Quelles seront les boissons incontournables sur votre menu?
Tout ce que vous devez savoir ENVIRONNEMENT
Collecte des résidus alimentaires pour les restos de Québec
Aseptique Amandes Chocolat Noir 18 x 236 mL 10025293003047 134979
Aseptique Amandes Vanille 18 x 236 mL 10025293003054 134980
Yogourt à base de plante Noix de coco - Vanille 4 x 100 g (6) 10056800769491 176949
Yogourt à base de plante Noix de coco - Fraises Framboises 4 x 100 g (6) 10056800769507 176950
Aseptique Soya Originale Organique 12 x 946 mL 20025293005536 137035
Aseptique Avoine Barista 6 x 946 mL 20036632076544 165236
Aseptique Coconut Barista 6 x 946 mL 10056800944799 194479
Aseptique Amandes Barista 6 x 946 mL 20036632076759 167518
ESL Amandes Originale 6 x 1,89 L 10025293001005 135121
ESL Avoine Non Sucrée 6 x 1,75 L 20036632075325 156582
Silk Nextmilk - Régulier 6 x 1,74 L 20036632078500 184243
Éditeur :
ASSOCIATION RESTAURATION QUÉBEC
Rédaction en chef : Nicolas Boullé
Rédaction : Kelly Asselin Tousignant | Nicolas Boullé |
Dominique Tremblay | Martin Vézina | Vincent Woerner
Conception et infographie : LMG et Alegria Design
Publicité :
Tél. : 514 527-9801/1 800 463-4237
Téléc.: 514 527-3066
L’ARQ Info est publié six fois par année par la direction des affaires publiques de l’Association Restauration Québec. Les articles peuvent être reproduits sans autorisation, à la condition d’en mentionner la source.
Ce numéro a été publié à 4 400 exemplaires.
Dépôt légal :
Bibliothèque Nationale du Québec
Bibliothèque Nationale du Canada
494386 D
No ISSN : 1199-3472
Envoi de poste-publication : No de convention : 40050918
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Courriel : respub@restauration.org restauration.org
La mission de l’Association est de fournir à l’ensemble des restaurateurs du Québec des services complets d’information, de formation, de rabais, d’assurance et de représentation gouvernementale.
CONSEIL D’ADMINISTRATION 2023-2024
Présidente du conseil d’administration :
Mme Danielle Beaulieu, de l’HôtelMortagne(Boucherville)
Vice-président :
M. Tony Priftakis, des restaurants SaveursdesContinents (Gatineau)
Secrétaire-trésorier :
M. Éric Marin, du restaurant ChezMilot(Sainte-Adèle)
Président-directeur général de l’ARQ :
M. Laurence-Olivier Malouin-Trudel
Administratrices/administrateurs :
M. Billy Bastien, de la BuvetteThérèse(Percé)
M. Steeve Gros-Louis, du restaurant Sagamité(Wendake)
Mme Valérie Kennedy, du SteakhouseSt-Charles (Sainte-Thérèse)
M. Martin Lévesque, du TraiteurL’EspritFaim(La Prairie)
M. Jean-Philippe Martin, du ComplexeLaviolette(Trois-Rivières)
M. Érick Tremblay, du Resto-PubBelles&Bum(La Malbaie)
Président ex officio :
M. Hugues Philippin, du restaurant ChicAlors! (Québec)
Le Hatley, situé dans le Manoir Hovey, Relais et Châteaux en Estrie, s’est vu décerner la mention Cinq diamants par l’Association canadienne des automobilistes (CAA) et de l’Association américaine des automobilistes (AAA), suivant une évaluation par l’un des inspecteurs anonymes du Programme AAA Diamant. Celui-ci recense plusieurs milliers de sites d’hébergement et de restaurants en Amérique du Nord chaque année et les cote selon leur qualité par nombre de « diamants », avec un maximum de cinq.
Le Hatley, dont la cuisine est gérée par le chef Alexandre Vachon, est l’un de trois
restaurants québécois à recevoir cet honneur, avec le Tanière3 et le Laurie Raphaël, tous deux situés dans la ville de Québec.
Jason Stafford, directeur général et copropriétaire du Manoir Hovey, a précisé que « le parcours vers l’obtention de cette distinction a été pour nous un cheminement de dévouement et de persévérance. Cela témoigne de l’engagement inébranlable de notre équipe à repousser continuellement les limites de l’excellence culinaire ».
TOURISME
À l’occasion des 18e Assises du tourisme qui ont eu lieu le 8 mai dernier, la ministre du tourisme et ministre responsable de Lanaudière, Caroline Proulx, a annoncé un appui financier de 46,5 millions de dollars pour le développement de l’industrie touristique au Québec.
Ce montant s’ajoute aux 24,1 millions de dollars dédiés aux développement de projets touristiques dans la région de la Capitale-Nationale, dont plusieurs contribueront à améliorer ou à augmenter la capacité hôtelière, également annoncés lors du même événement. « Le tourisme, un secteur économique à part entière,
contribue à enrichir le Québec », a soutenu la ministre. « Pour que toutes les régions en bénéficient, on multiplie les investissements visant à stimuler sa croissance afin que nos communautés profitent encore davantage de ses retombées importantes. »
D’abord, la ministre a annoncé des investissements de 25 millions de dollars pour 2024-2025 dans le cadre du Programme d’aide à la relance de l’industrie touristique.
Par la suite, un investissement supplémentaire de 20 millions de dollars, sous forme de prêts ou de garanties, a été
dévoilé par Caroline Proulx, dans l’optique du Programme d’appui au développement des attraits touristiques 2024-2025.
Enfin, la ministre a annoncé que 1,5 million de dollars était octroyé au programme Développement de l’offre touristique des parcs régionaux.
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restauration.org
Quels seront les incontournables de votre carte des boissons cet été? Cette année encore, l’ARQ Info a scruté de près les tendances de boissons pour la belle saison. Vins, cocktails et « NoLo », voici ce qu’il faut savoir pour élaborer votre menu estival!
Selon les analyses de tendances qu’a fait ressortir l’équipe SAQ à propos des vins gagnant en popularité cette année, il semblerait que 2024 soit une année de vin blanc. Évidemment, le rouge ne se démode pas, mais les experts observeraient une hausse de la popularité de son homologue de couleur pâle. La vogue des vins orange n’est pas près de disparaître non plus, bien qu’elle s’estompe quelque peu. Cet été, il vaudrait donc mieux remplir votre carte de délicieux vins blancs d’Italie, d’Espagne et de Grèce.
De plus, il serait judicieux de prioriser les vins populaires avec les milléniaux. Les données compilées par le site d’études de marché consacré aux boissons, IWSR, aux États-Unis, démontrent que ce groupe d’âge, dont 57 % des membres boivent du vin au moins deux fois par semaine, est aventureux dans ses goûts vinicoles. De plus, 73 % d’entre eux affirment essayer un nouveau vin de façon régulière, 15 points de plus que les autres consommateurs réguliers.
Cette curiosité s’étend également au vin pétillant, qui connaît une démocratisation étonnante ces dernières années, avec une hausse de sa consommation mondiale de 8 % en 2023, excluant les vins de Champagne, dont la consommation et les prix restent relativement stables.
COCKTAILS : ORIGINALITÉ DES SAVEURS ET DES TECHNIQUES
Avec les difficultés économiques vécues par la classe moyenne dans de nombreux pays occidentaux, des tendances nous arrivent de marchés en émergence, notamment de pays d’Asie. Ainsi, des alcools nationaux étrangers auparavant moins populaires en Amérique du Nord n’hésitent plus à prendre leur place sur les menus des restaurants et des bars.
En effet, un rapport de DataEssentials, un site spécialisé dans les données concernant les boissons et les aliments, démontre que les alcools d’Asie, dont le saké, ont le vent dans les voiles. Celui-ci, bien que déjà connu au Québec, est de plus en plus présent sur les cartes des établissements et sur les étagères de vente au détail, selon les experts de la SAQ.
C’est aussi ce que constate Vanessa Vachon, barmaid au Ratafia (Montréal) et titulaire d’un DESS en « Food Studies » — Études sur l’alimentation de l’UQAM, en précisant tout de même que la diversité ne se limite pas aux spiritueux. Comptant plus de 12 ans d’expérience dans le domaine, la professionnelle connaît bien ses diverses clientèles : « les bars ne peuvent plus se permettre de se restreindre à une seule clientèle et doivent prioriser la diversité dans leurs menus de boissons [...] afin que chacun y prenne son goût » affirme-t-elle.
La barmaid ajoute que « les “bartenders” sortent des bars à cocktails huppés et vont même jusque dans les bars de quartiers et les restaurants familiaux, y amènent leurs connaissances et leurs techniques ». Elle mentionne notamment le « fat-washing » (une technique d’aromatisation de spiritueux en y ajoutant, puis y laissant reposer un aliment gras, avant de retirer ce dernier à basse température), la clarification d’ingrédients ou les infusions de thé ou d’autres aromates pour concocter des sirops. Elle déplore cependant les limitations législative : « on ne peut pas faire des infusions de spiritueux dans les bars au Québec, mais l’intérêt de le faire est très présent ».
Il n’y a pas que les nouveautés qui ont les préférences des clients. Certains cocktails classiques se réinventent! Ceux qui étaient populaires durant les années 1980 et 1990 retrouvent leur place grâce à un retour à l’avant-plan de ces décennies. La barmaid mentionne « le retour du café et de l’amertume. On va maintenant au-delà de l’espresso martini, mais on recherche toujours le goût réconfortant et amer du café ». Sans surprise, l’espresso martini, ce cocktail au café dont la popularité inspire toujours les mixologues d’ici et d’ailleurs, vit une recrudescence en retravaillant ses goûts et ses arômes. Déjà en vogue l’été dernier, ce cocktail classique est toujours un incontournable cette année.
Dans son rapport 2024 des tendances annuelles dans l’industrie des boissons alcoolisées, Bacardi Limited, l’une des plus grandes multinationales de boissons alcooliques dans le monde, s’attend à ce que les marques et les mixologues adoptent une démarche se rapprochant davantage de leur environnement. Selon les résultats de son enquête, Bacardi Global Consumer Survey 2023, 44 % des répondants canadiens avaient l’intention de prioriser les produits faits avec des ingrédients dits naturels en 2024. Michael Lambert, sommelier de formation et barman en charge de l’offre des boissons au restaurant Au pâturage (Sainte-Perpétue), un espace gourmand priorisant les produits locaux et produisant nombre de ses propres aliments dans sa serre, confirme l’effervescence de cette tendance environnementale. Déjà
remarqué avec le développement de microdistilleries et de microbrasseries à travers la province, ce mouvement se propage désormais dans les bars et les restaurants.
Le professionel des boissons nous donne l’exemple de sa décision d’avoir un cocktail éphémère sur son menu. Il précise que celui-ci est basé sur « les trucs qu’on a en plus petite quantité, les restants de la serre qu’on retravaille. Ça permet de passer des choses qu’on ne passerait pas en cuisine, comme les fruits de saison, les petits produits ». Il met l’emphase sur la nécessité de partager les connaissances, et surtout, les ingrédients, entre la cuisine et l’équipe de service, « afin de minimiser les pertes ».
Dans votre établissement, cela pourrait se traduire en exploitant des aromates, des fleurs et des huiles d’origine durable pour créer des expériences de cocktails uniques, mettant la nature et l’écoresponsabilité de l’avant. Par exemple, plutôt que d’utiliser des limes dans vos boissons acidulées, vous pourriez opter pour travailler des fruits de la cuisine boréale en jus ou en sirop en s’assurant de trouver une utilité pour toutes les parties de vos ingrédients. Dans ce cas, les aronies, les argousiers ou les airelles pourraient être des options plus durables, selon Michael Lambert. En utilisant moins d’ingrédients dans ses recettes et en priorisant la qualité, le barman explique que cela reflète cette tendance du « retour au minimalisme » qu’il observe dans les établissements.
De fait, les deux experts de boissons mentionnés ci-haut nous confirment que l’été 2024 est à la bonification de la qualité des boissons. Ainsi, en privilégiant des ingrédients de qualité cueillis à même votre région, vous pourriez rehausser le goût de vos boissons tout en maintenant un équilibre parfait entre les saveurs sucrées, acides, amères et salées.
En outre, les consommateurs locaux autant que les touristes gardent un œil avisé sur leur empreinte carbone et sur les effets de leur consommation. Offrir des alternatives plus équitables pourrait donc avoir des retombées économiques significatives pour votre établissement, en augmentant son attrait environnemental, particulièrement avec l’arrivée de la génération Z dans les bars et les restaurants, génération qui, selon les données de l’IWSR, est la plus adepte des vins bio, du compostage et des alternatives aux plats composés de viande.
L’ARQ A SCRUTÉ DE PRÈS LES TENDANCES DE BOISSONS POUR LA BELLE SAISON.
L’évolution économique inflationniste des derniers mois semble avoir rendu les dîners et les soupers au restaurant de moins en moins populaires, laissant place aux brunchs, aux plats à partager et aux grignotines. La firme Circana, une entreprise d’études de marché spécialisée dans les comportements de consommation, confirme ainsi une montée en popularité des « petits luxes » au restaurant, la clientèle optant davantage pour une petite entrée ou une pâtisserie plutôt qu’un repas complet.
D’autre part, la cuisine mélangeant différents plats en un semble être sur toute une lancée, popularisant des mets hybrides tels que les ramens carbonara ou les quesadillas burgers. Si vous voulez mettre l’eau à la bouche de votre clientèle, n’hésitez pas à ajouter des choix de collations ou de plats à partager composés de plusieurs éléments normalement distincts, mais mariés délicieusement.
Le travail peut représenter un élément de stress dans la vie des Québécois et il est primordial de rester vigilant.
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Elles sont devenues des incontournables à inscrire sur une carte! Les boissons sans alcool ou réduites en alcool sont de plus en plus populaires. Saviez-vous que le Canada est en tête de file dans la consommation des boissons sans alcool mondiale par habitant? Ne manquez pas ce train!
Les chiffres ne mentent pas et ceux de l’ARQ sont clairs : les données de vente de nos fournisseurs démontrent que la popularité des boissons sans alcool dans les restaurants est bien marquée. À la SAQ, les membres de l’Association ont multiplié par près de 16 fois leurs achats de boissons sans alcool entre 2018 et 2023. Pour la même période, l’un de nos fournisseurs majeurs en produits alimentaires, Service alimentaire Gordon, a également comptabilisé une multiplication par cinq des ventes dans cette catégorie. Enfin, un détaillant de bière majeur, Molson, a quadruplé ses ventes de produits sans alcool depuis 2018.
DES VENTES PROFITABLES
Les boissons dites sans alcool, incluant les bières, les cidres, les vins, les spiritueux, ou bien les mocktails, tous à moins de 0.5 % d’alcool par volume, incluant les « NoLo » (« no and low alcohol » en anglais), sont très prisées par la clientèle. Elles peuvent aussi et surtout s’avérer très profitable pour les propriétaires de restaurants et de bars l’été, alors qu’elles connaissent leur plus grand succès durant les périodes chaudes. Bien qu’elles peuvent être vendues à des prix semblables à ceux des boissons alcoolisées, elles coûtent moins cher à produire, augmentant ainsi nettement la marge de profit du restaurant sur celles-ci.
Selon Vanessa Vachon, barmaid au Ratafia (Montréal), ce mouvement de curiosité sobre s’inscrit parfaitement dans la transition alimentaire que nous vivons actuellement due aux réalités modernes. Elle précise que les « NoLo » concordent bien avec la popularité de cette nouvelle façon qu’ont les consommateurs de « prendre du plaisir dans ce qu’ils consomment : en priorisant leur bien-être
physique et mental, afin d’être en mesure de consommer plus longtemps et bien ».
La barmaid constate que sa clientèle est « de plus en plus consciente des effets de l’alcool et de l’opulence de sucre des boissons, optant davantage pour des choix plus sains ». Elle évoque notamment les gens qui alternent les « NoLo » avec les boissons alcoolisées au cours d’une même soirée, pratique popularisée sous le nom de « zipping » ou « zebra striping » en anglais, afin de pouvoir profiter du moment sur une période plus longue. Les données de l’IWSR confirment ces dires, avec 43 % des répondants buvant des boissons sans alcool affirmant consommer des « NoLo » à l’occasion, sans pour autant s’abstenir complètement de consommer de l’alcool. De plus, 37 % des consommateurs de boissons sans alcool disent le faire pour éviter les effets de l’alcool, une proportion semblable au tiers des consommateurs qui le font simplement pour le goût.
C’est ainsi qu’avoir une offre de boissons sans alcool intéressante et variée devient un impératif pour un établissement de restauration désirant plaire à une vaste clientèle. Le temps de choisir entre un soda ou un verre d’eau lorsqu’on s’abstient de boire de l’alcool lors d’une sortie entre amis est résolu.
Cette montée en popularité des boissons sans alcool n’affecte pas seulement les habitudes de consommation de la clientèle, mais aussi le marketing et l’offre de produits des compagnies normalement connues pour leurs prêts-à-boire alcoolisés, leurs spiritueux, leurs bières, leurs cidres ou leurs vins. De plus, comme démontré ci-haut, votre compétition s’approvisionne en « NoLo », alors vous avez tout à gagner à suivre la tendance.
Alternative à la consommation d’alcool non soumise à un monopole au Québec (donc pas de timbre requis!), les boissons dites sans alcool incluent les bières, les cidres, les vins ou les spiritueux, ou bien les mocktails prêts-à-boire, tous à moins de 0.5 % d’alcool par volume. Ces boissons sont parfois appelées les « NoLo », de « no and low alcohol » en anglais, et doivent obligatoirement indiquer le volume d’alcool sur le contenant de la boisson.
What are the must-haves on your drink menu this summer? This year again, the ARQ Info team took a close look at current fads and scoped out the best sizzling hot trends for the summer season. Wines, cocktails and NoLo — here’s what you need to know before drafting a summer menu!
According to SAQ experts’ trend analyzes about wines gaining popularity this year, 2024 is all about white wine. Obviously, reds are not going out of style just yet, but experts notice an overall surge in the popularity of their light-coloured counterparts. The vogue for orange wines is not about to disappear either, although it is somewhat fading. This summer season, your best bet would be to fill your list with delicious white wines from Italy, Spain and Greece.
It would also be wise to favour wines that are popular with millennials. Data compiled in the U.S. by beverage market research site IWSR shows that the aforementioned age group, 57% of whom drink wine at least twice a week, is adventurous in their wine tastes. Furthermore, 73% of these individuals admit trying a new wine on a regular basis, compared to only 58% of other regular consumers.
This curiosity also extends to sparkling wine, which has undergone an astonishing democratization in recent years, including an 8% increase in global consumption in 2023, with the omission of champagne wines, whose consumption and prices remain relatively stable.
Given the economic difficulties experienced by the middle class in many Western countries, we are seeing trends coming from emerging markets, particularly Asia. Thus, foreign national alcohols previously less popular in North America are no longer snubbed on restaurant and bar menus.
Indeed, a report from DataEssentials, a website specializing in beverage and food data, shows that the popularity of Asian alcohols, including sake, is on the rise. Although the drink is already well-known in Quebec, SAQ experts say it is increasingly being offered on menus and retail shelves.
This is also what notices Vanessa Vachon, bartender at Ratafia (Montreal) and graduate of a DESS in Food Studies at UQAM, observing that diversity is not limited to spirits. The drinks expert, who has 12 years’ experience in the industry, knows first-hand how diverse her clientele can be: “Bars can no longer afford to limit themselves to a single clientele and need to focus on diversity in their drink menus [...] so that they can cater to all tastes,” she says.
Vachon adds that “bartenders are no longer found only in trendy cocktail bars, but also in dive bars and diners, where they bring their knowledge and techniques.” Among the notable techniques she briefly touches on are “fat-washing” (a technique of flavouring spirits by adding a fatty substance, then letting it sit before removing it at a low temperature), clarifying ingredients or infusing tea leaves or other botanicals to make syrups. However, she laments the legal restrictions: “In Quebec, you can’t infuse spirits in bars, but there’s a lot of interest in it.”
But it’s not just the latest techniques revivals that are in the spotlight, as customers seem to have a soft spot for revamped versions of their beloved classic cocktails! Drinks that were particularly popular in the 80s and 90s are claiming
their iconic fame back, thanks to the renewed interest in those decades.
Vachon mentions “the return of coffee and bitterness. We are now going beyond the espresso martini, while still looking for the comforting and bitter taste of coffee.”
Unsurprisingly, the espresso martini, this coffee cocktail whose popularity continues to inspire mixologists at home and abroad, is undergoing a resurgence by reworking its flavours and aromas. This classic, which was already in vogue last summer, is also an essential item on your menu this year.
In its 2024 report of annual trends in the alcoholic beverage industry, Bacardi Limited, one of the largest multinational alcoholic beverage companies in the world, predicts that brands and mixologists will take inspiration from their environment in their approach to drinkmaking. According to the results of its survey, Bacardi Global Consumer Survey 2023, 44% of Canadian respondents intend to favour products made with so-called natural ingredients in 2024. Michael Lambert, trained sommelier and bartender in charge of the drinks offer at Au pâturage (Sainte-Perpétue), a gourmet space that prioritizes local products and produces much of its own food in its greenhouse, confirms the buzz surrounding this environmental phenomenon. Already set in motion by the burgeoning prominence of microdistilleries and microbreweries sprouting throughout the province, bars and restaurants are now jumping on the bandwagon.
Lambert gives us the example of his decision to have a fleeting cocktail on his menu. He goes on to say that the drink is based on “the stuff we have in smaller quantities, the leftovers from the greenhouse that we revitalize. It enables us to use things that we wouldn’t get to use in the kitchen, such as seasonal fruits, small products.” The beverage expert emphasizes the need to share knowledge, and most importantly, ingredients, between the front and back of the house, “in order to minimize losses.”
In your establishment, this could translate into harnessing sustainably sourced herbs, flowers and oils to create unique cocktail experiences, putting nature and ecoresponsibility first. For example, rather than using limes in drinks that require acidity, you could opt to turn fruits straight out of boreal cuisine into juices or syrups, making sure to render all parts of your ingredients useful. In this instance, chokeberries, sea buckthorns or lingonberries may well be more sustainable options, according to Michael Lambert. By using fewer ingredients in his recipes and prioritizing quality, the bartender explains that these choices reflect the trend of “return to minimalism” that he observes in establishments.
In fact, the two aforementioned beverage experts both confirm that summer 2024 is about improving the quality of drinks. Thus, by focusing on quality ingredients sourced locally, you could enhance the taste of your drinks while maintaining a perfect balance between sweet, sour, bitter and salty flavors.
On top of that, local consumers as well as tourists like to keep an informed eye on their carbon footprint and the effects of their consumption. Offering more sustainable alternatives could therefore have significant economic benefits for your establishment by increasing its
environmental appeal, particularly with the arrival of Gen Z in bars and restaurants. This generation, according to IWSR data, is the most devoted to organic wines, composting, and plant-based meal alternatives.
THE ARQ TEAM TOOK A CLOSE LOOK AT CURRENT FADS AND SCOPED OUT THE BEST SIZZLING HOT TRENDS FOR THE SUMMER SEASON.
The inflationary economic climate of recent months appears to have made the habit of eating out for lunches and dinners scarcer, giving way to a growing interest in brunches, shareable menu items and snacks. Circana, a market research firm specializing in consumer behaviour, confirms the rise in popularity of those “small luxuries” in restaurants, with customers favouring a small appetizer or pastry over a full meal.
On the other hand, the concept of mixing different dishes into one seems to be on a roll, popularizing hybrid dishes such as carbonara ramen or quesadilla burgers. If you want to make your customers’ mouths water, add a variety of snacks or shareable items composed of multiple normally distinct elements deliciously married into one.
They’ve made their way into your drink menu essentials: no alcohol or low-alcohol beverages are becoming increasingly popular. Were you aware that Canada leads the world in per capita consumption of non-alcoholic beverages? This train is not to be missed!
Numbers don’t lie and ours are crystal clear: sales data from our suppliers more than demonstrate the evidence of the popularity of non-alcoholic beverages in restaurants. At the SAQ, ARQ members increased their purchases of non-alcoholic beverages by nearly 16 times between 2018 and 2023. For the same period, one of our major food suppliers, Gordon Food Service, also recorded a fivefold increase in sales in this category. Finally, a major beer retailer, Molson, has quadrupled its sales of non-alcoholic products since 2018.
So-called non-alcoholic drinks, including beers, ciders, wines, spirits, or mocktails, all with less than 0.5% alcohol by volume, as well as NoLo — from no and low alcohol — are immensely popular with customers. They can also, and especially, be very profitable for restaurant and bar owners in the summer, when they are most in demand by thirsty patrons. While they can be sold at prices similar to those of alcoholic beverages, they cost less to produce, resulting in increased profit margins for restaurants.
According to Vanessa Vachon, bartender at Ratafia (Montreal), this sober curiosity trend is fully in line with the food transition we are currently going through due to modern realities. She specifies that NoLo drinks are well suited for the new popular way for consumers to “take pleasure in what they consume: by prioritizing their physical and mental well-being, in order to be able to consume longer and well.”
The bartender notes that her clientele is “increasingly aware of the effects of alcohol and the opulence of sugar in drinks, opting increasingly for healthier choices.” She refers, in particular, to people who alternate NoLo options with alcoholic beverages over the course of the same evening — a practice popularized under the name of “zipping” or “zebra striping” — in order to be able to enjoy the moment over a longer period.
Data from the IWSR confirms this observation, with 43% of respondents drinking non-alcoholic drinks claiming to consume NoLo beverages occasionally, without completely abstaining from drinking alcohol. In addition, 37% of non-alcoholic drinks consumers say they drink them to avoid the effects of alcohol, a proportion similar to the third of consumers who do it simply for taste.
Thus, having an interesting and varied offer of non-alcoholic beverages becomes imperative for an establishment in our industry wishing to appeal to a large clientele. Gone are the days of having to choose between a soda or a glass of water when abstaining from alcohol on a night out with friends.
of companies normally known for their ready-to-drink alcoholic beverages, spirits, beers, ciders or wines. In addition, as demonstrated above, your competition is stocking up on NoLo products, so you have everything to gain by embracing the hype.
This rise in popularity of non-alcoholic beverages not only affects the consumption habits of customers, but also the marketing and product offerings
An alternative to alcohol consumption not subject to a monopoly in Quebec (so no stamp required!), so-called non-alcoholic drinks include beers, ciders, wines or spirits, or ready-to-drink mocktails, all at less than 0.5% alcohol by volume. These drinks are sometimes called NoLo, for “no and low alcohol,” and must indicate the volume of alcohol on the beverage container.
FACTURATION OBLIGATOIRE
D’ici le 31 mai 2025, les exploitants d’établissements de restauration du Québec devront être munis d’un système d’enregistrement des ventes (SEV) certifié conçu pour communiquer avec le nouveau module d’enregistrement des ventes (MEV) infonuagique, le MEV-WEB.
UNE MISE À JOUR TECHNOLOGIQUE
Afin de moderniser les pratiques de facturation de l’industrie de la restauration québécoise, le nouveau système permet l’abandon du terminal physique, la production et l’envoi automatisé des sommaires périodiques de ventes et la remise des factures par courriel à la clientèle. Cette mise à jour obligatoire devra être effectuée dans tous les établissements de restauration assujettis à la facturation obligatoire, incluant les restaurants, les bars, les camions de restauration et les entreprises qui offrent un service de traiteur.
UNE DISPENSE TEMPORAIRE POUR LES NOUVEAUX ÉTABLISSEMENTS
Puisque certains concepteurs de SEV sont encore à l’étape de certification de leurs systèmes auprès de Revenu Québec, une dispense pour les nouveaux établissements qui ont ouvert leurs portes depuis le 1er novembre 2023 dernier a été annoncée il y a quelque temps, mais elle s’applique seulement dans les cas suivants :
• le SEV dont l’établissement veut se munir n’a pas encore été certifié, mais a déjà été inscrit auprès de Revenu Québec;
• le SEV certifié choisi ne peut être installé en raison de délais d’installation hors de son contrôle. Revenu Québec précise que l’exploitant d’un nouvel établissement de restauration doit tout de même être inscrit aux fichiers des taxes (TPS et TVQ) et avoir en sa possession son numéro de dossier de facturation obligatoire de Revenu Québec ainsi que son code d’autorisation afin d’être admissible à cette dispense. De plus, il doit ensuite communiquer avec
Revenu Québec par téléphone afin de vérifier son admissibilité à cette dispense, car elle n’est pas automatique. Par ailleurs, celle-ci prend fin le 30 juin prochain.
Pour effectuer la migration vers le MEV-WEB, vous devez prendre les actions suivantes :
1. Vérifier que votre SEV est compatible et certifié pour le MEV-WEB en consultant la liste sur le site de Revenu Québec. Vous devez obligatoirement utiliser un SEV certifié.
2. Vérifiez que votre matériel est adéquat : connexion internet stable, imprimante compatible pour imprimer les factures à remettre obligatoirement à vos clients, etc.
3. Obtenir votre numéro de dossier (nouveaux établissements) et votre code d’autorisation dans la section Mon dossier pour les entreprises sur le site de Revenu Québec. Attention, ces informations sont confidentielles et vous êtes responsable de leur sécurité.
L’ARQ recommande également aux exploitants d’anticiper des délais reliés à l’installation de leur système et au traitement de leurs demandes auprès de Revenu Québec. Un dépassement la date limite de la transition vers le MEV-WEB, volontaire ou non, pourrait forcer un établissement à interrompre ses opérations jusqu’à ce que le nouveau système soit entièrement opérationnel.
Concernant les fournisseurs, ils offrent quelques options de SEV certifiés (liste disponible sur le site de Revenu Québec). Il est important de savoir que le modèle d’affaires de ces compagnies avait commencé à changer, et ce, avant l’arrivée du MEV-WEB, donc aucunement relié à celui-ci. La plupart de ces entreprises fonctionnement dorénavant par abonnement
mensuel, leur décision, plutôt que par achat de licence complète. Aussi, dans votre recherche de SEV certifié, il sera important d’évaluer l’ensemble des coûts avant l’achat, y compris tout frais et changements de taux si la migration affectait vos services de paiement par cartes.
Il est à noter que l’ARQ s’est doté d’un partenaire MEV-WEB, soit Colossale, dont le SEV est certifié par Revenu Québec. Pour en savoir plus et connaître les tarifs préférentiels dont vous pouvez bénéficier en tant que membre de l’ARQ, visitez le restauration.org/colossale
Au cours des dernières semaines, votre Association a participé à la rencontre du groupe tertiaire de la politique bioalimentaire avec le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, André Lamontagne, sur l’instauration d’éventuels allégements réglementaires pour notre secteur. Par exemple, il est envisagé de permettre aux restaurants de vendre des produits en épicerie sans avoir besoin d’autre permis que celui de restauration.
Les représentants de l’ARQ ont aussi participé à une rencontre avec le cabinet du ministère de la Sécurité publique afin de trouver des solutions de remplacement au timbre de droit de la SAQ.
Votre Association a également rencontré Revenu Québec à de nombreuses reprises pour discuter de l’évolution de l’implantation du MEV-WEB dans les restaurants de la province et s’assurer que la transition vers ce nouveau service se déroule sans anicroche.
Lors des derniers mois, votre Association a participé à plusieurs rencontres avec le ministère de l’Environnement et RECYC-QUÉBEC sur l’application de la modernisation de la consigne. L’ARQ y a notamment questionné l’état du service de collecte, la situation des établissements de 20 à 75 places et les conditions de retour des produits consignés pour les exploitants sans offre de ramassage.
Les représentants de l’ARQ se sont également entretenus avec la ville de Montréal au sujet de l’éventuel bannissement des fours à bois et à charbon. Pour le moment, il a été établi que la concrétisation de ce projet n’est pas prévue dans un avenir rapproché. Soyez assuré que votre Association demeurera vigilante quant à ce dossier.
REPRÉSENTATION SECTORIELLE
Finalement, l’ARQ a participé à des rencontres pour le développement de la
L’ARQ MULTIPLIE SES PARTICIPATIONS À DES RÉUNIONS ET DES COMITÉS LIÉS À L’INDUSTRIE DE LA RESTAURATION AFIN DE PORTER LA VOIX DE SES MEMBRES ET DE DÉFENDRE LEURS INTÉRÊTS.
démarche stratégique provinciale pour l’avenir du tourisme gourmand, afin de s’assurer que la restauration soit bien intégrée à ce projet.
LÉGISLATION
Les cuisiniers amateurs qui vendent leurs plats faits maison devront bientôt détenir un permis de restauration délivré par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ). Un projet de règlement en ce sens a été publié le 1er mai dans la Gazette officielle. Le texte ne peut entrer en vigueur que 45 jours après sa parution, soit, si tout va bien, dans les prochains jours.
CONTRER UNE CONCURRENCE
DÉLOYALE
L’ARQ applaudit cette décision, elle qui avait revendiqué la mise en place de
mesures pour un contrôle plus serré des particuliers vendant des plats maison. Outre une meilleure équité avec les restaurants ayant pignon sur rue, le ministère exprime vouloir assurer la protection de la santé publique pour justifier également le retrait de l’exemption de permis de restauration qui permettait jusqu’à présent ce genre d’activité.
L’obligation d’obtenir un permis de restauration pour les gens offrant des services de nourriture préparée à leur
résidence, peu importe le volume, signifie que les exploitants seront assujettis à des inspections et devront compléter des formations d’hygiène et salubrité.
D’autre part, les permis « événements spéciaux » n’existent plus. Ce seront dorénavant des permis de restauration dont les dates seront limitées à des périodes plus courtes qui seront accordés.
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La Ville de Québec a annoncé, fin avril, que les inscriptions concernant l’implantation d’une collecte de résidus alimentaires pour les industries, commerces et institutions (ICI) étaient ouvertes. Les restaurants sont bien évidemment concernés par cette annonce.
L’ARQ a applaudi cette initiative de la municipalité de prendre en charge la collecte des matières organiques sur une base volontaire, qui répond en grande partie à nos revendications dans ce domaine. Votre
APPROVISIONNEMENT LOCAL
Association invite les autres municipalités à suivre le modèle choisi par la Ville de Québec.
LA PROCÉDURE À SUIVRE
Les établissements souhaitant participer à la collecte sont invités à s’inscrire auprès de la Ville en remplissant le formulaire disponible en ligne. Des professionnels de la Ville de Québec vous contacteront ensuite pour déterminer vos besoins et l’accompagnement dont vous pourriez bénéficier.
Encourager les producteurs et les transformateurs bioalimentaires locaux est une valeur cruciale pour de nombreuses restauratrices et de nombreux restaurateurs.
Pour vous aider à découvrir et à commander des produits d’ici, votre Association a mis sur pied un nouveau répertoire : le Catalogue des aliments québécois.
UN VASTE RÉPERTOIRE
Celui-ci rassemble plus de 800 produits tous vérifiés Aliments du Québec et disponibles pour commande auprès de Service alimentaire Gordon, le partenaire historique de notre Programme d’achats. L’offre est très diversifiée : viandes, volailles, produits de la mer, produits laitiers, fruits,
légumes, breuvages, produits congelés et aliments non périssables.
UN CHOIX PAYANT
Le Catalogue facilitera votre recherche en plus de permettre d’obtenir des ristournes sur une panoplie de produits s’y retrouvant pour les membres participants à notre Programme d’achats.
Notez également que les membres participants du Programme d’achat peuvent recevoir des ristournes sur un total de 25 000 produits distribués par Service alimentaire Gordon. Pour en savoir davantage sur le Catalogue des aliments québécois, visitez le restauration.org/cataloguealimentsquebecois
C’est l’un des seuls médias qui ne connait pas la crise et enregistre une croissance insolente ces dernières années, le balado ou, podcast en anglais, a le vent dans les voiles! L’ARQ ne pouvait passer à côté de cette tendance et a décidé il y a quelques semaine de se lancer dans l’aventure audio en mettant en
ligne un balado intitulé « On met la table ». Il est disponible depuis le 15 mars dernier sur toutes les plateformes d’écoute en continu, notamment Spotify et Apple Podcasts.
ACTUALITÉ ET DOSSIERS CHAUD
Tous les quinze jours, au même rythme que son infolettre, l’ARQ fait donc le point sur les dossiers chauds du moment, sur les différents réglements et lois encadrant l’industrie et sur les tendances à surveiller de près.
ACCOMPAGNEMENT
Afin de soutenir les ICI dans leur transition, la municipalité offre des outils d’information et de sensibilisation, ainsi qu’un accompagnement personnalisé. L’administration a également précisé qu’une méthode d’accompagnement et d’intégration rapide et autonome pour les petits ICI a été prévue afin d’assurer la valorisation des résidus alimentaires de ces établissements plus modestes.
Si vous détenez un compte client Service alimentaire Gordon :
• Consultez le Catalogue en ligne;
• Copiez le numéro du produit GFS sous la colonne numéro GFS;
• Ajoutez ce numéro sur le site de recherche de GFS au order.gfs.com/home;
• Cela vous amènera à la fiche de produit et vous n’aurez plus qu’à valider votre commande!
Si vous désirez avoir un compte avec Service alimentaire Gordon :
• Consultez le catalogue;
• Prenez en note les produits qui vous intéressent;
• Appelez le 1 800 463-4237 pour parler à un agent de l’ARQ;
• Expliquez-lui que vous désirez devenir client de Service alimentaire Gordon;
• L’agent vous donnera tous les détails et vous expliquera l’ensemble des démarches à suivre pour devenir client de ce distributeur.
Toujours de manière ludique et pratique! Les plus récents épisodes consacrés à la présence des chiens sur les terrasses et sur le MEV-WEB ont remporté un franc succès auprès de l’industrie de la restauration. Au fur et à mesure, la programmation s’étoffera et l’ARQ compte bien accueillir très prochainement à son micro celles et ceux qui font la restauration d’aujourd’hui et de demain!
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Travailler en français en restauration, en hôtellerie et en tourisme, c’est payant! Une enquête menée par l’Association des sociétés de développement commercial de Montréal (ASDCM) estime que si les commerces de l’île de Montréal offraient systématiquement l’option du service en français à leur clientèle, ils pourraient engranger des ventes supplémentaires totalisant près de 1,1 G$, et ce, chaque année!
Le français serait donc non seulement un atout touristique pour les restauratrices et les restaurateurs œuvrant dans la province, mais également un atout économique inévitable.
OBLIGATIONS ET OUTILS DE FRANCISATION
N’oublions pas que servir et travailler en français au Québec, ça s’étend au-delà des francophones : l’intégration active et continue de personnes issues de l’immigration dans
l’industrie du tourisme et de la restauration est une réalité à ne pas sous-estimer. Les modifications apportées à la Charte de la langue française le 1er juin 2022 mettent l’emphase sur cette nécessité linguistique. Notons que pour certains employeurs ayant du personnel n’étant pas en mesure de travailler en français, les nouvelles règles effectives avec la Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français, contiennent l’obligation de produire une déclaration annuelle de ce personnel via le registre des entreprises du Québec. De plus, les entreprises de 25 à 49 employés doivent s’inscrire à l’Office québécois de la langue française et partager leur démarche de francisation.
Dans l’optique de vous aider à naviguer les nouvelles réglementations entrant en vigueur d’ici l’an prochain, des outils gratuits sont disponibles sur le site du Conseil québécois des ressources humaines en tourisme (CQRHT), dont des capsules et un balado récapitulatif.
Francisation Québec, unique point d’accès gouvernemental pour les services d’apprentissage du français fournis gratuitement et J’apprends le français, un programme de mentorat linguistique entre personnes commerçantes et étudiantes, peuvent également soutenir vos efforts dans votre francisation, celle de votre commerce et/ou celle de votre personnel.
Travailler en français en restauration, en hôtellerie et en tourisme, c’est payant!
RESSOURCES HUMAINES
Des éléments à la Loi visant à prévenir et à combattre le harcèlement psychologique et la violence à caractère sexuel en milieu de travail ont été ajoutées récemment et sont déjà en vigueur ou le seront bientôt.
CE QUI EST EN VIGUEUR DEPUIS MARS
Depuis mars, la définition de la violence à caractère sexuel a été ajoutée dans la Loi sur la santé et la sécurité du travail et l’imputation du coût des prestations liées aux lésions professionnelles découlant de ce type de violence est maintenant répartie à l’ensemble des employeurs
D’autre part, les personnes qui dénoncent une situation de harcèlement dont elles ont été témoin bénéficieront d’une protection contre les représailles.
D’ici le 27 septembre prochain, davantage de mesures entreront en vigueur, dont l’ajout de présomptions pour la personne salariée. Cela facilitera la reconnaissance d’une lésion professionnelle résultant de la violence à caractère sexuel :
1. Une blessure ou une maladie de ce type est présumée être survenue par le fait ou à l’occasion du travail d’un salarié.
2. Une maladie de la personne salariée survenant dans les trois mois après que celle-ci ait subi une telle violence sur les lieux de travail soit considérée comme une lésion professionnelle.
De plus, le délai pour produire une réclamation pour une lésion professionnelle
résultant de la violence à caractère sexuel passera de 6 mois à 2 ans.
D’ici le 1er octobre 2025, vous aurez également à inclure l’offre de formation, le processus d’enquête ainsi que la confidentialité du traitement des plaintes ou des signalements dans votre programme de prévention ou votre plan d’action.
Pour trouver la bonne recette à suivre dans votre restaurant, rappelons que votre Association avait déployé en 2019 la campagne « Sans harcèlement ». De nombreux outils sont encore à votre disposition au restauration.org/sans
Le propane produit moins de gaz à effet de serre que tous les autres combustibles fossiles
Puissance élevée fournissant de l'eau chaude à 185 degrés en continu
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Pour plus d’informations ou pour une soumission gratuite, contactez-nous :
1 800 207-6642
* Là où le service est offert. Certaines conditions s’appliquent.
Le 30 avril dernier, l’ARQ a tenu tout son tout premier Salon ARQ Contacts Charlevoix, présenté par Aliments du Québec, et ce, au majestueux Fairmont Le Manoir Richelieu, à La Malbaie. Les professionnels de l’hôtellerie, de la restauration et des institutions (HRI) ont pu parcourir les allées composées d’une cinquantaine de kiosques de fournisseurs de produits et services, incluant une vingtaine de transformateurs bioalimentaires locaux, qui ont suscité un vif intérêt de la part des visiteurs. Comme toujours, les diverses dégustations de produits faites par les exposants ont été très populaires, les visiteurs prenant le temps de savourer ceux-ci et de poser de
nombreuses questions aux représentants ou propriétaires de compagnies. Des discussions qui ont souvent mené à des suivis professionnels avec ces exposants, en plein la raison de ces Salons!
L’événement s’est conclu par le Cocktail de la présidente, qui a permis aux gens présents de rencontrer officiellement la nouvelle présidente du CA de l’ARQ, Mme Danielle Beaulieu, nommée en novembre dernier.
Le Salon ARQ Contacts Charlevoix, présenté par Aliments du Québec, a bénéficié du soutien financier du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ). La
Voici quelques images de cet événement d’importance :
Les visiteurs ont bien pris le temps de s’arrêter aux différents kiosques
tenue de l’événement a aussi été rendue possible grâce à la précieuse collaboration de notre partenaire SAQ Restauration.
L’ÉVÉNEMENT S’EST CONCLU PAR LE COCKTAIL DE LA PRÉSIDENTE, QUI A PERMIS AUX GENS PRÉSENTS DE RENCONTRER OFFICIELLEMENT LA NOUVELLE PRÉSIDENTE DU CA DE L’ARQ, MME DANIELLE BEAULIEU, NOMMÉE EN NOVEMBRE DERNIER.
Danielle Beaulieu (Hôtel de Mortagne, Boucherville) et Érick Tremblay (Resto-Pub Belles & Bum (La Malbaie), respectivement présidente et administrateur du CA de l’ARQ.
Les transformateurs bioalimentaires locaux ont présenté une multitude de produits d’ici aux visiteurs. PROCHAIN SALON :
• CHAUDIÈRE-APPALACHES 17 septembre 2024
La cache à Maxime (Scott)
Depuis le début du printemps et un partenariat avec les vins Delegat, les plus de 3 000 membres du Programme d’achats de l’ARQ peuvent bénéfciier de 7 % de ristourne et de prix compétitifs sur les vins Oyster Bay.
Le producteur de vins Delegat est effectivement connu principalement pour être derrière les vins Oyster Bay qui nous arrivent des régions de Marlborough et de Hawke’s Bay, en Nouvelle-Zélande.
Fondée en 1947, cette maison incarne l’esprit visionnaire de la viticulture néo-zélandaise. Au fil de deux générations et de six décennies, elle a acquis la
réputation d’être une entreprise viticole les plus réputées de la Nouvelle-Zélande en offrant aux amateurs de vins une expérience unique notamment en proposant des vins exubérants.
Distinguée deux fois au Best Worldwide Trophies London pour son Sauvignon blanc et son Chardonnay, en gagnant la médaille d’or et le très convoité trophée Marquis de Goulaine, la marque incarne l’esprit visionnaire de la viticulture néo-zélandaise. Sa gamme de vins délicieux est reconnue pour être élégante, intense avec de magnifiques saveurs de fruits. Que vous
optiez pour un Pinot grigio ou un Pinot noir, la marque Oyster Bay est un véritable incontournable!
Laissez-vous séduire par ces produits premium et commandez-les via notre Programme d’achats dès aujourd’hui! Pour en savoir plus, consultez-le restauration.org/delegat.
Entièrement cuites, préparées à partir de vrais œufs riches en protéines et prêtes à être ajoutées à vos plats populaires en quelques minutes seulement – les possibilités sont infinies!
DHC Avocats, partenaire exclusif de l’ARQ, offre un menu de services juridiques à la carte, concrets, simples et efficaces. En plaçant systématiquement le client au cœur de nos actions, nous tentons de réduire désagréments et frais. Depuis 1998, cette recette novatrice a fait de nous un des cabinets juridiques les plus importants au Québec.
Dominique Senécal Avocate 514-392-5738
Ligne sans frais : 1-877-499-5716
Première consultation juridique de 30 minutes gratuite et tarification préférentielle pour les membres de l’ARQ.
L’Association Restauration Québec (ARQ) a pour mission de fournir à l’ensemble des restauratrices et restaurateurs membres à travers le Québec des services complets d’information, de formation, de rabais, d’assurances et de représentation gouvernementale. Aujourd’hui, elle rassemble près de 5 300 membres!
Grâce à plusieurs partenaires d’envergure, les membres de l’ARQ peuvent bénéficier d’économies importantes sur leurs frais quotidiens.
Une économie potentielle de 11 000 $ par année, c’est possible avec, entre autres : Programme d’achats de l’ARQ 3
Mutuelle en santé et sécurité du
Service d’avocat et service comptable 30 min. gratuites - 15 % sur les honoraires
Depuis 2006, le Programme d’achats Privilège Plu$ (PAPP) permet aux membres de l’ARQ de faire des économies considérables, tout en obtenant des ristournes sur leurs achats auprès de plus de 100 partenaires!
Le Programme d’achats de l’ARQ c’est :
> Près de 3 100 membres participants;
> 7 800 000 $ en ristournes remis en 2022-2023;
> Une offre « vins et spiritueux »;
> Un volume d’achats de 318 M$ auprès des partenaires du programme.
UNE
Saviez-vous que les membres de l’ARQ ont accès à des agents d’information qui peuvent répondre à toutes questions concernant les lois, les règlements et autres sujets touchant la restauration? C’est simple et gratuit (service compris dans l’adhésion).
L’ARQ est un acteur clé et un interlocuteur incontournable dans tous les dossiers touchant de près ou de loin la restauration au Québec.
Quelques-uns des résultats obtenus par l’ARQ :
> Assouplissement des lois et règlements encadrant la vente et le service d’alcool;
> Aides fédérales et provinciales COVID-19;
> Mise en place du permis unique par catégorie d’établissement;
> Maintien du crédit d’impôt relatif à la déclaration des pourboires.
Dans le but de simplifier la vie de ses membres, l’ARQ a créé un espace qui leur est entièrement et exclusivement réservé sur son site Internet, restauration.org
De nature transactionnelle, l’Espace membre vous permet de renouveler votre adhésion en ligne d’un simple clic, de gérer votre profil et de consulter des documents exclusifs
SIMPLE ET RAPIDE
Pour créer votre compte, vous devrez donc vous rendre sur le site Internet de l’ARQ au restauration.org et cliquer sur l’une des deux icônes « Espace membre » de la page d’accueil. Vous serez ensuite redirigé vers la page d’accueil de l’Espace membre où il faudra cliquer sur « créer son compte » et suivre les instructions qui seront affichées. Pour une première connexion, vous aurez besoin de votre numéro de membre que vous pouvez retrouver sur votre certificat de membre ou sur votre facture d’adhésion ou de renouvellement.
Si vous avez besoin d’accompagnement pour créer votre Espace membre, n’hésitez pas à appeler le service aux membres de l’ARQ au 514 527-9801 ou, sans frais, au 1 800 463-4237!
PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS
Depuis le 22 septembre 2023, soit un an après son entrée en vigueur, la Loi modernisant des dispositions législatives en matière de protection des renseignements personnels implique de nouvelles responsabilités et obligations dans le secteur privé.
La Loi prévoit ainsi notamment que vous devez :
1) Nommer un responsable à la protection des renseignements personnels, dont les coordonnées devront être accessibles via votre site internet;
2) Rendre accessible de la même manière une politique de gouvernance en matière de protection de ces renseignements, rédigée en termes simples et clairs; et
3) Réaliser une évaluation des facteurs relatifs à la vie privée lorsque la Loi l’exige, notamment avant de communiquer des renseignements à l’extérieur du Québec.
La mise en œuvre de ces obligations pose des défis particuliers en restauration, dont la gestion des informations de vos
clients effectuant des réservations, l’utilisation de leurs renseignements personnels afin de mettre en place des infolettres ou pour dresser des listes de courriels visant à inciter le client à une seconde visite de votre établissement –ces pratiques courantes devront être revues à la lumière des nouvelles obligations de la Loi.
En effet, le respect des nouvelles règles concernant le consentement à la collection de renseignements personnels et le cycle de vie de ceux-ci commande une utilisation de ces renseignements en toute transparence avec vos clients et dans le respect du droit à la cessation de leur usage.
La Commission d’accès à l’information propose d’ailleurs les bonnes pratiques suivantes1 :
1) Faire l’inventaire des renseignements personnels détenus par votre entreprise (ou pour son compte et par un tiers) et évaluer leur sensibilité;
2) Tenir à jour cet inventaire pour rendre compte des changements susceptibles d’être survenus au sein de votre entreprise; et
3) Préciser les rôles et responsabilités des membres du personnel impliqués dans la protection des renseignements personnels tout au long de leur cycle de vie.
Afin de répondre aux défis et obligations imposés par la Loi, et pour des outils ainsi que des conseils, visitez le site Web de La Commission d’accès à l’information du Québec (CAI).
L’ARQ vous a aussi préparé le document Politique de confidentialité et de gestion des renseignements personnels pour vous aider dans vos démarches disponible au www.restauration.org
1 Nouvelles responsabilités des entreprises, pistes d’action et bonnes pratiques, Commission d’accès à l’information – 8 février 2023
1255, rue de l’Ancienne-Cartoucherie, local A Québec (Québec) G1N 1X8
Tél. : 418 380-2755 | Téléc. : 418 380-2757 commandes@emballagescapitale.com Horaire ouverture lun-ven : 8 h – 16 h 30 | sam-dim : fermé emballagesdelacapitale.com
Au cours des dernières semaines, la Fondation ARQ a remis de nombreuses bourses et a ainsi poursuivi sa mission : encourager et soutenir des étudiants de notre industrie.
CÉGEP LIMOILOU
Yanni Jouvrot, Raphaël Dumont et Frédéric Paradis au Programme de Gestion d’un établissement en restauration.
ÉCOLE HÔTELIÈRE DE LA MONTÉRÉGIE
Stage à Chambéry (Savoie) en France pour 14 élèves en DEP de Cuisine
À l’école avant le départ
ÉCOLE HÔTELIÈRE LA CAPITALE
Stage et échange professionnel (Bordeaux) pour 4 étudiants en DEP Cuisine et Pâtisserie.
Les étudiants Olivier Nadeau, Eugène Sioui, Vincent Cummings, William Beaulieu et leurs chefs enseignants Jean Vachon et Olivier Neau.
CONCOURS LE COLLECTIF
Le concours visant à récompenser les équipes qui s’impliquent dans leur établissement pour mettre en place des pratiques en ressources humaines innovantes et efficaces a pris fin il y a quelques semaines.
Le jury a délibéré durant le mois de mai pour évaluer les établissements dans lesquels les employés et leur employeur ont travaillé fort pour développer et conserver un climat de travail dynamique.
Plus de 20 participants ont envoyé leur candidature cette année. L’équipe gagnante se méritera une bourse de 3 000 $, l’équipe suivante recevra 2 000 $, enfin, une troisième équipe se verra octroyer la somme de 1 000 $. Avec ces bourses, une formation ou une activité collective pourra être organisée afin de souder l’équipe encore plus!
* Notezquelesgagnantsn’avaientpasencore étéchoisisàl’heuredelamisesouspresse.
Les élèves Savoyard et les élèves Québécois ensemble
La mission de la Fondation ARQ est de promouvoir l’éducation auprès des étudiants et des travailleurs de l’industrie via des bourses octroyées, les encourageant ainsi à se perfectionner et à parfaire leurs compétences et leurs qualifications.
Elle réalise et s’implique dans des activités, des campagnes et des événements voués à encourager l’excellence et le développement de la formation de la main-d’œuvre dans le secteur de la restauration.
Graphic Packaging International Canada ULC fait partie des plus grandes entreprises mondiales d’emballage. Elle fournit l’industrie des services alimentaires, en partenariat avec des marques et des distributeurs de premier plan dans tout le Canada, qu’il s’agisse de restaurants ou d’hôtels.
Louis Lemaire
Tél. : 514 891-3067 graphicpkg.com
M COACHING & COMMUNICATION
M Coaching & Communication (MCC) propose coaching, teambuilding et atelier de formation civilité et prévention violence et harcèlement. MCC offre des services de développement du savoir-être, du leadership, de l’intelligence émotionnelle et des habiletés relationnelles partout au Québec.
Chantal Forest Tél. : 581 984-7437 mcc-consultants.com
TECHNIREP
Depuis 1997, Technirep se spécialise dans la conception de système de chauffage infrarouge. Elle se démarque par une offre de produits diversifiés, ce qui permet de répondre avec précision aux besoins de ses clients, que ce soit dans le marché résidentiel, commercial, industriel ou institutionnel.
Olivier Guy
Tél. : 450 628-3030 technirep.ca
Depuis 2019, l’entreprise a acquis une expertise de haut niveau dans la gestion des services alimentaires en résidence de personnes aînées autonomes ou en perte d’autonomie.
C’est en 1957, dans le petit sous-sol de sa modeste demeure à Montréal, qu’Albert De Petrillo créa son premier vêtement de travail. Uniformes Town & Country était née. Sa vision avant-gardiste lui permit de créer des confections qui furent non seulement originales, confortables et durables mais aussi stylisées.
Qualité Réfrigération offre des services fiables d’installation, de vente et d’entretien de produits de réfrigération répondant à un large éventail de besoins commerciaux.
Richard St-Laurent
Tél. : 450 466-8444 amelys.ca
SCCPQ
La Société des chefs, cuisiniers et pâtissiers du Québec (SCCPQ) est présente dans toutes les régions du Québec et se développe à travers chacune d’elles. Elle offre plusieurs services aux membres, tout en les représentant auprès des différents paliers gouvernementaux afin de modifier des lois contraignantes pour l’exercice des professions regroupées.
Martin Lévesque
Tél. : 514 528-1083 sccpq.ca
ALLEMA GLOBAL INC.
Allema Global travaille avec plusieurs entreprises du domaine de la restauration. Que ce soit pour des restaurateurs locaux ou des groupes de services alimentaires, elle est votre partenaire techno pour la conception de plateforme de commandes personnalisées ou pour améliorer la visibilité de l’entreprise.
Audrey Compagnat
Tél. : 418 731-1888 allemaglobal.com
Annie Bergeron
Tél. : 450 622-5107 tcuniforms.com
L’Artisan du Canapé est né de la passion partagée entre un père et son fils pour la gastronomie. Forts de plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie alimentaire, ils ont décidé de mettre leur savoir-faire au service des amateurs de petites bouchées!
Asmaa El Janaty
Tél. : 438 835-5986 lartisanducanape.com
Grossiste dans le domaine de la décoration de dessert depuis plus de 50 ans, cette entreprise fabrique des chocolats et des mélanges de décorettes personnalisés. Elle propose également des chandelles, des flamèches, ainsi que 10 000 autres produits servant à rendre les desserts des restaurateurs plus attirants pour les yeux.
Sylvie Stortini
Tél. : 450 585-1687 vincentselection.com
Cynthia Zerbini
Tél. : 514 536-0131 qualiterefrigeration.com
L’entreprise propose des programmes comprenant la location de lave-vaisselle, de produits de nettoyage pour la cuisine et de systèmes de dilution, une gamme complète d’articles sanitaires pour la salle de bains et un ensemble de contenants pour la livraison de nourriture.
Chantal Julien
Tél. : 811 235-4496 servicelabcanada.com
CADEXAIR
Cadexair est une entreprise spécialisée en fabrication, entretien, nettoyage et inspection de système de ventilation de cuisines commerciales au Québec. Jonathan Tremblay
Tél. : 450 804-2289 cadexair.com
Les 1500 membres de la mutuelle font confiance à TELUS Santé (auparavant Solutions Mieux-être LifeWorks) pour :
Augmenter leur productivité.
Réduire leurs risques.
En bénéficiant des services de :
• Gestion des réclamations
• Gestion de la prévention
• Services juridiques et d’expertises médicales
Réduire leurs coûts.
• Capsules d’information destinées au secteur
• Formation et impartition de services en SST
Découvrez nos di érentes fiches informatives qui vous permettront de mettre en application certains savoir-faire de prudence et astuces du métier. Vous serez ainsi en mesure d’écarter tout risque de blessure facilement évitable.
Les années de pandémie de COVID-19 accompagnées de mesures sanitaires restrictives ont engendré une hémorragie de travailleuses et de travailleurs dans les services d’hébergement et de restauration québécois. Heureusement, au premier trimestre de 2024, ces industries ont retrouvé 94,4 % de leurs effectifs prépandémiques. Plus précisément, seuls 14 000 postes séparent le premier trimestre de 2019 de celui de 2024. Le nombre de chômeuses et de chômeurs a également reculé au cours de la même période. Il convient cependant de rappeler que la pénurie de main-d’œuvre ne s’est pas résorbée, car les industries de la restauration et de l’hébergement étaient déjà en situation de manque chronique d’employés avant la pandémie.
Enfin, il faut souligner que ces secteurs ont employé en moyenne 51 % de femmes et 49 % d’hommes au cours de l’année 2023. On peut donc réellement parler de milieux de travail paritaires.
Employés des services d’hébergement et de restauration en 2023
Source : Statistique Canada, Tableau : 14-10-0022-01
Source : Statistique Canada, Tableau : 14-10-0022-01
En mai 2024, la nette majorité des établissements de restauration québécois est composée de restaurants indépendants, soit 70,9 %. Les chaînes de cinq entreprises et plus ne représentent, quant à elles, que 29,1 % de l’industrie. La plupart des commerces de ce secteur sont des restaurants à service complet (59,3 %) et des établissements à service restreint (30,2 %).
Proportion de restaurants indépendants versus les établissements appartenant à une chaîne en avril 2024
Le souper (35 %) et le dîner (31,6 %) sont les principaux repas servis. Cependant, le déjeuner et le brunch représentent plus du quart (26,5 %) de l’offre alimentaire des restaurants québécois. Inversement, les services de nuit sont le type de repas le moins offert (6,8 %) dans la province.
Proportion des différents types d’établissements au Québec en avril 2024
Restaurants à service complet
Restaurants à service restreint
Restaurants à services spéciaux
Débits de boissons
Entre 2018 et 2022, la proportion de restaurants canadiens ayant déclaré des ventes par commerce électronique a plus que doublé, passant de 22,9 % à 51,4 %. Cette augmentation de l’utilisation du commerce numérique dans les restaurants canadiens s’explique évidemment par les fermetures et restrictions de capacité des salles à manger occasionnées par la pandémie de COVID-19. Cette croissance pandémique s’observe également dans la proportion du commerce en ligne dans les ventes totales qui a plus que triplé entre 2019 et 2020. Avec la fin des mesures sanitaire, ce boom semble s’estomper progressivement puisqu’en 2022 les transactions numériques ne représentaient plus que 9,8 % des revenus totaux des restaurants canadiens. Il demeure toutefois que les ventes en ligne de 2022 sont encore 47,9 % plus importantes que celles de 2019. Un changement dans les habitudes de consommations semble donc s’être opéré à la suite de la pandémie.
Il est également notable que les applications mobiles qui étaient utilisées par 67,4 % des restaurants canadiens en 2020 ont perdu 15 % de leurs utilisateurs issus de la restauration en 2022. Les restauratrices et les restaurateurs semblent désormais favoriser l’utilisation de sites Web, moins onéreux, pour développer leur commerce en ligne.
Évolution de la proportion de restaurants canadiens ayant déclaré des ventes par commerce électronique
Pourcentage des ventes totales des restaurants canadiens résultant du commerce électronique
Source : Statistique Canada, Tableau : 21-10-0232-01 Source : Statistique Canada, Tableau : 21-10-0249-01
Évolution des méthodes utilisées par les restaurants canadiens pour faire du commerce en ligne
Entre 2018 et 2023, le nombre total de permis de construction accordés à des restaurants québécois est demeuré presque identique. Cependant, au cours de cette période la quantité de nouvelles constructions a chuté de 47 %. C’est donc le nombre de permis accordés pour procéder à des améliorations de bâtiments existants qui a connu une augmentation entre 2018 et 2023. Pourtant, la valeur annuelle totale des permis de construction émis pour des travaux sur un bâtiment existant a diminué de 920 000 $ entre 2018 et 2023.
En d’autres termes, bien que le nombre de permis accordé ait augmenté, l’importance des travaux a diminué. L’immobilier n’échappe donc pas aux difficultés d’investissements que connaissent les exploitants de restaurants depuis la fin de la pandémie.
Valeurs annuelles des permis de construction accordés aux restaurants québécois de 2018 à 2023, en millions de dollars
Nombre de permis de construction accordés à des restaurants québécois de 2018 à 2023
Éditeur : ASSOCIATION RESTAURATION QUÉBEC
6880, Louis-H.-La Fontaine Montréal (Québec) H1M 2T2 Tél. : 514 527-9801 ou, sans frais, 1 800 463-4237 Courriel : info@restauration.org restauration.org
Conception, coordination et rédaction : Vincent Woerner
Révision : Nicolas Boullé, Dominique Tremblay, Martin Vézina
Impression : Reprodoc
L’ARQ Stats est publié six fois par année par la direction des affaires publiques de l’Association Restauration Québec. Les informations s’y trouvant peuvent être reproduites sans autorisation, à condition d’en mentionner la source.
Dépôt légal : Bibliothèque Nationale du Québec
Bibliothèque Nationale du Canada
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retour sur la dernière année de changement chez Martin Dessert
Autrefois représenté par une équipe de courtiers alimentaires, Martin Dessert avait le désir de reprendre le contact direct avec ses clients Avec le départ d'une toute nouvelle gamme en épicerie et l'agrandissement de l'équipe des ventes au siège social, l'idée que la force de vente soit en charge du segment du service alimentaire et celui du détailétaituneévidence
Notre équipe de vente interne se rapproche de nos clients avec passion. Leur expertise du marché nous permet d'adapter nos produits aux besoins actuels Ils collaborent étroitement avec nos partenaires du marché du détail pour une stratégie de vente efficace. Avec notre département en croissance, renforcer notre force de vente est essentiel pour soutenir notre expansion Le concept est très apprécié par toute l'équipe, et on ne se cache pas de vouloir, dans un futurrapproché,sortirduQuébec.
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