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ISSN 0384-0417
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C’est fait !
Bonne nouvelle ! Le département des loisirs communautaires de la garnison Saint-Jean a récemment fait l’acquisition d’un rideau permettant la pratique du tir à l’arc à l’intérieur.
Avec cette acquisition, le Centre des sports de la garnison Saint-Jean devient l’un des seuls endroits de la rive sud de Montréal où il est possible de pratiquer cette discipline sportive en été comme en hiver.
Du 26 août au 20 septembre, les loisirs ont proposé des mini-sessions de groupe, gratuites, afin de présenter les activités de sa programmation automnale, dont le tir à l’arc intérieur.
Information
Dans cette édition
En bref
Près de 75 cadets obtiennent leurs ailes de pilote au Centre d’entraînement des cadets St-Jean 31
Une impressionnante démonstration d’extraction
De la poésie et des bandes dessinées pour célébrer la Journée des langues officielles 10
Ils unissent leurs efforts pour combattre le roseau commun 12
Un réserviste au cœur de la jungle : l’arrivée en Guyane et le début des exercices
La famille Khalil vous invite aux activités du
Les PSP : toujours là pour vous
Nos équipes des Patriotes s’inclinent au Championnat régional de balle lente des Forces canadiennes
Course de l’Armée : obtenez un remboursement
Activités plein air et prêt d’équipement gratuits en profiterez-vous ?
Les activités qui vous attendent cet automne
Les familles font la fête
| Yves Bélanger, Servir
Quelque 350 membres de familles militaires ont participé à la traditionnelle Fête d’accueil du Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM)Région de Montréal le samedi 7 septembre.
En plus du CRFM, CANEX, le service de l’aumônerie, la Financière SISIP et les Programmes de soutien du personnel étaient présents afin de faire connaître les services qu’ils offrent aux familles.
Même le soleil était de la partie ! « Nous avons été chanceux, car la température a changé drastiquement vers 14 h 30. Nous avons tout juste eu le temps de tout ramasser sur le site », explique Catherine Bourassa, directrice des ressources humaines au CRFM – Région de Montréal.
Mme Bourassa indique que l’équipe du CRFM est très satisfaite du nombre de visiteurs « Outre les 350 participants, nous avions une centaine de membres du personnel du CRFM et de différentes unités qui étaient là pour assurer le bon fonctionnement de l’événement. En tout, nous étions 450. C’était très près de notre objectif de 500 participants. »
Découvrez la programmation du
Découvrez la Programmation des loisirs de la garnison
CRFM
Photo : Marie-Josée Bouchard - PSP
Plusieurs kiosques, dont celui-ci, tenu par Carolane Chabot, du CRFM, présentaient les nombreux services offerts aux familles militaires.
Photo : CRFM
Afin de souligner les 100 ans de l’Aviation royale canadienne, des animateurs du Camp de jour Plein soleil proposaient aux enfants de peindre un avion de bois.
Des spécialistes du tir à l’arc du département des loisirs communautaires de la garnison Saint-Jean ont permis aux petits et grands de découvrir cette discipline.
Photo : Marie-Josée Bouchard - PSP
Saint-Jean
Comme chaque année, un camion de rue était sur place pour nourrir gratuitement tous les participants.
Photo : CRFM
Les familles ont pu profiter du mur d’escalade du Centre des sports de la garnison Saint-Jean.
Des membres de l’équipe du CRFM – Région de Montréal.
Capitaine Sayidouna Ba, de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, et sa famille.
Photo : CRFM
Photo : CRFM
Photo : Marie-Josée Bouchard - PSP
L’ELRFC a une nouvelle
capitaine de vaisseau honoraire
| Julie Genest, coordonnatrice des affaires publiques, ELRFC
Le jeudi 8 septembre 2024 marquait l’entrée en poste de Mme Véronique Tougas à titre de capitaine de vaisseau honoraire à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC). Elle succède à M. Pierre-Paul Pharand qui arrivait au terme de son mandat comme colonel honoraire de l’ELRFC.
Cette femme d’affaires arrive en poste avec une longueur d’avance dans sa connaissance de la réalité militaire grâce à ses deux années passées à bâtir le projet IGLU à l’Association de l’ELRFC (AELRFC). D’abord créée pour négocier, auprès des marchands de Saint-Jean-sur-Richelieu, des rabais pour les familles militaires, l’AELRFC s’est transformée en une entité qui, grâce à son programme IGLU, offre de plus des services d’aide au logement, d’aide à l’employabilité des conjoints et conjointes de militaires et un accès à un ensemble de services régionaux. IGLU a d’ailleurs fait l’objet d’un lancement officiel en novembre 2023.
Mme Tougas espère implanter IGLU un peu partout au Canada. Elle réaliserait alors son souhait le plus cher : celui d’aider toutes les familles militaires à s’intégrer à leur nouvel environnement à la suite d’un déménagement. D’ici là, elle dit vouloir se concentrer à faire baisser les statistiques qui chiffrent à quelque 50 % la proportion des familles militaires
qui s’établissent en dehors de Saint-Jean-surRichelieu, faute notamment d’avoir pu trouver un logement.
La nouvelle capitaine de vaisseau honoraire représente donc l’essence même de la fonction qui consiste à établir un pont entre les mondes militaire et civil.
La petite histoire de sa nomination
C’est nul autre que le colonel honoraire sortant, M. Pierre-Paul Pharand, qui a recommandé la candidature de Mme Tougas à la direction de l’ELRFC.
M. Pharand avait connu Mme Tougas alors qu’elle siégeait avec son épouse au conseil d’administration de la Corporation du Fort St-Jean. Il avait immédiatement détecté chez cette femme d’affaires une passion
pour sa ville et sa communauté. Il lui a donc demandé de s’impliquer dans l’Association de l’ELRFC qu’il avait fondée en 2018, à l’occasion du 50e anniversaire de l’institution. L’ayant vu à l’œuvre avec la mise sur pied du programme IGLU, M. Pharand n’avait aucun doute qu’elle aurait tout ce qu’il faut pour assumer le rôle de capitaine de vaisseau honoraire.
Que sont les capitaines de vaisseau honoraires ?
Les capitaines de vaisseau honoraires, désignés par l’abréviation Capv(H) devant leur nom, font partie intégrante de la grande famille de la Marine royale canadienne (MRC). Ils constituent un lien important entre la MRC et les communautés où ils sont établis.
Les capitaines de vaisseau honoraires sont des Canadiens émérites, dont nombre d’entre eux sont des dirigeants publics, communautaires ou d’entreprises bien connues. Chaque capitaine de vaisseau honoraire offre à la MRC un ensemble unique de talents et d’habiletés, un vif désir de faire sa part et des buts particuliers qu’il désire atteindre et qui répondent aux objectifs de la MRC. À noter que dans la Marine royale canadienne, un capitaine de vaisseau honoraire est l’équivalent d’un colonel honoraire pour l’Armée ou l’Aviation.
Véronique Tougas en bref
Actionnaire principale de Groupe Cambli depuis 2016, Véronique Tougas assure la présidence de l’entreprise familiale depuis 2010. Elle est une leader reconnue dans le monde manufacturier tant au Québec que sur la scène internationale. Elle est aussi fortement impliquée au sein de la communauté d’affaires de la région du HautRichelieu, car elle a siégé à plusieurs conseils d’administration, notamment ceux de NexDev, InnoSécur, de la Corporation du Fort St-Jean, de la Fondation du Cégep de Saint-Jean-surRichelieu et de Groupe SJM (aujourd’hui Etalex).
Bienvenue parmi nous, Mme Tougas !
Capitaine de vaisseau honoraire Véronique Tougas pose fièrement avec le commandant de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, lieutenant-colonel Marc Kieley.
Photo : ELRFC
SAINT-JEAN / MONTRÉAL
JOURNÉE DU SPORT DES FAC CAF SPORT DAY 2024
25 octobre / October 25th
EN SAVOIR PLUS
Ouvert aux militaires (actifs et retraités) et aux employés civils de la Défense (Fonction Publique et Fonds non publics).
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Open to military personnel (active and retired) and civilian Defence employees (Public Service and Non-Public Funds).
Pour des missions d’urgence où des extractions sont nécessaires, les membres du 439 e Escadron de soutien au combat utilisent un hélicoptère
Griffon équipé d›un treuil pour remonter les individus à bord.
Une impressionnante
démonstration
d’extraction
| Yves Bélanger, Servir
Si vous avez vu voler un hélicoptère Griffon au-dessus de la garnison Saint-Jean le vendredi 30 août, sachez qu’il s’agissait d’un exercice d’extraction terrestre par une équipe de sauvetage. Cette démonstration a été orchestrée par l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC).
Adjudant Dominic Veilleux, adjudant des opérations à l’ELRFC, est un spécialiste en sauvetage. C’est lui qui a eu l’idée de la démonstration. « Mon but premier était de faire rayonner les Forces armées canadiennes (FAC). Je pense que ce type d’événement est excellent pour mieux faire connaître le travail des militaires canadiens. Cela est aussi une opportunité pour les militaires de découvrir les possibilités d’emploi qui s’offrent à eux et elles. »
Sept militaires de l’ELRFC se sont impliqués dans l’organisation de l’activité. Il y avait aussi deux techniciens en recherche et sauvetage du 439e Escadron de soutien au combat, de Bagotville, ainsi que deux agents de la Sûreté du Québec. « Beaucoup de gens ignorent que nous travaillons régulièrement en collaboration avec eux. Trois spécialistes en sauvetage étaient aussi sur place afin de répondre aux questions. »
Des militaires, des candidats de l’ELRFC ainsi que des employés civils de la Défense ont eu la chance d’assister à la démonstration. « Il y a eu moins de gens que ce que j’avais prévu », explique Adj Veilleux. L’activité a eu lieu un vendredi, à la veille d’un long week-end. « Malheureusement, c’était le seul moment où les organisateurs et ceux qui faisaient la démonstration étaient disponibles. »
Adj Veilleux espère avoir l’opportunité de tenir une telle activité à nouveau en 2025. « Ce serait bien de pouvoir organiser ça au printemps l’an prochain ! »
Un notaire S.V.P. Inc.
Que
Pour visionner la vidéo
Adjudant Dominic Veilleux (à droite), adjudant des opérations à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, discute avec des visiteurs.
Me Simon Charbonneau et Me Diane Lépine
Deux adresses pour mieux vous servir :
De la poésie et des bandes dessinées pour célébrer la Journée des langues officielles
| Brigitte Laquerre, coordonnatrice langues officielles et santé globale et mieux-être, 2e Division du Canada
« La poésie, c’est de la prose. Il faut que ça rime ? Non ! La poésie c’est démocratique ! ». C’est par ces mots que Bianca Côté, autrice, a débuté son atelier de poésie offert en français dans le cadre de la Journée des langues officielles au Centre d’études et de ressources - Zone de l’Armée de la garnison Saint-Jean le 12 septembre.
Après avoir fait la lecture de quelques poèmes, dont quelques-uns des siens, Mme Côté a invité les participants à se lancer en écrivant une carte postale à partir de phrases suggérées et en s’inspirant de divers objets mis à leur disposition. Les poètes en herbe se sont prêtés au jeu de bon cœur et ont tous surmonté leur gêne en partageant tour à tour leur création et en échangeant leurs impressions sur certains des mots entendus.
Après la poésie, c’est le monde des bandes dessinées et des romans graphiques que les participants ont été invités à explorer dans un atelier en anglais animé par Michael Hind, auteur de bandes dessinées. D’entrée de jeu, il a dessiné rapidement une planche de six cases sur un tableau pour démontrer les divers éléments qui composent une bande dessinée et, surtout, que cet art est accessible.
Les nombreuses œuvres qu’il a présentées durant son atelier ont d’ailleurs prouvé son propos. Son cours accéléré sur l’histoire de la bande dessinée en Amérique du Nord a fasciné l’assemblée. Monsieur Hind a ensuite présenté quelques-uns de ses livres aux participants et leur a permis d’observer ses planches originales de près avant de les inviter à leur tour à créer une planche comme bon leur semblait. Inspirés par ce qu’ils venaient d’entendre et voir, encore une fois, ils n’ont pas hésité à se lancer et ont partagé leur expérience de création pour clore l’activité.
Les livres qui ont été à l’honneur lors de ces deux ateliers sont disponibles en emprunt libre au Centre d’études et de ressources - Zone de l’Armée.
Michael Hind a animé l’atelier sur les bandes dessinées.
Photo : Yves Bélanger
Photo : Audrey Patenaude
Le groupe de participants à l’atelier de poésie offert par Bianca Côté
Ils unissent leurs efforts
pour combattre le roseau commun
| Yves Bélanger, Servir
Les 29 et 30 août, des réservistes des 34 e et 35 e Groupes-brigades du Canada ont joint leurs efforts à ceux de la Conservation des ressources, un service du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada, pour participer à une tâche environnementale au Centre d’essais et d’expérimentation en munition (CEEM) de Nicolet.
Carole Larouche, officière d’environnement adjointe au Service Conservation des ressources du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada, explique que la mission des militaires consistait à retirer des bâches disposées au sol. Certaines avaient été mises en place il y a cinq ans afin de lutter contre le phalaris roseau, aussi appelé roseau commun ou phragmite. « Il était grand temps de les retirer et de constater les résultats. »
Elle soutient que cette plante exotique est envahissante et elle est un risque élevé d’incendie. « Elle a une très grande taille et lorsqu’elle meurt à l’automne, elle sèche en place et ne tombe pas au sol. Elle devient donc un très bon combustible et facilite la propagation d’incendie en raison de sa position verticale et parce que les colonies sont ainsi composées d’un gros pourcentage de tiges mortes et sèches. »
Par le fait même, le roseau commun empêche d’avoir une visibilité adéquate sur les cibles lors des essais.
Mme Larouche rappelle que le site du CEEM sert à effectuer des essais de munition, et ce, depuis 1952. « Ces essais permettent de valider le bon fonctionnement et de rencontrer les standards du ministère de la Défense nationale au cours de la production effectuée par l’entreprise General Dynamics Produits et Systèmes tactiques-Canada. »
Des résultats concluants
Le retrait des bâches recouvrant les colonies de roseaux n’a pas été une tâche de tout repos. « Le site était submergé en raison des conditions climatiques des dernières années. Les réservistes n’ont tout de même pas hésité à se mouiller. Les efforts constants fournis durant ces deux jours ont permis de retirer une bonne partie des bâches. »
Elle explique qu’une fois les bâches retirées, son équipe a pu constater le succès de cette méthode pour éradiquer l’indésirable roseau.
Excellent pour la biodiversité
L’officière en environnement poursuit en mentionnant que du point de vue environnemental, la présence de colonies de roseaux communs réduit la biodiversité du site. « En faisant compétition aux espèces indigènes, cette plante réduit la qualité de l’habitat essentiel de plusieurs espèces. En plus, le roseau forme des peuplements beaucoup plus denses que les autres assemblages de plantes herbacées qu’ils remplacent. »
Le roseau a un impact négatif sur la richesse et la diversité végétale. Mme Larouche mentionne que les preuves de conséquences sur la faune sont pour leur part moins documentées. « Toutefois, au CEEM, une forte disparition des quenouilles avait été remarquée en raison des colonies de roseaux. Le problème ayant été résolu, les quenouilles ont repeuplé les lieux. C’est bien, car les oiseaux aquatiques, incluant le petit blongio, dont l’habitat est protégé aux étangs aménagés du CEEM Nicolet, semblent préférer la présence de quenouilles à celles des roseaux. »
Quelques-uns des participants des 34 e et 35 e Groupes-brigades du Canada.
Photos : courtoisie
Des observations comportementales suggéreraient aussi que la sauvagine et les échassiers évitent de fréquenter les abords des massifs de roseaux lorsqu’ils s’alimentent. « Et ce, non pas parce que la nourriture y est moins abondante, mais peut-être parce que la structure physique des roselières ne favorise pas une quête efficace des proies potentielles comme les invertébrés. Le roseau peut aussi diminuer le niveau de l’eau des étangs en raison de son taux de respiration plus rapide que celui de la végétation indigène. »
Un site de grande valeur écologique
Le CEEM Nicolet est situé entre la route 132 et le lac Saint-Pierre. Il a une valeur écologique exceptionnelle. Il possède d’ailleurs plusieurs statuts de conservation dont : refuge d’oiseaux migrateurs et habitat essentiel du petit blongios. « Ce secteur fait partie des sites Ramsar qui protègent les milieux humides à travers le monde. »
Mme Larouche ajoute que le site du CEEM Nicolet se retrouve au sein de la Réserve de la biosphère du lac Saint-Pierre. Il est donc au cœur d’une zone importante pour la conservation des oiseaux, une aire de concentration d’oiseaux aquatiques et l’habitat du rat musqué. « D’où la responsabilité du MDN d’y instaurer et d’y maintenir un programme environnemental éprouvé.
Pour en apprendre davantage sur le roseau commun
Courtier immobilier agréé
D.A. depuis 23 ans.
Fournisseur accrédité BGRS (relogement militaire)
Me référer est le plus grand des remerciements
L’achat ou la vente d’une résidence est probablement le geste le plus important qu’une personne aura à faire dans toute sa vie et j’aimerais être la personne qui vous guidera à travers un tel processus.
Quelques réservistes en train d’enlever une des bâches sur le site du Centre d’essais et d’expérimentation des munitions de Nicolet.
Une colonie de roseaux à Nicolet.
Sergent Quentin Szumski est membre du régiment
Un réserviste au cœur de la jungle
L’arrivée en Guyane et le début des exercices
| Sergent Quentin Szumski, Fusiliers Mont-Royal et Servir
N.D.L.R. L’hiver dernier, sergent Quentin Szumski a séjourné pendant huit semaines en Guyane française pour effectuer le stage Jaguar, un stage de commandant de peloton (PON) en milieu équatorial. Donné par le 3 e Régiment étranger d’infanterie (3 REI) de la Légion étrangère, ce stage se classe parmi les plus difficiles au monde. Servir publie ici le premier article d’une série de quatre.
Le Jaguar se compare aux formations données à Manaus au Brésil ou à Lanceros en Colombie. II s’agit de huit semaines de formation sous la gouverne des instructeurs du Centre d’entraînement en forêt équatoriale (CEFE). Le stage se divise en quatre phases, inégales en longueur.
T0 : la semaine d’acclimatation
À Kourou, nous nous acclimatons au 3 REI. On apprend les systèmes d’armes que l’on utilisera, la navigation, les communications et l’évacuation sanitaire, principalement par brancardage. La mise en condition est immédiate et à la manière de la Légion : nous sommes debout de 4 h 30 à minuit, sous une chaleur excessive. Les nuits sont difficiles. On se réveille constamment en sueur, notre lit de camp trempé. Les installations sont rustiques et une poubelle d’une centaine de litres fait office de chasse d’eau. Le déjeuner se résume à un bout de pain, une viennoiserie et un verre d’eau. Chaque déplacement est l’occasion de faire le tour extérieur de la base à la course.
Photos : 3 REI
Semaine d’acclimatation : deux stagiaires se familiarisent avec le Gloc 17 (9 mm) de service.
T1 : l’aguerrissement
C’est la phase la plus connue, la plus médiatisée et la plus dure physiquement et mentalement. Elle débute le dimanche soir, à 19 h. Jusqu’aux petites heures du matin, nous entendons des coups de clairon. Chaque fois, il faut se rassembler à l’autre bout de la base en moins de deux minutes et accomplir une tâche. Un retard ou un manquement aux directives nous vaut une punition.
Après les premiers coups, nous déshabiller et nous allonger sur nos lits n’était plus une option. On s’étendait par terre en attendant le prochain coup du destin. Vers 4 heures, une course rapide de 8 km en habit de combat, le « treillis », mais sans chemise nous a permis de finir secs comme des raisins à cause de la température et de l’humidité. Ont suivi un test de nage sur place avec treillis et armement, et deux longueurs de piscine. Une dizaine de personnes ont échoué par manque d’entraînement ou d’épuisement.
Nous sommes ensuite partis pour le CEFE. Deux heures de bus pendant lesquelles il était interdit de dormir. L’instructeur a usé de son sens de l’honneur et de sa créativité pour nous garder éveillés. L’épaule de mon binôme, un Indien commandant de compagnie de Gurkhas, a subi mes coups pendant plus d’une heure en raison de sa pauvre résistance à la fatigue ! L’instructeur nous a fait crier notre numéro de candidat à haute voix, en ordre chronologique et à l’envers, pendant plus de 90 minutes. Je ne me suis jamais senti aussi stupide !
À destination, on a découvert les courbes d’élévation guyanaises pendant un bon 4 km avant d’arriver au centre. Au niveau jungle, les courbes sont très fortes, sur de courtes distances. À mi-parcours, une petite station pour ramper dans de la boue orange et liquide nous attendait. Une fois que chaque personne, son équipement et son armement ont été bien colorés, nous sommes repartis sur une montée interminable de plusieurs centaines de mètres. Arrivés tout en haut, au centre, nous avons déposé nos sacs et débuté des tests physiques comme les push-ups, pull-ups, set-ups, montées de corde sans les pieds et autres !
Les connaissances s’additionnent
Nous avons eu des leçons sur les animaux, les végétaux et la survie (feu, chasse, pêche, etc.). Après cette phase et au terme de celle de combat, nous aurons expérimenté des périodes de survie et différentes pistes à obstacles. Nous aurons également reçu des leçons sur la traverse de coupure humide avec corde (traverse de rivières avec cordes et mousquetons), les brancards aquatiques ou la nage commando dans le courant. Nous aurons aussi appris à faire une quinzaine de nœuds, utiles pour se déplacer dans l’eau, sécuriser nos armes ou faire des brancards.
Durant la présente phase, chaque soir, c’est la même routine : lessive et toilette personnelle à la rivière, nettoyage des armes et de l’équipement collectif, souper, traitement des blessures, soins des pieds et bivouac (non tactique) pour ensuite nous reposer jusqu’à 4 h 30. À 5 h 30, il fallait avoir déjeuné, s’être rasés et être prêts pour l’inspection !
Dans la prochaine édition de Servir : la seconde partie de la phase d’aguerrissement.
Qui est Quentin Szumski ?
Le sergent Quentin Szumski s’est enrôlé dans les Forces armées canadiennes en 2015. À l’époque, son but était d’avoir un emploi étudiant pendant qu’il effectuait ses études universitaires. Il a choisi de devenir fantassin au sein des Fusiliers Mont-Royal.
Il a tellement aimé son expérience que neuf ans plus tard, il est toujours membre de l’unité de réserve montréalaise. À temps plein au régiment depuis la fin de ses études et il est présentement affecté à la cellule des opérations régimentaire depuis 5 ans.
Depuis le début de sa carrière militaire, le militaire a participé à un déploiement national lors la pandémie de la COVID -19 (Opération LASER) et un déploiement à l’étranger (Opération IMPACT Roto 6, au Liban). Il a aussi eu l’opportunité de participer à la compétition internationale de reconnaissance Canadian Patrol Concentration en tant qu’adjoint de section.
Le stage Jaguar est une réalisation dont il est particulièrement fier et une expérience dont il dit être revenu changé. Nunquam Retrorsum est la devise des Fusiliers Mont-Royal. Sergent Quentin Szumski l’incarne : il ne recule jamais.
Période d’aguerrissement : les stagiaires
L’escadron Iberville remporte
la course à obstacles
Le 24 août, la rentrée a été soulignée en grand au Collège militaire royal de Saint-Jean avec la tenue de la traditionnelle course à obstacles. Cette course marque la fin de trois semaines intenses du Programme d’orientation des élèves-officiers et aspirants de marine de première année.
Chacun des quatre escadrons était représenté par quelques équipes. L’équipe Marquis, de l’escadron Tracy, a obtenu le plus grand nombre de points. Ce sont toutefois les équipes de l’escadron Iberville qui ont réussi à accumuler le plus de points et qui ont permis à leur escadron de remporter la victoire. L’élève-officier Jake Tremblay, de l’équipe Marquis, a remporté le prix du participant ayant le plus contribué à son équipe.
Les membres de l’escadron Iberville posent fièrement avec le trophée remporté.
Photos : CRM Saint-Jean
CCMTDN
soyons généreux
C’est le grand départ !
| Yves Bélanger, Servir
La Campagne de charité en milieu de travail de la Défense nationale (CCMTDN) a été lancée aux garnisons Montréal et Saint-Jean les 5 et 10 septembre. L’objectif est d’amasser 220 000 $.
À la garnison Montréal, le lancement officiel a eu lieu le 5 septembre, en présence de Côme Bardi de Fourtou, de Centraide, et de Steven Laperrière, président de RAPLIQ – Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec.
À la garnison Saint-Jean, le 10 septembre, trois représentants d’organisations bénéficiaires de la campagne (Centraide, SP Canada et Colonie Sainte-Jeanne d’Arc) sont venus rappeler l’importance de participer. Par leur témoignage, ils ont démontré que le moindre don entraîne des répercussions importantes sur l’aide apportée à la communauté.
Des dons essentiels
Lors du lancement à la garnison Saint-Jean, Côme Bardi de Fourtou, porte-parole de Centraide, a expliqué que la situation économique actuelle a un impact important sur de nombreux organismes venant en aide aux démunis. « Dans la grande région de Montréal, ce sont 55 000 enfants qui vivent dans la pauvreté. »
Par la suite, Jessica Ferland, directrice générale de la Colonie Sainte-Jeanne d’Arc, a expliqué que les jeunes qui fréquentent le camp de vacances vivent de profondes difficultés. « Pour un moment, ils se retrouvent en présence d’adultes qui les divertissent, les écoutent, les acceptent et les considèrent. Cela permet à plusieurs de s’évader des soucis financiers vécus au sein de leur milieu de vie. »
Mme Ferland soutient que les dons reçus par Centraide sont essentiels pour permettre à l’organisation d’offrir des services de qualité aux enfants. « Quelque 82 % des jeunes qui viennent chaque année à la Colonie Sainte-Jeanne d’Arc proviennent de familles à faibles revenus. »
Plusieurs collaborateurs étaient présents au lancement de la campagne à la garnison Montréal.
Photo : Cpl Étienne Laflamme – QG 2 Div CA
Capitaine Érick Marcoux, officier des opérations au Service des opérations du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada, était le maître de cérémonie du lancement à la garnison Saint-Jean.
Photo : Cpl Zamir Muminiar – Imagerie Saint-Jean
Mme Andrea Veliz Garcia, porte-parole de SP Canada, a aussi parlé de l’importance des fonds destinés à la recherche afin d’arriver un jour à vaincre complètement certaines maladies, comme la sclérose en plaques.
« J’ai eu mon diagnostic il y a quelques années et je suis chanceuse de pouvoir encore utiliser mes jambes. C’est possible en raison des médicaments qui sont développés grâce à la recherche. »
Pour Mme Garcia, la recherche médicale pour des maladies comme la sclérose en plaques est primordiale. Au cours des dernières années, il y a eu tellement de progression dans la recherche que maintenant, les gens atteints de la sclérose en plaques peuvent espérer une vie un peu plus normale. »
Comment et à qui donner ?
Il est possible de contribuer à la CCMTDN en participant aux activités organisées dans les unités des garnisons Saint-Jean et Montréal. Il est également possible d’effectuer un don personnel. Il peut s’agir d’un versement unique ou d’un montant fixe, prélevé automatiquement sur 26 paies.
Peu importe la manière dont vous effectuez votre don, vous pourrez choisir à quel organisme il bénéficiera. Voici les trois choix qui s’offrent à vous :
• donner à PartenaireSanté qui regroupe 16 organisations comme la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC
• donner à Centraide du Grand Montréal (au tout autre Centraide au Canada) qui redistribue les fonds à différents organismes communautaires comme Famille à cœur
• donner à l’organisme de bienfaisance de votre choix, pourvu qu’il soit canadien et enregistré en vertu de la Loi de l’impôt sur le revenu.
La campagne se déroulera jusqu’au 6 décembre.
Qu’est-ce que la CCMTDN ?
Pour faire un don
Plus de 420 $ amassés
L’activité-bénéfice Café sur le pouce, tenue lors du lancement de la campagne le 10 septembre à la rotonde de la garnison Saint-Jean, a permis d’amasser 422,75 $. Elle était organisée par CANEX, la Financière SISIP et Desjardins Caisse des militaires.
Catherine Berthiaume, de CANEX, et Linda St-Hilaire, de Desjardins Caisse des militaires étaient présentes pour servir le café.
Photo : Cpl Zamir Muminiar – Imagerie Saint-Jean
Mélanie Choquette, officier d’administration et responsable de la CCMTDN à la garnison Saint-Jean, premier maître de 2 e classe Isabelle Allaire des Services au personnel du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada (GS 2 Div CA), Jessica Charland, directrice générale de la Colonie Sainte-Jeanne d’Arc, lieutenant-colonel Sylvain Pagé, commandant adjoint du GS 2 Div CA, capitaine Érick Marcoux, officier des opérations au Service des opérations du GS 2 Div CA, Andrea Veliz Garcia, représentante de SP Canada, Côme Bardi de Fourtou, représentant de Centraide et Marie-Pier Primeau, représentante PartenairesSanté.
Photo : Cpl Zamir Muminiar – Imagerie Saint-Jean
À la garnison Montréal, colonel Mathieu Dallaire, commandant du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada, a invité les membres de l’équipe de la Défense à faire preuve de générosité encore cette année.
Photo : Cpl Étienne Laflamme – QG 2 Div CA
Vos activités de collecte de fonds à venir
Vous aimeriez annoncer une activité de collecte de fonds ? Écrivez-nous à servir@forces.gc.ca
Friperie
D’ici le 12 octobre – Garnison Saint-Jean
Tout comme l’an dernier, les Programmes de soutien du personnel vendront des vêtements d’occasion pour enfants et adultes à la garnison Saint-Jean en novembre et les organisateurs collectent actuellement des articles. Les personnes intéressées à faire un don de vêtements peuvent les déposer à la boutique sports et plein air de la Méga pendant les heures d’ouverture. Les vêtements doivent être lavés et en bon état. Information : 450 358-7099 # 6020
Un tirage… à l’arc !
20 novembre – Garnison Saint-Jean
Le mercredi 20 novembre, l’équipe des loisirs vous propose un tirage nouveau genre. En échange d’un don de 5 $, vous obtiendrez cinq flèches pour crever des ballons contenant des chèques cadeaux pour la boutique sports et plein air. Le grand prix : la location de l’équipement de votre choix pour la période hivernale.
Les billets sont en vente à la réception du centre des sports. Information : 450 358-7099 # 6105.
Lunchez en compagnie du PSP Band
6 décembre – Garnison Saint-Jean
Le vendredi 6 décembre, le PSP Band vous donne rendez-vous au mess
O’Mega de la garnison Saint-Jean pour un dîner-concert de 11 h 30 à 13 h. Apportez votre lunch et venez chanter avec l’équipe des Programmes de soutien du personnel (PSP). Au programme, des chansons françaises et anglaises. Vous aurez même la possibilité de télécharger les paroles des chansons !
Réservez votre place en effectuant un don minimal de 5 $ à la réception du centre des sports de la garnison Saint-Jean à compter du 1er octobre. Information : 450 358-7099 # 602
Une première activité à Montréal
Le comité organisateur de la CCMTDN de la garnison Montréal a profité du lancement de la campagne pour tenir un kiosque de vente de café et de muffins. L’activité tenue au gymnase a permis d’amasser un montant de 120 $. Un premier tirage « moitié-moitié » a quant à lui permis de récolter 119 $.
Valeur de transfert : les options possibles
Vous visez une libération régulière et vous savez que vous n’aurez pas le nombre d’années de service donnant droit à une pension? Ma recommandation: une analyse réfléchie avant votre fin d’emploi. Vous devrez aussi faire les calculs et les projections de revenus. Réservez-vous le temps nécessaire pour considérer vos options et l’impact de vos choix. Ces décisions ne doivent pas se faire dans l’urgence.
Votre pension constituée, à laquelle vous avez droit lors de votre libération, comprend la part de votre pension payée par le gouvernement fédéral en votre nom et la part que vous avez vous-même cotisée. Cette pension est une composante notable de votre rémunération globale à titre de membre des Forces canadiennes et, même si vous ne comptez pas utiliser cet argent avant de nombreuses années, vous avez un choix important à faire concernant son placement.
En effet, vous pourriez être admissible à une pension différée, payable à un âge déterminé ou vous pouvez choisir une valeur de transfert. Chaque option comprend ses avantages et ses inconvénients
LA PENSION DIFFÉRÉE :
Votre pension reste dans le Régime de pension de la Force régulière et le gouvernement fédéral se charge de l’investir. Vous pouvez commencer à toucher votre pension à 60 ans sans réduction, ou dès l’âge de 50 ans avec
réduction. Important: gardez le contact avec les Forces afin qu’elles sachent comment vous joindre quand commencera le versement de votre pension.
LA VALEUR DE TRANSFERT :
Vous devez transférer une partie de l’argent dans un régime de retraite immobilisé. Cependant, de nouvelles règles permettent de débloquer une partie des fonds de la valeur de transfert. Vous prenez toutes les décisions de placement avec votre conseiller financier car le gouvernement fédéral n’est plus responsable de votre argent. Vous profitez donc de flexibilité dans les moyens d’encaisser vos placements. De plus, il pourrait être possible de transférer la valeur de votre pension dans le régime de retraite d’un autre employeur, si le transfert est permis. Chaque parcours de transition de carrière est différent, prenez le temps d’obtenir un accompagnement personnalisé de votre conseiller financier.
PATRICE BERGERON Directeur général
Photo : courtoisie
Une vente de café et muffins et un tirage moitié-moitié ont été tenus lors du lancement de la campagne à la garnison Montréal.
Photo : Cpl Étienne Laflamme – QG 2 Div CA
9 SEMAINES POUR DEVENIR MILITAIRES
1. Vie militaire
4. Maniement d’armes 7. CBRN
2. Exercice et tenue 5. Compétences militaires 8. Entraînement en campagne
6. Entraînement physique 9. Fin de cours
Les piliers d’entraînement
Conduite professionnelle et culture
Résilience
Condition physique
Compétences militaires
Chaque pilier a été nommé pour refléter les orientations stratégiques et les initiatives organisationnelles récentes sur le changement de culture, l’éthos militaire, la santé et le bien-être des membres, la prévention des blessures et l’engagement continu envers la croissance personnelle et professionnelle.
Adoptant les valeurs de diversité et d’inclusion, le programme reconnaît les candidats là où ils sont dans leur vie lors de leur inscription et leur fournit les ressources nécessaires pour devenir des membres efficaces des Forces armées canadiennes.
COMPÉTENCES MILITAIRES
Chaque semaine, le pilier des compétences militaires permet aux candidats d’apprendre des techniques qu’ils utiliseront tout au long de leur carrière, notamment le maniement d’armes avec la C7A2, les mouvements de l’exercice élémentaire (drill), les compétences d’autoprotection pour opérer dans un environnement chimique, biologique, radiologique et nucléaire (CBRN), les premiers soins, la réanimation cardio-respiratoire (RCR), la préparation de l’équipement militaire et la capacité à opérer dans un environnement austère.
Ces connaissances et compétences aideront les candidats à passer de la vie civile à la vie militaire. Ils auront les ressources et les habiletés de base pour réussir dans leurs prochaines phases de formation.
Photos : ELRFC
3. Premiers soins
L’exercice élémentaire, la drill , exige de la précision de la part des candidats et développe leur esprit d’équipe.
Semaine 6
S’entraîner intelligemment
Le programme d’entraînement physique est conçu pour développer la condition physique générale, la mobilité ainsi que la flexibilité tout en prévenant les blessures. Ce programme culmine à la semaine 6 avec l'évaluation Force. À la suite de cette évaluation décisive, les candidats reçoivent les outils nécessaires pour poursuivre leur entraînement de façon autonome.
Évaluation FORCE
Les candidats doivent réussir les quatre épreuves de leur évaluation FORCE pour poursuivre leur QMB. Ayant fait des entraînements pour s’y préparer au cours des cinq premières semaines, ils ont bâti la capacité d’atteindre les objectifs du test.
Examen de l’exercice élémentaire
Au cours de cette même semaine, les candidats se soumettront au test de l’exercice élémentaire (drill) qui évalue la précision individuelle et collective quant à la réponse aux mots de commandements, aux pauses réglementaires, à la longueur et à la cadence des pas, ainsi qu'aux saluts militaires.
Pour en savoir plus
Courses à obstacles
Ces courses permettent de développer résilience et endurance physique tout en favorisant le travail d’équipe. Sur les pistes de la garnison Saint-Jean et du site de Farnham, les candidats doivent entre autres escalader un mur de 1,8 mètre, grimper sur un filet situé à 6 mètres du sol et ramper sous une installation qui simule les fils barbelés.
Tous les membres des Forces armées canadiennes doivent se soumettre annuellement à l’évaluation FORCE qui compte quatre composantes : la course précipitée sur 20 mètres, le soulever des sacs de sable (20 kg), la course navette intermittente avec charge (sac de sable) et la traction de sacs de sable.
La course à obstacles apprend aux candidats à se dépasser individuellement tout en vivant une expérience terrain réaliste.
Fier de travailler à l’ELRFC
Le plaisir d’enseigner
Sergent Cyrus Chapman
Poste : instructeur
Année d’enrôlement : 2008
Sergent Cyrus Chapman a grandi dans les Maritimes, plus précisément dans la province de Terre-neuve. Une fois ses études terminées, il a décidé de s’enrôler dans les Forces armées canadiennes. « Je cherchais un bon travail dans lequel je pourrais faire une différence. »
Il y a quelques années, il a choisi de venir enseigner aux candidats de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC). « Je voulais transmettre mes apprentissages. Je souhaitais aussi inspirer les hommes et les femmes qui choisissent la carrière militaire. »
En plus de l’enseignement, le militaire adore aussi jaser avec ses étudiants sur différents sujets pour mieux les connaître. « Je les encourage aussi dans leurs efforts tout au long de leur passage chez nous. »
Selon lui, l’enseignement à l’ELRFC est riche parce que les instructeurs ont tous un bagage différent et ont eu l’opportunité de pratiquer leur métier dans diverses unités. « Chaque instructeur a sa propre personnalité et sa façon de former les candidats. C’est excellent parce que cela permet aux étudiants d’aller chercher différentes aptitudes et d’apprendre à travailler de diverses façons. »
Portrait de candidat
Fière de s’être enrôlée
Moya Pyziak
Âge : 25 ans
Futur métier : technicienne en structure d’aéronef
Moya Pyziak a grandi à Hamilton, en Ontario.
Elle a pensé pendant plusieurs années à s’enrôler dans les Forces armées canadiennes (FAC) avant de choisir de la faire et de s’orienter vers l’Aviation royale canadienne.
Elle soutient que ses parents ont réagi positivement à son choix de faire une carrière militaire. « Ils sont fiers de moi. Ils trouvent honorable de travailler pour les FAC qui ont pour mandat de protéger les valeurs canadiennes. »
Dès qu’elle a franchi les portes de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes, elle s’est sentie à sa place. « J’ai su tout de suite que j’avais fait le bon choix. »
Elle aime le mentorat qu’elle reçoit des instructeurs. « J’apprécie aussi l’esprit d’équipe qu’il y a entre mes frères et sœurs d’armes. Nous avons appris à nous connaître et nous nous soutenons entre nous. »
En bref
Ils donnent de leur temps pour aider les vétérans
| Yves LaBarre, vétéran
Le 24 août, sous un soleil radieux, l’Association des vétérans Royal 22e Régiment Saint-Jeansur-Richelieu a tenu son barrage routier annuel à l’intersection des rues Choquette et PierreCaisse à Saint-Jean. Grâce au dévouement de 18 bénévoles, l’activité a été un succès. Quelque 4 000 $ ont été recueillis, dont près de 30 % seront remis au Fonds du coquelicot de la Légion royale canadienne afin d’aider les vétérans et les membres de leurs familles à payer certains frais médicaux. Pensons par exemple aux frais de transport pour se rendre à des rendez-vous médicaux ou aux frais pour consulter un dentiste ou un podiatre.
Merci aux bénévoles, commanditaires et aux généreux donateurs. À l’an prochain !
Je me souviens
Des vétérans du R22eR festoient à Saint-Jean
| Yves LaBarre, vétéran
Le 20 août, l’Association des vétérans Royal 22e Régiment a tenu son barbecue annuel au Vieux Mess du Collège militaire royal de Saint-Jean. Le temps maussade n’a pas empêché la trentaine de participants de s’amuser et de profiter d’un succulent repas préparé et servi par la Corporation du Fort St-Jean. Le président de l’Association, Jean-Guy Bonneau, a annoncé les activités des mois à venir et invité les membres à y prendre part en grand nombre. Un merci particulier à Edward Potter-Mal pour l’organisation de ce barbecue.
Je me souviens
De gauche à droite, devant : Michel Hamann, Julie Guay, Bessie Bonneau, Sylvie Comeau, Roger Hétu, Frederick Lawrence, Lise Naud, Bernard Isabel et Pierre Roy. Derrière : Jean-Guy Bonneau, Roger Gauthier, Christian Munger, Daniel Comeau, Jacques Prud’Homme, Denis Naud, Réal Toutant et Yves LaBarre. Réal Migneault et Claudette Gauthier étaient absents au moment de la photo.
De gauche à droite : Réal Toutant, Lisette Toutant, Christiane Dufault, Gervaise Plouffe, André Charette et Richard Lemoine.
Photo : courtoisie
Photo : courtoisie
La ville de Kamloops se souvient
| Affaires publiques – MDN
Le jeudi 29 août, des membres des Forces armées canadiennes (FAC) se sont réunis à Kamloops pour l’inauguration d’un monument commémoratif en l’honneur de l’officière des affaires publiques des Snowbirds, capitaine Jennifer « Jenn » Casey, qui a perdu la vie le 17 mai 2020 dans un accident de CT-114 Tutor pendant l’opération INSPIRATION. Il s’agissait d’une mission entreprise pour donner de l’espoir aux Canadiens alors qu’ils étaient aux prises avec l’isolement et la souffrance pendant la pandémie de COVID-19.
Initiative de la Ville de Kamloops, le monument commémoratif en acier inoxydable, intitulé « May She Soar », a été conçu par l’artiste locale Sarah Holliday. Il illustre l’esprit d’un membre inspirant des FAC et encourage les Canadiens à poursuivre la mission de l’opération INSPIRATION, à laquelle la Capt Casey était si dévouée.
Le monument prend la forme d’un aéronef CT-114 Tutor formé de feuilles d’érable et soutenu par trois troncs d’arbres représentant les piliers de la collectivité qui se sont mobilisés après la tragédie : la Ville de Kamloops (ses citoyens, ses représentants, les premiers répondants, les travailleurs de la santé et la Première Nation Tk’emlups te Secwépemc), la ville natale de la capitaine Casey, Halifax, en Nouvelle-Écosse, et les FAC.
Vous êtes invité à faire un don de sang
Le 25 septembre, de 9 h à 15 h, une collecte de sang aura lieu à la rotonde de la garnison Saint-Jean. Les personnes intéressées doivent prendre rendez-vous auprès d’Héma-Québec. Rappelons que l’organisme livre chaque année plus de 800 000 produits biologiques d’origine humaine aux hôpitaux du Québec.
Information et rendez-vous : 1-800-343-7264
Photo : Cpl Raj Dhagat, Imagerie – 19 e Escadre
C’est la Festi-Fête à
la garnison Montréal
| Yves Bélanger, Servir
Le jeudi 19 septembre, de 9 h à 13 h, les militaires et les employés civils de la Défense (fonction publique et Fonds non publics) sont invités à la Festi-Fête des Programmes de soutien du personnel (PSP) à la garnison Montréal.
La Festi-Fête se veut une vitrine pour présenter les services offerts par les PSP. Les équipes de CANEX et des mess seront aussi sur place pour offrir des rafraîchissements et des collations.
Les gens obtiendront leur billet pour un repas gratuit en visitant les différents kiosques. Un service de traiteur sera sur place. Il y aura des brochettes de poulet et des brochettes végétariennes, cuites sur le BBQ, avec un choix de salades et un dessert.
Ce qui vous attend
De 9 h à 13 h
Point de départ : accueil du centre des sports
Repas servi entre 11 h et 13 h
• Défi parcours en vélo fat bike
• Défi sur Bosu
• Chamaillage dans les cerceaux
• Jeux de camping
• Défis sportifs
• Présentation programme Circonflexe
• Jeu Qui suis-je ?
• Jeu-questionnaire et tirage
• Dîner au mess Excalibur
Ils ont marché pour l’espoir
Le 10 septembre, dans le cadre de la Journée mondiale de la prévention du suicide, près de 130 personnes ont répondu à l’appel de l’équipe de la Promotion de la santé – Région Montréal et ont marché sur leur garnison.
L’activité a permis aux organisateurs de rappeler que le suicide est une cause évitable de décès et qu’il est essentiel de tisser des liens avec ceux qui nous entourent pour créer un filet de sécurité. « Si vous avez un collègue ou un voisin qui ne semble pas dans son assiette, prenez le temps de lui parler et de lui demander comment il va », a mentionné Étienne-David Fortin, gestionnaire intérimaire à la Promotion de la santé.
De son côté, le padre (capitaine) Medjiko Tchougboui a rappelé l’existence du programme Sentinelle. Ce réseau de soutien par les pairs est composé de membres de l’Équipe de la Défense, spécialement formés pour intervenir dans leur milieu de travail. Leur rôle consiste à faire de la prévention, à détecter et soutenir leurs collègues qui vivent de la détresse.
À la garnison Montréal, 85 personnes ont participé à l’activité et à la garnison Saint-Jean, elles étaient 42. Il s’agissait de la 22e édition de la Journée mondiale de la prévention du suicide, un événement souligné partout dans le monde.
Participez au concours d’imagerie des FAC 2024
Vous êtes photographe amateur ou professionnel et vous possédez la carte UneFC ? Vous avez jusqu’au 15 octobre pour envoyer vos trois meilleures photos ! Cette année, en plus des catégories vie de la communauté militaire, opérations militaires et fierté canadienne, les organisateurs ont ajouté votre force aérienne Il y aura une personne gagnante par catégorie et chaque gagnant recevra deux billets d’avion vers une destination desservie par WestJet (du Canada vers les États-Unis, le Mexique et Caraïbes).
À la garnison Montréal, 85 personnes ont pris part à l’activité.
Photo : Cpl Maxime Laflamme, Svc Tech GS 2 Div CA
La tradition se poursuit
Les 24 et 25 août a eu lieu la Fin de semaine des retrouvailles au Collège militaire royal de Saint-Jean (CMR Saint-Jean).
Encore une fois, diverses activités attendaient les participants pour renouer avec l’institution. Réservées aux élèves-officiers et aspirants de marine, aux anciens du CMR Saint-Jean, aux militaires, ainsi qu’aux membres de leur famille et leurs proches, ces retrouvailles annuelles sont l’occasion de se remémorer d’excellents souvenirs et d’aller à la rencontre de la nouvelle génération de candidats.
Au cours de cette fin de semaine, la Classe de 1974 a fait son entrée dans la Vieille Brigade. Inaugurée en 1950, la Vieille Brigade se compose des Anciens ayant un numéro de collège et dont l’entrée dans l’un des Collèges militaires royaux remonte à 50 ans ou plus.
Une remise au Fonds de la base
Le 10 septembre, des représentants de la Financière SISIP et de CANEX ont remis au Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada un montant de 209 356 $ destiné au Fonds de la base des régions Montréal/ Saint-Jean.
Cette somme correspond à une partie des profits générés par toutes les succursales de CANEX et de la Financière SISIP au Canada, deux divisions des Services de bien-être et moral des Forces canadiennes. « Le montant remis représente une hausse de 6 % comparativement à l’an passé », explique Isabelle Côté, conseillère financière à la Financière SISIP à la Garnison SaintJean. « J’en profite pour inviter les membres de la communauté militaire à continuer d’acheter leurs produits chez CANEX et SISIP, car une partie des profits leur revient directement sous forme de services pour eux et leur famille. »
Rappelons que le Fonds de la base est géré par le commandant du Service des opérations du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada. Il est constitué de fonds non publics et permet d’offrir différents services aux militaires, aux vétérans et à leur famille.
Photo : cpl Yongku Kang – Imagerie Saint-Jean
De gauche à droite : Isabelle Côté, conseillère financière, et Léa Meyobeme, planificatrice financière à la Financière SISIP, lieutenant-colonel Sylvain Pagé, commandant adjoint du Groupe de soutien de la 2 e Division du Canada, Josée Nadeau, gérante chez CANEX, première maître de 2 e classe Isabelle Allaire, adjudante-maître des services alimentaires, Michelle Couture-Montpetit, gestionnaire supérieure adjointe Programmes de soutien du personnel – Région Montréal, Catherine Berthiaume, superviseure de magasin CANEX.
Photo: CMR Saint-Jean
Soulignez la Journée nationale de vérité et réconciliation
Équipe D+ et sous-comité cultures autochtones
Dans la région, des cérémonies auront lieu à différents endroits afin de reconnaître les conséquences tragiques des pensionnats : les enfants disparus, les familles laissées derrière et les survivants de ces établissements. Ce sera aussi l’occasion de démontrer notre appui aux peuples autochtones et de témoigner de l’importance de la réconciliation.
Garnison Montréal
Le jeudi 26 septembre, le drapeau des survivants sera hissé sur le mât du Quartier général de la 2e Division du Canada à 10 h. Les bâtisses de la garnison seront illuminées en orange les 26 et 30 septembre, et le drapeau sera descendu le 30 septembre.
Garnison Saint-Jean
Le jeudi 26 septembre, une cérémonie aura lieu au Havre de paix où le drapeau des survivants sera hissé à 10 h. Les bâtisses de la garnison seront illuminées en orange les 26 et 30 septembre, et le drapeau sera descendu le 30 septembre.
Site de Saint-Hubert
Le jeudi 26 septembre, le drapeau des survivants sera hissé à 10 h sur le mât situé devant le M-70. Les bâtisses de la garnison seront illuminées en orange les 26 et 30 septembre, et le drapeau sera descendu le 30 septembre.
Portez le chandail orange
Entre les 26 et le 30 septembre, les employés civils de la Défense (fonction publique et Fonds non publics) sont invités à se vêtir d’un chandail de la couleur orange s’ils le souhaitent.
Les militaires (Forces régulière et de réserve) peuvent le porter avec leur uniforme, lors de leurs déplacements à destination. Ils peuvent le faire à l’intérieur des installations de la Défense et sur les lieux de leur travail, lorsque le contexte est non opérationnel (par exemple, il ne sera pas permis de le porter sur un champ de tir).
CANEX et les Services de bien-être et moral des Forces canadiennes proposent de nouveau cette année un t-shirt orange en édition limitée. C’est Una Ann, une artiste tahltan-tlingit, qui a créé l’œuvre qui l’orne. « Children Going Home »
Le Royal 22e Régiment célèbre ses 110 ans
L’année 2024 marque le 110e anniversaire du Régiment qui fut formé pour la première fois le 21 octobre 1914, sur le site du Collège militaire royal de Saint-Jean. Cet anniversaire sera célébré lors d’une soirée retrouvailles au Centre des congrès de Québec, le samedi 19 octobre. Cette soirée permettra aux militaires en service et retraités, réguliers ou réservistes, fantassins et musiciens, de se retrouver dans un seul et même endroit afin d’y partager un heureux moment.
Quand : samedi 19 octobre
Où : Centre des congrès de Québec
Pour qui : tous
Combien :
95 $/personne (taxes incluses) en table de 10 personnes (essayez de composer vous-mêmes votre table)
Code vestimentaire : tenue de ville décontractée (aucun jeans, mais les polos et chemises sans cravate sont acceptés)
Information : caporal Ugo Delisle au 581 888-4957
représente des enfants retournant chez eux, que ce soit auprès de leur famille ou de leurs ancêtres. À noter que cette année, des chandails pour enfants sont également vendus. Tous les profits seront versés au Centre national pour la vérité et la réconciliation.
Information : marcel.solocha2@forces.gc.ca
Pour en savoir plus sur Una Ann ou acheter un t-shirt
Près de 75 cadets obtiennent leurs ailes de pilote
au Centre d’entraînement des cadets St-Jean
| Capitaine Eric Messier, représentant des affaires publiques, CEC St-Jean
Le Centre d’entraînement des cadets de St-Jean (CEC St-Jean) a complété une saison estivale marquée par le 50 e anniversaire de sa fondation. Depuis 1974, les cohortes de cadets viennent y compléter leur formation de pilote d’avion et de pilote de planeur. Encore une fois cet été, des jeunes passionnés d’aviation y ont obtenu leur licence.
Cet été, 48 cadets ont complété leur formation de pilote de planeur et 26 cadets ont complété leur formation de pilote d’avion. C’est une belle récolte avec un taux de réussite de 100 % au premier essai à l’examen théorique de transport Canada. « Une belle réussite due à la qualité de l’instruction théorique donnée par nos instructeurs », explique le lieutenant-colonel Yves Harvey, commandant du CEC St-Jean.
La formation de pilote planeur comporte un volet de formation pratique qui s’appuie sur cinquante vols, dont vingt vols solos, qui doivent être réalisés par les cadets en vue l’obtention de la licence de pilote. Cette formation est exigeante du point de vue de la mise en pratique des connaissances, car les vols se succèdent à un rythme soutenu. Aussi, lorsqu’ils sont au sol, les cadets doivent courir jusqu’au site d’atterrissage des planeurs, les déplacer pour les aligner sur la piste en vue du prochain décollage et ceci, tout au long de la journée.
Afin d’être sélectionnés pour le cours de pilote de planeur, les cadets ont dû traverser plusieurs étapes. Le processus débute dès septembre avec l’inscription à une formation en ligne d’une durée d’environ
60 heures et qui se poursuit par un examen de sélection à la mi-janvier. Les cadets qui réussissent cet examen sont convoqués à une entrevue. Par la suite, une sélection finale des candidats est réalisée et celle-ci est basée sur les résultats académiques, le résultat de l’examen de sélection, le résultat de l’entrevue et de l’ensemble du dossier du cadet au sein de son unité.
Du rêve à la réussite
« J’ai toujours rêvé de devenir pilote et j’ai mis le temps nécessaire afin de bien me préparer. Durant le congé des Fêtes, alors que tout le monde était en pause, moi j’étudiais car je voulais réussir l’examen. Aujourd’hui, je suis très fier d’être en voie de compléter ma formation de pilote de planeur. » Ces propos du cadet Bardia Jamalifar, de l’Escadron 811 La Prairie, démontrent la motivation des cadets qui souhaitent participer à cette formation offerte gratuitement.
De son côté, la cadette Haika Ayotte, de l’Escadron 784 St-Vincent-de-Paul, explique : « Je rêve de devenir pilote. Voir des femmes qui sont pilotes dans des compagnies aériennes me permet de croire en mon rêve ». Elle a complété sa formation avec succès et s’est vu remettre ses ailes de pilote lors de la parade de fin de cours tenue au Collège militaire royal de Saint-Jean le 10 août 2024.
La sous-lieutenant Marie Taschereau, officière au sein de l’Escadron 620 Rotary à Beauport, a été instructeure de vol et il s’agissait de sa première expérience dans cette fonction. Auparavant, elle avait complété avec succès le cours de formation d’instructeur de pilote planeur.
Photos : Capt Eric Messier
Planeur sur le champ de vol de l’aéroport de Bromont durant la formation de pilote planeur de cet été.
Marie est pilote pour la compagnie aérienne Air
Inuit. Elle avait demandé et obtenu un congé à son employeur afin de venir enseigner le pilotage cet été au CEC St-Jean.
Pour plusieurs cadets, l’obtention des ailes de pilote et la réussite de ce cours ne sont que les débuts d’une longue aventure dans l’aviation. Certains reviendront l’année prochaine pour compléter le cours de pilote d’avion, d’autres seront présents sur les champs de vols cet automne afin de soutenir les activités de vol de familiarisation offertes aux cadets de l’air.
Le Programme des cadets offre aux jeunes de 12 à 18 ans des activités dynamiques qui favorisent la bonne forme physique dans un climat sûr et valorisant. C’est une organisation jeunesse gratuite, qui vise à développer chez les jeunes des qualités de civisme et de leadership, tout en faisant la promotion d’une bonne condition physique et du travail d’équipe.
La famille Khalil vous invite
aux activités du CRFM
| Ana-Maria Neagu, responsable des communications, CRFM – Région de Montréal et Servir
Dans le cadre de la Journée de reconnaissance des familles de militaires qui a eu lieu le 17 septembre, le Centre de ressources pour les familles de militaires (CRFM) –Région de Montréal a tenu à souligner l’implication de la famille de l’enseigne de vaisseau de 1 re classe Fadi Khalil.
Ens 1 Khalil habite Laval avec sa famille. Sa femme Nadine et lui sont parents de quatre enfants âgés de quatre à 12 ans. Ens 1 Khalil s’est enrôlé dans les Forces armées canadiennes il y a plus de six ans. Il est actuellement officier d’affaires publiques au Navire canadien de Sa Majesté Donnacona. Il a pris connaissance de l’existence du CRFM lors d’une présentation à son unité et en a discuté avec sa famille. « Devant l’offre des services pour tous les âges, nous avons décidé de participer aux différentes activités, malgré la distance », indique Nadine Khalil.
Elle soutient qu’elle et les siens passent toujours des moments privilégiés grâce au CRFM. « Il y en a pour tous les groupes d’âge. Avec le papa qui est souvent en déplacement, il est bon de se retrouver tous ensemble et auprès de nos amis. »
Mme Khalil précise que sa famille aime particulièrement la fête d’accueil à l’automne et le brunch de Noël. « Ces deux événements représentent des occasions de rassemblement au cours desquelles on peut se faire de
nouveaux amis parmi les familles militaires présentes. C’est devenu une tradition de se retrouver avec eux année après année. »
Elle termine en invitant les familles militaires à s’inscrire aux activités de l’automne.
« C’est une excellente façon de se familiariser avec les employés du CRFM et de briser la glace. »
Pour s’informer sur le Programme des cadets
Pour obtenir la programmation du CRFM
Le cadet Bardia Jamalifar lors de la cérémonie de remise des ailes de pilote au Collège militaire royal de Saint-Jean.
La cadette Haika Ayotte en préparation pour un vol.
Les PSP : toujours là pour vous !
L'équipe des Programmes de soutien du personnel de la région de Montréal offre une vaste gamme de services aux membres de la communauté militaire et aux citoyens. Profitez-en !
Empruntez des sacs de couchage d’hiver gratuitement
À la garnison Saint-Jean, le département des loisirs dispose désormais de 25 sacs de couchage d’hiver (- 18 degrés Celsius) grâce au programme Circonflexe prêt-pour-bouger. À compter du 15 octobre, il sera possible de les emprunter gratuitement en s’adressant au comptoir de la boutique sports et plein air de la garnison Saint-Jean.
Rappelons que les équipements du programme Circonflexe prêt-pour-bouger sont accessibles gratuitement à tous les résidents du Québec. La boutique sports et plein air de la garnison Saint-Jean agit comme point de service, mais continue à offrir en location ses différents équipements, moyennant des frais.
Consultez l’inventaire du Programme Circonflexe prêt-pour-bouger
Pour découvrir les équipements en location aux boutiques sports et plein air
Elle est maintenant en ligne !
La programmation d’automne des loisirs communautaires est maintenant disponible en ligne. Allez vite y découvrir les nouvelles activités offertes au Centre des sports de la garnison Saint-Jean.
Voici quelques activités
Boxe anglaise
Entraînement complet de boxe développant puissance, endurance, vitesse, agilité, réflexe et coordination. Venez améliorer votre condition physique tout en vous dépassant, et ce, sans contact.
Méditation guidée
Pour les personnes désireuses de retrouver la paix, le calme intérieur ou simplement prendre un moment pour soi. Explorez différentes méthodes de méditation et de visualisation afin d’apaiser le mental et le système nerveux.
Yoga
Venez participer aux séances de yoga du matin ou du midi ou essayez le yoga hatha, une pratique pour travailler la souplesse du corps, associée à des étirements pour dénouer les tensions accumulées.
Initiation au tir à l’arc intérieur
Testez votre calme, votre précision et votre instinct avec notre nouvel équipement de tir à l’arc.
Grappling
Apprenez les rudiments de ce sport de combat non violent, qui utilise uniquement des techniques de contrôle, de projection, d’immobilisation et de soumission. Vous améliorerez votre confiance en soi, votre maîtrise de vous-même et l’acceptation de l’échec.
La programmation contient une foule d’activités plein air. Allez les découvrir aux pages 37 et 38 de Servir !
Numérisez le code QR pour accéder aux différentes plateformes des PSP !
Consultez la programmation
Consultez-la AUTOMNE 2024
Nos équipes des Patriotes s’inclinent
au Championnat régional de
balle lente des Forces canadiennes
| Sports militaires
Les équipes féminine et masculine des Patriotes sont revenues bredouilles du Championnat régional de balle lente des Forces canadiennes qui a eu lieu à la base de Bagotville du 4 au 7 août. Cette année, ce sont les équipes féminine et masculine de la Base Valcartier qui ont remporté la victoire.
Bien qu’elles se soient très bien défendues, nos équipes se sont inclinées face à leurs adversaires en demi-finale. Bravo aux joueuses et joueurs qui ont encore une fois donné leur maximum au cours de ce championnat.
Photos : Imagerie Bagotville
À l’arrière : adjudant David Matteau, caporal Francis Thériault, sergent Samuel Desjardins, matelot de 1re classe Justin Trévail, soldat Félix-Antoine Saint-Louis, caporal-chef Jorge Cardona Paiz, et adjudant Christian Raymond. À l’avant : caporal Bruno Ringuette, caporal Simon Rouillard, caporal Danny Leblanc-Potvin, caporal Danny Carroll et sergent Nathaniel Jutras.
À l’arrière : adjudant Christian Raymond, entraîneur, sergente Mélanie Wilson, caporale-chef Marie-Jade Doire, sergente Kathleen Lavoie-Richard, soldate Stéphanie Sicotte, Vanessa Mc Alpine, coordonnatrice des sports militaires des PSP – Région Montréal, capitaine Joanie Piette, soldate Elizabeth Rehel, lieutenante Méli-Claude Turcotte et sergent Samuel Desjardins, entraîneur. À l'avant : adjudante Korina Verreault, caporale Andréa Vachon-Turcotte, caporale-chef Andrée-Anne Rochette, caporale Carol-Anne Rochette, caporale Noémie Rioux, sergente-maître Caitlin Workman.
Course de l’Armée :
obtenez un remboursement
Les militaires et les membres de leur famille qui prendront part à la Course de l’armée du Canada (Army run), en personne ou virtuellement, sont admissibles à un remboursement de leurs frais d’inscription par le comité de direction des Biens non publics - région Montréal. Le montant sera déterminé en fonction du nombre de personnes ayant soumis une demande d’ici au 30 novembre 2024.
Les personnes suivantes sont éligibles :
• Les militaires à temps plein (Force régulière et Réserve)
• Les militaires de classe A (doivent être détenteurs d’une carte PSP)
• Un membre de la famille immédiate d’un militaire admissible (cette personne doit être détentrice d’une carte PSP et présenter une preuve de résidence)
Pour obtenir toutes les informations
Activités plein air et prêt d’équipement gratuits
en profiterez-vous ?
| Yves Bélanger, Servir
Au cours des derniers mois, le département des loisirs de la garnison Saint-Jean s’est associé au programme Circonflexe prêt-pour-bouger du ministère de l’Éducation, du Sport, du Loisir et du Plein air. Pierre Desmarteaux, gestionnaire du département des loisirs de la garnison Saint-Jean, explique cette nouveauté.
« L’objectif du programme Circonflexe prêt-pour-bouger est de rendre les activités de plein air plus accessibles aux Québécois », mentionne M. Desmarteaux. Il y a des points de service un peu partout dans la province où les citoyens peuvent emprunter gratuitement des équipements de plein air. « Grâce à une subvention du gouvernement provincial, le centre des sports de la garnison Saint-Jean dispose maintenant d’une panoplie d’équipements de sports et de plein air, accessible à tous. »
« Nous pouvons prêter des équipements pour pratiquer divers sports et faire du camping. Les articles sont prêtés aux citoyens pour de courtes périodes (un à trois jours). Les groupes organisés, comme les écoles et les scouts, peuvent les emprunter pour de plus longues périodes (entre un jour et une semaine) », précise M. Desmarteaux. « Pour découvrir ce qui est en location, il faut consulter l’inventaire du Programme Circonflexe prêt-pour-bouger sur notre site internet. »
Des activités gratuites pour les résidents de la Montérégie
En Montérégie, c’est l’organisme Loisir et Sport Montérégie (LSM) qui coordonne le programme Circonflexe prêt-pour-bouger. « Dans un souci d’innovation, LSM nous permet d’utiliser une partie du budget pour organiser des activités gratuites pour les citoyens de la Montérégie. Elles ont habituellement lieu la fin de fin de semaine et c’est un de nos spécialistes plein air qui les anime. L’objectif est d’initier les participants aux différentes techniques et pratiques plein air. »
M. Desmarteaux indique que les activités plein air sont incluses dans la programmation d’automne des loisirs de la garnison Saint-Jean. La plupart sont ouvertes à tous les membres de la famille et certaines sont réservées aux adultes. « Elles sont faciles à identifier, car nous avons ajouté le logo du programme Circonflexe prêt-pour-bouger à côté de chacune d’elles. Dans tous les cas, si des équipements sont nécessaires pour pratiquer l’activité, ils sont fournis gratuitement eux aussi. »
Un programme qui profite à toute la communauté militaire
Pierre Desmarteaux est fier que la garnison Saint-Jean soit devenue un point de service, car cela a permis au département des loisirs de bonifier son offre d’activités plein air. « Le programme Circonflexe prêt-pour-bouger nous donne l’opportunité d’offrir des activités plus variées et en plus grand nombre. Cela est avantageux pour les membres de la communauté militaire, car même s’ils ne résident pas en Montérégie, ils peuvent quand même y participer moyennant des frais raisonnables. »
En terminant, M. Desmarteaux rappelle que la boutique sports et plein air de la garnison Saint-Jean continue à offrir des locations, comme elle l’a toujours fait. « Disons que nous avons maintenant deux inventaires à partir desquels nous pouvons répondre aux besoins des gens ! »
Consultez la programmation automne de la garnison Saint-Jean
Consultez l’inventaire du Programme Circonflexe prêt-pour-bouger
Découvrez Circonflexe prêt-pour-bouger
Photo : Yves Bélanger
Pierre Desmarteaux est gestionnaire des Loisirs communautaires à la garnison Saint-Jean.
Les activités
qui vous attendent cet automne
Voici les activités que les Loisirs communautaires de la garnison Saint-Jean offriront cet automne. Il y en a pour tous les goûts et elles s’adressent autant aux personnes seules qu’aux couples ou aux familles.
Comme mentionné dans l’article de la page précédente, grâce au programme Circonflexe-prêt-pour-bouger, les résidents de la Montérégie peuvent y participer gratuitement (veuillez prendre note qu’une preuve de résidence est exigée lors de l’activité).
Randonnée pédestre et cueillette de pommes
Randonnée pédestre sur le mont Saint-Hilaire suivie d’une visite dans un verger à proximité pour une petite récolte autonome de pommes. Nos deux guides vous proposeront deux parcours : un plus difficile donnant accès au sommet de la montagne et un autre plus facile.
Date : dimanche 29 septembre, 10 h
Durée : 5 h
Lieu : Centre de la Nature Mont Saint-Hilaire, Mont-Saint-Hilaire
Clientèle : pour tous
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 6 $
• autres : 12 $
Inscription : avant le 24 septembre À noter :
• les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité
• bâtons de marche et guêtres fournis
• apportez votre lunch, le dîner aura lieu dans la montagne
Randonnée et dégustation de cidre
Randonnée pédestre au pied du mont Rougemont, suivi d’une dégustation et d’une présentation sur l’alcool de pomme.
Date : dimanche 6 octobre, 10 h
Durée : 5 h
Lieu : Cidrerie Michel Jodoin, Rougemont
Clientèle : 18 ans et +
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 10 $
• autres : 20 $
Inscription : avant le 27 septembre À noter :
• les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité
• bâtons de marche et guêtres fournis
• apportez votre lunch, le dîner aura lieu pendant la randonnée
Soirée légende et conte autour du feu
Soirée autour d’un feu pour déguster des collations de camping (guimauves et saucisses sur bâtons de bois) et partager des contes et légendes. Peurs et phobies non incluses !
Date : samedi 19 octobre, 19 h
Durée : 2 h
Lieu : Centre de plein air l’Estacade, Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix
Clientèle : pour tous
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 5 $
• autres : 10 $
Inscription : avant le 14 octobre À noter :
• les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité
Tarifs et inscription
Tarifs et inscription
Tarifs et inscription
Randonnée nocturne
Randonnée à la noirceur de 4,5 km sur la passerelle d’un marais. Les étoiles, la lune et quelques lampes frontales vous guideront. Notre guide sera là pour vous aider.
Date : samedi 26 octobre, 19 h
Durée : 2 h
Lieu : Sentier de la nature, Venise-en-Québec
Clientèle : 13 ans et plus
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 5 $
• autres : 10 $
Inscription : avant le 21 octobre
À noter :
• les participants doivent se rendre par euxmêmes à l’activité
• bâtons de marche et guêtres fournis
Tarifs et inscription
Introduction au géocaching
Micro formation sur l’orientation et l’utilisation d’une carte pour chercher divers objets cachés. Redécouvrez le plaisir d’une chasse au trésor !
Date : samedi 9 novembre, 13 h
Durée : 3 h
Lieu : Érablière Charbonneau, Mont-Saint-Grégoire
Clientèle : pour tous
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 5 $
• autres : 10 $
Inscription : avant le 1 er novembre
À noter :
• les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité
• boussole et carte fournies
Initiation au tir à l’arc intérieur
Venez tester votre calme, votre précision et votre instinct avec notre nouvel équipement de tir à l’arc.
Dates : samedi 16 novembre et samedi 7 décembre, 13 h
Durée : 3 h
Lieu : Centre des sports de la Garnison
Saint-Jean
Clientèle : 10 ans et +
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 5 $
• autres : 10 $
Inscription : avant le 12 novembre (pour le 16 novembre) et avant le 29 novembre (pour le 7 décembre)
À noter :
• les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité
Tarifs et inscription
Tarifs et inscription
Sortie en fatbike
Activités d’initiation au fatbike. Randonnée sur la piste cyclable du Lieu historique du Canal-Chambly.
Date : samedi 23 novembre, 12 h 30
Durée : 3 h
Lieu : Centre de plein air Ronald-Beauregard, Saint-Jean-sur-Richelieu
Clientèle : 13 ans et +
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 8 $
• autres : 16 $
Inscription : avant le 19 novembre
À noter :
• les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité
• si vous avez votre fatbike, vous pouvez vous joindre à l’activité gratuitement
• les fatbikes (7) et les casques sont fournis, mais vous devez avoir un dégagement de 27 pouces, du sol à l’entrejambe.
Initiation à l’escalade intérieure
Activité d’initiation à l’escalade intérieure. Venez tester notre mur d’escalade en moulinette, en premier de cordée ou simplement en bloc.
Dates : samedi 30 novembre et samedi 14 décembre, 13 h
Durée : 3 h
Lieu : Centre des sports de la Garnison Saint-Jean, Saint-Jean-surRichelieu
DÉCOUVREZ
NOS ACTIVITÉS PLEIN AIR EN COURS ET À VENIR!
Clientèle : 5 ans et +
Coûts :
• citoyens de la Montérégie : gratuit
• non-citoyens de la Montérégie :
• détenteurs de la carte PSP plein air ou illimitée : gratuit
• détenteurs de la carte PSP classique : 5 $
• autres : 10 $
Inscription : avant le 22 novembre (pour le 30 novembre) et avant le 6 décembre (pour le 14 décembre)
Coûts :
• les participants doivent se rendre par eux-mêmes à l’activité