Spécial Habitat Printemps 2022

HABITATSpécial

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pour les vacances

POÊLE

À bois ou à granulés ?

Les deux versions du poêle présentent l’avantage d’être économiques, écologiques et sont visuellement de mieux en mieux carrossées. Un choix pas toujours facile à réaliser et qui dépend souvent de la configuration de votre maison.

Simple et économique, le concept de l’échange de maisons ou “ home exchange ” consiste à échanger son logement avec un autre propriétaire. Chacun met à disposition son foyer en précisant à son futur occupant toutes les informations relatives à son bien (disponibilités, localisation, couchages, équipements…).

Ce principe permet d’éviter de dépenser le moindre sou pour un hôtel ou pour une location lors de ses vacances. Afin d’en bénéficier, il vous faudra par conséquent vous abonner à une plateforme spécialisée dans la pratique.

AUGMENTER SON BUDGET VACANCES

Recourir à l’échange de maisons constitue un avantage financier considérable. Lors des vacances, le budget logement représente les frais les plus importants.

Adhérer à ce concept, c’est éliminer toute dépense liée à votre hébergement. Il est également bon de savoir que les offres ne se limitent pas au territoire français. Cela vous

permet d’envisager un séjour dans un pays lointain et de résider à l’intérieur d’une demeure unique,  normalement hors de vos finances. à vous de trouver votre petit coin de paradis ! Si vous avez l’esprit convivial, sachez que l’échange de maisons est aussi un bon moyen de nouer des liens forts avec les personnes que vous rencontrerez sur place.

PRÉVOIR SON ÉCHANGE

Échanger son logement demande un gage de confiance entre les deux parties. Faites le choix de sites spécialisés et certifiés. De nombreuses platesformes sont consacrées à cet effet. Une fois inscrit, il vous suffit de contacter les différents propriétaires qui s’y trouvent et de choisir votre prochaine destination. Afin de connaître les futurs occupants de votre foyer, prenez le temps d’échanger ! Les personnes qui séjourneront chez vous doivent connaître vos habitudes et vous les leurs. Pensez à bien préparer votre maison pour donner aux heureux vacanciers un endroit sain et propre, sans quoi une bonne relation ne peut s’opérer.

LE POÊLE À BOIS

Il a l’avantage de vous faire réaliser d’importantes économies d’énergie donc financières. Potentiellement moins cher que le poêle à granulés, sur le marché de l’énergie, on ne trouve pas combustible moins cher que le bois. En outre, posséder un conduit de cheminée existant est un plus pour éviter des frais supplémentaires d’installation.

Mais pour avoir un excellent rendement il faut miser sur de la qualité. Pour ne pas se tromper, le label « Flamme Verte » est recommandé. Il est gage de l’étanchéité et de la performance énergétique du poêle à bois, et permet surtout de pouvoir postuler aux diverses aides écologiques existantes. Attention pourtant, le poêle à bois présente quelques inconvénients comme le stockage du bois et le fait qu’il soit soumis à la contrainte de ne pas pouvoir être collé aux murs pour des raisons de sécurité. Il nécéssite également un important besoin de nettoyage.

LE POÊLE À GRANULÉS

C’est l’avantage d’un chauffage au bois sans la corvée du bois… Le granulé est en effet nettement plus facile à stocker, car vendu généralement en sac. Il a une puissance de chauffe ajustable pour une consommation économique et dégage une température par ventilation, qui donne une chaleur plus homogène et aussi plus sèche dans le logement. Le poêle à granulés s’allume facilement et automatiquement mais il est plus technique à entretenir (chambre à combustion à entretenir en moyenne tous les 2 jours).

Supplément gratuit édité à 22 950 exemplaires et diffusé en boîtes aux lettres par Ne pas jeter sur la voie publique

Directeur de la publication : Éric Lepers

Directeur commercial : Jérôme Dimarcq

Rédaction : Groupe Nord Littoral et Libre Service Presse

Conception graphique : Studio du Groupe Nord Littoral

Impression : Z.I. La Pilaterie, rue du Houblon, 59700 Marcq-en-Barœul

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UNE ÉQUIPE DE PROFESSIONNELS À VOTRE ÉCOUTE

AMÉNAGEMENT EXTÉRIEUR

Délimiter les espaces pour plus d’intimité

Si claustras, palissades et autres panneaux occultants ont en commun leur fonction de clôture, chacune de ces déclinaisons répond à une définition et à une fonction bien précises.

Essentielle pour délimiter l’espace, la clôture est avant tout la garante de notre intimité. Mais elle peut également servir à se protéger du vent, à couper le bruit environnant ou à retenir des animaux domestiques à l’intérieur d’une propriété. Petit tour d’horizon des différentes solutions correspondant à chacun de ces besoins…

DÉLIMITER ET CLÔTURER

Si votre objectif et de délimiter votre terrain sans pour autant occulter la vue sur l’extérieur, c’est vers les différentes formes de grillage qu’il faudra vous tourner. Il garantit votre sécurité sans vous cacher le paysage environnant. Si ce matériau se décline aujourd’hui en modèles de plus en plus nombreux, deux grandes familles se partagent le marché. La première, la plus traditionnelle, est le grillage en rouleau à fixer à des poteaux métalliques qu’on scelle avec du béton dans le sol. Bon marché, cette solution a l’avantage de s’adapter à toutes les configurations de terrain. L’autre option est celle du grillage en panneau rigide, très facile à poser et à entretenir mais un peu plus coûteuse à l’achat. Petite astuce : plus la maille de

votre grillage sera serrée, plus celui-ci sera robuste et défensif…

SE CACHER ET S’ISOLER

Pour se protéger des regards indiscrets, il va falloir se tourner vers une solution occultante. Si l’on possède déjà un grillage, on peut y installer un brise-vue

synthétique, spécialement conçu pour s’accrocher facilement à ce type de structure. Composé de toile polyéthylène et d’œillets de fixation, il s’attache à votre grillage à l’aide d’une corde ou d’attaches. Bon marché et très simple à mettre en place, il constitue une solution d’appoint efficace. De nombreux coloris existent pour s’intégrer le mieux possible à leur environnement. On trouve même des faux feuillages en relief imitant l’aspect d’une haie ! Mais pour un résultat plus durable et, surtout, plus esthétique, d’autres solutions existent. Parmi les moins chères, on citera les brise-vues naturels que sont les canisses, bambous, brandes de bruyère et autres tiges d’osier à fixer au grillage ou à tendre entre des piquets. Par rapport à leur pendant synthétique, tous ces matériaux ont l’avantage de s’intégrer harmonieusement à la végétation du jardin. Viennent ensuite les palissades, ces grands panneaux de bois, de plastique ou de matériaux composites, vendus prêts-à-poser ou sous forme de kit à monter soi-même pour les terrains moins standards. Solides, esthétiques et soignés, ils délimitent, protègent et décorent à la fois…

© Leroy Merlin

DÉTENTE

Pause bien-être dans le jardin

Sur la terrasse ou dans le jardin, la tendance de l’année est aux spas d’extérieur. Pourquoi ? Comment ? On vous dit tout !

QUEL SPA CHOISIR ?

Portable, encastrable ou enterré ou encore gonflable ou en kit à poser, il existe une multitude de spas d’extérieur. Pour bien choisir, il faut que le spa répondent à vos attentes : est-ce pour un moment de détente en amoureux ou convivial entre amis ? Vous préférez être assis ou allongé ? Souhaitez-vous l’installer sur la terrasse ou dans le jardin ? Ces différentes questions devraient déterminer votre choix.

ET POUR L’INSTALLER ?

Il faut trouver l’emplacement idéal, à l’abri des regards indiscrets et des intempéries. Pensez aussi à la circulation autour du spa !

Ne pas pouvoir y entrer serait le comble. Pensez aussi aux raccordements : si le spa ne peut être raccordé directement à votre maison, il faudra construire un local technique.

• Pour un spa portable, le sol doit être résistant et stable. Si vous souhaitez le placer dans le jardin, pensez à installer un lit de sable recouvert d’une bâche ou bien une dalle en béton.

• Pour un spa encastrable, il faut songer à un emplacement où il sera possible de réaliser les travaux de terrassement.

QUELS SONT LES AVANTAGES D’UN SPA EXTÉRIEUR ?

L’eau est constamment chauffée, quoi de plus agréable qu’une baignade extérieure alors qu’il fait encore frais ? L’entretien d’un spa est aussi moins cher que celui d’une piscine. Et avoir la possibilité d’un moment

de détente dans son jardin, finalement, ça n’a pas de prix.

ET SES INCONVÉNIENTS ?

Si vous avez un jardin en vis-à-vis, le manque d’intimité peut être une contrainte. De même que l’entretien à cause des intempéries, fréquents dans la région. Vous pouvez toutefois vous préservez de ces deux inconvénients majeurs un installant un abri spa. En plus, cela vous permet d’aménager un véritable espace bien-être.

©

Unsplash

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JARDIN

La plus belle des pelouses

Vous avez envie de vous prélasser sur votre transat en contemplant votre jardin. Seulement, votre pelouse est jaunâtre, pleine de mauvaises herbes et envahie par des insectes. Pas de panique, nous vous offrons quelques conseils pour profiter au mieux de votre pelouse pendant les beaux jours.

ENTRETENIR SA PELOUSE

Tout d’abord, il vous faut entretenir votre tondeuse. Si la lame est mal affûtée, elle coupera de façon irrégulière voire arrachera certains brins d’herbe. Une mauvaise lame provoquera un jaunissement des feuilles surtout si le temps est sec.

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TONDRE RÉGULIÈREMENT

CHASSER LES MAUVAISES HERBES

Tondez votre pelouse au moins une fois par semaine (voire tous les 4-5 jours si vous avez le temps) pendant la période de végétation, c’est-à-dire de mars à octobre environ. Pour que votre gazon puisse retenir l’humidité et résiste à la sécheresse, coupez-le à environ 8 cm du sol. Vous pouvez laisser l’herbe coupée sur place, elle apportera de nombreux nutriments à votre pelouse. Mais n’oubliez pas de la répartir avec un râteau pour qu’elle n’étouffe pas votre pelouse.

FAIRE FUIR LES INSECTES

Vous pouvez tout simplement le faire à la main. Attention à ne pas transporter des graines ailleurs en les retirant. Vous pouvez aussi ébouillanter les mauvaises herbes. Après avoir fait chauffer de l’eau, versez avec précaution à la base de chaque plante indésirable. Renouvelez les applications sur les herbes les plus coriaces. Attention aux éclaboussures pour ne pas vous brûler.

Si vous vous sentez envahie par les mouches dans votre jardin, pensez au basilic à petites feuilles. Contre les moustiques, utilisez le basilic citron. Enfin, n’importe quel type de basilic éloignera les fourmis. Si un nid s’est formé, sachez également que l’eau bouillante est très efficace contre leurs nids.

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Depuis 17 ans, PLASTI SERVICES LITTORAL met un point d’honneur à apposer sa signature sur chaque réalisation et met tout en œuvre pour vous apporter les solutions adaptées à vos attentes et votre budget

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Vue sur la baie LUMIÈRE

Bien loin des maisons claquemurées d’autrefois, les propriétaires modernes aspirent à un maximum de clarté et de luminosité.

Plus perfectionnées les unes que les autres, les baies vitrées ont coupé la chique aux incontournables réfractaires, aidées qui plus est par la réglementation thermique RT 2012 en vertu de laquelle toutes les maisons neuves doivent posséder un minimum d’un sixième de surfaces vitrées (fenêtres ou baies) par rapport à la surface de plancher. Pour sauter le pas, il ne reste dès lors qu’à choisir judicieusement.

LE CADRE SELON VOS GOÛTS

Pour un équipement quasi invisible, vous pouvez opter pour une baie coulissante à galandage formée de vantaux qui glissent dans les murs lorsqu’ils sont ouverts. L’idéal pour ne perdre aucun espace de passage ! Il est cependant préférable de concevoir ce système lors de la construction de l’habitation pour éviter de lourds travaux d’aménagement par la suite. À l’inverse, la baie coulissante et la baie ouvrante donnent davantage de latitude au propriétaire qui n’a donc plus qu’à se décider entre un passage un peu réduit mais sans encombrement – lorsque la vitre coulisse – ou une ouverture large mais pourvue d’un battant de porte.

Concernant le matériau utilisé, si le PVC domine le marché des fenêtres, c’est l’aluminium qui l’emporte pour les baies vitrées. Facile d’entretien, esthétique et rigide, ce dernier n’est toutefois pas très performant en termes d’isolation, ce qui implique de sélectionner une baie avec rupture de pont thermique. Quant au bois, il isole très bien mais nécessite plus d’entretien. Des modèles combinant ces matériaux peuvent donc s’avérer un bon compromis.

DES VITRES MULTIFONCTIONS

L’intérêt d’une baie vitrée reposant dans son vaste vitrage, il est impératif de chouchouter ce dernier. Les performances en termes d’isolation thermique et phonique sont ici primordiales. En la matière, le double vitrage a depuis longtemps fait ses preuves et a connu récemment de nouvelles améliorations. Repérez notamment l’étiquette « TR » qui indique une isolation thermique renforcée. Différentes techniques de conception permettent en outre de limiter les ondes sonores : on parle alors de double vitrage « asymétrique », « composite » ou « ABP » pour « vitrage antibruit de pluie » (destiné aux chambres situées sous le toit). Encore plus isolant, le triple vitrage permet de réaliser des économies d’énergie non négligeables, en contrepartie néanmoins d’une menuiserie spécifique qui coûte forcément plus cher. Il est recommandé d’opter pour un modèle certifié : outre la mention obligatoire CE, les certifications Acotherm ou Cekal garantissent un haut niveau de performances. De même, pour éviter tout risque d’infiltration d’air, faites appel à des spécialistes certifiés pour la pose des menuiseries. C’est le label Qualibat certification « Pose portes et fenêtres » qui fait ici référence.

Si acheter un bien immobilier sans apport est aujourd’hui possible, un petit bas de laine reste tout de même indispensable pour s’acquitter des frais inhérents à cette transaction. Explications.

IIl y a quelques années, être candidat à la propriété sans avoir au minimum 10 % du prix de vente en cash était inconcevable. Avec la baisse des taux d’intérêt et l’allongement de la durée d’emprunt, les conditions d’octroi des crédits immobiliers se sont toutefois assouplies, ouvrant tout grand la porte aux jeunes couples dépourvus d’apport…

LE DÉPÔT DE GARANTIE, INCONTOURNABLE

Il n’empêche, avant d’obtenir le fameux prêt, encore faut-il pouvoir avancer plusieurs milliers d’euros !

Lorsque vendeur et acheteur ont trouvé un accord, ils se retrouvent en effet chez le notaire (ou l’agence immobilière qui peut aussi s’en occuper) pour signer un compromis de vente. Une étape décisive engageant les deux parties et que le propriétaire sécurise le plus souvent en imposant le versement d’un dépôt de garantie par l’acquéreur, dont le montant varie entre 5 et 10 % du prix du logement. Pour une maison affichée à 260 000 €, cela revient tout de même à débourser entre 13 000 € et 26 000 €, avant même d’avoir obtenu son emprunt !

Cette somme, conservée par la notaire, deviendra un acompte sur le prix de vente si la transaction

aboutit, ou servira de dédommagement au vendeur si l’acquéreur lui fait défaut en dehors du cadre convenu. Pour faire machine arrière sans perdre son dépôt de garantie, il faut alors se désister dans un délai légal de dix jours ou faire jouer l’une des conditions suspensives prévues dans le compromis, et notamment le refus d’octroi du crédit immobilier.

LA TAXE FONCIÈRE AU PRORATA

Si tout s’est bien passé, l’officier public transmet un appel de fonds que l’acheteur doit remettre à sa banque afin qu’elle verse les sommes déterminées sur le compte de l’office notariale. Ce virement

couvre alors le solde du prix du bien, de même que les frais d’enregistrement, voire les droits de mutation (couramment appelés « frais de notaire »). En revanche, il n’intègre pas le paiement de la taxe foncière.

Or, bien que cet impôt local soit dû par le propriétaire en place au 1er janvier, la majorité des contrats de vente prévoient une répartition au prorata de l’année en cours. Pour une taxe foncière de 1 000 € annuels, l’acheteur en sera donc quitte pour faire un chèque de 500 € au vendeur, si la vente définitive est réalisée le 1er juillet. Une façon de lui rembourser les six mois d’impôts qui lui seront prélevés à l’automne par le fisc alors qu’il ne sera déjà plus dans les lieux.

LE BON PLAN DES HONORAIRES

Lorsqu’une agence immobilière est mandatée pour réaliser une vente, c’est en toute logique le propriétaire qui a fait appel à elle qui doit lui régler ses honoraires. Sauf qu’en pratique, ce coût est évidemment répercuté sur le prix de vente qui grimpe d’autant ! En clair : sur une maison affichée à 260 000 €, il n’y a en réalité que 247 000 € qui reviennent au vendeur (environ 5 % de frais d’agence).

© Thinkstock

Un bas de laine indispensable

Bien choisir son architecte TRAVAUX

Vous souhaitez faire construire la maison de vos rêves ? Quelles que soient les raisons qui vous poussent à faire appel à un architecte, il est essentiel de bien choisir celui qui façonnera votre futur logement.

Pour construire, agrandir ou rénover sa maison, l’appui d’un architecte présente des avantages notables.

En dehors du cadre légal où sa présence est obligatoire (pour une surface de plus de 150 m2), il offre aux propriétaires une grande tranquillité d’esprit. Sur le chantier, il sert d’interlocuteur pour la mise en place des devis et permet de coordonner les différents corps de métier.

Son intervention est également le gage d’une réduction de la facture globale. En effet, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, son rôle est de vous faire gagner du temps en trouvant les solutions qui s’adaptent le mieux à votre budget.

MISER SUR DIFFÉRENTS CRITÈRES

Pour être certain de voir votre projet se réaliser dans les meilleures conditions possibles, sélectionnez un architecte qui a de l’expérience dans la construction individuelle et qui adopte un style architectural (rustique, contemporain…) en accord avec celui que vous souhaitez. N’hésitez pas à jeter un œil sur ses précédentes réalisations ou à visiter les chantiers en

CONSTRUCTION DE MAISON

cours. Cela vous permettra de trouver la personne qui saura comprendre vos attentes et les mettre en œuvre. La proximité est elle aussi primordiale. Votre architecte doit avoir une vision d’ensemble des travaux et vérifier le bon acheminement des matériaux, le respect des délais et la conformité de réalisation par rapport aux plans.

OBTENIR DES GARANTIES

Trouver l’architecte idéal ne s’improvise pas. Il ne s’agit pas de sélectionner le premier venu dans l’annuaire. Le bouche à oreille ou certaines agences conseillées par votre entourage peuvent vous aider dans vos recherches.

Dans le cas contraire, la meilleure solution est de s’adresser à l’Ordre des architectes. Son rôle est de vous aider à dénicher le prestataire qui vous conviendra le mieux. Cela vous permet aussi de travailler avec un architecte qui saura vous proposer des garanties en cas de dysfonctionnement ou de malfaçons (garantie de bon fonctionnement, garantie de parfait achèvement, garantie décennale…).

Pourquoi faut-il faire une étude de sol ?

POURQUOI UNE ÉTUDE DE SOL ?

Si vous avez pour projet de faire construire votre maison, la question des études de sol peut vous intéresser. L’étude de sol avant construction (construction neuve ou extension), permet de définir la nature du sol en présence et sa capacité à recevoir ou non la construction et avec quelles contraintes.

L’étude de sol permet d’abord de sécuriser votre projet et d’en assurer sa pérennité. En effet, la réalisation des fondations préconisées dans l’étude permet de limiter les risques de sinistres liés au terrain. Une étude de sol offre aussi la possibilité d’optimiser les coûts et les délais de construction.

EN QUOI CONSISTE-T-ELLE ?

D’après la norme NF P 94-500 qui régit les missions géotechniques, l’étude consiste à définir une campagne d’investigations géotechniques adaptée à la future construction en tenant compte des sols en présence, des caractéristiques du projet ou encore des conditions d’accès.

Cette campagne est réalisée au droit de l’emprise au sol de la future construction, afin de regrouper les données nécessaires à la réalisation des calculs de fondations (essais in-situ et en laboratoire).

EN QUOI LA NATURE DU SOL PEUT-ELLE INFLUENCER LA CONSTRUCTION DE LA  MAISON ? Principalement les fondations ! Et secondairement le dallage !Classiquement, les bâtiments sont fondés superficiellement par l’intermédiaire de semelles filantes (et/ou isolées) si les caracéristiques des terrains le permettent. Leur profondeur d’assise sera donc fonction de la portance des terrains et de la présence notamment d’argiles pouvant être gonflantes (phénomène dont on doit s’affranchir pour la pérennité de la construction). Si les caractéristiques du terrain ne le permettent pas (terrains compressibles, remblais sur de fortes épaisseurs, ...), on s’orientera alors vers d’autres modes de fondations.

L’ÉTUDE DE SOL EST-ELLE OBLIGATOIRE ?

Parfois elle est obligatoire, mais dans le cas contraire, elle reste fortement recommandée. Ainsi, suite à la loi ELAN, lors de la vente d’un terrain à bâtir, l’étude géotechnique est obligatoire pour les terrains situés en aléa moyen ou fort au risque de retrait/gonflement des argiles. Ce phénomène, fréquent ces dernières années dans la région, est causé par l’alternance de périodes de sécheresse puis de réhydratation des sols argileux (21% du territoire concerné !). Cette étude, dite G1, est à la charge du vendeur et doit être communiquée à l’acquéreur du terrain à bâtir. Cette étude, dite G2, est à la charge de l’acquéreur/du nouveau propriétaire du terrain.

CONCLUSION

L’étude de sol permet de limiter les risques de sinistre sur les constructions et d’assurer sa pérennité dans le temps. Elle peut permettre aussi de réaliser certaines économies : le coût de l’assurance dommage-ouvrage peut être négocié auprès de votre assureur, pas de surcoût pour des fondations surdimensionnées... Enfin et surtout, pour un surcoût modéré par rapport au prix de la construction, l’étude de sol permet d’aborder la vie plus sereinement dans sa nouvelle maison !

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DES MÉTIERS D’AVENIR

Transition écologique et numérique, optimisation énergétique, développement durable

De nombreuses opportunités d’emplois existent dans le vaste secteur du bâtiment. Les entreprises jugent difficile les recrutements faute de main-d’œuvre qualifiée. Ces perspectives d’embauches sont à mettre en rapport avec les nombreux projets qui portent sur les ressources et les infrastructures locales.

La construction sur le Dunkerquois va en effet être stimulée par l’arrivée très prochaine d’entreprises nouvelles et de projets innovants tels que Verkor (batteries électriques), Clarebouts Potatoes (fabrication de produits surgelés), l’EPR à la centrale nucléaire (réacteur de nouvelle génération), SNF (chimie), H2V (producteur d’hydrogène vert), le Projet CAP 2020 (terminal conteneurs), le Parc éolien, la décarbonisation d’ArcelorMittal, et par la rénovation des bâtiments facilitée par les aides de l’Etat en réponse aux exigences de la performance énergétique. Le domaine de la construction a beaucoup évolué depuis quelques années, contrainte de s’adapter aux nécessités de la transition écologique : recherche de nouveaux matériaux, recours à des normes d’isolation plus importantes.. L’activité va donc nécessiter le concours de très nombreuses professions : vont être portés à la hausse les effectifs qualifiés du second œuvre du Bâtiment : plombiers/chauffagistes, peintres, menuisiers, plaquistes…., mais également les

effectifs qualifiés du gros œuvre (maçons, couvreurs, charpentiers…).

Face à ces besoins de main-d’œuvre, le lycée G. Guynemer (lycée des métiers du Bâtiment, de la construction durable et des transitions énergétiques) situé à Saint-Pol-sur-Mer propose 3 voies de formation, la formation sous statut scolaire (350 élèves) du CAP au BTS, la formation en apprentissage (130 apprentis) et la formation continue pour adultes (120 stagiaires).

« L’apprentissageoffreauxemployeursdescontrats trèsattractifsnotammentgrâceauxaidesdel’Etat. Lesapprentis,dontlenombrenecessedecroître, apprécientbeaucoupcestatutd’alternantpour terminerleurparcoursdeformation. »évoque Thierry Cléton, Directeur Délégué aux formations. « Concernantlaformationpouradultes,iln’ya jamaiseuautantdeformationsfinancéespar leConseilrégionaldesHautsdeFrance.Cesont essentiellementdestitresprofessionnelsaccessibles

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