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FOCUS SUR LES MEMBRES DU C.A
from L'Adresse - Été 2022
by RQRA
FOCUS SUR LES MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
PAR AHMED CHERIF, RESPONSABLE DES COMMUNICATIONS, RQRA
Présentation du Dr. Guy Tremblay
LE DOCTEUR GUY TREMBLAY EST LE FONDATEUR ET PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL DU GROUPE LOKIA ET OCCUPE ACTUELLEMENT LE POSTE D’ADMINISTRATEUR AU SEIN DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DU RQRA. ORIGINAIRE D’ALMA, IL A ÉTUDIÉ LA MÉDECINE ET S’EST SPÉCIALISÉ EN CHIRURGIE ORL À L’UNIVERSITÉ LAVAL AVANT DE DÉVELOPPER, PEU APRÈS L’OBTENTION DE SON DIPLÔME, UNE OFFRE DE SERVICES FRANCOPHONES DANS LE NORD DU NOUVEAU-BRUNSWICK.
Exposé par sa pratique médicale aux besoins des aînés en matière de soins, il acquiert en 2006 sa première résidence pour personnes âgées. Le but ? Offrir des soins de qualité aux aînés, lutter contre l’isolement qu’ils peuvent subir et assurer un quotidien de qualité aux résidents.
Aujourd’hui, ce sont plus de 2000 aînés qui vivent sous une enseigne LOKIA, alors que l’ouverture d’une quatorzième résidence est prévue pour juin 2022.
Animé par l’envie de faire évoluer le secteur, le Dr Guy Tremblay estime que le milieu des RPA est certainement celui qui contribue le plus au « mieux vieillir » de la société québécoise. Cela se traduit notamment par le fait que les aînés en résidence se sentent plus entourés et mieux accompagnés, tout en bénéficiant de services de qualité.
Selon lui, la pandémie sévissant depuis plus de deux ans a contribué à révéler les carences d’un système gouvernemental qui accorde trop peu d’attention aux personnes âgées. Cette crise sans précédent a toutefois eu le mérite de mettre les RPA sur le devant de la scène et de révéler les dysfonctionnements présents, ce qui ne peut qu’améliorer la situation de notre secteur. En effet, il semble évident que le gouvernement ne peut plus avancer seul dans la gestion des aînés et que les RPA s’avèrent indispensables, surtout dans un contexte de vieillissement de la population. Le Dr Tremblay estime donc essentiel que nous tirions tous les leçons de cette pandémie afin que les aînés aient le traitement qu’ils méritent.
Fier de sa participation au conseil d’administration du RQRA, il en apprécie le fonctionnement, car il lui permet d’avoir une vue d’ensemble des problèmes auxquels sont confrontés les gestionnaires de RPA. Selon lui, le RQRA est une structure indispensable tant par sa solide réputation que par la force du nombre. Elle est nécessaire non seulement pour représenter le secteur au niveau gouvernemental, mais aussi, et surtout, pour contribuer au bien-être des aînés.
Hugo Boucher, vice-président du C.A.
HUGO BOUCHER EST PRÉSIDENT DU GROUPE IMMO 1ÈRE, ENTREPRISE SPÉCIALISÉE DANS LE DOMAINE DE L’IMMOBILIER DEPUIS 1991. C’EST APRÈS UN DOUBLE BACCALAURÉAT EN COMPTABILITÉ ET EN HISTOIRE DE L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL QU’HUGO BOUCHER REJOINT LE GROUPE FAMILIAL, AVANT DE SE LANCER, EN 2012, DANS LE DOMAINE DES RÉSIDENCES PRIVÉES POUR AÎNÉS. IMMO 1ÈRE POSSÈDE AUJOURD’HUI 10 RÉSIDENCES QUI COMPTENT 400 EMPLOYÉS À TRAVERS LE QUÉBEC.
Lors de son arrivée dans le domaine, Hugo Boucher a tout de suite apprécié le côté humain de cette nouvelle activité qui contribue directement au bien-être des aînés tout en étant utile à la société québécoise dans son ensemble.
Conscient que la pandémie a été un moment difficile pour le secteur, celui qui est aussi vice-président du conseil d’administration du RQRA, estime que le rôle des RPA devra encore gagner en importance au cours des prochaines années en raison du vieillissement inédit de la population québécoise. Il espère également que les RPA seront davantage reconnues comme partenaires inhérents au réseau de la santé. Selon lui, la relation avec le gouvernement devrait encore se solidifier au cours des prochaines années afin d’offrir des soins de qualité aux aînés dans des lieux d’hébergements toujours plus adaptés à leurs besoins.

Membre du conseil d’administration depuis pratiquement 4 ans, Hugo Boucher apprécie le partage et la vision commune qui règnent au sein du conseil d’administration. Dès son élection, il a constaté que toutes les RPA faisaient face aux mêmes problématiques, quelle que soit leur structure ou leur taille. Cela ne peut que favoriser la prise de décision et faire progresser la cause des gestionnaires de résidence, car le but est avant tout d’assurer l’avenir et la pérennité de toutes les RPA. Heureusement, les RPA québécoises commencent à être reconnues à leur juste valeur, ce qui annonce un avenir un peu plus serein. C’est en tout cas le souhait d’Hugo Boucher !