifs et inscription
Photo : Facebook Parc régional Saint-Bernard
Initiation au ski alpin
Avec l’encadrement de nos spécialistes plein air, vous pourrez apprendre les techniques de base du ski alpin. Les participants plus expérimentés pourront, de manière libre et autonome, profiter des pistes à leur guise sans être encadrés par notre personnel.
Date : samedi 25 janvier, 9 h 30
Durée : 6,5 h
Lieu : Centre de ski du mont Sutton
Clientèle : 8 ans et +
Inscription : avant le 15 janvier
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : adulte 60 $/ enfants 8-12 ans 35 $
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité.
Tout le matériel est fourni (skis, bottes, bâtons et casque). Les gens possédant leurs équipements peuvent l’apporter.
Initiation à la randonnée en raquettes
Sous la supervision de nos spécialistes plein air, vous pourrez vous initier à la raquette à neige dans le cadre d’une randonnée en forêt.
Date : samedi 1er février, 10 h ou 13 h
Durée : 2 h
Lieu : Parc de la Yamaska Roxton Pond
Clientèle : 8 ans et plus
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 20 $ par bloc d’activité
Inscription : avant le 20 janvier
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité. Le matériel est fourni (raquettes et bâtons). Les gens possédant leur équipement peuvent l’apporter.
Tarifs et inscription
Initiation au ski de fond
Sous la supervision de nos spécialistes plein air, vous pourrez vous initier au ski de fond dans des sentiers tracés. Notre personnel offrira des conseils techniques afin que les participants, de manière autonome, puissent apprécier au maximum leur expérience.
Date : samedi 8 février, 10 h ou 13 h
Lieu : Club de golf Saint-Jean-sur-Richelieu
Clientèle : 8 ans et +
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 20 $ par bloc d’activité
Inscription : avant le 5 février
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité. Le matériel est fourni (skis, bottes et bâtons). Les gens possédant leur équipement peuvent l’apporter.
et inscription
Tarifs et inscription
Tarifs
Randonnée en raquettes, chocolat et porto
Randonnée d’environ 5 km en raquettes, avec lampe frontale, suivie d’une dégustation de chocolats et de portos autour d’un feu de camp.
Date : samedi 15 février, 18 h 30
Lieu : Centre de plein air l’Estacade
Clientèle : 18 ans et +
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 15 $
Inscription : avant le 12 février
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité.
Journée multiactivités extérieures
Journée découverte plein air au centre de villégiature de Jouvence. Sous l’encadrement de nos animateurs, venez essayer la randonnée en ski de fond, la marche en forêt avec raquettes, la trottinette des neiges et la glissade sur chambre à air.
Date : samedi 1er mars, 10 h ou 13 h
Lieu : Centre de villégiature de Jouvence, Orford
Clientèle : 8 ans et +
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 15 $ par bloc d’activité
Inscription : avant le 26 février
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité. L’équipement pour toutes les activités est fourni. Possibilité de manger sur place avant ou après l’activité selon le choix du bloc d’heures.
Initiation à la construction d’abri de neige, à l’hébertisme aérien et à la cuisson sur feu de camp
Sous l’encadrement de nos spécialistes plein air, les participants pourront construire des abris de neige où ils pourront, avec nos sacs de couchage d’hiver, faire une sieste dans les abris qu’ils auront construits. L’activité sera complétée avec de l’hébertisme aérien et un repas fourni où chaque participant aura une tâche à faire dans l’élaboration du repas.
Date : samedi 22 février, 14 h
Lieu : Centre de plein air l’Estacade Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix
Clientèle : 8 ans et +
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 15 $
Inscription : avant le 10 février
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité.
Tarifs et inscription
Tarifs et inscription
Tarifs et inscription
Initiation au ski alpin
Avec l’encadrement de nos spécialistes plein air, les gens pourront apprendre les techniques de base du ski alpin. Les participants plus expérimentés pourront, de manière libre et autonome, profiter des pistes sans être encadrés par notre personnel.
Date : samedi 15 mars, 9 h 30
Lieu : Centre de ski du mont Saint-Bruno
Clientèle : 8 ans et +
Coûts :
• Citoyens de la Montérégie : gratuit
• Détenteur d’une carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 60 $/adulte, 35 $/enfants
Inscription : avant le 5 mars
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité.
Le matériel est fourni (skis, bottes, bâtons et casque). Les gens possédant leurs équipements peuvent l’apporter.
Tarifs et inscription
Initiation au ski de fond
Sous la supervision de nos spécialistes plein air, les gens pourront s’initier au ski de fond dans des sentiers tracés. Notre personnel offrira des conseils techniques afin que les participants, de manière autonome, puissent apprécier au maximum leur expérience.
Date : samedi 22 mars, 10 h ou 13 h
Lieu : SEPAQ de Saint-Bruno
Clientèle : 8 ans et +
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• Autres : 20 $ par bloc d’activité
Inscription : avant le 5 février
À noter : les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité. Le matériel est fourni (skis, bottes et bâtons).
Les gens possédant leur équipement peuvent l’apporter.
Initiation au tir à l’arc intérieur
Sous la supervision de nos spécialistes, les gens pourront s’initier au tir à l’arc intérieur. Notre personnel va offrir des conseils techniques et encadrera l’activité.
Date : samedi 29 mars, 10 h ou 13 h
Lieu : Centre des sports de la Garnison Saint-Jean, Saint-Jean-sur-Richelieu
Clientèle : 5 ans et +
Coûts :
• Citoyen de la Montérégie : gratuit
• Détenteur de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
