Jérémy Demay


Le voyage, c'est ce déplacer entre des lieux géographiques éloignés ou pas On peut le faire à pied, à vélo, en voiture, en train, en bateau, en avion avec ou sans bagages, d'aller simple ou aller retour, cela peut être court ou long
Selon le dictionnaire Merriam Webster, la première utilisation connue du mot voyage a eu lieu au XIVe siècle.
Je vais vous faire voyager par les mots, les idées des personnes que Marc Levalle invite dans son émission Je vous résume 1h de show en quelques lignes. Bon voyage
Anne Van den Sande" Malgré mes relectures, il y aura encore des fautes , ce n'est pas par manque d'intelligence mais par une logique non orthographique.
Si vous en voyez, partagez les moi en privé. Je vous remercie "
Je vous emmène en voyage avec Jérémy, nous voici fasse à une montagne Ça grandeur en impose, c ’est difficile de ne pas être impressionné quand on le voit. Il est d'ailleurs inconfortable avec ce regard que l’on porte sur lui.
Il a hésité à prendre des antidépresseurs et faire des rêves comme quand on boit pour oublier afin de se cacher de sa grandeur et de son cœur blessé.
Tout à commencer à l’âge de ses 8 ans, cet enfant découvre que rien n ’est immortel Son père est allé rejoindre les étoiles sans prévenir Comment va t il grandir sans la figure paternelle ?
Il a un trou dans l’âme, il ne comprend pas ce qu’il lui arrive il ne comprend pas que son père ne sera plus là Ce n ’est pas grave, se dit Jérémy, on va en trouver un autre ! Son trou dans l’âme à besoin de repère
C’est quoi la mort ? C’est l’abandon ? C’est être oublié ?
Pour lui se sera l’absence L’absence va faire partie de sa vie, ce sera sa compagne de vie C’est à cette absence qu’il voudra plaire, il va chercher durant des années à la satisfaire, à la faire exister
Il est comme une passoire qui cherche à se remplir d’amour, d’argent, de conquête mais rien ne reste tout passe et c ’est le vide qui remplit sa vie.
Cette passoire, lui fait penser à sa naissance, sa mère l’a provoqué, rejeté par sa mère et son père qui l’a abandonné
Que de vide devant lui.
Il est une passoire de l’amour ou tout glisse.
Il deviendra un alpiniste qui n ’ aura jamais suffisamment de sensation, il voudra toujours aller plus haut Ça deviendra son moteur de vie de toujours faire plus, plus de succès, plus d’amour, plus et encore plus Ce qui va le guider vers une chute
Pour comprendre, il va falloir partir loin pour ne plus entendre se vide et se trous à l’âme qui creusent son chemin
Le voilà sur un autre continent Dans l’avion une question vient à lui : Faut il souffrir pour apprendre qui on est, et ainsi développer ses forces intérieures ?
Une larme se pose sur sa joue C’est le début d’un long chemin vers soi, de solitude intérieure et de doute en sa capacité.
Il aime se sentir vivant, inconfortable aussi, c ’est une part de doute qu’il aime avoir pour rester éveiller
Il décide de devenir un explorateur de soi, finit de grimper dans le vide Mais pour ça il faudra faire des choix c ’est à dire laisser derrière lui ce qu’il n ’ aura pas pris, c ’est un peu comme une mort, un abandon
Il lui faut de la discipline, elle permet de contrôler ses choix, de contrôler la mort, la discipline va l’aider à croire qu’il est possible de contrôler son chemin de vie.
Son médicament pour alléger ses pensées ? C’est l’humour, c ’est grâce à cette puissance du rire qui impact les mots et qui devient de la joie, qui va lui permettre de se connecter à celui qu’il est Durant le rire, on quitte la façade que l’on s ’est créé, les doutes et les peurs Il en a fait son métier de faire rire les autres.
Aujourd’hui il dit : « Merci à mon père d’être mort, grâce à toi je ne suis pas passé à côté de moi, cette douleur m ’ a permis de ne pas courir à vouloir te plaire mais aller chercher mes forces intérieures et tu m ’ as obligé à ne pas attendre que l’on me sourît pour avancer »
Van den SandeL'art de faire ses valises, c'est l'art de continuer à voyager à l'intérieur de soi et de ne rien lâcher.Anne