Winter Guide

Novembre ’25
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Novembre ’25
La skieuse valaisanne revient sur son parcours exceptionnel, ses victoires marquantes et son attachement profond à sa région natale.
Frédéric Favre
L’hiver qui s’annonce promet d’être exceptionnel pour les amateurs de sports de neige. Si les Jeux olympiques de Milan-Cortina en février seront le point culminant de la saison, la Suisse joue déjà un rôle central sur la scène mondiale. Rappelons que les athlètes qui feront vibrer – et parfois émouvoir jusqu’aux larmes – le monde entier, que ce soit en direct ou en différé, sont très probablement déjà passés par la Suisse récemment ou s’y rendront prochainement.
Chaque année, les stations emblématiques de Wengen, Crans-Montana, St. Moritz et Adelboden accueillent les meilleurs skieurs et skieuses du circuit pour les étapes de Coupe du monde. En 2027, Crans-Montana deviendra le cœur du ski alpin avec les Championnats du monde, confirmant le statut de la Suisse comme terre d’élite. Ces pistes, conçues pour les meilleurs athlètes au monde, restent accessibles au public tout au long de la saison. Et si leur entretien selon les standards FIS représente un certain coût, les retombées sont immédiates et indéniables pour les skieurs amateurs. Mais le ski alpin n’est évidemment pas seul à susciter des passions. Lenzerheide a récemment accueilli des Championnats du monde de biathlon mémorables, tandis que l’Engadine a vibré au rythme du ski et du snowboard freestyle. Le Corvatsch, avec son parc de freestyle parmi les meilleurs au monde, incarne cette excellence. Le ski-alpinisme, en pleine expansion, fera son entrée aux Jeux olympiques comme sport invité en 2026. Et c’est à Morgins, au cœur de la région de la Dent du Midi, que se sont déroulés les derniers Mondiaux. L’essor de la pratique de la « peau de phoque » a poussé de nombreuses destinations à créer des rando-parcs sécurisés, conciliant plaisir sportif et respect de la faune et de la flore. Les amateurs de vitesse avaient rendez-vous à St. Moritz en 2023 pour les Championnats du monde de bobsleigh et de skeleton. Depuis 1904, la mythique piste Olympia Bob Run – unique piste de glace naturelle au monde – offre une expérience inoubliable à tout un chacun. Descendre cette piste, c’est comme rouler à Monza ou jouer à Wimbledon : une émotion pure, un moment d’exception. Tous ne souhaitent pas braver les éléments cet hiver. Pour certains, les sports indoor offrent une alternative captivante. La Suisse est une terre de curling : Genève en 2022, Schaffhouse en 2024 et à nouveau Genève en 2026 accueilleront l’élite mondiale. Et pour les curieux, des initiations aux « échecs sur glace » sont proposées dans de nombreux clubs sportifs, accessibles en famille ou entre amis.

Se mettre en piste cet hiver, que ce soit en extérieur ou en intérieur, c’est faire vivre un écosystème sportif helvétique riche, inspirant et durable.
Du 15 au 31 mai 2026, Fribourg et Zürich seront les hôtes des Championnats du monde de hockey sur glace. La Nati, vice-championne en titre, tentera de décrocher son premier sacre. En attendant, les clubs comme Genève, Lausanne ou Fribourg offrent des émotions fortes chaque semaine à leurs fans. Les investissements publics et privés à Lausanne et Fribourg garantissent une expérience haut de gamme, tandis que Genève prépare sa nouvelle patinoire Trèfle-Blanc. Et entre Noël et Nouvel An, la traditionnelle Coupe Spengler à Davos promet du grand spectacle, avec Fribourg-Gottéron en défense de son titre.
La Vaudoise Arena accueillera les Championnats d’Europe de patinage artistique en 2027. Construite pour les Jeux olympiques de la jeunesse (JOJ) de Lausanne en 2020, elle incarne l’héritage concret de
cet événement. Le club de short-track de Lausanne propose désormais des initiations, et les JOJ ont également mis en lumière le savoir-faire suisse dans des destinations comme la Vallée de Joux, Leysin, Les Diablerets, Villars, Champéry et St. Moritz.
La Suisse sort d’un Euro féminin de football salué de tous, suscitant des émotions extraordinaires et unissant tout un pays autour d’une équipe. De plus, les investissements dans les infrastructures sportives profitent durablement à la population et aux touristes, été comme hiver. Le développement des chemins VTT en est, par exemple, une illustration concrète. Un adage dit qu’il n’y a pas de sport d’élite sans sport populaire, et vice versa. L’impact motivationnel est évident : combien de vocations sont nées d’un but de Messi ou d’un revers de Federer ? Les retombées économiques des grands événements sont réelles : Milan-Cortina estime, selon différentes études indépendantes, entre 3 et 5 milliards d’euros les bénéfices des JO 2026.
Mais l’enjeu dépasse l’économie. Disposer d’infrastructures de pointe, d’un savoir-faire organisationnel et d’un capital humain qualifié façonne l’identité d’un pays. Dans un monde anxiogène, « Tous derrière la Nati » prend une résonance nouvelle. Et dans une société hyperconnectée, quelques heures de sport sont plus que jamais essentielles à l’équilibre physique et psychique. Face à l’explosion des coûts de santé, le sport est un investissement précieux.
S’intéresser à un événement majeur, c’est souvent l’opportunité d’initier un projet durable. Après les JOJ, Sergei Aschwanden, ancien judoka, et un groupe d’olympiens ont lancé Vaud Générations Champions pour soutenir, valoriser et inspirer les jeunes talents. Steve Morabito, ancien cycliste, a profité des Mondiaux UCI 2025 pour créer une académie de performance. Et tout récemment, le Conseiller d’État Romain Collaud, président de Fribourg 2026, a inauguré un vestiaire dédié à l’équipe féminine du HC Fribourg-Gottéron SA, symbole concret de l’héritage des Championnats du monde.
Se mettre en piste cet hiver, que ce soit en extérieur ou en intérieur, c’est faire vivre un écosystème sportif helvétique riche, inspirant et durable. Choisir une destination, ce n’est pas seulement y séjourner : c’est contribuer à ce qui reste, à ce qui se transmet. Et en Suisse, ce legs est précieux.
Texte Frédéric Fabre, CEO de l’association Jeux olympiques et paralympiques d’hiver Switzerland
Contenu.
04 Suisse hivernale
10 Interview : Camille Rast
14 La montagne en transition
Focus Winter Guide
Chefs de projet
Valentin Ludwig & Paul Grieneisen
Responsable national
Pascal Buck
Head of Content Romandie
Marie Geyer
Responsable graphique
Mathias Manner
Graphiste
Marie Geyer
Journalistes
Alix Senault, Léa Stocky, Océane Ilunga, SMA
Image de couverture
iStockphoto/AscentXmedia
Canal de distribution
Tribune de Genève et 24Heures
Imprimerie
DZB Druckzentrum Bern
Smart Media Agency
Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Schweiz Tel +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss



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L’hiver approche : envie de neige, de détente ou de sensations fortes ? Découvrez les lieux incontournables à explorer cette saison.
1. Villars-Gryon-Diablerets Case postale 133 1884 Villars-sur-Ollon
2. Ski Valais Route de la Drague 18 1950 Sion
3. Musée du Ski Le Boéchet 12 2336 Les Bois
4. Gosnow Finkenhubelweg 11 3012 Berne
5. Transports Publics Fribourgeois 1700 Fribourg
6. Sierre Anniviers Le Foyer Rue de Technopôle 1 3960 Sierre
7. Vercorin Tourisme Rte d’Anniviers 1 3967 Vercorin
8. Veysonnaz Tourisme Route de Magrappé 42 1993 Veysonnaz
9. Chalet-Hôtel Spitzhorn Spitzhornweg 30 3792 Saanen-Gstaad
10. Caves de la Crausaz Chemin de la Crausaz 3 1173 Féchy
11. Nyon Région Tourisme Avenue Viollier 8 1260 Nyon
12. Théâtre Benno Besson Rue du Casino 9 1400 Yverdon-les-Bains
13. Alpes Vaudoises Place du Marché 1 1860 Aigle
14. Glacier 3000 Route du Pillon 253 1865 Les Diablerets
15. Les Bains d’Ovronnaz Route des Bains 93 1911 Ovronnaz
16. Théâtre Am Stram Gram Route de Frontenex 56 1207 Genève
17. École de ski de Château-d’Oex Rte de Saanen 2 1660 Château-d’Œx
18. Région Dents du Midi Route de Champéry 22 1873 Val-d’Illiez
19. Buchard Voyages Route de Saillon 13 1912 Leytron
20. La Cité Bleue Genève Avenue de Miremont 46 1206 Genève
21. Fondation Pierre Gianadda Rue du Forum 59 1920 Martigny
22. My Leukerbad Thermenstrasse 8 3954 Leukerbad
23. Thonon-les-Bains 2 Rue Michaud 74200 Thonon-les-Bains France
24. Maison des vins de la Côte Route du Cœur de la Côte 1 1185 Mont-sur-Rolle
25. Festival International de Ballons Place du village 1660 Château-d’Œx
26. Maison Vulpin Rte de Valleyres 40 1844 Villeneuve






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Mercredi / Vendredi 14h - 18h
Samedi / Dimanche 11h - 18h

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François Berléand / Nicolas Briançon / Nathalie Serrault / Théâtre Montparnasse
Lu 15 décembre
Ma 16 décembre 20h UNIQUES
SOIRÉE SAINT-PATRICK
Ma
À l’occasion des dix ans de GoSnow.ch, l’initiative suisse qui relance la tradition des camps de sports de neige, Virginie Faivre, sa vice-présidente, revient sur l’importance de ces séjours pour les enfants. Entre santé mentale, apprentissage et partage, elle plaide pour que chaque élève vive au moins une fois cette expérience unique.

Virginie Faivre
Vice-présidente de l’association Initiative sports de neige Suisse (GoSnow.ch)
Qui ne se souvient pas de son premier camp de neige ? Des fous rires dans le dortoir, des chutes à répétition sur les pistes, de la première soirée dansante avec les copains… Véritables écoles de vie, ces séjours font partie de la culture helvétique. GoSnow.ch s’est donné pour mission de faire revivre cette coutume, en facilitant le retour des camps de neige dans les écoles de tout le pays.
Virginie Faivre, en tant que vice-présidente de GoSnow.ch, quelle est votre mission principale ?
Je me suis engagée au sein de GoSnow en 2021, en tant que vice-présidente. L’équipe est basée à Berne et couvre l’ensemble du territoire suisse. Même si une partie des collaborateurs parle français, la dynamique reste souvent germanophone. Mon rôle est justement de faire connaître GoSnow et de développer cette belle initiative en Suisse romande.
Pourquoi les camps de neige sont-ils, selon vous, une école de vie pour les enfants ?
Les camps de neige, c’est bien plus que du ski ou du snowboard. C’est une expérience humaine complète où les enfants apprennent la responsabilité, la persévérance, l’autonomie. Ils vivent plusieurs jours ensemble, hors du cadre familial et scolaire. Cette immersion favorise la solidarité, la confiance en soi, l’esprit d’équipe. Ce sont des compétences sociales et émotionnelles essentielles pour leur développement.
Ces séjours ont-ils aussi un impact sur la santé mentale des jeunes ?
Oui, clairement. De nombreuses études montrent que l’exercice physique en plein air améliore la santé physique et mentale. Être en montagne agit comme un véritable espace de ressourcement. On se déconnecte du numérique, on bouge, on rit, on partage. Cela réduit le stress et redonne de l’énergie. La montagne a ce pouvoir d’équilibre et de joie.
Comment préserver la tradition des camps de neige ?
Ils font partie de notre identité. Préserver cette tradition, c’est la rendre accessible à tous les enfants, quels que soient leur milieu ou leur origine. Cela passe par des soutiens financiers, une logistique simplifiée et une sensibilisation des enseignants à l’importance éducative de ces séjours. C’est précisément la mission de GoSnow depuis dix ans.
Justement, quel rôle joue GoSnow.ch et comment expliquez-vous son succès ?
Notre mission est simple : permettre à chaque enfant en Suisse de vivre un camp de sports de neige au moins une fois durant sa scolarité. Nous proposons des offres « clés en main », abordables, pour simplifier la tâche des enseignants. Ce succès repose sur un solide réseau de partenaires : stations, remontées mécaniques, écoles de ski, offices du tourisme, hébergeurs, collectivités… Tous œuvrent ensemble pour rendre la neige accessible à tous.
Qu’est-ce qui fait, selon vous, qu’un camp devient inoubliable ?
Une ambiance bienveillante, un bon encadrement et des activités variées. Il faut un équilibre entre apprentissage, plaisir et partage. Ce sont souvent les petits moments, une soirée fondue, une tempête vécue ensemble, la fierté d’une descente réussie, qui deviennent des souvenirs à vie.
GoSnow fête ses dix ans avec un concours d’anecdotes. Quelle est l’idée ?
Nous avons voulu marquer cet anniversaire en recueillant des souvenirs de camps, drôles, émouvants ou sportifs. Ces témoignages rappellent combien ces séjours laissent une empreinte durable. C’est une manière de célébrer la richesse des émotions, des amitiés et des aventures vécues en montagne.
Avez-vous un souvenir personnel d’un camp de neige ?
Oui ! Je me souviens d’une descente en ski de fond sur une piste alpine, un moment à la fois intense et hilarant. C’est ce mélange d’émotions, de rires et de dépassement de soi qui rend ces expériences inoubliables.
Pourquoi certaines écoles ont-elles renoncé à organiser ces camps ?
Plusieurs raisons : la charge administrative, le manque de moyens financiers, certaines contraintes juridiques, et parfois la réticence de quelques enseignants. Notre mission est justement de lever ces obstacles avec des solutions simples et adaptées.
Quelles mesures concrètes avez-vous mises en place pour les aider ?
Nous proposons un accompagnement logistique complet, des outils pédagogiques, des aides financières. Avec les transports publics, nous avons mis en place une offre spéciale : dix francs par élève pour l’aller-retour, avec prise en charge des bagages directement depuis la cour d’école. Cela simplifie tout et réduit l’empreinte écologique du déplacement.
Ces camps favorisent aussi la mixité sociale ? Absolument. Dans un dortoir, tout le monde est logé à la même enseigne ! On apprend à vivre ensemble, à s’entraider. Beaucoup d’enseignants nous disent que l’ambiance en classe change radicalement après un camp. C’est un formidable vecteur de cohésion.














Et la durabilité, est-elle un enjeu central aujourd’hui ?
Oui. Nous intégrons de plus en plus de pratiques responsables : mobilité douce, alimentation locale, sensibilisation à la nature. Nous collaborons aussi avec des fondations comme Summit Foundation pour réduire les déchets et préserver les écosystèmes alpins. Chaque camp doit être une expérience sportive, humaine, mais aussi responsable.
Quel message aimeriez-vous transmettre aux enfants ?
Qu’ils se souviennent de la joie d’être ensemble, du courage de se relever après une chute, de la beauté d’un lever de soleil en montagne. Ce sont ces moments-là qui forgent des valeurs durables : le respect, l’effort, la solidarité.
Et votre souhait pour l’avenir ?
Que chaque enfant en Suisse vive au moins une fois un camp de sports de neige. Que cette tradition continue à évoluer, à s’adapter aux défis de notre époque. Grâce à l’engagement collectif des écoles, des stations et de nos partenaires, la montagne restera un lieu d’apprentissage, d’émotion et de lien entre les générations.
Texte Océane Ilunga
Concours d’anecdotes histoirescampsdeski.gosnow.ch
Plus d’informations sur gosnow.ch

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L’hiver au Val d’Anniviers, c’est l’assurance de passer des moments inoubliables, en famille, en couple ou entre amis. Villages typiques, sommets emblématiques, activités hivernales en tout genre… On ne peut quitter le Val d’Anniviers sans des étoiles plein les yeux et la tête remplie de souvenirs mémorables.
Niché au cœur du Valais, le Val d’Anniviers est la destination idéale pour les amoureux de la nature et de la montagne. Les plus sportifs se laisseront tenter par les nombreux sports d’hiver qui y sont proposés, entre sensations fortes et panoramas à couper le souffle. Pour les plus curieux, rien de mieux que d’arpenter les rues des villages pittoresques tels que Grimentz, Zinal, St-Luc ou Chandolin.
Un terrain de jeu hivernal exceptionnel L’hiver transforme le Val d’Anniviers en un véritable terrain de jeu pour les amoureux de la neige. Les domaines skiables de Grimentz-Zinal et St-Luc/Chandolin proposent des pistes allant jusqu’à 3000 mètres d’altitude, offrant des vues exceptionnelles sur des sommets de plus de 4000 mètres et des conditions de neige optimales.
Les skieurs et snowboardeurs peuvent profiter de descentes variées sur les pistes, tandis que les plus aguerris peuvent s’adonner au freeride ou au ski de randonnée.








De nombreuses randonnées permettent également de profiter de la région et de ses paysages. Que ce soit en raquettes, avec de bonnes chaussures ou muni de peaux de phoque, de nombreux itinéraires jalonnent la vallée et les montagnes enneigées.
Des activités originales, pour petits et grands Pour celles et ceux en quête d’expériences insolites, le Val d’Anniviers propose des activités telles que l’escalade sur cascade de glace, le biathlon électronique, ou encore la descente en Velogemel, ce vélo-luge qui permet aux visiteurs de découvrir de nouvelles sensations de glisse.
Pour une randonnée encore plus originale, il est possible de partir à la découverte des grottes du glacier de Zinal grâce à une randonnée encadrée. Lors de cette visite, les randonneurs plongent au cœur de ce décor hivernal qui ne laisse personne indifférent.
Et qui dit hiver, dit fondue ! La rando-fondue est ainsi l’occasion idéale d’effectuer la balade de son choix tout





en dégustant une bonne fondue, grâce au kit-fondue réservable en ligne ou dans un Office de Tourisme.
Si le Val d’Anniviers est si unique, c’est aussi grâce à son histoire et à ses légendes, qui animent depuis des siècles les forêts et les villages de la vallée. En hiver, elles se ressentent encore plus intensément. Avec la nuit des Mélèzes, le village de Zinal propose aux visiteurs une randonnée féérique au coeur de la forêt et à la lueur des lanternes disposées tout au long du parcours... et qui sait, peut-être que les mélèzes chuchoteront leurs secrets lointains.
Une destination montagnarde authentique Au-delà de ses activités hivernales, le Val d’Anniviers séduit par son authenticité et sa richesse culturelle. Les villages de la vallée sont réputés pour leurs chalets traditionnels en bois brunis par le soleil et leurs toits en bardeaux. Rien de mieux que de se balader à travers les ruelles des vieux villages pour profiter de l’atmosphère chaleureuse qui y règne. Les visiteurs




peuvent également découvrir le patrimoine local à travers des activités traditionnelles, des musées et des événements culturels tout au long de l’année. Et chaque village a sa particularité. À près de 2000 mètres d’altitude, Chandolin est ainsi l’un des villages les plus hauts d’Europe habités toute l’année. Direction ensuite Saint-Luc, où se situe l’Observatoire FrançoisXavier Bagnoud, un lieu incontournable pour les passionnés d’astronomie. Les visiteurs de Grimentz se laisseront quant à eux volontiers tenter par une visite guidée du vieux village suivie d’une dégustation de Vin du Glacier. Zinal, enfin, se situe au pied de la Couronne Impériale, une chaine de montagne composée de sommets de plus de 4000 mètres : Bishorn, Weisshorn, Zinalrothorn, Obergabelhorn, Cervin et Dent-Blanche. La liste des villages à découvrir ne s’arrête pas là. Ayer, Pinsec, Fang, Mission… La région regorge de petits trésors qui ne demandent qu’à être découverts. Texte Léa Stocky
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La jeune championne Camille Rast s’épanouit dans le ski alpin depuis sa plus tendre enfance. Amoureuse des Alpes suisses où elle a grandi et sacrée cette année championne du monde de slalom, elle ne cache pas son plaisir quand il s’agit d’évoquer sa passion pour son sport et son attachement à ses montagnes natales. Rencontre avec Camille Rast.
Vous avez grandi dans un environnement familial sportif, pensez-vous que cela vous a façonnée dans votre carrière de championne ?
C’est sûr que ça m’a marquée. Avec mon papa qui faisait beaucoup de compétitions en motocross et en enduro, j’ai toujours baigné dans le sport et dans l’esprit de compétition. Petite, j’étais très touche-à-tout, je suivais mon père sur ses courses et je pense que ça m’a transmis l’envie de vivre ça moi aussi, à haut niveau. Mes parents m’ont toujours soutenue, dans les bons comme dans les mauvais moments.
Vous êtes récemment devenue championne du monde de slalom. Comment réagit-on après une telle consécration ?
C’était un moment incroyable, presque irréel. La saison de Coupe du monde continuait, donc je devais gérer à la fois le classement de la coupe du monde et cette victoire. Être en tête du classement général du slalom et décrocher le titre mondial, c’était vraiment la cerise sur le gâteau ! J’ai réussi deux manches de très haut niveau ce jour-là, mais après il a fallu vite replonger dans la saison et composer avec une blessure suite à une chute à Sestrières. J’ai mis du temps à réaliser ce que j’avais accompli.
Ce titre me permet d’être au sommet mondial de mon sport, et c’est ça qui compte pour moi. Un moment unique, que je n’oublierai jamais.
Vous voyagez à travers le monde pour votre carrière. Quels sont les lieux qui vous ont le plus marquée ? Le ski me fait voyager partout. En ce moment, par exemple, je suis en camp d’entraînement à Ushuaïa, littéralement au bout du monde ! C’est un endroit à part, où on découvre une autre culture et une autre façon de vivre. Mais finalement, les pistes restent les mêmes qu’en hiver chez nous. Pendant la saison, on enchaîne les déplacements et chaque pays laisse des souvenirs. Le ski, ce n’est pas seulement un sport, c’est une expérience de vie à part entière, et c’est très enrichissant.

Le ski, ce n’est pas seulement un sport, c’est une expérience de vie à part entière, et c’est très enrichissant.
– Camille Rast
Comment voyez-vous la suite de votre carrière et comment vous préparez-vous pour les prochaines compétitions ?
Mon objectif numéro un, c’est de rester en bonne santé, parce que les blessures, ça ne pardonne pas… Je suis déjà passée par cette épreuve et j’espère pouvoir garder ma forme pour continuer à progresser. Je veux rester concentrée sur mon ressenti, apprendre encore sur moi-même et avancer étape par étape. Pour les prochaines courses, je veux rester calme, donner le meilleur de moi-même et continuer à travailler les petits détails qui peuvent faire la différence et m’amener sur le podium.
Quels sont les atouts principaux de votre région de cœur, le Valais ?
Le Valais, c’est vraiment un lieu unique. La vie en montagne est différente de celle en plaine ou en ville : on a toujours un accès direct aux sommets et aux pistes enneigées. C’est mon enfance, mes amis, mes souvenirs… C’est une région dont je suis très fière. Entre son terroir, sa culture et son art de vivre, elle a tellement d’atouts à offrir !
Quel est le plat emblématique de votre région que vous préférez ?
Sans hésiter : la raclette ! C’est LE plat valaisan par excellence. Mes grands-parents avaient des vaches et faisaient leur propre fromage, donc j’ai toujours eu la chance de manger des produits incroyables. Pour un moment convivial et gourmand, rien ne vaut une raclette !
Auriez-vous des stations à recommander pour skier cet hiver ? Oui, sans aucun doute le Val d’Anniviers, et surtout Zinal. C’est une région très chère à mon cœur parce que j’y ai passé énormément de temps pour mes entraînements quand j’étais jeune. Le soutien des gens dans la vallée, a toujours été précieux et reste gravé en moi. C’est une région qui regorge de surprises et de superbes endroits pour profiter pleinement des sports d’hiver.

Bienvenue au cœur du Valais, dans un cadre naturel splendide des Alpes suisses. Des sommets enneigés aux villages pittoresques ancrés dans leurs traditions, le Val d’Anniviers est bien plus qu’une destination de montagne : c’est un lieu vivant, authentique et inspirant, où la nature, la culture et le sport ne font qu’un.
Véritable vivier de talents, la vallée a vu grandir et s’entraîner plusieurs champions et championnes de ski suisses, parmi lesquels Camille Rast, figure montante du ski alpin et ambassadrice de la station Grimentz-Zinal. L’altitude, la qualité des pistes et la diversité du terrain font du Val d’Anniviers un lieu d’entraînement privilégié pour les athlètes en quête d’excellence. Entre passion, exigence et amour de la montagne, les pistes de Zinal, Grimentz ou Sorebois ont forgé l’esprit de compétition et de persévérance de nombreux skieurs d’élite. Par ailleurs, participez avec la championne suissesse Camille Rast à un expérience inoubliable à Zinal le 18 avril prochain, lors du « Camille Rast Trophy », une occasion unique de skier avec la championne valaisanne ! Des domaines d’altitude spectaculaires Les skis aux pieds, locaux et visiteurs peuvent profiter de domaines skiables accessibles depuis les villages de Grimentz (1570 mètres) et Zinal (1670 mètres), ou encore Sorebois et Bendolla, perchés à plus de 2000 mètres. Cet
environnement naturel exceptionnel offre des kilomètres de pistes pour la pratique du ski alpin ou du ski de randonnée. Entouré de sommets majestueux culminant à plus de 3000 mètres, comme le Becs de Bosson, la Garde de Bordon ou les Aiguilles Rouges jusqu’aux Grandes Jorasses et au Mont-Blanc, qui se dessinent au loin.
Grâce aux remontées mécaniques, il est possible d’atteindre la Corne de Sorebois, à 2895 mètres, pour profiter d’un panorama à couper le souffle sur le lac gelé de Moiry. Les amateurs de sensations fortes trouveront leur bonheur dans les zones freeride, ski cross, family park et speed check, qui jalonnent le domaine et garantissent adrénaline et plaisir à tous les niveaux.
Traditions vivantes et savoir-faire local
Au-delà du sport, le Val d’Anniviers séduit par son patrimoine culturel et artisanal. Les villages de Grimentz, Saint-Luc, Zinal ou Chandolin conservent leurs chalets en bois typiques, leurs greniers sur pilotis
et leurs ruelles pavées, où les traditions ancestrales se perpétuent avec fierté. Les fêtes locales, les marchés de Noël et les marchés d’artisans témoignent d’un profond attachement à la culture montagnarde.
Le savoir-faire du bois, de la pierre et du fromage fait partie intégrante de l’identité de la vallée. On y perpétue la fabrication de produits typiques comme le fromage d’alpage, le sérac, ou encore le pain de seigle AOP, symbole du Valais. Les habitants, chaleureux et passionnés, transmettent ce patrimoine avec un sens aigu de l’accueil et du partage.
Saveurs du terroir et gastronomie de montagne Côté table, les auberges et restaurants d’altitude accueillent les visiteurs tout au long de l’année pour savourer des breuvages chauds et des plats authentiques. Au menu : fondue et raclette valaisannes, viandes séchées, croûte au fromage, ou encore tourtes aux
myrtilles. Les vins du Valais, notamment ceux issus du cépage Cornalin ou de la Petite Arvine et des bières artisanales brassées localement accompagnent à merveille ces spécialités montagnardes.
Les chefs locaux revisitent avec talent la cuisine du terroir, mêlant produits régionaux et créativité contemporaine. Entre gastronomie et convivialité, chaque repas devient un moment de partage au cœur d’un paysage naturel grandiose.
Une vallée à la fois authentique et inspirante
Le Val d’Anniviers incarne l’alliance parfaite entre nature riche et préservée, traditions vivantes et excellence sportive. C’est un territoire où chaque village, chaque piste et chaque table racontent l’histoire d’une région de Suisse unique et inspirante. Que l’on vienne pour le ski, pour les saveurs ou pour la beauté du lieu, le charme du Val d’Anniviers agit durablement celui d’une vallée à taille humaine, fière de son héritage et résolument tournée vers l’avenir.
Destination d’hiver incontournable, les stations valaisannes ne se contentent pas d’être de simples lieux touristiques prisés. Elles forment également le berceau des champions de ski de demain ! À la tête de Ski Valais, Marine Héritier s’engage pour le rayonnement des 237 jeunes athlètes formés au sein des cadres valaisans, qui portent haut les couleurs de la région sur la scène suisse et internationale. Rencontre.

Depuis votre enfance, le sport et en particulier le ski font partie intégrante de votre vie. Diriger Ski Valais est-il un accomplissement personnel et professionnel pour vous ? Oui, diriger Ski Valais représente un accomplissement à la fois professionnel et personnel. D’une part, cette prise de fonction marque un aboutissement concret dans mon parcours : après avoir évolué dans le secteur financier et des audits, j’ai eu l’opportunité de rejoindre Ski Valais début 2022. Cette transition m’a permis de combiner deux passions : d’un côté la gestion, l’organisation et la stratégie, et de l’autre, le domaine du sport, de la montagne et du ski, qui m’anime depuis toujours. D’autre part, je suis née et j’ai grandi au cœur du Valais, un canton où la montagne n’est pas qu’un décor : c’est un véritable art de vivre. Ici, on apprend très tôt à aimer la neige et la montagne, à respecter la nature, à partager des moments en famille ou entre amis sur les pistes. Les sports de neige, pour moi, ce n’est pas simplement un sport : c’est une culture, une identité. En conclusion, diriger Ski Valais me permet de rassembler
Quels sont les principaux objectifs et défis actuels de Ski Valais, notamment en matière d’évolution, de communication et de visibilité ?
Nos objectifs sont multiples, mais ils convergent tous vers une même ambition : faire grandir la relève valaisanne dans un cadre professionnel, structuré et durable. Notre mission est d’« inspirer, soutenir et guider les athlètes valaisans dans leur parcours », en mettant l’accent sur la passion et la performance. Concrètement, cela veut dire offrir un environnement d’entraînement performant, professionnel et équilibré, où la passion du ski rime avec progression, mais aussi avec plaisir et engagement, pour qu’ils puissent aspirer à rejoindre l’élite suisse. Cela passe aussi par la formation des entraîneurs, par l’amélioration des infrastructures et par la création d’une « force collective » autour des clubs, des centres de performance et de nos actions communes. Nous cherchons également à professionnaliser notre structure. Ces dernières années, nous avons profondément fait évoluer Ski Valais. L’association s’est professionnalisée : nous fonctionnons désormais comme une véritable petite PME. Nous avons mis en place une direction structurée, avec un directeur, un chef alpin, des chefs de disciplines, ainsi qu’une équipe administrative et technique dédiée. Cette organisation nous permet de mieux planifier, d’assurer une continuité dans le travail et d’offrir une qualité d’encadrement à la hauteur des attentes du sport de haut niveau.Mais, comme dans toute PME, le nerf de la guerre reste les finances. Le plus grand défi aujourd’hui, c’est assurément celui des ressources financières. Former, encadrer et accompagner des jeunes athlètes dans un cadre structuré et professionnel a un coût considérable.
Comment identifiez-vous et accompagnez-vous les jeunes talents sportifs dans leur parcours vers le haut niveau ?
Chez Ski Valais, repérer un jeune talent, c’est avant tout l’identifier comme une personne complète, puis l’accompagner dans un double projet : exceller en ski… et se construire pour la vie. Nous parlons ici d’une véritable « école de vie » : la performance, l’éducation, les valeurs de discipline, d’engagement et de respect ne sont pas un supplément, mais le cœur de ce que nous faisons.

Combien d’athlètes encadrez-vous chaque année, et quelles formations proposez-vous au sein de Ski Valais pour les jeunes skieurs et les formateurs ?
Cette année, Ski Valais encadre 237 jeunes athlètes au sein de ses cadres valaisans, répartis selon les disciplines, ainsi que 35 collaborateurs dans sa structure. Pour les athlètes : nous proposons une formation complète aux sports de neige : ski alpin, ski nordique, freestyle avec un encadrement structuré et personnalisé selon le niveau et la
Le Valais est souvent considéré comme un vivier de champions. Qu’est-ce qui, selon vous, rend cette région si propice à la performance et à l’excellence sportive ?
Le Valais est un territoire où le ski et les sports de neige font naturellement partie du quotidien, et où les jeunes découvrent très tôt la montagne et la glisse. Ce qui rend cette région réellement exceptionnelle pour la performance, c’est l’ensemble de l’écosystème qui gravite autour du ski. Tout commence avec le travail des ski-clubs locaux en amont, suivi par Ski Valais et ses centres de performance, et soutenu par les partenaires locaux. S’y ajoutent les infrastructures, les remontées mécaniques, les pistes… ainsi que tous ceux qui font vivre le ski au quotidien : bénévoles engagés, écoles, événements… C’est cette synergie entre clubs, structures, stations et partenaires qui offre aux jeunes les conditions idéales pour progresser et viser l’excellence. Cet écosystème solide est la clé.
Enfin, quelles sont vos ambitions à long terme pour Ski Valais ?
À long terme, notre ambition pour Ski Valais est de continuer à voir nos athlètes évoluer et briller dans les cadres nationaux, tout en consolidant la base de cette pyramide nationale. Nous voulons être un acteur clé pour ces sportifs et un modèle de gestion et d’organisation pour d’autres structures sportives. Parallèlement, nous poursuivons la professionnalisation de notre organisation afin d’offrir un encadrement toujours plus structuré et efficace, garantissant aux jeunes talents les meilleures conditions pour progresser et s’épanouir pleinement.

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Découvrez une destination hivernale hors norme en Romandie, à deux pas d’ici : une région aux traditions profondément ancrées et aux activités variées, pour des moments inoubliables en famille ou entre amis. Les vacances à la neige, ce n’est pas uniquement du ski : c’est aussi le moment de se retrouver et d’apprécier la beauté des paysages alpins, des stations, des villages, des traditions et de la gastronomie… Découvrez ce territoire d’une richesse insoupçonnée, où tout est infiniment plus intense.

Se faire plaisir sur les pistes des domaines skiables, partir en trek alpin, tester le ski joëring ou, plus insolite encore, faire son baptême de plongée sous glace… Les Alpes Vaudoises regorgent d’expériences ! Avec leurs nombreux domaines skiables, c’est un réseau de 235 km de pistes variées qui s’offre à vous, facilement accessibles : un domaine alpin qui séduira autant les familles et les débutants que les skieurs plus expérimentés. Et quoi de mieux, pour profiter pleinement de votre week-end, que de prolonger votre dimanche dans les eaux chaudes des Bains de Villars, ou autour d’une fondue conviviale ? Les possibilités sont nombreuses pour savourer le dimanche soir tout en évitant les congestions sur la route du retour.

Le ski, mais pas seulement !
Attraction phare à tester à Glacier 3000 : l’emblématique Peak Walk by Tissot ! Cent sept mètres de pont suspendu reliant deux pics d’une même crête. Une expérience vertigineuse, avec une traversée au-dessus du vide offrant des vues saisissantes sur les sommets alentour : le Cervin, le Mont-Blanc, l’Eiger, le Mönch et la Jungfrau, le tout perché à près de 3000 mètres d’altitude ! Les amoureux de nature et de sensations fortes ne seront pas en reste avec les autres activités vertigineuses proposées dans le massif. Qu’il s’agisse de la double descente en tyrolienne de 400 et 300 mètres de long aux Chaux, ou de la descente en luge sur plus de 7 km aux Diablerets, l’émotion est garantie ! Pour les sportifs gourmands, la randonnée en raquettes jusqu’au refuge de Solalex, en passant devant le Miroir d’Argentine et avec dégustation d’une fondue généreuse, sera idéale. L’authenticité de cette activité est très recherchée par les visiteurs de la région, alliant ainsi découverte de la nature et moment de convivialité. De nombreux itinéraires de randonnées, à pied, en raquettes ou à ski, permettent de découvrir les paysages enneigés à son rythme à travers la région. Pour les amateurs de ski de fond et de biathlon, le vaste espace nordique du col des Mosses vous attend. Avec cinq circuits de 1,27 à 15 km et un espace biathlon pour s’initier à la précision du tir à la carabine, il satisfait toutes les envies et s’adapte à tous les niveaux. Pour les familles, même avec de jeunes enfants, venez profiter de l’espace récréatif de Frience à Gryon : ce plateau enneigé panoramique est idéal pour s’initier aux plaisirs de la glisse à tous les âges
Les Alpes Vaudoises sont un territoire dynamique, riche d’un patrimoine naturel et culturel inestimable, peuplé d’habitants au grand cœur, où les expériences uniques et inoubliables se vivent intensément.
et en toute sécurité. Avec ses trois pistes de niveaux évolutifs et son tapis roulant couvert de 160 m vous emmenant en haut des pistes sans le moindre effort, les débutants pourront s’initier de façon ludique au ski, au snowboard et même à la luge.
Un patrimoine riche et insolite
La région foisonne de secrets et de lieux d’exception pour faire des découvertes, se régaler ou se détendre. Cap sur Aigle, Ville suisse du Goût 2025, et son vaste terroir. Le Château d’Aigle, construction médiévale datant du XIIe siècle, abrite entre ses murs le Musée de la vigne, du vin et de l’étiquette, un lieu incontournable pour les amateurs d’œnologie. Une visite ludique et animée s’offre à toute la famille pour découvrir la culture de la vigne et son patrimoine unique. Entre collection permanente et expositions temporaires, le monde du vin se dévoile dans ce cadre exceptionnel, en toutes saisons.
Autre attraction phare et insolite à vivre à Aigle :
l’usine Reitzel et ses célèbres cornichons ! Depuis 1909, ce site produit des pickles et les fameux cornichons à déguster dans un sandwich, pour accompagner une bonne raclette, ou simplement à croquer nature pendant l’apéro. Visitez l’usine et découvrez les secrets de fabrication et les méthodes de conservation, avant de faire un tour par le Hugo Shop pour repartir avec un petit souvenir : Bocaux de cornichons, sauces, mais aussi accessoires textiles ou jeux de cartes à l’image du fameux cucurbitacé.
De la détente et de la gourmandise au menu !
Parmi les spots incontournables pour les amateurs de détente : les bains de Lavey et leur source, reconnue comme la plus chaude de Suisse, à 62 °C ! Une expérience de relaxation unique au pied des Alpes Vaudoises, immergé dans les eaux bienfaisantes de Lavey-les-Bains. Profitez des bassins extérieurs chauffés naturellement entre 33 et 36 °C, tout en savourant une vue panoramique

sur les falaises et les forêts de sapins. L’espace sauna a tout récemment été rénové pour offrir une expérience encore plus complète aux visiteurs, avec cinq hammams aux senteurs thématiques, un sauna tropical à l’air salin, un bio-sauna plus doux et un sauna finlandais à 90 °C. Complétez votre expérience avec un passage dans le bassin froid à 10 °C, ou dans l’espace polaire et son mur de glace scintillant pour booster votre système immunitaire !

Pour finir sur une note gastronomique et célébrer le terroir si particulier de la région, prenez de la hauteur au restaurant Le Kuklos à Leysin. Ce qui le rend si singulier ? Il s’agit d’un restaurant tournant ! Perché sur les hauteurs de la Berneuse, ce bâtiment circulaire offre un panorama à 360° sur le paysage environnant, effectuant lentement une rotation pour offrir aux visiteurs une vue sur le Mont-Blanc, le lac Léman, le Chablais, la Riviera, la chaîne du Jura, les fameuses Tours d’Aï et de Mayen, ainsi que le massif des Diablerets.
Au menu de cette table hors du commun : planchettes à partager, fondues typiques aux fromages d’alpage, röstis montagnards, cordons bleus du chef et bien d’autres spécialités régionales !
Les Alpes Vaudoises sont un territoire dynamique, riche d’un patrimoine naturel et culturel inestimable, peuplé d’habitants au grand cœur, où les expériences uniques et inoubliables se vivent intensément.
Plus d’informations : alpesvaudoises.ch

















































































































































































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Sous la neige, la montagne change. Loin du discours promotionnel, les acteurs de l’arc alpin repensent leur manière d’exploiter la neige et expérimentent des solutions concrètes pour prolonger le plaisir de glisse sans compromettre l’avenir des sommets.

Damage, stockage, barrières à vent et énergie solaire : aujourd’hui, les stations affinent leurs pratiques pour mieux s’adapter au climat qui change. Car derrière la carte postale enneigée, une réflexion profonde s’engage sur la façon d’habiter l’altitude autrement. Alors que les premiers flocons blanchissent déjà les hauts des Alpes vaudoises, la station de Villars-Diablerets s’apprête à ouvrir une nouvelle saison d’hiver. Du 5 décembre au 12 avril, le domaine proposera quatre mois de ski ininterrompus. Mais derrière l’image d’Épinal des chalets enneigés et des pistes fraîchement damées, une autre réalité se dessine : celle d’une montagne qui cherche désormais à équilibrer attractivité touristique et sobriété environnementale.
L’or blanc
Pour les stations, la neige n’est plus un simple décor : c’est une ressource à part entière, rare et précieuse. À Villars-Diablerets, elle fait l’objet d’une gestion durable et réfléchie à plusieurs niveaux, afin de garantir une offre de ski de qualité jusqu’à la fin de la saison. En effet, la neige n’est autre que la matière première nécessaire aux stations de ski pour délivrer leurs services. C’est pourquoi, lorsqu’un épisode neigeux se présente, les équipes de damage entrent en action dès la tombée du jour. L’objectif : tasser et répartir rapidement et équitablement la neige fraîche avant que le vent ou le redoux ne fassent leur travail. La fenêtre est parfois très courte, raison pour laquelle lors de ces épisodes de précipitations, les équipes sont doublées et se relaient sans interruption de 17h à 8h du matin. Chaque dameuse est équipée d’un sonar mesurant l’épaisseur du manteau neigeux sous la machine, permettant un damage plus précis et plus économe en énergie. Le parc de dameuses du côté de Villars-Diablerets
a par ailleurs été renouvelé, avec désormais un tiers d’engins dotés d’une motorisation hybride. Une évolution discrète mais significative, dans un secteur où le carburant reste un poste d’émissions majeur.
Anticiper plutôt que produire
Autre levier d’action des stations : les barrières à neige, un dispositif simple et efficace pour limiter la perte de neige sous l’effet du vent. En effet, lorsque le vent souffle, il peut transporter rapidement d’importantes quantités de neige en dehors des pistes. Installer ces barrières à neige permet de limiter ce phénomène et ainsi réduire au minimum l’utilisation de l’enneigement mécanique. Après une première phase test l’hiver dernier, 500 mètres de barrières en bois ont été installés cet été à Villars.
« Nous espérons économiser 35 000 m3 de neige, soit la quasi-totalité du volume nécessaire à l’exploitation de cette piste sur la saison » explique Martin Deburaux, directeur des remontées mécaniques. Toutes les barrières sont équipées de panneaux photovoltaïques, transformant l’installation en microcentrale solaire alpine. Le dispositif permettrait de générer 230 MWh par an. Une illustration concrète de la manière dont l’innovation technique peut s’intégrer au paysage montagnard sans le dénaturer.
Adapter le terrain plutôt que multiplier les canons
Le relief montagnard des stations présente également ses défis. Certaines pistes de la station de VillarsDiablerets, comme d’autres pistes des Alpes suisses, nécessitaient historiquement d’importantes quantités de neige artificielle pour compenser les irrégularités du terrain. Pour y remédier, la station a entrepris un reprofilage minutieux du versant. Les équipes ont d’abord découpé, numéroté puis stocké les portions
de terre en surface, avant de remodeler le terrain et de replacer chaque portion de terre à son emplacement d’origine. Ces travaux devraient permettre de réduire de moitié la production de neige ainsi que les heures de damage sur ce secteur dès cet hiver. Ce type d’intervention, coûteux mais durable, traduit une évolution du modèle de gestion avec un impact minimum sur le paysage : agir sur la topographie plutôt que sur la production, dans une logique de long terme.
Se déplacer autrement en montagne
La réflexion engagée par plusieurs stations dépasse la seule question du manteau neigeux. Elle s’étend aussi à la mobilité, autre poste clé de l’empreinte carbone des stations alpines. À Villars-Diablerets comme dans d’autres destinations touristiques, les transports publics en station sont inclus dans le forfait de ski ou le Magic Pass, le forfait multi-stations en plein essor. Aussi, depuis Lausanne, les skieurs peuvent rejoindre les pistes efficacement sans prendre leur voiture avec des temps de trajet équivalents à s’ils avaient pris ces dernières. Ils sont à une heure en transport public de VillarsDiablerets. Cette politique d’incitation s’inscrit dans une tendance plus large en Suisse romande, où plusieurs stations cherchent à renforcer l’intermodalité entre rail et montagne. Cette popularité représente à la fois une force et un défi. Si elle garantit une base de clientèle fidèle, elle pousse aussi les stations à optimiser leurs ressources pour maintenir une qualité d’accueil sans surconsommation énergétique. Une approche pragmatique, reflet d’une transition à l’œuvre dans l’ensemble des Alpes, où la durabilité devient peu à peu un critère d’attractivité autant qu’une nécessité économique.
Texte SMA











Si l’on souhaite passer des vacances d’hiver à la fois actives et reposantes, direction Vercorin ! Perchée à 1334 mètres d’altitude, la station séduit par son village à l’atmosphère chaleureuse, son offre d’hébergements et ses pistes pour tous les niveaux. Surtout, Vercorin s’est développé comme un lieu idéal pour passer des vacances en famille, grâce à son offre d’activités dédiées aux enfants.
Loin des grandes stations, Vercorin est le lieu parfait pour celles et ceux qui souhaitent profiter des sports d’hiver tout en restant au calme. La destination n’en est pas moins intéressante. Au contraire, son offre de services complète permet à tous les membres de la famille de profiter des vacances, et ce loin du stress.
Une destination pour les amoureux de ski Concernant les sports de neige, il y en a pour tous les goûts à Vercorin. Fort de 35 km de pistes, le domaine skiable attire les adeptes de ski, qu’ils soient confirmés ou débutants. Le domaine est équipé d’une télécabine, d’un télésiège, de cinq téléskis, d’un tapis couvert, ainsi que de deux snowparks pour les amateurs de freestyle. La zone du Crêt-du-Midi, adaptée tant aux débutants qu’aux freestylers, se compose de trois lignes de modules avec plusieurs niveaux de difficulté et d’une funslope équipée de différents virages. La zone des Planards se compose quant à elle d’une ligne de modules et de rails.
Vercorin compte également trois itinéraires de ski de randonnées et plusieurs chemins de randonnée en raquettes ou de randonnées pédestres. L’occasion de profiter d’une balade hivernale au milieu de paysages somptueux.


Pour les familles, l’espace du Lavioz propose de nombreuses activités de loisirs et divers événements qui ravissent petits et grands. À seulement cinq minutes à pied du centre du village, ce lieu ludique et sécurisé est accessible pour toute la famille. On y trouve des activités gratuites, telles qu’une patinoire et une piste de luge. Surtout, le Lavioz propose un espace skiable pour débutants, avec minigliss, tapis et corde. Ainsi, il est possible de s’exercer à la glisse en toute sécurité et en toute confiance. Pour celles et ceux qui le souhaitent, des cours de ski ou de snowboard sont proposés par l’École Suisse de ski de Vercorin. Pour se restaurer, une buvette fait le bonheur des plus gourmands.
Un village authentique au charme alpin Le village du Vercorin vaut le détour. Une visite du vieux village pittoresque permet d’en apprendre davantage sur son histoire, sa culture et son architecture. En effet, les bâtiments du village ne laissent jamais les visiteurs indifférents. Plus d’une quarantaine d’inscriptions viennent habiller leurs
murs. Grâce au projet « Paroles de Mélèze », il est à présent possible de découvrir leur histoire et les secrets qu’elles renferment. Munis d’un téléphone portable, les visiteurs peuvent scanner des QR codes et avoir ainsi accès à de nombreux commentaires sur les inscriptions, et ce en plusieurs langues. Pour les plus petits, une chasse au trésor permet aussi de découvrir le village de manière ludique.
Vivre l’expérience Swisspeak Resorts à Vercorin
Idéalement situé au pied des pistes, loger au Swisspeak Resorts Vercorin permet de profiter pleinement de son séjour. Avec ses 89 appartements et cinq étages, la résidence propose des hébergements modernes et confortables, caractérisés par une atmosphère chaleureuse digne d’une station familiale. Du studio cosy pour deux personnes aux appartements familiaux pouvant accueillir jusqu’à huit personnes, les logements sont en effet adaptés aux besoins de tout un chacun.
Le Swisspeak Resorts Vercorin comprend un certain nombre de services qui viennent compléter l’expérience qu’offre la région. Ainsi, après une journée bien remplie dédiée aux sports d’hiver, il n’y a rien de mieux que de profiter du spa de la résidence. Le sauna, le hammam et le bain à remous permettent de se détendre et de se reposer.
Les enfants, quant à eux, peuvent aller s’amuser dans la Gaming Room et la Kids Room, qui proposent des activités diverses et variées.
Lorsque la faim se fait sentir, direction le restaurant The Bistro by Swisspeak. Au menu, une cuisine locale composée de produits frais et de saison, que l’on peut déguster sur la terrasse face aux remontées mécaniques. Les plus gourmands peuvent profiter du burger lounge, tandis que les amateurs de vins se réjouissent de la savoureuse cave valaisanne. Une sélection de bières artisanales et un espace café viennent compléter l’offre du restaurant. De quoi passer un séjour unique au cœur des Alpes valaisannes.

Pour une parenthèse de détente, nul besoin d’aller bien loin : la destination de Loècheles-Bains (Leukerbad) offre tout ce qu’il faut pour apaiser le corps et l’esprit. Depuis la Suisse romande, on y accède facilement en train ou en voiture, et pourtant le lieu reste assez isolé pour donner la sensation d’entrer dans un monde à part, au cœur d’un charmant village alpin.
Hôtel Restaurant ALFA ***S –Calme et plaisir
Pour ceux qui rêvent d’une pause à la montagne, l’hôtel Alfa de Loèche-les-Bains est un refuge idéal. Cet établissement plein de charme séduit par sa situation paisible, son ambiance moderne et chaleureuse, et une atmosphère propice au lâcher-prise dès les premiers instants.
Un atout particulièrement apprécié : l’accès illimité aux bains thermaux de Loèche-lesBains. Après une journée passée dans l’air pur
des montagnes, rien n’est plus agréable que de se relaxer dans une eau thermale chaude tout en admirant les sommets enneigés. Autre avantage : les trajets gratuits avec les remontées méchaniques de la Gemmi, qui reprennent du service le 20 décembre pour la saison hivernale et offrent des panoramas spectaculaires sur le Valais enneigé.
Les chambres de l’hôtel Alfa allient style et confort, avec une touche de modernité alpine. Plusieurs catégories sont proposées, mais toutes disposent d’un balcon offrant une vue imprenable sur le paysage montagneux.
Côté gastronomie, le restaurant séduit par une cuisine variée et fraîche, privilégiant les produits régionaux et les associations créatives.
Le tout est accompagné d’une atmosphère conviviale et d’une équipe attentionnée, qui rendent le séjour particulièrement agréable : on s’y sent immédiatement le bienvenu.
Que ce soit pour un long week-end, un court séjour ou simplement quelques jours pour se ressourcer, l’hôtel Alfa marie bien-être, nature et hospitalité de manière authentique.
Plus d’informations sur : hotelalfa.ch

Le Bristol **** – Confort et détente Et pourquoi ne pas s’offrir un week-end différent, en toute tranquillité, même en semaine ? Quand la plupart des visiteurs ont déjà repris le rythme du quotidien, la sérénité appartient à ceux qui savent l’apprécier.
Situé à Loèche-les-Bains, au cœur des montagnes valaisannes, l’hôtel Le Bristol est un lieu où détente et confort sont les maîtres mots. Cet hôtel de bien-être, riche de tradition, dispose d’un espace spa et thermal privé de plus de 2000 m², alimenté par sa propre source. À quelques pas seulement de la chambre, l’eau thermale bienfaisante invite à la relaxation et à la régénération.

Jusqu’au 19 décembre, Le Bristol propose une offre spéciale, parfaite pour passer en douceur de l’automne à l’hiver : le package « Cheminée Sunset » comprend notamment
trois nuits douillettes pour deux personnes, un apéritif de bienvenue avec un « November Ice », un délicieux dîner trois services, une fondue valaisanne, un massage relaxant à l’huile d’automne, ainsi qu’un accès libre aux bains thermaux, accompagné d’une petite surprise.
Les hôtes souhaitant renforcer leur équilibre corps-esprit peuvent également participer à des séances de yoga, idéales pour se ressourcer dans une atmosphère paisible.
Un séjour au Bristol, c’est une invitation à laisser le quotidien derrière soi et à redécouvrir la beauté des Alpes valaisannes.
Plus d’informations et offres : lebristol.ch/de/angebote-paschalen-packages/
La région de St-Cergue est l’endroit idéal pour profiter de l’hiver en famille ou entre amis. Située à proximité de Genève et de Lausanne, elle propose une multitude d’activités pour savourer les joies de la neige. Les téléskis de St-Cergue et la station Jura sur Léman, à La Dôle, vous accueillent durant la saison hivernale avec le Magic Pass. Prenez de la hauteur et skiez proche de la région lémanique !

Les espaces de loisirs, les pistes de ski pour les débutants et les sentiers de raquettes en font une destination idyllique, entourée de forêts de sapins et de panoramas à couper le souffle sur le Léman, le Mont-Blanc et le Jura.
À la découverte de la station « Jura sur Léman »
Située à moins de 30 minutes de Nyon et accessible en transports publics, Jura sur Léman est le plus grand domaine skiable franco-suisse du Jura, s’étendant sur les massifs de La Dôle et des Tuffes. Les amateurs de glisse de tout niveau peuvent profiter de plus de 50 km de pistes réparties sur l’ensemble de la station.
Au sommet, La Dôle dévoile l’un des plus beaux panoramas sur le Léman et les Alpes. Avec le Magic Pass, Jura sur Léman ainsi que les téléskis au village de St-Cergue vous permettent de skier en tout temps, ainsi qu’en nocturne au village. D’autres pistes de ski sont disponibles à Basseruche et à la Trélasse pour toute la famille.
Pratiquez le ski de fond et les raquettes
Le col de la Givrine se situe dans un milieu naturel préservé, avec près de 40 km de pistes. C’est un lieu idéal pour les sorties en raquettes, en ski de fond ou même en ski de randonnée. Retrouvez les différents itinéraires de balades sur l’application gratuite Nyon : Guide, ou demandez les plans à l’office du tourisme.

St-George, 3e pôle hivernal de la région C’est dans une ambiance familiale que le village de St-George s’impose comme le troisième pôle hivernal de la région, en direction du col du Marchairuz. Ce village typique est à lui seul un agréable espace de détente, offrant une vue apaisante sur les montagnes et le Léman.
On y trouve deux pistes de ski adaptées aux débutants, quatre pistes de luge, de nombreux parcours de ski de fond et de raquettes, ainsi qu’un snowpark. Un lieu à découvrir et dont il faut profiter en famille !
Nyon Région Tourisme
Avenue Viollier 8, 1260 Nyon
+41 22 365 66 00 info@nrt.ch lacote-tourisme.ch


Nos bons plans pour cet hiver
– Forfait raquettes & fondue – CHF 36.Partez en balade jusqu’au VieuxChâteau et admirez la vue avant de déguster une délicieuse fondue.
– Forfait ski nocturne & fondue – CHF 36.Ce forfait ski nocturne + fondue est en vente aux caisses du téléski de St-Cergue. Réservation conseillée auprès des restaurants partenaires.
– Randonnée découverte d’un chalet d’alpage – CHF 45.Partez à la découverte du Jura avec une randonnée guidée, suivie d’une dégustation de produits du terroir dans un chalet d’alpage centenaire.
– Patinoires
Les patinoires de la région vous accueillent cet hiver à Coppet, Gland, St-Cergue et Nyon.
– Marché de Noël à Schilliger Gland
– Marché de Noël à Coppet Du 5 au 7 décembre.

– Village de Noël Quartier de Rive à Nyon du 11 au 14 décembre.
– Nyon en fête Du 11 au 31 décembre.
– Les illuminations À découvrir au cœur de St-Cergue du 15 décembre au 15 janvier de 18h à 21h30.
– La Nuit de la Glisse Film projeté au Centre du Vallon à St-Cergue le mardi 30 décembre.
Plus d’événements dans notre Agenda lacote-tourisme.ch

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Val-d’Illiez
Troistorrents
Morgins

Hôtel Spitzhorn

l’Hôtel Spitzhorn de Gstaad, les étoiles ne sont pas vraiment importantes. D’autant plus lorsqu’il s’agit de satisfaire les clients. Michel Wichman, locataire et hôte du Spitzhorn, nous présente l’établissement ainsi que ses valeurs telles que l’hospitalité authentique qui dépasse souvent les attentes des clients. Michel Wichman, dans une de vos déclarations vous soutenez que « les étoiles sont au firmament ». Qu’entendez-vous par là ?
Les étoiles sont au firmament et non pas à un panneau à l’entrée d’un hôtel car, de nos jours, le nombre d’étoiles est de moins en moins lié à la qualité de l’hôtellerie. Notre équipe se préoccupe uniquement des clients et fait de son mieux pour qu’ils soient satisfaits. C’est pourquoi les évaluations en ligne de nos visiteurs sont beaucoup plus significatives que nos étoiles pour nous. L’hôtel pourrait même se voir attribuer huit étoiles mais cela ne changerait rien car nous favoriserons toujours une hospitalité authentique et sincère ainsi qu’un service impeccable. D’ailleurs, c’est précisément par ces caractéristiques et ces valeurs que nous souhaitons nous démarquer et démontrer la qualité de notre établissement. C’est pour cette raison que nous avons rejeté les quatre étoiles que l’Hôtellerie Suisse envisageait de nous attribuer.
N’est-ce pas un inconvénient, surtout concernant la perception de l’extérieur ?
Non, pas du tout. Même si parfois nous pensons ne pas être à la hauteur, nous dépassons toujours les attentes de nos clients. Les visiteurs deviennent ainsi des habitués enthousiastes et fidèles. Nous proposons une forme d’hospitalité contemporaine et durable, qui laisse les étoiles à leur place - dans le ciel - et nous plaçons toujours le bien-être des hôtes au cœur de notre activité.
En tant que chalet-hôtel, l’établissement ne choque pas et se fond harmonieusement dans l’un des plus beaux paysages alpins de Suisse. Les chalets enchantent parce qu’ils absorbent les couleurs et les formes de leur environnement rendant l’ensemble « léger ».
Cependant, il reste vrai que les étoiles aident certains invités à choisir leur destination. Et pourtant, vous vous êtes « contenté » d’ouvrir un hôtel trois étoiles. Pourquoi ?
À mon avis, parallèlement au monde du grand tourisme hôtelier super riche et classique, Gstaad doit se développer davantage en termes de nouveaux concepts pour l’avenir. À Gstaad, il manquait un hôtel trois étoiles qui offrait un service exceptionnel. Avant d’être hôte du Spitzhorn, j’ai travaillé pendant huit ans comme directeur au Grand Hôtel Bellevue Gstaad (aujourd’hui Le Grand Bellevue). Lorsque je travaillais au Grand Hôtel Bellevue, mon équipe et moi, nous concentrions toujours sur le bien-être de nos hôtes. Toutefois, alors que cela devrait être une évidence, la satisfaction du client a fini bien souvent par passer en deuxième place dans de nombreux hôtels de luxe. Dans ces cas, la chasse aux étoiles associée aux efforts et sacrifices visant à attirer un grand nombre de célébrités a conduit
à une situation qui ne permettait pas à un invité « lambda » de se sentir à l’aise dans l’établissement.
Pourquoi avez-vous choisi le Spitzhorn pour votre nouvelle mission ?
Dès le début, ma femme et moi avons pu aider à façonner l’âme de l’hôtel Spitzhorn. En tant que locataires, nous avons repris un établissement de l’assurance La Bâloise qui correspond parfaitement à notre idée d’un hôtel moderne. Pas de posture guindée, pas d’illusion de grandeur. Nous privilégions une atmosphère détendue et une cordialité authentique. En 2014, le « Times » a même écrit qu’il s’agit d’un moyen de « réinventer Gstaad pour les skieurs au budget plus modeste ».
Qu’est-ce qui différencie le Spitzhorn d’autres hôtels de la même catégorie ou d’une catégorie supérieure ?
Nous pensons qu’il ne faut « pas toujours vouloir plus, mais aspirer au meilleur ». C’est le principe directeur

de notre hôtel trois étoiles supérieur. À mon avis, il n’est pas possible de comparer un hôtel à un autre car chaque établissement possède son propre charme et sa propre identité. Finalement, ce qui compte c’est l’âme de l’hôtel, tout est une question de niveaux, notre hôtel est d’un degré plus spacieux, les couloirs sont plus larges, les chambres plus lumineuses, les boissons plus grandes, le champagne plus pétillant, le temps est meilleur, les enfants sont plus heureux, les montagnes plus hautes, la piscine s’avère plus accueillante, les prairies alpines plus colorées et les visages de notre équipe sont plus rayonnants. Ce qui fait la différence c’est aussi notre facture qui, malgré le confort offert, rayonne d’une modestie particulière. Nous nous concentrons uniquement sur le client et son bien-être. Tout ce dont nos visiteurs ont besoin est à leur disposition. Nous offrons donc le vrai luxe plutôt qu’une illusion de grandeur.
Qu’est-ce qui distingue l’offre culinaire du Spitzhorn ?
Les plats les plus populaires des Alpes ou « The Best of the Alps » d’Allemagne, d’Autriche, de Suisse, d’Italie et de France attendent nos visiteurs ! Nous avons mis au point les meilleures recettes, qui convainquent par des ingrédients frais, souvent locaux, et forment un menu simple mais très savoureux. Nous proposons par exemple des soupes spéciales, des poissons locaux, des classiques alpins, des röstis copieux et des desserts gourmands ainsi que des spécialités saisonnières.
Vous décrivez votre établissement comme un hôtel trois étoiles qui comporte une infrastructure quatre étoiles. Qu’est-ce qui confère à cette dernière sa grande qualité ?
Notre hôtel est en effet un trois étoiles supérieur avec une infrastructure quatre étoiles dans un environnement cinq étoiles. Cela fait aussi partie de notre slogan. Lorsque nous avons ouvert l’hôtel Spitzhorn en décembre 2013, « la légèreté de l’être » a également trouvé son expression architecturale. En tant que chalet-hôtel, l’établissement ne choque pas et se fond harmonieusement dans l’un des plus beaux paysages alpins de Suisse. Les chalets enchantent parce qu’ils absorbent les couleurs et les formes de leur environnement rendant l’ensemble « léger ». Quant à nos intérieurs, il a été difficile de laisser transparaître l’esthétique très particulière du monde extérieur. Nos décorateurs d’intérieur ont créé une œuvre d’art étonnante. Les 50 chambres et les 110 lits de l’établissement offrent les meilleures vues sur la région. L’hôtel comprend aussi une salle de jeux pour les enfants, une cuisine saisonnière de brasserie dans le restaurant ainsi qu’une zone de bien-être, un fitness, une piscine, un sauna / bain à vapeur, des soins Kneipp et des massages.
Plus d’informations sur : www.spitzhorn.ch
Àcontre-courant des logiques industrielles et conventionnelles, une poignée de vignerons suisses s’engagent dans une viticulture radicalement respectueuse du vivant : celle des vins SAINS – Sans Aucun Intrant Ni Sulfite ajoutés. À la croisée du vin nature et du vin d’auteur, cette philosophie prône une approche épurée, authentique et exigeante, où chaque bouteille traduit fidèlement le travail de la vigne et de son vigneron. Rencontre avec Arnaud Siegfried, artisan vinificateur de la cave PuR Raisin et créateur du shop Soufre pas ça sulfite, et Jordi Renard, vigneron du domaine Maison Vulpin et créateur du salon SØ2, pionniers du mouvement en Suisse.

Qu’entendez-vous exactement par « vins SAINS » et en quoi diffèrent-ils des vins bio ou des vins nature ?
Un vin S.A.I.N.S. est un vin sans aucun intrant ni sulfite ajouté, produit naturellement et uniquement par l’action des levures indigènes, sans collage ni filtration. Un vin qui bénéficie de cette mention est obligatoirement issu d’un vigneron membre de l’Association des vins S.A.I.N.S. Cette association est connue pour être la plus stricte à ce jour. En effet, pour intégrer ses rangs, le vigneron doit réaliser des vins S.A.I.N.S. sur 100 % de son activité vinicole, et l’achat de raisin est interdit, même en cas de mauvaise récolte.
Un vin nature doit être produit de la même manière qu’un vin S.A.I.N.S., mais peut aussi provenir d’une activité de négoce.
Un vin bio ou issu de la biodynamie respecte un cahier des charges précis et est certifié. Les cultures sont travaillées sans pesticides ni herbicides de synthèse (tout comme un vin nature ou un vin S.A.I.N.S.). En revanche, en cave, le cahier des charges est plus laxiste pour ces vins et autorise plus d’une centaine d’intrants, comme des levures sélectionnées et des sulfites.
Qu’est-ce qui vous a poussés à défendre et à produire des vins sans sulfites ? Arnaud : Après avoir obtenu mon Brevet fédéral en restauration en 2016, j’ai eu l’opportunité de découvrir le programme proposé par une HES de viticulture et d’œnologie. C’est là que j’ai réalisé qu’il n’existait pas ou peu d’alternatives aux vins conventionnels en Suisse. À cette période, on parlait encore peu de vin bio et de biodynamie, alors parler de vin nature n’était pas du tout d’actualité.
Grâce à plusieurs vignerons nature en France, passionnés et passionnants, dont les présidents de l’Association des vins S.A.I.N.S., Gilles et Catherine Vergé, j’ai pu approfondir mes connaissances dans le milieu du vin nature et de son élaboration. Mais surtout, j’ai découvert une palette aromatique complètement différente des vins standardisés et fixés chimiquement. J’ai alors décidé d’importer des vins S.A.I.N.S. et de créer mon shop en ligne (www.soufrepascasulfite.ch) dédié à ces vignerons et à cette philosophie. Forcément, au travers de ces rencontres incroyables, l’envie est née de produire mon propre jus de raisin fermenté. Jordi, déjà lancé, m’a permis de me jeter à l’eau…
Jordi : Le premier vin nature que j’ai pu déguster, c’était en 2017, via Arnaud et sa jeune entreprise Soufre pas ça sulfite. Puis quelques cuvées se sont ajoutées au développement de mon palais. À partir de 2019, une deuxième rencontre avec un sommelier avec qui je travaillais a affiné mon goût grâce aux nombreuses dégustations que nous avons réalisées pour créer la carte du restaurant.

Quels événements sont prévus prochainement pour faire connaître et valoriser les vins SAINS et nature en Suisse ?
Le dimanche 8 février 2026 à Vevey (une date à retenir) se déroulera la 2e édition du salon SØ2, un événement unique réunissant tous les vignerons et vinificateurs suisses partageant cette philosophie, ainsi que plusieurs vignerons étrangers, principalement en provenance de France.
Il existe aussi le Festival du vin nature, organisé par l’ASVN (Association Suisse du Vin Nature), et le salon La Désalpe, où se mêlent vignerons nature et producteurs de vins contenant une dose minime de sulfites.
Les vins nature connaissent un véritable engouement : comment les reconnaître, et quels sont les labels ou domaines qui les certifient ?
Des labels privés ont été créés par des associations de vignerons pour encadrer la pratique, comme le label S.A.I.N.S. en France. La mention « sans sulfites ajoutés » ou le logo d’une association comme l’AVN peuvent également être de bons indicateurs. En Suisse, l’ASVN œuvre dans ce sens depuis 2021, avec le soutien de BioVaud, et depuis 2023, l’association collabore avec Bio-Inspecta pour un contrôle reconnu.

Comment évaluez-vous l’impact des vins SAINS sur les écosystèmes, mais aussi sur la santé et la perception des consommateurs ?
Pour découvrir et s’initier aux vins nature et S.A.I.N.S., le mieux est d’aller déguster directement chez le vigneron. Vous pouvez aussi passer en boutique et écouter les conseils d’un caviste spécialisé.
Début 2020, lors de plusieurs salons à Angers (haut lieu des vins nature), j’ai décidé de créer mon propre vin nature, sans aucun intrant ni sulfite ajouté. Pour moi, c’était une évidence : le retour en arrière vers du vin conventionnel n’était plus possible. J’ai trouvé de la vigne, un petit chai, et l’aventure a commencé. Le seul et unique jour de formation que j’ai eu fut celui de mes propres vendanges. Un ami, ancien sommelier, m’a montré comment contrôler la transformation du jus de raisin en vin grâce à un mustimètre. Depuis, l’expérience des millésimes m’a permis d’apprendre de mes erreurs comme de mes réussites.
Quelles sont les particularités des vignes et des cépages récoltés pour élaborer des vins suivant la charte SAINS ?
Voici un extrait de la charte des vins S.A.I.N.S. à ce sujet :
« La nature est l’outil principal. Quelles que soient les pratiques (travail des sols, enherbement naturel, etc.) et les labels, un vigneron de l’Association des vins S.A.I.N.S. ramasse inévitablement et à 100 % de son activité viticole des raisins mûrs, manuellement et exempts de tous produits chimiques de synthèse et moléculaires. La qualité alimentaire optimale des raisins est l’exigence de l’Association des vins S.A.I.N.S. » Quels vignerons partagent aujourd’hui cette philosophie et cultivent la vigne selon ces principes ?
À travers le monde, un peu plus d’une centaine. En Suisse, une dizaine. Parmi eux : Andrea et Marc Balzan (domaine Chèrouche), Hans-Peter Schmidt (Mythopia). Et pour la nouvelle génération : Benjamin Dupas (La Riva), Lucas Madonia, Timothée Place (La Momoterie), Felipe et Yanis (TyaloTyalo).
Un retour à l’agriculture d’hier pour inspirer celle de demain, afin de protéger notre terre nourricière, les êtres vivants qui la peuplent et la vie qui les entoure – aussi bien la faune que la flore, dans les vignes. Nous nous devons de penser à ce que nous laisserons à nos enfants. Quels conseils donneriez-vous à celles et ceux qui souhaitent découvrir ou s’initier aux vins nature et SAINS ?
Pour découvrir et s’initier aux vins nature et S.A.I.N.S., le mieux est d’aller déguster directement chez le vigneron. Vous pouvez aussi passer en boutique et écouter les conseils d’un caviste spécialisé. De nos jours, on en trouve dans toutes les grandes villes. L’idéal est également de participer à un salon de vin nature, comme le salon SØ2, qui fait désormais office de référence dans le milieu. Les vignerons qui font le vin vous transmettront leur passion et leur philosophie.
Plus d’informations : soufrepascasulfite.ch




2E BIENNALE SON 30.08-30.11.2025 VALAIS / SUISSE BIENNALESON.CH
2E
LA CENTRALE (USINE DE CHANDOLINE) LE PÉNITENCIER
CENTRALE (USINE DE CHANDOLINE)
LE PÉNITENCIER
LA GRANGE ET LA GRENETTE DE LA FERME-ASILE
LA GRANGE ET LA GRENETTE DE LA FERME-ASILE
LE MANOIR DE LA VILLE DE MARTIGNY
LE MANOIR DE LA VILLE DE MARTIGNY
MUSÉE D’ART DU VALAIS
LEMME SILO
ÉVÉNEMENTS
ÉVÉNEMENTS
MUSÉE VALAISAN DES BISSES FONDATION OPALE MUSÉE DE BAGNES
SAMEDI 29 NOVEMBRE DIMANCHE 30 NOVEMBRE
SAMEDI 29 NOVEMBRE DIMANCHE 30 NOVEMBRE
LA CENTRALE, SION FONDATION LOUIS MORET, MARTIGNY
LA CENTRALE, SION FONDATION LOUIS MORET, MARTIGNY
LA POÉSIE S’HONORE UNE

THE LAST LONG NIGHT UNE
PROPOSITION A/V DE STRUCTURALS
AVEC NOÉMI BÜCHI, ECHOES OF ARCHS, THOMAS LAIGLE, LEONI LEONI, MITOSPORA, MONOCOLOR
THE LAST LONG NIGHT UNE PROPOSITION A/V DE STRUCTURALS AVEC NOÉMI BÜCHI, ECHOES OF ARCHS, THOMAS LAIGLE, LEONI LEONI, MITOSPORA, MONOCOLOR
PROPOSITION DE VINCENT BARRAS
AVEC OLIVIER CADIOT, JULIEN
D’ABRIGEON, JONATHAN DUMANI, MICHÈLE MÉTAIL, THIERRY
RABOUD, CIA RINNE, LAURA VAZQUEZ
LA POÉSIE S’HONORE UNE PROPOSITION DE VINCENT BARRAS AVEC OLIVIER CADIOT, JULIEN D’ABRIGEON, JONATHAN DUMANI, MICHÈLE MÉTAIL, THIERRY RABOUD, CIA RINNE, LAURA VAZQUEZ

Faire un legs ou un héritage à la Fondation Terre des hommes, c’est laisser une véritable empreinte d’amour, de générosité et une lueur d’espoir aux enfants d’ici comme d’ailleurs, aujourd’hui, demain et pour les années à venir.





Depuis plus de 90 ans, l’École Suisse de Ski de Château-d’Oex partage avec passion l’art du ski dans la splendide région du Pays-d’Enhaut et de Gstaad. Pour simplifier vos vacances d’hiver, initiez-vous au ski alpin avec une équipe francophone dévouée et découvrez cette destination emblématique, célèbre pour ses montgolfières et sa multitude d’activités de neige : ski de piste, raquettes, ski de randonnée ou même héliski !
Cours privés ou collectifs, à l’heure, à la demi-journée ou à la journée, que vous soyez enfant, adulte, débutant ou expert, l’ESS propose forcément un cours adapté à vos besoins et à vos envies. Sa philosophie : enseigner par le plaisir. Les moniteurs, véritables ambassadeurs de la région, vous la feront découvrir sous un angle authentique et vivant. Cet hiver, Gstaad rejoint pour la première fois le Magic Pass, offrant à tous la possibilité de skier sur ses prestigieuses pistes, encadrés par des professionnels passionnés. Hors vacances scolaires, l’ESS propose également des offres découverte pour les détenteurs du Magic Pass.
À Château-d’Oex, le jardin des neiges de 10 000 m² est situé au cœur du village, permettant aux enfants d’apprendre en toute sécurité. Trois installations adaptées, dont un tapis magique et deux téléskis, favorisent la progression, tandis que l’espace ludique

et ses coussins gonflables, châteaux, carrousel, trampoline et piste de luge promettent amusement et découverte pour les skieurs en herbe. Les parents peuvent, quant à eux, profiter d’une buvette proposant des produits du terroir ainsi que d’une terrasse ensoleillée pour se détendre au cœur des Alpes.
École de Ski et de snowboard de Château-d’Oex +41 26 924 68 48 www.ess-chax.ch








Retrouvez tout le programme sur : WWW.LIGUE.CH/CAMPS
Dans chaque activité, la Ligue désire offrir un cadre dans lequel les enfants, les jeunes et les adultes peuvent découvrir et réfléchir aux valeurs transmises par la Bible dans la liberté et le respect. Basées sur les valeurs chrétiennes, toutes ses activités favorisent l’épanouissement social, culturel, physique et spirituel.
LIGUE POUR LA LECTURE DE LA BIBLE WWW.LIGUE.CH La Ligue vit aussi de dons









DÈS 1’150.-
5 JOURS
Du 29 décembre 2025 au 2 janvier 2026 RÉVEILLON EN TOSCANE
Une fin d’année lumineuse en musique sous le ciel d’Italie
• Lucca, la ville la plus sympathique de Toscane
• Florence, la cité de tous les puissants et des artistes de génie
• Pise, la célèbre tour penchée n’est pas son seul atout

DÈS 1’755.-
6 JOURS
Du 28 décembre 2025 au 2 janvier 2026
RÉVEILLON EN
LOIRE-ATLANTIQUE
Cap vers l’ouest pour des festivités qui flairent bon l’air marin
Ce séjour vous fera découvrir la douceur de la côte atlantique. À Nantes, vous visiterez les Machines de l’île et profiterez d’un dîner-croisière sur l’Erdre. Vous découvrirez ensuite le musée des Marais Salants à Batzsur-Mer ainsi que les villes de Guérande et Pornic. Vous longerez la côte Sauvage avant de célébrer le Réveillon autour d’un souper-spectacle. Enfin, vous rejoindrez l’île de Noirmoutier, connue pour son climat doux. Hôtel 4*, demi-pension, trajet en car Buchard, accompagnatrice et guide local
• Parenthèse gustative sur l’Erdre
• Guérande et son sel de renommée mondiale
• Noirmoutier, son ambiance et ses paysages empreints de simplicité
Passez le cap de la nouvelle année en Toscane ! Dès votre arrivée à Lucca, profitez d’une soirée musicale animée par André Pilet. Le lendemain, visitez Florence et ses trésors de la Renaissance : la place Michelangelo, le baptistère, le ponte Vecchio et son célèbre dôme. Découvrez ensuite Lucca lors d’une promenade guidée et célébrez le Réveillon autour d’un repas festif. Pour finir, admirez Pise et sa célèbre tour penchée. Hôtel 4*, demi-pension, visites guidées, accompagnatrice et trajet en car Buchard

4 JOURS DÈS 825.-
Du 11 au 14 décembre 2025
Des étoiles plein les yeux et les bras chargés de cadeaux !
Vous rêvez de découvrir le Tyrol pendant l’Avent ? Une promenade en calèche à Seefeld et les ruelles illuminées d’Innsbruck créent une atmosphère magique. Du haut du tremplin de Bergisel, la vue sur la ville est spectaculaire et le musée Tirol Panorama raconte l’histoire fascinante de la région. Les marchés de Noël et les spécialités locales ajoutent une touche gourmande et festive à ce séjour inoubliable. Hôtel 3*, petit-déjeuner, visites guidées, accompagnatrice et trajet en car Buchard
• Très bel hôtel à Innsbruck, à 15 min. à pied du centre
• Calèche à Seefeld, un instant hors du temps
• Le Petit Toit d’or, un incontournable innsbruckois
Lieux de départ au plus près de chez vous, depuis les cantons de GE, FR, NE, VD et VS
Les tarifs sont indiqués par personne, sur la base d’une occupation en chambre ou cabine double.
