Migros-Magazin-04-2022-f-VS

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24.1.2022 | 41

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Comme ici à Martigny, de gros efforts sont faits pour rendre l’environnement d’achat agréable.

La fraîcheur des fruits et légumes fait l’objet d’une attention particulière.

Le meilleur assortiment au meilleur prix

Lors de la votation annuelle, les coopératrices et coopérateurs ont eu l’occasion de poser des questions ou de faire des remarques à Migros Valais. Nous les avons analysées et allons y répondre dans une série d’articles. On commence avec Renaud Clavien, responsable du Département commercial. Texte: Fabien Lafarge Photos: Raphaël Fiorina, Loris Perruchoud

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enaud Clavien, Migros Valais compte vingtneuf supermarchés. Comment le réseau est-il organisé? On peut commencer en parlant des plus grands magasins, les MM et MMM. Nos réflexions en matière de développement se portent sur trois axes: l’émotion tout d’abord, avec un cadre d’achat qui doit être beau et agréable. Martigny Manoir, récemment rénové, en est un bon exemple. Ensuite, le développement de nouveaux services, avec par exemple la livraison de colis PickMup ou les systèmes Subito et SubitoGo. Et finalement, la mise en avant de la fraîcheur. Quelles sont les pistes de développement sur ce dernier axe? On pense en premier lieu aux fruits et légumes. Nous privilégions les circuits courts, en proposant un maximum de produits

«De la région.» et en cherchant constamment à développer cette offre. Évoquons aussi le bio: en plus de développer notre gamme, nous travaillons à réduire les emballages, ce qui fragilise le produit. Pour garantir une qualité irréprochable, cela passe par une gestion rigoureuse des stocks et un temps le plus réduit possible entre le champ et le magasin. La fraîcheur concerne aussi d’autres domaines. Nous avons par exemple développé de nouveaux pains, et proposons désormais une vaste gamme de jus et de produits ultrafrais comme des salades et sandwichs. Et qu’en est-il des plus petits magasins? Dans les M, nous insistons sur la simplicité et la rapidité. Ce sont des magasins de proximité où l’on doit trouver facilement tout le nécessaire pour le quotidien. Nous travaillons sur des concepts

«En 2021, nous avons continué de baisser les prix de manière durable sur un total de 1650 articles» qui ont été ou seront dupliqués à tous les magasins, avec comme objectif que toutes les succursales de taille similaire soient aménagées de la même manière. On imagine que le principal défi est d’y proposer un maximum de produits sans pour autant en faire trop?

En effet, c’est toute la difficulté. Nous travaillons à une redéfinition des assortiments, car il y a parfois trop de choix. Mais il ne faut pas pour autant porter préjudice aux clients: il faut ­pouvoir satisfaire ceux qui veulent du bio, du local ou encore des aliments véganes. C’est un travail très fin, mais captivant. Le tout en travaillant sur des baisses de prix... L’objectif de Migros reste d’offrir le meilleur assortiment au meilleur prix. C’est un effort continu! En 2021, nous avons d’ailleurs continué de baisser les prix de manière durable sur un total de 1650 articles, et ce, sans jamais renoncer à la qualité. Ces baisses durables sont rendues possibles notamment par différents programmes d’optimisation des processus, des coûts de transport et de la logistique.  MM


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