

Modèle Charlotte Photographe Yona
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Modèle Charlotte Photographe Yona
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Office Manager Assistantes
Rédactrice en Chef Rédacteur·rice·s
Stagiaire Rédaction
Directeur de Création
Directrice Artistique
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Stagiaire Graphiste Photographes
Responsable Nuit
Rédactrice Nuit
Stagiaire Rédaction Nuit
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Journalistes Vidéo
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Directeur
Directeur des ventes
Head of Strategy
Directeur de Clientèle
Alternante Commercial Culture et Partenariats
Stagiaire Culture
Chef·fe·s de Projets
Jacques de la Chaise
Quentin Mercier
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Adèle Colonna-Cesari
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Clémence Varène
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Deborah Puiggali
Conceptrice-Rédactrice
Responsable Digital
Alternante Digital
Contact
Le Bonbon
Tania Szpiczak
Pierre Echardour
Perla Amar
Benjamin Haddad
benjamin.h@lebonbon.fr
Tél. : 06 20 23 54 49
Tél. : 01 48 78 15 64
15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040
On dit souvent qu’on a les chefs que l’on mérite…
Pauvre France qui, depuis de Gaulle, n’a connu que des dirigeants impuissants à redonner élan et grandeur à notre pays, tels des PDG du CAC40 qui ne pensent qu’au court terme, sans se soucier du bien-être durable de leur entreprise. Ils ne sont que de passage, alors peu importe la suite…
Nous avons un besoin vital de retrouver un homme ou une femme d’État. Quelqu’un capable de travailler au service de son pays sans en attendre de bénéfice personnel, capable de se surpasser au nom de l’intérêt commun, de s’oublier pour aider son peuple à aller de l’avant, offrant un vrai sacrifice, un don de soi pour une cause qui nous dépasse tous.
Ce courage, peu de gens l’ont ; il demande une grandeur d’âme qui ne court pas les rues. Quand on pense à la petitesse, l’incompétence et l’irresponsabilité de nos responsables politiques, préoccupés uniquement par leur petit pouvoir et les guéguerre de clochers, cela en devient triste.
On dit souvent que lorsque l’on touche le fond, on rebondit… Peut-être que de ce chaos politique émergera la personne providentielle capable de guider notre pays hors de l’abîme dans lequel il a plongé.
¤ Le Confiseur


RENDEZ-VOUS NOCTURNES AU MUSÉE
Ateliers, débats et performances : des soirées immersives où l’art du XIXe dialogue avec la société d’aujourd’hui.
Âme Animale ! Le vivant rêvé par les artistes
JEUDI 20 NOVEMBRE • 18:30-22:00 Camille Claudel. L’art au bout des doigts
JEUDI 11 DÉCEMBRE • 18:30-22:00






On s’offre une expérience chorégraphique unique en Seine-Saint-Denis Du 4 au 30 novembre, Playground fait danser l’ensemble du territoire de la Seine-Saint-Denis. Pensé pour les petits et les grands, le festival investit les écoles et les salles pour promouvoir ouverture et dialogue avec la jeunesse. Au programme, à travers l’Île-de-France, des spectacles, des ateliers et des rencontres accessibles à tous, pour se rassembler autour de la danse.
Playground #4
Rencontres chorégraphiques internationales Du 4 au 30 novembre 2025
On plonge dans le meilleur de la comédie musicale au Casino de Paris
“All That Jazz”, “Cell Block Tango”, “Roxie”…
Préparez-vous à entendre retentir les notes de ces chansons devenues des titres cultes. Chicago, ce véritable chef-d’œuvre de la comédie musicale, célèbre ses 20 ans au Casino de Paris. Le spectacle nous emporte dans l’élégance des années 20, où Roxie Hart rêve de devenir célèbre, avant d’être envoyée à tort en prison.
Chicago au Casino de Paris
16, rue de Clichy – 9e Du 7 novembre 2025 au 31 janvier 2026
On investit dans de belles fenêtres en bois
C’est l’automne, c’est le moment idéal pour préparer son nid douillet pour la saison hivernale qui arrive à grand pas. Et contre la descente drastique des températures, on a trouvé une solution : de bonnes fenêtres. Spécialisé dans celles en bois, 1 001 fenêtres sera votre meilleur allié. Finitions parfaites, excellent rapport qualité-prix… N’hésitez plus !
1 001 fenêtres
71, rue Condorcet – 9e Tél. : 01 45 33 03 86


En novembre, Paris Photo revient dans la capitale pour une 28e édition, et retrouve une nouvelle fois la nef du Grand Palais. L’occasion de découvrir tous les pans de la photographie contemporaine, grâce au travail exceptionnel d’artistes en tout genre réunis pour l’événement.
Depuis 1997, chaque année, Paris Photo met en lumière des centaines de galeries. Et 2025 ne fait pas exception, avec pas moins de 179 galeries et 43 éditeurs, dont 60 nouveaux participants. Pendant 3 jours, tous les intervenants seront répartis en 5 secteurs distincts. Chacun de ces espaces vous attend au sein de l’une des plus belles institutions parisiennes. De l’importance du livre photo à la découverte d’artistes émergents, en passant par des parcours thématiques par exemple autour
de la photographie féminine, des galeries du monde entier vous offrent le meilleur de ce médium, à travers divers sujets et des méthodes éclectiques.
Une série d’événements, comme des signatures, des conférences, des lectures-performances, des projets pédagogiques, des remises de prix ou encore des collections inédites se succéderont tout au long du salon, pour plonger encore plus dans l’univers fascinant du 3e art, sa richesse et sa diversité. ¤ C.V.
Paris Photo
Grand Palais 17, av. du Général Eisenhower – 8e Du 13 au 16 novembre 2025 parisphoto.com

Ils incarnent la capitale et nous replongent dans le Paris d’époque. Les bistrots parisiens sont des institutions indémodables et incontournables. Aujourd’hui, on vous entraîne à la découverte d’une petite pépite, qui reflète à merveille tout ce que la gastronomie parisienne fait de mieux. Direction Chez Bertrand, dans le 17e.
Si vous avez l’habitude de déambuler autour du Palais des Congrès, vous connaissez sans doute les adresses de la très justement nommée famille Menut. Chez Georges, Le Ballon des Ternes ou encore le Bellagio, Georges et Bertrand, dans la pure tradition auvergnate, ont monté un véritable empire. Le dernier en date ? Chez Bertrand, un lieu à la croisée des chemins entre bistrot parisien et bouchon lyonnais, aujourd’hui tenu d’une main de maître par Thomas et Juliette, les enfants de Georges.
Quand on pénètre à l’intérieur, impossible de s’y tromper, nous voici au cœur de ce que la gastronomie française fait de meilleur. Nappes à carreaux, serviettes en tissu, vieilles publicités et menu traditionnel, les éléments sont réunis pour nous offrir tout ce que l’on attend d’un restaurant comme celui-ci. À la carte, le tartare côtoie les œufs mayo, et le pâté en croûte nous enchante autant que la saucisse purée. Mais attention, pas question de tomber dans le cliché. Si la tradition bistrotière est respectée à la perfection, elle se teinte d’une touche de modernité bienvenue. On profite aussi bien d’un menu midi à 20€ que d’assiettes
à partager à déguster en fin de journée sur la terrasse. Des incroyables charcuteries au camembert rôti à tomber, en hommage à leurs racines auvergnates, nous voici comblés. On accompagne le tout de délicieuses boissons grâce à la large sélection. Entre les références de vin alléchantes et les cocktails maison parfaitement exécutés, difficile de faire un choix. En bref, Chez Bertrand, c’est tout ce que l’on attend d’un très bon bistrot parisien, cette petite pointe de modernité en plus qui fait toute la différence. Cerise sur le gâteau, le lieu est même privatisable pour vos différents événements ! ¤ C.V.
Chez Bertrand Bistrot 99, av. des Ternes – 17e Tél. : 01 45 74 10 57
Tous les jours de 12h à 14h30 et de 19h à 22h30 @chezbertrandbistrot



Deux adresses, une même vibe : Coiffeur Kut, c’est le spot du 11e où l’on se sent direct à l’aise, entre coupes et couleurs sur-mesure et ambiance feel good. Des pros à l’écoute, un style affûté, et cette touche d’attention qui fait toute la différence : c’est l’adresse coiffure qui fait du bien, à vos cheveux comme à votre mood.
Il y a des salons de coiffure… et puis il y a Coiffeur Kut, celui où on a envie de traîner, papoter et ressortir avec le cheveu soyeux et le moral au top. Derrière ce concept parisien se cache Jérôme Beaulieu, coiffeur au parcours remarquable, passé par des salons parisiens de renom et ayant
travaillé sur des plateaux télé, pour le cinéma ou pour des shootings et des défilés de la Fashion Week. Jusqu’au jour où il s’est dit qu’il était temps d’arrêter de coiffer des stars pour revenir à l’essentiel : l’humain, l’échange, le vrai contact. En 2011, il ouvre donc Coiffeur Kut Paris, dans le quartier FaidherbeChaligny, avant d’inaugurer un second salon rue Oberkampf en 2015. Deux adresses du 11e où l’on se sent comme à la maison.
Chez Coiffeur Kut, pas de blabla marketing : ici, on bichonne vos mèches avec des produits triés sur le volet, Kevin Murphy, Redken, ainsi qu’une gamme naturelle développée par la maison, à 97 % d’ingrédients

d’origine naturelle et 100 % made in France. Côté coloration, pas d’odeur d’ammoniaque qui pique le nez : les coiffeurs coloristes établissent un vrai diagnostic, discutent, conseillent et proposent la teinte qui vous va, pas celle du nuancier.
Le secret de Jérôme ? Des équipes bienveillantes, soudées, et une ambiance qui respire la diversité et la curiosité. Que vous veniez pour un botox capillaire, un soin japonais Tokio, un balayage glossy, ou simplement papoter autour d’un café entre deux coups de ciseaux, vous repartez boosté. Tout est pensé pour que le moment soit agréable et
personnalisé. On prend le temps de vous écouter, de comprendre vos envies et vos besoins capillaires. Coiffeur Kut, c’est un lieu à part, où la coiffure retrouve ce qu’elle devrait toujours être : un vrai moment pour soi. ¤ M.S.
Coiffeur Kut Paris
23, rue Paul Bert – 11e
Tél. : 01 43 56 28 36 27, rue Oberkampf – 11e
Tél. : 01 43 55 07 47
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h (jeudi de 11h à 20h) coiffeurkut.fr @coiffeurkutparis





Et si on vous disait que vous pouvez dénicher de jolies pièces à prix réduits tout en faisant une bonne action ? Rendez-vous du 4 au 7 décembre aux Magasins Généraux pour la Grande Braderie de la Mode AIDES !
La Grande Braderie de la Mode de l’association AIDES est de retour pour une nouvelle édition hivernale aux Magasins Généraux de BETC, du 4 au 7 décembre. À cette occasion, l’asso créée en 1984 invite tous les amateurs de mode pour une séance de shopping effrénée, entre perles rares et prix d’amis.
Toutes les plus belles marques se mobilisent pendant quatre jours, de Maje à Ysé, en passant par Maison Kitsuné et AMI Paris, pour vous proposer le meilleur du prêt-àporter femme, homme et enfant, ainsi que
des accessoires de mode ou des objets de décoration, le tout à prix bradés allant jusqu’à -70 %.
Et parce qu’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, l’intégralité des bénéfices de la vente est reversée à la lutte contre le VIH/sida, permettant ainsi de financer des actions de prévention avec préservatifs et kits de dépistage. Participer à la Grande Braderie, ce n’est donc pas seulement dénicher de (très) bonnes affaires, c’est aussi soutenir l’asso dans son combat ! ¤ M.S.
La Grande Braderie de la Mode de AIDES Magasins Généraux de BETC 1, rue de l’Ancien Canal – Pantin (93) Du 4 au 7 décembre 2025 aides.org/braderie


Vous avez sûrement déjà aperçu l’une des enseignes Écouter Voir au hasard de vos déplacements. Bonne nouvelle, cette adresse d’optique et d’audition mutualistes sera de plus en plus visible dans les rues de la capitale. Pour en savoir davantage sur leur modèle unique, nous nous sommes rendus au sein de leur nouveau magasin du boulevard Saint-Michel.
Si l’on devait résumer le fonctionnement singulier d’Écouter Voir, il suffirait de quelques mots : des magasins appartenant à un réseau mutualiste, intégré à un écosystème de santé global. Le concept est simple : permettre à chacun de bénéficier des meilleurs équipements au prix le plus juste, accompagnés par des professionnels
de l’optique et de l’audition. Et en plus, acheter ses lunettes ou ses aides auditives contribue au développement d’autres établissements mutualistes : crèches, Ehpad, cliniques…
Sur place, vous trouverez des experts de l’optique et de l’audition engagés, prêts à répondre à vos besoins. Pour cela, chaque client bénéficie d’un parcours de soin personnalisé avec une phase d’écoute, une présentation des solutions optiques et auditives les mieux adaptées à ses attentes et son budget.
Côté lunettes, vous avez le choix entre un large éventail de grandes marques ou les collections de l’enseigne avec


notamment la marque JUSTE., portant le label Origine France Garantie. Une façon pour Écouter Voir de contribuer au maintien de l’emploi local, tout en proposant des produits de qualité, accessibles et plus respectueux de l’environnement. Côté audition, n’hésitez pas à venir faire le point avec l’audioprothésiste, qui vous fera découvrir les dernières technologies en matière d’aides auditives.
Plus qu’un simple magasin, Écouter Voir, enseigne engagée, place l’humain au cœur de ses priorités et porte des valeurs de responsabilité et de solidarité, dans un environnement accueillant et chaleureux. Et si, de notre côté, nous ne sommes allés faire un tour que
du côté du boulevard Saint -Michel, rassurez -vous, l’enseigne est déjà présente dans d’autres quartiers, et ouvre prochainement de nouveaux points de vente, pour faire rayonner une autre manière de voir le monde… ou de l’écouter ! ¤ C.V.
Retrouvez nous dans les magasins Écouter Voir parisiens gérés par le groupe VYV : 7, bd. Saint-Michel – 5e (optique & audition) Du lundi au samedi (10h – 19h)
Tél. : 01 40 03 35 90 68, bd. Beaumarchais – 11e (optique & audition) 1, av. du Trône – 11e (optique & audition) 74, quai de Jemmapes – 10e (optique) 98, rue d’Alésia – 14e (audition) www.ecoutervoir.fr
Située entre le 9e et le 18e, la rue des Martyrs est aujourd’hui l’une des rues commerçantes les plus prisées de Paris. Mais connaissezvous réellement son histoire ? On vous invite aujourd’hui à parcourir la voie de bout en bout, et à remonter le temps, à la découverte de ses secrets bien gardés.
On commence notre parcours au numéro 8 de la rue des Martyrs. Dès 1858, l’immeuble a accueilli un des pères du spiritisme, Allan Kardec. Il y tiendra séances, réunions, conférences… Bref, tout ce qu’il faut pour convoquer l’au-delà. Quelques décennies plus tard, toujours dans la même bâtisse : exit les morts et place à la maison close hygiène et massage de Miss Ariane. Très prisée par le beau monde, elle y accueille des sénateurs tels que Antonin Dubost, qui y casse sa pipe en 1921. Ironique, non ?
Au numéro 10, on retrouve deux fresques publicitaires. On pourrait croire qu’elles sont là depuis qu’elles ont été peintes au début du XXe siècle, mais non. Elles ont été redécouvertes en 2012 ! Le petit plus ? Ce sont les deux seules réclames classées monument historique en France. Rien que ça.
On continue au numéro 22, qui abritait dans les années 60 un club de catch où s’entraînait un autre monument français, André The Giant. Avec ces 2m18 et 245 kilos, il est le seul Français à dominer la discipline dans les années 80. Et il a même été vu à l’écran dans la série américaine des années 70 : L’Homme qui valait trois milliards. Au 23, le peintre Théodore Géricault
– qui a notamment peint le très connu tableau Le Radeau de la Méduse – installe son tout premier atelier en 1812.
Malheureusement, quelques années plus tard, il tombe de cheval dans cette même rue, se brise le dos et meurt à 32 ans. Au numéro 40, un autre génie a parcouru la rue des Martyrs. Le grand Maurice Ravel, maestro du Boléro, qui y a passé sa jeunesse de 1875 à 1880. On termine le périple au numéro 75, devant le cabaret Madame Arthur, ex-Divan du Monde, mais surtout ex-Divan japonais. Comme son nom l’indique, ce lieu renfermait jadis un cabaret japonisant un peu fou, avec lanternes, panneaux de soie, bambous et tutti quanti, et rendu célèbre notamment par une affiche très populaire de Toulouse-Lautrec. ¤ M.S.




Entre les Halles et Arts et Métiers se cache une adresse que les amateurs de sapes vintage se refilent comme un secret bien gardé. Entre la chaleur de l’accueil, la variété des pièces et les prix en baisse, Rétro a tout de la friperie coup de cœur.
La musique techno en fond sonore donne le ton : ici, on chine en tapant du pied. Autour de soi, des portants soigneusement ordonnés, des vêtements classés par thème, style ou époque. Le lieu est grand, lumineux à l’étage et plus dark au sous-sol… deux salles, deux ambiances comme on les aime. Et pour ceux qui
préfèrent chiller, deux immenses canapés façon Friends vous tendent les bras.
Entre les vestes en cuir 80’s, les chemises fleuries, les K-Way fluo et les jeans Levi’s 2 000’s, la sélection est aussi éclectique qu’accessible. Les prix ? Plus que raisonnables : 5 € le haut, 20 € le manteau, un bac à 1 €, un portant à 2 €, et même une Cheap Room pour les petits porte-monnaie. Rétro pense à tout le monde, même aux enfants, avec une cabine d’essayage rien que pour eux.
Cette saison, Rétro propose une remise d’au minimum 20 % sur l’ensemble de la boutique,

un clin d’œil malin à l’inflation : « Votre pouvoir d’achat diminue, nos prix aussi ! » affiche la vitrine. Une façon pleine d’humour de rappeler que le vintage reste la meilleure alternative à la fast-fashion. Et pour les plus malins, de belles promos sont aussi réservées aux abonnés du compte Instagram de la boutique.
Sur place, on chine autant qu’on papote. Un corner jeunes créateurs dédié à l’upcycling s’installe tous les deux mois, histoire de « laisser la chance à tout le monde ». Et chaque samedi du milieu du mois, la boutique se transforme en mini-event : DJ set, tatouages flash et parfois même vin
chaud offert. Vous l’aurez compris, Rétro c’est un lieu qui nous ressemble : chaleureux, inclusif et terriblement vivant ! Le genre d’endroit où l’on croise des casquettes de foot vintage, des lunettes rétro et des santiags qui n’attendent qu’une chose : leur nouvelle vie.
En attendant le prochain event, un conseil : restez connectés, des surprises vous attendent à Noël !
¤ R.T.
Rétro
20, rue de Turbigo – 2e
Ouvert tous les jours jusqu’à 20h @retro_paris2
Du 14 au 16 novembre 2025, le CENTQUATRE-PARIS se transforme en temple du goût et des bons produits. Trois jours pour redécouvrir le sens du mot “terroir”, pour mettre un visage sur les fromages, beurres et crèmes que l’on aime et pour célébrer — sans modération — le meilleur des Appellations d’Origine Protégée.
Le principe de l’AOP Festival ? Réunir au même endroit les 51 AOP laitières françaises — 46 fromages, 3 beurres et 2 crèmes — le tout dans une ambiance à mi-chemin entre le marché de producteurs, la fête de village et un DJ set avec Radio Nova. Parce qu’ici, on goûte, on apprend, on échange, mais surtout, on se régale !

Au menu de ces journées où la gourmandise est légion ? Dégustations gratuites, marché de producteurs venus des quatre coins de la France, démonstrations culinaires animées par des chefs comme Justine Piluso ou Jorick Dorignac, concerts, DJ sets… Le tout, dans le cadre industriel et lumineux du CENTQUATRE, parfait pour accueillir ce grand bain de convivialité et de fromage affiné à cœur.
Cette 3e édition aura aussi une saveur particulière : elle fêtera les 100 ans du Roquefort, première appellation d’origine reconnue en 1925. Un centenaire qui rappelle combien ces produits ne sont pas de simples denrées, mais de véritables morceaux d’histoire, de savoir-faire et de culture française.
Et si vous doutiez encore de la confiance que les Français accordent à ces petits logos rouge et or : selon le dernier baromètre CNIEL - CNAOL - Kantar, 80 % des consommateurs font confiance à l’AOP. Une reconnaissance qui a de quoi faire fondre n’importe quel lacto-sceptique !
¤ R.T.
AOP Festival – 3e édition
Le CENTQUATRE-PARIS – 5, rue Curial – 19e Du vendredi 14 au dimanche 16 novembre Vendredi 17h-21h / Samedi 11h-21h / Dimanche 11h-19h
Entrée libre produits-laitiers-aop.fr/aop-festival



À deux pas de Reims, l’hôtel & spa LOISIUM
Champagne s’illustre comme une destination incontournable pour un séjour dépaysant et relaxant, non loin de Paris. Vignes, gastronomie, espace bien-être…
Tous les ingrédients sont réunis pour obtenir la recette d’une escapade parfaite.
Inutile de partir loin pour s’évader pleinement. La preuve ? À moins de deux heures de Paris, se trouve l’hôtel LOISIUM, un établissement singulier où confort et élégance forment la plus belle harmonie. Ici, en lisière de forêt et en plein cœur des vignes champenoises, cet établissement
4 étoiles vous propose une parenthèse de déconnexion totale. Situé en haut d’un charmant petit village, il permet d’obtenir une vue panoramique d’exception à 180° sur le parc naturel régional de Reims. Et ce n’est qu’un avant-goût des nombreuses surprises que cet hôtel réserve…
En plus de ses nombreuses chambres et suites toutes plus raffinées, l’hôtel LOISIUM s’illustre comme une véritable bulle hors du temps avec son spa de 1 000 m2. Entouré de baies vitrées, cet espace bien-être offre une immersion unique dans la nature environnante, aussi calme que luxuriante.

Boiseries, teintes claires… Tout est pensé pour favoriser la détente. C’est sans compter les nombreuses options de massages personnalisés, le sanarium, le sauna ou encore la piscine extérieure chauffée au milieu des vignes qui sauront vous faire oublier tous les tracas du quotidien.
Et parce que la détente de l’esprit passe par l’extase des papilles, direction La Table des Amis. Du petit-déjeuner au dîner, le restaurant sublime les plats régionaux traditionnels, en leur apportant une touche supplémentaire de créativité, de modernité et d’audace. Les assiettes sont, bien
sûr, accompagnées des meilleurs vins et champagnes de la région, pour obtenir des accords subtils et parfaits. Si l’envie de prolonger les découvertes vous en dit, la région regorge de balades à faire à pied ou à vélo à travers les vignobles, ou d’excursions auprès de producteur·ice·s de Champagne prêt·e·s à vous faire découvrir la richesse locale. Alors, vous y allez quand ? ¤ L.G.
LOISIUM Champagne
1, allée de la Sapinière – Mutigny (51) loisium.com @loisiumwineandspahotels

Il a le verbe doux, le piano tellurique et l’humour d’un vieux copain de nuit. Avec La Sultane, André Manoukian creuse ses racines arméniennes et marie les cordes d’Appassionato aux tablas de Mosin Kawa, les ritournelles de Stravinsky aux parfums levantins. Un disque comme une berceuse en mouvement, dédiée aux femmes, à la mémoire et aux chemins qui relient. Conversation au fil des notes.
La Sultane démarre par une image : une mère, une sœur, un surnom d’amour. À quel moment ce souvenir intime a-t-il dépassé la nostalgie pour devenir un matériau musical ?
Le déclic arrive quand je me rends compte que ce petit mot d’enfance porte une histoire lourde mais aussi une envie très simple de paix. Je me dis que j’ai envie de pointer ce qui rassemble, la table qu’on partage, la musique et la cuisine qui se répondent. Chez nous, Arméniens de l’Empire, tout ça s’est mélangé très longtemps avant le génocide. Et un jour, tout à la fin de sa vie, j’entends mon père chanter en turc. Il me dit que c’est une chanson d’amour, que c’est une belle langue. Ça m’émeut profondément. Et puis Aznavour, avec qui j’ai travaillé, m’a dit un jour qu’il fallait qu’on se parle,
que les haines devaient s’apaiser, tout en refusant lui-même de jouer en Turquie tant que le génocide ne serait pas reconnu. Tu vois, on peut se rapprocher et garder une ligne. À partir de là, la mémoire n’est plus figée. Elle devient musique.
Si l’album était une scène de famille, on verrait quoi sur la table ? On entendrait qui parler trop fort ?
On trouverait des feuilles de vigne farcies, des aubergines farcies, du tarama… Celle qui parle le plus fort, c’est ma mère, la joie, la fête. Mon père, plus soucieux, se tient un peu en retrait. Sur la table, tu as à la fois la gaieté et la profondeur, l’amour débordant et cette petite crainte que tout s’arrête. C’est l’héritage des familles passées

par le trauma, mais qui ont eu l’intelligence de ne pas nous transmettre la haine. Ça s’entend dans la musique, cette chaleur tenue par une forme de gravité.
Justement, tu mêles Orient et Occident dans ta musique. Qu’est-ce qui te bouleverse le plus dans cette rencontre ?
Cette extase de la mélancolie, ce moment où la lumière et l’ombre coexistent. On est majeur et mineur à la fois. C’est le blues, c’est la saudade. Tu exprimes une tristesse mais la musique la transforme en beauté et ça console. L’Orient m’a ouvert un océan de modes. En classique on a deux gammes, en jazz sept. En Orient, on en décompte des dizaines et en Inde des centaines de ragas. Tout d’un coup, de nouvelles couleurs te tombent dessus. Tu remontes le fil, Inde, Perse, Méditerranée, Europe, et tu vois que tout s’est parlé depuis toujours. Cette pensée croisée rend la musique plus honnête. On accepte la contradiction, on entre dans l’universel.
Tu cites Stravinsky pour la composition du morceau-titre : « au milieu du chaos, une petite ritournelle russe ». C’est quoi une bonne ritournelle pour toi ?
Une phrase qu’on retient d’emblée, qu’on se surprend à murmurer. Plus c’est simple, plus on peut s’éclater dans l’harmonie et l’orchestration. J’aime l’idée de la ritournelle chez Deleuze, retrouver l’enfance avec des moyens d’adulte. Écrire une vraie ritournelle, c’est beaucoup plus difficile qu’on ne croit. Il faut lâcher quelque chose, abandonner le trop-savoir, laisser venir. C’est l’équilibre qui m’intéresse.
Dans cet album, Arpi Alto chante une berceuse où l’enfant ne dort pas tant que le monde gronde. Comment on écrit de la douceur qui n’est pas mièvre ?
En laissant tomber la pose. Le matin, je m’assois au piano sans réfléchir, j’enregistre tout, pendant presque un an. Ensuite seulement, je trie, j’assemble. La douceur forcée devient du sucre, le tragique appuyé fatigue. Alors je dose, je laisse respirer. Je joue d’abord tout
au piano seul, puis je fais entrer les percussions. Mosin Kawa, avec ses tablas, raconte des choses incroyables, c’est une langue presque sacrée, une incantation transmise de père en fils. Enfin j’ouvre le ciel avec les cordes d’Appassionato. À la fin, l’équilibre tient parce qu’on a respecté l’inconscient au début et la structure ensuite.
Ton disque précédent, Anouch, était dédié à ta grand-mère rescapée du génocide. La Sultane élargit le portrait des femmes. Qu’as-tu appris des femmes de ta famille ? J’ai été élevé par des femmes ! Ma mère, ma sœur, ma grand-mère, une nounou espagnole… L’amour débordant, parfois envahissant, mais qui te fait sentir l’être le plus aimé du monde. Il y a une rage de vie salvatrice. Ma grand -mère a sauvé ses sept sœurs plusieurs fois, par ruse, par entêtement. Elle a même fait la folle pour faire peur aux soldats. Elle a obtenu la protection d’un commandant, puis le passage vers le bateau. Les hommes se battent, les femmes maintiennent la barque.
Un silence célèbre que tu envies à un autre compositeur ?
Le silence après Mozart, lorsqu’il reste encore de la musique dans l’air. Et chez Miles Davis, ce moment où il n’y a plus rien, tu tends l’oreille, tout devient plus intense. Le silence n'est pas un vide. Sur scène, je dois me battre avec moi- même pour ne pas tout remplir. Je me dis « prends ton temps, respire, laisse circuler la vraie musique »…
Il y a chez toi un amour pour les villes-ports : Smyrne, Istanbul, le Levant des musiques métissées… Si La Sultane était un quartier, on marcherait où ?
À Istanbul, dans le quartier de Galata ou sur le pont qui relie l’Asie et l’Europe. C’est une ville cosmopolite depuis toujours. Mon père est né à Smyrne, tu pouvais y voir des Rolls-Royce croiser des caravanes de chameaux. Toutes les richesses circulaient d’un bord à l’autre.
Un trajet parisien que tu adores et la musique qui va avec ?
J’adore filer à vélo du 11e à Montparnasse. Je traverse la rue des Archives, Rivoli puis l’Île de la Cité, j’emprunte le pont qui m’amène chez Berthillon, il y a souvent un pianiste avec un vrai piano que j’adore. Je file rue des Écoles, je passe devant l’Odéon, le Luxembourg, puis la rue de Rennes. Ça me prend une vingtaine de minutes, pourtant je traverse des époques. Pour la bande-son, « À bicyclette » évidemment.
Tu peux me parler d’un souvenir de nuit à Paris que tu gardes comme un secret ?
Je me souviens d’un soir de ma jeunesse après un Olympia, un lundi jazz qui finit aux Halles vers quatre heures du matin. Je revois les riches fêtards en fourrures qui croisent les forts des Halles au premier calva. Ça discute, ça rit, ça commande à manger, j’avais l’impression d’être au cinéma… Paris t’offre parfois une belle bascule, un mélange des mondes.
¤ Sarah Sirel
La Sultane / [PIAS] Recordings France / Déjà disponible En concert le 28 mars 2026 à la salle Pleyel – 8e
















21 mars au 19 avril
Vous avez un blocage sur une situation évidente. Fidèle à vous-même, vous foncez sans réfléchir en ce mois de novembre, et cela vous va plutôt bien ! Pour ceux qui se demandent : oui vous allez pécho !
21 mai au 21 juin
Vous vous libérez de chaînes auxquelles vousvous êtes attachés vous même il y a bien longtemps, bande de SM hardcore auto satisfaits. Je vois l’arrêt des efforts, le lâcher prise, et le chill ultime !
20 avril au 21 mai
Coup de foudre pour vous les bovins !
Vous défoncez tout ce qui se trouve devant sans prendre le recul nécessaire. Au final, ça va passer mais accrochez-vous, cette target peut être la bonne !
22 juin au 22 juillet
Vous êtes chauds de la galette ce mois-ci les cancer. C’est la révélation et la renaissance pour vous. Je n’ai rien d’autre à dire à part que vos conjoints devraient se faire du souci. Hihi.
23 juillet au 22 août
Vos fondations sont solides, et votre confiance en vous est au beau fixe.
Ce sont les conditions idéales pour rencontrer un partenaire sexuel relatif, comme à votre habitude.
23 août au 22 septembre
Vous allez gagner plein de thunes, c’est la folie. Héritage, augmentation, nouveau boulot, mallette de billets reçue après un kidnapping, peu importe, vous allez palper les loulous, et ça, ça fait plaisir.
Mesdames, Messieurs, en novembre sera solaire pour tout le monde ! De mémoire, jamais Perlouze et Miss Raph, vos serviteuses, n’avaient eu un tel tirage ! Profitez-en décembre ça retrash !
¤ Miss Raph & Perlouze
23 septembre au 23 octobre
Vous êtes déterminé et vous avez plein de projets, que vous allez mener à bien !
Un beau mois en prévision. De plus, cette nouvelle coupe de cheveux, et ben c’est vraiment une réussite !
24 octobre au 22 novembre
Bah ça va franchement.
Franchement bah ça va bien quoi, vous allez bien, il vous arrive pas grand chose, ça va, ça va quoi. Ca va même vachement bien dis donc à ce que je vois. Wow.
23 novembre au 22 décembre
Vous avez un fantasme depuis un bout de temps, qui va se réaliser ! Du moins en partie. Enfin je suis même pas sûr, attendez. Ah finalement on me dit que non. Ou maxi peut-être, vous verrez !
21 janvier au 18 février
Un voisin vous agace, soufflez un coup et soyez cool avec lui, sinon vous allez avoir envie de lui mettre un chassé dans sa tête de teuffeur égoïste. Sinon l’amour ça cartonne, vous allez faire tourner des têtes.
23 décembre au 20 janvier
Vous prenez des nouvelles d’un ex… qui va plutôt bien. Il va mieux sans vous à priori. Mais à part ça je respecte le thème, vous allez passer un bon mois, y aura des frites au self mardi 18.
19 février au 20 mars
Franchement vous avez bien travaillé pour être au top et vous en récoltez les résultats. Attention néanmoins au début de la saison de films d’hiver, vous allez regarder pas mal de daubes !

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Allez les Dogues de Charleroi !
J'espère que ton maillot t'a plu, Elmir !
Vivement le Ski !
On t’a déjà dit, Cyril, que ton flow balançait grave ? Quand tu marches, t’envoies salement !
Je t’aime très fort mon lion d’amour.
Ta tigroot caliente.
Allez voir Fin, Fin et Fin au théâtre Lepic !!
Usage multiple à fond dans la Xantia !
Ne pleurez pas mon départ, restez Positif ! Carlos
Welcome on board ! Phavina, Louise, Lucas et Anouk


DE GARY OWEN
MISE EN SCÈNE GEORGES LINI
JEUDI 4 / VENDREDI 5 ET SAMEDI 6 DÉCEMBRE À 20H30
