La mag numéro 18

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SOLIDARITÉ-PRÉVENTION

N° 18 DÉCEMBRE 2021

PRÉVENIR LES RISQUES, AGIR EN SOLIDARITÉ POUR LES SALARIÉS DES SERVICES DE L’AUTOMOBILE

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LE DOSSIER

Produits allergènes : les identifier pour bien s’en protéger P. 6

LA PROTECTION AU QUOTIDIEN Comment bien travailler par temps froid ?

P. 11

L’ŒIL DE L’EXPERT Comment prévenir les accidents de la route ?

P. 12

PARLONS MÉTIER Vendeur de pièces détachées en magasin


SOMMAIRE #TOUTROULE

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EN BREF

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LA PROTECTION AU QUOTIDIEN

P. 6

P. 6

Comment bien travailler par temps froid ?

P. 4

LE DOSSIER

P. 12

P. 7

Produits allergènes : les identifier pour bien s’en protéger

L’ŒIL DE L’EXPERT

P. 11

Comment prévenir les accidents de la route ?

PARLONS MÉTIER

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Vendeur de pièces détachées en magasin

LES TÉMOIGNAGES

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UNE LAMPE DE LUMINOTHÉRAPIE À GAGNER*

PARTICIPEZ À NOTRE JEU-CONCOURS !

Pour lutter contre le blues hivernal, nous vous proposons de gagner une lampe de luminothérapie, afin de vous faire profiter d'une cure de lumière à domicile ou au bureau. La lampe que nous avons sélectionnée pour vous émet une lumière blanche chaude mais sans UV, douce et agréable. Son écran permet une exposition optimale à la lumière et peut être installé à la verticale ou à l'horizontale. Avec une exposition de trente minutes par jour, vous bénéficiez d'une véritable cure de lumière pour retrouver toute votre vitalité.

Pour jouer, rien de plus simple ! Rendez-vous sur votre Espace Internet Solidarité-Prévention :

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Vous serez peut-être l’un de nos trois heureux gagnants. Indice : toutes les réponses se sont glissées dans votre magazine. À vos marques, lisez et connectez-vous !

GAGNANTS DU JEU-CONCOURS DE SEPTEMBRE 2021 Un grand bravo à : Mme Catherine VADEBOIN (Bourg-en-Bresse) M. Rémy DORELLE (Dunières) M. Stéphane PICARD (Grenade) Ils ont gagné un CASQUE AUDIO BLUETOOTH d’une valeur de 194,99 € TTC

* D'une valeur de 129 € TTC (il y en aura trois à gagner). Jeu réservé aux salariés des services de l'automobile. Consultez le règlement sur votre Espace Internet Solidarité-Prévention.

CETTE PUBLICATION EST ÉDITÉE PAR IRP AUTO SOLIDARITÉ-PRÉVENTION, association régie par la loi 1901, 39, avenue d’Iéna - CS 21687 - 75202 Paris CEDEX 16 Directeur de la publication : Jules SITBON COMITÉ DE RÉDACTION : Chloé BESSON, Anne GEESEN, Véronica LOPEZ et Juliette ROUSSEAU

CONCEPTION : SLOOP Communication (agencesloop.com) IMPRESSION : Imprimerie Solidaire CRÉDITS PHOTO : IRP AUTO Solidarité-Prévention / Lionel MOREAU, AdobeStock, Flaticon, Shutterstock, Silvère KOULOURIS ISSN : 2606-1309


Votre page dédiée à la prévention et à la solidarité pour les professionnels de l'automobile. Retrouvez des informations, des quiz, des articles et des vidéos pour vous aider au quotidien. Voici une sélection de messages.

Risque chimique : comment éviter un départ de feu Le risque d'incendie n'est pas à prendre à la légère. Le départ de feu peut engendrer des dégâts plus ou moins importants : retrouvez nos conseils pour réduire ce risque.

Fatiha, responsable d’agences de location de voitures

Zoom sur un métier : vendeur concession automobile Le vendeur concession automobile, c'est celui qui connaît le marché automobile comme sa poche et qui se rend disponible pour répondre à toutes les attentes du client.

Lexique « PAS » (Protéger – Alerter – Secourir) PAS : la règle d'or à suivre en cas d'accident au travail, à la maison ou sur la route.

Suivez-nous et retrouvez notre actualité sur

N˚18 - DÉCEMBRE 2021

IRP AUTO Solidarité-Prévention est au service de tous les salariés et de toutes les entreprises de la branche des services de l'automobile. • Commerce d’automobiles • Commerce de véhicules industriels et d’utilitaires • Réparation d’automobiles • Réparation de véhicules industriels et d’utilitaires • Commerce de détail d’équipements automobiles • Commerce de détail de carburants en magasin spécialisé • Commerce et réparation de motocycles • Commerce de cycles

• Réparation de cycles • Contrôle technique automobile • Enseignement de la conduite • Centres de formation des enseignants de la conduite • Location courte et longue durée • Commerce de gros de pièces automobiles d’occasion • Commerce de détail de pièces automobiles d’occasion • Parc de stationnement • Station de lavage

Plus d’informations sur votre Espace Internet Solidarité-Prévention www.irp-auto.com PRÉVENIR LES RISQUES, AGIR EN SOLIDARITÉ SOLIDARITÉ-PRÉVENTION

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EN BREF

UNE JOURNÉE MONDIALE POUR LES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP EN FRANCE

Depuis 1992, la Journée internationale des personnes handicapées est célébrée tous les 3 décembre. Elle vise à promouvoir les droits et le bien-être des personnes en situation de handicap, et à sensibiliser les citoyens à leur situation, sur le plan politique, social, économique et culturel. Les services de l’automobile comptent plus de 7 000 travailleurs en situation de handicap, représentant 1,7 % des salariés de la branche. Ils sont notamment répartis sur les secteurs du commerce de véhicule et de la réparation mécanique.

12 millions de Français

sont atteints d’un handicap,

dont 9 millions avec un handicap « non visible » (épilepsie, autisme, pied bot, etc.).

350 000 enfants ou adolescents sont en situation de handicap.

IRP AUTO Solidarité-Prévention a placé le handicap au cœur de ses missions de solidarité et propose un accompagnement de tous les salariés confrontés à une situation de handicap à travers :

L’inclusion du handicap est un aspect essentiel du respect des droits de l'Homme.

des aides financières pour l’aménagement du domicile et du véhicule ou le financement d’un appareil ;

Il est possible de demander une reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) à la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH).

un accompagnement dans les démarches administratives ;

Cette RQTH permet de bénéficier d’aides spécifiques, et notamment d’un aménagement de son poste de travail si cela s’avère nécessaire. Une aide financière de la part de l’Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées (Agefiph) pourra, à cet effet, être octroyée à l’employeur. La RQTH est attribuée pour une durée de un à cinq ans et renouvelable.

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t, l'intervention d'un ergonome, sur demande e de l'entreprise, pour une étude du poste de travail.

Contactez nos équipes : solidariteprevention@irpauto.fr

09 69 39 02 45

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EN HIVER, N’OUBLIEZ PAS DE FAIRE LE PLEIN DE LUMIÈRE ! La lumière naturelle est vitale et influe directement sur notre cycle physiologique. Sommeil, humeur, mémoire, capacités d’apprentissage, santé des os, immunité, etc., la liste de ses effets biologiques est longue. En hiver, il est donc important de continuer à en bénéficier. Pour faire le plein de lumière, pensez à : • prendre des pauses régulières à la lumière du jour (même par temps nuageux) ; • réaliser, si possible, un maximum de tâches en extérieur ; • nettoyer régulièrement les vitres pour favoriser l’entrée de lumière ; • privilégier des matériaux transparents ou bien réfléchissant la lumière (des peintures dédiées existent). Pour compenser le manque de vitamine D apportée par le soleil, il est recommandé de consommer des poissons gras (saumon, thon, hareng, sardine, etc.), des œufs, des produits laitiers, des champignons et du chocolat noir. Ce dernier est également riche en magnésium et sera un véritable allié anti-déprime pour l’hiver ! La luminothérapie, qui utilise des rayons lumineux proches de ceux du soleil, peut également être une solution pour traiter les troubles associés aux dérèglements de l’horloge biologique interne ou combler votre besoin quotidien de lumière.

N’hésitez pas à participer à notre jeu-concours pour tenter de gagner une lampe de luminothérapie !

LA SOURIS ERGONOMIQUE : UN OUTIL PLEIN D’ATOUTS L’utilisation répétitive et prolongée d’une souris d’ordinateur classique peut, dans certains cas, provoquer des troubles musculo-squelettiques tels que le syndrome du canal carpien*. Pour les éviter, adoptez la souris verticale. Contrairement à une souris classique, la souris ergonomique (ou verticale) s’adapte à la position naturelle de l’avant-bras. Elle doit être bien choisie, afin que sa forme, sa taille et l’emplacement des boutons conviennent parfaitement à la main de l’utilisateur. La souris verticale permet également une meilleure prise en main qu’une souris classique, qui peut être glissante et qui oblige à tendre ses doigts pour la contrôler. Par ailleurs, pour réduire l’atteinte musculo-squelettique et la fatigue, il est recommandé pour tout travail sur écran : • de ne pas laisser sa main sur la souris en « position de clic » quand cela n’est pas nécessaire ; • de pratiquer des exercices d’échauffement avant la journée de travail et d’étirement en fin de journée ; • de faire des pauses actives toutes les deux heures ; • d’alterner les tâches sur écran et le travail de bureau.

INTERVENTIONS L’intervention « Gestes et postures » d’IRP AUTO Solidarité-Prévention permet aux salariés d’être sensibilisés aux bons mouvements et aux bonnes postures en situation de travail. Parlez-en à votre responsable.

Rendez-vous en page 2 pour en savoir plus. * Le syndrome du canal carpien se manifeste par des douleurs, des fourmillements, des pertes de sensibilité, ou encore des sensations de décharges électriques au niveau des trois premiers doigts de la main.

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LA PROTECTION AU QUOTIDIEN

Comment bien travailler par temps froid ? Hypothermie, glissades, gelures, fatigue accrue, assoupissements, etc. Les risques liés aux activités par temps froid sont nombreux. Il est essentiel de bien s’y préparer. Lorsqu’il fait froid, notre organisme cherche naturellement à se réchauffer afin de maintenir notre température corporelle à un niveau stable. Cela peut avoir plusieurs conséquences sur notre santé physique :

• une fatigue plus importante ; • des risques d’assoupissement, pouvant entraîner un accident ; • l’engourdissement du corps, et plus particulièrement des mains, aboutissant à une perte de la dextérité et de la sensibilité des doigts ; • l’apparition de crampes musculaires ; • le risque de glissades, et donc possiblement de fractures.

En milieu extérieur, ces effets sont accentués par le vent. Lorsque celui-ci est fort et que l’exposition est longue, un risque d’hypothermie apparaît : la température interne de notre corps n’arrive plus à se réguler à 37 degrés et diminue. À 35 degrés, il s’agit du premier stade de l’hypothermie. Lorsque la température de notre corps atteint 28 degrés, les fonctions vitales sont sévèrement touchées.

Les moyens de prévention

Les extrémités du corps sont essentielles à protéger, car elles sont une source de déperdition de chaleur importante. En plus des gants pour les mains et de bonnes chaussures imperméables pour les pieds, il ne faut pas oublier le cou et la tête, très vulnérables au froid. Enfin, en cas de froid intense ou d’exposition prolongée, l’utilisation de bouillottes portatives peut être un plus.

Alimentation et hydratation Une alimentation équilibrée permet au corps de garder un niveau d’énergie suffisant pour s’autoréguler face au froid. Les soupes avec des légumes de saison et les boissons chaudes aident également à se réchauffer. Pensez à manger à chaque repas des féculents, et notamment des légumineuses et des céréales, plus riches en fibres, pour conserver de l’énergie toute la journée. Côté collation, privilégiez les fruits secs, très riches en vitamines, énergiques et rassasiants.

Afin de limiter les risques du travail par temps froid, la première solution est de diminuer son temps d’exposition aux températures basses, soit en limitant les tâches à effectuer en milieu froid, soit en prenant des pauses régulièrement dans un espace chauffé. Pour toute tâche physique, il est par ailleurs essentiel de bien échauffer ses articulations et ses muscles afin d'éviter les blessures et les tiraillements. Il est également recommandé d’utiliser des vêtements spécifiquement adaptés au froid, et de multiplier les couches afin de conserver la chaleur corporelle. En revanche, il convient d’éviter les textiles qui favorisent la sudation tels que le polyester ou autres matières synthétiques.

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BON À SAVOIR Avant la prise de poste, IRP AUTO SolidaritéPrévention vous propose un programme d’échauffement afin de mettre votre corps en mouvement et de prévenir le risque d’accident. Parlez-en à votre responsable.

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LE DOSSIER

Produits allergènes : les identifier pour bien s’en protéger Les allergies figurent parmi les maladies professionnelles les plus fréquentes. Elles touchent généralement les voies respiratoires et la peau. Comment les identifier ? Que faire pour s’en protéger ? IRP AUTO Solidarité-Prévention répond à vos interrogations.

Retrouvez les dossiers prévention dans votre Espace Internet Solidarité-Prévention, rubrique « Ma prévention au quotidien ».

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LE DOSSIER

Produits allergènes :

les identifier pour bien s’en protéger

Identifier les produits allergènes Le déclenchement d’une allergie nécessite en général un contact répété avec l’allergène. Il s’agit le plus souvent de métaux (chrome ou nickel), de produits chimiques (désinfectants ou aérosols), d’agents biologiques (moisissures ou levures), ou encore de poussières (de bois par exemple).

Afin d’identifier au mieux les produits allergènes, la réglementation sur la classification, l’emballage et l’étiquetage des produits chimiques dangereux définit la classe de danger (sensibilisation respiratoire ou cutanée). Il est ainsi possible de visualiser directement sur l’étiquette, ou bien sur la fiche de données de sécurité (FDS) du produit, si celui-ci contient des agents allergènes (grâce aux pictogrammes et aux mentions H de danger) :

Les manifestations les plus courantes sont respiratoires (rhinite ou asthme) ou cutanées (dermatite de contact allergique). Il existe différents types d’allergies.

SENSIBILISANTS RESPIRATOIRES

• Les allergies respiratoires : Près de 400 produits utilisés en milieu professionnel pourraient être à l’origine d’un asthme professionnel*. Les principaux allergènes que l’on retrouve dans le domaine automobile sont les résines polyuréthanes (qui composent certains vernis, peintures ou colles), le latex ou encore le bois (poussière).

 H334 « peut provoquer des symptômes allergiques ou d'asthme ou des difficultés respiratoires par inhalation »

• Les allergies cutanées : La dermatite de contact représente 70 à 90 % des pathologies cutanées professionnelles. Les principaux facteurs dans le domaine automobile sont les métaux (chrome, nickel, cuivre...), les biocides (utilisés notamment pour le traitement des bactéries dans les réservoirs de carburant), les résines, les colles, les huiles, les graisses et les produits de nettoyage.

SENSIBILISANTS CUTANÉS

317 « peut provoquer une allergie H cutanée »

LE SAVIEZ-VOUS ?

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Environ 150 cas d’asthme professionnel et près de 400 cas de dermatite allergique de contact par an sont déclarés et reconnus en maladies professionnelles (régime général de la Sécurité sociale).

* Source : Caisse nationale de l'assurance maladie (CNAM)

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Les mesures de prévention La solution la plus efficace consiste à supprimer l’allergène ou à le remplacer par un produit moins nocif. Si cela n’est pas possible, il existe des solutions, que l’on peut classer en deux catégories : les mesures de protection collective (à privilégier) et les mesures de protection individuelle (qui viennent en complément).

• Les mesures de protection collective : Un confinement de la zone de travail exposant à des allergènes peut être réalisé. À défaut, un dispositif de captage à la source permet une extraction des polluants et un rejet à l’extérieur des bâtiments (dans le respect des règles de protection de l’environnement). Dans le domaine automobile, il est par exemple possible d’utiliser des ponceuses munies d'un système d'aspiration. L’objectif principal est d’éviter au maximum la mise en suspension, et donc la propagation dans l’atmosphère de produits allergènes. Pour cela, il est également recommandé de réduire l’utilisation de spray aérosol, ou encore de préférer l’usage de pâte plutôt que de poudre.

• Les mesures de protection individuelle : Les masques respiratoires sont des barrières efficaces pour éviter l’inhalation des substances allergisantes. En ce qui concerne la protection des mains, premier outil de travail des salariés de la branche des services de l’automobile, le choix des gants de protection est primordial. Il doit être adapté à la tâche effectuée.

Conseils pour bien choisir ses gants de protection

MÉCANICIEN • Contact avec des carburants • Vidange des huiles usagées • Manipulation de liquide de refroidissement • Nettoyage de pièces

• Entretien batterie

• Intervention sur les freins, embrayages et moteurs • Démontage de pneus

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CARROSSIER  Gants en nitrile réutilisables

 Gants laminés

• Remplacement de surface en carrosserie

 Gants avec une

• Soudure

 Gants en cuir

• Application de mastic

 Gants jetables

multicouches

 Gants avec une

enduction nitrile sur les paumes et le bout des doigts

• Nettoyage à la spatule à mastic

enduction nitrile sur les paumes et le bout des doigts

en nitrile

 Gants laminés multicouches

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PEINTRE

PRÉPARATEUR

• Application de peinture sur des petites ou grandes surfaces du véhicule • Nettoyage du matériel de peinture et de la cabine du peintre

 Gants laminés

• Traitement d'un véhicule

LE SAVIEZ-VOUS ? Pour certaines interventions, des crèmes protectrices dites « crèmes barrières » peuvent être utilisées en remplacement des gants.

 Gants en nitrile réutilisables

multicouches

• Utilisation de diluant pour le nettoyage extérieur du véhicule

 Gants laminés multicouches

Une attention particulière doit également être attachée à l’hygiène et au soin des mains pour prévenir l’irritation cutanée. En cas d’apparition de réactions allergiques, il peut être intéressant de faire appel à un organisme agréé pour réaliser des prélèvements atmosphériques ou de surface. Ces tests peuvent également avoir pour objectif de contrôler l’efficacité des mesures de prévention mises en œuvre.

Et à la maison ? De nombreux produits ménagers contiennent également des agents allergènes pouvant causer des irritations, de l’asthme et de nombreuses allergies. C’est notamment le cas de certains désodorisants, qui émettent des substances odorantes très allergisantes. Les liquides vaisselle, les nettoyants pour sol ou encore les lessives renferment, quant à eux, des conservateurs qui favorisent les irritations de contact ainsi que l’asthme. De plus, les composés chimiques permettant aux désinfectants de tuer les micro-organismes peuvent provoquer des dermatites de contact, voire des brûlures à forte exposition. Afin de vous protéger de ces agents allergènes, préférez les produits naturels comme le vinaigre blanc, le bicarbonate de soude, ou encore le savon noir ou de Marseille. Ils ne contiennent aucun parfum, conservateur ou additif. Autrement, pensez à porter des gants de protection et à aérer chaque pièce pendant et après le nettoyage afin de ne pas polluer l’atmosphère intérieure.

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L’ŒIL DE L’EXPERT

Comment prévenir les accidents de la route ? Lorenzo LEFEBVRE, vice-président de l’ANPER 1

Première cause de mortalité au travail, le risque routier doit faire l’objet d’une grande attention de la part des professionnels. Les quatre principaux facteurs de risque doivent notamment être connus et appréhendés, comme l’explique le spécialiste Lorenzo LEFEBVRE.

Comment expliquer que le risque routier soit la première cause de mortalité professionnelle ? Tout d’abord, parce que de très nombreux salariés prennent leur voiture pour se rendre à leur travail. Statistiquement, le risque d’avoir un accident par ce moyen est donc accru. Mais cela s’explique également par un manque de prévention. Tout le monde pense savoir conduire et personne n’a l’idée de se former régulièrement. La conduite est devenue un acte quotidien auquel on ne réfléchit plus, et c’est là le danger.

Est-ce vrai que les accidents ont souvent lieu sur des trajets courts et connus des conducteurs ? Tout à fait ! Plus les conditions de conduite sont bonnes (belle ligne droite, bonne visibilité, route de bonne qualité, etc.), plus le risque d’accident grave est élevé. Ces bonnes conditions abaissent en effet la vigilance du conducteur. Contrairement à une route de montagne, où la vision du risque est très présente et pousse le conducteur à s’adapter, les trajets les plus « faciles » et fréquemment empruntés sont propices aux distracteurs et à la vitesse, c’est-à-dire à deux des quatre principaux facteurs de risque routier.

conversations avec les autres passagers, etc. Mais surtout le téléphone portable ! Il est en effet de plus en plus souvent utilisé par les professionnels en voiture, pour appeler mais également pour tout un tas d’autres choses. Or, l’être humain ne peut pas être bien attentif à plusieurs situations à la fois. Il est donc fortement recommandé de ne pas utiliser son téléphone portable en voiture. Et lorsque cela n’est pas possible, il est indispensable de limiter son usage, en évitant notamment les appels importants qui demandent une grande concentration ; ou en prévoyant, par exemple, dans les plannings de travail un moment spécifique pour passer ses coups de fil en dehors des temps de trajet.

Quels sont les autres facteurs de risque ? Outre la vitesse et les distracteurs, la fatigue et surtout l’alcool sont principalement responsables des accidents de la route. D’autant que l’effet désinhibant de l’alcool amplifie les autres facteurs.

Comment anticiper au mieux le risque routier ?

Qu’entendez-vous exactement par « distracteurs » ?

Les accidents mortels étant toujours liés à la vitesse, il est essentiel de respecter les limitations. Celles-ci ne sont pas déterminées par hasard, elles sont en corrélation avec le type de route et la résistance de l’être humain.

Il s’agit de tous les éléments qui peuvent venir déconcentrer le conducteur, et donc perturber sa conduite : la musique, les

Il est également important de s’organiser avant de prendre le volant, comme cela va être le cas pour de nombreuses personnes

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rejoignant leur famille pour les fêtes de fin d’année, et notamment : • de se coucher tôt la veille d’un départ afin de ne pas conduire fatigué ; • de ne conduire qu’à des heures où l’on a l’habitude d’être éveillé ; • de trouver une autre forme de mobilité ou de dormir sur place en cas de soirée alcoolisée ; • d’effectuer une vérification complète du véhicule avant un départ en vacances (voire tous les mois) ; • de ne pas partir sans avoir fait vérifier le véhicule par un garagiste en cas de voyants allumés, de bruits suspects, etc. Enfin, il est conseillé de se reformer à la conduite. C’est notamment ce que propose IRP AUTO Solidarité-Prévention avec son audit de conduite. Cette intervention n’a pas pour objet d’évaluer le conducteur, mais de discuter avec lui de ses difficultés et de son comportement en voiture, et de lui apporter des conseils techniques pour adopter une conduite professionnelle.

Les salariés des services de l’automobile sont-ils davantage confrontés à ce risque ? C’est en effet le cas s’agissant des professionnels qui utilisent quotidiennement un véhicule pour leur activité (mécaniciens, vendeurs automobiles, etc.). Par ailleurs, le secteur de l’automobile est composé majoritairement d’hommes, qui, bien qu’ils roulent tout autant que les femmes, ont beaucoup plus d’accidents graves. Enfin, les apprentis, au même titre que tous les jeunes, sont également surexposés au risque routier.

Association nationale pour la promotion de l'éducation routière.

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PARLONS MÉTIER

À LA MODE PROVENÇALE… Éric FRANÇOIS

vendeur de pièces détachées en magasin

L'affaire familiale est née il y a 45 ans. Tenue par les frères FRANÇOIS, héritiers du fondateur, Sarrians Batteries, dans le Vaucluse, emploie maintenant onze salariés. La société a diversifié son activité bien au-delà de la vente de batteries. Le quotidien de vendeur de pièces détachées a bien évolué pour Éric FRANÇOIS, qui livre son témoignage du haut d’une trentaine d’années de métier.

Le voyage dans le temps, c’est aussi une plongée dans l’histoire du commerce. Au cœur des années 70, Jean-Louis FRANÇOIS se lance dans l’aventure de la vente de batteries et monte une petite structure adaptée au secteur rural dans lequel il évolue, à une trentaine de kilomètres d’Avignon. Plus de quatre décennies plus tard, l’entreprise a été transmise à ses deux fils, qui ont su la faire prospérer. Ils ont organisé un déménagement et de multiples agrandissements, afin de faire de Sarrians Batteries le magasin de référence du canton pour la vente de pièces détachées et d’accessoires, pour les autos comme pour les motos. Éric, le cadet de la fratrie, n’a pourtant pas oublié ses débuts dans la profession et se souvient particulièrement d’avoir senti naître chez lui la

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fibre commerciale. « J’étais jeune pâtissier quand mon père m’a proposé de travailler avec lui, raconte-t-il. À l’époque, je partais sur les marchés tous les matins avec une fourgonnette que je remplissais de batteries. C’est là que j’ai appris le métier, c’est une formidable école de vente. Et c’est aussi sur les marchés que j’ai compris que j’adorais cette relation avec les clients. » Au tournant des années 2000, la transformation du paysage commercial a mis un terme aux virées d’Éric sur les marchés. Il passe maintenant l’essentiel de ses journées derrière son comptoir, avec les cinq vendeurs et vendeuses qui composent son équipe, et conserve toujours une passion intacte pour le service au client. En revanche, on ne s’amuse plus à manipuler avec la légèreté d’antan des marchandises aussi sensibles et dangereuses que les batteries. De vraies petites bombes en puissance, selon les dires de l’expert, qui ne manque pas d’anecdotes sur le sujet : « Les explosions de batteries peuvent se produire avec une simple étincelle, et même avec de l’électricité statique. Dans le magasin, nous nous interdisons de porter des pulls en laine, car il y a un réel risque ; c’est déjà arrivé. D’ailleurs, toutes les batteries sont stockées dans une pièce à part, protégée par un système anti-incendie. Pour les clients qui nous confient une batterie en recharge, nous avons également un local dédié, et on porte des lunettes de protection quand on s’en occupe. »

Ce n’est pas un hasard si Éric a appris à mesurer les dangers. Accro à la vitesse, le vendeur consacre une bonne partie de ses week-ends à de belles expéditions à moto avec sa compagne, jusqu’à faire le trajet jusqu'à Jerez en Espagne ou jusqu'à Mugello en Italie pour assister à des grands prix. Mais une fois de retour dans son magasin, le fan éternel de Kevin SCHWANTZ pense surtout à organiser un espace de travail sécurisé, s’attachant en particulier à faciliter les déplacements de marchandises. « Notre travail, c’est en grande partie de la manutention, explique-t-il. Pour reprendre l’exemple des batteries, c’est assez lourd à porter et dans la précipitation on peut être tenté de les déplacer à bout de bras. Il m’est arrivé à deux reprises de me coincer le dos avec un lumbago, alors j’incite tout le monde à utiliser systématiquement un chariot. » Malgré les mises en garde et le sérieux de chacun, la problématique n’a pas été totalement résolue, mais il y travaille : « On a un bon ostéopathe et on lui rend quelques visites. »

Les explosions de batteries peuvent se produire avec une simple étincelle, et même avec de l’électricité statique. Dans le magasin, nous nous interdisons de porter des pulls en laine.

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LES RISQUES

IDENTIFIÉS ET MAÎTRISÉS Incivilités et agressions

Chutes de hauteur

Les vendeurs de pièces détachées sont amenés à être en contact régulier avec les clients. Les situations telles que l’accueil, le renseignement ou encore le paiement exposent les salariés à des risques d’incivilité (impolitesse, impatience, moquerie, mépris...), pouvant aller parfois jusqu’à l’agression verbale ou physique. Il est de plus en plus fréquent de voir ces incivilités se poursuivre sur les réseaux sociaux, avec une violence qui ne s’était pourtant pas exprimée en magasin.

Le stockage de pièces en hauteur contraint parfois les salariés à utiliser un escabeau ou un marchepied. L’utilisation de ces équipements est source de risque, notamment en cas de perte d’équilibre, de heurt ou de défaut de maintenance. En cas de chute, les conséquences peuvent s’étendre de la simple plaie à la fracture.

MUSCLER LA PROTECTION Il existe différents types de mesures à mettre en place pour pallier ce risque : es mesures humaines (sensibilisation du personnel à la gestion •d des incivilités) ; es mesures organisationnelles (ne pas isoler les postes •d d’accueil de la vue des autres salariés) ; es mesures techniques (mettre en place un système de •d vidéosurveillance) ; Pour les « cyber-incivilités », il convient de rester vigilant à ce que les commentaires n’entachent pas la réputation de l’entreprise, et éventuellement réagir par des recours légaux.

GARE À L'ESCALADE La première action à réaliser lorsque l’on travaille en position surélevée est de baliser la zone afin de prévenir du risque de chute de personne ou d’objet. L’équipement sélectionné a également son importance. Préférez un marchepied antidérapant ou un escabeau avec rampes et garde-corps. Quel que soit l’équipement choisi, contrôlez toujours son état avant de l’utiliser.

Postures contraignantes

Chutes de plain-pied

Le métier de vendeur en magasin nécessite de travailler debout de façon prolongée. Les courts déplacements dans un espace restreint engendrant des piétinements sont également quotidiens. Ceci, additionné aux nombreuses postures contraignantes qu’exige le métier (coudes levés, bras tendus, dos penché, etc.), peut engendrer l’apparition de troubles musculo-squelettiques (TMS) : tendinites, cervicalgie ou encore lombalgies.

Le risque de chute est parfois sous-estimé. Cependant, les glissades, trébuchements ou faux pas sont fréquents en magasin et peuvent avoir de lourdes conséquences. Les causes de ces chutes sont diverses : irrégularité ou encombrement du sol, rapidité des déplacements, insuffisance de l’éclairage, etc.

DES OUTILS ADAPTÉS

DÉGAGEZ LE PLANCHER !

Afin de diminuer le risque lié aux postures contraignantes : • l es plans de travail doivent être réglables et adaptables à chaque salarié ; • l es tâches de manutention manuelles peuvent également être effectuées grâce à des aides mécaniques (diables, chariots, etc.) ; •e nfin, il est important d’optimiser l’espace de travail afin de réduire au maximum les déplacements effectués.

L’organisation de l’espace de travail est primordiale. En effet, il est important de consacrer du temps au rangement et au nettoyage de la zone. Les sols doivent être antidérapants, et maintenus propres, secs et sans inégalités. Les objets faisant obstacle doivent être supprimés afin de dégager les voies de passage. Il est également important de baliser les zones présentant un danger (sol glissant, dénivelé, etc.).

INTERVENTIONS IRP AUTO Solidarité-Prévention propose des interventions pour chacune de ces thématiques. N’hésitez pas à en parler à votre responsable.

Contactez nos équipes :

solidariteprevention@irpauto.fr

09 69 39 02 45

Nos conseillers sont à votre disposition du lundi au vendredi de 8 h 30 à 18 h 30, et le samedi de 8 h 30 à 13 h.

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LES TÉMOIGNAGES

FINANCEMENT D’UNE INTERVENANTE À DOMICILE

LES TÉMOIGNAGES Actions de solidarité, actions de prévention des risques professionnels et de santé publique, etc. : IRP AUTO Solidarité-Prévention propose une offre d’accompagnement à tous les salariés des services de l’automobile, afin d’améliorer leur santé et leur sécurité. Vous êtes de plus en plus nombreux à bénéficier des services d'IRP AUTO Solidarité-Prévention, et nous vous remercions pour votre confiance.

VOUS AUSSI,

vous aidez un proche ? Vous vous interrogez sur la prévention et la préservation de votre santé ou de celle de vos proches ? IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne.

solidariteprevention@irpauto.fr

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« Mon fils de 18 ans est autiste et accueilli dans un institut médico-professionnel. Ces trois dernières années, il a subi trois grosses opérations afin de lui "replacer" sa jambe et sa colonne vertébrale, qui avaient été désaxées à la suite d’une première opération de la hanche, plutôt ratée. Comme il ne parle pas et n’exprime pas sa douleur, nous ne nous étions pas rendu compte qu’il faisait porter presque tout le poids de son corps sur sa deuxième jambe. Pour sa troisième opération, il a été arrêté six mois. Je m’en suis occupée le premier mois, mais nous n’avions pas de solution pour les cinq mois suivants. Le coût d’une aide à domicile à temps plein étant au-dessus de nos moyens, nous avons sollicité des aides financières : auprès de la Maison départementale pour les personnes en situation de handicap (MDPH) d’une part, et, sur les conseils de mes collègues, auprès d’IRP AUTO Solidarité-Prévention. J’ai rempli un formulaire en ligne et une personne m’a très vite contactée afin de m’aider à constituer mon dossier. Ma demande a été acceptée. Je n’aurais jamais pensé pouvoir obtenir une aide aussi importante ! C’était une très bonne surprise et un grand soulagement. » Nathalie ROBARAU, préparatrice automobile sur les véhicules d’occasion chez Renault, Cognac (16)

QUE PROPOSE IRP AUTO SOLIDARITÉ-PRÉVENTION ? QUE PROPOSE IRP AUTO SOLIDARITÉ-PRÉVENTION IRP AUTO Solidarité-Prévention accompagne les? salariés en situation d’aidant familial, à travers : IRP AUTO Solidarité-Prévention propose aux • l’aide et aux ; salariés à démarches leur famille administratives confrontés à une • l’information sur les dispositifs d’aide aux aidants ; situation de handicap des aides diversifiées pour • les conseils pour concilier professionnelle et faciliter leur quotidien, tellesvie que : vie personnelle ; dans les démarches • l’aide et le conseil • l’écoute et le soutien psychologique. administratives ; • l’aménagement du domicile ; Un aidant familial a des besoins d’écoute et de •conseils l’aménagement du véhicule afin de concilier vie ; professionnelle et •vie la participation au financement matériel. familiale, mais aussi de répit de pour préserver sa santé et sa vie privée.

Nos conseillers sont à votre disposition du lundi au vendredi de 8 h 30 à 18 h 30, et le samedi de 8 h 30 à 13 h.

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SOLIDARITÉ-PRÉVENTION


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NUTRITION EN ENTREPRISE

« Chaque année, IRP AUTO Solidarité-Prévention intervient dans mon auto-école pour une formation sur un thème spécifique. Nous avons choisi en 2021 l’intervention sur la nutrition, car nous exerçons un métier sédentaire et nous avons pensé, ma salariée et moi, que cela pouvait nous aider dans notre quotidien. Dans un premier temps, nous avons eu une discussion avec l’intervenante sur ce qu’est une bonne alimentation. Elle a notamment cassé un mythe : non, il ne faut pas se priver et maigrir pour "bien manger", mais plutôt se faire plaisir et s’alimenter autrement. Par la suite, ma salariée a échangé individuellement avec elle pour un bilan personnel. Elle en a été très satisfaite ! L’intervenante a porté un regard bienveillant pendant les échanges et a été très professionnelle, ce qui est d’ailleurs toujours le cas dans les interventions d’IRP AUTO SolidaritéPrévention. » Boris MIGUET, directeur de M’BO Auto-école, Caen (14)

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PRÉVENTION DES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES (TMS) « Dans le cadre de mon travail, j’effectue régulièrement des poses de pare-brise. C’est un exercice difficile, qui sollicite énormément les membres supérieurs. J’ai d’ailleurs souffert à plusieurs reprises de tendinites aux deux épaules et j’ai dû être soigné par infiltrations. Aujourd’hui, les pare-brise sont de plus en plus grands et lourds, et il est devenu presque impossible de les porter à bout de bras. Je me suis donc renseigné sur les machines qui existaient et sur les aides dont je pouvais bénéficier. C’est dans ce cadre qu’un ergonome d’IRP AUTO Solidarité-Prévention est venu dans mon agence pendant deux jours afin d’observer les risques de TMS sur chacun des postes et nous donner des conseils pour y remédier (comme l’utilisation d’un casque téléphonique et d’un fauteuil sans accoudoir pour le poste d'accueil). À l’issue de son intervention, il a rédigé un dossier sur lequel s’est basée la CARSAT* pour nous attribuer une aide destinée à l’achat d’une machine pour la pose des parebrise. Désormais, ce n’est donc plus 20 kg que nous portons à bout de bras, mais 200 g ! » Bruno GUYOT, directeur de la SAS MS Automobiles, Châlons-en-Champagne (51)

QUE PROPOSE IRP AUTO SOLIDARITÉ-PRÉVENTION ?

QUE PROPOSE IRP AUTO SOLIDARITÉ-PRÉVENTION ?

Un diététicien d’IRP AUTO Solidarité-Prévention propose une sensibilisation collective auprès de l’ensemble des participants d’une durée de 45 minutes, suivie d’entretiens nutritionnels individuels et personnalisés de 20 à 30 minutes par participant. Les bénéfices de l’intervention sont : • comprendre l’impact d’une alimentation équilibrée et variée sur la santé et le bien-être ; • découvrir de façon pratique comment équilibrer son alimentation, quelle que soit la situation ; • faire le point sur ses habitudes alimentaires et définir des objectifs personnalisés pour les optimiser.

Identifier les situations de travail à risque de troubles musculosquelettiques (TMS) est important. L’expert IRP AUTO Solidarité-Prévention effectue une analyse de l’activité professionnelle des salariés et identifie les sources de risque. Son expertise lui permet de définir un plan de préconisations adapté à votre entreprise. Un rapport écrit est remis à la suite de l’intervention. Il comprend l’analyse détaillée des situations à risque et le plan de préconisations. IRP AUTO Solidarité-Prévention accompagne aussi l’entreprise dans la demande de financement de matériel auprès de la CARSAT*. * Caisse d'assurance retraite et de la santé au travail.

N˚18 - DÉCEMBRE 2021

PRÉVENIR LES RISQUES, AGIR EN SOLIDARITÉ

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Vous souhaitez maintenir ou démarrer une pratique sportive régulière tout en restant à la maison ? Vous voulez améliorer votre alimentation au quotidien ? IRP AUTO Solidarité-Prévention vous accompagne pour :

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ÉVENTAIL « BIEN MANGER POUR MIEUX CARBURER ! »

Suivez les conseils et les astuces de Lucie, notre diététiciennenutritionniste, pour atteindre votre équilibre alimentaire.

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au numéro spécial Solidarité-Prévention Nos conseillers sont à votre disposition du lundi au vendredi de 8 h 30 à 18 h 30 et le samedi de 8 h 30 à 13 h.

SDR159P_0621_Document non contractuel - Siège social : 39, avenue d’Iéna - CS 21687 - 75202 Paris Cedex 16 - Réalisation SLOOP

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