CCR 1/2012

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contamination control report

März 2012

Offizielles Organ

SSterilisationsprozesse l p vor Kondensat d schützen h en Reinigbarkeit von Oberflächen Re f Reinraumvorfiltration R f n Dekontaminationsgeräte für D f den Operationssaal OEL/OEB-Werte mittels O l SMEPAC-Messungen Brunner Haustechnik B h k AG Validierung V lidi einer UV-Lampe FFörderung d d Sicherheit der he h in Laboratorien b W Wartungsmanagement für f Sensorreinigungssysteme y e Wid Widescreen-Displays pl s I ICCCS 2012 in Zürich h



E

editorial

Aus SRRT wird SwissCCS:

Liebe Leserin, lieber Leser, liebe Mitglieder der SRRT Die Abkürzung «SRRT» kommt von «Schweize­ rische Gesellschaft für Reinraumtechnik». Die­ ser Name umschreibt die heutigen Aufgaben unserer Gesellschaft nur ungenügend. Das Arbeitsfeld hat sich im Laufe der Jahre weiter­ entwickelt und umfasst heute alle Bereiche der reinen Produktion und Forschung. Deshalb haben wir uns entschlossen, unsere Gesell­ schaft in Anlehnung an die englische Be­ zeichnung umzubenennen und den Begriff «Kontaminationskontrolle» einzuführen. Die Kontaminationskontrolle ist ein Oberbegriff und die Reinraumtechnik ist eine der Metho­ den zur Kontrolle der Kontamination. Leider konnten wir bis heute den neuen Namen für unsere Gesellschaft wie er auch englisch heisst «Swiss Society for Contamination Con­ trol» nicht als Hauptname verwenden, da die­ ser markenrechtlich geschützt war. Dank der Grosszügigkeit des Namensinhabers Hrn. Dr. Wüst, sind die Markenschutzrechte nun an uns übergegangen. Endlich können wir uns Swiss Contamination Control Society mit der Abkür­ zung SwissCCS nennen. Im Untertitel soll je­ doch auch der deutsche Name «Schweizerische Gesellschaft für die Reinraumtechnik» erhalten bleiben. Bei der Gründung der SRRT in den 80­ziger Jah­ ren des letzten Jahrhunderts war die Reinraum­ technik eine neue, revolutionäre Technik, ohne die der Fortschritt besonders in der Mikroelek­ tronik gar nicht möglich gewesen wäre. In der Gründerzeit, bis tief in die 90­ziger Jahre, war der Begriff «Reinraumtechnik» praktisch iden­ tisch mit «Kontaminationskontrolle», weil es die dominierende Methode zur Kontrolle der Ver­ unreinigungen im Raum und in der Raumluft war. In dieser früheren Phase der Miniaturisie­ rung war es nämlich hauptsächlich die luftge­ tragene, Partikel­Kontamination, die man mit Hilfe von Luftfiltrationsmethoden unter Kont­ rolle bringen musste. Auch die anderen wich­ tigen Prozessmedien Reinstwasser, Reinstgase und auch die reinen Chemikalien hat man hauptsächlich mit Filtrationsmethoden auf die erforderliche Reinheit gebracht. Mitte der 90­ziger Jahre hat die Reinraumtech­ nik jedoch ihre Reife erreicht und neue Fragen­ komplexe sind wichtig geworden. Um die Situ­ ation zu dieser Zeit zu erklären, kann man sich einer Symbolik bedienen: die Reinraumtechnik ist eine Hülle, die einen Raum umschliesst, in dem verschiedene Prozesse ablaufen. Das, was

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innerhalb dieser Reinraumhülle stattfand, ist zum Hauptproblem geworden: die Prozesse und die reinen Oberflächen. Für eine hohe Produkte­Qualität wurde die Kontrolle aller Kontaminationen (partikel, chemische und bio­ logische Kontamination) sowohl in der Luft wie auch – und das hauptsächlich – auf den Ober­ flächen von eminenter Wichtigkeit. Es wurden neue Konzepte wie z.B. die «Total Contamina­ tion Control» eingeführt, die die gleichzeitige Kontrolle aller Quellen gewährleisten soll. Die Reinraumtechnik hat ihre Wichtigkeit nicht ver­ loren aber ihre Reife ermöglicht heute bei ent­ sprechender Kontrolle die problemlose Pro­ zessführung. Die Namensänderung demonstriert auch un­ seren neuen Hauptakzent: die Beherrschung aller Kontaminationsquellen in allen Arbeitsbe­ reichen und Branchen. Die Swiss Contamina­ tion Control Society – SwissCCS – will hier die existierenden Kompetenzen weiter ausbauen, um die Industrie und die Forschung in einer Schlüsseltechnologie unterstützen zu können.

Egon Hollaender Vorstandsmitglied der SRRT

SwissCCS ein neuer Name! Was steckt dahinter? In Zeiten ständiger Entwicklungen, neuer Tech­ nologien und Erkenntnissen ist es auch ange­ sagt, die Bedürfnisse und Strukturen eines Zweckvereines zu hinterfragen und abzuklä­ ren. Um den Bedürfnissen unserer Mitglieder besser nachzukommen wird Herr Werner Straub, Mitglied des Vorstandes, ab April 2012 das Sekretariat der SwissCCS (ehemals SRRT) von der Federas übernehmen. Werner Straub hat Jahrzehnte lange, international fundierte Erfahrung in den Bereichen der Reinraumtech­ nik und Kontaminationskontrolle. Diese Fach­ kompetenz steht nun unseren Mitgliedern zur Verfügung. Ich heisse Herr Werner Straub auf diesem Wege, in seiner neuen Funktion, herz­ lich willkommen und bedanke mich bei der Federas für ihre wertvollen Dienstleistungen. Zur gleichen Zeit wurde uns grosszügiger Weise der Titel: «Swiss Contamination Control» geschenkt, was wir hier dem Schenker herzlich verdanken. Dies gab Anlass, unseren nicht mehr ganz aktuellen Namen SRRT auf SwissCCS «Swiss Contamination Control Society» anzu­ passen. Wir werden nun diesen Namen schritt­ weise einführen. Der neue Internetzugang zu unserer Home­Page kann neu über www.swis­ sccs.org sowie auch unter dem alten Link www. srrt.ch erreicht werden. Ich freue mich ab­ schliessend noch auf unser internationales Symposium ICCCS 2012 vom 3. –7. September 2012 hinzuweisen. Weitere Informationen fin­ den sie unter: www.icccs2012.ethz.ch.

Hans Zingre, Präsident SwissCCS

Egon Holländer

Hans Zingre

La SRRT devient SwissCCS :

Chère lectrice, cher lecteur, chers membres de la SRRT, L’abréviation SRRT vient de l’allemand «Schwei­ zerische Gesellschaft für die Reinraumtechnik». Ce nom est aujourd’hui source de confusion. La société ne s’occupe plus depuis longtemps exclusivement de la technique des salles propres. Celle­ci n’est aujourd’hui qu’une enve­ loppe qui en représente la superficie. Le champ d’activité de la société est depuis longtemps le contrôle de la contamination, qui comprend tous les domaines de la production pure et du développement. Le contrôle de la contamination est un terme générique et la technique des salles propres est seulement une des méthodes pour le contrôle de la contamination. Malheureusement nous ne pouvions pas utiliser l’appellation correcte pour notre société comme en anglais « Swiss Society for Contamination Control » en tant qu’appellation principale puisque cette marque légale est protégée. Maintenant nous pouvons acquérir les droits de la marque grâce à la générosité du titulaire du nom, le Dr Wüst. Nous pouvons enfin modifier notre nom pour adopter celui de Swiss Contamination Control avec son abréviation SCCS. Excepté le nom principal, le nom allemand « Schweizerische Gesellschaft für die Reinraumtechnik » reste conservé. Avec le changement de nom nous voulons montrer que depuis longtemps nous avions projeté un changement de concept. Lors de la fondation de la SRRT dans les années 80 du siècle passé, la technique des salles propres était une technique nouvelle et révolutionnaire sans laquelle le progrès, spécialement dans la microélectronique comme nous l’éprouvons aujourd’hui, n’aurait pas été possible. Dans la période de fondation, jusque tard dans les années 90, le concept de technique des salles propres était pratiquement identique à celui de contrôle de la contamination, car c’était la méthode dominante pour le contrôle des im­ puretés. Dans cette phase initiale de la minia­ turisation dans l’industrie, c’était surtout la contamination des particules amenées par l’air que l’on devait contrôler avec l’aide des mé­ thodes de filtration. Dans l’autre méthode

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importante pour l’obtention d’eau ultra pure (ainsi que dans les gaz et autres produits chimiques purs) on a aussi obtenu la pureté désirée par les méthodes de filtration. Dans les années 90 du siècle passé, la technique des salles propres a atteint sa maturité et de nou­ veaux problèmes sont devenus importants. Pour expliquer la situation de ce temps­là, on peut utiliser un symbolisme: la technique des salles propres est une enveloppe dans laquelle se trouvent différents procédés. Les procédés et les surfaces, qui se trouvaient à l’intérieur de cette enveloppe des salles propres, sont deve­ nus le problème principal. Le contrôle de toutes les contaminations (les particules­ de la contamination physique, chimique et biologique) aussi bien dans l’air que sur les surfaces, dans les machines et sur le personnel est devenu d’une importance pri­ mordiale si l’on veut atteindre une haute qua­ lité des produits. La technique des salles propres n’a pas perdu son importance mais aujourd’hui sa maturité offre une conduite de procédés sans faille lors de contrôle correspon­ dant. De nouveaux concepts comme le «contrôle total de la contamination» (Total Contamination Control) ont été introduits et doivent assurer le contrôle simultané de toutes les sources. Le changement de nom, que nous devons introduire maintenant, montre aussi que nos accents principaux du contrôle total de toutes les sources de contamination valent dans tous les domaines de travail et les indus­ tries. Un des problèmes principaux dans l’in­ dustrie propre sont aujourd’hui les surfaces propres. La SCCCS veut continuer de dévelop­ per les compétences existantes pour pouvoir aider l’industrie et la recherche dans ce do­ maine critique. Egon Hollaender membre du comité de la SRRT

SwissCCS, un nouveau nom ! Qu’est-ce qui se cache là-derrière ? En ces temps de développements constants de nouvelles technologies et de découvertes, il est aussi indiqué de s’interroger et de clarifier les besoins et les structures d’une association à but spécifique. Pour mieux répondre aux besoins de nos membres, Monsieur Werner Straub, membre du comité, reprendra de Federas, dès avril 2012, le secrétariat de SwissCCS (ancienne­ ment SRRT). Werner Straub a accumulé pen­ dant des décennies de solides expériences in­ ternationales dans les domaines de la technique des salles propres et du contrôle de la contami­ nation. Cette compétence est maintenant à disposition de nos membres. Je souhaite la bienvenue à Monsieur Werner Straub dans sa nouvelle fonction et remercie Federas pour leurs précieux services rendus. En même temps le titre de « Swiss Contamina­ tion Controll » nous fut offert généreusement

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et nous en remercions chaleureusement son donateur. Ceci nous donne l’occasion d’adapter notre nom SRRT qui n’est plus très actuel au nom SwissCCS « Swiss Contamination Control Society ». Nous introduirons progressivement ce nom. Le nouvel accès Internet de notre page d’accueil se trouve maintenant sur www.swis­ sccs.org ainsi que sur l’ancien lien www.srrt.ch. Pour terminer, je me réjouis encore d’attirer votre attention sur notre symposium internati­ onal ICCCS 2012 qui aura lieu du 3 au 7 septem­ bre 2012. Vous trouvez d’autres informations sur : www.icccs2012.ethz.ch

Hans Zingre, Président SwissCCS

SRRT becomes SwissCCS:

Dear Readers, Dear Members of the SRRT The abbreviation SRRT stands for «Schweizer­ ische Gesellschaft für die Reinraumtechnik» (i.e. Swiss Society for Clean­Room Technology). Whether abbreviated or spelled out, this is now misleading. Our society’s name in English, on the other hand, namely the «Swiss Society for Contamination Control», correctly states what it is all about these days: contamination control in its entire width. The problem stems from the fact that the word «Kontrolle» has a different meaning in German than the word «control» in English, and when it came to giving the society a name at the outset, the founders didn’t dare picking something that wasn’t quite correct. In the meantime, however, «Kontaminationskon­ trolle» is also a widely used terminus technicus in German and it would be justified to change the name. Contamination control is a generic term and the clean­room technique is only one of the methods available to keep contamina­ tion under control. When the SRRT was founded in the eighties of last century, the clean­room technique was a new, revolutionary method. Without it, espe­ cially in the area of microelectronics, the amount of progress we currently experience wouldn’t have been possible at all. In the early days the term «clean­room technique» was vir­ tually identical with «contamination control» because it was the dominating method to cope with contaminations. In the initial phase of min­ iaturization in industry it was in fact mainly the contamination with airborne particles which one had to bring under control with the aid of filtration. The other important process me­ dium, namely super­clean water (and pure chemicals), was also brought to the required purity primarily by means of filtration methods. In the nine­teen nineties the clean­room tech­ nique reached maturity and new problems became important. A symbolism can be

resorted to to explain the situation at the time: The clean­room technique is an envelope in which different processes take place. The pro­ cesses and surfaces within this clean­room envelope have become the main issue. Con­ tamination control, i.e. the controlling of all contaminations (the particle, physical, chemical and biological contamination) in both the air and (primarily) on the surfaces, in the equip­ ment and on the personnel gained enormous importance if one wanted to achieve a high product quality. The clean­room technique hasn’t lost its importance but, subject to suit­ able control, its maturity today offers a trouble­ free process management. New concepts have been introduced, for example «total contami­ nation control» which should ensure the simul­ taneous control of all sources. The SRRT takes these changes into account and is now a soci­ ety for clean processes even if this isn’t evident at first sight from its German name.

Egon Hollaender Member of the SRRT board

SwissCCS, a new name! What is behind this? In times of ongoing developments, new tech­ nologies and findings it is also appropriate to question and clarify the needs and structures of an association with a distinct purpose. To satisfy the requirements of our members in yet a better way, Mr Werner Straub, member of our committee, will take over the secretary’s office of the SwissCCS (formerly SRRT) from Federas effective from April 2012. Werner Straub draws from decades of solid, international experience in the areas of clean­room technology and con­ tamination control. His professional compe­ tence is now available to our members. I take this opportunity to cordially welcome Werner Straub in his new function and express my thanks to Federas for its valuable services. At the same time a big thank you goes to the person who made a generous gift to us in the form of the title: «Swiss Contamination Con­ trol». This allows us to change from the current abbreviation SRRT (which is not entirely up to scratch any more), to SwissCCS «Swiss Contam­ ination Control Society». The new name will be introduced step­by­step. Also new, the internet access to our home page is via www.swissccs. org (as well as the old link of www.srrt.ch). In closing, I’m pleased to draw the attention of the reader to our international symposium ICCCS 2012 to be staged from 3 to 7 September 2012. You’ll find further information under www.ic­ ccs2012.ethz.ch.

Hans Zingre, President of SwissCCS

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inhalt 4

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Die Abreinigbarkeit von Partikeln von verschiedenen Oberflächen spielt sowohl in der Life-Science-Branche (Lebensmittel-, Pharma-, Biotechnik-, Medizintechnik-, Kosmetikindustrie) als auch in allen anderen Branchen, in denen Partikel kritisch sind (Halbleiterindustrie, Mikroelektronik, Mikrosystemtechnik, Photovoltaik) eine wichtige Rolle.

fachartikel articles articles professionels

Reinigbarkeit von Oberflächen Reinraumvorfiltration mit Energiespareffekt Dekontaminationsgeräte für den Operationssaal und für Krankenzimmer Wie ermittle ich OEL/OEB-Werte mittels SMEPAC-Messungen?

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firmenreportagen company reports reportages en entreprises

Brunner Haustechnik AG: Erfolgreiche Integration in die Hälg Group Interview: Die Domestizierung der Reinraumtechnik

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Die Rolle der Luft als Erregerreservoir für postoperative Infektionen im OP-Gebiet ist seit langer Zeit Gegenstand von Diskussionen. Regelmässige Desinfektionen stellen daher eine Voraussetzung für den Gesundheitsschutz dar. Eine neue Methode stellen die SolidFog und DosyMist Dekontaminationsgeräte für die Biodekontamination von Operationssälen und Krankenzimmern mit H2O2 dar.

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Während des Handlings mit hochpotenten Wirkstoffen ist es besonders wichtig, das Risiko dort einzuschliessen, wo eine Exposition entstehen kann. Dafür werden Isolatoren und geeignete Transfertechnologien zum Produkt- und Personenschutz eingesetzt. Laut BG RCI sollen Wirkstoffen, die einen OEL von <1μg/m3 (BG RCI Kategorie 4) aufweisen nur im Containment (geschlossene Systeme) gehandhabt werden.

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veranstaltungen events manifestations

Lounges und Vision Pharma 2012 InPulse: Neue Weiterbildungs- und Kontaktplattform | Weiterbildung und mehr ICCCS 2012 in Zürich: Clean Technologies – What is the Future? Messe Frankfurt startet neue Kongressmesse Cleanzone

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schulung training formation

Reinraumseminar: Vertieftes Wissen zum Thema Reinraum

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firmenberichte company reports rapports d’entreprises

Förderung von Sicherheit und Komfort in Laboratorien Abfüllanlagen und Sterilisationsprozesse vor Kondensat schützen Modernes Wartungsmanagement für Sensorreinigungssysteme Bedienstationen für Zone 2+22 mit Widescreen-Displays Rasch zu reinigende Wägezellen

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forschung + entwicklung research and development recherche et développement

Validierung einer UV-Lampe

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-bulletin

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fachartikel

Reinigbarkeit von Oberflächen In diesem Artikel wird der Einfluss der Oberflächenbeschaffenheit auf die Abreinigbarkeit partikulärer Kontaminationen beschrieben. Autoren Markus Keller Alina Waldner Gabriela Baum Fraunhofer Institut Produktionstechnik und Automatisierung (IPA), Abteilung Reinst- und Mikroproduktion

Die Abreinigbarkeit von Partikeln von ver­ schiedenen Oberflächen spielt sowohl in der Life­Science­Branche (Lebensmittel­, Pharma­, Biotechnik­, Medizintechnik­, Kos­ metikindustrie) als auch in allen anderen Branchen, in denen Partikel kritisch sind (Halbleiterindustrie, Mikroelektronik, Mikro­ systemtechnik, Photovoltaik) eine wichtige Rolle. Maschineneinhausungen, Fussböden, Wände, Transportbehälter, Beschichtun­ gen,…die Liste der relevanten abzureinigen­ den Oberflächen liesse sich beliebig fortset­ zen. Die Anforderungen an eine reine Produktionsumgebung in den genannten Industriebereichen steigen stetig. Hierfür sind zum Einen die kontinuierliche Tendenz zur Miniaturisierung der Produkte und der hohe Anspruch an die Präzision und Reinheit von elektronischen und mikromechanischen Erzeugnissen, zum Anderen auch der ver­ mehrte Verzicht auf Konservierungsstoffe in der Lebensmittelindustrie verantwortlich. Besondere Relevanz haben Oberflächen mit einem grossen Flächenateil an der gesamten Reinraumumgebung, wie Böden, Wände und deren Fugen (1). Eine ausreichende Reinigbarkeit ist aus hygi­ enischer Sicht generell notwendig, um einen hygienisch sicheren Prozess und möglichst lang haltbare Produkte zu schaffen (2). Las­ sen sich abiotische Partikel von Oberflächen gut abreinigen, eignen sich diese Flächen ebenfalls gut für eine effektive Abreinigung von Mikroorganismen (3). Des Weiteren fordert der EU­GMP­Leitfaden Annex 1 explizit eine ausreichende Reinig­ barkeit von Oberflächen bei der Herstellung steriler Arzneimittel (4). Durch eine reine Pro­ duktionsumgebung werden die Störein­ flüsse, welche auf die kritischen Produkte

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Bild 1: Links: Sedimentationskammern zur Aufbringung einer homogen verteilten Partikelkontamination auf Oberflächen; rechts: Messkopf des PartSens Messgeräts fixiert in einem Adapter für die exakte Positionierung über den Sedimentationskammern

negativ einwirken, weitestgehend mini­ miert (5). Diese reine Fertigungsumgebung wird ebenfalls durch das Streben nach einer im­ mer besser werdenden Qualität vorangetrie­ ben (6). Die minimale Kontamination der Produkte steigert die Qualität und Zuverläs­ sigkeit und senkt den kontaminationsbe­ dingten Ausschuss. Durch die geringere

Nettoyage des surfaces Le nettoyage des particules de diffé­ rentes surfaces joue un rôle important dans le secteur des sciences de la vie et dans d’autres domaines dans lesquels les particules sont critiques. Les exigences relatives à un milieu de production propre dans les domaines industriels ci­ tés sont en constante augmentation. De ceci sont responsables, pour une part la tendance marquée vers la miniaturisa­ tion des produits et la grande exigence quant à la précision et la pureté des éléments électroniques et micromé­ caniques, et d’autre part l’abandon toujours plus marqué des agents conser­ vateurs dans l’industrie alimentaire. Ont une importance particulière les enceintes avec une grande proportion de surface dans l’environnement global des salles propres (1).

partikuläre Restverschmutzung sinken daher auch die Produktionskosten (7). Für eine wissenschaftlich abgesicherte Materialauswahl wurde eine Messmethode mit einem Klassifizierungssystem über die partikuläre Reinigbarkeit von Oberflächen erarbeitet (8). Wie gut sich Partikel von einer Oberfläche durch eine standardisierte Wischreinigung entfernen lassen, wird hierbei messtechnisch überprüft. Ein linearer Wischsimulator wird für die dafür notwendige reproduzierbare Abreinigung eingesetzt. Die zu untersuchen­ den Oberflächen müssen vor der Abreini­ gung gleichmässig mit einer definierten Anzahl von Partikeln kontaminiert werden. Die Partikelbelegung wird vor und nach der Cleanability of surfaces The suitability of different surfaces for the cleaning away of particles plays an important role not only in the field of life­ sciences, but also in all other industries where particles are a critical aspect. The requirements in respect of a clean pro­ duction environment in the said areas of industry are steadily increasing. Of par­ ticular relevance are surfaces having a major share of the total area of the entire clean­room environment, e.g. floors, walls and their joints (1).

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Abreinigung durch ein Streiflichtmessgerät direkt auf der Oberfläche erfasst. Daraus er­ rechnet sich der relative Reinigungserfolg als Vergleichsmass zwischen den verschiedenen Oberflächen. Diese Untersuchung ist eine der möglichen Reinheitstauglichkeitsunter­ suchungen am Fraunhofer IPA. Für diesen Beitrag wurde die Reinigbarkeit zweier Edel­ stahl­Oberflächen klassifiziert. 1 Material und Methoden 1.1 Kontamination der Oberflächen Die untersuchten Oberflächen wurden zu­ nächst mit 70 %­igem Isopropanol und ei­ nem Reinraumtuch mehrmals abgereinigt und mit Reinstdruckluft abgeblasen. Für die Herstellung der Partikelsuspension wurde ein nach ISO 12103­1 standardisierter Teststaub (Powder Technology Inc., Burns­ ville, Minnesota, USA) verwendet (9). Die Auswahl des ATD Teststaubs wurde aufgrund der klar definierten Partikelgrössenvertei­ lung getroffen, welche einer natürlichen Verunreinigung recht nahe kommt und ei­ nen grossen Anteil an kleinen Partikeln ent­ hält. Für die Partikelsuspension wurden 0,05 g ATD Teststaub in 200 ml Isopropanol gegeben und anschliessend in einem Ultra­ schallbad über eine Dauer von 10 Minuten suspendiert. Die Partikelsuspension muss sofort nach der Ultraschallbehandlung ver­ wendet werden. Die Kontamination selbst erfolgte durch das Einpipettieren von 0,5 ml Partikelsuspension in je zehn identische Sedimentationskam­ mern, welche auch zur Messpunktmarkie­ rung dienen. Ziel ist es, die SPC­Klasse 8 nach ISO 14644­9 (10) knapp zu überschreiten. Die Sedimentationskammern sind so konstru­ iert, dass der Messkopf des verwendeten Streiflichtmessgerätes hineingestellt werden kann und somit Lichteinflüsse, welche das Messergebnis verfälschen können, mini­ miert werden. Die eigens dafür angefertigte Messkopfhalterung ermöglicht zusätzlich eine präzise Positionierung und Fixierung des Messkopfes während der Messung. 1.2 Linearer Wischsimulator LiWiS Der Lineare Wischsimulator besteht aus ei­ nem linearen Pneumatikantrieb, welcher auf einem Lochrastertisch installiert wurde. Die

Bild 4: Schematische Darstellung der Streiflichtmessung

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Bild 2: LiWiS-Versuchsstand

Bild 3: gleitende Fixierung des Reinraumtuches mittels Auflagegewicht

Bild 5: Grafische Darstellung der SPC-Klassen nach ISO/FDIS 14644-9

Linearachse wird über das pneumatische Steuergerät Easy­Lube (efm­systems GmbH, Stuttgart) angesteuert. Das lose geführte Gewicht (1 kg), welches das Reinigungstuch für die simulierte Wischreinigung auf die zu vermessende Oberfläche presst, wird einma­ lig mit 0,1 m/s verfahren (Bild 2). Ein mit Reinstwasser getränktes Zellulose­ Polyester­Reinraumwischtuch wird um das 1 kg­Gewicht gelegt, welches anschliessend in die Führung der linearen Wischeinheit ge­ stellt wird (Bild 3). 1.3 Verwendete Messtechnik Die Messung erfolgte durch das portable Streiflichtmessgerät PartSens (acp ­ advan­ ced clean production GmbH, Esslingen). Der PartSens ist ein kompaktes optisches Mess­ system zur reproduzierbaren Messung von Partikeln und Staub auf technischen Ober­

flächen. Die Messtechnik basiert auf der Streiflichtmessung, sodass die Partikel zur Vermessung auf der Oberfläche verbleiben können Das folgende Schema veranschau­ licht das verwendete Messverfahren (Bild 4). Zur Reduzierung der statistischen Messunsi­ cherheit werden die einzelnen Messpunkte je zehn Mal vor und nach der erfolgten Abreinigung abgerastert. Folgende sechs Partikel­Grössenkanäle werden betrachtet: > 5 µm, > 15 µm, > 25 µm, > 50 µm, > 100 µm und > 150 µm. 2 Ergebnisse Aus den gemittelten Werten der jeweiligen Messpunkte wurde die Partikelbelegung vor und nach der Reinigung bestimmt. Die Werte werden mit den partikulären Oberflächen­ reinheitsklassen (=SPC­Klasse) nach ISO/FDIS

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14644­9 (10) und VDI 2083 Blatt 17 (11) korre­ liert und durch Differenzbildung vor und nach Abreinigung der relative Reinigungser­ folg durch die Differenz der SPC­Klassen aus­ gedrückt (Bild 5). Die verwendete Kontaminationsmethode zeigt eine maximale Standardabweichung von 15 % bei der Partikelbelegung. Aufgrund der logarithmischen Natur der SPC­Klassen ist die ermittelte Standardabweichung akzepta­ bel, da dieser Fehler keinen wesentlichen Ein­ fluss auf die Klassifizierung nimmt. Die Vertei­ lung der Partikel war gleichmässig, wie auf dem folgenden Binärbild zu sehen ist (Bild 6). Die untersuchten Oberflächen wurden in jeweils zehn Messfelder eingeteilt. Jedes Messfeld wurde zehnmal vermessen. Aus

lichen relativen Reinigungserfolg der einzelnen akkumulierten Partikelgrössen­ klassen. Folgend werden zwei Edelstahlober­ flächen näher erörtert.

Bild 6: Verteilung der Partikel auf Substratoberfläche bei Betrachtung mit dem Messgerät PartSens

diesen Messwerten wurden jeweils der Mit­ telwert und die Standardabweichung in das Diagramm gezeichnet. Die Gesamt­Klassifi­ zierungszahl der Reinigbarkeit von Oberflä­ chen berechnet sich aus dem durchschnitt­

2.1 Edelstahl-Oberflächen Die untersuchten gebürsteten Edel­ stahloberflächen zeigen eine vergleichbare Oberflächenrauheit von Ra = 0,2 µm quer und längs zur Bürstungsrichtung auf. Eine der beiden Oberflächen wurde anschlies­ send elektropoliert, die Vergleichsfläche er­ fuhr keine weitere Modifikation. Durch die Elektropolitur wird im Allgemeinen die Mik­ rorauheit verringert (Bild 7). Zur Bestimmung des Rauhigkeitswerts Ra nach ISO 4287 wird bei einem vermessenen

Edelstahl 1.4301 gebürstet; Ra = 0,2 µm

Gemittelte SPC­Klassen­Verbesserung = 2,4

Edelstahl 1.4301 gebürstet + elektropoliert; Ra = 0,2 µm

Gemittelte SPC­Klassen­Verbesserung = 1,7 Bild 7: Vergleich zweier Edelstahloberflächen

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Profil eine Gerade am maximalen Punkt und am minimalen Punkt gezogen (12). An­ schliessend wird eine Mittellinie gezogen. Die Fläche oberhalb und unterhalb dieser Linie wird errechnet und in ein flächenglei­ ches Rechteck über die Messlänge umge­ wandelt. Der Abstand zwischen den Kanten ist dann der Rauhigkeitswert Ra. Eine Elek­ torpolitur trägt sehr kleine Mikrospitzen ab und füllt Mikrotäler auf (Glättung). Die Ober­ fläche wird geglättet, wobei sich der Ra­Wert nicht wesentlich ändert. 3 Diskussion Der Unterschied in der Abreinigbarkeit der Oberflächen zeigt sich bei sphärischen Parti­ keln mit einem Durchmesser von D ≥ 100 µm. Eine mögliche Erklärung basiert auf der Oberflächenmodifikation mittels Elektropo­ litur. Wie auf den mikroskopischen Bildern ersichtlich, sind nach der Elektropolitur auf der untersuchten Oberfläche kleine sphäri­ sche Vertiefungen zu finden. In diesen Mik­ rovertiefungen können sich möglicherweise Partikel aufgrund des starken Van der Waals Adhäsionspotentials (eine Kugel in einer Ver­ tiefung erfährt eine stärkere Wandhaftung als eine Kugel auf einer idealen Ebene) einer mechanischen Reinigung entziehen. Verblei­ ben nach einer Wischreinigung auf einer Oberfläche von einem Quadratmeter bei­ spielsweise 1500 Partikel mit einem Durch­ messer von 100 µm, konnte die Oberflächen­ reinheitsklasse SPC = 5 nicht erreicht werden. Dieser exemplarische Versuch zeigt auf, dass

die alleinige Kenntnis der Oberflächenrau­ heit eines Materials keine direkte Aussage über dessen partikuläre Reinigbarkeit ermög­ licht. Bei der Reinigbarkeit handelt es sich immer um eine Materialpaarung. Verschie­ dene Materialien besitzen verschiedene An­ ziehungskräfte. Unter normaler Atmosphäre bildet sich an Oberflächen in Abhängigkeit der Luftfeuchte ein unterschiedlich dicker Wasserfilm, welcher wiederum einen direkten Einfluss auf die Abreinigbarkeit der Partikel hat. Partikel mit einer Hydrathülle auf hydro­ phoben Oberflächen lassen sich höchstwahr­ scheinlich besser abreinigen als hydratisierte Partikel auf hydrophilen Oberflächen. Zur Klärung einiger dieser Fragen erforscht beispielsweise Herr Kreck vom Fraunhofer IPA die Haftkraft von sphärischen Partikeln auf näherungsweise ideal­glatten Oberflächen von Silizium­Wafern mit Hilfe eines angepass­ ten Rasterelektronenmikroskops und einer Mikro­Ablenkeinheit. Die hier vorgestellten vergleichenden Abreinigungsversuche wer­ den für Industriekunden am Fraunhofer IPA durchgeführt und laufend weiterentwickelt. Ebenfalls wird die Methode in ähnlicher Form durch den Arbeitskreis der Richtlinie VDI 2083 Blatt 9.2 «reinraumtaugliche Gebrauchsge­ genstände» als standardisierter Abreini­ gungsversuch mit aufgenommen. 4 Literaturverzeichnis

1. Keller, Markus. Reinraumtechnik in der Lebensmittelindus­ trie – Materialauswahl für hygienische Fertigungsumge­ bungen am Beispiel Wände, Böden und Fugen. Der Lebens­ mittelbrief. Lampertheim: Lebensmittelinformationsdienst GmbH, 2010. Bd. 21, 11/12, S. 12–17.

2. Bobe, U. Die Reinigbarkeit technischer Oberflächen im immergierten System. Technische Universität München: Lehrstuhl für Maschinen­ und Apperatekunde; Fakultät Wissenschaftszentrum Weihenstephan für Ernährung, Landnutzung und Umwelt, 2008. 3. Keller, Markus. Hygiene und Schulung. [Buchverf.] Lothar Gail, Udo Gommel und Hans­Peter Hortig. Reinraumtech­ nik. 3. Auflage. Berlin, Heidelberg: Springer Verlag, 2012 4. EU­GMP Guide to Good Manufacturing Practice, Annex 1. Manufacture of sterile medicinal products. Brussels: Euro­ pean Commission, 2008. 5. Gommel, U. Verfahren zur Bestimmung der Reinraumtaug­ lichkeit von Werkstoffpaarungen. Universität Stuttgart: Fakultät Maschinenbau, Fraunhofer IPA, 2006. 6. Grimme R., Ernst C., Vohrer U. & Leupolt B. Sauberkeitsprü­ fung und Oberflächenanalytik in der Reinigungstechnik. MO ­ Beschichten von Kunstoff und Metall. 2005, 59/12. 7. Schmauz G., Grimme R. Online­Qualitätsüberwachung mit Streiflicht. Jurnal für Oberflächentechnik. 2005, 50/3. 8. Keller, Markus und Waldner, Alina. Wie gut lässt sich eine Oberfläche reinigen? Der Lebensmittelbrief. 2011, Bd. 22, 9/10, S. 53­58. 9. ISO 12103­1. Road vehicles – Test dust for filter evaluation ­ Part 1: Arizona test dust. Berlin : Beuth Verlag, 1997. 10. ISO/FDIS 14644­9. Cleanrooms and associated controlled enviroments– Part 9. Classification of surface cleanliness by particle concentration. Berlin: Beuth Verlag, 2010. 11. VDI 2083 Blatt 17 Entwurf. Reinraumtechnik, Reinheitstaug­ lichkeit von Werkstoffen. Berlin: Beuth Verlag, 2011. 12. ISO 4287. Geometrical Product Specifications (GPS) – Sur­ face texture: Profile method – Terms, definitions and sur­ face texture parameters. Berlin: Beuth Verlag, 2010. 13. VDI 2083 Blatt 9.1 Reinraumtechnik, Reinheitstauglichkeit und Oberflächenreinheit. Berlin: Beuth Verlag, 2006.

Weitere Informationen Fraunhofer Institut Produktionstechnik und Automatisierung (IPA) Abteilung Reinst­ und Mikroproduktion Markus Keller Nobelstrasse 12 D­70569 Stuttgart Telefon +49 711 970 1560 markus.keller@ipa.fraunhofer.de

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fachartikel

Reinraum-Vorfiltration mit Energieeinspareffekt Die Luftaufbereitung und der damit zusammenhängende Druckverlust von Luftfiltern machen einen grossen Teil des Energieverbrauchs in einem Gebäude aus. Daher lohnt ein kritischer Blick unter anderem auf die Standzeiten der eingesetzten Filter sowie deren Anfangs- und Enddruckverlust, um mögliche Einsparpotentiale zu erkennen und entsprechend nutzen zu können. Durch die Wahl des richtigen Filters können bereits bei der Filtration der Zuluft, also in der Vorfilterstufe, erhebliche Kosten einge­ spart werden. Entscheidende Auswahlkrite­ rien sind unter anderem die passende Filter­ klasse in Abhängigkeit von der Aussen­ luftqualität und der zu erzielenden Raum­ luftqualität, die Filterbauart, der zu erwar­ tende Anfangs­ und Enddruckverlust und das Staubspeichervermögen. Faktor Aussenluft Bereits die Art der Ansaugung der Aussenluft entscheidet über die anschliessend notwen­ digen Luftfiltermassnahmen bis hin zur ge­ wünschten Qualität. So lautet beispielsweise eine Regel: Je höher der Aussenlufteinlass positioniert ist, desto grösser ist die Chance auf eine qualitativ gute Zuluft. Generell sollte die Luftansaugung an Stellen erfolgen, in deren Nähe sich möglichst wenige Emissions­ quellen für Schad­ und Geruchsstoffe befin­ den. Solche Quellen können das Erdreich, Bäume, Sträucher, Schornsteine, Kiesschüt­ tungen auf Dächern, Fortluftöffnungen von Gastronomie, Industrieproduktion oder auch der eigenen Immobilie sein. Ebenfalls zu mei­ den sind Müllplätze, Parkplätze, An­ und Ab­ fahrtzonen von Gebäuden. Je nach Luftqua­ lität enthält die angesaugte Aussenluft niedrige bis hohe Fremdstoffanteile an Staub, Pollen, Gasen oder auch Gerüchen. Diese gilt es zu reduzieren und abzuscheiden. Um den Zusammenhang zwischen Aussen­ luft­ und Zuluftqualität zu beschreiben, de­ finiert die DIN EN 13779 Kombinationen von Filterkategorien, mit deren Einsatz spezifi­ sche Innenraumluftqualitäten erreicht wer­ den können. Hierzu wurde die Aussenluft­ qualität (ODA) in drei Kategorien und die Raumluftqualität (IDA) in vier Klassen aufge­ teilt (Tabelle 1). So sieht die DIN bei mittlerer Aussenluftqua­ lität (ODA 2), wie sie in den meisten Grossstäd­ ten vorherrscht, zwei Filterstufen vor. Eine

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Autor: Tobias Zimmer, Produkt Manager bei der Camfil KG für den Produktbereich «Comfort», also Luftfiltertechnik für Flughäfen, Hochschulen und Schulen, Gewerbeoder VerwaltungsGebäude.

zusätzliche Gasfilterstufe wird bei stark ver­ schmutzter Aussenluft (ODA 3) empfohlen. Als Mindestanforderung für die erste Stufe zur IDA 1 schlägt die DIN EN 13779 einen Fil­ ter der Klasse F9 vor. Nach der gerade modi­ fizierten Norm DIN EN 779 liegt die Abschei­ deleistung von einem Feinstaub­Filter für Partikel mit einer Grösse von 0,4 Mikrometer bei 80 – 95 %. Nachdem im ersten Schritt die mögliche Fil­ tergruppe zur Vorfiltration entsprechend der Aussenluftqualität und der erforderlichen Raumluftqualität festgelegt wurde, ist eine weitere Produkteingrenzung notwendig (Bild 1): Denn die Filtergruppe sagt nur etwas über die durchschnittliche Abscheideleis­ tung des Filters für Partikel aus, nicht aber

über deren Standzeit, Druckverlust oder Staubspeicherfähigkeit. Diese Faktoren wir­ ken sich jedoch unmittelbar auf die Betriebs­ kosten der Anlage aus. So macht deren Ener­ giebedarf etwa 70 bis 80 % der anfallenden Kosten aus. Dieser Bedarf wird wesentlich vom Druckverlust eines Filters beeinflusst, der im Laufe seiner Standzeit mehr oder min­ der zunimmt. Energiebedarf von Lutfilteranlagen Der Energiebedarf einer Luftfilteranlage ist von folgenden Einflussgrössen abhängig: – – – –

Anströmgeschwindigkeit des Luftfilters Anfangs­ und Enddruckverlust Staubspeichervermögen Filterbauart

a. Anströmgeschwindigkeit Um die Druckverluste möglichst gering zu halten, sollte die Anströmgeschwindigkeit eines Filters etwa zwischen 2 und 2,5 m/s liegen. b. Anfangs- und Enddruckverlust Die Angaben der Hersteller zum Anfangs­ druckverlust werden meist bei einer Ge­ schwindigkeit von etwa 2,6 m/s angegeben, was einem Luftvolumenstrom von 3400 m³/h pro Standard­Filterzelle (592 mm x 592 mm) entspricht. Raumluftqualität

Aussenluftqualität ODA 1 (saubere Luft) ODA 2 (Staub) ODA 3 (sehr hohe Konzentration von Staub oder Gasen)

IDA 1 (spezial)

IDA 2 (hoch)

IDA 3 (mittel)

IDA 4 (niedrig)

F9

F8

F7

F5

F7 + F9

F7 + F8

F5 + F7

F5 + F6

a F7 + GF + F9

F7 + GFa + F9

F5 + F7

F5 + F6

Tabelle 1: DIN EN 13779 konforme Kombinationen von Filtern in Abhängigkeit von der Aussenluftqualität (ODA 1 bis ODA 3).

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Bild 1: Vorfiltration der Zuluft (grüner Kreis) in der Halbleiterindustrie

Der Anfangsdruckverlust ist nicht nur von der Anströmgeschwindigkeit, sondern auch von der Filterklasse des Filters abhängig: Denn je höher die Filterklasse mit entspre­ chender Abscheideleistung ist, desto höher ist auch der Druckverlust (Tabelle 2). Neben dem Anfangsdruckverlust wird auch der empfohlene Enddruckverlust eines Fil­ ters angegeben. Er bezeichnet den Druck­ verlust am Ende der Betriebszeit eines Filters im staubbeladenen Zustand. Der empfoh­ lene Enddruck variiert je nach Hersteller und Filterbauart und ­gruppe zwischen 200 und 650 Pa. Mit zunehmender Betriebszeit steigt also der Energiebedarf der Anlage. Um den Druckverlust in einer Anlage möglichst ge­ ring zu halten, kann es sogar sinnvoll sein, die Filter in kürzeren Intervallen auszutauschen als vorgeschrieben. Gemäss der «Hygiene­Anforderungen an Raumlufttechnische Anlagen und Geräte» VDI 6022 ist die erste Filterstufe jährlich zu wechseln und die zweite alle zwei Jahre. Eine Inspektion der Filter und des Ansaugkanals sollte mindestens alle drei Monate erfolgen. Unabhängig von der Planung der raumluft­ technischen Anlage nach DIN EN 13779, die nur Mindestanforderungen beschreibt, sollte mit dem Bauherrn und Nutzer festge­ legt werden, welche Grenzwerte in den zu belüftenden Räumen erreicht werden sollen. c. Staubspeichervermögen Filter scheiden mit zunehmender Staubbe­ ladung effektiver ab, verursachen jedoch auch einen höheren Druckverlust, der den Energiebedarf des Anlagensystems steigen lässt. Da die Aussenluftzustände je nach Filtertyp

Grobstaub­ Filter

Filterklasse nach EN 779:2011 G1 G2 G3 G4

Standort variieren, kann der Anstieg des Druckverlusts im Laufe des Filtereinsatzes nicht pauschal angegeben werden. Erst über die regelmässige Inspektion und die Mes­ sung des Differenzdrucks am Filter kann während des Betriebs festgestellt werden, ob der eingesetzte Filter für die Anwendung der geeignete ist. Bei der Planung der RLT­An­ lage sollte daher ausreichend Platz für den Einsatz hochwertiger Filter geschaffen wer­ den, um eventuell nachrüsten zu können. d. Filterbauarten Als Partikel­ und Gasfilter haben sich seit ge­ raumer Zeit drei Bauarten durchgesetzt: Ta­ schenfilter, Paneelfilter und Kompaktfilter. Als reine Gasfilter kommen auch Aktivkohle­ patronen zum Einsatz. Taschenfilter Neben der Filtergruppe ist bei der Auswahl eines Taschenfilters die Anzahl seiner Filter­ taschen und seine Taschenlänge wichtig. Hiervon ist die Filterfläche und damit die Standzeit und der Druckverlust des Filters abgängig. Generell gilt: 1. Je mehr Filtertaschen, desto grösser ist die Filterfläche und die Standzeit. 2. Je kürzer die Filtertasche, desto kleiner die Durchströmfläche und damit höher der Anfangsdruckverlust. 3. Je feiner das Filter, desto höher der Druck­ verlust. Seit dem Beschluss der modifizierten Norm EN 779:2011 mit Definition eines minimal zu

mittlerer Abscheidegrad

mittlerer Wirkungsgrad

Enddruckdifferenz

(%)

(%)

(Pa)

minimaler Wirkungsgrad (%)

50 ≤ Am ≤ 65 65 ≤ Am ≤ 80 80 ≤ Am ≤ 90 90 ≤ Am

­ ­ ­ ­

250 250 250 250

­ ­ ­ ­

Medium­Filter M5 M6

­ ­

40 ≤ Em ≤ 60 60 ≤ Em ≤ 80

450 450

­ ­

Feinstaub­ Filter

­ ­ ­

80 ≤ Em ≤ 90 90 ≤ Em ≤ 95 95 ≤ Em

450 450 450

35 55 70

F7 F8 F9

Tabelle 2: Neue Filterklassen. Der Anfangsdruckverlust ist abhängig von der Filterklasse.

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Bild 2: Dank seiner geringen Anfangsdruckdifferenz und einer sehr langsamen Druckdifferenzentwicklung sorgt das Hi-Flo XLT von Camfil für absolut niedrige Lebenszykluskosten.

erzielenden Wirkungsgrades ist das Filter­ medium als Auswahlkriterium nicht mehr ganz so entscheidend wie noch vor einigen Monaten. Zur Materialwahl stehen Glasfaser oder synthetische Faser. Synthetische Fasern werden oft elektrostatisch aufgeladen gelie­ fert und können dadurch eine bessere Staub­ bindung erzielen. Diese Wirkung lässt aller­ dings im Laufe der Betriebszeit nach, so dass die Abscheideleistung des Filters in entlade­ nem Zustand fallen kann (Bild 2). Wegen Ihrer guten Staubspeicherfähigkeit und Standzeit sollten Taschenfilter eher in der 1. Filterstufe eingesetzt werden. Kompaktfilter Wenn nur geringe Einbautiefen zur Verfü­ gung stehen, sind Kompaktfilter gefragt. Hier unterscheidet man die Bauformen Pa­ neelfilter und V­förmige Kompaktfilter. Wäh­ rend die Filtertiefe bei Paneelfiltern 48 oder 96 mm beträgt, haben V­Filter meist eine Tiefe von 292 mm (Bild 3). Die Regeln hin­ sichtlich Effektivität sind ähnlich denen bei Taschenfiltern.

Im Prinzip werden bei V­Filtern die gleichen Filterpakete wie bei Paneelfiltern eingesetzt. Um die Filterfläche zu vergrössern, werden sie nur nicht frontal zur Strömungsrichtung, sondern schräg zum Luftstrom platziert. Da­ durch erreicht ein V­Filter mit einer Filtertiefe von 292 mm eine Filterfläche von 19 m², die etwa doppelt so gross wie die eines Paneel­ filters mit einer Einbautiefe von 96 mm ist. Entsprechend verlängert sich die Standzeit. Während der Druckverlust des V­Filters un­ gefähr das Niveau eines Taschenfilters mit einer Einbautiefe von 600 mm erreicht, liegt der Druckverlust des Paneelfilters 20 bis 30 Pa darüber. Gasfilter Die oben beschriebenen reinen Partikelfilter sind nur bedingt zur Abscheidung von Gasen und Gerüchen geeignet. Hierfür sollten viel­ mehr Kombinationsfilter eingesetzt werden, die als Taschenfilter oder Kompaktfilter mit speziellen Filtermedien bestückt sind. Deren verschiedene Schichten enthalten unter anderem Aktivkohlen, die in der Lage sind, Ozon oder SO2 sowie NO2 zu adsorbieren. Da es sich bei den zwei letztgenannten um saure Gase handelt, ist hierfür eine zusätz­ liche Imprägnierung der Aktivkohle notwen­ dig. Optimales Einsatzfeld solcher Kombifilter sind Gebäude in urbanem oder industriellem Umfeld mit erhöhter, aber permanenter Schadstoffkonzentration (Bild 4). Für konstant hohe Schadgaskonzentrationen sind Aktiv­ kohlefilterpatronen einzusetzen, die je nach Anwendung mit verschiedenen Aktivkohle­ schüttungen gefüllt werden können. Europanorm EN 779:2011 Die gerade verabschiedete Europanorm EN 779:2011, die das Prüfverfahren von Grob­ und Feinstaubfiltern definiert, schafft alltagstauglichere Voraussetzungen zur Klassifizierung von Luftfiltern: Denn fortan

Bild 3: Sparsamstes Kompaktfilter seiner Klasse: Mit dem Opakfil Energy von Camfil sind die Energiekosten um 20 bis 35 % reduzierbar.

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Bild 4: Aktivkohlefilter von Camfil wie CamCarb werden zur Abscheidung von Gerüchen, organischen und anorganischen Gasen eingesetzt.

bestimmen neben dem mittleren auch der minimale Wirkungsgrad die Filterklassen F7, F8 und F9 (Tabelle 2). Der minimale Wirkungs­ grad soll für die Partikelgrösse 0,4 Mikrome­ ter bei wenigstens 35, 55 und 70 Prozent für die Feinstaubfilterklassen F7, F8 und F9 lie­ gen. Damit können viele Feinstaubfilter aus synthetischen, statisch aufgeladenen Mate­ rialien mit schnellem Wirkungsverlust nicht mehr ihrer bisherigen Klassifizierung gerecht werden. Glasfasermedien hingegen errei­ chen oftmals grössere minimale Abscheide­ leistungen, als es die Norm künftig fordert. Camfil KG Innovative Forschung und Entwicklung sowie kompromisslose Qualitätskontrolle – mit diesem Anspruch entwickelt und vertreibt die Camfil KG ihre Produktlösun­ gen für Luftfiltersysteme und Reinraum­ technik. Seit nunmehr 45 Jahren leistet das Unternehmen seinen Beitrag dazu, die Luftqualität für Mensch, Umwelt und Industrie bestmöglich zu sichern. 1967 als deutsche Tochtergesellschaft der heuti­ gen Camfil Farr Gruppe mit Hauptsitz im schwedischen Stockholm gegründet, weist die Produktentwicklung und ­her­ stellung des Unternehmens heute 25 Standorte sowie ein dichtes Vertriebsnetz über alle Kontinente aus. Zu den Einsatzbereichen der verschiede­ nen Grobstaub­, Feinstaub­, Schweb­ stoff­ und Molekularfilter plus Zubehör zählen beispielsweise Automobilherstel­ ler, Lebensmittel­, Pharma­ oder Halblei­ terindustriebetriebe und Kliniken.

Weitere Informationen Camfil KG Feldstrasse 26–32 D­23858 Reinfeld Telefon +49 (0) 4533 / 202­0 info@camfil.de www.camfil.de

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Sicherheit durch Containment

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Gibt Viren keine Chance! Sichere Dekontamination von Reinr채umen und Sicherheitswerkb채nken mit H2O2

Gemeinsam immer einen Schritt voraus


fachartikel

Dekontaminationsgeräte für den Operationssaal und für Krankenzimmer Die Rolle der Luft als Erregerreservoir für postoperative Infektionen im OP-Gebiet ist seit langer Zeit Gegenstand von Diskussionen. Regelmässige Desinfektionen stellen daher eine Voraussetzung für den Gesundheitsschutz dar. Eine neue Methode stellen die SolidFog und DosyMist Dekontaminationsgeräte für die Biodekontamination von Operationssälen und Krankenzimmern mit H2O2 dar. 1 Die Luft in Operationssälen Ein Individuum setzt pro Minute 1000 bis 10 000 Keime in die Umgebung frei, mit gros­ sen individuellen Schwankungen. Ausserhalb des Operationssaals und der aseptischen Einheit ist die Übertragung von Infektionen über die Luft weniger wichtig als die Übertragung durch Kontakt. Es wird ge­ schätzt, dass nosokomiale bakterielle Infek­ tionen nur zu 5 – 10% über die Luft verbreitet werden. Die Sedimentation der Bakterien auf Ober­ flächen und die Abgabe von Mikroorganis­ men durch den Menschen spielen jedoch eine wichtige Rolle im OP­Saal, wo sterile Gewebe und Wunden der Umgebungsluft wie unter einer Dusche den Partikeln ausge­ setzt sind (Bild 1). Hier wird nun dargestellt, dass je mehr Parti­ kel in der Luft sind, desto grösser die Zahl der postoperativen Infektionen von Wunden ist. Erreger­Reservoire sind zumeinen der Na­ sen­Rachenraum des OP­Teams und zum anderen die Luft im OP­Saal. «Aseptisches» Operieren ist somit mit den klassischen Re­ geln der Asepsis nicht realisierbar. Freigesetzte Partikel beim Menschen: Haare: 1 Mio. /cm2 Haarfläche Nase/ Mund: 10 bis 100 Mio. /g Flüssigkeit Achseln: 1 bis 10 Mio. /cm2 Hautfläche Hände: 100 bis 1 Milliarde /cm2 Hautfläche

Bild 1: Der Mensch als Infektionsrisiko im OP

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Autor Dipl. Ing. Christian Scherrer, Product Manager bei der Skan AG, Allschwil. Die Sedimentation von Mikroorganismen im OP führt zu verlängertem Krankenhausauf­ enthalt ( ~ 7 Tage) und damit zu erhöhten Behandlungskosten. Luft enthält immer eine hohe Anzahl von Bakterien, die sich an Staubteilchen anhef­ ten: – 200 bis 700 Keime pro m3 in normalen Krankenzimmern – 0–10 Keime pro m3 in einem Operations­ saal Operationen an den Organen Herz, Lunge oder Nieren sind generell mit einem höheren Risiko verbunden. Etwa 25% der jährlichen Hospitalinfektionen wären allerdings ver­ meidbar: Täglich sterben in Europa Dut­ zende Menschen an einer nosokomialen In­ fektion. Das ist inakzeptabel. Um das Leben des Patienten bei einer Ope­ ration nicht zu gefährden, ist es unerlässlich, eine Verunreinigung der Luft zu vermeiden und die Zahl der Keime auf maximal 10/m3 zu reduzieren. 2 Partikelkontamination Der Nachweis von Kontaminationen gelingt am einfachsten mit der passiven Methode (Bild 2). Dabei wird eine mit Nährboden ge­ füllte Petrischale für eine bestimmte Zeit

(Sedimentationszeit) der Luft ausgesetzt. Nach Ablauf der Sedimentationszeit wird die Petrischale geschlossen und in einen Brut­ schrank gelegt, wo sich die abgesetzten Keime vermehren. Bei dieser Bebrütung wachsen die Mikroorganismen zu Kolonien, die von Auge gezählt werden können. Aus der Zahl der koloniebildenden Einheiten (KbE) kann das Kontaminationsrisiko einer Oberfläche abgeschätzt werden. Die Anzahl der koloniebildenden Einheiten (KbE) ist ab­ hängig von der Sedimentationszeit und der Sedimentationsgeschwindigkeit. 3 Das Überleben der Mikroorganismen Das Überleben der Keime in der Luft hängt von mehreren Faktoren ab, von denen schon die Temperatur, das Licht (Sonnenlicht) und die Zeit erwähnt wurden. Aber das Wich­ tigste ist die Luftfeuchtigkeit, die das Über­ leben begünstigt. Keime, die sich auf einer Glasfläche absetzen, gehen in trockener Luft relativ rasch zu­ grunde (in ca. zwei Stunden), gleichwohl überleben sie bei hoher Feuchtigkeit viel länger. Auch stehendes Wasser ist eine nach­ haltige Quelle von Bakterien, welche die Luft verunreinigen können. Ebenso übertragen die feinen Tröpfchen, die der Mensch emit­ tiert, lebende Keime. Einige Arten überleben länger, andere ster­ ben ziemlich schnell (Bild 3) Nach zwei Stunden leben von 100 E. Coli­ Bakterien nur noch 5, aber 75 von 100 Sta­

Bild 2: Nachweis von Kontaminationen mit der passiven Methode: bebrütete Agarplatten

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Bild 4: Skanair®SolidFog

5.3 Belüftung Die Belüftungsphase über die Gebäudelüf­ tungsanlage kann umgangen werden, in­ dem man nach der Einwirkzeit das begaste H2O2 mittels eines Katalysators aus der Luft entfernt. Der SkanFogTM Katalysator (Bild 7) beschleunigt den Abbauprozess des H2O2­ Dekontaminationsagens ohne Rückstände zu hinterlassen. Dazu wird die Raumluft­ durch den Katalysator zirkuliert, wo sie über Katalysatorplatten geführt wird, welche das H2O2 in der Luft zu Wasserdampf und Sauer­ stoff zersetzen. Das Gerät ist somit äusserst umweltfreundlich. Determinanten für eine ordnungsgemässe Raumdesinfektion sind demnach die H2O2­Konzentration, die Tröpf­ chengrösse des Biozids, die Vernebelungs­ geschwindigkeit und Ausrichtung des Sprüh­

Bild 3: Die Abbildung zeigt die durchschnittliche Überlebenszeit von drei mikrobiellen Spezies gemeinsam in der Luft. Beachten Sie, dass die Gram-negative Bakterien rasch absterben, aber Staphylokokken wesentlich robuster sind.

4 Wo findet man diese Keime? Die Decke eines Zimmers wird in der Regel kaum mit Bakterien besiedelt sein. Es werden wenige an den Wänden gefunden, und das nur, soweit sie mit Spritzern von Blut, Eiter oder durch Fingerabdrücke bedeckt sind, sodass Keime überleben können. Die meis­ ten Bakterien, rund 95%, werden sich auf den horizontalen Flächen, also zuerst auf dem Boden und den Tischen absetzen. Denn Bak­ terien, die von einem Patienten stammen, überleben nur dann, wenn sie vor atmosphä­ rischen Einflüssen geschützt sind. Dieser Schutz ist gewährleistet, wenn sie in kleinen Gruppen auf organischen Materialien zu­ sammenkleben, zum Beispiel auf einem Film von Blut oder getrocknetem Eiter, auf Spei­ cheltröpfchen beim Sprechen oder auf Aus­ wurf beim Husten. So befinden sich 95% der Bakterienflora im Staub, der sich auf dem Boden ansammelt. Durch verschiedene Manipulationen werden vor allem der Boden und die horizontalen Flächen schnell ein Reservoir für Keime. 5 Dekontaminationsmethoden Die laufende Reinigung und die Dekontami­ nation ergänzen einander. Die Dekontamina­ tion kann nicht wirksam werden, wenn grobe Verschmutzungen vorhanden sind, welche die Keime umhüllen und damit z.B. durch vor­ handene Eiweisse die Wirksamkeit des De­ kontaminationsmittels (Biozid) herabsetzen. 5.1 Flächendekontamination Unter der Flächendekontamination versteht man die Abtötung oder Inaktivierung von Mikroorganismen auf Oberflächen durch chemische Mittel (Biozid).

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5.2 Raumdekontamination Die Raumdekontamination umfasst alle in einem geschlossenen Raum befindlichen Oberflächen. In Abwesenheit von Personen wird der Raum durch Vernebeln von Wasser­ stoffperoxid oder andere Bioziden dekonta­ miniert. Die Biodekontamination von OP­Räumen ist heute mit konventionellen Methoden wie der Wischdesinfektion oder der kanzerogenen Formaldehydbegasung sehr unbefriedigend gelöst. Deshalb findet die saubere Alterna­ tive durch Begasen von Wasserstoffperoxid (H2O2) rasch Zugang in viele Bereiche der Pharmazie und im Spitalwesen. Sie weist eine sehr hohe «Kill Rate» für alle Arten von Kei­ men auf und bekämpft das ganze Spektrum an Mikroorganismen. Beim Abbau des über­ schüssigen Biozids werden nur Wasser und Sauerstoff frei, beides problemlose Kompo­ nenten. Der gesamte Vorgang lässt sich in nur 1 – 4 Stunden durchführen, die Räumlichkei­ ten sind also rasch wieder verfügbar. Der Prozess kann mittels Chemo­ und Bioindika­ toren überprüft werden und liefert damit eine sehr hohe Sicherheit. Die Raumdekontamination mittels H2O2 ge­ lingt hier mit einem Vernebelungsverfahren mit dem Skanair®SolidFog. Schwierig zu er­ reichende Oberflächen werden damit zu­ gänglich. Eine bis 12%ige H2O2­Lösung wird über feinste Düsen mit hohem Druck zer­ stäubt und bildet so den benötigten feinen Nebel (Bild 4), der mit dem Impuls der Zer­ stäubung im ganzen Raum verteilt wird. Die Einwirkungsdauer beträgt ca. 1 Stunde, da­ nach wird der Raum belüftet und freigespült (Bild 5). Je nach Raumgrösse sind mehrere Zerstäubereinheiten notwendig (1 SolidFog für bis ca. 200 m3). So lässt sich das Verfahren ideal an Raumgrösse und ­Geometrie an­ passen.

QUELLE: WIKIPEDIA

phylokokken. Staphylokokkus Aureus (ein­ schliesslich MRSA) kann länger als sechs Monate überleben, da es austrocknungsre­ sistent ist.


Bild 5: Verfahrensablauf beim Vernebelungsprozess

nebels, die Raumgrösse, die Temperatur und die relative Luftfeuchte. 5.4 Prozesskontrolle Als Testkeim gemäss den Vorgaben der EU und von US Pharmakopoe wird als Bioindika­ tor Geobazillus stearothermophilus in seiner resistentesten Form als Spore auf Trägerstrei­ fen eingesetzt. Sie ist diejenige Form des Mikroorganismus, die am schwierigsten zu eliminieren ist und chemischen und thermi­ schen Einflüssen am längsten stand hält. Da diese Spore ausserdem noch thermophil ist, kann sie für die mikrobiologische Auswer­ tung bei 50 bis 65 °C bebrütet werden und bietet dadurch zusätzliche Sicherheit, dass die Resultate durch eventuelle Fremdkeime nicht verfälscht werden. Die geforderte Kill Rate beträgt 106 KbE von Stearothermophilus­Sporen, Keim für H2O2. Für den SolidFog­Prozess gelang der Nach­ weis des «Total Kill» dieser Bioindikatoren. Mit dem Begasungsverfahren wird ein ungleich besseres Dekontaminationsresultat erzielt als es mit allen anderen Verfahren bisher mög­ lich war. Daher garantiert der SolidFog­Pro­ zess auch eine höhere Sicherheit in Bezug auf das Abtöten von Mikroorganismen.

Bild 6: Einfache Handhabung des Skanair® DosyMist, demonstriert durch Christian Scherrer

5.5 Dekontamination kleiner Einheiten Häufig besteht auch der Bedarf für die De­ kontamination von kleineren Bereichen mit­ tels einer einfachen mobilen Einheit ohne zusätzliche Infrastruktur.

Bild 7: SkanFogTM Katalysator. Er beschleunigt den Abbauprozess des H2O2-Dekontaminationsagens durch Zersetzung von H2O2.

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Dies sind Anwendungen im Spital, z.B. in OP’s, in Patientenzimmern und Kranken­ wagen, aber auch in Arztpraxen oder Labors. Das ist der Einsatzbereich des Skanair®DosyMist: Diese Einheit enthält sämtliche für den Prozess notwendigen Einrichtungen, lediglich ein Steckdosenan­ schluss wird benötigt. So lassen sich sehr rasch und effizient Dekontaminationen mit der gleichen Vernebelungstechnik durch­ führen. Der Prozess läuft vollständig auto­ matisch ab und kann für Räume bis zu 85 m3 eingesetzt werden.

Weitere Informationen Skan AG Christian Scherrer Binningerstrasse 116 CH­4123 Allschwil Telefon +41 61 485 46 25 christian.scherrer@skan.ch www.skan.ch

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Der elektronische Newsletter

Der elektronische Newsletter informiert alle 2 Monate in ergänzender Art schnell und in kurzer Form über die «Branchen­ News». Jede Ausgabe des Newsletters beinhaltet einen Hauptartikel, der dem Leser – je nach seinem Sprachgebiet – in den Sprachen Deutsch oder Englisch zuge­ stellt wird. Die weiteren Kurznachrichten erscheinen in der Originalsprache (deutsch oder englisch).


fachartikel

Wie ermittle ich OEL/OEB-Werte mittels SMEPAC-Messungen? Zur Bestimmung der Containment Performance vor Inbetriebnahme eines Laborisolators zur pharmazeutischen Prozessentwicklung im HPAI-Laborbereich dienen SMEPAC Messungen für hochpotente Wirkstoffe (OEL > 20 ng/m3). Als Praxisbeispiel wird hier ein Einsatz bei Evonik Degussa in Hanau dargestellt.

Autor Georg Reiber ist gemeinsam mit Heinz Schenk Inhaber der ART Reinraum Technik Anlagenbau GmbH

Bild 1: Prozessentwicklungs-Isolator der Firma ART bei Evonik Industries

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Beim Umgang mit hochpotenten Wirkstof­ fen (HPAIs = highly active pharmaceutical ingredients) besteht aus arbeitshygienischer Sicht ein Risiko für die Mitarbeiter in der Pro­ duktion wie auch in Forschung und Entwick­ lung, da mit ihrer hohen Wirksamkeit meist auch hohe Toxizität einhergeht. Die Exposi­ tion mit diesen gesundheitsgefährdenden Substanzen ist daher auf ein unbedenkliches Mass zu beschränken, d.h. die Luftkonzen­ trationen sind unter dem substanzspezifi­ schen OEL (occupational exposure limit, Luftgrenzwert, welcher über die toxikologi­ schen Daten der Verbindung errechnet wird) zu halten. Während des Handlings mit diesen Stoffen ist es besonders wichtig, das Risiko dort ein­ zuschliessen, wo eine Exposition entstehen kann. Dafür werden Isolatoren und geeig­ nete Transfertechnologien zum Produkt­ und Personenschutz eingesetzt. Laut BG RCI sollen Wirkstoffe, die einen OEL von 3 <1µg/m (BG RCI Kategorie 4) aufweisen nur im Containment (geschlossene Systeme) ge­ handhabt werden.

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Der Isolator ist wie folgt ausgerüstet: – Auf der rechten Seite befindet sich ein integrierter Vakuum­Trocken­ schrank, Filter innerhalb des Containments – Die H14­filtrierte Abluft des Isolators ist über eine Zugunterbrechung an die ebenfalls H14­filtrierte Lüftungs­ anlage des Labors angeschlossen. – Aufbewahrungsschrank mit H14­ Filtern unterhalb Trockenschrankes – Verschiedene Triclamp­Anschlüsse für Mediendurchführungen (Thermo­ stantenöl, Kühlwasserkreislauf, Gase, Vakuum, Elektrik). – Linksseitig befindet sich eine 350er RTP­Schleuse. Der Materialtransfer erfolgt über das ART­Linersystem (bag in / bag out System). Die Abtrennung der Folie erfolgt mittels Sicherheitsspannverschlüssen der Firma Hecht. Control Performance Target Hierbei ist es wichtig, dass Containmentein­ richtungen wie Isolatoren leistungsfähig genug sind um die Exposition einzuhalten, und dass nicht etwa über die Transfersys­ teme oder Anschlüsse unbemerkt Substanz in die Umgebungsluft gelangt. Um dies zu gewährleisten wird ein Control Performance Target (CPT) für den Isolator festgelegt. Der CPT Wert sollte üblicherweise die Hälfte des OEL Wertes der Substanz, die im Isolator gehandhabt werden soll, betra­ gen. Das heisst, wenn ein Wirkstoff, der einen OEL von 20 ng/m3 aufweist, gehandhabt werden soll, muss die Leistungsfähigkeit des Isolators gewährleisten, dass ein CPT von 10 ng/m3 eingehalten wird. Ein gut verarbei­ teter Isolator kann eine Control Performance von kleiner als 10 ng/m3 erzielen, kritische Punkte sind hier vor allem die Schnittstellen, die zum Materialtransfer eingesetzt werden. Hier stehen verschiedene effektive Systeme, wie rapid transfer ports oder bag in / bag out Lösungen zur Verfügung, welche je nach Art der Anforderungen an den Isolator ange­ bracht werden können (Bild 1). Praxisbeispiel Evonik In einem neuen HPAI­Laborbereich der phar­ mazeutischen Prozessentwicklung von Evo­ nik Industries in Hanau­Wolfgang wurde vor kurzem ein Isolator der Firma ART GmbH integriert. Die Anforderung an den Isolator war es, sämtliche chemischen Operationen wie Reaktionen unter Inertgas bei Tempera­ turbereichen von –50 bis 130 °C, Extraktio­ nen, Filtrationen, Trocknungen und Verwie­ gungen von hochpotenten Wirkstoffen im explosionsgeschützten Containment (Ex Zone 2) zu erlauben. Für den Isolator wurde ein CPT von 10 ng/m3 zwischen Evonik und ART vereinbart. Nach dem Factory Accep­

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tance Test (FAT), bei welchem bei ART die allgemeine Funktionsweise und Dichtigkeit überprüft wurde, wurde beim Site Accep­ tance Test (SAT) bei Evonik in Hanau neben diesen Punkten auch das Erreichen des CPT durch die Firma AQura – Analytical Solutions GmbH überprüft. Das Laborpersonal wurde hierzu zunächst durch Fachpersonal von ART und Evonik für den richtigen Umgang mit dem Isolator geschult um Bedienungsfehler während der Tests zu begrenzen. Weiterhin wurde der Isolator zunächst durch die Servi­ cestellen des Standortbetreibers Industrie­ park Wolfgang (IPW) über die integrierten Triclamp­Verbindungen an alle Medien (Heiz­Kühlkreislauf, Gase, Vakuum, Strom) angebunden, da gerade diese Schnittstellen Gefahr für Undichtigkeiten bieten und über­ prüft werden sollten. Bei dem anschliessen­ den SAT wurden sämtliche Arbeitsabläufe wie prozesstechnische Operationen im Iso­ lator, Trocknungen im integrierten Trocken­ schrank, Havariefälle im Isolator und ein kompletter Arbeitstag, bei dem auch der Materialfluss in und aus dem Isolator durch

Messpunkt

das angeflanschte bag in / bag out System mehrmals durchgeführt wurde, mit einer Testsubstanz (Surrogat) simuliert. SMEPAC-Messungen Sowohl in der Produktion als auch in der Ent­ wicklung chemischer Prozesse hochpotenter Verbindungen müssen gesetzliche Vorschrif­ ten und internationale Standards eingehal­ ten werden um den Arbeitschutz zu gewähr­ leisten (u. a. ISO Normen, Empfehlungen der Berufsgenossenschaften). Diese geben vor, wie Anlagen konzipiert und getestet sein sollen um den Personenschutz vor potenten toxischen Substanzen zu gewährleisten. Die sogenannte SMEPAC­Messung (Standar­ dized Measurement for Equipment Particu­ late Airborne Concentrations) sollte ange­ wandt werden um die Control Performance von Isolatoren vor Inbetriebnahme und wäh­ rend den Arbeiten mit HPAIs zu überprüfen. Vor Inbetriebnahme kann ein Surrogat für die hochpotenten Wirkstoffe eingesetzt wer­ den, welches geringe toxische Eigenschaften bei guter Detektierbarkeit aufweist.

Messung 1

Messung 2

Messung 3

A : Im Inneren des Isolators

510 ng/m³

276 ng/m³

924 ng/m³

B1: Person 1 B2: Person 2

<2,4ng/m³ <2,4ng/m³

<2,4ng/m³ <2,4ng/m³

<2,4ng/m³ <2,4ng/m³

C: Im Labor

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

D: Im Flur

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

Messpunkt

Messung 1

Messung 2

Messung 3

E: Vakuumpumpe

<0,31 ng/m³

<0,34 ng/m³

<0,27 ng/m³

Messpunkt

Messung 1

Messung 2

Messung 3

B1: Person 1 B2: Person 2

<2,4ng/m³ <2,4ng/m³

<2,4ng/m³ <2,4ng/m³

<2,4ng/m³ <2,4ng/m³

C: Im Labor

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

D: Im Flur

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

<2,4ng/m³

Messpunkt

Messung 1

Messung 2

Messung 3

B1: Person 1 B2: Person 2

9,7ng/m³ 2,6ng/m³

6,8ng/m³ 1,1ng/m³

<0,8ng/m³ <0,8ng/m³

C: Im Labor

<0,7ng/m³

<0,8ng/m³

<0,8ng/m³

D: Im Flur

<0,7ng/m³

<0,8ng/m³

<0,8ng/m³

F: Personenschleuse

<0,7ng/m³

<0,8ng/m³

<0,8ng/m³

G: Ausgang des Labors

<0,7ng/m³

<0,8ng/m³

<0,8ng/m³

Tabelle 1: Ergebnis der 1. Simulation

Tabelle 2: Ergebnisse der 2. Simulation

Tabelle 3: Ergebnisse der 3. Simulation

Tabelle 4: Ergebnisse der 4. Simulation

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BRILLIANTE IDEEN FÜR MODERNE ANLAGEN

Bild 2: Doppelmantel Glasreaktorgefäss im Inneren des Isolators

Die SMEPAC­Messungen wurden nach Instal­ lation des Isolators entsprechend dem ISPE Good Practice Guide: Assessing the Particu­ late Containment Performance of Phar­ maceutical Equipment durch das Analytik­ center AQura – analytical solutions durchgeführt. Als Surrogat für den hochpo­ tenten Wirkstoff n wurde Naproxen Natrium­ salz bei den Messungen eingesetzt. Für die­ ses steht bei AQura eine validierte HPLC Methode bereit, welche ein sehr tiefes De­ tektionslimit von 0,1 ng/ml Methanol (1 ng pro Luftfilter) aufweist, welches benötigt wurde um bei den Arbeitsplatzmessungen das CPT von 10 ng/m3 für einen 8 h Arbeits­ tag zu belegen. Die Arbeitsabläufe für die Messungen wur­ den zuvor definiert und die Messungen je­ weils dreimal wiederholt. Die personenge­ bundenen und stationären Messpunkte wurden im Laborplan eingezeichnet und die Filter entsprechend beschriftet. Folgende Messpunkte wurden definiert: A (stationär): Innerhalb des Isolators, B (personenge­ bunden): an den Mitarbeitern, C (stationär): im Labor etwa 2 m vom bag in / bag out port entfernt, D: im Flur neben dem Laborausgang, E (stationär): neben der Vaku­ umpumpe des im Isolator integrierten Tro­ ckenschranks, F (stationär): in der Personen­ schleuse des Labors, G: im Labor am Ausgang zur Personenschleuse. Die Ansauggeschwin­ digkeit am Probenahmekopf wurde un­ abhängig vom Grad des Durchfluss­ widerstandes auf 0.21 m³/h geregelt, die Partikelabscheidung erfolgte innerhalb der Probennahmeköpfe auf PTFE Membranfil­ tern. Anhand des Probevolumens (m³/h) und der detektierten Menge Naproxen Natrium­ salz (ng) kann nach erfolgter Messung die Arbeitsplatzkonzentration (ng/m³) für einen 8 h Arbeitstag errechnet werden. Die berech­

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neten Arbeitsplatzkonzentrationen sind tabellarisch zu jeder Simulation zusammen­ gefasst (Bild 2). 1. Simulation – Einwiegen, Beladen des Reaktorgefässes und Filtration im Isolator Die 1. Simulation wurde zur Überprüfung der Leistungsfähigkeit des Containments des Isolators bei allgemeinen Labortätigkeiten durchgeführt. Bei dem simulierten Arbeits­ ablauf wurden die Handgriffe möglichst sau­ ber – entsprechend guter Laborpraxis – aus­ geführt. Ablauf: Die Probennahmepumpe wurde ge­ startet und eine Packung Naproxen Natrium­ salz im Isolator geöffnet. Ca. 5 g Naproxen Natriumsalz wurden in ein Becherglas einge­ wogen und der Reaktor damit beladen. Da­ nach wurde mit ca. 50 ml Aceton nachge­ spült und die Suspension 10 min lang im Reaktor bei Raumtemperatur gerührt. Die Suspension wurde mit einer Saugnutsche abfiltriert, wobei die am Isolator angeschlos­ sene Vakuumpumpe benutzt wurde. Danach wurde das Feuchtprodukt gewogen. Der gesamte Prozess wurde noch zwei weitere Male durchgeführt und danach die Proben­ nahmenpumpe abgestellt (Messzeit: 2 h). Über das Endlos­Liner System wurde ein neuer Filter eingeschleust. Der Filter aus dem Isolator (Messpunkt A) wurde ausgewechselt und über das Endlos­Liner System wieder ausgeschleust (Tabelle 1). Ergebnis: Im Inneren des Isolators wurde eine Naproxen Natriumsalz Konzentration von bis zu 924 ng/m3 (bezogen auf einen 8 h Arbeitstag) detektiert. Bei allen Messungen ausserhalb des Isolators lag der Naproxen­ gehalt unterhalb der Nachweisgrenze der

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Methode von 2.4 ng/m3. Hierdurch wurde belegt, dass bei Labortätigkeiten im Inneren des Isolators keine detektierbaren Mengen des Surrogats nach aussen dringen und das Control Performance Target von 10 ng/m3 erreicht wurde. 2. Simulation – Trocknen von Naproxen Natriumsalz im Trockenschrank Durch die 2. Simulation sollte die Dichtheit des am integrierten Trockenschrank ange­ schlossenen Vakuumpumpensystems und die Funktionsfähigkeit des Partikelfilters zwi­ schen Trockenschrank und Vakuumpumpe überprüft werden. Ablauf: Sechs gefüllte Kristallisierschalen mit jeweils 5 g Naproxen Natriumsalz wurden in den Trockenschrank am Isolator gestellt. Die Probennahmepumpe wurden neben der Va­ kuumpumpe des Trockenschrankes platziert und die Messung gestartet. Die Proben wur­ den im Vakuum bei 100 mbar und 42 °C ge­ trocknet. Nach 14 h wurde die Probennah­ menpumpe abgestellt (Tabelle 2). Ergebnis: Die Konzentration von Naproxen Natriumsalz lag unterhalb der Nachweis­ grenze der Analysenmethode. Dies belegt die Dichtheit des Vakuumsystems am Isolator. 3. Simulation – Havariefall und Reinigung im Isolatorinnenraum Anhand der 3. Simulation sollte überprüft werden, ob der Isolator auch bei Freiset­ zung grösserer Staubmengen und an­ schliessender Reinigung genug Leistungs­ fähigkeit zeigt um das CPT von 10 ng/m3 einzuhalten. Ablauf: Die Probennahmepumpe wurde ge­ startet und ca. 5 g Naproxen Natriumsalz 40 cm oberhalb der Waage im Isolatorinne­ ren so entleert, dass sich eine sichtbare Staubwolke bildete. Das Naproxen Natrium­ salz wurde anschliessend mit einem Spatel aufgenommen und in eine Kristallisierschale gefüllt. Die verbleibende Substanz wurde

mit Wasser aufgenommen und mit feuchten Wischtüchern aufgewischt, welche in ZIP­ Beutel gefüllt wurden. Der Betriebsmodus «Reinigen» wurde am Isolator aktiviert, das Containment mit der Reinigungsbrause gereinigt und die Spüllösung über das Bodenventil mittels einer Trockenkupplung in einen Lösungsmittelkanister abgelassen. Anschliessend wurde Probennahmenpumpe abgestellt (Messzeit: 2 Stunden, Tabelle 3). Ergebnis: Obwohl im Isolatorinneren sicht­ bare Staubmengen vorhanden waren, lag die Konzentration ausserhalb des Contain­ ments an den Mitarbeitern und im Labor unter der Nachweisgrenze von 2.4 ng/m3. 4. Simulation – Kompletter Arbeitstag Neben den oben beschriebenen tätigkeits­ bezogenen Simulationen sollten in der 4. Si­ mulation die üblichen Arbeitsabläufe eines Arbeitstags nachgestellt und hierbei die Ein­ haltung des CPT überprüft werden. Ablauf: Die Probennahmepumpe wurde ge­ startet und der Isolator inertisiert. Danach wurden Probenflaschen und Versuchsmate­ rialien eingeschleust. Naproxen Natriumsalz (ca. 5 g) wurde in den Reaktor gefüllt, Aceton (~100 ml) zugegeben und der Reaktor mit N2 gespült, auf 0 °C gekühlt und 15 min gerührt. Anschliessend wurde abgesaugt und eine Probe der Mutterlauge ins Probenglas pipet­ tiert. Das Feuchtprodukt wurde für 1 Stunde bei 40 °C getrocknet. Die Mutterlauge wurde im Rundkolben ausgeschleust, in einen Do­ verbag (flexibles Containment) einge­ schleust, im Vakuum am Rotationsverdamp­ fer eingeengt und über Mittag absitzen lassen. Lösungsmittel aus dem Rotationsver­ dampfer wurden ausgeleert und der Rück­ stand im Kolben bis zur Trockene einrotiert. Der Kolben mit der trockenen Verbindung wurde in den Isolator eingeschleust. Eine Trockenprodukt­Probe wurde entnommen und zusammen mit einer Probe der Mutter­ lauge ausgeschleust. Die zwei genommenen Proben wurden in einer laminar flow Wäge­

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kabine zur HPLC Analytik vorbereitet und die Probenfläschchen in das HPLC Gerät gestellt. Das Labor wurde zwischen den Tätigkeiten mehrmals verlassen (Mahlzeiten und Pause). Nach Ende der Simulation wurde die Proben­ nahmenpumpe abgestellt (Messzeit: 6 Stunden, Tabelle 4). Ergebnis: Die Messwerte zeigen, dass das Control Performance Target von 10 ng/m3 für einen kompletten Arbeitstag, welches die oben beschriebenen Tätigkeiten umfasst, eingehalten wird. Bei den stationären Mes­ sungen im Labor links neben dem Isolator (Messpunkt C), im Flur (Messpunkt D), neben der Vakuumpumpe des Isolators (Messpunkt E), in der Personenschleuse (Messpunkt F) und im Labor neben dem Ausgang zur Per­ sonenschleuse (Messpunkt G) lag die Napro­ xen Natriumsalz­Konzentration in der Luft stets unter der Nachweisgrenze. Auf den personengetragenen Luftfiltern wurden je­ doch Konzentrationen von bis zu 9,7 ng/m3 nachgewiesen. Die Detektion der höheren Werte erfolgte bei dem Mitarbeiter, welcher die HPLC Probenvorbereitung an der laminar flow Wägekabine durchführte. Bei dem Mit­ arbeiter, welcher bei diesem Vorgang assis­ tierte wurden niedrigere Werte von bis zu 2.6 ng/m3 detektiert. Fazit Bei allen durchgeführten Simulationen be­ trug die Arbeitsplatzkonzentration von Naproxen Natriumsalz in der Luft ausserhalb des Containments weniger als 10 ng/m3 berechnet auf einen 8 Stunden Arbeitstag. Die Messungen belegten die Leistungsfähig­ keit des Isolators zum Schutz der Mitarbeiter vor Überexposition mit hochpotenten Ver­ bindungen mit einem OEL >20 ng/m3 bei den simulierten Arbeitsvorgängen. Weitere Informationen Art GmbH Kontakt Georg Reiber Siessweg 19 D­72531 Hohenstein­Eglingen Telefon +49 7383 9490 16 info@ART­Reinraumtechnik.de www. art­reinraumtechnik.de Evonik Industries AG Sebastian Roos Rodenbacher Chaussee 4 D63457 Hanau Telefon +49 6181 59 01 sebastian.roos@evonik.com www.evonik.de AQura­Analytical Solutions Rodenbacher Chaussee 4 D­63457 Hanau­Wolfgang Telefon +49 61 81 59 42 82 info@aqura.de www. aqura.de

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contamination control report


forschung + entwicklung

Validierung einer UV Lampe Neues Reinigungsregime: Erkennen Sie, was Ihnen engeht! Die UV Reinigungsvalidierungslampe ist in der Reinraumtechnologie ein Muss, sie macht das Unsichtbare sichtbar. Mit der Lampe können kritische Bereiche hervorgehoben und Kontaminationsherde sichtbar gemacht werden. Es gibt unterschiedliche Verfahren, um zu gewährleisten, dass Reinräume sauber sind. Entweder geschieht dies über eine Sicht­ Kontrolle, über mikrobiologisches und Par­ tikel­Monitoring, über Rückstandsmessun­ gen oder auch über die Einhaltung von Standardarbeitsanweisungen. Eine weitere Alternative sind UV­optische Methoden wie die Klericide UV Reinigungs­ validierungslampe mit einem sofortigen und sichtbaren Ergebnis. Mit der Lampe können kritische Bereiche hervorgehoben werden. Die Lampe kann zur Prozessopti­ mierung genutzt werden, um beispielsweise veränderte Reinigungsverfahren anzuzei­ gen, die bei einer Transferdesinfektion not­ wendig werden. Dieser technische Bericht fasst die unabhän­ gige Validierung mit festen Parametern zu­ sammen, die durchgeführt wurde, um die Lampe auf ihre Funktionalität zu untersu­ chen.

Autoren Dominic Heckmann Trainer in der Manufacturing Science and Technology (MSAT) Abteilung der Firma Roche Diagnostics in Mannheim, D James Tucker europäischer Portfoliomanager der Firma Shield Medicare – ein Geschäftsbereich von Ecolab. Die Lampe kann während des Reinigungs­ und Desinfektionsprozesses zur Identifi­ zierung von Risikobereichen, sowie zur Überprüfung des Kontaminationsabbaus eingesetzt werden. Optimierte Mitarbeiterschulungen ermögli­ chen es darüberhinaus, Probleme zu lösen, bevor Kosten entstehen. In diesem Zusam­ menhang ist die Lampe ein wertvolles

Hilfsmittel, um Mitarbeitern die korrekte Reinigungs­ und Desinfektionstechnik auf­ zuzeigen und zu lehren. Reinigungsvalidierung Zusätzlich gestattet die Lampe auch die Überprüfung schwierig zu reinigender Be­ reiche, um mögliche Kontaminationen aus­ schliessen zu können. Dies ist z.B. nach Ver­ schüttungen ein wichtiges Instrument, da es dem Benutzer ermöglicht, nach dem Reini­ gungsprozess die komplette Beseitigung der Kontaminationen zu bestätigen. Hintergrund Das UV­Licht wird von der Lampe ausge­ strahlt und regt die Elektronen in den Parti­ keln an. Die Partikel können nur temporär die Energie der Strahlung speichern (Absorbtion) und geben diese zusätzliche Energie schnell wieder als Licht ab (Emission). Es ist die abge­ gebene Lichtenergie der Partikel, die für das Auge sichtbar macht, was davor unsichtbar war; «macht Unsichtbares sichtbar». Protokoll Die Lampe wurde auf die Wirkung der folgen­ den Parameter getestet, um die sichtbare Er­ kennung von Partikeln sowie die Reproduzier­ barkeit in der Praxis überprüfen zu können: – Partikelgrösse – Hintergrundbeleuchtung – Verschiedene Hintergrundoberflächen – Abstand von der Lampe – Fluoreszenz der verschiedenen Materialien Zusätzlich umfasst die Validierung einen Nachweis über die Wirksamkeit eines Schu­ lungskonzeptes mit der UV Reinigungsvali­ dierungslampe. Zur Überprüfung der Nachweisgrenze wur­ den Latex­Partikel variierender Grössen in Wasser verdünnt und auf einer Oberfläche ausgesetzt.

Bild 1: Absorbtion und Emission im Verlaufsprozess

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Hintergrundbeleuchtung Diese Tests wurden mit verschiedenen Hin­ tergrundbeleuchtungsstufen durchgeführt, um zu bestimmen, ab welchem Level die Partikel nicht mehr visuell erkennbar sind

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ohne UV Lampe

mit UV-Lampe

Bild 2: Darstellung der Oberfläche, die für dieses Experiment mit und ohne Gebrauch der Klercide UV Reinigunsvalidierungs Lampe verwendet wurde.

und ab welcher Stufe die optimale Erken­ nung von Oberflächenkontamination er­ reicht ist.

Verschiedene Hintergrundoberflächen Verschiedene Hintergrundoberflächen wur­ den verwendet, um zu testen, ob die Lichtauf­ nahme oder der Kontrast eine Auswirkung auf die Sichtbarkeit des ausgestrahlten Lichts hat.

Abstand von der UV Quelle Diese Tests wurden mit verschiedenen Ab­ ständen zwischen der UV­Quelle (Lampe) und der Oberfläche durchgeführt, um den Punkt bestimmen zu können, an dem die Quelle zu schwach wird, um Partikel erken­ nen zu können. Floureszenz von verschiedenen Materialien Es wird vermutet, dass aufgrund der Art und Weise wie die Lampe arbeitet, das Fluores­ zieren der Partikel von der Dichte und von der Homogenität des Materials abhängig sein wird. Prüfmethode Materialien – Partikel (0.7μm / 3.0μm / 30 μm / 50 μm) – Wasser (gefiltert) – Erlenmeyerkolben (aus Glas) 100 ml parti­ kelfrei – Mikroskopobjektträger (aus Glas) – Eppendorf Pipette – Trockenofen – Edelstahlplatte 10 x 10 cm – Plexiglasplatte 10 x 10 cm – Makrolon (polycarbonat) 10 x 10 cm – Pharma Terrazzo 10 x 10 cm – Hypalon ( Handschuhmaterial) 10 10 x 10 cm – RODAC Platte (25cm2) – LUX2 –Messinstrument – Neonröhre (justierbar) – IPA Wischtücher – Befestigungsplatte für die Taschenlampe – Bandmass – Verschiedene Materialien laut Tabelle 2 – Klercide UV Reinigungsvalidierungs­ lampe

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Partikelgrösse: Die einzelnen Partikelsuspensionen wurden mit Wasser in einem 100ml Erlenmeyerkol­ ben angefertigt (mit einer Konzentration von 0,25 g Partikeln in 3,75 ml). Die Suspensionen wurden auf dem Mikroskopobjektträger be­ reitgestellt und zusätzlich mit einem zweiten Objektträger befestigt. Die Objektträger wurden in einem Trockenofen eine Stunde lang bei 45 °C getrocknet. Nach Vollendung des Trocknungsprozesses wurden die Ob­ jektträger mit Hilfe der Lampe auf ein sicht­ bares Erkennungszeichen der Partikel ge­ prüft. Optimale Hintergrundbeleuchtung Ein Lux Detektor wurde unterhalb von Ne­ onröhren aufgestellt, um die Menge des Hintergrundlichtes zu messen. Die Edel­ stahlplatte wurde durch den Kontakt mit der TSA RODAC Platte markiert. Die Be­ leuchtungsstufe wurde von 0 LUX (nied­ rigste Helligkeitsstufe) schrittweise erhöht. Die Edelstahlplatte wurde mit der Klercide UV Reinigungsvalidierungslampe auf den verschiedenen LUX­Niveaus auf sichtbare Restmengen geprüft und die Resultate no­ tiert. Die Oberfläche, die für dieses Experiment mit und ohne Gebrauch der Klercide UV Rei­ nigunsvalidierungs Lampe benutzt wurde, ist in Bild 2 dargestellt. Die Ergebnisse sind in Tabelle 1 protokolliert. Hintergrundoberflächen Materialien Eine Reihe von gewöhnlichen Oberflächen­ materialien für den Reinraum wurde vorbe­ reitet, auf denen vorhandene Partikel mit hochreinen, vorgetränkten IPA Wischtü­ chern entfernt wurden. Eine 50 μm Partikel­ suspension wurde mit Teststäbchen auf der Oberflächen einer LAF Werkbank verteilt. Die Stichproben wurden für eine Stunde bei 40 °C in einem Trockenofen getrocknet und anschliessend wurde die Oberfläche mit der Klercide UV Reinigungsvalidierungslampe überprüft. Die Ergebnisse sind in Tabelle 2 dargestellt.

Bild 3: Ein Beispiel von erkanntem Material durch die UV Reinigungsvalidierungslampe

50

Ja

100

Ja

150

Ja

200

Ja

250

Ja

500

Ja

1000

Ja

1500

mit Schwierigkeiten

2000

mit Schwierigkeiten

2100

Nein

2500

Nein

Tabelle 1: optimales Hintergrundlicht

Material

Sichtbar

Edelstahlplatte

Ja

Plexiglasplatte

Ja

Makrolon (Polycarbonat)

Ja

Pharma Terrazzo

Ja

Hypalon (Handschuhmaterial)

Ja

Tabelle 2: Unterschiedliche Hintergrundoberflächen Materialien

Entfernung [cm]

Sichtbar

10

Ja

20

Ja (gut)

30

Ja gut)

50

Ja (moderat)

100

Nein

Tabelle 3: Entfernung von der Quelle

Abstand von der UV Quelle Entsprechend dem oben genannten Prozess wurde eine Edelstahloberfläche mit hochrei­ nen vorgetränkten IPA Wischtüchern vorbe­ reitet. Die Oberfläche wurde dann mit einer 50 μm Suspension vorbereitet. Die Klercide UV

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Material

Sichtbar

Gummistopfen

Nein

Weisse Kunststoffverpackung

Ja

Transparente Kunsstoffscheibe (PVC)

Nein

Karton

Ja

Verpackungsbeutel der Spritzen (Plastik und Papier)

Nein

Filterdichtung

Nein

Mundschutz mit Gummiband

Nein

Standard Mundschutz (Reinraum Standard)

Ja

Sterile Kleidung (Einweg)

Ja

Der Reissverschluss von steriler Kleidung

Ja

Sterile Mehrweg Reinraumoveralls

Ja

Sterile Moppbezüge

Ja

Reinraum Schutzbrillen (Plastik)

Nein

Reinraum Socken

Ja

Sterile Reinraumwischtücher

Ja

Steriles Reinraumpapier

Ja

Filtermaterial

Ja

PTFE­Dichtungsring

Nein

Autoklaven Band

Ja

Einweg steriles Haarnetz

Ja

Einweg Pipettenspitzen (Plastik)

Ja

Reine Verpackungen für reine Produkte Reinraumverpackungen für: Sterilproduktion in der Pharmaindustrie Zytostatikaproduzenten und Medizintechnik Semikonduktorindustrie

Tabelle 4: Fluoreszenz von verschiedenen Materialien

Reinigungsvalidierungslampe wurde dann von verschiedenen Entfer­ nungen zur Platte eingesetzt und die Sichtbarkeit der Stichproben wurde überprüft. Die Ausrüstung, die dazu benutzt wurde, ist in Bild 3 zu sehen. Die Ergebnisse sind in Tabelle 3 protokolliert. Fluoreszenz von verschiedenen Materialien Kleinere Stichproben von verschiedenen Materialien wurden zwi­ schen zwei Mikroskopobjektträgern befestigt. Jede Stichprobe wurde mit der Klercide UV Reinigungsvalidierungslampe geprüft und die Ergebnisse wurden aufgezeichnet (Bild 3). Die Ergebnisse der ver­ schiedenen Materialien sind in Tabelle 4 zu sehen. Training Zwei Gruppen von je 10 ausgebildeten Reinigungskräften und 10 ungeschulten Arbeitern wurden Reinigungsaufgaben übertragen. Beiden Gruppen wurde die Aufgabe zugewiesen, einen «Dummy» RABS (restricted access barrier system) mit vorgetränkten IPA Wischtüchern zu reinigen, wie in Bild 5 zu sehen ist. Das RABS wurde an 12 Stellen mit Kontami­ nationen markiert, die durch die Klercide UV Reinigungsvalidierungslampe nach­ Bild 4: Tests wurden mit variierenden Abständen von der Oberfläche durchgeführt, um die Effektivität der UV Reinigungsvalidierungslampe ermitteln zu können.

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weisbar waren. Jede der beiden mitwirken­ den Gruppen reinigte den RABS individuell. Die Ergebnisse sind in Tabelle 5 zu sehen. Nachfolgend wurden die Reinigungen des RABS auf Effektivität geprüft. Die ungeschul­ ten Arbeiter wurden danach ausgebildet und wiederholten die Übung. Die Ergebnisse sind in Tabelle 6 zu sehen. Ergebnisse Sichtbar nachweisbare Partikelgrösse: Die 50 μm Partikel wurden auf dem Objektträ­ gern deutlich sichtbar und können generell als Nachweisbarkeitgrenze bezeichnet wer­ den.

Bild 5: «Dummy» RABS

Schlussfolgerung Die Klercide UV Validie­ rungs Lampe ist eine neuartige Innovation, die es dem Benutzer erlaubt, zu erkennen, was sonst übersehen würde. Die Lampe ermöglicht es, den Reinigungsprozess zu beobachten und wenn nötig, sofort zu korrigieren. Die Ergeb­ nisse zeigen deutlich, dass die Lampe unter normalen Betriebsbedin­ Bild 6: Die Reinigungsergebnisse von ungeschulten Arbeitern vor und gungen nützliche Ergeb­ nach der Einarbeitung. nisse liefert. Es werden Kontaminationen von zahlreichen Partikeln Literatur auf allen Oberflächen sichtbar gemacht. James Tucker, Dominik Heckmann: Valida­ Zusätzlich zeigen die Parameter, innerhalb tion of a UV torch. Clean air and containment welcher Bedingungen die Lampe funktionie­ review. Issue 8, 2011. ren wird. Dieser Test demonstriert den be­ www.cleanairandcontainment.com deutenden Wert, welchen die Lampe bei einer Mitarbeiterschulung spielen kann und Weitere Informationen bestätigt die Effektivität von Schulungs­ Shield Medicare – A Division of Ecolab Paul Volgger massnahmen. Ecolab Europe GmbH ANMERKUNG: Diese Validierungsstudie ist Richtistrasse 7, ein gemeinsames Projekt zwischen Roche CH­8304 Wallisellen, Diagnostics GmbH und Shield Medicare. Wir Telefon +41 44 877 2411 bedanken uns für die Bereitstellung der La­ paul.volgger@ecolab.com texpartikel durch Facility Monitoring Sys­ info@shieldmedicare.com www.shieldmedicare.com tems.

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firmenreportage

Brunner Haustechnik AG: Erfolgreiche Integration in die Hälg Group In vielen Bereichen der Technik werden heute besondere Anforderungen an die Reinheit der Raumluft gestellt, wie etwa in der Lebensmittel- und Medikamentenproduktion, in der Kunststoffproduktion, in Laboratorien, in der Verpackungsindustrie, in der Feinwerktechnik und in der Elektronikproduktion, bei der Fertigung optischer Geräte sowie in Biosicherheitsanlagen. Um die Gefahr der Verunreinigung bei der Produktion möglichst auszuschliessen, muss bereits die Planung der Produktionsanlagen so erfolgen, dass in der späteren Fertigung keine Kontaminationsquellen auftreten können. Die Brunner Haustechnik AG, ein Ingenieur­ Unternehmen mit Sitz in Wallisellen, widmet sich der Planung anspruchsvoller Technik in Gebäuden und Reinräumen. Seit 1988 setzt das Unternehmen anspruchsvolle Projekte in den Bereichen Pharma und Industrie, For­ schung, Biosicherheit, Gesundheitswesen und Infrastrukturbauten in die Realität um. Dieses Unternehmen mit 27 Mitarbeitenden ist auf Pharma­, Biosicherheit­ und Reinraum­ technik, Laborbau und Gesundheitswesen spezialisiert. Im Jahr 2010 hat die Hälg Building Services Group, ein führendes Unternehmen im Anla­ genbau und Service für Gebäudetechnik mit Hauptsitz in St. Gallen, die Brunner Haustech­ nik AG (BHT) in seine Firmengruppe integ­ riert, um sich im Bereich Ingenieur­Dienst­ leistungen zu verstärken (siehe Interview). Energiesparende Anlagen Eine partikelarme Fertigungsumgebung ist Voraussetzung für geringe kontaminations­ bedingte Ausschüsse und für die Einhaltung der Sterilität von Pharmaprodukten. Die Pro­ duktqualität wird vor allem durch Verunrei­ nigungen wie Partikel und chemische Rück­ stände negativ beeinflusst. Die Brunner Haustechnik AG (BHT) verfügt über viel Erfahrung in der Planung und Realisierung von Pharma­ und Industriegebäuden, Bio­ sicherheitslabors, Forschungslabors und von Spitälern. Die BHT wird von Kunden als Pro­ jekt­Partner geschätzt, der mit detaillierten Konzepten, hochwertigem Engineering und kreativen Ideen gut geplante Projekte zu re­ alisieren weiss. Kundennutzen vor Bauvolumen Das Unternehmen wurde von Arnold Brunner zusammen mit seiner Partnerin gegründet. Er brachte das Planungsbüro voran, indem er sich hohen Ansprüchen und grössten Heraus­

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Referenz-Projekt: Ausgefeiltes Konzept für die Gebäudetechnik in Pflanzenschutzlabor QUELLE: BURCKARDPARTNERS.CH 2010

Autor Arnold Brunner Dipl. Ing. SIA Vorsitzender der Arbeitsgruppe SWKI Normenausschuss VDI 2083 Brunner Haustechnik AG

forderungen stellte. Dabei stand stets der Kundennutzen im Fokus seines Interesses. Mit seinem grossen Branchenwissen, seinen vielfältigen Interessen im Bereich der Rein­ raumtechnik und seiner intensiven Mitarbeit in der SRRT und internationalen Normengre­ mien hat er sich grossen Respekt verschafft. Im März 2011 löste Marc Iten (37), Leiter des Bereichs Engineering der Hälg Group, Arnold Brunner als Geschäftsführer ab. Brunner steht der Hälg Group jedoch weiterhin als Senior­Consultant zur Verfügung. Erklärtes Ziel der Zusammenfassung der beiden Engi­ neering­Einheiten unter der Führung von Marc Iten ist die Nutzung von Synergien bei der Hälg Group in Bezug auf Know­how und Personalentwicklung. Überall da, wo die Qualität von Produkten und Prozessen eine grosse Herausforderung darstellt, schafft BHT die gebäudetechni­ schen Voraussetzungen. Die Spezialisten der BHT machen sich deshalb stets mit den neu­ esten Techniken vertraut und achten darauf, kostenoptimierte, sichere, energiesparende

Auf dem Areal der eidgenössischen For­ schungsanstalt WSL (Wald, Schnee und Landschaft) in Birmensdorf wird ein Pflanzenschutzlabor erstellt (burckardt­ partner). Das Labor des Umweltfor­ schungsinstituts wird im Rahmen des Eidgenössischen Pflanzenschutzdienstes und zu Forschungszwecken eingesetzt (www.competitionline.com/de/wettbe­ werbe/41174). Nettogeschossfläche: ca. 1970 m2 Labors Stufen 1–3: ca. 650 m2 Gewächshaus: ca. 160 m2 Reinlufträume: ca. 60 m2 Das Gebäudetechnikkonzept der Brunner Haustechnik AG für die Heizung sieht als Primärenergiequelle den Anschluss an die bestehende Holzschnitzelanlage vor. Die Wärmeabgabe und Kühlung der Räume erfolgt via Deckenheiz­/­kühlele­ mente. Dabei wird ein 4­Leiter­System mit hydraulisch getrennten Heiz­ und Kühlkreisen eingesetzt. Zur Kälteerzeugung sind zwei unabhän­ gige Kompressionskältemaschinen mit Abwärmenutzung geplant, die Rückküh­ lung ist mit den Luftaufbereitungsanlagen gekoppelt. Ein frostgeschütztes Flüssig­ keitssystem entzieht der Abluft Wärme­ energie und führt diese mit einem Jahres­ wirkungsgrad von 85 % der Zuluft zu.

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und bedienerfreundliche Anlagen zu planen. Ständige Weiterbildung der Mitarbeitenden sorgt dafür, dass die besten Kräfte Lösungen schaffen, die auf dem neuesten Stand der Technik sind. Aktuelle Planungen des Unter­ nehmens betreffen u.a. den Neubau eines Pflanzenschutzlabors, Projekte für Roche Dia­ gnostics in Rotkreuz, den ETH­Bereich (EMPA, EAWAG, PSI) aber auch zwei Medical Device­ Projekte und ein Projekt im Bereich Optik. Beraten, Projektieren, Realisieren, Qualifizieren Die Spezialität von Brunner Haustechnik AG sind kostenoptimierte, bedienerfreundliche Anlagen, die einen sorgsamen Umgang mit der Umwelt beinhalten. BHT übernimmt die Planung von Gebäudetechnik­Anlagen vom Konzept bis zur Übergabe. Dazu gehören in der Entwurfsphase die Beratung, die Ausar­ beitung eines Vorprojekts mit Kostenschät­ zung, die Projektplanung sowie das Erstellen eines detaillierten Leistungsverzeichnisses für Offertanfragen. Im Zuge der Bauphase übernimmt BHT die Ausführungsplanung, die Fachbauleitung und ist bei der Inbetrieb­ setzung und Abnahme dabei. Auch bei der Nachbetreuung und Optimierung der Anla­ gen unterstützt die BHT den Kunden.

Betriebsoptimierung Bei bestehenden Anlagen beurteilt Brunner Haustechnik AG die Versorgungssicherheit und den Stand der Gebäudetechnik­Anla­ gen. Je nach Ergebnis unterbreiten die Spe­ zialisten dem Kunden einen Sanierungsvor­ schlag. Reinraumtaugliche Gebäude sind im Unterhalt teurer als konventionelle Industrie­ bauten. Das liegt an der aufwendigen Tech­ nik und an den Betriebskosten in der erfor­ derlichen Reinraumklasse. Die von BHT erstellten Betriebskonzepte sind daher so ausgelegt, dass man mit möglichst kleinen Betriebsflächen für Reinräume bei optima­ lem strategischem Nutzen auskommt. Sie erstellt auch Energiekonzepte, in welchen mögliche Sparmassnahmen aufgezeigt wer­ den. Qualifizierung Die Qualität muss während des gesamten Prozesses lückenlos dokumentiert werden. Brunner Haustechnik AG überprüft die Leis­ tungsfähigkeit von Gebäude­ und Reinraum­ technik­Anlagen (integrale Gebäudetechnik­ tests) auf verschiedene Werte hin: z.B. Temperatur, Luftfeuchtigkeit, Luftgeschwin­ digkeit, Behaglichkeit, Partikel­ bzw. Keim­ konzentration.

Hochwertiges Engineering und kreative Ideen dank exellenter Mitarbeiter

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Einige Schwerpunkte der BHT Pharma und Industrie In Reinräumen sind die Anforderungen an die Raumlufttechnik sehr hoch. Auch spielen die Messtechnik, die Prozessmedien, die Oberflächen und das Personal eine wesent­ liche Rolle. Qualität sowie Sicherheits­ und Umwelttechnik haben höchste Ansprüche zu erfüllen. Brunner Haustechnik AG ist auf die Projektierung von Raumlufttechnik in der jeweils notwendigen Reinraumklasse spezi­ alisiert: – in der sterilen Kunststoffproduktion – beim keimfreiem Abfüllen oder Verpa­ cken – in der sterilen Lebensmittel­ und Medikamentenproduktion – bei Biosicherheitsanlagen – in Laboratorien – in der Elektronikproduktion – bei der Fertigung optischer Geräte. BHT verfügt über das nötige Know­how, wenn reinraumtechnische Installationen in die Gesamt­Haustechnik und ins Gebäude integriert werden müssen. Besonderen Wert legt BHT auf die optimale Koordination der Schnittstellen.

Spezialisten im Planerteam an der Entwicklung von innovativen Konzepten

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Biosicherheit Das Labor Spiez ist das schweizerische Fachinstitut für den Schutz vor atomaren, biologischen und chemischen (ABC) Bedro­ hungen und Gefahren. Als Gebäudetechnik­ Planer mit Spezialgebiet Reinraumtechnik verfügt die BHT über das Wissen und die Erfahrung für den Bau von Biosicherheits­ labors. Diese flossen in die Projektplanung des Sicherheitslabors Spiez BSL 2­4 ein (welt­ weit gibt es nur 15 BLS4­Labors). Beim Neu­ bau des Biosicherheitslabors BSL 3 + 4 und dem Umbau BSL 2 bearbeitete die BHT die HLKS­Planung und die Fachkoordination in den Planungsphasen Konzeptstudie, Pflich­ tenheft, Vorprojekt, Projekt und Baubot­ schaft an das eidgenössische Parlament. Wer mit biologischen Substanzen arbeitet, muss spezifische Schutzmassnahmen treffen. Die Labors werden gemäss ihrer Gefährlichkeit in vier definierte Schutzstufen (S1 bis S4) ein­ geteilt. Ein wichtiges Element der Biosicherheit ist die Fähigkeit zum Nachweis von Krankheits­ erregern, die entweder bewusst eingesetzt (Bioterror) oder natürlich auftretend zu einer Epidemie führen können. Im zivilen, wie auch im militärischen Bereich besteht somit Bedarf nach entsprechend ausgerüsteten Labors, in denen mit hoch pathogenen Mikroorganis­ men sicher gearbeitet werden kann. Die Planung und der Bau von Biosicherheits­ labors mit Biosafety Level 2–4 (BSL4: Mikroor­ ganismen mit meist tödlicher Wirkung) stel­ len entsprechend hohe Anforderungen an die

Geschäftsführer Marc Iten, 37, Leiter Engineering der Hälg Group, übernahm im März 2011 die Geschäftsleitung der jüngsten Hälg Group Tochter, der Brunner Haustechnik AG.

Fähigkeiten der Ingenieure. Die Labors müs­ sen baulich abgetrennt sein, die Zu­ und Ab­ luft muss gefiltert werden und der Zugang darf nur über eine Schleuse erfolgen, damit ein Unterdruck aufrechterhalten werden kann. Das Labor muss hermetisch abgeschlos­ sen werden können, um eine Desinfektion durchzuführen. Die Oberflächen müssen säure­, laugen­ und lösungsmittelbeständig sowie beständig gegen Desinfektionsmittel sein und für die Türen sind Beobachtungs­ fenster vorgeschrieben. Die Arbeitsstoffe sind unter Verschluss aufzubewahren; jedes Labor sollte über eine eigene Ausrüstung verfügen.

SynaW ave

Normen- und Richtlinienarbeit Mit seinem grossen Engagement in der Nor­ men­ und Richtlinienerstellung hat sich Ar­ nold Brunner grosse Verdienste erworben. So war er massgeblich an der Erstellung der ISO­Richtlinie 14644, am VDI­Richtlinienwerk 2083 (Reinraumtechnik), im Fachausschuss Raumlufttechnik und als stellvertretender Vorsitzender im Richtlinienausschuss VDI 6305 (tGMP) beteiligt. 2008 wurde sein Ein­ satz beim VDI und für die Zusammenarbeit der Ingenieure in der Schweiz und in Deutschland mit einer Ehrenplakette hono­ riert. 2009 folgte der Gebäudetechnik­Award des Bundesamtes für Energie. Ausbildung Die Hälg Group – und mit ihr BHT – engagiert sich gezielt in der Förderung und Ausbildung von zukünftigen Fachkräften, etwa bei der Ausbildung von Lernenden oder via Dozenten­ tätigkeiten von Fachpersonen wie z.B. Arnold Brunner, der per 1. Juni 2012 ein Teilpensum als Professor für Gebäudetechnik an der HS Lu­ zern übernehmen wird. Darüber hinaus enga­ giert er sich an Reinraumseminaren der SRRT. Weitere Informationen Brunner Haustechnik AG/ Hälg Group Bahnhofplatz 1c CH­8304 Wallisellen­Zürich Telefon +41 44 874 13 00 info@bht.ch www.bht.ch, www.haelg.ch

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D ie p e r fe k te K o m b in a tio n . Ih r e V o r t e ile

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T ie fs te A n fa n g s d r u c k v e r lu s te F la c h e D r u c k v e r lu s ta n s tie g e ü b e r d ie B e tr ie b s z e it M a s s iv e E n e r g ie - u n d C O 2 - E in s p a r u n g e n K o n s ta n t h o h e W ir k u n g s g r a d e e n tla d e n G e p rü ft n a c h n e u e r N o rm F p rE N 7 7 9 : 2 0 1 1

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UNiFiL AG F I L T E R T E C H N I K


I

interview

Die Domestizierung der Reinraumtechnik Die Brunner Haustechnik AG wurde 2010 von der in der Gebäudetechnik tätigen Hälg Building Services Group übernommen und wird heute von Marc Iten geleitet. Interview mit Arnold Brunner, Brunner Haustechnik AG (BHT). Hand anbietet. Die Hälg Group hat verschie­ dentlich schon Ausführungen im Reinraum­ technik­Bereich gemacht und jetzt will man eben Planung und Ausführung anbieten.

CCR: Herr Brunner, war es für Sie ein grosser Schritt, als Sie 1988 Ihr Unternehmen gründeten? BRUNNER: Wenn man sich in jungen Jahren selbstständig macht, denkt man, das sei nun die Freiheit: Keinen Chef mehr, keinen über den man sich ärgern muss. Die Fehler, die man macht, dafür trägt man nun selbst die Verantwortung. Damit muss man fertig wer­ den, die richtigen Konsequenzen ziehen. CCR: Im letzten Jahr gab es einen Eigentümerwechsel. Wie kam es dazu? BRUNNER: 2010 verkauften meine Partnerin Gerti Oswald und ich die BHT nach 22 Jahren an die Hälg Building Services Group mit Hauptsitz in St. Gallen. Das Management der Hälg Group hatte beschlossen, die Planungs­ abteilung auszubauen. Bis März 2011 war ich noch Geschäftsführer der BHT. Seitdem stelle ich mein Expertenwissen als Berater zur Ver­ fügung. Zudem übernehme ich für die Gruppe Zusatzaufgaben, z.B. das ganze in­ terne Normenwesen, Normierungs­ und Ver­ einsmitarbeit. Zum Thema Reinraumtechnik gebe ich Unterstützung in der Gruppe. CCR: Warum haben Sie gerade an die Hälg Group verkauft? BRUNNER: Wir haben verschiedene Varian­ ten untersucht, auch ausländische Optionen. Die Hälg Building Services Group oder kurz die Hälg Group ist die grösste Gebäudetech­ nik­Installations­Firma in Schweizer Besitz. Die Hälg Group wollte sich im Engineering und auch im Bereich Reinraumtechnik ver­ stärken, und wir konnten das bieten. Uns beeindruckte, dass die Gruppe patronal ge­ führt ist, das heisst, die Unternehmung wird von denjenigen geführt, die sie auch besit­ zen. Es war daher ein sehr überlegter Schritt von uns. Die Eigentümer, die Brüder Baumer, gehen mit dem Investment, also mit der BHT sehr bewusst und sorgfältig um. Die BHT ge­ hört zur Hälg Group, ist aber eine eigenstän­ dige Organisationseinheit geblieben. CCR: Sitzen Sie auch im Vorstand der Hälg Group? BRUNNER: Lacht . . . Nein, ich bin im Kader, ich nehme auch an den Kaderanlässen teil, aber

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CCR: Welche Projekte haben Sie derzeit in Planung? BRUNNER: Wir bearbeiten aktuell Reinraum­ Projekte im Bereich Optische Geräte, Mikro­ mechanik, Medizinprodukte, Pharmapro­ duktion und im Gesundheitswesen.

Arnold Brunner

ich bin nicht in der Geschäftsleitung; weder in der Hälg Group, noch bei der Brunner Haustechnik AG. Ich denke aber, dass ich sehr gut informiert bin. CCR: Wie ist Geschäftsführer Marc Iten in der Hälg Group positioniert? BRUNNER: Marc Iten ist der Geschäftsführer der BHT und leitet auch den Geschäftsbereich Hälg Engineering. Damit sind alle Engineering­ Bereiche und Planungsangelegenheiten bei Marc Iten angesiedelt. Neben Marc Iten als Geschäftsführer gibt es bei der BHT zwei Team­ leiter, Urs Iten und Thomas Trueb. Als Teamlei­ ter tragen sie gemeinsam mit Marc Iten die Verantwortung für das operative Geschäft. CCR: Werden in der Reinraumtechnik die Akquisitionen von Marc Iten oder von Ihnen hereingeholt? BRUNNER: In der Akquisition unterstütze ich Marc Iten und die BHT natürlich wo ich kann. In Zukunft soll das Know­how auch genutzt werden, um in der Hälg Group vermehrt Reinraum­Aufträge bearbeiten zu können. Die Idee ist, dass man dereinst Gesamtpakete anbieten kann. Im Industriebereich ist es üb­ licher als in der normalen Gebäudetechnik, dass man Planung und Ausführung aus einer

CCR: Sie haben ja auch bei der Roche Projekte durchgeführt? BRUNNER: Bei Roche Diagnostics in Rotkreuz waren und sind wir mit der Planung der Ge­ bäude­ und Reinraumtechnik beauftragt. Im Bau 6 und 7 ist die Forschungsabteilung für Diagnosegeräte untergebracht. Daneben werden in diesen Bauten auch die Medien hergestellt, die man für die Diagnosegeräte braucht. Diese Medien müssen natürlich steril sein, d.h. diese werden zum Teil endsterilisiert oder eben steril produziert und abgefüllt. CCR: Sie engagieren sich neben Ihrer Berufsarbeit in der Normen- und Richtlinienarbeit. Wie schaffen Sie das alles? BRUNNER: Ich bin als Vertreter der Schweize­ rischen Gesellschaft für Reinraumtechnik (SWISSCCR oder SRRT) Mitglied im VDI­Fach­ ausschuss Reinraumtechnik und auch in drei Arbeitsgruppen der VDI Reinraum­Richtli­ nien. Ausserdem bin ich für die Europäische und Schweizerische Spital­Klimarichtlinie aktiv. Es ist einiges an Arbeit – man muss das aber im Sinne eines Berufshobbys auffassen. Es ist Arbeit, die ich gerne mache, auch wenn manchmal das Liegengebliebene am Wo­ chenende nachgearbeitet werden muss. Es bringt mir auch Kontakte und gute Gesprä­ che mit anderen Experten und ist so auch eine Form von beruflicher Weiterbildung. Das Engagement wird auch wahrgenommen. Wir haben zwei Auszeichnungen erhalten: da war der Gebäudetechnik­Award für energetisch hervorragende Gebäudetechnik­Planung und die VDI­Ehrenplakette in Anerkennung des Einsatzes bei der Förderung der Zusam­ menarbeit der Ingenieure in Deutschland

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Teamleiter Urs Iten

Gute Zusammenarbeit: Arnold Brunner und Teamleiter Thomas Trueb

und in der Schweiz in den Fachgebieten Raumlufttechnik und Reinraumtechnik. CCR: Engagieren Sie sich weiterhin in der Ausbildung junger Mitarbeiter? BRUNNER: Die Aus­ und Weiterbildung in un­ serer Branche ist mir eine Herzensangelegen­ heit. Meine Überzeugung ist, dass man aus seinen Fehlern lernen sollte – besser ist es aber, wenn man aus den Fehlern anderer ler­ nen kann. Dafür setze ich mich ein, deshalb engagiere ich mich in der Aus­ und Weiterbil­ dung, damit die jungen Leute von den vor­ handenen Erfahrungen profitieren können. CCR: Welche Pläne haben Sie für die Zukunft? BRUNNER: Ich habe für die erste Hälfte des Jahres eine 80%­Beschäftigung vereinbart,

damit ich mich auch um die SRRT kümmern kann. Das ICCCS­Symposium, das im Herbst in Zürich stattfindet, beschäftigt uns in die­ sem Jahr sehr. Ab Mitte Jahr werden es dann nur noch 40% sein, da ich zum hauptamtli­ chen Dozenten an die Hochschule Luzern – Technik & Architektur gewählt wurde. Mit einem 50%­Mandat werde ich mich im Fachbereich Gebäudetechnik in Lehre und Forschung engagieren. CCR: Wann wollen Sie sich endgültig zurückziehen? BRUNNER: Ich ziehe mich noch nicht zurück. Mein Thema für die Zukunft ist die Schulung und die Weiterbildung – sei das in der Hälg Building Services Group oder an der Hoch­ schule Luzern. Gerne möchte ich die Rein­

raumtechnik an der Hochschule Luzern eta­ blieren. Die Pionierphase der Reinraumtech­ nik ist nun vorüber. Es gilt dieses Fachthema in die Grundausbildung zu integrieren – und in diesem Sinne zu domestizieren! CCR: Vielen Dank, Herr Brunner! Interview für CCR: Annette v. Kieckebusch-Gück

Weitere Informationen www.bfe.admin.ch: Energieeffizientes Bauen, Defizite in der Hochschulausbildung

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Answers for infrastructure.


firmenberichte

Hohe Energie-Einsparung und Förderung von Sicherheit und Komfort in Laboratorien Nach 44 Jahren Betrieb wurde die Lüftungsanlage im Forschungslabor Eawag in Kastanienbaum saniert. Die Resultate sind unter anderem ein Jahresenergie-Rückgewinn von 70 Prozent sowie Energieeinsparungen im Labor- Lüftungsbereich von mindestens 60 Prozent – auch dank dem Einsatz von Phoenix-Volumenstromreglern.

Eawag, das selbständige Wasserforschungs­ Institut im ETH­Bereich ist weltweit führend. Seine Stärken und Erfolge basieren auf der seit langem gepflegten Verknüpfung von Forschung, Lehre und Weiterbildung sowie Beratung und Wissenstransfer. Damit neue Erkenntnisse und Konzepte aus der For­ schung möglichst rasch in die Praxis einflies­ sen, pflegt die Eawag ausserdem rege Bezie­ hungen zu Fachleuten aus Industrie, Verwaltung und Verbänden. Maximale Sicherheit, Komfort und Energieeinsparung Die hochmodernen Forschungseinrichtun­ gen von heute unterliegen komplexen An­ forderungen, welche Regellösungen erfor­ derlich machen, die mehr als nur die Druckbeaufschlagung von Räumen garan­ tieren können. Innerhalb einer bestimmten Einrichtung findet man eventuell Tierver­ suchlaboratorien im unteren Stockwerk, Chemieforschungslabors ein oder zwei Stockwerke darüber und Büroräume neben den Labors. Jeder dieser Bereiche bringt an­ dere Komfort­ und Sicherheitsanforderun­ gen mit sich, die erfüllt werden müssen.

BILDER: PHOENIX

Von Hans-Peter Läng, Klosters

Sortiment der Phoenix-Volumenstromregler

Sanierung des Standortes Kastanienbaum Das Forschungslabor in Kastanienbaum wurde im Jahre 1977 bezogen. Nach 44 Jah­ ren Betrieb ist man zum Schluss gekommen, dass die lüftungstechnische Einrichtung nicht mehr den hohen ökologischen und ökonomi­ schen Anforderungen der Eawag genüge. Ausgangslage/Aufgabenstellung Die Laborräume waren mit einer Zu­ und Ab­ luftanlage ausgestattet. Die Abluft wurde via Ventilatoren direkt über Dach geführt. Die heute übliche Wärmerückgewinnung war zur damaligen Zeit erst im Entstehen begriffen und im Gebäude von Eawag noch nicht vor­ handen. Deshalb sollen die Räume umgestal­ tet und den neuen Bedürfnissen und Vor­

schriften angepasst werden. Das vorhandene Mobiliar soll so weit wie möglich wiederver­ wendet werden. Davon betroffen sind vor allem die bestehenden Kapellen, welche nach über 40 Jahren Einsatz grösstenteils im­ mer noch in einem guten Zustand sind. Die Anlage soll den neuesten Energie­ und Si­ cherheitsvorschriften genügen und den Komfort sowie die Effizienz für die Benutzer steigern. Die Forschungseinrichtung muss während des Umbaus in Betrieb bleiben. Umbau- und Lüftungskonzept Die drei Geschosse werden etappenweise umgebaut und die Lüftungszentrale im Un­ tergeschoss durch eine neue Dachzentrale ersetzt. Sämtliche Lüftungsanlagen werden

SystemvorteiledesPhoenixVolumenstromreglers – Sicherheit und Komfortsteigerung in einem System – Kosteneffizienz – Interoperabilität – Webunterstützung – Umfassende Berichts­ und Trendfunktion

Funktion des Phoenix VVS: Druckschwankungen im Netz werden durch den Eine alte (r.) und eine neue Kapelle im Einsatz. An der Decke die PhoenixKonus mit integrierter Feder ausreguliert. Volumenstromregler.

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VVS, im Hintergrund eine RenggliLaborkapelle

Phoenix Zuluft VVS mit Waldner Kapelle

komplett ersetzt und den neuen Gegebenheiten angepasst. Die Umbauzeit in drei Phasen beträgt insgesamt 18 Monate. Alle Labor­ und Forschungsräume werden mit einer Lüftungsanlage ausgerüstet. Die Luftmenge wird lastabhängig anhand der Raum­ temperatur geregelt. Die Kapellen in den Labors sind an der glei­ chen Lüftungsanlage angeschlossen. Die Zuluft im Raum wird so geregelt, dass immer die gewünschten Unter­ oder Überdruck­ Anforderungen eingehalten werden. Die Zuluft wird in der Dachzentrale in einem Monobloc aufbereitet und ist über ein KVS­Wärmerückgewinnungs­System mit der Abluft verbunden. Damit wird ein Jahres­Energierückgewinnungsgrad von über 70 Prozent erzielt. Jedes Geschoss und somit jede Umbaue­ tappe hat eine separate Lüftungsanlage. Dies vereinfacht die Ka­ nalführung in die Zentrale, die Umbauetappen beeinträchtigen sich gegenseitig weniger und die Redundanz ist erheblich erhöht. Einsparungen durch Luftmengenreduktion Am meisten Energie­, Anlage­ und Unterhaltskosten werden durch eine Luftmengenreduzierung – das heisst durch Volumenstrome­ gelung – der Laborräume eingespart. Die Laborräume können in vier Typen unterteilt werden: 1. Labors mit Kapellen Die verwendeten Kapellen sind zum Teil neu, zum Teil bestehend und von unterschiedlichen Herstellern. Luftmengenregulierung anhand der Schieberstellung und Raumtemperatur, Einhaltung des Raumdrucks. 2. Labors ohne Kapellen mit Option zum Nachrüsten von Kapellen Luftmengenregulierung anhand der Schieberstellung und Raum­ temperatur, Einhaltung des Raumdrucks. 3. Wissenschaftlabors Einhaltung des Raumdrucks und Luftmengenschiebung anhand der Raumtemperatur. 4. Reinräume Einhaltung des Raumdrucks und Luftmengenschiebung anhand der Raumtemperatur. Die Technologie der Phoenix-Volumenstromregler Das Laborregelsystem von Phoenix Controls ist weltweit das erfolg­ reichste, schnellste und genauste Laborlüftungssystem. Es ist flexibel auf alle Räume und für unterschiedliche Ansprüche einsetzbar. Phoenix kann auf alle gängigen Kapellen aufgebaut werden, um die Lufteintrittsge­ schwindigkeit an der Schieberöffnung konstant zu halten. Am Monitor wird der Bediener über die sicherheitsrelevanten Daten informiert. Die im Volumenstromregler integrierte Regeleinheit kontrolliert Raumtemperatur, Raumdruck, Feuchte, Anwesenheit, Nachtabsen­ kung und gibt die Daten ans Gebäudeleitsystem weiter. Da die Phoenix­Volumenstromregler druckunabhängig arbeiten, ist es ohne Nachjustierung möglich, jeden Raum einzeln umzubauen und in Betrieb zunehmen, auch wenn die anderen Labors an der glei­ chen Lüftungsanlage angeschlossen und in Betrieb sind.

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Hohe Betriebskosteneinsparung Zwei von drei Etappen sind nun in Betrieb. Mit den Phoenix­Volumen­ stromreglern konnte bei Eawag Kastanienbaum die minimale Luft­ menge der Abzüge um bis zu 70 Prozent reduziert werden. Man kann davon ausgehen, dass sich die Schieber zu mindestens 85 Prozent im geschlossenen Zustand befinden und somit, bei einem 24h­Betrieb, Energieeinsparungen im Lüftungsbereich von mindestens 60 Prozent erreicht werden. Bei den Lüftungsanlagen der Eawag kann durch den Einsatz der Phoenix Volumenstromregelung von einer jährlichen Be­ triebskosteneinsparung von mind. CHF 15 000.– ausgegangen wer­ den. Und das ohne Mehrinvestitionen. Die Unterhalts­ und Energie­ kosten konnten mit der neuen Anlage auf ca. 15 Prozent der alten Anlage reduziert werden. Und dies bei gleichzeitiger Erhöhung der Sicherheit und des Komforts für die Benutzer. Die beteiligten Unternehmen: HLK Planer: bAP­Group AG, Luzern Anlagebauer: Alpiq InTec Ost AG, Reussbühl Laborraumregulierung: Durrer­Technik AG, Adligenswil Weitere Informationen Durrer­Technik AG Winkelbüel 3 CH­6043 Adligenswi Hanspeter Widmer Telefon +41 375 00 25 widmer@durrer­technik.ch www.durrer­technik.ch

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Reine Luft ist unser Business.

Messtechnik und -service – Reinraumqualifizierung – Filtersystem-Integritätstest – Instandhaltung und Sanierung – Strömungsvisualisierung Prozessvalidierung – Qualifizierung von thermischen Prozessen Dienstleistungen – Qualitätssicherungsmassnahmen – Validierungsvorschriften – Arbeitsvorschriften – Kundenseminare und Workshops Kalibrierservice – Vertrieb von CLIMET-Partikelzähler und deren Kalibrierung – Kalibrierung von physikalischen Messgeräten

CAS Clean-Air-Service AG CH–9630 Wattwil T +41 (0)71 987 01 01 CAS Clean-Air-Service AG D-52134 Herzogenrath T +49 (0)2407 5656 - 0 CAS Clean-Air-Service AG A- 1120 Wien T +43 (0)1 71728 285 www.cas.ch

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firmenberichte

Abfüllanlagen und Sterilisationsprozesse vor Kondensat schützen Im Produktionsprozess nimmt die sterile Verarbeitung eine immer wichtigere Rolle ein. Wasserstoffperoxid (H2O2) ist eine Substanz, die vorzugsweise bei der Lebensmittel- und Getränkeindustrie sowie auch der pharmazeutischen Industrie für diesen Zweck eingesetzt wird. Kontinuierliche Feuchtemessung ist auch in Wasserstoffperoxid-Atmosphäre möglich. Im Produktionsprozess nimmt die sterile Ver­ arbeitung eine immer wichtigere Rolle ein. Wasserstoffperoxid (H2O2) ist eine Substanz, die vorzugsweise bei der Lebensmittel­ und Getränkeindustrie sowie auch der pharma­ zeutischen Industrie für diesen Zweck einge­ setzt wird. Das anfangs flüssige H2O2 wird verdampft, um in der Prozesskammer als H2O2­Luft­Ge­ misch (sog. H2O2­Atmosphäre) die darin ent­ haltenen Produkte zu sterilisieren. Um das Verfahren optimal zu gestalten, ist es wich­ tig, die Feuchte auch während dieses Sterili­ sationsprozesses zu kennen und gegebe­ nenfalls zu regeln. Zumeist muss eine Betauung des zu sterilisierenden Gutes wäh­ rend dieser H2O2­Phasen vermieden werden.

Es ist jedoch für viele Nutzer von H2O2­Atmo­ sphären ein bekanntes Problem, dass eine Feuchtemessung während der H2O2­Phasen nicht möglich ist. Herkömmliche Feuchte­ Sensoren werden über kurz oder lang zerstört. Die «Notlösung» besteht heute vielfach da­ rin, den Feuchtefühler (inklusive seinem nicht vor H2O2 schützenden Filter) während der Sterilisationsphasen zu demontieren oder dicht einzupacken. Auf dieser Basis ist es selbstverständlich nicht möglich, auch während der H2O2­Phasen den relevanten Feuchtewert zu messen und somit Konden­ sat­Anfall zu vermeiden.

Um welche H2O2-Anwendungen geht es im Einzelnen? – keimfreie Abfüllanlagen (Getränke, Pharmazeutika) – Reinräume – biologische Sicherheitskabinen/­räume – Übergangsschleusen – Operationssäle – Tierforschungsräume – Isolatoren

Lösung: Der «H2O2-beständige Schutzfilter» Mit dem von der Testo AG speziell entwickel­ ten Wasserstoffperoxid­Schutzfilter ist auch bei der Desinfektion eine Feuchtemessung möglich: Dieser H2O2­Filter ist in der Lage, in Luft ge­ löstes H2O2 (sogenannte H2O2­Atmosphäre) katalytisch auf die Bestandteile H2O (Wasser­ dampf) und O2 (Sauerstoff) zu reduzieren. Eine Sättigung kann nicht auftreten. Somit ist neben der Schutzfunktion auch das schnelle Ansprechverhalten der Sensoren dauerhaft gewährleistet (Bild 2).

Bild 1: Der Feuchte-Messumformer testo t6681

Berechnung des Gemisch-Taupunkts Um nun nicht nur ein «Überleben» des Feuchtesensors während der H2O2­Phasen zu sichern (hierfür sorgt der oben beschriebene H2O2­Schutzfilter), sondern auch während der H2O2­Belastung einen verwendbaren Feuchte­Messwert zu erlangen, wird der Gemisch­Taupunkt (°Ctm) berechnet (aus dem gemessenen Feuchtewert der Wasser­ dampf Atmosphäre innerhalb der Filter­ kappe und einem fest eingegebenen Wert für die H2O2 Konzentration der zu verdampf­ ten Lösung). Eine schwerwiegende Gefahr bei der Sterili­ sation besteht in der Kondensation des H2O2–Dampfes, da dieser in flüssiger Form

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Bild 2: Isolator

aggressive Wirkung entfalten kann. Dies ge­ schieht, wenn die Prozesstemperatur unter den Taupunkt sinkt. Die Temperaturdifferenz zwischen Prozesstemperatur und dem Tau­ punkt wird Taupunktabstand genannt. Bei­ spiel: Bei einer Messtemperatur von 50°C und einem Taupunkt von 40°C beträgt der Taupunktabstand 10 Kelvin. Innerhalb der H2O2­Atmosphäre entsteht durch das Gemisch von feuchter Luft und H2O2­Dampf ein sogenannter «Gemisch­ Taupunkt». Je nach Konzentrationsverhältnis H2O2 zu H2O liegt dieser Gemisch­Taupunkt wesentlich höher als der «normale» Wasser­ dampf­Taupunkt. Für den Praktiker heisst das: Der Taupunktabstand wird geringer; die Kondensationsgefahr steigt! Dieser Gemischtaupunkt (°Ctm / °Ftm) wird unmittelbar im Feuchte­Messumformer testo 6681 berechnet. Hierzu kann der Nut­ zer den jeweiligen Gewichtsanteil der flüssi­ gen H2O2 Wasser Lösung über die P2A­Soft­ ware (Parametrier­ und Analyse­Software) eingeben. Der berechnete Gemisch­Tau­ punkt wird über einen dritten Analogaus­ gang (Kanal 3) des Messumformers ausge­ geben. Somit ist es möglich, ausserhalb der H2O2­Bedampfungs­Phasen die «gewöhnli­ chen» physikalischen Grössen zu verwen­ den, z.B. Kanal 1 = %rF bzw. Taupunkt °Ctd sowie Kanal 2 = °C während der H2O2­Phasen den Taupunktabstand zu errechnen über

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Reinraummesstechnik

Bild 3: Die Arbeitsweise des Filters beruht auf der katalytischen Reduktion von H2O2 zu Wasserdampf und Sauerstoff

(Kanal 2 minus Kanal 3), d.h. Prozesstemperatur minus Gemisch­Tau­ punkt. Auf diese Weise kann die Prozesstemperatur so geregelt werden, dass Kondensation zu jedem Zeitpunkt sicher vermieden wird. Die H2O2­beständigen Feuchte­Messumformer (mit Filter und Display, Bild 3) von testo sind in allen relevanten Bauformen erhältlich: – Wandversion – Kanalversion – Kabel­Sonden­Version mit beheiztem Feuchtesensor für Hoch­ feuchteprozesse Somit können Sie mit der kontinuierlichen Feuchtemessung die entscheidende Optimierung Ihres H2O2­Sterilisationsprozesses ideal Ihren Erfordernissen anpassen! Kalibrierung und Qualifizierung: Das Dienstleistungs­Tochterunternehmen der Testo AG, die Testo In­ dustrial Services AG, bietet zudem ein umfangreiches Dienstleistungs­ paket, rund um den Reinraum und dessen Messtechnik: Kalibrierung der Temperatur­/Feuchte­ und Differenzdruck­Messum­ former vor Ort oder in akkreditierten Laboratorien Reinraum-Qualifizierung nach ISO 14644 und VDI 2083 – Reinraumklassenbestimmung – Erholzeitmessung – Filterintegritätstest (Bild 4) – Luftwechselrate – Strömungsmessung – Strömungsvisualisierung Weitere Informationen Testo AG Markus Sauter, Dipl. Ing. (FH) Kalibrierung / Qualifizierung / Messtechnik Isenrietstrasse 32 CH­8617 Mönchaltorf Telefon +41 43 277 66 66 m.sauter@testo.ch www.testo.ch

Hauptsitz: C-tec Cleanroom-Technology GmbH Hegelstraße 33+37 D-72108 Rottenburg am Neckar Tel.: +49 7472-9887-20 Fax: +49 7472-9887-720 E-Mail: public@c-tec.de

Bild 4: Filterintegrationstest

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Büro Österreich: C-tec Cleanroom-Technology GmbH Hunoldstraße 3a A-6020 Innsbruck Tel.: +43 512 343628 Fax: +43 512 343697 E-Mail: public@c-tec.de

Büro Schweiz: C-tec Cleanroom-Technology GmbH Industriestraße 50b CH-8304 Wallisellen - Zürich Tel.: +41 44 83026 50 Fax: +41 44 83026 51 E-Mail: public@c-tec.de


firmenberichte

Modernes Wartungsmanagement für Sensorreinigungssysteme Schätzungsweise 25% der Wartungskosten in der Prozessindustrie werden durch Feldgeräte verursacht. Je nach Serviceanforderungen können Online-pH-Messstellen dabei einen sehr hohen Wartungsbedarf generieren, nicht nur durch den regelmässigen Austausch von Elektroden sondern auch durch Reinigung und Kalibrierung, was pro Messstelle bis zu einer Stunde in Anspruch nehmen kann. Mit der revolutionären Intelligent Sensor Management (ISM) Plattform bietet Mettler Toledo ein vollkommen neues Konzept der pH-Messung und ebnet den Weg für modernes Wartungsmanagement. Was sind die Vorteile der ISM Technologie? Die Verfügbarkeit einer pH­Messstelle wird erhöht, eine höhere Messgenauigkeit und ­reproduzierbarkeit wird erreicht, aufwen­ dige Kalibrierungen vor Ort können vermie­ den werden, Wartungskosten werden deut­ lich gesenkt, die Lebensdauer einer Elektrode wird verlängert. Werkzeuge für die vorausschauende Wartung von pH-Messstellen Armaturen erlauben den Einbau der Senso­ ren direkt in den Prozess. Von einfachen Durchflussgehäusen bis hin zu automati­ schen Sensor­Wechselarmaturen werden Produktionssicherheit und Zuverlässigkeit gewährleistet und dabei die gesetzlichen Anforderungen zu erfüllt. Die automatischen Sensorreinigungs­ und Kalibriersysteme (Bild 2) verbessern ausser­ dem die Prozesssteuerung und ­sicherheit und verringern dabei den Wartungsauf­ wand. Die automatisch oder manuell ausge­ löste Sensorwartung ermöglicht dem Perso­ nal, sich wichtigeren Aufgaben zu widmen. Ausserdem gewährleistet die regelmässige Sensorreinigung und ­kalibrierung eine op­ timale Leistung und lange Lebensdauer. Mettler Toledos statische Armaturen der InFit­Reihe sind in verschiedenen Modellen

erhältlich (Bild 2). Sie erlauben ein einfaches und schnelles Installieren der Elektroden/ Sensoren in Kesseln (von oben und von der Seite), Rohrleitungen und Durchflusskam­ mern. Die Armaturen werden mit passenden Prozessanschlüssen eingebaut und sind mit entsprechenden Elektroden/Sensoren für Messungen von pH, Sauerstoff CO2, Leitfä­ higkeit und Trübung ausgelegt. Sie wurden für chemische, biotechnologi­ sche, pharmazeutische Prozesse und solche in der Nahrungsmittel­/Getränkeindustrie entwickelt. Die InFit761e ist eine statische Armatur für die schnelle und einfache Montage von Sensoren mit Pg 13.5­Gewinde. Das ermöglicht den Ein­ satz einer breiten Palette von pH­Elektroden (Polymer, Gel), O2­ und Leitfähigkeits­Sensoren für Messungen in chemischen, biotechnologi­ schen, pharmazeutischen Anwendungen und solchen in der Nahrungsmittel­/Getränke­ industrie. Die optimale Positionierung des O­Rings garantiert einwandfreie Abdichtung und erlaubt die Durchführung kompletter CIP­ Verfahren, ohne dass dabei die Messbestän­ digkeit beeinträchtigt wird. Die CIP­Versionen der Armaturen, welche in Verbindung unserer Sicherheits­Einschweissstutzen verwendet werden, garantieren einen hohen Schutz für Personal, Ausrüstung und Umwelt.

Durchflussarmaturen Durchflussgehäuse von Mettler Toledo sind in verschiedenen Basismodellen für Rohr­ oder Bypassleitungen erhältlich (Bild 1). Sie ermöglichen das Einsetzen von Elektroden/ Sensoren in Messmedien, entweder direkt oder mittels einer Mettler Toledo InTrac oder InFit Armatur. Eine grosse Auswahl an Materialien, Rohrdurchmessern und Prozess­ anschlüssen ist erhältlich.

Bild 1: Durchflussarmaturen

Bild 2: Einbauarmaturen Sensorreinigungssysteme

Bild 3: Eintaucharmatur

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Wechselarmaturen Wechselarmaturen von Mettler Toledo sind in einer Vielzahl von Modellen für spezifische Prozess­ und Benutzeranforderungen erhält­ lich. Das einfache Einsetzen und Entnehmen der Elektroden/Sensoren geschieht, ohne den laufenden Prozess unterbrechen zu müssen. Zudem sind Armaturen speziell für Prozesse geeignet, bei denen die Sensoren zu Verunreinigung neigen oder über längere Zeit ununterbrochen laufen. Weitere Informationen Mettler­Toledo (Schweiz) GmbH Im Langacher 44 CH­8606 Greifensee Telefon +41 44 944 47 60 salesola.ch@mt.com www.mt.com

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Bedienstationen für Zone 2+22 mit Widescreen-Displays Software in der Prozessleittechnik ist häufig für Breitbildformate optimiert. Stehen für die Abbildung von Prozessbildern lediglich klassische 4:3 Bildformate zur Verfügung, müssen Anwendungen angepasst werden. Bei Monitoren mit Widescreen-Format entfällt diese aufwändige Adaption. Speziell für die Darstellung von komplexen Prozessbildern stehen jetzt VisuNet Bedienstationen mit einer Bildschirmdiagonale von 22 Zoll zur Verfügung. Die Produktlinie VisuNet GMP von Pepperl+Fuchs wird weiter ausgebaut. Spe­ ziell für die Darstellung von komplexen Prozessbildern stehen jetzt VisuNet Bedien­ stationen mit einer Bildschirmdiagonale von 22 Zoll (55,9 cm) auch für explosions­ gefährdete Bereiche entsprechend Zone 2 und 22 zur Verfügung. So wird das gesamte Spektrum von Anforderungen an Bedien­

stationen für regulierte Industrien abge­ deckt: Sicherer Bereich oder Zone 2/22, klassisches 19 Zoll (48,3 cm) oder 22 Zoll (55,9 cm) Display, Panel­PCs, Remote­Moni­ tore und Monitore mit oder ohne KVM­Ex­ tender. Insgesamt sind damit elf verschie­ dene Bedienstationen im Angebot, die unter GMP­Bedingungen eingesetzt wer­ den können.

Neu: VisuNet Bedienstationen Die neuen VisuNet Bedienstationen unter­ stützen ein Format von 16:10 bei einer Auf­ lösung von 1.680 x 1.050 Pixeln. Sie sind für den explosionsgefährdeten Bereich als Panel­PCs sowie als netzwerkfähige Remote­ Monitore verfügbar. Sie können in explosi­ onsgefährdeten Bereichen entsprechend Zone 2 und 22 (ATEX) eingesetzt werden und

Die Drei Schritte

ERLEUCHTEND Ein Gespräch mit Ihrem Shield Medicare Ansprechpartner könnte aufschlussreicher werden als erwartet.

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System SCHRITT 1 Desinfizieren (Disinfect) SCHRITT 2 Erkennen (Detect) SCHRITT 3

Eliminieren (Eliminate) Ihr Shield Ansprechpartner zeigt Ihnen, wie Sie sich vor einem Produktrückruf aufgrund von Reinigungsrückständen schützen, dabei Fehlchargen vermeiden, sowie Zeit und Geld sparen können. Sie werden dabei ausführlich über das DDESystem von Shield Medicare informiert. Die innovative UV

Reinigungsvalidierungslampe ist ein Teil unseres einfachen drei Schritte Systems. Die Lampe wirft Licht auf schlecht erkennbare Rückstände und ermöglicht es dem Benutzer, Rückstände effektiv zu entfernen und den Reinraum ultimativ gereinigt zu hinterlassen.

Tel: +44 (0)1252 717616 Email: enquiries@shieldmedicare.com www.shieldmedicare.com © Ecolab 2012 4868/02.12

Sie planen die Umsetzung des DDE Systems? Wir beraten Sie gerne. Weitere Informationen finden Sie auch auf unserer Webseite unter www.ddesystem.com Biozide sicher verwenden und vor dem Gebrauch immer die Kennzeichnung und Produktinformation lesen.


VisuNet GMP im Ăœberblick – Bedienstation fĂźr regulierte Industrien – Widescreen­Displays fĂźr Zone 2 und 22 –Panel­PC oder Remote­Monitore verfĂźgen Ăźber eine entsprechende Zulas­ sung. Zahlreiche länderspezifische Tastaturlayouts, Mausversionen sowie Montagevarianten ste­ hen zur VerfĂźgung und sind miteinander kombinierbar. Die Bedienstationen sind fĂźr die Gehäuseschutzart IP65 ausgelegt. GMP-konforme Konstruktionsmerkmale Die Produktlinie VisuNet GMP ist fĂźr den Ein­ satz in regulierten Industrien entwickelt wor­ den. Alle Konstruktionsmerkmale orientieren sich an aktuellen GMP­Richtlinien (EudraLex Volume 4, Chapter 3). GMP steht fĂźr ÂŤGood Manufacturing PractiseÂť und bezeichnet Richtlinien zur Qualitätssicherung der Pro­ duktionsabläufe, wie sie beispielsweise von der Europäischen Kommission sowie der US­ amerikanischen FDA herausgegeben werden.

Bild 1: VisuNet GMP – jetzt auch mit Widescreen-Display fßr den Ex-Bereich

Weitere Informationen Pepperl+Fuchs GmbH Lilienthalstrasse 200 D­68307 Mannheim Telefon +49 621 776­2222 pa­info@de.pepperl­fuchs.com www.pepperl­fuchs.com


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Rasch zu reinigende Wägezellen Hygiene ist bei Lebensmitteln und Medikamenten Pflicht und beginnt bereits beim Design und Aufbau von Produktions- und Abfüllanlagen. Denn eine geeignete Konstruktion und passendes Material verhindern Ablagerungen und vereinfachen die Reinigung. Anforderungen, die die neue hygienische Wägezelle PW27 von HBM erfüllt. Autor Eckhard Akkermann, HBM Sichere, saubere Lebensmittel und Medika­ mente sind das Ziel einer aseptischen Fer­ tigung und Verpackung. Hygienisch auf­ gebaute, leicht zu reinigende Anlagen verhindern Cross­Kontamination, d.h. die Verunreinigung mit Stoffen aus vorangegan­ genen Produktionsläufen. Die Lebensmittel­, Pharma­ und Bioindustrie produziert des­ halb nach Richtlinien wie GMP (Good Manu­ facturing Practice) und anderen gängigen Standards. Organisationen wie die FDA (Food and Drug Administration) oder die EFSA (Europäische Behörde für Lebensmit­ telsicherheit, European Food Safety Autho­ rity) sorgen für ihre Einhaltung und Aktuali­ sierung. Hygiene beginnt bereits beim Design Die EHEDG – European Hygienic Engineering and Design Group – hat dazu eine Richtlinie zur Gestaltung für hygienegerechte Maschi­ nen, Apparate und Komponenten herausge­ geben. Hygienisches Design ist besonders wichtig an Stellen, an denen eine Kontami­ nation des Produktes möglich ist. Bakterien siedeln sich gerne an rauen Oberflächen an, sie brauchen Wasser und N ährstoffe, um sich zu vermehren. Das bedeutet im Umkehr­ schluss: glatte Oberflächen und gut zugäng­ liche Geometrien, die sich leicht reinigen lassen, verhindern eine bakterielle Ver­ schmutzung.

Die Wägezelle PW27 (Bild 1) ist EHEDG­zerti­ fiziert und damit für den Einsatz in Wäge­ systemen der Lebensmittel­, Pharma­ und Bioindustrie geeignet. Effizienz dank kurzer Reinigungszeiten Kürzere Reinigungszeit, damit weniger Anla­ genstillstand, bedeutet eine reale Effizienz­ steigerung der Produktion. Die Wägezelle PW27 macht deutliche Produktivitäts­ sprünge bei aseptischen Anlagen möglich. Die Anforderungen an automatische Ver­ wiege­ und Verpackungsanlagen sowie Füll­ und Dosiermaschinen steigen – immer mehr Branchen stellen höchste Ansprüche an die hygienischen und aseptischen Eigenschaf­ ten der Bauteile und Anlagenelemente. Die Produktqualität steigt mit der Produkt­ reinheit. Hygiene wird zum Wettbewerbsfak­ tor, da eine schnelle Reinigung die Stand­ zeiten reduziert. Auch aktuelle Gesetze, Richtlinien und Qualitatsvorgaben verschär­ fen die Hygienestandards. Hier kommt HBM mit den speziell für aseptische und hygieni­ sche Anwendungen entwickelten Wägezel­ len PW25 und PW27 ins Spiel. Rundum geschützt Als Weltneuheit in den Wägebereichen 10 und 20 kg sind beide Typen IP68 bzw. IP69K geschützt und haben eine im Messkörper­ integrierte, gekapselte Überlastsicherung. Die Oberflächen und die Güte der verwen­ deten Materialien sind für sensitive Bereiche zugelassen. Die hermetisch abgekapselten Wägezellen können mit Hochdruck­ Dampf­

Bild 1: Die Wägezelle PW27 von HBM ist eine aseptische Einheit mit EHEDG Zertifikat

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PW27 im Überblick Kürzere Reinigungszeiten, höhere Produktqualität mit den neuen aseptischen Wägezellen – EHEDG zertifiziert (European Hygienic Engineering & Design Group) – Design nach hygienischen Gesichts punkten: Hermetisch geschlossen und IP68/IP69 geschützt – Lebensmittelverträglicher Edelstahl – Unzerstörbar durch integrierten Überlastschutz – Perfekt für ssr Mehrkopfkombinations­ waagen – Aseptische Ausführung für ssr: höchste Sicherheit – Für feuchte, aggressive Umgebung geeignet – Edelstahlgehäuse mit IP68 / IP69K Schutz – Nennlast 10 kg und 20 kg – Leicht zu reinigen strahlreinigern oder chemischen Mitteln gereinigt werden, auch eine Verwendung in CIP­Anlagen (Cleaning­in­Place) ist möglich. Aseptisch im Standardmass Die PW25 entspricht industriellen Standards und kann ohne konstruktiven Aufwand in bestehende Anlagen integriert werden. Die zusätzlich nach EHEDG­Anforderung ge­ prüfte und zertifizierte PW27 überzeugt durch ihre hygienischen und aseptischen Eigenschaften. Selbst das Kabel und die Verschraubung er­ lauben eine Verwendung im aseptischen Bereich einer Anlage. Weitere Informationen Hottinger Baldwin Messtechnik GmbH D­64293 Darmstadt Telefon +49 6151 8030 info@hbm.com www.hbm.com

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Vertieftes Wissen zum Thema Reinraum Am 26. Januar 2012 fand am ZHAW Campus in Wädenswil die Reinraumtechnik-Vertiefungsschulung der SwissCCS Schweizerischen Gesellschaft für Reinraumtechnik (SRRT) statt. Autor: Werner Straub Leiter Verkauf Reinraumtechnik Cofely AG 13 Teilnehmer aus der Reinraumbranche drückten noch einmal die Schulbank, um sich intensiv mit Normen und Richtlinien, Anlagenkonzepten, dem Mensch im Rein­ raum und der Messtechnik zu beschäftigen. SWISSCCS/SRRT organisiert jedes Jahr eine Schulungsreihe zur Reinraumtechnik, um Fachleute und Interessierte auf dem Gebiet der Reinraumtechnik zu schulen. Von den Grundlagen der Reinraumtechnik bis hin zu Normen und Klassierungen reichten die ver­ schiedenen Fachvorträge. Die Referenten Alexandra Stärk, dipl. Ing. Novartis, Arnold Brunner, dipl. Ing. SIA, Brun­ ner Haustechnik AG, Werner Straub, dipl. Ing., Cofely AG und Norbert Otto, C­tec Cleanroom­Technology GmbH waren mit viel Engagement dabei. Das Ziel des Vertiefungskurses ist die Erwei­ terung und Fortsetzung des Reinraumtech­ nik­Basiswissens aus dem Grundkurs vom November mit mehr Fachwissen und Er­ kenntnissen aus der Praxis. In der Schweiz würden Arbeitgeber wohl kaum wegen einer zweitägigen Schulung auf den Mitarbeiter verzichten wollen. Die Distanz zum Tagungsort ist in der Schweiz meist auch kein Thema. Deshalb bietet SwissCCS (SRRT) den Kurs an zwei einzelnen

Tagen an. Allerdings haben wir dann Teilneh­ mer – zwar mit Vorkenntnissen in der Rein­ raumtechnik – am Vertiefungskurs, die evtl den Basiskurs nicht besucht haben. Das be­ deutet, dass ein paar Wiederholungen zum Lehrstoff aus dem Basiskurs vorkommen müssen um alle Teilnehmer auf einen glei­ chen Wissenstand zu heben. Die Teilnehmer des Vertiefungskurses erhal­ ten ein Buch mit einem VDI 2083 Richtlinien Auszug (Wert ca CHF 400.–).

– der Qualitätssicherungsbeauftragten der NOVARTIS Stein und anschliessend wer­ den zwei original Schulungsfilme über Einkleidung und Verhalten für das Perso­ nal im Sterilraum gezeigt. – Der Teil Messtechnik Protokolle und Doku­ mentation wird anschliessend erweitert dargestellt. Er endet mit einem Besuch im Reinraum mit einer Demonstration von Messgeräten anhand eines In­Situ Filter­ Scan­Tests «Integrationstests».

Welche Themen wurden behandelt? Allgemeine Fragestellungen der Reinraum­ technik wurden im Kurs mit den folgende Themen mit viel Fachwissen untermauert:

Resumé Die Teilnehmer kamen von Reinraum­Anwen­ dern (4) sowie auch von Lieferanten von RR­Dienstleistungen (6) und RR­Ausrüstung (3) Die Schulung an der ZHAW Wädenswil wurde mit einem im Betrieb stehenden Rein­ raum für Mikrobiologie/Pharma Anwendung wertvoll ergänzt. Ihren Wissensstand konnten die Teilnehmer am Ende der Schulung mittels eines Tests überprüfen. Sie erhielten ein Schulungszerti­ fikat über einen erfolgreich absolvierten Kurs.

– Im Normen/Richtlinien Teil wird mehr über die GMP Richtlinien informiert mit Anforde­ rungen von den Gesundheitsbehörden an die Dokumentation der Reinraumanlagen. Wie ist der Projektablauf mit welchen Do­ kumenten und Protokollen. Was ist der In­ halt eines VMP Validierungs MasterPlans. Risikoanalysen als wichtiger Teil des Quali­ fizierungsplans. – Im Teil Konzepte Anlagen wird mehr aus der Praxis informiert: Strömungen, Bei­ spiele von Anwendungen, etc. – Der Mensch im Reinraum: die Teilnehmer erhalten eine kompetente Einführung in die Mikrobiologie von Kontaminationen bzgl Hygiene und Partikelabgabe von

Bild 1: Referent Werner Straub von Cofely erläuterte Wissenswertes zum Thema Kontaminationen, Normen und Richtlinien

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Der Basiskurs 2012 wird am 6. November 2012, diesmal neu an der HS Luzern in Horw, ebenfalls mit der Begehung eines Reinrau­ mes und mit Strömungsdemonstrationen am TAV stattfinden. Weitere Informationen www.srrt.ch

Bild 2: Demonstration von Messgeräten anhand eines In-Situ Filter-ScanTests «Integrationstests» mit Referent Norbert Otto.

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veranstaltungen

Lounges und Vision Pharma 2012 Mehr als 250 ausstellende Firmen präsentierten sich an den Lounges in Karlsruhe, deren Thema das reine Prozessumfeld war. Die Lounges, die vom 28. Februar bis 1. März 2012 stattfanden, umfassten in diesem Jahr auch die Vision Pharma mit Herstellungsprozessen rund um die Pharmabranche. Die Lounges waren wieder eine gelungene Veranstaltung und endeten mit zufriedenen Gesichtern. Gespräche mit den Fachbesu­ chern und Ausstellern bestätigen diesen Eindruck. Auf über 200 Vortragsveranstaltungen, bei 250 ausstellenden Firmen, an vielen Ak­ tionsbühnen sowie bei den Abendveranstal­ tungen hatten die über 5000 Fachbesucher Gelegenheit, sich über die neuesten Pro­ dukte, aber auch die Branchentrends zu in­ formieren. Damit präsentierten sich die Lounges wieder als Community­Treffpunkt in einer ent­ spannten, ruhigen Atmosphäre. Lounges 2012 Die branchenübergreifende Plattform infor­ mierte über reine Umgebungsbedingungen bei der Herstellung und dem Prozess oder anderen kontaminationsrelevanten Berei­ chen. Sie umfasste die Themen Reinraum­ & Gebäudetechnik, Facilitymanagement & Au­ tomation, Hygiene & Hygienic Design, Was­ ser & Medien und Energiekonzepte. Aktuelle Entwicklungen bei den Regelwer­ ken, das Qualitätsmanagement und die Vali­ dierung in den verschiedenen GxP Bereichen sowie Schädlingsbekämpfung waren Teil des umfangreichen Vortragsprogramms. Mini­ environments für die Halbleiterfertigung wurden dabei ebenso thematisiert wie die Überwachung von Reinstwasseranlagen so­ wie Hygienemassnahmen. Die Umsetzung

Bild 1: Messeimpression

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von Energiekonzepten stand für dieses Mal hoch oben auf der Tagesordnung. Die HygieniCon stand unter der Schirmherr­ schaft des EHEDG. Sie überzeugte mit einer Aktionsbühne und einer Bar sowie einer Aus­ stellung EHEDG­zertifizierter Produkte. Das tägliche «Weisswurst­Essen» war eines der Highlights an der Veranstaltung. Vision Pharma Gleichzeitig mit den Lounges fand die Vision Pharma statt. Die äusserliche Familienähn­ lichkeit ist gewünscht. Der entscheidende Unterschied ist natürlich der Themenbereich: Während die Lounges sich um die prozessbe­ gleitenden Technologien des Reinraums und von Facility kümmern, konzentriert sich Vision Pharma auf den pharmazeutischen Herstellungsprozess selbst. Sie präsentierte ein hochkarätiges Programm, gemeinsam zusammengestellt mit Vertretern aus Behör­ den, Ausstellern und Anwendern. Die gemeinsamen Abendveranstaltungen mit Fachbesuchern und Anbietern boten eine ideale Gelegenheit zum Small Talk und zur Vertiefung der Programmpunkte. Die Veranstaltung umfasste eine Vortrags­ session mit fachbezogenen Vorträgen für Neueinsteiger und Experten, Podiumsdis­ kussionen zum Erfahrungsaustausch und Aktionsflächen zum Mitmachen: «Learning by Doing». Themenschwerpunkte waren in diesem Jahr Herstellung, Verpackung und Transport, GxP

Bild 2: Ein grosses Thema an den Lounges: Die Vorgehensweise bei Reinigung und Hygienekontrolle im Reinraum fand grosses Interesse bei den Besuchern

und QS. Mit den Themenfeldern Best Manu­ facturing Practise, Packaging (Verpackung und Logistik), Analysensysteme) Prozess­ technologie sowie GXP­Compliance (Richtli­ nien und Regelwerke) bildet die Vision Pharma den pharmazeutischen und biotech­ nologischen Verarbeitungs­ und Herstel­ lungsprozess ab. Alle diese Themen wurden auch innerhalb der Ausstellung, und den Diskussionsforen aufgegriffen. Es ist zu hoffen, dass die Messeleitung im nächsten Jahr zu Spitzenzeiten einen Shuttlebus einsetzt, denn die Tramfahrt vom Bahnhof zum Messegelände dauert ein­ schliesslich Fussweg eine Stunde – definitiv zu lang. Weitere Informationen www.new­lounges.de

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veranstaltungen

InPulse: Neue Weiterbildungs- und Kontaktplattform für die Life-Science Prozesstechnikbranche Die InPulse, die vom 26.–27. 9. 2012 in Basel stattfindet, dient dem themenübergreifenden Wissensaustausch unter Life-Science Prozesstechnik-Fachleuten und der Vernetzung innerhalb der Branche. Ein wichtiger Schwerpunkt ist dabei die Reinraumtechnik. Am 26. und 27. September 2012 treffen sich an der Messe Basel Fachleute der Prozess­ technik­Branche zur ersten InPulse. Ziel der hochkarätigen Weiterbildungsangebote und Produktinformationen sind die berufliche Wissensvermittlung, die Kontaktpflege und die Fokussierung auf die Praxis der verschie­ denen Disziplinen. Die InPulse wird als jähr­ lich stattfindende Plattform organisiert. Sie ergänzt das Angebot der im Dreijahresrhyth­ mus stattfindenden Ilmac, Fachmesse für Prozess­ und Labortechnologie, um einen anhaltenden und angeregten Austausch zwischen Fachleuten der Prozesstechnik zu ermöglichen. «Wir stellen fest, dass die einzelnen Fachbe­ reiche der Prozessindustrie trotz vieler Ge­ meinsamkeiten noch nicht optimal unter­ einander vernetzt sind und damit ein wertvolles Synergiepotenzial brachliegt. Mit der InPulse wollen wir einen zentralen Bei­ trag leisten, dass alle zum einzigartigen Er­

fahrungsschatz des Werkplatzes beitragen und davon profitieren können», so Robert Appel, Veranstaltungsleiter der InPulse. Neuartige Kombination Das Konzept der Weiterbildungsveranstal­ tung beruht auf einer Kombination von Wis­ sensvermittlung in aktuellen Themen durch die Themenpartner (Weiterbildungsorgani­ satoren), dem Networking mit Vertretern anderer Disziplinen und dem Erfahrungsaus­ tausch mit den Gastgebern( Ausstellern). – Themenpartner sind fünf Fachverbände und Organisationen wie die SCG, Schwei­ zerische Chemische Gesellschaft, die SGVC, Schweizerische Gesellschaft für Ver­ fahrens­ und ChemieingenieurInnen, die SCC, bekannt unter Swiss Cleanroom Con­ cept, die Swissi für Process Safety und SwissTS für Sicherheits­ und Umwelttech­ nik, die jeweils ihr eigenes Weiterbildungs­

Zentrale Networking-Lounge mit den Kontaktstützpunkten«StandPunkt» an der Messe

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programm an der InPulse anbieten. Die Themenpartner sind verantwortlich für ihre Themen und Referenten und bewer­ ben die Teilnehmer anhand eigener Da­ tenbanken. – Lösungsanbieter können als Gastgeber an der InPulse direkt potenzielle Kunden an­ sprechen, bestehende Kontakte vertiefen und ihre Expertise vorstellen. – Die Teilnehmer der InPulse profitieren von der konzentrierten Wissensvermittlung in ihrem Fach, der Möglichkeit, sich im per­ sönlichen Gespräch einen Überblick über den Marktplatz und passende Produkte zur Lösung ihrer Probleme zu verschaffen und dem Erfahrungsaustausch mit Vertre­ tern der eigenen und benachbarter Fach­ bereiche innerhalb der Prozesstechno­ logie. Die InPulse beschreitet Neuland und kombi­ niert mehrere Formate auf einer Plattform: Die zentrale Networking­Lounge ist der Treffpunkt für alle Teilnehmer und unter­ stützt den interdisziplinären Austausch (siehe Interview). In fachspezifischen Wei­ terbildungsmodulen vermitteln Referenten von führenden Fachverbänden, Universitä­ ten und Unternehmen praxisnahes Wissen und interessante Ansätze zur Diskussion. Den Fachanbietern als Gastgebern bietet die InPulse vielfältige Gelegenheiten zu lö­ sungsorientierten Gesprächen mit einem interessierten Fachpublikum.

Weitere Informationen MCH Messe Schweiz (Basel) AG Robert Appel, Veranstaltungsleiter InPulse CH­4005 Basel Telefon +41 58 206 23 70 robert.appel@InPulse.ch www.InPulse.ch www.swisscleanroomconcept.ch

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Weiterbildung und mehr Interview über die neue Weiterbildungs- und Kontaktplattform InPulse mit Veranstaltungsleiter Robert Appel CCR: Was ist das Ziel der Aussteller?

CCR: Die erste InPulse-Plattform startet im September 2012 in Basel. Wie kamen Sie auf die Idee, eine Wissens- und Kontaktplattform für die Prozessindustrie ins Leben zu rufen?

Appel: An eine Messe gehen Sie heute nicht mehr, um vor Ort Aufträge hereinzuholen. Das war früher so, als man die Auftragsbü­ cher während der Messe füllte. Heute läuft das anders: Als Teilnehmer schaut man sich an der Messe die Produkte und den Markt an, macht Bekanntschaften und dann gilt es für die Aussteller, nach dem Anlass die Bekannt­ schaften bis hin zum Geschäftsabschluss zu intensivieren. Das funktioniert an der In­ Pulse­Plattform gleich wie an einer Messe.

Appel: Mit der InPulse möchten wir die Wei­ terbildung und andererseits das Networking fördern. Denn wer an eine Messe, wie bei­ spielsweise die ILMAC geht, der setzt sich nicht einen halben Tag in Vorträge. Er ist dann primär an der Marktübersicht, Pro­ duktschau und an potenziellen Lieferanten interessiert. Ich habe begonnen, nach einer Form zu su­ chen, die andere Grundbedürfnisse abdeckt, weg von einer reinen Produktschau hin zur Weiterbildung. Gleichzeitig wollen wir an der InPulse die Aussteller direkt einbeziehen, indem sie nicht jede Schraube zeigen, die sie verkaufen, sondern mit ihrem Fachwissen einfach dort sind und Kontakte knüpfen, teil­ nehmen an dem Networking, das dort statt­ findet. CCR: Wie unterstützen Sie während der Veranstaltung die Vernetzung? Appel: Wir bieten verschiedene parallele Weiterbildungsmodule an. Das Konzept ist, dass ausserhalb der Weiterbildungsmodule, in den Pausen und während der Mittagszeit, ein «Get­together» stattfindet. Die Teilneh­ mer, die die verschiedenen Kurse besuchen, können dort untereinander Kontakte knüp­ fen und auffrischen sowie mit den Experten sprechen. Wir organisieren die Veranstaltungen nicht selber, sondern wir laden Verbände und An­ bieter von Schulungen ein, die Weiterbil­ dung durchzuführen. Sie schreiben ihre nor­ malen Kurse aus und bieten sie neu an der InPulse an. Die Messeleitung Basel stellt die Räumlichkeiten und die Lounge als zentralen Treffpunkt zur Verfügung. Sie sorgt für das Zusammentreffen. Zusätzlich werden wir über die Veranstaltung hinaus versuchen, die Vernetzung der Teilnehmer über eine eigens geschaffene Gruppe auf XING zu fördern. Veranstalter sind die Schweizerische Chemi­ sche Gesellschaft, SCG, die Schweizerische Gesellschaft für Verfahrensingenieure, SGVC, SwissTS, Swissi mit Vorträgen über Laborsi­ cherheit und als Schwerpunkt eben auch Contamination Control mit Swiss Cleanroom Concept SCC. Die Veranstalter der Weiterbil­ dungen laden direkt die Teilnehmer ein und sind für die Inhalte zuständig, was eine hohe

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CCR: Wie unterstützen Sie die Vernetzung unter den Teilnehmern der verschiedenen Disziplinen?

Robert Appel, Veranstaltungsleiter der InPulse

thematische Kompetenz und Relevanz ga­ rantiert. CCR: Welche Rolle spielen die Aussteller? Appel: Die Messeleitung rekrutiert die Aus­ steller, die an der InPulse eher die Rolle eines Gastgebers einnehmen. Sie werden auf­ grund der jeweiligen Thematik eingeladen. Für die Platzierung der Gastgeber haben wir uns etwas ganz Neues ausgedacht: Sie sind im Bereich rund um die Lounge platziert und sprechen von dort aus die Teilnehmer an. Eine eigens entwickelte Theke mit Rückwand («InPulse StandPunkt») dient als Kontakt­ stützpunkt, an dem die Gastgeber ihre Kon­ takte knüpfen und vertiefen können. Diese StandPunkte können flexibel angeordnet werden. Für die Aussteller besteht der Vorteil im Networking unter Insidern. CCR: Wieviele Gastgeber werden an der InPulse teilnehmen? Appel: Unser Ziel sind 40 Gastgeber, die sich an der Plattform beteiligen. Wir sprechen gezielt die Prozesstechnikin­ dustrie an. Wir möchten natürlich die grösst­ mögliche Schnittfläche zwischen Teilneh­ mern und Gastgebern herstellen. Es geht für sie darum, Kontakte aufzunehmen respek­ tive zu vertiefen.

Appel: Wir sprechen dieselbe Besucherziel­ gruppe und dieselbe Ausstellerzielgruppe an wie die Ilmac. Wir sagen ja auch: «InPulse – powered by Ilmac». Ich als Messeleiter möchte die Ilmac voll auf den Messecharak­ ter konzentrieren, denn das ist das Kernge­ schäft. Auf der anderen Seite möchten wir auch die Weiterbildung betreiben und gleichzeitig die Aussteller daran beteiligen. Diese Möglichkeit schaffen wir nun mit der InPulse. Die Teilnehmer der InPulse können Kurse und Seminare auswählen und trotz­ dem das Networking pflegen wie an einer Messe. Da die Teilnehmer aus den verschie­ denen themenverwandten Bereichen kom­ men, ist unser Ziel, auch die Vernetzung über Themengrenzen hinweg zu fördern und Sy­ nergien freizulegen. Die Veranstaltung ist national sowie regional konzipiert. Die Teilnehmer kommen aus der Schweiz und aus dem angrenzenden Aus­ land. Wir haben hier den Vorteil einer Grenz­ region. Unter den ausländischen Teilnehmern kom­ men viele aus Deutschland. Dementspre­ chend wird die Ilmac in Deutschland als «süddeutsche» Messe wahrgenommen. Bei der InPulse haben wir dieselben Zielgrup­ pen. Die Teilnehmerbeteiligung ist abhängig vom Fach. CCR: Wie finanzieren Sie die Veranstaltung? Appel: Es gibt einen Mix: Einerseits über die Teilnehmergebühren der Besucher, anderer­ seits durch die Gastgeber, die natürlich mit ihrer Präsenz die InPulse mitfinanzieren helfen. CCR: Vielen Dank!

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ICCCS 2012 in Zürich Clean Technologies – What is the Future? Am 3. September 2012 eröffnet die SWISSCCS/ SRRT das internationale Symposium zur Reinraumtechnik an der ETH Zürich: Ein viertägiger Höhepunkt für alle Reinraumtechnikinteressierten. Nun ist es endlich wieder soweit: Erstmals nach 20 Jahren findet wieder ein ICCCS Sym­ posium in der Schweiz statt! Gemeinsam mit mit der ETH als Partner wird es organisiert. Treffen von Reinraum-Experten Auch das Thema ist vielversprechend: Clean Technologies – wie sieht die Zukunft aus? Das Zürich Symposium bietet vom 3.–7. Septem­ ber 2012 eine einmalige Gelegenheit, Spezia­ listen und Kollegen aus der ganzen Welt hier in der Schweiz zu treffen. Der Konferenz­Vor­ sitzende, Hans Zingre, lädt besonders auch Schweizer Fachleute ein, Abstracts zu den am Schluss erwähnten Themen einzureichen. Arbeitsgruppen und technical Committees Darüber hinaus wird das Treffen für Arbeits­ gruppen und Technical Committees, wie zum Beispiel: ISO TC 209 & TC 142, ICCCS CoD & ICEB Meetings, VDI­Ausschuss FA RRT und andere genutzt.

Für den Vorstand von SWISSCCS steht die Planung und Durchführung des «Internatio­ nal Symposium on Contamination Control 2012» im Vordergrund. In enger Partner­ schaft mit dem Institut für Quantenelektro­ nik der ETH Zürich unter Leiter Prof. Jerome Faist, der International Confederation of Con­ tamination Control Societies und unter ope­ rativer Leitung eines professionellen Fach­ sekretariats wird eine globale Plattform für aktuelle Fragen und Entwicklungen der Rein­ raumtechnologie geschaffen. Werden Sie Teil davon! Informationsaustausch Bereits wurden 60 Vorträge eingereicht, un­ ter denen die Organisatoren eine geeignete Auswahl treffen. Unter Ihnen Themen wie: – « ... A new technique has been developed to investigate particle generation, dissemination, and concentration

Highlights – – – – – – – – – – – – – – – – –

Microelectronics and MEMS Micromechanics and optics Filtration Separative devices (isolators) Nanotechnology Chemical contamination, ACC & SCC Clean technologies Safety and environment Robotics Automation Research and development Metrology and simulation Standardization, codes, and policies Pharma and medical devices Health care and hygiene Food and beverage Engineering, energy, systems and equipment – Cleaning and services

QUELLE: COPYRIGHT ETH ZÜRICH

(counting) using a laser light sheet and image visualization». – « ... nanoparticles may bounce through filters due to their high thermal energy.» – « ... new developments in the field of particle deposition monitoring equip­ ment.»

Das letzte Symposium dieser ICCCS­Serie fand 2010 in Tokyo, Japan, statt. An dieser Veranstaltung nahmen 240 Teilnehmer aus ca. 20 Ländern teil.

ETH Zürich

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Weitere Informationen ICCCS 2012 Zürich Int. Symp. on Contamination Control 2012 ETH Zurich Telefon +41 76 345 64 44 moser@scienceservices.ch www.icccs2012.ethz.c www.scienceservices.ch/

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Messe Frankfurt startet neue Kongressmesse Cleanzone Vom 24.–25.10.2012 findet an der Messe Frankfurt die Cleanzone statt. Diese Fachmesse mit begleitendem Kongress wird als neue Plattform für die vielseitigen Anwendungsgebiete der Reinraumtechnologie etabliert. Reinräume als mikropartikelfreie Räume finden in unterschiedlichen Bereichen, von der Pharma­ über die Lebensmitteltechnologie bis hin zu den verschiedenen Zweigen der Computer­ und Elektronik­ industrien Anwendung. «Mit der Cleanzone schaffen wir am Standort Frankfurt eine neue Plattform für die wachsenden Anwendungsbereiche der Reinraum­ technologie», sagt Wolfgang Marzin, Vorsitzender der Geschäftsfüh­ rung der Messe Frankfurt, «und hierfür wollen wir auch unser Aus­ stellernetzwerk nutzen.» Mit gutem Ausstellernetzwerk zum Erfolg Klaus Reinke, als Mitglied der Geschäftsleitung der Messe Frankfurt Exhibition GmbH verantwortlich für die neue Veranstaltung, ergänzt: «Unsere Ziele bestehen darin, der Branche ein ideales Umfeld für die Anbahnung von Kooperationen, die Vertiefung von Fachwissen so­ wie die Präsentation der neuesten technologischen Entwicklungen zu schaffen. Daher wird die Fachmesse von einem umfangreichen Angebot an Vorträgen und Workshops begleitet.» Fachlich wird die Messe Frankfurt bei der Cleanzone von der Rein­ raumakademie Leipzig unterstützt.

Schleusen- und Dekontaminationssysteme für sichere Endprodukte Als Systemlieferant für Schleusen- und Dekontaminationsprozesse verfügen wir über eine ausgewählte Produktpalette zur Schaffung von Reinheit.

Unser Produktportfolio: Material- und Personenschleusen Isolatoren Laminarflow-Anlagen Raumdekontamination mobil und stationär Für unsere Kunden schaffen wir dadurch reine und hochwertige Produktionsprozesse für sichere Endprodukte.

Ortner Reinraumtechnik GmbH Uferweg 7 • A 9500 Villach • Tel: +43 4242 311660-0 Fax: +43 4242 311660-4 •reinraum@ortner-group.at www.ortner-group.at Reinraumanwendung CMR-Isolator für die Arbeit mit Zytostatika

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Auf der Cleanzone werden Branchen und Querschnittsbereiche ausstellen, die sich auf besondere Anforderungen in und um den Reinraum spezialisiert haben. Dazu gehören z.B. Hersteller von Reinraumanlagen, ­technik und Baukomponenten wie Türen, Wänden oder Beleuchtung. Auch Anbieter von Arbeitsplatzeinrichtungen und Händler von Verbrauchsmaterialien wie Bekleidung oder Reinigungsmitteln werden auf der Fachveran­ staltung zu finden sein. Weiterhin gehören Dienstleistungsunternehmen aus den Berei­ chen Schulung, Beratung, Wäscherei und Software zu den Zielgruppen. Überblick über alle Reinraumprozessstufen für die Messebesucher Die Entscheidungsträger der Branche kön­ nen sich auf der Cleanzone einen Überblick über alle Prozessstufen verschaffen, von der Planung über den Bau bis hin zum Betrieb eines Reinraumes. Dabei bietet die Fachmesse Ideen, Produkte und Lösungen für die verschiedenen Pro­ zesse und verhilft durch praktische Vorfüh­ rungen zu Entscheidungsgrundlagen. Durch die Betrachtung und Thematisierung aller reinraumrelevanten Branchen wird ein Aus­ tausch mit den verschiedensten Anwendern ermöglicht. Zusätzlich soll während des Fachkongresses wissenschaftlich fundiertes Wissen vermit­ telt werden, frei von Produktpräsentationen.

QUELLE: MESSE FRANKFURT

Weitere Informationen Cleanzone Messe Frankfurt Anja Diete Veranstaltungsmanagement Cleanzone Telefon +49 69 7575 6888 anja.diete@messefrankfurt.com www.cleanzone.messefrankfurt.com

Wegweisend – Schauen Sie rein!

Impressum Erscheinungsweise 6. Jahrgang Erscheint 2 x jährlich (und in Ergänzung alle 2 Monate der elektronische ccr-Newsletter). Zur Veröffentlichung angenommene Originalartikel gehen in das ausschliessliche Verlagsrecht der bw medien ag über. Nachdruck, fotomechanische Vervielfältigung, Einspeicherung in Datenverarbeitungsanlagen und Wiedergabe durch elektronische Medien, auch auszugsweise, nur mit Genehmigung des Verlages. Für unverlangt eingesandte Manuskripte wird keine Haftung übernommen. Copyright 2012 by bw medien ag, CH-8840 Einsiedeln ISSN 1662-1786

Herausgeber / Verlag bw medien ag Zürichstrasse 57 CH-8840 Einsiedeln Telefon: +41 (0)55 418 82 00 Telefax: +41 (0)55 418 82 84 E-Mail: verlag@bwmedien.ch Internet: www.bwmedien.ch Internet: www.ccreport.ch

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Offizielles Publikationsorgan Swiss Contamination Control Society Schweizerische Gesellschaft für Reinraumtechnik Société Suisse pour la prévention de la contamination (vormals Schweizerische Gesellschaft für Reinraumtechnik SRRT) Internet: www.swissccs.org

Abonnemente Telefon: +41 (0)55 418 82 00 Telefax: +41 (0)55 418 82 84 E-Mail: verlag@bwmedien.ch

Chefredaktion Dr. Annette v. Kieckebusch-Gück Gempenweg 3 4410 Liestal Telefon: +41 (0)61 921 00 23 E-Mail: gueck@bluewin.ch

Anzeigenverwaltung SIGImedia AG

www.ccrepo rt.com contamination control report

Der ccr-GUIDE

Die Online-Datenbank für den Reinraumbereich

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Jörg Signer Thomas Füglistaler Andreas Keller Pfaffacherweg 189 Postfach 19 CH-5246 Scherz Telefon: +41 (0)56 619 52 52 Telefax: +41 (0)56 619 52 50 E-Mail: info@sigimedia.ch

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B

– bulletin Swiss Contamination Control Society Schweizerische Gesellschaft für Reinraumtechnik Société Suisse pour la prévention de la contamination

Editorial «The Great Transformation: Shaping New Models». Das diesjährige Motto des World Eco­ nomic Forums trifft im übertragenen Sinne auch auf die SRRT zu. Im Vordergrund steht die Planung und Durchführung des «International Sympo­ sium on Contamination Control 2012» (vom 3. bis 7. September). In enger Partnerschaft mit dem Institut für Quantenelektronik der ETH Zürich und unter operativer Leitung ei­ nes professionellen Fachsekretariats wird eine globale Plattform für aktuelle Fragen und Entwicklungen der Reinraumtechnolo­ gie geschaffen. Werden Sie Teil davon! Wei­ tere Informationen finden sich unter www. icccs2012.ethz.ch. Eine stärkere fachliche Ausrichtung erfährt auch das Sekretariat des Verbandes. Die an­ stehende 50% Teilpension und entspre­ chende Reduktion seines Pensums für Cofely AG hat Werner Straub und der SRRT die Mög­ lichkeit eröffnet, administrative (Mitglieder­ und Kurs­) Verwaltung und fachspezifische (Organisation von Fachtagungen u.a.) Auf­ gaben wieder kompetent aus einer Hand anzubieten. Per 1. April 2012 wird Werner Straub als Verbandssekretär verantwortlich zeichnen und dabei auch die Aufgaben der Geschäftsstelle übernehmen. Wir werden unsere Mitglieder zu gegebenem Zeitpunkt über die geänderte erste Anlaufstelle des Verbandes orientieren. Etwas ist hingegen keinem Wandel unter­ worfen: Die Zeitschrift CCR bürgt für span­ nende Fachlektüre. Ich wünsche Ihnen viel Spass beim Lesen der aktuellen Ausgabe. Ihr Präsident, Hans Zingre

Vorstandsnachrichten SRRT-Förderpreis Die Schweizerische Gesellschaft für Rein­ raumtechnik will mit ihrem Förderpreis ver­ dienstvolle Arbeiten und Leistungen aller Art anerkennen, die aus den Gebieten Rein­

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raumtechnik und Kontaminationskontrolle, sowie den dazugehörenden Wissenschaften stammen. Arbeiten aus oben genannten Bereichen von allgemeiner Relevanz sollen gewürdigt wer­ den. Insbesondere werden unterstützt: – – – – – – –

Pilotprojekte Literaturstudien Diplom­ und Doktorarbeiten Technische Weiterentwicklungen Fachaufsätze Technische Leistungen Erfindungen und sonstige wertvolle Innovationen – Neue oder besonders kreative Anwen­ dungen

Dabei werden Vorschläge aus der Privatin­ dustrie, staatlichen Forschungseinrichtun­ gen sowie Universitäten und Hochschulen berücksichtigt. Würdigungsberechtigt sind Arbeiten aus der Schweiz und ihren Nach­ barländern. Der Preis ist nicht auf SRRT­Mit­ glieder beschränkt.

ICCC-Symposium in Zürich Am 3. September 2012 eröffnet die SRRT das internationale Symposium zur Rein­ raumtechnik an der ETH in Zürich. Das letzte Symposium dieser ICCCS­Serie fand 2010 in Tokyo, Japan, statt. Das Zürich Symposium bietet vom 3.–7. September 2012 eine einmalige Gelegenheit, Spezia­ listen und Kollegen aus der ganzen Welt hier in der Schweiz zu treffen. Der Konfe­ renz­Vorsitzende, Hans Zingre, lädt beson­ ders auch Schweizer Fachleute ein, Abs­ tracts zu den am Schluss erwähnten Themen einzureichen. Das Treffen wird auch intensiv genutzt für Arbeitsgruppen und technische Kommit­ tees sowie Ausschüsse, zum Beispiel: ISO TC 209 & TC 142, ICCCS CoD & ICEB Mee­

Der Förderpreis in der Höhe von bis zu CHF 2‘000 kann ein­ bis höchstens zweimal pro Jahr zugesprochen werden und wird im Rahmen der Generalversammlung der SRRT vergeben. Die Auszeichnung wird mit einer Urkunde bestätigt und im SRRT­Bul­ letin sowie anderen relevanten Medien publiziert. Die Eingaben für den Preis in erstem Entwurf (Kurzfassung) müssen bis 31. Januar jeden Jahres eingereicht werden. Die Vorschläge werden von mindestens zwei SRRT­Vor­ standsmitgliedern geprüft: – dem SRRT Ressortleiter Forschungspreis – einem zweiten, auf Grund seiner Fachkompetenz fallweise bestimmten Vorstandsmitglied Bei einer positiven Entscheidung wird ein entsprechender Antrag an den Vorstand ge­ stellt. Die Kompetenz zur Erteilung des Prei­ ses liegt beim Gesamtvorstand der SRRT. Ihr Präsident, Hans Zingre

tings, VDI­Ausschuss FA RRT und andere. Ausführliche Auskunft, auch über die Mög­ lichkeit von Werbeauftritten, finden Sie auf der Symposium Web Site, www.icccs2012. ethz.ch oder beim Secretary ICCCS 2012, Alfred Moser, info@scienceservices.ch Topics – Research and development – Metrology and simulation – Standardization, codes, and policies – Pharma and medical devices – Health care and hygiene – Food and beverage – Engineering, energy, systems and equipment – Cleaning and services – Microelectronics and MEMS – Micromechanics and optics – Filtration – Separative devices (isolators) – Nanotechnology – Chemical contamination, ACC & SCC – Clean technologies – Safety and environment – Robotics – Automation

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Veranstaltungen

Mitgliedermutationen

Editorial

Frühjahrstagung und Generalversammlung 2012

Die SRRT hat derzeit 112 Einzelmitglieder und 162 Kollektivmitglieder (Stand 24. Ja­ nuar 2012).

Chers membres, «The Great Transformation: Shaping New Models». Le thème de cette année du Forum économique mondial concorde dans un sens large à celui de la SRRT. L’accent est mis sur la planification et la réali­ sation de l’ «International Symposium on Contamination Control 2012» du 3 au 7 sep­ tembre. Dans un étroit partenariat avec l’«Institut für Quantenelektronik» de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich et sous la conduite d’un secrétariat professionnel spé­ cialisé, une plate­forme globale pour des ques­ tions actuelles et des développements de la technique des salles propres sera créée. Soyez de la partie! Vous trouverez de plus amples informations sur: www.icccs2012.ethz.ch. Le secrétariat de l’association s’enrichit d’une plus forte spécialisation professionnelle. Le 50% retrait attendu de la vie professionnelle et 50% Profession pour Cofely AG de Werner Straub a ouvert à la SRRT la possibilité de pro­ poser des tâches administratives (membres­ et gestion de cours, etc.) et spécialisées (or­ ganisation de congrès, etc.) à partir d’une source unique. A compter du 1er avril 2012, Werner Straub sera responsable du secréta­ riat de l’association et assumera les fonctions du bureau. Nous orienterons nos membres en temps voulu sur les nouveaux moyens pour contacter l’association. Un point cependant n’est soumis à aucun changement: la «ccr» vous assure des lec­ tures spécialisées captivantes. Je vous sou­ haite donc beaucoup de plaisir à la lecture de ce nouveau bulletin. Votre président, Hans Zingre

Datum: 19. April 2012 Zeit: 9.00 bis 17.00 Uhr Ort: Winterthur, Kongresszentrum GVC Chile Hegi Thema: Oberflächen im Reinraum Hauptgewicht der diesjährigen Tagung bil­ den die Oberflächen im Reinraum. – Die Reinraumtechnik wurde seit ihrem Beginn in den 60er Jahren mit reiner Luft und der ent­ sprechenden Luftfiltrierung in einem be­ grenzten Raum in Verbindung gebracht. Erkenntnisse aus neuerer Zeit belegen, dass nebst der reinen Luft auch die Oberflächen im Reinraum ganz entscheidend zur Reinheit des Produktes beitragen. Reine Maschinen zur Fertigung, für den Transport und für die Montage sind ein Muss. Reine Produkte be­ dürfen auch reiner Verpackungen. Nur – wie sauber ist denn sauber? Dieser Frage soll in dieser Tagung nachgegangen werden. Die globalisierte Welt «schreit» nach weltweiten Normen für die Reinheit von Oberflächen. Zum Schluss dieser Tagung haben wir die Möglichkeit den neuen Reinraum bei Zim­ mer GmbH zur Verpackung von Implantaten zu besichtigen und dabei etwas über die neuesten Anforderungen an diesen Verpa­ ckungslinien zu erfahren. Programmauszug: – Oberflächen im Reinraum – ISO 14644 – 9 – Reinheitsvalidierung – Sauberkeit von Medizinprodukten: – Ultraschall unterstützte Reinigung – Zimmer GmbH: Informationen zum Projekt Verpackungen – Begehung eines Reinraumes der Zimmer GmbH Detailinformationen finden Sie unter www.srrt.ch., Anmeldung bis 10. April 2012

ICCCS-Symposium Datum: 3. – 7. September 2012 Ort: ETH Zürich

Lehrgang Reinraumtechnik Grundlagenkurs Datum: 6. November 2012 Zeit: 08.30 bis 17.45 Uhr Ort: HS Luzern in Horw Abschluss mit VDI­Zertifikat

ERFA-Gruppen Die ERFA von SWISSCCS (SRRT) wird vom SWISSCCS Sekretariat ab Mai 2012 neu orga­ nisiert.

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Wir begrüssen als neue Mitglieder:

Einzelmitglieder – Roger Schärer, Bilfinger Berger Industrial Services Swiss AG – Jürgen Schneider, filter express est

Eintritte Kollektivmitglieder – Amstein + Walthert AG Zürich, Andreas­ strasse 11, Postfach, 8050 Zürich

Austritte – Marco Schumacher, Einzelmitglied – Hager + Elsässer GmbH, Kollektivmitglied – Johannes Rauschnabel, Einzelmitglied – Kurt Bohlhalter, Einzelmitglied – Bruno Böhlen, Einzelmitglied – Biotest (Schweiz) AG, Kollektivmitglied

Mutationen Wir bitten Sie, etwaige Änderungen Ihrer Adressen, Arbeitgeber oder Ansprechpart­ ner an die Geschäftsstelle zu melden: info@srrt.ch. Hinweis: Der Bericht Normung 2011 erscheint diesmal in Newsletter 3–4 2012 unter «Aktuelles».

Impressum des «Bulletin-

»

Herausgeber Swiss Contamination Control Society Schweizerische Gesellschaft für Reinraumtechnik www.swissccs.org Sekretariat Pascal Widmer Postfach CH­8034 Zürich Telefon +41 (0) 44 388 74 24 pascal.widmer@swissccs.org Herausgabe im Selbstverlag der für ihre Mitglieder und interessierte Dritte. Erscheinungsweise zweimal jährlich als Teil des «contamination control report».

Nouvelles du conseil SRRT – Prix d’encouragement Avec son prix d’encouragement, la «Société suisse pour la technique des salles propres» désire reconnaître des travaux de grande valeur et des prestations de tout genre qui proviennent des domaines de la technique des salles propres et du contrôle de la conta­ mination ainsi que des sciences qui en dé­ coulent. Des travaux provenant des domaines cités ci­dessus et d’intérêt général sont considé­ rés. En particulier, sont appréciés: – – – – – – –

Des projets pilotes Des études littéraires Des travaux de diplôme et de doctorat Des évolutions techniques Des articles spécialisés Des prestations techniques Des découvertes et autres innovations de valeur – Des applications nouvelles ou particuli­ èrement attractives

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Sont aussi considérées des propositions ve­ nant de l’industrie privée, des institutions de recherche de l’Etat ainsi que des universités et hautes écoles spécialisées. Les travaux évalués proviennent de la Suisse et des pays voisins. Le prix n’est pas limité aux membres de la SRRT. Le prix d’encouragement, d’une valeur de 2000 francs, peut être accordé une à deux fois par année et est attribué dans le cadre de l’assemblée générale de la SRRT. Cette distinction est confirmée par un certificat et publiée dans le bulletin de la SRRT ainsi que dans d’autres médias concernés. Les requêtes pour le prix doivent être dépo­ sées jusqu’au 31 janvier de chaque année sous forme de version abrégée. Les proposi­ tions sont examinées par au moins deux membres du conseil de la SRRT: – par le responsable de l’attribution du prix de la recherche – par un deuxième membre du conseil en fonction de ses compétences spéciali­ sées. Dans le cas d’une décision favorable, une demande correspondante est présentée au conseil. La compétence pour l’attribution du prix incombe à l’ensemble du conseil de la SRRT.

Vous trouverez les dernières informations concernant le congrès sur www.srrt.ch, inscription jusqu`à 10 Avril 2012

ICCCS-Symposium Date : Lieu :

3 – 7 septembre 2012 ETH Zurich

Cours «Technique des salles propres», cours de base Date: 6 novembre 2012 Horaire: 08h30 à 17h45 Lieu: HS Lucerne: Horw Fin de cours avec certificat VDI

Groupes ERFA SWISSCCS (SRRT) ERFA devient organisée du secrétariat SWISSCCS à partir du mai 2012

Départs – Marco Schumacher, membre individuel – Hager + Elsässer GmbH, membre collectiv – Johannes Rauschnabel, membre individuel – Kurt Bohlhalter, membre individuel – Bruno Böhlen, membre individuel – Biotest (Schweiz) AG, membre collectiv

Changements Nous vous prions d’annoncer vos éventuels changements d’adresse, d’employeur ou d’inter­ locuteur au secrétariat: info@srrt.ch

Impressum du «Bulletin-

»

Editeur

Changements dans l’effectif des membres La SRRT compte actuellement 112 membres individuels et 162 membres collectifs (état 24 janvier 2012).

Nouveaux membres individuels

Swiss Contamination Control Society Société Suisse pour la prévention de la contamination www.swissccs.org Secrétariat Pascal Widmer Postfach, CH­8034 Zürich Telefon +41 (0) 44 388 74 24 pascal.widmer@swissccs.org

Manifestations

– Roger Schärer, Bilfinger Berger Industrial Services Swiss AG – Jürgen Schneider, filter express est

Congrès de printemps 2012 avec l’assemblée générale

Nouveaux membres collectifs

Publication en auto­édition de la pour ses membres et les tiers intéressés.

– Amstein + Walthert AG Zürich, Andreas­ strasse 11, Postfach, 8050 Zürich

Paraît deux fois par an sous forme de partie intégrante du «contamination control report».

Date: Horaire: Lieu:

19 Avril 2012 09h00 à 17h00 Winterthur, Kongresszentrum GVC Chile Hegi Thème: Nettoyage des surfaces Programme: voyez Bulletin en allemand Les surfaces dans les salles propres forment l’accent de la conférence de cette année. La technique des salles propres a été apportée au début des années 60 avec l’air pur et la filtration aérienne correspondante d`un sec­ teur limité. Des connaissances du temps plus nouveau prouvent qu’avec làir propre les surfaces contribuent également tout à fait de façon décisive à la pureté du produit. Des appareils purs pour la fabrication, pour le transport et pour l’assemblage sont doivent. Des produits purs requièrent aussi embal­ lages purs. Seulement – comme est proprement donc propre ? On doit suivre cette question dans cette congrès. Le monde globalisé a besoin des normes mondiales concernant la pureté des surfaces. À la conclusion de cette confé­ rence nous avons la possibilité de visiter la salle propre à Zimmer GmbH, avec l’embal­ lage des implants, et apprendre avec cela quelque chose sur les plus nouvelles de­ mandes à ces lignes d’emballage.

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ICCC-Symposium à Zurich Le 3 septembre 2012, la SRRT ouvrira le symposium international de la technique des salles propres à l’ETH de Zurich. Le der­ nier symposium de cette série ICCCS a eu lieu en 2010 à Tokio, au Japon. Du 3 au 7 septembre 2012, le symposium de Zurich offrira une occasion unique de rencontrer des spécialistes et collègues du monde entier, ici en Suisse. Le président de la conférence, Hans Zingre, invite particuliè­ rement les spécialistes suisses à lui faire parvenir des «Abstracts» sur les thèmes de l’encadré ci­dessous. La rencontre sera aussi intensément utilisée pour des travaux en comités techniques et commissions, comme par exemple: ISO TC 209 & TC 142, ICCCS CoD & ICEB Meetings,

VDI­commissions FA RRT et autres. Des in­ formations détaillées, aussi sur la possibilité d’encarts publicitaires, se trouvent sur la page Web du symposium, www.icccs2012. ethz.ch ou au secrétariat de l’ICCCS 2012, Alfred Moser, info@scienceservices.ch Topics – Research and development – Metrology and simulation – Standardization, codes, and policies – Pharma and medical devices – Health care and hygiene – Food and beverage – Engineering, energy, systems and equipment – Cleaning and services – Microelectronics and MEMS – Micromechanics and optics – Filtration – Separative devices (isolators) – Nanotechnology – Chemical contamination, ACC & SCC – Clean technologies – Safety and environment – Robotics – Automation

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Sicherheit durch Containment

SKAN AG Binningerstrasse 116 CH-4123 Allschwil T +41 61 485 44 44 F +41 61 485 44 45 info@skan.ch www.skan.ch

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Gemeinsam immer einen Schritt voraus


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