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Le 11 janvier 2023, AXXON a donné le coup d’envoi avec son audition devant la Commission de la Santé et de l’Égalité des chances de la Chambre fédérale. Presque tous les députés présents ont été convaincus qu’il faut changer la mesure discriminatoire selon laquelle les patients sont remboursés 25% de moins s’ils consultent certains prestataires de soins de santé déconventionnés. Pour la plupart des représentants du peuple, la garantie tarifaire (“Comment pouvons-nous protéger le patien?”) et le renforcement du taux de conventionnement sont nécessaires.
Pour AXXON, il est clair qu’un kinésithérapeute adhèrera à un accord tarifaire si :
les honoraires sont équitables (un réajustement est nécessaire de toute urgence);
une indemnité de déplacement correcte est prévue (en harmonisation avec les autres prestataires de soins de santé);
une réduction de la charge administrative est obtenue par une numérisation accélérée;
une nomenclature moderne qui tient compte des dernières preuves scientifiques entre en vigueur;
les avantages sociaux INAMI, la prime télématique et la prime qualité (toutes deux n’ont jamais été indexées) sont revalorisés.
Vous trouverez un compte-rendu détaillé de l’audition dans cet AXXON Magazine
Le 18 janvier, la séance inaugurale de la Commission fédérale de contrôle a eu lieu en présence du ministre Frank Vandenbroucke. En plus de reprendre les tâches des anciennes commissions médicales provinciales, cet organe veillera à ce que la “loi sur les droits des patients” soit respectée et appliquée. Il existe également la possibilité de créer des groupes de travail au sein de cette Commission de contrôle. AXXON prendra donc des mesures pour y mettre en place un organe
jour et déjà largement revu sur le plan juridique avec nos avocats. L’objectif est de faire passer cette proposition d’amendement législatif sur la table du gouvernement par l’intermédiaire d’un député de la Commission de la Santé et de l’Égalité des chances. Étant donné que des projets de loi visant à modifier la loi coordonnée sont actuellement toujours en préparation (“Assistant de pratique médicale en première ligne”), cette proposition de modification de la loi semble être le moment idéal.
En collaboration avec le Conseil Fédéral de la Kinésithérapie, AXXON prépare des avis sur les décrets ministériels de qualifications professionnelles particulières en kinésithérapie pour les problèmes de santé mentale, pour les personnes âgées et en kinésithérapie sportive. Ce sera un défi de convaincre le ministre de tutelle concerné de publier effectivement les décrets ministériels.
disciplinaire autorégulateur pour superviser l’application des règles de conduite des kinésithérapeutes. Cet organe déontologique sera en mesure de collecter des données sur les dispensations et les prestataires de soins de kinésithérapie et, sur cette base, d’orienter le domaine vers une pratique juridiquement correcte et evidence-based.
AXXON prépare une proposition visant à modifier l’article 43 de la loi coordonnée relative à l’exercice des professions des soins de santé (la LEPS). AXXON est convaincue qu’une représentation correcte de nos pouvoirs juridiques est l’une des clés de l’indispensable revalorisation de notre profession. La proposition est basée sur l’avis de 2017 du Conseil Fédéral de la Kinésithérapie, mis à
Au cours du premier semestre, la Commission de convention sera pleinement engagée dans une méthodologie de mesures de soins appropriés. Les ressources potentiellement libérées peuvent être utilisées de manière 100% efficace dans le secteur.
En outre, le Conseil Technique de la Kinésithérapie continue à travailler intensivement à l’élaboration d’une nouvelle nomenclature, incluant les compétences du kinésithérapeute en 2025, la prévention et les séances de groupe.
Comme vous pouvez le constater, les employés et les administrateurs d’AXXON ne resteront pas inactifs en 2023. Nous espérons pouvoir compter sur votre large soutien !
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06 08 19
AXXON EN ACTION
Grâce aux cercles, arrêtons de tourner en rond !
AXXON EN ACTION
AXXON a convaincu la Chambre, mais...
L’ABCIG Kinésithérapie fasciale
AXXON
20 26
AXXON EN ACTION
Il n’y a pas tant de différences entre AXXON et Ostéopathie.be
EXXPERT
Ce mois-ci dans AXXON Exclusif
EDITEUR RESPONSABLE
PETER BRUYNOOGHE
IMPERIASTRAAT 16 – 1930 ZAVENTEM RÉDACTION & COPYWRITING
SÉBASTIEN KOSZULAP & HELENA D.MILONAS REDACTION@AXXON.BE TRADUCTION
EMILY VAN COOLPUT CONCEPT ET RÉALISATION
C3CREATIES IMPRESSION
SYMETA-HYBRID
28 30
ADRESSE DE CORRESPONDANCE
AXXON
IMPERIASTRAAT 16
1930 ZAVENTEM
TÉL : 02/709 70 80 WWW.AXXON.BE NUMÉRO
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Vos avantages en tant que membre d’AXXON
Vous recevez cette revue en fonction du nom et de l’adresse qui se trouvent dans notre base de données. Suite à la mise en application de la loi du 8 décembre 1992 sur la protection de la vie privée, vous avez la possibilité et le droit de modifier vos données. Les articles/publicités paraissent sous la responsabilité des auteurs/firmes. AXXON se réserve le droit de refuser des textes et/ou publicités qui pourraient nuire à la profession. © Tout texte ou partie de texte ne peut être copié, photocopié, quelle qu’en soit l’utilisation sans l’autorisation écrite de l’éditeur.
L’un des projets majeurs que mènera AXXON Qualité en Kinésithérapie en 2023 sera la création de cercles de kinésithérapie dans la partie francophone du pays.
Comme nous l’avons déjà évoqué dans de précédentes parutions, mieux structurer la kinésithérapie en Wallonie et à Bruxelles, où le concept de « cercle régional » est inexistant actuellement, est une évolution indispensable.
La loi qualité, active depuis janvier 2022 mais en attente de certains arrêtés d’exécution, mentionne en son article 21 que « […] Le médecin, l’infirmier, le dentiste, la sage-femme, le pharmacien, le kinésithérapeute, le psychologue clinique et l’orthopédagogue clinique doivent, lorsqu’une permanence est organisée pour leur profession, y participer et le mentionner dans leur portfolio. ». Le Roi doit encore définir cette permanence, mais comment le kinésithérapeute pourra réaliser cela sans une structuration adéquate du terrain ?!
Quels intérêts pour les kinésithérapeutes ?
L’évolution épidémiologique et démographique de la population impliquera pour les kinésithérapeutes de travailler davantage de manière intégrée, entre eux ainsi qu’avec les autres acteurs des soins1
Par ailleurs, l’évolution de l’organisation du système de soins de santé se fera sur base de diagnostics territoriaux pour une meilleure efficience, vers une approche de santé populationnelle mettant l’accent sur la prévention, les déterminants de la santé et l’équité en matière de santé1
Un réseau de cercles fortement développé est dès lors nécessaire, non seulement pour répondre à ces futurs enjeux mais aussi pour une collaboration efficace avec l’association professionnelle : AXXON a besoin des retours du terrain pour orienter sa politique
Les médecins ou encore les pharmaciens sont d’ailleurs demandeurs d’un meilleur échange d’informations et de plus de transversalité entre nos différents secteurs. Ce qui passe donc dans un premier temps par une meilleure structuration de notre profession, à laquelle les kinésithérapeutes semblent malheureusement ne pas répondre présents alors que les échanges émanant des rencontres provinciales organisées ces derniers mois par AXXON indiquaient le contraire.
Qu’est-ce qu’un cercle de kinésithérapie ?
Un cercle de kinésithérapie est un groupement local (asbl ou association de fait) rassemblant les kinésithérapeutes d’une même zone géographique (zones calquées sur celles des médecins) afin de favoriser les échanges entre consœurs et confrères, d’organiser des rencontres et des conférences, de mettre en place un système de garde et de remplacement, etc. Le but ultime étant l’intégration interdisciplinaire des kinésithérapeutes parmi les autres acteurs de l’accompagnement et des soins, au bénéfice de la population.
Une cohérence entre les actions et communications au niveau local et la politique menée par AXXON est indispensable. Chaque cercle sera en contact permanent avec l’association professionnelle et pourra ainsi facilement lui transmettre le ressenti, les envies et les besoins des acteurs de terrain, de manière à ce que la défense de la profession soit optimale et que des cas concrets puissent facilement être présentés lors des discussions avec le monde politique. À l’inverse, les cercles permettront de diffuser au mieux les informations officielles communiquées par AXXON à un maximum de kinésithérapeutes de terrain.
Comment faire pour créer un cercle ?
Afin d’assister les kinésithérapeutes qui souhaitent créer un cercle de kinésithérapie, AXXON s’engage à fournir un soutien logistique à ceux qui en font la demande et à échanger des conseils et des expériences sur les questions administratives et sur la réalisation des objectifs.
Une convention de partenariat claire et simple sera ensuite établie entre AXXON et le cercle, pour déterminer les devoirs et actions des deux partenaires. Cette convention aura pour but d’assurer la meilleure collaboration possible, afin de promouvoir les intérêts locaux des kinésithérapeutes dans les futurs territoires de première ligne et les intérêts des kinésithérapeutes en général. De cette façon, le cercle et l’association professionnelle contribueront à orienter la politique régionale et nationale
Conclusion
La kinésithérapie doit absolument se structurer dans la partie francophone du pays, ceci afin de mieux se faire connaître ou reconnaître aussi bien de nos partenaires du monde de la santé que de la population en général.
AXXON Qualité en Kinésithérapie a officiellement lancé le 19 janvier dernier les projets pilotes de constitution de cercles avec les partenaires déjà identifiés. Nous espérons que cette dynamique portera ses fruits et que le développement de nos structures se fera au meilleur profit des kinésithérapeutes souvent bien isolés sur le terrain, tant par rapport à leurs confrères que par rapport aux autres acteurs du domaine de la santé, sans oublier nos patients à qui nous devons offrir la meilleure qualité de soins possible.
Contactez-nous sans plus attendre : l’avenir de notre profession est entièrement entre nos mains !
cercles@axxon.be
02/709.70.80
Références
1. Rapport KCE 359Bs, Vers des soins (plus) intégrés en Belgique, 2022
« AXXON a besoin des retours du terrain pour orienter sa politique. »
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Audition dans le cadre de la pétition en faveur de la suppression d’une mesure discriminatoire vis-à-vis des patients (modification de l’article 49, §7 de la loi coordonnée du 14 juillet 1994 relative à l’assurance obligatoire soins de santé et indemnités)
Le 11 janvier, AXXON a enfin été entendue par la Commission de la Santé et de l’Égalité des Chances, où elle est allée défendre les nombreux patients qui touchent injustement un remboursement réduit de 25 % lorsqu’ils font appel à certains groupes de prestataires déconventionnés.
Avec son exposé étayé par des arguments juridiques extrêmement solides, Peter Bruynooghe, notre président, n’a guère laissé de place à l’interprétation de la loi, comme l’a d’ailleurs confirmé la discussion qui a suivi.
Luk Dieleman a ensuite renseigné les députés sur les économies réalisées chaque année grâce à cette fameuse « règle des 25 % » au travers non seulement de l’argent que les autorités vont puiser dans les poches des patients, mais aussi de la diminution des dépenses de l’INAMI en avantages sociaux et en primes télématiques sous l’effet du nombre croissant de déconventionnements.
Chacun des députés présents a ensuite eu l’occasion d’exprimer sa position et de poser ses questions.
Madame Gijbels (N-VA) a exprimé son soutien à AXXON, tout en soulignant qu’il faudra une majorité parlementaire pour faire changer les choses. Elle a donc interpelé les membres de la majorité actuelle en leur demandant quelles sont les autres possibilités qui existent sur le plan juridique. Elle a également insisté
sur les preuves scientifiques de plus en plus nombreuses confirmant l’importance de la kinésithérapie, en ce compris au niveau de son rôle dans la prévention, qui pourrait générer des économies considérables pour l’assurance maladie.
Madame Pisman (Groen/Ecolo) semblait un peu moins bien informée concernant les mécanismes d’indexation. Elle était par contre consciente que les taux de déconventionnement varient parfois sensiblement d’une région à l’autre, ce qui peut compromettre le libre choix du prestataire par les patients. Elle s’est toutefois surtout étonnée que l’auditeur du Conseil d’État n’ait toujours pas rendu d’avis sur la question.
Madame Sneppe (VB) a posé une série de questions tout à fait pertinentes concernant notre représentation au Comité de l’assurance et concernant la discrimination qui existe à l’heure actuelle entre les médecins/dentistes et les prestataires « paramédicaux » (dont nous ne faisons plus partie depuis la loi sur l’exercice de la kinésithérapie).
Madame Taquin (MR) a confirmé dans sa brève intervention que la solution est entre les mains de notre ministre de tutelle.
Monsieur Verherstraeten (CD&V) a réitéré la position de son parti (en faveur de la levée de cette mesure discriminatoire) et demandé à ses anciens partenaires de coalition d’approuver l’entrée en vigueur de la loi. Il a toutefois aussi souligné sa loyauté vis-à-vis de la majorité actuelle. En tant que juriste, il a souligné que le pouvoir exécutif (le Conseil des Ministres) commet une faute juridique en omettant de mettre la loi à exécution
Monsieur Decaluwé (Open Vld) a observé que c’est le ministre Vandenbroucke qui est responsable de l’exécution de la loi, pas le Premier Ministre.
Madame Vanpeborgh (Vooruit) a réagi aux arguments en faveur de l’exécution de l’art. 87 et posé une série de questions, en s’efforçant de mettre en avant un certain nombre de priorités.
Il était évident que madame Vanpeborgh ne pouvait pas lâcher « son » ministre en Commission de la Chambre, ce qui explique pourquoi elle a aussi sondé nos contrearguments pour la suppression de la règle des 25 %.
Madame Fonck (Les Engagés) a témoigné d’une connaissance approfondie du dossier et n’a pas hésité à clamer haut et fort que le gouvernement se sert dans les poches des patients tout en essayant de rejeter la faute sur les kinésithérapeutes. Elle a également
dénoncé la responsabilité du ministre dans la baisse du taux de conventionnement, ainsi que la possible crise de confiance vis-à-vis des autorités sous l’effet des promesses non tenues. Elle a par ailleurs souligné (à raison) combien il était important de garantir la sécurité tarifaire pour les patients.
Enfin, elle s’est arrêtée sur ce qui constitue finalement l’essence de notre demande d’être entendus : qu’est-il possible de faire dans ce dossier sur le plan politique ? En 2019, elle a introduit des amendements faisant référence à un AR que le ministre refuse d’exécuter. En juin 2021, le parlement a une nouvelle fois laissé passer une occasion de lever la règle discriminatoire lors des débats sur l’adaptation de la Loi qualité. Catherine Fonck a donc l’intention de faire remettre le plus rapidement possible à l’agenda de cette commission sa proposition déposée en octobre 2021 avec le soutien de la N-VA et du CD&V, et a appelé les autres membres à ne pas laisser passer cette troisième chance.
Monsieur Warmoes (PvdA), président de la commission, a ensuite repris brièvement la parole pour exprimer le soutien de son parti à notre demande, comme l’ont fait presque tous les autres députés.
Soulignons encore que tous les intervenants sans exception ont aussi sondé les moyens de booster le taux d’adhésion à la convention, les contre-arguments à la menace d’un déconventionnement massif, les possibilités qui existent pour protéger les patients de manière optimale et l’ampleur de la problématique
chez les logopèdes et sages-femmes. Nous avons saisi l’occasion de répondre à ces interrogations, ce qui nous a permis de faire passer notre message concernant non seulement la règle des 25 %, mais aussi une série de problématiques connexes.
Les députés nous ont manifesté leur soutien explicite et nous ont invité à poursuivre une collaboration ouverte. Nous ne devons pas hésiter à reprendre contact autour de cette thématique spécifique ou de toute autre question touchant à la kinésithérapie.
Deux semaines plus tard, malgré les déclarations précédentes, la majorité a agi en bloc et a refusé d’abolir la règle des 25%. La conclusion de M. Warmoes lors de l’audition a donc été confirmée, mais dans le mauvais sens : le parlement a le pouvoir d’abolir cette discrimination si la majorité le décide La majorité actuelle a choisi de suivre servilement le ministre Vandenbroucke, qui a clairement indiqué tant dans les débats politiques que dans les médias qu’il n’avait aucune intention d’approuver le projet de loi
Gembloux : septembre 2023.
Villeneuve d’Ascq (Tournai): octobre 2023.
dans un avenir proche ou lointain. Aux yeux de la majorité Vivaldi, il ne s’agit pas de discrimination et la sécurité tarifaire des patients est une priorité.
Conclusion
AXXON attend maintenant l’avis de l’auditeur du Conseil d’Etat avant de passer à l’étape suivante ou d’engager une nouvelle procédure. Bien entendu, le terrain peut également prendre l’initiative de protéger les patients en rejetant la proposition d’accord M22 bis : si plus de 40% des kinésithérapeutes le font, la règle des 25% ne sera pas d’application.
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Il est possible de (re)visionner l’audition et les débats sur le site de La Chambre. L’introduction de l’audition et la présentation qui l’accompagne sont consultables sur
Les défis en matière de soins de santé et le rôle futur du kinésithérapeute nécessitent une attention particulière. AXXON, l’unique association professionnelle représentative de la kinésithérapie en Belgique, défend vos intérêts et ceux de milliers d’autres consœurs/confrères auprès des autorités.
AXXON est l’association professionnelle de TOUS les kinésithérapeutes, quel que soit leur statut.
À ce jour, la majorité de nos membres se compose pourtant d’indépendants. En tant que salarié, vous pensez peut-être qu’il n’est pas utile de soutenir votre association professionnelle. Votre voix est cependant tout aussi importante que celle de chaque kinésithérapeute et est essentielle pour garantir la meilleure représentation possible de notre profession auprès des différentes autorités.
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Durant cette période, vous pourrez profiter de tous les avantages que nous vous proposons et vous bénéficierez de l’assistance de notre secrétariat pour toutes vos questions relatives à la nomenclature, à la législation, à l’administration, etc.
Vous contribuerez de plus à la défense de la profession : plus de membres signifie plus de poids lors des négociations et donc plus d’atouts pour assurer un avenir radieux à la kinésithérapie.
Notre souhait est qu’au moins un kinésithérapeute de chaque établissement de soins adhère à l’association professionnelle. Notre groupe de travail « Kinésithérapeutes salariés » s’intéresse spécifiquement à vos préoccupations : rejoignez AXXON et faites entendre votre voix
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L’ABCIG Kinésithérapie fasciale rassemble les kinésithérapeutes intéressés par les concepts et techniques thérapeutiques fondés sur la recherche en matière de fascia.
Le nombre de publications sur le fascia est en hausse depuis quelques années. La science a découvert des fonctions importantes du fascia qui peuvent ouvrir des perspectives interessantes pour les options de traitement du kinésithérapeute.
Les missions de la kinésithérapie fasciale et de l’ABCIG Kinésithérapie fasciale sont les suivantes :
Défendre les intérêts des kinésithérapeutes qui incorporent des techniques liées au fascia dans leurs traitements de kinésithérapie.
Promouvoir ce sous-domaine au sein de la kinésithérapie.
Organiser des activités scientifiques.
Promouvoir la communication et la coopération avec d’autres sous-domaines susceptibles de s’intéresser à la recherche sur les fascias, tant au niveau national qu’international.
Le conseil d’administration de l’ABCIG se réunit tous les mois et participe aux réunions conjointes de l’ABCIG.
Vue d’ensemble de 2022
Deux peer reviews en direct ont été organisés dans les bureaux d’AXXON à Zaventem. Des discussions ont eu lieu, après une introduction intéressante du Dr L. Vermeulen, sur le traitement kinésithérapique des patients souffrant de douleurs persistantes inexpliquées.
Le premier peer review a eu lieu en néerlandais le 02/06/2022.
Le second peer review a eu lieu en français le 21/09/2022.
L’intérêt des pairs était élevé, puisque les deux soirées étaient complètes.
Le 17 novembre 2022, une plate-forme de concertation a été organisée sur le thème “Comment aborder votre patient dans un
contexte biopsychosocial et comment aborder la sensitisation centrale dans votre traitement ?”.
En décembre, un article intitulé “Education programmes for patients suffering from chronic pain : a scoping review” (Programmes d’éducation pour les patients souffrant de douleur chronique : une étude de portée) a été publié par Paul Sercu dans la newsletter
« Sous la loupe » d’AXXON. Vu la place importante de l’éducation à la douleur dans la kinésithérapie fasciale, cet article s’inscrit bien dans le cadre de notre opération.
Deux peer reviews sont à nouveau prévus en 2023, au printemps et à l’automne. Un nouvel article sera également publié dans la newsletter
« Sous la loupe » de novembre et nous participerons à la journée de la prévention du 27 mars 2023.
Enfin, veuillez noter que vous pouvez retrouver un article concernant la dimension somato-psychique en fasciathérapie dans l’AXXON Exclusif de ce trimestre.
Communiquer avec d’autres parties prenantes n’est pas toujours facile. Les antécédents historiques, la défense des intérêts et les questions personnelles provoquent des interférences sur la ligne et sont propices aux situations conflictuelles, parfois pendant longtemps. Pour y mettre fin, le meilleur remède est d’avoir une conversation ouverte et honnête. Les conversations informelles que nous avions déjà pu avoir s’étaient avérées cordiales et décontractées mais n’avaient que rarement touché le cœur des sensibilités entre nos professions. C’est pourquoi nous avons décidé d’organiser une réunion. Nous avons établi et échangé une liste de sujets. Plus encore, Peter Bruynooghe a proposé d’écrire un texte commun qui serait publié dans les revues professionnelles des deux associations. Dans cet article, vous trouverez, autour de huit thèmes, les positions des deux organisations sur un certain nombre de « questions brûlantes » dans le domaine professionnel.
1. Le profil de compétences de l’ostéopathe et l’avis de la Chambre d’Ostéopathie (K5, 2012) stipulent que les ostéopathes ne sont pas autorisés, en plus de donner une assistance psychologique ou pharmacologique, à pratiquer la rééducation fonctionnelle. Nous pensons qu’il serait judicieux de comparer les deux profils de compétences afin que les différences et les équivalences de compétences entre nos deux professions soient claires pour les deux parties.
OS (Ostéopathie.be) : Il nous semble qu’analyser les profils de compétences des deux professions serait utile pour se faire une première idée des éventuels différences et chevauchements qui existent entre les deux professions. Malgré des différences évidentes dans le raisonnement clinique et l’arsenal des techniques thérapeutiques, c’est avec l’ostéopathie que la qualification professionnelle particulière en thérapie manuelle au sein de la kinésithérapie a le plus de points communs. Pour cette raison, il serait sans doute approprié de comparer le profil de compétences de la thérapie manuelle avec celui de l’ostéopathie. Il faut cependant faire une première distinction non négligeable : si la thérapie manuelle est une qualification professionnelle particulière du kinésithérapeute, ce dernier reste kinésithérapeute tandis
que s’il étudie l’ostéopathie, il choisit une autre profession. Étant donné qu’il peut y avoir des différences entre ce qui est présupposé dans un profil de compétences et ce qui est réellement fait dans la pratique clinique, en d’autres mots entre le profil réel du thérapeute manuel et celui de l’ostéopathe, il serait préférable de mener des recherches par sondage pour analyser cela plus en profondeur. Le groupe professionnel des ostéopathes belges peut déjà soumettre ses enquêtes de 2010, 2013 et 2018.
AX (AXXON) : Il existe peu de différences entre les techniques neuromusculosquelettiques en ostéopathie et les techniques musculosquelettiques en kinésithérapie
manuelle. En plus de l’examen clinique, de l’élaboration d’un plan de traitement et de l’acte manuel, la thérapie par l’exercice fait également partie intégrante du profil de compétences du kinésithérapeute qui a une qualification professionnelle particulière en thérapie manuelle.
2. Il nous semble important d’évoquer le contexte de la « zone de tension » historique qui existe entre nos deux professions afin de les réconcilier sans tarder.
OS : Il y a eu des frictions entre les deux professions par le passé en raison d’un certain nombre de facteurs. L’accès direct, les honoraires, l’administration, etc. sont des sujets parfois sensibles. Par exemple, il y a le fait que les kinésithérapeutes sont sous-payés par rapport à leur niveau d’études et de responsabilité. D’un autre côté, les ostéopathes sont, eux, sensibles au fait que, malgré des soins efficaces, aucun remboursement n’est octroyé pour leurs prestations et ils constatent que dans certains cas, des traitements « inefficaces » ou « inutiles » en kinésithérapie font l’objet d’une compensation financière. Il ne nous semble pas non plus juste que l’on remette en cause le niveau scientifique de l’ostéopathie dans son ensemble, alors que, surtout au cours des dernières décennies, de nombreuses recherches cliniques ont abouti à des résultats pour le moins prometteurs et que des contributions ont également été apportées dans le domaine de la recherche fondamentale et qualitative. Nous reconnaissons que le passage d’une pratique clinique fondée sur la tradition à une pratique clinique prioritairement fondée sur des données probantes a été difficile au sein de l’ostéopathie, mais le pas a été franchi et accepté à tous les niveaux organisationnels de la profession, ainsi que dans les pratiques quotidiennes.
AX : Le budget consacré à la kinésithérapie au sein de l’INAMI est relativement limité. Depuis des années, on demande une meilleure rémunération, car actuellement le remboursement n’est pas proportionnel aux coûts. À cette fin, AXXON a commandé une étude indépendante en avril 2021 pour déterminer quel devrait être le montant des honoraires pour couvrir les coûts. Les personnes ayant des qualifications professionnelles particulières ne voient pas non plus leurs compétences supplémentaires remboursées.
Les allégations d’inefficacité et de traitements superflus sont gratuites et non fondées. Les kinésithérapeutes sont parties prenantes pour que les moyens déjà limités soient utilisés le plus efficacement possible et espèrent qu’à l’avenir, ils pourront donner une indication du nombre de séances nécessaires pour chaque affection, avec un enregistrement de pathologie et un traitement efficace des données. Cela vaut pour les affections aiguës, bien sûr ; pour les problèmes chroniques, c’est moins évident.
Mais l’exigence d’efficacité s’applique également à d’autres professions de soins comme, par exemple, les médecins généralistes qui, pour les douleurs cervicales et dorsales aiguës, ne connaissent et n’appliquent pas encore suffisamment les directives du KCE. Ainsi, on continue de traiter les patients avec des médicaments, des examens d’imagerie inutiles et on perd souvent un temps et une énergie précieux.
3. Une proportion non négligeable de collègues ayant un diplôme d’ostéopathie continue à pratiquer la kinésithérapie en parallèle à l’ostéopathie. À notre avis, ce n’est pas une bonne chose étant donné, entre autres, la vulnérabilité à la fraude et le manque de clarté pour le patient. Nous aurions aimé trouver une solution à ce problème qui soit réalisable pour les deux professions.
OS : Des chiffres récents (octobre 2022) issus de la base de données de Solidaris, gestionnaire de la liste nationale des ostéopathes, montrent qu’environ 40% (1.200) de tous les ostéopathes enregistrés (2.600) cumulent la profession d’ostéopathe avec celle de kinésithérapeute. Il convient de noter que cette liste n’est pas sans faille car elle n’est pas mise à jour (les personnes qui décèdent, quittent la profession et s’installent à l’étranger ne sont pas systématiquement supprimées). Parmi ces 1.200 personnes, environ 200 sont membres de l’UKO (Union pour les Diplômés en Kinésithérapie et en Ostéopathie). Nous partons du principe que les membres de l’UKO établissent une séparation stricte de leur espace et de leur temps consacrés aux deux professions et également en ce qui concerne les modalités de paiement de leurs activités professionnelles. Par contre, il reste un gros point d’interrogation sur la manière dont les autres « collègues » combinent leurs professions. Nous savons que des prescriptions de kinésithérapie sont abusivement utilisées pour que les prestations d’ostéopathie soient remboursées, et ce même à la connaissance du médecin généraliste. On peut aussi s’interroger sur le faible nombre d’attestations d’ostéopathie remises pour des soins dispensés par ceux qui poursuivent la combinaison de la kiné et de l’ostéo. Ces attestations portent le numéro 096, on peut donc facilement constater les différences avec les attestations des ostéopathes. Bien que juridiquement difficile, il conviendrait de rechercher une solution pour résoudre définitivement ce problème.
AX : On ne peut pas se présenter à la fois comme kinésithérapeute et ostéopathe : il faut faire un choix. On ne peut pas jouer sur les deux tableaux pour avoir le beurre et l’argent du beurre. De plus, l’utilisation d’attestations d’honoraires de kinésithérapie pour des prestations d’ostéopathie équivaut à une fraude et peut être assimilée à un faux en écriture.
4. On constate un développement de la multidisciplinarité sur le terrain. Nous voyons émerger de plus en plus de cabinets où les kinésithérapeutes et les ostéopathes travaillent ensemble (une enquête récente montre que la moitié des ostéopathes travaillent en cabinet collectif et que, parmi eux, 21% travaillent avec des kinésithérapeutes). Nous souhaitons renforcer structurellement ces partenariats et espérons recevoir le soutien d’AXXON à cet égard.
OS : La multidisciplinarité au sein des soins de santé s’avère être une valeur ajoutée pour les patients. Pour cela, toutes les professions médicales doivent coopérer tant au niveau des soins que de l’échange d’informations, de la localisation, des modalités de remboursement, etc.
Nous souhaitons que notre profession puisse officiellement faire partie de telles collaborations et ce, non seulement dans le cadre privé, mais aussi dans l’emploi et dans les institutions académiques.
AX : Les kinésithérapeutes soutiennent le principe d’une collaboration entre plusieurs disciplines dans le domaine des soins de santé au sein de laquelle le patient occupe une place centrale. À l’heure actuelle, la kinésithérapie est déjà impliquée dans plusieurs trajets de soins transversaux, comme par exemple le trajet de soins transversal pour le COVID long, le trajet de soins pour l’obésité infantile, un pré-trajet pour le patient ayant un risque de diabète et le suivi des patients diabétiques, le trajet de soins pluridisciplinaire périnatal (pré- et postnatal) pour les femmes vulnérables, l’itinéraire de soins autour du patient avant et après une transplantation abdominale, etc. Par ailleurs, la kinésithérapie est également fortement impliquée dans le plan interfédéral “Soins intégrés”.
La coopération entre ostéopathes et kinésithérapeutes devrait être possible et on ne peut que recommander la référence réciproque afin que le patient puisse recevoir des soins optimaux. Un ostéopathe peut référer le kinésithérapeute pour une thérapie par l’exercice et un kinésithérapeute peut recommander une approche ostéopathique. Même pour les kinésithérapeutes, le partage de l’information reste un problème, car nous n’avons nous non plus pas accès au dossier patient électronique.
Cela fait des mois que des discussions ont lieu pour savoir qui peut consulter ou introduire des données dans celui-ci. En fait, c’est le patient ou son soignant qui devrait décider qui a accès à quelle partie de son dossier.
5. Les ostéopathes travaillent en première ligne (sans prescription et sans remboursement de l’INAMI) depuis un demi-siècle. En kinésithérapie (voir l’avis du Conseil Fédéral de la Kinésithérapie) et en particulier en thérapie manuelle, on réclame aussi l’accès en première ligne. Comment pourrions-nous nous soutenir mutuellement dans nos aspirations ?
OS : Avec la loi Colla du 29 avril 1999, Art.9 §2, le législateur a choisi de placer les ostéopathes dans les soins primaires. La mise en œuvre de cette loi signifierait une régularisation de ce qui est de facto dans le domaine du travail depuis plus de 50 ans. Il est clair que les ostéopathes considèrent qu’il s’agit d’un droit acquis et qu’il ne peut plus être remis en cause. Nous soutenons l’idée que les kinésithérapeutes puissent travailler en première ligne. Il nous semble également évident que pour toutes les professions médicales, la devise selon laquelle “les pratiques probantes à haute valeur thérapeutique devraient de préférence être remboursées” devrait s’appliquer. Mais le libre choix du patient ne peut pas être dépendant de sa situation financière.
AX : Si le législateur juge utile de donner à certains patients atteints de certaines pathologies un accès direct aux soins, sans prescription médicale préalable, nous nous en féliciterons. Les termes et conditions doivent, bien sûr, être clairement définis et décrits. La kinésithérapie est prête pour cela : en 2015, le Conseil Fédéral de la Kinésithérapie a remis un avis à ce sujet au ministre fédéral de la Santé. De plus, en avril 2016, à la demande de ce dernier, le nouveau « Profil de compétences professionnelles du kinésithérapeute belge, 2020 » a été présenté. En outre, dans le cadre de l’art. 56 de l’INAMI, une étude pilote pragmatique est actuellement menée sur l’accès direct à la kinésithérapie pour les lombalgies aiguës, en collaboration avec des instituts de formations universitaires en kinésithérapie et des associations de médecins généralistes en Flandre et en Wallonie. 600 patients sont inclus : un premier groupe de 300 suit la voie traditionnelle, en passant par un médecin généraliste tandis qu’un second groupe de 300 peut s’adresser immédiatement à un kinésithérapeute. Cette étude intègre également l’aspect santé-économique afin de déterminer quel groupe est le plus performant, tant pour le patient que pour ceux qui financent le système. Espérons que ce soit l’accès direct au kinésithérapeute ! Précisons que le kinésithérapeute doit avoir une bonne connaissance des drapeaux rouges et jaunes et qu’il doit surtout avoir une bonne communication avec le gestionnaire du dossier médical global du patient.
Si le législateur juge le moment venu de modifier la législation dans ce sens, alors il nous semble clair que dans la réglementation de la première ligne, aucune distinction ne peut être faite entre les conditions d’exercice des professions
de kinésithérapeute et d’ostéopathe. Il n’y a, en effet, pas d’arguments médicaux, scientifiques ou juridiques valables pour cela.
6. Selon Ostéopathie.be, l’économiste de la santé Lieven Annemans et le CNI, l’ostéopathie, en tant que profession de santé, remplit les quatre principales conditions de remboursement dans le cadre de l’INAMI, à savoir être socialement intégrée, être efficace au niveau des coûtsbénéfices, être scientifiquement pertinente et ne pas avoir d’impact budgétaire majeur. Quelle est la position d’AXXON à ce propos ?
OS : Comme nous l’avons déjà décrit au point deux, l’efficacité clinique des soins en ostéopathie donne des résultats encourageants pour un grand nombre de troubles musculosquelettiques et pour certains troubles non musculosquelettiques. Le KCE et Sciensano le reconnaissent également, du moins pour certains TMS. La grande majorité des patients ne comprend pas pourquoi nos soins ne relèvent pas de l’INAMI alors que l’ostéopathie les aide et de plus, en relativement peu de consultations. L’étude du professeur Annemans et de ses collègues montre même un effet d’économie. Nous comprenons également que le budget de l’INAMI n’est pas sans fin et qu’il faudrait créer des conventions et une nomenclature. De même, quelque part, nous pouvons comprendre le mécontentement du secteur de la kinésithérapie à l’égard de la politique de remboursement actuelle et des tarifs irréalistes qui ont sous-évalué la profession pendant des décennies. Mais cela ne peut être un argument pour refuser le remboursement à notre profession. Il est clair depuis longtemps que dans d’autres domaines des soins de santé, beaucoup d’argent qui pourrait être mieux dépensé est gaspillé.
AX : Nous souhaitons attirer votre attention sur le fait que les négociations avec l’INAMI ne débouchent pas souvent sur une victoire. Regardez l’histoire des
psychologues de première ligne, qui ont récemment conclu un accord de remboursement que peu de psychologues accueillent favorablement parce qu’il est trop restrictif et sous-financé. Nos demandes pour une meilleure indemnisation des kinésithérapeutes font chaque fois chou blanc. De nombreux acteurs impliqués se demandent d’ailleurs si le système actuel de l’INAMI, avec ses accords et conventions, n’arrive pas progressivement à son terme et si des alternatives ne devraient pas être trouvées. Réfléchissons-y donc à deux fois.
Dans le cadre des “Soins appropriés”, des analyses coûts-bénéfices et des mesures de gains d’efficacité sont en cours d’élaboration au sein de la Commission de conventions kinésithérapeutes - organismes assureurs. Grâce aux gains d’efficacité, des moyens peuvent être libérés pour répondre à des besoins de soins actuellement non couverts pour les patients.
7. Dans les dispositions de la Chambre d’Ostéopathie et de la Commission Paritaire (2012), il est indiqué que l’enseignement de l’ostéopathie doit avoir lieu à l’université. Depuis 2004, une formation de 6 ans est dispensée à l’ULB : que faudrait-il faire selon AXXON pour qu’une telle formation puisse également être organisée en Flandre ?
OS : L’histoire montre que, pour les non-médecins, le chemin menant à la porte de l’enseignement universitaire et des responsabilités dans le domaine des soins de santé est long et fastidieux. Les dentistes, les kinésithérapeutes et les psychologues entretiennent depuis des décennies des relations très compliquées avec les facultés de médecine. Nous n’y échappons pas non plus. Le refus de l’enseignement universitaire a conduit au développement de cours privés où il n’est pas rare que l’impact commercial ait poussé les dirigeants à agir davantage en termes de marketing plutôt que de qualité. Heureusement, cette situation a été corrigée au
cours de la dernière décennie et nous convenons que la formation est devenue plus académique, notamment grâce à la mise en place de collaborations avec des universités étrangères et à l’emploi d’enseignants et de médecins ayant une formation universitaire. Mais cela ne suffira pas à long terme pour répondre aux exigences de formation d’une profession de santé moderne qui doit offrir suffisamment de possibilités de recherche et de stages cliniques. Il est donc nécessaire de mettre en œuvre les exigences éducatives fixées par la Chambre.
AX : La kinésithérapie est une formation universitaire qui dure 5 ans en Flandre et 4 ans en Wallonie. En Wallonie, des pourparlers sont actuellement en cours pour porter à 5 ans également la durée de la formation académique. Les programmes de Master en sciences de la réadaptation et en kinésithérapie comprennent les troubles musculo-squelettiques, les troubles neurologiques, les troubles chez les enfants, les troubles chez les personnes âgées, les troubles internes et les soins de santé mentale. La formation en kinésithérapie est très bien cotée au niveau international dans différents audits. Axée sur l’accessibilité et offrant une sécurité tarifaire aux patients, la kinésithérapie permet, grâce également à une formation de haute qualité, de faire économiser des coûts à notre système de soins de santé.
Pour être reconnue comme profession de santé, une formation universitaire est nécessaire ! Tout comme l’enseignement de la kinésithérapie est revu et inspecté à intervalles réguliers selon les normes valables pour un « enseignement fondé sur la recherche », il devrait en être de même pour l’enseignement de l’ostéopathie.
Cela garantit une éducation contrôlée avec toutes les matières et les stages nécessaires pour une profession de santé à haute responsabilité. Bien entendu, cela reste un avis de la Chambre d’ostéopathie et de la Commission paritaire. Un soutien plus large sera nécessaire et sans la coopération de l’Académie de médecine, c’est presque impossible.
8. L’ostéopathie est reconnue comme médecine non conventionnelle depuis 1999. En soi, c’est à la fois une malédiction et une bénédiction. Une malédiction car cela répond aux exigences de la médecine conventionnelle et une bénédiction car la loi Colla offre un abri. Cependant, une réglementation des prestataires de soins de santé individuels reste absente, malgré le fait qu’une délimitation claire et des règles de jeu sont indispensables pour toutes les parties. Quelle est la vision d’AXXON à ce sujet ?
OS : Déjà peu de temps après la publication de la loi Colla (1999), les unions professionnelles d’ostéopathes ont fait pression sur les différents ministres de la santé (7 depuis lors) pour faire voter les AR faisant défaut. Il a fallu un procès pour faire bouger les choses (Onkelinx, 2010), mais depuis que l’on a recueilli tous les avis nécessaires pour l’application de la loi (2012), tout est à nouveau à l’arrêt depuis 10 ans. C’est inacceptable dans un État de droit et c’est un scandale pour les droits des patients et des prestataires de soins de santé. Les plus d’un million de Belges qui font appel chaque année à un ostéopathe sont plongés dans un vide juridique. Par conséquent, tant pour le patient que pour le prestataire de soins, les parties prenantes et le gouvernement, il est grand temps qu’une législation soit mise en place. Nous avons l’intention d’utiliser tous les moyens à notre disposition pour mettre fin à cette injustice.
AX : Le plus logique aurait été, après les avis de la Chambre et de la Commission Paritaire, d’établir un Arrêté Royal. Il est certain que si on légiférait sur toutes les modalités, cela rendrait les choses plus claires pour toutes les parties concernées. Mais comme cela a été dit dans le point précédent, la formation en ostéopathie devrait peut-être d’abord être ancrée dans un enseignement universitaire officiellement reconnu. Un autre scénario pourrait être l’enregistrement de l’ostéopathie dans la loi coordonnée du 10 mai 2015 relative à l’exercice des professions de santé.
Il est clair qu’il n’y a pas tant de différences entre les deux professions. Même une profession reconnue comme la kinésithérapie est confrontée à des problèmes et n’est pas non plus entendue par les autorités compétentes. Bien qu’il y ait environ dix fois plus de kinésithérapeutes que d’ostéopathes, notre poids dans le secteur des soins de santé est relativement faible et nous devons nous aussi rester sur les barricades.
N’est-il pas plus que temps que l’on se considère comme des alliés et que l’on se serre les coudes pour, ensemble, faire valoir nos revendications légitimes ?
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Cette année, les prestataires de soins se verront accorder une prime par le gouvernement pour les aider à assumer l’augmentation des frais intervenue au cours de l’année écoulée. Contre l’avis d’AXXON, les autorités ont toutefois décidé de n’octroyer cet avantage qu’aux prestataires conventionnés.
Séance inaugurale de la Commission fédérale de contrôle
Le mercredi 18 janvier 2023 a eu lieu la séance inaugurale de la Commission fédérale de contrôle, créée par la loi du 22 avril 2019 relative à la qualité des pratiques en matière de soins de santé (la “loi qualité”). Elle remplace les anciennes Commissions médicales provinciales et se compose d’une Chambre francophone et d’une Chambre néerlandophone.
Dans l’article publié par l’ABCIG Kinésithérapie fasciale en décembre dans la newsletter « Sous la loupe » d’AXXON, l’importance de l’éducation des patients dans la médecine contemporaine était décrite et un aperçu général des applications existantes de l’éducation des patients dans le domaine du mal de dos chronique était donné. Dans cet article, l’attention est portée sur l’éducation des patients telle qu’elle est présentée dans la fasciathérapie MDB.
Prévenir le syndrome post-soins intensifs
Le syndrome post-soins intensifs est une entité relativement récente qui suscite de plus en plus l’attention des médecins. Certaines mesures de prévention de ce syndrome sont décrites dans la littérature scientifique. Le Centre fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) a passé en revue ces mesures pour ne retenir que celles qui ont vraiment fait leurs preuves.
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Nous avons déjà eu l’occasion de nous attarder dans une précédente édition sur le succès de la dernière assemblée générale de la Région Européenne de World Physiotherapy, mais il y a évidemment encore eu du changement depuis lors dans le monde de la kinésithérapie ! Vous trouverez dans cet article un bref aperçu des évolutions intervenues sur la scène internationales entre mai et décembre 2022.
La composition des divers groupes de travail (GT) de la Région Européenne de World Physiotherapy a été fixée pour la période 20222024… et pas moins de trois candidats belges ont été retenus, un record ! Tine Van Damme a été sélectionnée pour la première fois pour participer au nouveau groupe de travail en santé mentale – un domaine qui fait partie des priorités absolues de la Commission Européenne et dans lequel l’expertise de notre compatriote pourrait s’avérer un véritable moteur. Nele Adriaenssens, elle, a été réélue pour un nouveau mandat au sein du groupe de travail en oncologie, auquel elle avait déjà apporté une contribution très appréciée au cours de la période écoulée. Raf Meesen, enfin, a également été invité à poursuivre son mandat au sein du groupe de travail consacré à la formation (« Education »). Là aussi, sa fiabilité et sa contribution
scientifique au cours de la période écoulée lui ont assuré un important capital sympathie. La composition intégrale de l’ensemble des groupes de travail peut être consultée sur le site internet de la Région Européenne (https://www. erwcpt.eu). Celui-ci est actuellement en plein remodelage, mais nous espérons que la nouvelle version sera pleinement opérationnelle au moment où vous lirez ces lignes.
Les groupes de travail et le comité exécutif se sont réunis une première fois lors d’une assemblée conjointe en septembre 2022, qui a été l’occasion d’esquisser les grandes lignes des actions futures pour chaque GT. Depuis, les groupes proprement dits ont déjà organisé plusieurs réunions virtuelles, préparé divers projets et/ou webinaires et rencontré des membres de la Commission Européenne pour s’assurer que
notre profession continue à recevoir l’attention nécessaire à l’échelon de l’UE. Une autre bonne nouvelle est que les réunions en présentiel sont à nouveau possibles, et les présidents des groupes de travail soulignent à cet égard que plancher sur les dossiers à plusieurs pendant deux jours est vraiment plus facile lorsqu’on peut se retrouver au même endroit.
Pendant que nous écrivions ces lignes, nous avons également reçu la première annonce de la prochaine Assemblée Générale (AG) de World Physiotherapy, qui se tiendra les 30 et 31 mai 2023 à Dubaï. Je tiens tout de même à m’arrêter un instant ici sur les inquiétudes exprimées dans ce cadre par plusieurs organisations de membres. Organiser une AG n’est en effet jamais une mince affaire et le faire dans un pays où certaines normes sociales s’écartent du consensus général comporte forcément des
difficultés supplémentaires, pour ne rien dire encore du coût du voyage et du séjour sur place. Plusieurs voix se sont donc élevées parmi les organisations de membres pour s’opposer à l’organisation de cette AG.
Pour répondre à leurs objections, World Physiotherapy a décidé que l’événement se déroulerait sous forme hybride… même si, sachant qu’une AG « physique » représente déjà un défi conséquent, cette formule qui impose de pouvoir compter sur une connexion internet fiable, de tenir compte du décalage horaire et de permettre aux participants de réagir en live à certains points risque d’être un véritable cauchemar en matière d’organisation ! Le président aura vraiment fort à faire pour que tout se déroule sans encombres et je suis curieux de voir comment les choses vont se dérouler.
L’ordre du jour de cette nouvelle AG comportera plusieurs temps forts, à commencer évidemment par l’élection des président et viceprésident. Dans la mesure où il n’y a qu’un seul candidat à la viceprésidence, le résultat de ce scrutin ne devrait pas nous réserver de surprises – pour autant, évidemment, que l’AG émette un vote positif. C’est donc selon toute vraisemblance notre collègue taïwanais Shihfen Hsiao qui endossera ce rôle après l’élection 2023. En ce qui concerne la présidence, c’est entre John Xerri de Caro (Malte), Stacy de Gale (Trinité-et-Tobago) et Michel Landry (Canada) que se jouera la succession d’Emma Stokes. Vous trouverez la biographie et les programmes de ces trois candidats sur le site de World Physiotherapy ( https://world.physio/news/ candidates-election-president-andvice-president-announced). Après les 8 années de mandat d’Emma
Stokes et les nombreux changements intervenus au cours de cette période, nous devons donc nous attendre à un vent de renouveau… et nous espérons évidemment pouvoir vous proposer dans l’une des prochaines éditions de l’AXXON Magazine une interview avec le nouveau président !
En sus des élections, il y aura aussi plusieurs documents à approuver. World Physiotherapy s’attache actuellement à organiser une consultation mondiale sur divers textes (stratégiques) disponibles sur son site internet (https://world.physio/ resources), qui portent sur quatre grands domaines : la formation, les soins de santé, la politique et la pratique professionnelle. Sachant que la dernière révision remonte dans certains cas à 2015, une mise à jour n’était certes pas un luxe, car le secteur a bien évolué au cours de ces 8 années !
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30 MARS 2023
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