

Témoignages
« Les formidables artistes de la Fondation
Théodora... Une explosion de couleurs rayonnante, joyeuse et touchante dans des moments particulièrement difficiles… C’est bon de vous avoir ! »
Nadja Imfeld, via Facebook
« C’est pour moi une joie et un honneur tout particuliers de soutenir la Fondation Théodora pour un projet aussi formidable. Les enfants hospitalisés ou avec des exigences spécifiques en institutions ont besoin plus que jamais de notre soutien �� »
Eveline Lehmann, conseillère dans le domaine psychosocial, via Instagram

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@FondationTheodora,
« Cher dr Wolle, la journée d’aujourd’hui à l’hôpital pédiatrique de Lucerne restera longtemps dans la mémoire de mon petit malchanceux, Elias. Il était très nerveux à cause de l’opération qu’il devait subir. En plus, il s’est cassé la cheville la veille. Mais tu as illuminé son visage d’un sourire et, grâce à ta présence, tu as pu faire disparaître son angoisse. C’est formidable de voir comment vous, les docteurs Rêves, réussissez pour un moment à dissiper toutes les peurs des enfants. Nous te remercions du fond du cœur. Continue ainsi. Nous ne t’oublierons pas. » Elias et maman Julia, via le site Internet

Couverture
Les docteurs Rêves Plume et Flash rendent visite à Quentin, 2 ans, et à ses amis « Kermit » et « Tigrou » au Centre hospitalier de Rennaz.
Impressum
Rédaction
dre Rockette
Papier

« Ça me touche toujours beaucoup de lire les articles de la newsletter. Merci à la Fondation Théodora ! »
Grieder, par e-mail
Le voyage immobile
Chères lectrices, chers lecteurs,
Lors de notre enfance, les séquelles du terrible accident d’André nous empêchèrent souvent de voyager. Qu’à cela ne tienne, Théodora notre maman, avait une formule idéale pour nos vacances, celle du voyage immobile.
Avec son imagination débordante et en association avec notre père Jan, leurs histoires et anecdotes de voyages nous faisaient découvrir des continents et des cultures éloignés. Mon père se transformait en projectionniste des films super 8 qu’il réalisait à merveille, toujours dans le vif de l’action. Nous ne comptions également plus les soirées diapositives enrichies de moults détails et descriptions.
L’aventure, le voyage, l’évasion sont aussi le fruit de l’imagination et ceci est un trésor pour les enfants hospitalisés. Cependant, la maladie et les accidents ne prennent malheureusement jamais de congé. C’est pour cela que nous sommes là, toute l’année durant avec des équipes qui s’organisent pour être disponibles, afin de soutenir enfants, parents et personnel hospitalier.
Dans cette édition, nous vous convions à partir en voyage avec les doc teurs Plume et Flash. Un voyage tout en légèreté, subtilité et humour et ce même pour des bébés, dont l’aventure de la vie ne fait que débuter. Comme l’écrit si bien notre reporter, il n’y a pas d’âge pour commencer à rêver comme d’ailleurs, il n’y a pas d’âge pour voyager. C’est cela aussi Théodora, l’aventure et l’évasion au pied d’un lit d’hôpital, de même qu’en route pour une chirurgie ou dans une salle d’attente des urgences de pédiatrie. Le rêve et l’imagination comme antidote contre l’ennui et l’anxiété.
Chers amis, nous vous sommes si reconnaissants d’offrir aux enfants vivant avec un handicap et hospitalisés, année après année, des dizaines de milliers d’escapades magiques, colorées et joyeuses. Elles sont source d’énergie positive tout comme votre confiance l’est pour nous. Chaleureusement,

Reportage 4
Des bulles de fraîcheur à l’hôpital
L’invitée 7

Lidia Seydoux, un influenceuse au grand coeur
Cartes de voeux solidaires 8 Offrez deux fois plus de joie
Engagement 11 Tommy à l’hôpital
Partenaire 13 Degussa Goldhandel Suisse
Focus 14
Tous les enfants ont droit au spectacle
Le coin des enfants 15
Relie les points du docteur Rêves !
News 15
Des rires aux urgences
André et Jan Poulie, fils de Théodora et fondateurs.

Des bulles de fraîcheur à l’hôpital
Toute l’année durant, les artistes de la Fondation Théodora se rendent chaque semaine dans les hôpitaux pour apporter soutien et réconfort aux enfants hospitalisés. La période des vacances d’été ne fait pas exception. Ainsi, le temps d’une matinée de juillet, nous avons accompagné les docteurs Plume et Flash au Centre hospitalier de Rennaz, afin de voir comment se déroulent ces visites pendant cette parenthèse estivale.
Il est 8h45 en ce chaud mois de juil let et les rayons du soleil illuminent déjà les majestueuses montagnes qui entourent le Centre hospitalier de Rennaz. Direction le deuxième étage, au Service de pédiatrie. David et Pascal, deux artistes de la Fondation Théodora, passent en revue avec l’équipe soignante la liste des enfants hospitalisés ce jour-là. Âge, état de santé ou pré caution particulière à prendre, le duo note soigneusement chacune de ces informations pour préparer au mieux leur visite. Ce matin, il y a donc Pauline, Thomas, Jules et Estelle à l‘étage, sans compter les patients admis aux urgences. Une réalité qui nous rappelle que, même au cœur de l’été, la maladie et les accidents ne prennent pas de vacances.
Éventails fruités
Une dizaine de minutes plus tard, nous retrouvons David et Pascal métamorphosés respectivement en
docteur Flash et en docteur Plume. Tout en grâce et légèreté, dr Plume est reconnaissable à son chapeau bleu et orange, deux couleurs que l’on retrouve sur le reste de sa tenue, et ce jusqu’aux chaussettes ! Dr Flash, quant à lui, arbore un éclair doré au dos de sa blouse et des baskets rouge et blanche avec lesquelles on l’imagine sans problème courir à la vitesse de la lumière. Bref, un duo parfaitement complémentaire qui s’est équipé en circonstances pour cette chaude journée d’été. Alors que Plume a ajouté un éventail motif pastèque à sa panoplie, Flash a lui opté pour une version citron et porte aussi autour du cou un mini ventila teur rose en forme de lapin. Tout est prêt, la visite peut commencer.

Les artistes déambulent dans les couloirs colorés du Service de pédiatrie qui sont décorés de petits animaux et personnages sympa thiques. Une initiative bienvenue qui donne une atmosphère chaleureuse
et enfantine au lieu. Arrivés devant une porte vitrée, une coccinelle aux yeux pétillants nous souhaite la « Bienvenue en Néonatologie ». Oui, nous sommes chez les tout-petits et cela tombe bien, car il n’y a pas d’âge pour commencer à rêver.

Sieste à « papa plage »
Nous y retrouvons Thomas qui a fait connaissance avec ses parents depuis seulement six semaines. Un petit ourson à ses côtés, le nou veau-né s’agite dans son berceau en poussant des cris par intermittence. Après avoir reçu la permission d’en trer, les docteurs Rêves s’approchent doucement du bambin et de son papa qui veille sur lui. C’est l’heure de la sieste. Enfin, cela devrait être le cas, mais Thomas ne semble pas disposé à rejoindre tout de suite les bras de Morphée. Soudain, une douce musique se fait entendre dans la chambre. C’est docteur Plume qui fait résonner les notes de sa kalimba. Docteur Flash, de son côté, offre un peu de fraîcheur au papa à l’aide de son éventail. Mais ce n’est pas encore assez pour le petit Thomas qui continue de s’agiter. Son papa le sort alors de son berceau pour le blottir délicatement sur sa poitrine. Voilà, c’est ce qui manquait. Bercé par les notes de kalimba, le bambin s’apaise petit à petit avant de s’en dormir paisiblement dans les bras de son père. Mission accomplie. En souvenir de ce moment, les docteurs Rêves laissent une carte postale sur le berceau de Thomas sur laquelle on peut lire : « Thomas, on te sou haite une belle sieste à papa plage ! Dr Plume + dr Flash ».
Aux Champs-Élysées
C’est au tour de Pauline, 9 mois, de recevoir la visite des docteurs rigolos. Dès le début, la fillette est fascinée par ces deux personnages hauts en couleur et le fait savoir avec sa petite voix. « Eh bien, tu nous en racontes des histoires », commente dr Flash. « Je ne sais pas de qui ça vient… », répond du tac au tac le papa pour plaisanter. En effet, très communicatif, ce dernier profite tout autant que sa fille de la présence des artistes. Pendant que Plume fait tournoyer son chapeau sur le bout de son doigt, pour le plus grand bonheur de Pauline, le papa discute de tout et de rien avec le docteur Flash. Des moments d’évasion, loin des préoccupations du quotidien, qui sont tout aussi importants pour les parents. La visite finit en apothéose
avec des bulles de savon propul sées par le ventilateur aux oreilles de lapin du dr Flash. « Des bulles de fraîcheur, un peu comme des glaces », commente l’artiste, « celle-là est à la vanille, l’autre à la framboise, choco lat, raclette, euh, non ». Rire général. Au moment du départ, docteur Flash remonte le mécanisme de sa boîte à musique « Les Champs-Élysées ».
Les premières notes résonnent et tout le monde, même Pauline (à sa façon), chante en cœur le refrain de la célèbre chan son. Alors que les artistes quittent la pièce, le papa les remercie chaleu reusement pour ce joyeux moment.
les artistes ont un mot pour chaque personne qu’ils croisent et laissent toujours derrière eux des sourires.
Sur le chemin des urgences pédia triques, Plume et Flash rencontrent le petit Cimran et ses parents. La famille ne parle pas français, mais les artistes vont vite démontrer que le rire ne connaît ni langue ni frontière.


« Les maladies et les accidents ne prennent pas de vacances. »
Le jeune garçon apprivoise rapide ment les docteurs Rêves et sautille de joie à chacun de leur numéro, des étoiles plein les yeux. Une scène qui fait plaisir à voir et que les parents immortalisent avec leur téléphone.
En suivant les docteurs Rêves dans les couloirs de l’hôpital, on se rend vite compte qu’ils font par tie intégrante de l’équipe. Que ce soient les soignants, les personnes en charge de l’entretien ou à l’accueil,
Selfies avec Kermit et Tigrou Arrivés aux urgences, Flash et Plume font la connaissance de Quentin, 2 ans, et de son papa. Lolette à la bouche, le bambin tient fermement ses deux doudous dans les bras :
Pour le petit Cimran, la salle d’attente se transforme en salle de jeux, grâce à la présence des drs Rêves.
Pauline, 9 mois, est fascinée par le chapeau tournoyant du docteur Rêves.Kermit la grenouille et Tigrou. À la vue des premières bulles de savon, Quentin pousse un cri de joie qui fait s’envoler sa lolette. Mais c’est surtout l’appareil photo miniature du docteur Flash qui semble l’intéresser. « Attends, attends, je te prends en
photo et j’envoie l’image en Blue tooth à dr Plume », lui dit le docteur Rêves. « Photo bien reçue ! », répond docteur Plume qui tend un petit miroir à Quentin. Ce dernier observe avec amusement son reflet dans la glace en pointant le doigt et répé tant son prénom. Bien évidemment, Kermit, Tigrou et même papa auront droit à leur portrait, pour la plus grande joie de Quentin. Il recevra même une photo imprimée de Ker mit, sous la forme d’une gommette grenouille. Enfin, c’est au rythme des maracas que le duo prend congé du petit garçon, de Kermit et de Tigrou. Car oui, d’autres enfants attendent encore leur venue.
quitter l’hôpital entre temps. Flash et Plume auraient bien évidemment adoré faire sa connaissance et voya ger avec lui dans un monde de rire et de rêves. Mais ils sont surtout contents et soulagés de savoir qu’il pourra profiter de ces belles jour nées d’été aux côtés de sa famille et ses amis. Et c’est tout ce qui compte.
Quentin ne se lasse pas de voir son reflet, et celui de ses doudous, dans le petit miroir du dr Plume.
Après avoir rendu visite au petit Antoine aux urgences, Flash et Plume retournent au 2e étage pour prendre des nouvelles de Jules. L’enfant étant en isolement, il est le dernier à recevoir la visite des docteurs Rêves, comme le veut la procédure. Mais surprise, Jules a pu

« Certains enfants sont presque contents d’être à l’hôpital »
Durant notre reportage au Centre hospitalier de Rennaz, nous nous sommes entretenus avec Isabelle Buttet, infirmière cheffe du Service de pédiatrie, sur les bienfaits apportés par la présence des docteurs Rêves.

Quelle est la réalité d’un service de pédiatrie en plein été ?
En général, l’activité en pédiatrie est plus accrue en hiver, mais cela a passablement changé depuis la pandémie. En effet, nous avons de plus en plus d’admissions cet été qui sont liées à des virus que nous trouvons habi tuellement en hiver.
Quel regard portez-vous sur le travail des docteurs Rêves ?
Un regard plus que positif. Ce sont des moments d’éva sion pour les patients, clairement, mais aussi pour les parents et le personnel. Cela fait du bien à tout le monde de les voir déambuler dans les couloirs et mettre un peu de joie. Voir la réaction des enfants à la suite de leur passage est aussi très gratifiant. Certains enfants sont presque contents d’être à l’hôpital. Cela nous aide
aussi dans les soins, car nous avons des enfants plus détendus, mais aussi des parents plus détendus. Pour l’équipe soignante, la Fondation Théodora fait partie intégrante de l’équipe.
Quel bilan tirez-vous du programme d’accompa gnement chirurgical qui est aussi donné dans cet hôpital, deux fois par semaine ?
Le bilan est à nouveau plus que positif. C’est vraiment un plus pour les enfants, mais aussi les parents. C’est d’ailleurs eux qui sont souvent le plus affectés, en termes de stress, avant une intervention, ce qui est normal. Voir son enfant plus serein et partir avec les docteurs Rêves dans un monde imaginaire, cela aide passable ment les parents. Au niveau des soignants, c’est aussi un grand plus d’avoir des enfants plus détendus. C’est également le cas pour les anesthésistes. Grâce à cet accompagnement, nous n’avons plus besoin de donner aux enfants des prémédications avant le passage au bloc. Le fait que les artistes soient là tout au long du processus opératoire est un fil rouge extraordinaire pour les petits patients.
Trois mots pour décrire la Fondation Théodora ? Respect, joie et bienveillance.
Texte: Franco Genovese Photos: Pierre-Yves MassotL'invitée
« Théodora a apporté beaucoup de bonheur à notre famille »
Entrepreneuse et influenceuse, Lidia Seydoux a soutenu la Fondation Théodora en mars dernier, durant la « Semaine du bonheur ». Une décision notamment motivée par son vécu et ses précédentes rencontres avec les docteurs Rêves. Interview.
Lidia, comment es-tu devenue influenceuse ?
Au départ, lorsque j’ai ouvert mon compte Instagram, ce n’était pas dans l’idée de devenir « influen ceuse ». D’ailleurs, je n’aime pas vraiment utiliser ce terme. C’était en avril 2020, lors du premier confine ment. C’était un contexte particulier, tout le monde était sur les réseaux et cela me faisait du bien de par tager un peu de ma vie avec mes abonnés. Puis un jour, j’ai découvert TikTok grâce à mon fils de 14 ans, Isham, et ma petite sœur Chloé. J’ai fait une vidéo avec mon fils que j’ai aussi publiée sur Instagram. La vidéo a fait plus d’un million de vues et j’ai gagné plus de 10’000 abonnés. C’est à ce moment que j’ai reçu mes premières demandes de partenariat.
Tu as accompagné la docteure Kawaii lors d’une de ses visites pendant la Semaine du bonheur. Quels souvenirs en gardes-tu ? C’est un magnifique souvenir ! Déjà, lorsque la Fondation m’a contactée, j’ai été très émue et j’ai tout de suite accepté. Pas en tant qu’« influence », mais simplement comme une per sonne qui souhaitait passer une

journée avec ces enfants à l’hôpi tal. Mon sentiment après cette visite, c’était du bonheur et de la recon naissance. On oublie trop souvent la chance que l’on a.
Quelles ont été les réactions sur les médias sociaux ?
Les réactions que j’ai reçues ont été très positives. Beaucoup de personnes ont été touchées et ins pirées. Certains m’ont dit que c’était aussi leur rêve de pouvoir apporter des sourires et donner de son temps aux enfants hospitalisés.
Tu as récemment émigré à Mar rakech avec ta famille. Est-ce que tes abonnés continuent de te suivre ? Qu’est-ce qui a changé pour toi en tant qu’influenceuse ?
Oui, nous avons pris cette grande décision. Nous avions besoin de changement et de nouveaux projets. Mes abonnés continuent de me suivre, oui, et heureusement. C’est en grande partie grâce à eux que je ne me sens pas totalement seule dans cette nouvelle aventure. Pour ce qui est de mon activité sur les réseaux, je dirais que le contenu est plus facile à gérer, que le cadre est
magnifique pour mes photos et qu’il fait toujours beau (rires).
Ton contenu est généralement associé à l’humour. Est-ce impor tant pour toi de répandre de la bonne humeur ?
Oui, j’ai toujours aimé rire et ne pas me prendre au sérieux. C’est mon caractère. Déjà à l’école, j’ai toujours été le clown de la classe et cela me suit encore aujourd’hui (rires). Je dirais que l’humour est aussi une carapace que je me suis construite. J’ai toujours montré que tout allait bien, même quand ça n’était pas le cas. Cela m’a permis de rester debout dans les épreuves de la vie. Donc, quand je reçois des messages de personnes qui me disent « je ne me sentais pas bien aujourd’hui, mais ta vidéo m’a redonné le sou rire », rien ne peut me rendre plus heureuse.
Quel regard portes-tu sur la Fon dation Théodora ?
J’apprécie la Fondation Théodora pour tout ce qu’elle apporte aux enfants hospitalisés. Je le sais par mon vécu avec ma petite sœur Chloé qui a été atteinte d’une leu cémie à l’âge de 9 mois. Elle a passé ses premières années à l’hôpital et le combat a duré 6 années. Les docteurs Rêves de la Fondation ont grandi avec elle, avec nous, et nous ont apporté du bonheur. J’ai beau coup de souvenirs avec la Fondation, des moments de joie, de consola tion, de soutien, c’est comme une famille.
Que souhaites-tu à la Fondation Théodora pour l’avenir ?
Je lui souhaite de durer, qu’elle puisse évoluer aux rythmes de tous les enfants hospitalisés et que chaque enfant puisse recevoir la visite des docteurs Rêves.
Un grand merci Lidia pour cette interview et pour ton précieux soutien!
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Tommy à l'hôpital
Pour son mémoire de maturité, Virginia Celia Kaeser s’est inspirée de la Fondation Théodora pour rédiger et illustrer « Tommy im Spital » (Tommy à l’hôpital), un conte dont le récit fait chaud au cœur. Elle nous révèle dans l’interview qui suit comment cette collaboration a vu le jour.

Virginia, pour ton livre pour enfants, tu t’es inspirée de notre docteure Rêves Floh et de son travail à l’hôpital. Qu’est-ce qui t’a frappé en particulier ?
Avant de rédiger mon récit pour enfants et de l’illustrer, la Fonda tion Théodora m’a permis de m’entretenir par téléphone avec la docteure Rêves Floh. Dès la première seconde où elle m’a raconté ses visites à l’hôpital, elle m’a attirée dans le monde de l’imaginaire et du merveilleux travail de la Fondation Théodora. Ce que la dre Floh ne sait pas, c’est que j’ai eu les larmes aux yeux à plusieurs reprises au cours de cet entretien téléphonique de près de deux heures, mais c’était des larmes de joie. J’étais totalement sous le charme, profondément impressionnée par le travail des docteurs Rêves et extrêmement motivée pour consacrer mes dernières grandes vacances d’été à écrire ce livre illustré.
Ton livre pour enfants tourne autour de l’impact de l’imaginaire. Pourquoi ce sujet est-il important pour toi ?

Les enfants ont une capacité d’imagination tout simple ment magique. Je suis moi-même infiniment reconnais sante à ma propre imagination enfantine qui m’a permis d’avoir constamment à mes côtés des amis invisibles qui m’accompagnaient. Pendant longtemps, j’ai pu suivre une thérapie artistique où j’ai donné libre cours à mon imagination, et je me suis ainsi créé un monde imaginaire pour fuir ce que la vie peut avoir de déplaisant.
Que souhaites-tu transmettre aux enfants avec ton livre ? Je voudrais faire naître un sourire sur les lèvres des enfants hospitalisés lorsqu’ils plongent dans l’univers de l’ours Tommy. J’aimerais qu’ils conservent toujours l’accès à leur monde imaginaire, car il n’y a que lui qui nous permette de rêver.
Les docteurs Rêves interagissent très souvent avec les enfants hospitalisés. Existe-t-il aussi une interac tion dans ton livre pour enfants ? En téléphonant à la dre Floh, j’ai réalisé à quel point les visites à l’hôpital étaient personnalisées, car elles sont toutes adaptées à chaque enfant. Pendant le processus d’écriture, j’ai eu l’idée d’intégrer des passages interactifs dans mon récit. À ces endroits, la personne qui raconte l’histoire peut poser des questions aux enfants, comme le font les docteurs Rêves. Grâce à cette interaction,
l’enfant se sent plus proche de l’ours Tommy, et donc aussi de l’histoire, et sa propre imagination est stimulée.
Pour ton mémoire de maturité, tu as écrit tous les textes et réalisé les illustrations toi-même. Qu’estce qui a été le plus facile ?
Imaginer et illustrer sont deux de mes plus grands dons, à mon avis. Les idées me sont venues toutes seules ou sont nées des interactions avec les enfants dont je m’occupe comme baby-sitter. Cela a déclen ché un merveilleux processus créatif. Les heures de travail d’illustration ont été un vrai plaisir. Lorsque le squelette de l’histoire a été établi, j’ai été aidée pour la partie rédactionnelle. J’ai eu beaucoup de peine à exprimer mon imagination en mots compréhensibles et adaptés à l’âge de mon public. Katrin Niess m’a beaucoup soutenue dans ce domaine. Elle est ensei gnante d’école enfantine et joue chaque année dans des pièces de théâtre à Buochs. En tout, près de 100 heures de travail ont été nécessaires pour créer ce livre, mais cela en valait la peine. Tout mon travail a déjà été récompensé par tous les rires reçus lors de mes lectures « en avant-première ».
Nous remercions Virginia de nous avoir accordé cette interview passionnante et pour son engagement en faveur des enfants, et nous lui présentons de tout cœur tous nos vœux de succès !
Lisez l’interview complète sur www.theodora.ch/tommy
500'000 pas pour une bonne cause

Cette année encore, Sonja Berger et Pascal Ott ont lancé un appel sur LinkedIn pour leur marche caritative en faveur de la Fondation Théodora. Pendant deux jours, ils ont ainsi parcouru à pied, avec Sandra Ischi et René Lehmann, la distance qui relie Soleure à Bâle. Sur certains tronçons, ils ont également été accompa gnés par Melanie Wieland et Urs Ott. Ensemble, cette joyeuse troupe de marcheurs a effectué 84 kilomètres, pour 500'000 pas, en trois étapes. Au travers de ce défi, ils ont récolté CHF 8'888.- sur la plateforme en ligne « Give a smile » de la Fondation. Avec la marche de l’an dernier, ce sont au total CHF 20'000.- qui ont


pu ainsi être recueillis. Une magnifique somme qui a permis d’offrir à 1’000 enfants hospitalisés la visite d’un docteur Rêves. Un grand merci au groupe de marcheurs pour leur soutien !
Pompiers du cœur
Depuis plus de 10 ans, la Fondation Théodora peut se réjouir du soutien des pompiers de Grüningen (ZH) avec la somme globale d’environ CHF 8'000.-. Chaque année en décembre, les soldats du feu font une pause dans leurs entraînements. Aussi, en 2010, trois pompiers ont eu l’idée d’organiser au dépôt de Grüningen, juste avant Noël, un brunch festif avec un généreux buffet pour les membres et non-membres. La collecte et la recette de la vente aux enchères de sapins de Noël sont versées chaque année à la Fondation Théodora. Ces dernières années, jusqu’à 150 personnes ont participé à la traditionnelle manifestation. Si les conditions sanitaires le permettent, cette année encore bonne action et convivia lité seront de nouveau au rendez-vous autour d’un bon buffet. Nous les remercions du fond du cœur.
Une jeune artiste engagée
La petite Mia Zoe, 10 ans, adore peindre. Depuis la 4P déjà, elle réalise de magnifiques toiles acryliques. Le fait que de nombreux enfants soient à l’hôpital la préoccupe beaucoup. Elle estime qu’ils méritent tout particulière ment de pouvoir sourire. Aussi, elle a décidé de vendre ses œuvres dans le cadre privé à des amis, des connais sances et à sa famille. Elle a ainsi récolté pas moins de CHF 440.- pour offrir des moments de rire et de joie aux enfants hospitalisés et en institutions spécialisées. Merci beaucoup, Mia Zoe, et continue de peindre avec plaisir !

Un arbre à sourires chez les hérissons
Fin août, la Fondation Théodora était à l’honneur lors de la 11 e édition du festival pour enfants « Hérisson sous gazon » à Charrat (VS). Après plusieurs années de pause, ce retour a été un succès avec plus de 6’000 personnes rassemblées sur le site, durant deux jours. Petits et grands ont notamment eu l’occasion de visiter le stand de la Fondation et son arbre à sourires qui a été garni de nombreux messages de soutien pour les enfants hospitalisés.

Partenaire
Degussa Goldhandel AG, le prin cipal fournisseur de pièces et de lingots d’investissement en Suisse, renforce son partenariat avec la Fondation Théodora. Andreas Hablützel, CEO de Degussa Gold handel Suisse, précise les raisons qui ont motivé cet engagement.

Pourquoi Degussa Goldhandel Suisse soutient-elle la Fondation Théodora en tant que Social Partner ?

Nous avons été très impressionnés d’apprendre que la Fondation Théodora réalise chaque année au total plus de 100’000 visites de docteurs Rêves auprès d’enfants hospitalisés en Suisse. Depuis près de 30 ans, la Fondation fait ainsi naître, comme par magie, des sou rires sur les visages des enfants et de leurs proches qui traversent des moments difficiles. Pour nous, c’est un honneur de pouvoir soutenir la Fondation dans ce travail.
Qu’est-ce qui lie Degussa Goldhandel Suisse et la Fondation Théodora ?
Avec leur travail, les docteurs Rêves de la Fondation Théodora apportent de la joie et du réconfort. À nos yeux, c’est un travail extraordinaire et d’une très grande importance, qui vaut tout l’or du monde - dans le sens propre du terme. C’est pour quoi, depuis 2020, Degussa soutient la « Semaine du bonheur », par
exemple avec notre lingot d’or fin cadeau de 5g baptisé « Le rire d’un enfant vaut tout l’or du monde ».
Que pensez-vous du travail des docteurs Rêves de la fondation?
Maria Montessori disait jadis : « Ce n’est pas à l’enfant de s’adapter à l’environnement. C’est à nous d’adapter l’environnement pour l’enfant. » Nous sommes convaincus que les docteurs Rêves de la Fon dation Théodora sont les personnes par excellence pour œuvrer dans ce sens. Grâce à leur travail, c’est l’envi ronnement hospitalier qui s’adapte aux besoins de réconfort de l’enfant et de ses proches pendant quelques précieux moments.
Comment décririez-vous la fon dation en quelques mots ?
Je dirais simplement : « Le rire d’un enfant vaut tout l’or du monde. »
Nous remercions Degussa Gold handel Suisse pour son soutien!
Lisez l’interview complète sur www.theodora.ch/degussa
Le rire d’un enfant vaut tout l’or du mondePhoto : Mélanie Leal Photo : Degussa
« Tous les enfants ont droit au spectacle »

En parallèle à sa présence en milieu hospitalier, la Fondation Théodora a développé des programmes spécialement destinés aux enfants en situation de handicap qu’elle déploie aujourd’hui dans 27 institutions spécialisées. Tour d’horizon des enjeux et de la spécificité de ces programmes avec Thierry Jacquier, docteur Rêves et formateur à la Fondation Théodora.
Thierry Jacquier, quelles sont les différences entre les visites à l’hôpital et celles réalisées en institutions spécialisées ?
L’approche est totalement différente, et ce sur bien des points. Quand nous nous rendons dans les institutions spécialisées, déjà, nous ne sommes plus des docteurs Rêves, mais des « Monsieur et Madame Rêves ». Le handicap n’est pas une maladie, c’est un état de fait. Dans le même esprit, nous arborons une tenue dif férente des blouses blanches utili sées dans les hôpitaux. L’approche et le contact que nous avons avec les enfants sont aussi bien particuliers.
La grande différence par rapport à l’hôpital, c’est que les enfants ne trichent absolument pas. S’ils ne sont pas ouverts, il y aura un stimulus, que ce soit par le regard, la parole ou l’attitude corporelle, qui va nous dire : je suis avec toi ou je ne suis pas
avec toi. Il y a moins de filtres, mais c’est ça qui est génial.

Comment se déroulent ces visites de « Monsieur et Madame Rêves » ?
Cela dépend des institutions, nous nous adaptons à leur fonctionne ment et à leurs attentes. Il s’agit réel lement d’une co-construction avec les équipes éducatives. Parfois, nous intervenons dans une classe qui va mettre en pause son activité pour notre visite. Durant ce moment, nous proposons une mini performance ou une activité. Dans d’autres ins titutions, nous intervenons dans un lieu de vie. Nous allons donc inté grer ce lieu de vie, cela peut être au moment du lever, du goûter ou durant des moments de loisir. Dans ce cas, nous sommes en quelque sorte des copains qui viennent passer du temps avec les enfants, en intégrant leur quotidien. Nous arrivons parfois avec un thème, par exemple les avions en papier. Parfois cela va marcher, parfois pas. Et dans ces cas-là, nous pouvons compter sur le soutien des équipes éducatives pour corriger le tir et adapter notre proposition. Cela demande parfois du temps, c’est certain. Je pense en particulier à un enfant qui a mis cinq ans pour accepter ma présence. Mais aujourd’hui, c’est le premier à m’attendre sur le pas de la porte les jours de visite.
Quel genre de défis devez-vous relever lors de ces visites ? Nous rencontrons aussi des enfants en situation de handicap lourd dont il est difficile de percevoir le ressenti. Mais avec le temps et surtout avec
l’aide de l’équipe éducative, nous allons pouvoir percevoir et inter préter certains détails, que ce soit un son, un regard, une posture, qui nous permettront de leur proposer des moments ludiques adaptés à leurs besoins.
Pouvez-vous nous dire quelques mots sur « Le Petit Orchestre des Sens » ?
Ce programme est parti d’un constat : dans leur vie quotidienne, les enfants en situation de handi cap ont peu accès au spectacle. Ce sont souvent des endroits bruyants et pas vraiment pensés pour ces eux. Mais ces enfants, ils ont aussi droit au spectacle et donc, avec le « Petit Orchestre des Sens », c’est le spectacle qui vient à eux. Concrète ment, ce programme est donné par un trio d’artistes et suit un canevas musical très simple : un moment d’accueil, un moment d’histoire et un moment final. Lors de chacun de ces moments, nous donnons la possibilité aux enfants d’interagir via leurs sens.
Personnellement, que tirez-vous de votre travail dans les institutions spécialisées ?
Comme je l’ai dit, le retour des enfants est direct, fort, vrai et pur. Alors quand ils sont contents de vous voir, ils vous le montrent plei nement. Nous recevons beaucoup en retour. C’est un programme qui a toute sa raison d’être.
Lisez l’interview complète sur www.theodora.ch/thierry-jacquier
Le coin des enfants
Relie les points du docteur Rêves!
La Fondation en bref
5 programmes proposés Docteur Rêves
Accompagnement chirurgical Monsieur et Madame Rêves Petit Orchestre des Sens Les P’tits Champions
75 artistes professionnels 100'000 visites annuelles auprès des enfants
29 ans de sourires offerts grâce à votre soutien 60 établissements visités chaque semaine
Attribution d’un don de 20 francs
CHF 17.- mission auprès des enfants
CHF 2.- collecte de fonds et communication

CHF 1.- soutien des programmes européens
Les comptes 2021 sont disponibles sur www.theodora.ch/finances
Des rires aux urgences
Les urgences sont un lieu où la tension et le stress peuvent être très élevés, aussi bien pour les jeunes patients et leurs proches que pour le personnel hospitalier. À l’hôpital pour enfants d’Aarau, depuis janvier 2022, un docteur Rêves rend visite aux enfants et à leurs parents aux urgences un soir par semaine, dans le cadre d’un projet pilote. Les retours sont très positifs, en particulier de la part du per sonnel. Il peut faire appel au docteur Rêves également pour être soutenu lors d’interventions, par exemple, pour retirer des fils ou faire une piqûre.

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