e r u t l u C t Art e
PHILOSOPHIE GRECQUE VS PENSÉE JUIVE
Deux époques bien distinctes ont marqué le peuple grec ; le temps de la mythologie, incluant toutes sortes de superstitions et de croyances et le temps de la réflexion et de la science. Découvrons comment les grecs de l'antiquité sont passés d’une époque de superstition et de mythologie à un temps de développement philosophique et mathématique.
Tout ce que je sais, c’est que sophes grecs des philosophes je ne sais rien ! », Socrate actuels, il faut bien comprendre que pendant la Grèce « Je sais, je sais qu’on ne Antique, le titre de philosophe sait jamais », Jean Gabin était donné à celui que l’on appelle un scientifique. Donc un philosophe était non pas au Mont Sinaï à 3 millions de celui qui enseigne la philosophie juifs en même temps. La logique mais, tout simplement, toutes grecque se définit ainsi: Thèse les sortes de sciences. Socrate, – Antithèse – Synthèse. L’étude Platon ou Aristote sont des phi- de la Torah va à l’ encontre de losophes car ils sont aussi ce système. des scientipas ntre ces deux périodes, un évé- fiques. La dis- « Connais-toi toi-même », Iln é cn’est e s s a ire nement important se produisit. Lors du tinction entre de retrouver Socrate retour des juifs de Babylone en Israël, philosophie et la synthèse après le premier exil qui avait duré 70 science date en passant par la thèse et l’anans (vers - 450), les dirigeants, dont de la fin du XVIIIème siècle, le tithèse puisque nous déjà certains étaient des prophètes, se réu- Siècle des Lumières. De nos obtenu la synthèse avons depuis la nissaient dans la grande assemblée jours, les sujets philosophiques, révélation divine du Mont Sinaï. « Knesset Haguédola ». Ils déci- beaucoup plus centrés sur des dèrent d’enrayer la partie irrationnelle questions que l’être humain se Propos de Rav Reuven Baubot, de l’idolâtrie qui nous a fait tant de pose à lui-même, nous poussent adaptés par Fréquence Juive. mal. Autrement dit, ils cherchèrent à à réfléchir sur le comportement appliquer les règles de la Torah en sup- à adopter en tant que juif. primant le côté irrationnel du mauvais La différence entre la philopenchant. Et ils réussirent ! Dans le sophie grecque et la pensée monde entier cette partie juive, est irrationnelle que pour les a disparu. israélites, la « La première clé de la Et CHEZ réflexion a un é LES GRECS grandeur est d’être en réalit but pratique. », AUSSI! C’est à re êt Par exemple, s on bl sem ce moment là ce que nous retrouver Socrate que ceux-ci se des halakhot sont intéressés perdues - à cause de l’exil à la philosophie, aux mathématiques ou d’un deuil. Ainsi pendant et aux sciences. le deuil de Moche où les juifs Le plus grand parmi eux, est le premier n’ont pas étudié pendant 30 philosophe de cette époque : Socrate. jours, 3000 halakhot ont été oubliées, on a dû les retrouver en utilisant notre logique. Il est à noter que la Torah n’est pas une réflexion philosophique, car elle n’introduit pas de doute. our savoir distinguer les philo- C’est une transmission révélée
De la mythologie à la philosophie et à la science
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Philosophie, science & Torah
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