Ici et là magazine - Numéro 5 - Pays de Loudéac et de Pontivy

015

vril 2 a / s r a m °5 -

N

gratuit Magazine Bretagne du Centre

y v i t n o P e c et d a é d u o L Pays de

Démographie : QUELLES PERSPECTIVES POUR LE CENTRE BRETAGNE ?

L’Uzelaise

Timadeuc

Hippisme

Une charcuterie de tradition

Une abbaye trappiste

Un printemps de courses

S oc i ét é - Cul ture - Économie - Loisirs - Tou r is m e

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COLLECTION PRINTEMPS/ÉTÉ 2015

(1)

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Edito Pour le plaisir !

Tous les deux mois... Tel est le rythme de nos rendez-vous avec vous. Et cette fois, chez Ici et Là, on est encore un peu plus heureux que d’habitude de vous retrouver. Simplement du fait que les semaines qui se sont écoulées depuis notre dernière livraison sont frappées au coin de l’optimisme. Celui qui nous prend quand les jours se mettent à rallonger comme c’est le cas depuis que nous nous sommes quittés. Oui, depuis le lundi 22 décembre de l’an 2014, jour du solstice d’hiver, les journées, sont chaque jour un peu plus longues.

Et nous croyons savoir que ce gain quotidien de lumière n’est pas non plus un détail pour vous. C’est le signe, chaque jour répété, que l’on va vers le mieux, le plus beau, le plus doux, le plus bleu... Une sorte de rengaine du petit bonheur dont on se se lasse pas.

On est heureux donc, on va bien... mais on continue d’œuvrer au mieux être d’Ici et Là, votre joli magazine. « On est combien ? », s’interroge par exemple le démographe et Ici et Là avec lui ? Pour le savoir dans le détail, lisez donc notre dossier sur le dernier recensement des populations de notre beau pays. Et comme on est sympas, avant même que vous n’ouvriez ledit dossier, on vous offre une gentille information : on est assez ! Assez pour ce que l’on a à faire, c’est à dire contribuer à la construction d’un joli pays encore plus vrai en reliant toujours plus serrés les deux que l’on a choisis : celui de Pontivy et celui de Loudéac. Alors on se compte quand même, mais « pour le plaisir », comme le chante Herbert.

Sinon, en consultant le sommaire ci-contre, vous constaterez que le menu du cinquième numéro (oui, déjà !) d’Ici et Là est toujours aussi alléchant. Un peu plus encore ? On n’y est (presque) pour rien. La faute à la jolie rengaine...

La Rédaction

N°5 - mars/avril 2015

SOMMAIRE • Dossier : Démographie en Centre Bretagne (p. 5 à 8) • Savoir-faire : Trophées et médailles (p. 10 - 11) • Entreprise : L’Uzelaise (p. 12 - 13)

• Entreprise : Tapisserie Launay (p. 14 - 15) • Commune : Saint-Caradec (p. 18 - 19) • Patrimoine : Timadeuc (p. 20 - 21)

• Découverte : Les circuits Jean-Robic (p. 22 - 23) • Sport : Les courses hippiques (p. 24 - 25) • Agenda des loisirs (p. 27 à 30)

• Culture : La passion du Christ (p. 32-33)

• Gastronomie : Yvonnick Le Maux (p. 45) • Voyage : La Toscane (p. 46)

Ici et Là est une publication bimestrielle - Tirage : 8 000 exemplaires Directrice de la publication : Christine Le Bourdonnec Rédacteur en chef : Dominique Perrot Secrétariat d’édition : Daniel Thépaut Photographe : Michel Langle, Olivier Tanguy Conception et réalisation : Ronan Le Duff et Idest Communication Iconographie : Fotolia Régie publicitaire : 07 87 36 05 64 - idest.pontivy@orange.fr N° ISSN : 2276-1934 Impression : Imprimerie Armoricaine

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D O SS I E

R

Démographie QUELLES PERSPECTIVES E? POUR LE CENTRE BRETAGN Loin des idées reçues, la population du Centre Bretagne augmente. Entre 2007 et 2012, elle a en effet progressé de 3,45 % et affiche désormais près de 145 000 habitants. Une éclaircie dans la grisaille ambiante et un enjeu pour le développement du territoire.

Un peu plus de 3,25 millions ! C’est le nombre d’habitants que comptait la Bretagne, au 1er janvier dernier. Surtout, la population de la région est en augmentation constante d’environ 0,7 % par an, une croissance supérieure de 0,2 % à celle de l’ensemble du territoire. Cela n’a bien évidemment pas toujours été le cas. Dans la première moitié du XXe siècle, les guerres et l’exode rural ont engendré une baisse constante de la population bretonne. À partir des années 50 toutefois, une lente progrression s’est amorcée. Régulière, elle est néanmoins restée modérée et il a fallu attendre 1975, pour que la Bretagne retrouve une population équivalente à celle qu’elle comptait en 1911 : 2,6 millions d’habitants.

Au fil des décennies de la seconde moitié du siècle dernier, l’effet conjugué de la natalité et de l’immigration, a accéléré l’accroissement de la population. Une dynamique qui s’est encore renforcée depuis la fin des années 90. Elle ne s’est pas affaiblie depuis et la Bretagne a passé le cap des 3 millions d’habitants en 2003. Devenue particulièrement attractive, elle enregistre aujourd’hui l’une des plus fortes croissances de la métropole.

La campagne se développe

Pour une très large majorité, les Bretons vivent à la campagne (lire encadré). On estime actuellement leur nombre à plus de 2,2 milions.

Dans une étude publiée en 2011, Carole Rieu, chercheuse à l’Insee explique ainsi « qu’en 40 ans, les campagnes bretonnes ont gagné plus d’un quart de la population, une augmentation comparable à

celle de l’ensemble de la région ». Une progression certes irrégulière dans le temps, mais beaucoup plus forte depuis le début des années 2000. Et selon elle, « la croissance récente se démarque des périodes précédentes puisqu’elle concerne, cette fois, tous les territoires ruraux et pas seulement les espaces périurbains ». Concentrées essentiellement autour des grandes villes ou en bordure littorale, les zones de croissance démographique s’étendent désormais aussi aux terres les plus rurales du cœur de la région.

C’est assurément le cas de la région de Loudéac-Pontivy. En 2008, une étude réalisée par les conseils de développement des pays de Pontivy et du Centre Bretagne (1), révélait ainsi que « le secteur Pontivy-Loudéac est l’un des seuls à avoir résisté à l’érosion démographique de la Bretagne intérieure ». En effet, entre 1962 et 2005, la population de cette aire géographique est restée globalement stable. Forcément, comme à l’échelle régionale, le territoire a néanmoins connu des phases contrastées, au cours de cette période.

Après une baisse notable dans les années 60, un retournement de tendance s’opère à la fin de la décennie. Jusqu’au début des années 80, le territoire renoue avec la croissance démographique, grâce notamment à un solde migratoire qui redevient positif. Cette embellie correspond à une période faste sur le plan économique.

Lors des deux décennies suivantes (1982-1999), le cumul des soldes migratoires et naturels, négatifs ou nuls, se traduit par une nouvelle baisse de la population.

5

D O SS I E

R

De la fin des années 60 à la fin des années 90, la population se concentre très nettement autour de trois pôles d’emploi : Pontivy, Loudéac et Locminé. Pendant cette période, l’évolution de la répartition de la population est fortement liée à l’évolution de l’emploi.

Il y a un transfert des communes rurales où l’emploi était agricole, vers les pôles d’emploi industriel qui se sont développés avec l’émergence de l’agroalimentaire.

Autour des grands axes

Mais, depuis 1999, le territoire connaît un indiscutable retournement de tendance. Si la concentration autour des pôles se poursuit, un autre phénomène semble prendre de l’ampleur : la concentration autour des grands axes de communication. Une évolution liée à l’accroissement des aires d’influence d’agglomérations telles que Rennes, Vannes, Lorient ou encore Saint-Brieuc.

Il y a six ans, les auteurs de l’étude expliquaient « qu’il est encore trop tôt pour conclure à une inversion durable de la courbe, mais les effets de cette évolution sont perceptibles dans de nombreuses communes ». Les chiffres du recensement de la population, publiés par l’Insee au mois de janvier dernier, semblent d’ailleurs le confirmer. En passant d’environ 135 000 à près de 140 000 habitants, entre 2007 et 2012, la population des pays de Pontivy et du Centre Bretagne a ainsi progressé de 3,45 %. Si ici comme ailleurs, la tendance au vieillissement de la population se confirme, son accroissement apparaît forcément comme un élément très positif pour le développement du territoire. « La Bretagne intérieure face à son avenir », réflexion prospective des conseils de développement des pays de Pontivy et du Centre Bretagne. Juin 2008.

(1)

6

Comment définir LA CAMPAGNE ?

Pour appréhender le rural dans sa globalité, l’Insee a préconisé dans un rapport pour la Datar de 2003 un large périmètre de cet espace, sous le nom de référentiel rural élargi. Cet espace rural élargi s’étend des espaces périurbains, y compris autour des grandes villes, aux communes les plus rurales en passant par les petites et moyennes villes. Il exclut en revanche les plus grandes villes : les unités urbaines de plus de 30 000 habitants.

Les habitants de ces espaces partagent un même sentiment de vivre à la campagne, dans des paysages peu denses et qui restent marqués par les espaces naturels et agricoles. Dans cette étude, ces territoires sont qualifiés d’espaces ruraux, ou encore de campagnes.

Centre Bretagne

D O SS I E

R

LA DÉMOGRAPHIE EN CHIFFRES

VILLE

POPULATON 2007

POPULATION 2012

Allineuc

505

593

17,43%

Baud

5680

6242

9,89%

Bieuzy-les-Eaux

764

775

1,44%

Bignan

2678

2812

5%

%

Billio

360

397

10,28%

Bréhan

2309

2332

1%

Buléon

453

502

10,82%

Le Cambout

521

460

-11,71%

Caurel

381

381

0%

La Chapelle-Neuve

776

833

7,35%

La Chèze

613

570

-7%

Cléguérec

2862

2915

1,85%

Coëtlogon

234

238

1,70%

Collinée

929

921

-0,86%

Corlay

1064

994

-6,58%

Crédin

1455

1530

5,15%

Croixanvec

158

153

-3,16%

La Ferrière

464

453

-2,37%

Gausson

581

652

12,22%

Gomené

592

561

-5,24%

Le Gouray

1101

1261

14,53%

Grâce-Uzel

402

423

5,22%

Guéhenno

807

802

-0,62%

Gueltas

522

514

-1,53%

Guénin

1410

1645

16,67%

Guern

1451

1368

-5,72%

Hémonstoir

658

698

6,08%

Illifaut

681

696

2,20%

Kerfourn

803

848

5,60%

Kergrist

651

664

2%

Langast

636

633

-0,47%

Langourla

603

527

-12,60%

Laurenan

716

725

1,26%

Locminé

4225

4419

4,59%

Loscouët-sur-Meu

648

643

-0,77%

Loudéac

9619

9661

0,44%

Malguénac

1733

1761

1,62%

Melrand

1558

1535

-1,48%

Merdrignac

2921

2895

-0,89%

Mérillac

234

239

2,14%

Merléac

509

479

-5,89%

Moréac

3523

3959

12,38%

La Motte

1992

2088

4,82%

Moustoir-Ac

1646

1834

11,42%

Moustoir-Remungol

631

691

9,51%

Mûr-de-Bretagne

2085

2106

1%

Naizin

1705

1790

4,99%

Neulliac

1524

1457

-4,40%

Noyal-Pontivy

3598

3693

2,64%

Plémet

2913

3137

7,69%

VILLE

POPULATON 2007

POPULATION 2012

%

Plessala

1837

1866

1,58%

Pleugriffet

1246

1210

-2,89%

Plouguenast

1791

1894

5,75%

Plumelec

2621

2777

5,95%

Pluméliau

3569

3713

4,03%

Plumieux

1091

1078

-1,19%

Plumelin

2345

2688

14,63%

Plussulien

488

508

4,10%

13648

13973

2,38%

Pontivy La Prénassaye

826

859

4%

Le Quillio

539

549

1,86%

Radenac

967

1024

5,89%

Réguiny

1755

1896

8,03%

Remungol

975

958

-1,74%

Rohan

1581

1683

6,45%

Saint-Aignan

673

637

-5,35%

Saint-Allouestre

633

641

1,26%

Saint-Barnabé

1262

1264

0,16%

Saint-Barthélémy

1129

1217

7,79%

Saint-Caradec

1199

1181

-1,50%

Saint-Connec

299

255

-14,72%

404

379

-6,19%

Saint-Gérand

957

1043

8,99%

Saint-Gilles-du-Mené

477

468

-1,89%

320

324

-1,25%

Saint-Gonnery

1027

1075

4,67%

Saint-Gouéno

650

679

4,46%

St-Étienne-du-Gué-del'Isle

Saint-Gilles-VieuxMarché

Saint-Guen

457

458

0,22%

Saint-Hervé

386

421

9,07%

Saint-Jacut-du-Mené

725

731

0,83%

Saint-Jean-Brevelay

2776

2905

4,65%

Saint-Launeuc

194

196

1,03%

Saint-Martin-des-Près

351

331

-5,70%

Saint-Maudan

407

380

-6,63%

Saint-Mayeux

525

503

-4,19%

Saint-Thélo

437

420

-3,89%

Saint-Thuriau

1872

1866

-0,32%

Saint-Vran

707

764

8,06%

Sainte-Brigitte

158

172

8,86%

Séglien

715

707

-1,12%

Silfiac

459

459

0

Le Sourn

2002

2056

2,70%

Tremorel

1033

1117

8,13%

Trévé

1474

1617

9,70%

Uzel

1028

1113

8,27%

Total

134899

139560

3,46%

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D O SS I E

R

D’une commune à l’autre...

UNE SITUATION CONTRASTÉE Si la population a globalement progressé dans le Centre Bretagne, entre 2007 et 2012, la situation apparaît contrastée selon les communes. Alors que deux tiers d’entre elles affichent une hausse, un tiers enregistrent en revanche une baisse.

Le Centre Bretagne, un territoire rural ! C’est une évidence. Près de 55 % des 95 communes qui composent les pays de Pontivy et du Centre Bretagne, comptent en effet moins de 1 000 habitants. Et dans cette catégorie, 21 des 52 communes affichent même moins de 500 habitants. Et trois d’entre elles comptabilisent même moins de 200 habitants (Croixanvec, Saint-Launeuc et Sainte-Brigitte).

La strate des communes dont la population est comprise entre 1 000 et 2 000 habitants est également particulièrement bien représentée. On en compte en effet 25, soit un peu plus de 26 % du total. La troisième catégorie, celle des communes qui comptabilisent une population comprise entre 2 000 et 3 000 habitants, représente quant-à-elle, près de 16 % du total, soit 15 communes.

Enfin, sur l’ensemble du territoire, on ne compte que trois communes de plus de 5 000 habitants : Pontivy, Loudéac et Baud.

Si entre 2007 et 2012, le territoire a gagné près de 5 000 habitants, en passant de 134 899 à 139 560, cette évolution cache toutefois de grandes disparités. Alors que 61 communes enregistrent une progression (supérieure à 10 % pour neuf d’entre elles), 32 communes doivent composer avec une baisse du nombre de leurs habitants. Enfin, deux communes n’ont pas enregistré la moindre variation entre ces deux dates : Caurel et Silfiac.

Dans ce tableau, ce sont majoritairement les communes les plus rurales qui enregistrent une diminution de leur population. 75 % 8

des communes en déclin démographique, comptent en effet moins de 1 000 habitants. À l’inverse, les communes dont la population est supérieure à 2 000 habitants affichent un réel dynamisme démographique. À l’exception de Merdrignac (où la baisse est néanmoins contenue à moins de 1 %), toutes affichent une hausse entre 2007 et 2012.

Comment s’effectue LE RECENSEMENT ?

Chaque année, au 1er janvier, l’Insee, livre les derniers chiffres de la population française. Mais attention, le chiffre officiel 2015, correspond en fait à la population mesurée ou estimée, au 1er janvier 2012.

Car en effet, le mode calcul a été modifié. Institué en 1801, le recensement s’est d’abord déroulé tous les cinq ans, jusqu’en 1936. De 1946 à 1999, les intervalles intercensitaires ont varié de six à neuf ans. Depuis janvier 2004, le comptage traditionnel a été remplacé par des enquêtes de recensement annuelles.

Les communes de moins de 10 000 habitants continuent d’être recensées exhaustivement, comme lors des précédents recensements mais, désormais une fois tous les cinq ans.

Les communes de 10 000 habitants ou plus font, quant-àelles, l’objet d’une enquête annuelle auprès d’un échantillon de 8 % de la population, dispersé sur l’ensemble de leur territoire.

Du 23 au 29 mars 2015

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Lundi 23 Mars

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Horaires d’ouverture

Période scolaire : Lun : 17 h - 19 h Mar : 12 h - 13 h 30 et 17 h - 22 h Mer : 14 h 30 - 20 h Jeu : 17 h - 19 h Ven : 12 h 13 h 30 et 17 h - 22 h.

Sam : 14 h 30 - 18 h Dim : 9 h 30 - 13 h et 14 h 30 - 18 h 30 Périodes vacances : Lun : 12 h - 20 h Mar : 12 h - 22 h Mer : 12 h - 20 h Jeu : 12 h - 20 h Ven : 12 h - 22 h Sam : 14 h - 18 h Dim : 10 h - 18 h

spadium Pontivy

Réservations au : 02.97.28.97.97 ou à l’accueil du centre.

S AV O I R

- FA I R E

Médailles et trophées Un savoir-faire hors pair Spécialisée dans la commercialisation d’objets et de vêtements publicitaires, la société EMAP, installée dans la commune du Sourn, a toujours su s’adapter aux réalités du marché.

Mais sans perdre ses spécificités et son savoir-faire dans la fabrication des médailles.

Le pin’s ! Même chez les moins de 20 ans qui maîtrisent correctement la langue de Shakespeare, le mot demeure à peu près incompréhensible. Et pourtant s’ils l’avaient connu à l’époque de leurs années de collège ou lycée, au milieu des années 80, ils auraient forcément accroché cette épinglette métallique au revers de leur veste ou de leur blouson. Peut-être même, les auraient-ils collectionnées !

Hervé Le Guennec, a en revanche très vite compris l’engouement pour ce phénomène. Désireux de monter sa propre société, le jeune homme, alors ingénieur dans les télécoms à Lannion, choisit en effet de se lancer dans l’aventure. Mais sans oublier les conseils de son oncle qui travaillait déjà dans les objets publicitaires ! Et ils ne sont pas inutiles, car les débuts sont difficiles.

Mais en 1992, la concomitance des jeux 10

olympiques d’hiver à Albertville et de ceux d’été à Barcelone, va faire exploser le phénomène du pin’s. « C’était de la folie, nous fabriquions plus de 300 000 pin’s haut de gamme par mois », se souvient-t-il.

L’engouement est impressionnant, la technicité du fabriquant pontivyen l’est tout autant. Les commandes affluent et le chef d’entreprise doit recruter pour honorer les commandes. Il va alors compter jusqu’à 25 salariés.

S’adapter à la concurrence

Mais dans ce domaine comme dans d’autres, la mode passe. Hormis pour les collectionneurs, l’intérêt pour le pin’s va simplement et tout doucement s’estomper, à l’aube des années 2000. Surtout, un nouveau concurrent contre lequel il est difficile de lutter s’est ouvert : la Chine.

Le patron de la société EMAP sait qu’il n’a pas les armes pour livrer bataille. La solution est donc dans la diversification.

Il l’avait déjà compris en commercialisant une multitude d’objets publicitaires. De la coupe au trophée, en passant par la médaille ou le porte-clés, il a su s’adapter.

Alors, plutôt que de s’incliner, il décide donc de s’orienter vers une nouvelle activité : la fonderie de médailles (lire ci-contre) ou encore la fabrication de porte-clés. Mais là encore, la concurrence asiatique ne permet pas de lutter à armes égales.

Mais qu’importe. Aujourd’hui âgé d’un peu plus de 60 ans, il a su développer et vendre, y compris sur Internet, des produits spécifiques et de qualité qui contribuent toujours à la notoriété de sa société. Une légitime récompense pour l’amoureux de son métier.

Les étapes de la fabrication d’une médaille Tout commence sur l’écran d’un ordinateur. Grâce à un logiciel spécifique, Hervé dessine le motif de la future médaille. Les données sont ensuite transmises à un graveur laser qui va le reproduire en négatif et le tailler au format sur un morceau de plexiglass.

Les modèles sont réalisés en plusieurs exemplaires et vont servir à fabriquer le moule. Ils sont en effet placés sur une galette en silicone. Celle-ci est recouverte par une seconde galette et le tout est introduit dans un moule circulaire en fonte.

Une fois refermé, ce moule est placé sous une presse, pendant environ deux heures à 200°

Le moule terminé, c’est le moment de réaliser les « évents «, pour laisser passer l’air et les gouttières permettant au métal de prendre sa place

Porté à 450° dans un creuset, le zamak (qui contient à la fois du zinc, de l’aluminium et du cuivre) est coulé dans le moule

Pour affiner la médaille et lui enlever ses aspérités, une opération de sablage est alors effectuée. Après un séjour dans un tonneau à polir, la médaille est suffisamment lisse pour permettre un émaillage à la main avec une résine de polyester dans laquelle on a rajouté du colorant

Une fois le métal refroidi, Hervé procède au démoulage et au dégrappage des médailles

Après un dernier traitement de surface, la médaille est prête à être livrée au client

11

ENTREP

RISE

L’Uzelaise Une charcuterie de tradition De l’andouille au saucisson, en passant par le lard et le pâté, l’Uzelaise, située dans la commune de Saint-Hervé, produit une charcuterie de tradition. Et le savoir-faire de cette salaisonnerie artisanale ne laisse pas indifférent les amoureux de la cochonnaille.

Paimpolais d’origine, c’est pourtant en Centre Bretagne que Jean-Jacques Le Floc’h exerce son métier de charcutier depuis maintenant près de 30 ans. Bien qu’ayant suivi une formation dans l’agroalimentaire, il n’envisageait pas forcément d’y poursuivre sa carrière. Et c’est d’ailleurs dans une société d’aménagement située en Picardie qu’il démarre sa vie professionnelle. Il en est même le directeur, lorsqu’au milieu des années 80, le mal du pays devient trop fort. « J’avais envie de revenir en Bretagne et d’y reprendre une entreprise », se souvient-il. Il franchit le pas en 1987 et son choix se porte alors sur l’Uzelaise, située dans la zone d’activité de la gare d’Uzel, mais dans la commune de Saint-Hervé. L’entreprise a été fondée une dizaine d’années plus tôt par le fils d’un charcutier d’Uzel, Alain Cadoret, et compte 12

une quinzaine de salariés. Elle produit de l’andouille, du saucisson, du lard ou encore du pâté à partir d’une méthode traditionnelle. Sa production est vendue aux bouchers et aux charcutiers de la région, mais l’Uzelaise pratique également la vente directe et un camion s’installe même régulièrement sur les marchés des communes environnantes.

« Évolution brutale »

À l’aube des années 90 pourtant, les habitudes des consommateurs ont bien évolué. Aux petits commerçants et artisans des bourgs, ils préfèrent désormais très majoritairement les grandes et moyennes surfaces de la ville. « Ça a été une évolution brutale et nous avons traversé une période difficile », reconnaît Jean-Jacques Le Floc’h.

Pour compenser la baisse du chiffre d’af-

faires réalisé auprès des bouchers et charcutiers, il doit se tourner vers la grande distribution. Le défi n’est pas mince, mais il en va de la survie de l’entreprise. « À l’époque, la majorité des patrons et des directeurs de magasins venaient du commerce traditionnel, explique-t-il. Certains étaient même d’anciens bouchers ce qui facilitait forcément les contacts. » N’empêche, les demandes les nouveaux clients ne sont plus les mêmes que celles des anciens. Les morceaux entiers qu’ils livraient aux bouchers doivent désormais être conditionnés et tranchés pour s’adapter à un système de vente en libre service.

Mais si le contenant a changé, le contenu reste le même et la méthode de production traditionnelle n’est bien évidemment pas modifiée.

Trois fois par semaine, l’Uzelaise reçoit

année, elle transforme ainsi près de 300 tonnes de viande de cochon et réalise un chiffre d’affaires de 3,4 M€.

Un œil sur Paris

L’Uzelaise propose une large gamme de cochonnailles. des morceaux de porcs découpés dans des abattoirs du Finistère, d’Ille-et-Vilaine ou encore du Morbihan. « C’est un porc classique, né, élevé et tué en Bretagne », précise-t-il. Pendant quelques années, il a également tenté de développer une gamme de produits bios. Mais il a finalement décidé de renoncer au début des années 2000, devant le manque d’engouement des consommateurs.

Andouille au foin

Si la matière première demeure standard, c’est bien le procédé de fabrication qui va donner toute leur spécificité aux produits de l’Uzelaise. « Nous pratiquons un salage en saumure ou à sec, car cela permet de conserver la qualité des fibres, explique-til. De même, nous n’utilisons pas d’étuves.

Toutes les cuissons sont effectuées en bouillon ou dans un four. » Forcément, comparées aux méthodes de la charcuterie industrielle, celles utilisées ici réclament davantage de main d’œuvre. D’ailleurs, en moins de trois décennies leur nombre

à pratiquement doublé pour atteindre aujourd’hui 28 salariés.

Qu’elles soient fabriquées à la façon de Guémené, à celle de Vire ou encore à celle d’Uzel (avec des morceaux de lard), l’andouille demeure le produit phare de la société. Les six variétés commercialisées représentent en effet plus de 30 % de l’activité. Forcément confectionnée à partir de boyaux de porcs, elle est ensuite fumée en cheminées sur bûches de chêne puis cuite dans un bouillon aromatisé avec du foin de prairie naturelle. Réputée et goûtée, elle a même donné naissance à un andouillon !

Une andouille fine à grignoter, parfaite pour accompagner l’apéritif. À côté de l’andouille, l’Uzelaise propose également une large gamme de cochonnailles. Le lard rôti ou cuit au bouillon fait bien évidemment partie de ceux-là. Outre un saucisson à l’ail, lui aussi fumé sur bûches de chêne elle comprend également différents pâtés de campagne, de chair ou encore au poivre, ainsi que des filets de porc et des noix de jambon rôties. Chaque

Et elle ne souhaite pas en rester là. Avec Katrina, responsable de la fabrication et Xavier, directeur adjoint, l’entreprise teste régulièrement de nouveaux produits. « Nous avons une image de charcuterie traditionnelle et il faut donc faire du neuf avec du vieux », reconnaît Jean-Jacques Le Floc’h. Et même s’il faut souvent tester dix produits avant de trouver le bon, c’est une nécessité. Car désormais bien implantée en Bretagne, dans les rayons de la grande distribution, l’Uzelaise souhaiterait aujourd’hui se développer dans la région parisienne. « C’est un marché difficile pour une petite entreprise, reconnaît JeanJacques Le Floc’h. Nous avons donc engagé une réflexion avec plusieurs entreprises du coin pour mutualiser nos moyens. » Pour faire exister une petite partie du Centre Bretagne dans la capitale où les expatriés seront sans doute ravis de la retrouver dans les rayons des supermarchés.

Le séchage de l’andouille, un savoir-faire bien gardé...

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Tapissier-décorateur et sellier Denis Launay coud presque tout Entre un atelier à Saint-Gonnery et un magasin situé rue du Pont, à Pontivy, Denis Launay est un spécialiste de la couture sur mesure. De la confection à la réparation de sièges ou de bâches, en passant par les rideaux ou les housses, il coud presque tout.

De retour dans son village natal de La Chartre-sur-le-Loir, après un an sous les drapeaux, Denis Launay aurait bien aimé s’y installer et reprendre son activité professionnelle. Depuis l’âge de 14 ans, un artisan local l’a pris sous son aile et formé au métier de matelassier. Mais pour ce dernier, l’heure de la retraite a sonné. Forcément, pour le jeune homme, l’histoire va devoir s’écrire ailleurs que sur ses terres sarthoises. Où ? Il n’en sait rien ! Il délaisse un instant l’aiguille pour le stylo et adresse des courriers de candidature aux quatre coins du pays. Deux employeurs sont prêts à l’embaucher : l’un à l’est, l’autre à l’ouest.

Il va finalement opter pour le second. Au cœur de l’hiver 1984, il prend une chambre au foyer des jeunes travailleurs de Loudéac et s’engage chez le sellier de la ville, JeanClaude Pithon.

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Il s’y plaît et sa jeune compagne, Nadine, ne tarde pas à le rejoindre. L’ouvrier est doué mais l’homme rêve à plus de responsabilité et d’indépendance. L’idée de monter sa propre société et la volonté de s’installer durablement dans le Centre Bretagne, prennent corps. Elles vont se concrétiser quelques années plus tard. En 1988, dans des locaux de la commune de SaintGonnery. Il n’y restera finalement que deux ans, avant de construire un bâtiment de 400 m2, dans le parc d’activité du Guernol.

Tapisserie, sellerie et bâches

Entre temps, le jeune apprenti matelassier qu’il était, a bien évolué. Grâce à des bases solides acquises chez un maître exigeant mais amoureux du travail bien fait, Denis Launay a su acquérir un véritable savoirfaire. Une patte et un respect de la tradi-

tion qu’il prend plaisir à décliner au travers d’une multitude d’activités : la tapisserie, la sellerie ou encore les bâches.

D’abord tapissier d’ameublement, il est aussi à l’aise dans les travaux de réfection que dans ceux de création de fauteuils ou de canapés. « Aujourd’hui, nous pouvons allier tradition, modernité et originalité pour ajouter un épisode à des meubles chargés d’histoire, assure-t-il. Pour la réfection de sièges de style, nous utilisons des techniques traditionnelles de garnissage avec de la toile de jute, de crin végétal ou animal. Pour la réfection ou la création de siège contemporains nous employons en revanche une mousse de haute qualité qui offre de vastes possibilités. » En tant que sellier , il propose ses services aux particuliers comme aux professionnels. Et dans ce domaine aussi, sa palette

Publi-reportage est très large. « Nous travaillons toutes les formes, les volumes, l’esthétique et l’ergonomie pour tous les types de sièges », précise Denis Launay. Cela concerne bien évidemment les sièges d’autos et de motos, qu’elles soient contemporaines ou de collection. Mais son art s’exerce aussi dans la sellerie médicale, la sellerie nautique ou encore celle d’ameublement pour les professionnels du bar ou de la restauration. À chaque fois, il propose un large choix de couleurs et de matières, ainsi que des possibilités de surpiqué.

Une entreprise familiale

Spécialiste de la bâche enfin, il assure làaussi la création et la réfection pour les professionnels comme pour les particuliers. S’agissant des premiers, l’atelier de Saint-Gonnery propose des bâches pour remorques, camions ou encore bateaux ainsi que des protections pour les machines industrielles ou agricoles. Pour les particuliers, il excelle dans la réalisation et le réentoilage sur mesure de stores extérieurs ou encore dans l’habillage pour terrasses de mobil-home.

Un métier de passionné

Élodie dirige le magasin « La Passion du siège », rue du Fil à Pontivy.

En près de trois décennies, Denis Launay a su notablement développer l’activité d’une entreprise désormais entièrement familiale. Et c’est aussi l’une des spécificités de cette société. Si son neveu, Jérôme, diplômé du brevet de maîtrise, l’accompagne depuis ses débuts, sa femme, Nadine, l’a rejoint plus récemment. Depuis quelques années, l’entreprise s’est par ailleurs étoffée de deux éléments supplémentaires : les enfants du couple. Âgé de 28 ans, Jérémy, pâtissier de formation et qui travaille d’ailleurs à mi-temps dans une brasserie de Pontivy, s’est formé sur le tas aux spécificités du métier de sellier. « Il est doué de ses mains et il apprend très vite », se réjouit

son papa. Âgée de 23 ans, Élodie est quant à elle diplômée d’un brevet technique des métiers de la tapisserie et de l’ameublement. De la réfection de fauteuils à la confection de rideaux, de stores d’intérieur ou encore de coussins, c’est elle qui dirige le magasin « La Passion du siège », situé 21, rue du Pont, à Pontivy.

Amoureux de son métier, Denis Launay a su faire partager sa passion à l’ensemble de la fratrie. Et pour chaque client, l’étude et le conseil sont privilégiés à toutes les étapes du projet. Et si à 50 ans, l’homme ne pense pas encore à la retraite, il sait au moins que l’avenir de ses enfants et celui de la société sont assurés.

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Garage de l’Europe Ça, c’est de l’auto !

Concessionnaire Volkswagen et Audi à Pontivy, le garage de l’Europe est le distributeur exclusif de ces deux marques allemandes dans le Centre Bretagne. Il propose également un vaste choix de véhicules d’occasion toutes marques.

Installée au 45, rue Jean-Moulin depuis plus d’une vingtaine d’année, le garage de l’Europe commercialise l’ensemble des gammes Volkswagen, Volkswagen utilitaires et Audi. De la mythique Golf qui fête tout de même son 40e anniversaire, à la Passat, en passant par la large palette des Audi A1 à A8, la concession automobile dirigée par Jacques-Hervé Planté peut proposer plus d’une centaine de modèles. De quoi satisfaire une clientèle très diverse mais qui apprécie tout spécialement la fiabilité des automobiles allemandes.

Pour les particuliers ou les professionnels, la concession propose également différentes options pour financer l’achat d’un véhicule.

L’établissement peut ainsi octroyer un prêt classique mais également proposer des formules de location longue durée (LLD) ou de location avec option d’achat (LOA). Des formules qui peuvent également inclure l’entretien du véhicule.

L’atelier de carrosserie toutes marques avec le service d’entretien et de réparation, ainsi que le magasin, en sont les deux autres.

La concession propose également divers accessoires (porte-vélo, coffre de toît, chaîne, GPS, Coyote…) à la location ou à la vente.

Quel que soit son domaine d’intervention, l’équipe du garage de l’Europe, composée d’une quinzaine de collaborateurs, entend constamment privilégier un concept alliant « le service, la proximité et la confiance ».

Les amateurs qui pousseront les portes de la concession, pour la prochaine opération portes-ouvertes, les 13, 14 et 15 mars prochains, pourront d’ailleurs le constater.

Neuf et occasion

À côté des véhicules neufs, le garage de l’Europe a développé depuis quelques années, la vente de véhicules d’occasion. S’il dispose en permanence d’un parc d’une cinquantaine de véhicules, il peut répondre aux demandes spécifiques grâce à un réseau qui regroupe plus de 40 établissements dans le grand ouest. Dans ce domaine, le label «Appigo» permet de proposer des véhicules d’occasion, toutes marques aux prix les plus bas. Mais la qualité du service demeure une exigence. À chaque fois, une vérification minutieuse et optimale de tous les points de contrôle est effectuée et une garantie de trois mois minimum, est systématiquement octroyée.

Pour paraphraser un de ses anciens formateurs, le directeur de site, Jacques-Hervé Planté, aime à rappeler qu’un garage peut être comparé à un tabouret à quatre pieds. La vente des véhicules neufs et celle des véhicules d’occasion, en sont les deux premiers.

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Concession Volkswagen, Volkswagen Utilitaires et Audi

45, rue Jean-Moulin à Pontivy Ouvert du lundi au vendredi de 8 h à 12 h et de 14 h à 19 h. Le samedi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

Tél. 02 97 25 66 66 Mail : contact@europe-pontivy.fr Site Internet : www.europe-pontivy.fr Facebook : Garage de l’Europe

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22 et 29 mars Les élections départementales Oubliées les conseil généraux, remplacés en 2013 par les conseils départementaux. Adieu, les élections cantonales remplacées, dès ce mois de mars, par les élections départementales.

Tous les conseillers généraux élus en 2008 et en 2011 cèderont ainsi leur place à des conseillers départementaux. Et les femmes y seront plus nombreuses.

C’est avec une loi du 17 mai 2013 que l’assemblée dirigeant le département a pris le nom de conseil départemental, en remplacement du conseil général. Le mode d’élection des conseillers départementaux est également modifié. Lors des élections départementales des 22 et 29 mars, deux conseillers départementaux seront élus dans chaque canton au scrutin binominal à deux tours. Les candidats devront se présenter en binôme composé d’une femme et d’un homme. Cette disposition vise à poursuivre l’objectif de parité fixé par la loi du 31 janvier 2007.

On notera aussi que le nombre des cantons à pratiquement été divisé par deux suite à un redécoupage réalisé dans un souci de rééquilibrage démographique.

Une femme, un homme

Élus pour six ans, les conseillers départementaux seront désormais renouvelés dans leur intégralité. Pour être élu au premier tour, un binôme devra recueillir à la fois la majorité absolue (50 % des suffrages exprimés plus une voix) et le quart des électeurs inscrits. Si aucun des binômes ne l’emporte au premier tour, un second tour est organisé.

Au second tour, seuls sont autorisés à se présenter les binômes ayant obtenu au moins 12,5 % des voix des électeurs inscrits. Mais l’abstention étant souvent élevée, le code électoral autorise le binôme qui a recueilli le plus de suffrages, après le binôme remplissant les conditions, à se maintenir, ou les deux si aucun ne remplit les conditions. Au second tour, la majorité relative (le plus grand nombre de voix) suffit pour être élu.

Par ailleurs, le binôme des suppléants doit aussi être composé de

deux personnes de sexes différents, afin que chaque candidat et son remplaçant soient du même sexe.

Grosse action d’aide sociale

Une fois élu, le conseil départemental restera « chef de file » en matière d’aide sociale, d’autonomie des personnes et de solidarité des territoires. Le coût de ces compétences déléguées par l’État représente plus de la moitié de son budget de fonctionnement.

Son action concerne notamment l’enfance, les personnes handicapées, les personnes âgées (maisons de retraite, maintien à domicile, allocation d’autonomie), les prestations d’aide sociale comme le RSA et la lutte contre la précarité énergétique.

Concernant l’éducation, le département assure la construction, l’entretien et l’équipement des collèges.

En matière d’aménagement, son action concerne l’équipement rural, le remembrement, l’aménagement foncier, la gestion de l’eau et de la voirie rurale, les ports de pêche, les transports routiers non urbains et les routes non nationales, ce qui a entraîné un transfert d’une partie des services de l’Équipement.

Le département a également une compétence culturelle : création et gestion des bibliothèques départementales de prêt, des services d’archives départementales, de musées et de protection du patrimoine.

Le département peut aussi intervenir pour accorder des aides au développement économique. À noter que cette liste de compétences peut évoluer en fonction de l’adoption de textes en cours d’examen au Parlement.

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Saint-Caradec Un très paisible carrefour Située en bordure de l’Oust et traversée par la rigole d’Hilvern, la commune de Saint-Caradec aime à cultiver sa qualité de vie. À la croisée des axes routiers de la Bretagne Centrale, elle affiche également un réel dynamisme économique.

Bien placée dans un triangle reliant Loudéac, Pontivy et Mûr-de-Bretagne, la commune de Saint-Caradec a toujours su tirer parti d’une position géographique plutôt privilégiée. Une position encore renforcée par le passage de la RN 164 et de la voie ferrée. Si la seconde a depuis longtemps été fermée, la première a été déviée et ne traverse plus le bourg depuis le mois d’octobre 2011. « L’inauguration de cette portion de 9 km de 2X2 voies a scellé la victoire d’un combat homérique qui a duré plus d’une quinzaine d’années, se réjouit aujourd’hui le maire, Alain Guillaume. Le bourg était coupé en deux, les problèmes d’insécurité étaient réels et nous étions confrontés à une désertion des habitations, le long de cette route. » Soutenu par la population et les commerçants, il a toujours été convaincu que les avantages l’empor18

taient sur les inconvénients. Plus de trois ans après la mise en service de cette déviation, il l’est toujours autant.

Construction et rénovation

Mais pas question de témoigner la moindre ingratitude à une voie ayant très largement servi le développement économique de la commune. De la société Ecovrac (carrosserie industrielle) à l’entreprise Gélagri (surgélation de légumes), en passant par Le Clézio (abattoir de dindes) ou Joriside ( profilage de tôles), et TDI (découpe de dindes), la commune peut se prévaloir d’un tissu économique relativement dense et qui affiche tout de même un effectif total de plus de 450 salariés à moins de 2,5km de son clocher. Mais dans une conjoncture économique particulièrement difficile, rien n’est jamais acquis. Il y

a tout juste un an, la menace de fermeture de l’abattoir Le Clézio et de la société TDI, finalement sauvés, est une nouvelle fois venue le rappeler.

Réelle dans le domaine économique, qui demeure toutefois une compétence de la communauté de communes (Cideral), la vigilance l’est également dans le domaine démographique. Car si la commune a compté jusqu’à près de 2 000 habitants à l’époque ou l’industrie de la toile était florissante en Centre Bretagne, elle en affiche aujourd’hui un peu moins de 1 200. Si les chiffres ont vu une reprise de la démographie depuis les années 80, les élus entendent bien poursuivre leur politique pour attirer de nouveaux habitants. Celle-ci se traduit d’abord par la création de nouveaux lotissements. Il y a quelques années, furent lancés ceux de La Rabine et du Pré

du Doué. Depuis quelques mois, c’est de nouveau le cas avec le lotissement baptisé « Les Terrasses de la Chouette Chevêche ». Situé à proximité du bourg et en bordure de la rigole d’Hilvern, il compte 27 lots dont la superficie oscille entre 413 m2 et 1 324 m2, pour un prix de 26,50 € le m2.

Parallèlement, la commune entend poursuivre sa politique de restauration du bâti existant dans le centre bourg. Dans ce domaine, elle entend continuer à jouer un rôle moteur par la mise en vente de maisons qu’elle a aménagées qui permettront l’acquisition de nouveaux bâtiments à réhabiliter en logements.

Pour tenter de séduire de nouveaux arrivants, Saint-Caradec dispose de quelques bons atouts. Des bars à la pharmacie, en passant par les restaurants, le garage, la supérette, le coiffeur, la cave à vin, le médecin ou encore le cabinet d’infirmiers, elle dispose d’un large éventail de commerces et de services. La diversité se décline également dans le domaine associatif. Là encore, du club de football à la troupe de théâtre, en passant par l’amicale des boulistes ou encore la Ronde des Artistes, elle peut compter sur un tissu associatif à la fois riche et dynamique. Enfin, s’agissant du volet scolaire, l’école d’Hilvern et l’école Sainte-Thérère, affichent chacune un effectif de plus de 70 enfants.

Mais depuis quelques années, la commune a aussi et surtout œuvré pour l’amélioration du cadre de vie. D’abord avec la création de l’étang des sources. Un plan d’eau de 2,5 ha qui offre aux amateurs un lieu de rendezvous familial, idéal pour les pique-niques et les pauses détente. Surtout, si Saint-Caradec apparaît comme une étape sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, à partir de l’abbaye de Beauport et en direction de celle de Timadeuc, elle possède plus de 30 km de sentiers aménagés pour la randonnée. Des chemins qui longent la rigole d’Hilvern ou qui empruntent l’ancienne voie ferrée désormais baptisée voie verte.

En Bref

Population : 1 181 habitants (2014) Superficie : 2 200 ha Gentilé : Caradocéenne et Caradocéen Origine du nom : Caradec, saint du Ve siècle, natif de Grande-Bretagne et qui vécut en Irlande.

I N T E R V I E W

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Alain Guillaume

Maire de Saint-Caradec Élu comme candidat papillon en 1983, Alain Guillaume a occupé des fonctions d’adjoint, à partir de 1987. Maire de Saint-Caradec depuis 1991, il a été réélu l’an passé pour un cinquième et dernier mandat.

Vous êtes maire de la commune depuis plus de 20 ans.

Comment abordez-vous ce mandat ?

Il va être très différent des autres car nous allons devoir demeurer très vigilants en matière d’investissement. Nous l’avons toujours été dans le domaine du fonctionnement, mais nous avons en revanche beaucoup investi. Comme les autres collectivités, nous allons devoir composer avec la réduction des dotations de l’État.

Nous allons perdre la moitié de ce qui nous était octroyé par l’État, soit tout de même environ 70 000 €. Et pour compenser, il n’est pas question d’augmenter les taxes locales qui restent relativement basses.

Quels seront les projets forts de cette nouvelle mandature ?

Nous avons à accueillir de nouveaux habitants sur les 27 lots des « Terrasses de la Chouette Chevèche » en même temps que nous mènerons deux projets importants. Le premier vise à construire une tribune pour le terrain des sports. Le second est lié à notre politique en matière d’habitat et va se traduire par l’achat d’une ou deux maisons dans le bourg. Nous allons les réhabiliter avant de les louer. Mais encore une fois, compte tenu de la baisse des dotations de l’État, les projets seront limités. Nous allons sans doute nous pencher sur ce que l’État veut que nous fassions : des regroupements de communes. Même s’il n’y a ni urgence ni obligation pour notre commune, nous devons y réfléchir et préparer l’avenir. Êtes-vous favorable à un rapprochement entre la Cidéral et Pontivy Communauté ?

Oui, j’y suis favorable car nous avons beaucoup d’intérêts communs. D’ailleurs, qu’il s’agisse de la quatre voies, du centre hospitalier de Kério ou encore de la mission locale, ce rapprochement existe déjà. Sans forcément évoquer la fusion, nous pouvons avoir de grands projets en commun, notamment dans le domaine économique. Les élus et leur vision de l’avenir auront en ce sens un rôle déterminant.C’est pourquoi nous devons absolument nous donner des occasions de nous rencontrer et de partager des réflexions et des projets communs pour mieux nous connaître.

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Abbaye de Timadeuc Entre prière et travail Fondée au milieu du XIXe siècle dans un ancien manoir de la commune de Bréhan, l’abbaye de Timadeuc accueille aujourd’hui plus d’une vingtaine de moines. Ils partagent leur temps entre la prière et le travail. Ils produisent des fromages et des pâtes de fruit, très appréciés des gourmets.

Partis de l’abbaye de La Trappe, dans le Perche, c’est à pied, mais avec tout de même un cheval et une carriole, que trois religieux arrivent à Timadeuc, le 22 juillet 1841. Sous la conduite de l’abbé dom Joseph Hercelin, l’ordre des cistercienstrappistes souhaite en effet s’implanter dans le diocèse de Vannes. C’est dans un manoir délabré, mais acquis pour un prix modique auprès de la comtesse du Bot, qu’ils vont le faire. Dès l’année suivante, le chapitre, l’église et les différents bâtiments commencent à être édifiés. En quelques années le jeune prieuré grandit et devient abbaye en juillet 1847.

Le lieu a beau être propice à la prière et à la méditation, les premières décennies de la vie de l’abbaye Notre-Dame de Timadeuc vont être assez mouvementées. Le 20

2 janvier 1863, elle est en effet ravagée par un incendie criminel. Les moines se retrouvent dans le dénuement le plus complet mais avec résignation ils s’attaquent à la reconstruction. Elle est achevée lorsqu’en 1880, un décret anticlérical interdit le port de l’habit religieux et la vie en communauté. Malgré l’intervention du maire de l’époque, les moines sont expulsés manu militari. Les premières rigueurs vont toutefois peu à peu s’adoucir. Les scellés seront levés en décembre 1882 et les moines pourront définitivement réintégrer leur monastère.

Six prières et une messe par jour

En 1905, la loi de séparation des Églises de l’État, menace un moment l’existence

de l’abbaye, mais l’exil redouté par la communauté n’aura finalement pas lieu. Les orages sont désormais passés et tout au long du XXe siècle, la vie monacale va s’y organiser paisiblement.

Chaque jour, entre le lever à 3 h 30 et le coucher à 20 h, les moines de l’abbaye de Timadeuc partagent leur temps entre la prière et le travail, dans l’esprit de la règle de Saint-Benoît.

S’agissant de la prière, les moines se rassemblent pour célébrer ensemble à l’église les vigiles à 3 h 45, les laudes à 6 h 45 et sexte à 12 h. Puis, après le déjeuner et un temps de repos, ils se retrouvent pour l’Office de none à 14 h, les vêpres à 17 h 30 et enfin les complies à 19 h 30. Par ailleurs, la messe a lieu chaque jour de la semaine à 8 h. Chaque moine prend aussi dans la

journée un temps plus personnel de prière, appelé « oraison ». Enfin, dans sa constante recherche de Dieu, le moine prend du temps pour la lecture au scriptorium. Autrefois, l’atelier où les moines copiaient les manuscrits, le scriptorium, est aujourd’hui le lieu où ils pratiquent ensemble, dans le silence et le recueillement, la « lectio divina ».

Pour les cisterciens-trappistes, le travail représente également une partie importante de la vie monastique. Chaque jour, ils y consacrent environ trois heures le matin et trois heures l’après-midi. Leurs spécialités : le fromage et les pâtes de fruit.

Le fromage de l’abbaye est pratiquement né avec le monastère. Juste après leur installation, les moines se mirent à en fabriquer avec le lait de leur troupeau pour leur consommation et celle des hôtes de passage. Pour fabriquer le « Trappe de Timadeuc », qui appartient à la famille des pâtes pressées non cuites, ils s’inspirèrent de la méthode apprise auprès de leurs frères de l’abbaye de Port-du-Salut. Depuis quelques années déjà, les frères ne fabriquent plus eux-mêmes leur fromage. Ils se sont spécialisés dans l’affinage. Mais c’est juste-

ment leur savoir-faire qui donne son goût et son caractère au fromage des moines de Timadeuc. Depuis un peu plus de dix ans, ils ont même diversifié leur offre. « En 2003, nos sœurs cisterciennes de l’abbaye de Notre-Dame d’Espérance, en Dordogne, ne pouvant plus satisfaire à une demande de plus en plus importante, nous ont proposé de partager la recette qu’elles avaient mise au point », précise le père abbé Benoît, élu à la tête de l’abbaye en 2011. Ce petit fromage à pâte pressée, affiné à la liqueur de noix, c’est le Timanoix.

L’hospitalité selon Saint Benoît

Si la production de fromage représente environ 50 % des revenus de l’abbaye, ils développent également depuis une quarantaine d’années, une recette traditionnelle de pâtes de fruits. À partir des pommes récoltées dans les vergers de l’abbaye, ils produisent des pâtes de fruits fondantes (avec adjonction d’essences naturelles de fruits), ou naturelles (sans aucune adjonction d’arôme ou de colorant). Et chaque année, ils en produisent tout de même 15 tonnes !

Le père abbé Benoît a été élu à la tête de l’abbaye en 2011.

Entre la prière et le travail, les moines ne vivent pas reclus et totalement coupés du monde. Bien au contraire. Si l’abbaye ne se visite pas, l’église est accessible à ceux qui souhaitent se joindre à la communauté pour les offices et l’eucharistie. Surtout, tout au long de l’année, à l’exception du mois de janvier, le monastère accueille des retraitants. Pour se ressourcer, pour méditer ou encore pour prier, les motivations de ces derniers sont multiples. L’an passé plus de 6 300 personnes y ont ainsi effectué un séjour dont la durée peut osciller entre une journée et une semaine maximum. Car ici, la règle de l’hospitalité édictée par saint Benoît est scrupuleusement observée : « À la porte du monastère on placera un sage Pratique Pratique cistercienne Abbaye cistercienneAbbaye Notre-Dame de Timadeuc vieillard qui sache recevoir et rendre un Notre-Dame de Timadeuc message. » BP 17 - 56580 Bréhan BP 17 - 56580 Bréhan

Email : communaute@abbaye-timadeuc.fr Email : communaute@abbaye-timadeuc.fr Tél : 02 97 51 50 29 Tél : 02 97 51 50 29

Le Trappe de Timadeuc, un fromage à pâte pressée très apprécié.

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V DÉCOU

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Dans la roue d’un champion

Les circuits Jean-Robic La Bretagne, terre de cyclisme ! Une évidence qui se décline notamment dans le centre de la région, par la mise en place des circuits cyclistes Jean-Robic. Des parcours adaptés aux professionnels comme aux simples amateurs de la petite reine.

Le cyclisme gravé dans l’ADN avant même l’invention du deux-roues, un territoire doté d’un indéniable potentiel naturel et une offre de prestations d’hébergement et de restauration conséquente... Si les atouts étaient assurément présents, encore fallaitil être capable de les mettre en cohérence pour proposer une offre de découverte originale du pays. À partir de Radenac, le berceau de la famille du vainqueur du Tour de France 1947, c’est le pari qu’a tenté, et réussi, l’office de tourisme de Pontivy Communauté. Un projet baptisé « Les Circuits Jean-Robic », promis à devenir un véritable outil de valorisation des initiatives locales et qui a d’ailleurs été retenu par le conseil régional dans le cadre de sa politique pour l’innovation touristique en Bretagne.

Et depuis le lancement du projet en 2011, pour aller loin, la collectivité a choisi le pe-

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tit braquet et la tactique du rouleur plutôt que celle du sprinter. L’aventure s’est ainsi d’abord, articulée autour de trois circuits.

Trois circuits et sept boucles

Autour du plan d’eau de Radenac, un circuit d’interprétation permet au visiteur, au fil des panneaux, de découvrir des anecdotes de la vie sportive de cette légende du cyclisme qu’est Jean Robic.

Le « petit circuit », aménagé également au départ de Radenac et qui affiche 22 km au compteur, est destiné au grand public. Il emprunte des petites routes de campagne peu fréquentées avec peu de dénivelé de manière à rester accessible à un public familial ou de non initiés.

Le « grand circuit », long de 155 km, plus technique et plus exigeant, s’adresse en revanche à des cyclosportifs aguerris. Tra-

versant l’ensemble des communes de Pontivy Communauté, il emprunte des routes régulièrement choisies par les clubs et les associations cyclistes du territoire.

Depuis 2013, l’offre s’est enrichie avec la mise en place de sept autres boucles, d’une distance oscillant entre 30 et 130 km. Si les niveaux de difficultés sont variés, toutes ont été labellisées « Espace cyclosport », par la Fédération Française de Cyclisme.

De Plouay à Mûr-de-Bretagne, en passant par Plumelec et Sainte-Anne-d’Auray, les différentes boucles proposées par l’office de tourisme de Pontivy Communauté, permettent aux amateurs de découvrir des hauts lieux du cyclisme breton.

Alors qu’on soit d’ici, de là, ou d’ailleurs... sportif confirmé ou simple néophyte, on trouve toujours un joli circuit Jean-Robic, adapté à son physique !

Jean Robic

Une légende du cyclisme breton Né en 1921 dans les Ardennes et mort en 1980, d’un accident de voiture, Jean Robic a vécu sa jeunesse à Radenac, où son père tenait un magasin de cycles. Petit et têtu, celui qui sera surnomé « Biquet » ou encore « Tête de cuir » a su prouver qu’il avait tout d’un champion. En 1947, la France se reconstruit et le Tour de la reprise apparaît comme l’affirmation de la volonté et de l’enthousiasme d’un pays. Jean Robic en sera le symbole. Il réussit en effet l’exploit de remporter le Tour de France sans en avoir porté le maillot jaune. À la suite d’une attaque dans la côte de Bonsecours, à la sortie de Rouen, en compagnie d’Édouard Fachleitner et Lucien Teisseire,

il distance le maillot jaune Pierre Brambilla. À l’arrivée au Parc des Princes, c’est lui qui endossera un maillot jaune qu’il offrira à la basilique de Sainte-Anne-d’Auray, dans laquelle il se trouve toujours.

Il ne rééditera jamais cet exploit, mais sa carrière sera marquée par des épisodes qui font aujourd’hui partie de la légende du Tour de France. En 1949, il achève ainsi l’ascension du col de l’Izoard en danseuse, après avoir perdu sa selle. Quatre ans plus tard, en 1953, il leste son vélo d’un bidon de 9 kg de plomb, pour compenser son faible poids et favoriser sa descente dans le Tourmalet.

Tour de France Mûr en fête le 11 juillet Une arrivée, un départ ou même un simple passage du Tour de France, c’est toujours un petit événement en Bretagne. Et ce sera une nouvelle fois le cas, le samedi 11 juillet prochain, pour la 8e étape (179 km), entre Rennes et Mûr-de-Bretagne. Comme en 2011, l’arrivée sera jugée au sommet de la célèbre côte de Méné Hiez. Mais avant d’en découdre dans le final de Mûr-de-Bretagne, le peloton aura traversé les communes de Plouguenast, La Motte, Loudéac, Saint-Maudan, Rohan, Gueltas, Saint-Gérand et Neulliac.

Tour de Bretagne Quatre étapes dans le Centre La 49e édition du Tour de Bretagne cycliste qui partira de Pont-Château (LoireAtlantique), le 25 avril et qui s’achèvera à Liffré (Ille-et-Vilaine), le 1er mai, va sillonner le Centre Bretagne pendant quatre jours. Le dimanche 26 avril, la seconde étape reliera Sainte-Reine-de-Bretagne (Loire-Atlantique) à Melrand. Le lendemain, lundi 27 avril, le départ de la troisième étape qui s’achèvera au Cap Sizun, sera donné à Baud. Le mardi 28 avril, le peloton s’élancera de la pointe du Raz pour rejoindre Pontivy, au terme d’une étape jugée peu difficile par les organisateurs. Il en ira assurément autrement le lendemain, mercredi 29 avril, pour la 5e étape qui reliera Pontivy à PerrosGuirec. Et ce n’est sans doute pas lors de la 6e étape qui se disputera le jeudi 30 avril, entre Perros-Guirec et Le Quillio que les coureurs pourront lever le pied.

Cette avant-dernière étape devrait en effet offrir un beau terrain de jeu pour les hommes forts du peloton.

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SPORT

Premiers galops à Loudéac Entre la mi-mars et la mi-avril, Loudéac va vivre au rythme des traditionnelles courses hippiques. Haut lieu du sport équestre, elle n’est pourtant pas la seule à proposer ce spectacle en Centre Bretagne. Plus tard dans la saison, Pontivy et Corlay, ont aussi leurs réunions. À Loudéac, les courses de chevaux, c’est une véritable institution. Et ça fait longtemps que ça dure... Depuis 1879 très exactement ! Créées par l’avoué Arthur Enaud, également conseiller d’arrondissement, elles se sont toujours tenues à la période de Pâques. « Au début du XXe siècle, la tradition voulait que lors du week-end pascal, tout le monde s’y retrouvait et les dames sortaient leurs plus belles toilettes pour l’occasion », raconte Yvonnick Querhault, président de la société des courses de Loudéac depuis près de quatre ans et successeur de Jacky Le Vacon qui avait précédemment tenu les rênes de l’association pendant 24 ans.

Depuis l’origine, c’est invariablement sur l’hippodrome de Calouët, en bordure de l’ancienne route de Pontivy, que se tiennent les courses hippiques. Mais bien évidemment, au fil des ans, l’équipement s’est amélioré et modernisé. Ce fût notamment le cas au début des années 80, avec la construction d’une tribune d’une capacité de 2 500 places. Ce le fût également dix ans plus tard, au début des années 90, avec la construction d’un vaste hall couvert. Une structure idéale pour protéger 24

les parieurs des intempéries, mais qui est également régulièrement utilisée pour des concerts ou des salons divers.

Plus récemment, au début des années 2010, un nouveau pas a été franchi.

Construite en 1913, la tribune que les initiés avaient baptisée « La vieille dame », a en effet été démolie. Elle a été remplacée par un équipement moderne comprenant des vestiaires, le secrétariat, la salle des commissaires et les équipements médicaux. Comme les abords, la piste en herbe de 1 250 m, a également fait l’objet de toute l’attention des bénévoles de la société des courses. « Pour la sécurité des jockeys et des chevaux, nous venons de refaire tous les obstacles », précise le président.

Trois courses nationales

C’est donc dans des conditions optimales que l’hippodrome de Calouët accueillera une nouvelle fois quatre réunions, entre le 22 mars et le 19 avril. Et il y en aura pour tous les goûts puisque sur les 32 courses inscrites au programme, on comptera 12 épreuves de trot, 10 de plat et 10 courses d’obstacles. Mais c’est bien évidemment les deux réunions du week-end pascal, les

5 et 6 avril, qui marqueront le point d’orgue de cette édition 2015. D’abord et surtout parce que le dimanche, les courses de Loudéac pourront être suivies par l’ensemble des turfistes de l’Hexagone. Entre 12 h et 13 h 30, trois courses seront en effet retransmises en direct par la chaîne Équidia.

Une première que les responsables de la société des courses attendent avec anxiété, mais également avec une légitime fierté.

Ensuite parce que le lundi, ils souhaitent une nouvelle fois convier un public plus familial pour la traditionnelle fête des courses. Une fête organisée avec la fédération régionale et qui permettra aux néophytes de découvrir cet univers, mais également aux enfants d’apprécier les nombreux jeux et animations qui seront proposés.

Les réunions en 2015

Dimanche 22 mars, à 14 h Dimanche 5 avril, à 11 h (course nationale) Lundi 6 avril, 14 h Dimanche 19 avril, 14 h Entrée : 6 €. Gratuit pour les enfants.

Photo © Olivier Tanguy

Courses hippiques

Pontivy L’ÉCRIN DE KERNIVINEN Dans un site boisé et verdoyant, situé en bordure de la route de Vannes, l’hippodrome de Kernivinen est considéré comme l’un des plus agréables et des plus esthétiques champs de courses de Bretagne. Avant d’être inauguré, au mois d’août 1930, les amateurs d’épreuves hippiques avaient eu l’occasion de découvrir d’autres terrains de jeu. De La Villeneuve à Porhors, en passant par Signan et La Haie, les courses pontivyennes initiées en 1880, s’étaient déroulées sur quatre hippodromes différents en 50 ans.

Depuis plus de huit décennies, c’est désormais dans l’écrin de Kernivinen, qu’elles sont organisées au printemps. À chaque fois, trois réunions sont au programme. Disputées sur une piste en herbe de 1 200 m, elles accordent une place à chacune des disciplines : trot, galop et steeple-chase. Et ici, le public peut embrasser d’un seul coup d’oeil, l’intégralité des courses.

Le cadre particulièrement agréable ne doit toutefois rien au hasard. Pour une large part, il lest le résulat du travail régulièrement effectué par les bénévoles de la société hippique, présidée par André Renault. Qu’il s’agisse de la piste, des obstacles, des boxs, des tribunes ou des abords, ils sont en effet sur le pont tout au long de l’année, pour présenter un équipement de qualité, à l’heure des grands-rendez-vous.

Les turfistes apprécient. Chaque année, ils sont généralement plus d’un millier à venir y parier. Mais les bénévoles ont également fait de cet environnement de verdure, un endroit propice pour passer une bonne après-midi en famille dans une ambiance festive et conviviale. Une volonté qui se décline à chaque fois par la mise en place d’animations pour les enfants : promenades à dos de poney, stand de maquillage ou encore goûter...

Les réunions en 2015

Dimanche 3 mai, à 14 h Dimanche 10 mai, à 14 h Dimanche 7 juin, à 14 h Entrée : 6 €. Gratuit pour les moins de 18 ans.

Corlay LE

LE ROYAUME DE L’OBSTAC

Fondée en 1842, la société des courses de Corlay a d’abord organisé ses premières réunions sur l’hippodrome de Kergorlio.

Après un peu plus de six décennies, elle a toutefois déménagé en 1904 sur l’emplacement actuel : l’hippodrome du Petit-Paris. L’équipement a été régulièrement amélioré et le public peut désormais disposer de tribunes en partie couvertes et d’une salle de restaurant panoramique. Surtout son style particulier, aux allures britanniques, lui confère une place à part dans le paysage des hippodromes français. Ce n’est sans doute pas un hasard, si certains l’appellent aussi « Le petit Liverpool ».

Pour les amateurs, cet hippodrome est connu pour privilégier les courses d’obstacles et sur un parcours jugé très physique. Le relief vallonné du site lui procure une originalité et une spécificité pour les courses de galop, de steeple-chase ou encore de cross.

Et dans ce domaine, l’épreuve reine apparaît bien évidemment comme le grand cross country. Une course longue de 5 600 mètres et tout de même agrémentée de 24 obstacles, dont les trois-quarts sont visibles des tribunes.

Cette année cette épreuve particulièrement prisée se déroulera le dimanche 5 juillet. Pour être la plus importante, ce ne sera pas la seule réunion inscrite au programme corlaysien. Deux autres réunions sont en effet programmées, les dimanches 14 juin et 14 juillet. Si les parieurs seront une nouvelle fois au rendez-vous, cet hippodrome champêtre attirera également un public très familial. Car ici, on vient autant pour le spectacle et les animations diverses pour les enfants, que pour les courses elles-mêmes.

Les réunions en 2015

Dimanche 14 juin, à 14 h Dimanche 5 juillet, à 14 h Mardi 14 juillet, à 14 h Entrée : 6 €. Gratuit pour les moins de 18 ans.

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AGENDA

l e r u t l cu musique

Dimanche 1er mars

Tiercé Gagnant Adrienne et Henri De La Haie, accompagnés de leur fille Laure, viennent d’acquérir « Le joyeux ermite » un hôtel situé tout près du champ de courses de Chantilly. C’est là que la bande de malfrats emmenée par Frédéric Rapon a décidé de prendre place pour monter un nouveau coup : kidnapper le favori du tiercé et empocher le pactole...

Une pièce de John Chapman et Ray Cooney, interprétée par La troupe, de Plouguenast.

14 h 30 et 18 h, Cithéa de Plouguenast.

Dimanche 7 mars

L’Amuse D’Hilvern Les propriétaires du château transformé en maison de retraite pour fous « pas trop fous et très riches ». Mais comment faire pour présenter du personnel inexistant ? Eh bien les pensionnaires vont jouer le rôle des employés... Une pièce de Jean-Marc Patissuer, interprétée par la troupe de Théâtre l’Amuse d’Hilvern.

En première partie, les deux pièces jouées par les ateliers enfants de l’école de théâtre « La ballade des planches » de Jean-Paul Allègre et « La Fille aux 200 doudous » de Stéphane Ternoise.

20 h 30, salle des Étoiles à Saint-Caradec. Représentations supplémentaires : dimanche 8 mars à 14 h 30 et samedi 14 mars à 20 h. Tarif : 3 € et 6 €.

Festival du printemps Organisée par l’association Le Cheval Bleu, cette édition entend rendre « hommage à la nature ». Au programme : animations, expositions, marché de créateurs, ateliers de pratiques artistiques, bal costumé… À partir de 15 h, salle de La Maillette à Locminé.

Participation libre au profit de l’association.

Vendredi 13 mars

e

cl a t c pe

s

Samedi 14 mars

Christophe Alévêque 2 « Dans l’omelette aux lardons, la poule est concernée, le cochon est impliqué ». Êtes-vous une poule ou un cochon ? Un piano, une scène, un homme : la vie. Christophe Alévêque revient aux fondamentaux et dissèque l’actualité avec un humour caustique et corrosif le monde tel qu’il ne va pas.

Dans une époque troublée, en crise de tous les côtés, où l’avenir est devenu un concept ; un pitre parle de rêve. Et ça fait du bien !

1

20 h 45, salle culturelle Kastell d’Ô, à Uzel.

Tarif plein : 25 €/ Réduit : 23 €/ Abonné : 21 € Enfant : 12 €.

Réservations au 09 62 08 39 53.

Courriel : kastelldo@orange.fr

Vendredi 20 mars

3 SiiAn Duo migrateur, SiiAn et Gaëtan Samson, imprégnés de langages lointains, de rencontres, guidés par leur apprentissage auprès de maîtres d’Afghanistan, de Turquie, d’Iran et du Maghreb, traversent ici librement l’Asie Centrale, le Moyen-Orient, la Bulgarie, l’Irlande et l’Amérique du Nord. Ils cheminent d’un continent à l’autre avec une humanité touchante.

Pour ouvrir cette soirée dédiée aux musiques d’ailleurs, plusieurs élèves d’ateliers de technique vocale du Moulin à sons se sont réunis autour d’un répertoire de chants du monde.

2

20 h 45, Moulin à sons de Loudéac.

Tarif : 7 € / 11 € / 14 €.

Réservations au 02 96 28 65 50.

Courriel : pcc.loudeac@orange.fr

1

3

20 h 30, théâtre des Halle de Pontivy.

Réservations au 02 97 25 06 16.

Courriel : billetterie@ville-pontivy.fr

©Geraldine Le Boulch

Catherine Lavallade & Melaine Dalibert Une rencontre entre deux artistes : Melaine Dalibert, pianiste et Catherine Lavallade, peintre.

Le répertoire de Mussorgski, Debussy et Rachmaninoff a inspiré des toiles et des dessins à la peintre. Un montage vidéo est proposé sur les œuvres relatives à chaque interprétation ainsi qu’une performance en direct de Catherine Lavallade sur un ou deux opus des compositieurs présentés et interprétés par Melaine Dalibert.

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musique

spectacle

Citizen Kane d’Orson Welles

4

Samedi 21 mars

Carnaval aux couleurs du monde Organisé par l’association Oz Oz avec le soutien de la ville de Loudéac, le défilé du carnaval s’élancera du Champ de Foire à 16 h. Le défilé empruntera les rues du centre-ville avant de rejoindre le gymnase du Champ de Foire où un apéro-dînatoire sera animé en musique pour clore cette édition. Des stands culinaires seront proposés par des associations, en lien avec le thème de cette édition 2015. Après avoir assuré la musique tout au long du défilé, le Moulin à sons représenté par le groupe SMS, et le DJ Tonio, entre autres, assurera les animations musicales, lors de la soirée.

Dimanche 29 mars

4

Duo d’Ours Deux ours inoffensifs et très sympathiques, Lors Jouin au chant et Soïg Sibéril à la guitare, proposent en duo, un spectacle où musique traditionnelle rime avec petites oreilles.

Alors, c’est bien sûr en famille qu’il faut se laisser guider, au gré de leurs chansons collectées dans la tradition orale et des compositions originales empruntant ici et là d’autres climats : cajun, irlandais ou jazz.

15 h, salle culturelle Kastell d’Ô, à Uzel.

Tarif plein : 10 €/ Réduit : 8 €/ Abonné : 6 € Enfant : 4 €.

Réservations au 09 62 08 39 53.

Courriel : kastelldo@orange.fr

20 h 30, palais des congrès de Pontivy. Seconde représentation le samedi 28, même heure et même lieu.

Plein tarif : 11,40 € / 8,40 €.

Sur réservation : 9,90 € / 6,70 €.

Réservations au 02 97 25 06 16.

Courriel : billetterie@ville-pontivy.fr

Vendredi 3 avril

5 Carole Guisnel Maniac !

Récompensée dans plusieurs festivals d’humour, Carole Guisnel nous entraîne dans un univers absurde où règne une folie douce et déjantée. Elle nous parle du monde du travail, des soirées, de l’amour... de ce qui nous rassemble finalement.

De ces aventures (surtout mésaventures) du quotidien, elle nous livre une vision décalée, drôle et farfelue. Et on finirait presque par se demander si ce n’est pas elle qui a raison. « Maniac ! » est une forme de résistance à la violence du quotidien.

20 h 45, palais des congrès et de la culture de Loudéac.

Tarif : 7 € / 11 € / 14 €.

Réservations au 02 96 28 65 50.

Courriel : pcc.loudeac@orange.fr

Vendredi 27 mars

Dardanus Tragédie lyrique en cinq actes composée par Jean-Philippe Rameau.

Iphise aime Dardanus, fils de Jupiter, ennemi juré de son père Teucer, roi de Phyrgie, qui la destine à son allié, le prince Anténor.

Un spectacle présenté par le conservatoire de musique et de danse de Pontivy.

5

La semaine du gallo et du breton

Du 28 mars au 5 avril, le Cac Sud 22, organise pour la 3è année consécutive, la semaine du gallo et du breton en pays de Loudéac et du Centre Bretagne. Une initiative destinée à promouvoir les langues de Bretagne, leur apprentissage, leur pratique et leur présence sur le territoire dans la vie de tous les jours. Théâtre, conférence, concert ou encore balade, sont au programme de cette édition.

Samedi 28 mars • Balade contée sur les chemins de Saint-Hervé. 15 h, à l’étang du Pas-Tranchant. Gratuit.

Dimanche 29 mars • Cabaret théâtre avec Les Prechous / Tradior. 15 h, salle Athena de La Motte. Entrée : 3 €.

Lundi 30 mars • Conférence de Daniel Giraudon « À la limite du breton et du gallo ». 14 h, foyer municipal de Loudéac. Gratuit.

Mercredi 1er avril • Vêprée gallo sur le thème « Les savoir-faire du cidre ». 15 h, maison de retraite Le-Cosquer à Le Quillio. Gratuit.

Vendredi 3 avril • Ciné-gallo, doublage en gallo de films courts issus de la Cinémathèque de Bretagne.

20 h 30, cinéma Le Cithéa à Plouguenast. Entrée : 3 €.

Vendredi 3 avril • Concert suivi d’une veillée fest-noz en breton. À l’affiche : Trio Mapihan avec Marie-Noëlle Le Mapihan (chant Haute-Bretagne), accompagnée de Pierrick Lemou (violon) et Marc Anthony (vielle) ; Anne Auffret (chant breton) accompagnée du trio Termajik. 20 h 30, salle des fêtes de Saint-Mayeux. Entrée : 5 €.

Dimanche 5 avril • Concert Argueliss, chansons en gallo, avec Matthieu Guitton (chant/harmonica) et Corinne Wissocq (guitare classique). 17 h 30, église de Grâce-Uzel. Gratuit.

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AGENDA

l e r u t l cu

Expos

Samedi 11 avril

7 6

Printemps des livres « Tronches de vie, tranches de vie » Des tranches de vie, moments singuliers ou ordinaires, histoires d’inconnus ou de personnages célèbres, des « tronches » marquées par la vie… Cette 18ème édition du Printemps des livres vous invite à partager des récits de vie, biographies, faits du quotidien ou exceptionnels, souvenirs, témoignages et autres aventures humaines… (Lire en page 37).

10 h à 19 h, palais des congrès et de la culture de Loudéac.

Entrée libre.

Vendredi 3 avril

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Mojo Machine Passionnément influencé par le style de ses maîtres, Muddy Waters, Sonny Boy, Captain Beefheart ou encore Canned Heat ; motorisé électriquement par sa sincérité, le blues de Mojo Machine se veut authentique, agricole et épuré. Sur scène, les chiens sont lâchés. La basse et la batterie assurent une rythmique ravageuse, sous les coups de bélier de l’harmonica. Accompagné de deux guitares, un chant rocailleux complète la machine bien huilée de ce groupe qui envoie.

20 h 30, théâtre des Halles de Pontivy.

Réservations au 02 97 25 06 16.

Courriel : billetterie@ville-pontivy.fr

Vendredi 10, samedi 11 et dimanche 12

Kan ar Bobl Une fois encore c’est à Pontivy que se déroulera la finale du Kan ar Bobl (« chant du peuple » en breton). Après une sélection dans les différentes rencontres régionales, plus de 500 musiciens, chanteurs et conteurs se retrouveront pour tenter de décrocher le graal dans les neuf catégories inscrites au programme : chant à écouter, chant à danser, chant accompagné, duos, instrument solo, groupes musicaux, conte, déclamation, scolaires. (Lire en page 34).

Domaine de Kerguéhennec

Propriété du département du Morbihan, le Domaine de Kerguéhennec est l’un des sites remarquables de Bretagne. Son château et son parc, remodelé au XIXe siècle par Denis Bühler, célèbre paysagiste, sont par excellence le lieu d’une découverte en famille ou entre amis.

Après une balade autour des étangs et une visite des expositions, installez-vous tranquillement au Café du parc puis poursuivez votre journée en parcourant le parc de sculptures ou en participant à un atelier avec vos enfants… À partir du mois de mars, trois nouvelles expositions sont présentées dans le château et les écuries : François Aubrun, peinture, Vincent Barré, sculpture et Clémence van Lunen, céramique ; et deux nouvelles sculptures réalisées par Roland Cognet et Matthieu Pilaud, dans le parc.

Du 1er mars au 31 mai, du mercredi au dimanche, de 12 h à 18 h, au domaine de Kerguéhennec à Bigan. Entrée libre et gratuite.

Fascinant carnaval

« Pièces détachées » Nous sommes au musée, haut lieu de la mémoire des hommes, où s’incarne l’expression de sensibilités diverses, où le visiteur parle peu, tout entier absorbé par la beauté des œuvres ou leur caractère atypique. Tout entier absorbé ?... Mais qu’en est-il des tractations à la billetterie, des amitiés naissantes dans la file d’attente, des délires mystiques inspirés ou non par les lieux, des amours insolites racontées au salon de la peinture romantique ?

Prêtez l’oreille, il se pourrait que vous entendiez les mots de ces gens.

« Pièces détachées » à partir d’un assemblage de textes de Jean Tardieu, Sébastien Thiery et Jean-Michel Ribes, interprété par La troupe de théâtre de l’amicale laïque de Loudéac, Les All’s. 20 h 45, salle Athena de La Motte.

Représentation supplémentaire le dimanche 12, à 15 h 30.

Festival du Sofa La seconde édition du festival de musique, sur le thème de l’Amérique latine, propose une journée riche et variée. Au programme : bourses aux instruments, audition de l’école de musique, apéro-concert, stage de percussions brésiliennes, conte musical, restauration brésilienne, concert avec le groupe « La Cumbia Chicharra » et la fanfare de Baud.

À travers des gravures et des photographies anciennes, cette exposition s’intéresse au carnaval des origines à nos jours et met à l’honneur les bals costumés, le carnaval de Nice et celui de Nantes, ainsi que le carnaval de Saint-Malo au travers d’une exposition photos. Costumes, masques et grosses têtes seront présentés.

Du 3 au 21 mars, médiathèque de Loudéac, 66, rue de Cadélac.

Skita, bestioles et expressions françaises

Exposition des ateliers Art terre avec des photographies de Paskal Martin et des sculptures d’Alain Burban. Cette exposition ludique et pédagogique associe des sculptures réalisées en métal recyclé (canettes, bidons, etc), des photographies et des expressions françaises liées aux animaux.

Du 3 au 31 mars au 10 avril, médiathèque de Loudéac, 66, rue de Cadélac.

Accordéon & souvenirs de voyage

Une exposition créée par le festival Le Grand soufflet. Interactives, sonores et lumineuses, treize malles de voyage racontent des histoires d’accordéon. Voyage au cœur du Bayou en Louisiane, dans le Buenos Aires des années 30, dans l’univers du clown, du Tour de France, du bal italien, du cinéma de Tati…

Du 27 février au 28 mars, médiathèque de Pontivy, 34 bis, rue du Général-de-Gaulle.

À partir de 10 h, salle de La Maillette à Locminé.

Tarif concert : adultes 15 € / enfants moins de12 ans 8 €.

Gratuit pour les moins de 5 ans.

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Le cinéma au

Quai

des Images Vendredi 13 mars Spartacus et Cassandra Spartacus, jeune Rom de 13 ans et sa sœur Cassandra, 10 ans sont recueillis dans le chapiteau-squat de Camille, une drôle de fée trapéziste qui prend soin d’eux, leur offre un toit et leur montre le chemin de l’école. Mais le cœur des enfants est déchiré entre l’avenir qui s’offre à eux et leurs parents qui vivent encore dans la rue.

20 h 30, en présence du réalisateur, Ionis Nuguet.

Mardi 17 mars Cendrillon Film américain de Kenneth Branagh.

Le nouveau Walt Disney en avant-première à Loudéac grâce au partenariat avec le Rotary Club.

20 h. Tarif unique : 15 €. 8 € sont reversés à la recherche sur les pathologies du cerveau.

Semaine de la santé mentale

spectacle

7

musique

Dimanche 19 avril

Duo Louis Capart & François Budet 7 Faut-il encore présenter Louis Capart et François Budet ? Ces deux chanteurs « du pays » ont chacun à leur actif des tubes et une carrière longue comme la côte bretonne ! Pour le public, leur prestation en duo sera l’occasion de retrouver des chansons célèbres et de mieux connaître deux personnalités aussi entières qu’attachantes !

Jeudi 19 mars Le vide dans la maison Ce documentaire aborde la maladie d’Alzheimer à travers le regard des proches qui doivent apprendre à faire avec une personne qui est déjà « aillleurs ».

20 h 30, en présence du réalisateur Sylvain Bouttet.

Dimanche 22 mars À la folie Ce film nous plonge dans la « folie » de la Chine contemporaine. Un hôpital psychiatrique du sud-ouest de la Chine. Une cinquantaine d’hommes vivent enfermés traînant leur mal-être du balcon circulaire grillagé à leur chambre collective.

15 h, salle culturelle Kastell d’Ô, à Uzel.

Tarif plein : 10 € / Réduit : 8 € / Abonné : 6 € / Enfant : 4 €.

Réservations au 09 62 08 39 53.

Courriel : kastelldo@orange.fr

Samedi 25 avril

14 h.

Lundi 23 mars Ady Gazy Le réalisateur Lova Nantenaina donne à voir la pauvreté comme il l’a vécue dans son enfance : un quotidien où difficultés et joie de vivre se côtoient. Le « Ady Gazy », art de vivre encore largement répandu à Madagascar, est un véritable art de la créativité, de l’adaptation et de la fraternité. Échanges après la projection.

14 h 30, en partenariat avec l’UTL.

8

La folie des années 80 Retrouvez l’ambiance des années 80, avec les artistes et leurs tubes. Cookie Dingler, Début de soirée, Jean-Pierre Mader et Émile & Images vous feront vibrer, pendant trois heures de concert, sur leurs chansons devenues des standards : Femme libérée, Nuit de folie, Macumba, Disparue, Capitaine abandonné, Les démons de minuit, Maîtresse… ainsi que sur les succès d’autres artistes de cette époque.

8

20 h 30, hippodrome de Loudéac.

Tarif : 28 € au guichet ; 25€ + 2 € dans les grandes surfaces via Ticketnet ou France billet.

Nevez Flamm Désormais inscrit dans la programmation Mil Tamm du pays de Pontivy, le cercle celtique Bugale Melrand à mis en place un tremplin destiné aux nouveautés des scènes bretonnes. Pour cette seconde édition de Nevez flamm, les organisateurs entendent une nouvelle fois mettre en avant l’originalité musicale ainsi que le respect de la tradition. En deuxième partie de soirée, concert d’IMG. 21 h, salle polyvalente de Melrand.

30

Du 16 au 29 mars

Jeudi 9 avril Black Harvest Le 3e épisode de la trilogie papoue, documentaire culte, l’un des plus primés au monde, Black Harvest est une tragédie contemporaine, la rencontre fracassante d’une société traditionnelle avec le libéralisme économique, ainsi que le portrait d’un homme tiraillé entre deux cultures. Échanges après la projection avec Caroline Zéau, spécialiste du cinéma direct.

20 h 30, en partenariat avec Escal’Armor

Cinescalade Près d’une ville industrielle de Sibérie se dresse une réserve naturelle faite de rochers, de bouleaux et d’isbas.

Sur ce territoire, on vit, on respire ce qui en Russie n’a jamais existé, la liberté.

Projection du documentaire réalisé par A. Kusnetsov, dans le cadre de la journée du film documentaire sur l’escalade.

Mardi 28 avril Ciné artistes Projection du film réalisé dans le cadre de la résidence d’artistes en partenariat avec le lycée Saint-Joseph.

20 h, échanges après la projection.

Quai des Images 9, bd Victor-Étienne - 22600 Loudéac 02 96 66 03 40 www.cinemaquaidesimages.org

• P h o t o s © F. Ch a m b ru n + Dre a n A / b il d e rst o e ckch e n (Fo t o l ia . co m )

#18

printemps des livres Tronches de vie / Tranches de vie

salon du livre Samedi 11 avril 2015 Palais des Congrès et de la Culture 10 h - 19 h

expos / animations Du 7 au 11 avril

loudéac entrée libre

02 96 28 65 50 • www.pcc-loudeac.com

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34 Avenue des Cités Unies (Face à LIDL)

56300 PONTIVY Tél. 02 97 25 09 69 L’ ÉCOLE BILINGUE P ONTIVY

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E C U LT U R

La Passion de Loudéac Un siècle de théâtre populaire Depuis plus d’un siècle, une troupe d’amateurs de Loudéac investit chaque année la scène pour interpréter un drame liturgique : la passion de Christ. D’abord destiné à un public de tradition catholique, la troupe souhaite aujourd’hui l’inscrire comme un véritable élément du patrimoine commun.

Le rideau s’ouvre sur la scène du palais des congrès de Loudéac. Au milieu d’une foule bruyante et colorée, Jésus fait son entrée dans Jérusalem. Immédiatement impressionné par un décor grandiose, le public va pouvoir suivre, pendant un peu plus de 2 h 30, une interprétation théâtrale des derniers jours de la vie du Christ. Unique en Bretagne, ce spectacle est rejoué chaque année aux alentours de Pâques, depuis maintenant plus d’un siècle. Depuis 1914, très exactement.

Au début du XXe siècle, Loudéac est encore un gros bourg rural et la vie quotidienne est fortement imprégnée par le catholicisme. L’église souhaite encadrer les activités sportives et culturelles de la jeunesse : c’est le temps des patronages. Celui de Loudéac, Saint-Maurice, voit le jour en 1910.

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Rapidement, une troupe de théâtre est créée et les représentations se succèdent.

Vicaire de la paroisse depuis près de 15 ans, mais également directeur du patronage, l’abbé Robin peut alors s’appuyer sur un noyau d’acteurs amateurs mais déjà confirmés, pour lancer un spectacle qu’il a longuement mûri et préparé. La première est jouée le 29 mars 1914, dans la salle du « patro », rue de La Chèze. Le succès est immédiat.

Dommages de guerre

La Première guerre mondiale va évidemment interrompre ce projet naissant. Il ne reprendra qu’en 1923. Deux décennies plus tard, la Seconde Guerre mondiale obligera une nouvelle fois la troupe à suspendre les représentations. Mais cette fois

l’interruption sera beaucoup plus brève. La salle du patronage (actuelle salle de basket de l’Étoile Sportive Saint-Maurice), a beau être réquisitionnée par l’occupant, une solution alternative est trouvée dès 1942.

La troupe investit en effet la scène du foyer municipal. Les conditions sont spartiates et les spectateurs doivent souvent prendre les chaises de l’église après l’office, pour assister plus confortablement au spectacle.

Surtout, les décors ayant été détruits, il est interprété dans la sobriété de décors monochromes. Il faudra attendre 1956 et l’obtention de dommages de guerre pour permettre à l’association de revisiter entièrement les décors, les costumes, l’éclairage et la sonorisation.

Depuis 1989, c’est désormais au palais des congrès et de la culture qu’est interprétée

chaque année la passion du Christ. Et il a bien fallu s’adapter à une scène quatre fois plus grande que la précédente. Les décors ont été entièrement refaits et les organisateurs ont su profiter des évolutions technologiques dans le domaine du son ou de l’éclairage.

Patrimoine immatériel de l’humanité

Une chose en revanche n’a pas, ou peu, changé depuis l’origine : le texte. Écrit à partir des Évangiles par l’abbé Robin, la passion (terme dérivé du grec pascho, signifiant «souffrir»), retrace les derniers jours de la vie de Jésus, de son entrée triomphale dans Jérusalem à sa mort sur la croix. « Même si les différents metteurs en scène ont parfois retiré ou rajouté des choses, nous sommes restés fidèles au texte initial dont nous possédons d’ail-

leurs l’original, annoté par l’abbé Robin », explique Yves Feuvrier, qui préside l’association depuis 1981.

Une fidélité qui se retrouve également au cœur d’une troupe qui évolue depuis plus d’un siècle comme une véritable famille et compte aujourd’hui 250 personnes, dont plus de 160 acteurs. De génération en génération, ils sont ainsi nombreux à avoir interprété une multitude de rôles. « Lors des répétitions qui débutent deux mois avant les représentations, c’est d’ailleurs le plus souvent les anciens qui forment leurs remplaçants », se réjouit le président. Et ça marche puisque chaque année, les quatre représentations inscrites au programme attirent près de 2 500 spectateurs.

Pendant longtemps pourtant, l’association a axé sa communication en direction du public catholique. Aujourd’hui, la volonté d’ouverture pour attirer également un

public plus laïc est clairement affichée. « Certes, c’est un spectacle religieux, reconnaît Michel Hinault, l’historien de la passion. Mais c’est également un élément de notre patrimoine commun. » Un patrimoine que les bénévoles loudéaciens s’attachent d’ailleurs à faire connaître audelà des frontières à travers l’association de l’Europassion, qui vient tout juste de fêter son 30e anniversaire. Du Portugal à la Finlande et de la Belgique à la Roumanie, elle regroupe aujourd’hui plus d’une centaine de troupes, à travers l’Europe. Et toutes caressent un même rêve ! Celui de voir un jour inscrit ce spectacle « le plus vu au monde », au patrimoine immatériel de l’Unesco. Un challenge à la hauteur de la passion de Loudéac qui entame tout juste son second centenaire.

La Passion de Loudéac

Représentations les dimanches 15, 22 et 29 mars À 15 h au palais des congrès.

Tarifs : adulte, 17 €; moins de 14 ans, 8,50 €.

Groupes : une place gratuite pour 20 personnes.

Séance spéciale enfants Mardi 24 mars À 20 h au palais des congrès.

Locations et réservations : 44, rue de La Chèze 22600 Loudéac Tél : 02 96 28 29 32 www.passionbretagne.com Email : passion.reservation@yahoo.fr

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10 11 12 avril

E C U LT U R

TIVY PON des congrès palais

Le programme

Vendredi 10 avril

Bal pour enfants et théâtre

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2015

GRANDE LES OURS DU SCORF KONKOUR TUD F KAR KANIT

FINALE

DES PAYS

DE BRETAGNE

REPAS CHANTÉ

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CONCOURS & FEST-DEIZ

CHANTS MUSIQUES & CONTES LARIDE GOUREN.JEUX GAVOTTE BRETONS SALON DES LUTHIERS

L’ ÉCOLE BILINGUE P ONTIVY

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14 h - 16 h 30, bal breton pour les enfants au palais des congrès.

20 h 30, théâtre en breton au théâtre des Halles avec la compagnie C'hoarivari.

Samedi 11 avril

Conférence sur les cornemuses

Chercheur affilié à l'université flamande de Louvain, membre de l'International Council on Traditional Music (Unesco) et de l'International Study Group on Music Archeology, Jean-Pierre Van Hees est l'auteur de plusieurs articles publications et livres sur les multiples facettes de la cornemuse.

9 h 30 à 11 h 30, au conservatoire de musiques de Pontivy Communauté.

Concours de sonneurs et de danse

Concours marche mélodie pour les sonneurs, à 10 h, place du Martray.

Stage de danse sur parquet, à 14 h, animé par Alain Jego et Jean-Yves Joannic place du Martray, suivi du concours de danse sonneurs, duos et danseurs

Kan ar Bobl Le peuple va encore chanter Né il y a un peu plus de 40 ans, le Kan ar Bobl met en valeur la musique et la tradition orale et chantée des différents terroirs de Bretagne. Une fois encore, c’est à Pontivy que se disputeront les finales, les 10, 11 et 12 avril prochains.

Musiciens, chanteurs ou conteurs... Chaque année, ils sont des milliers à vouloir, partager, échanger et transmettre une tradition toujours bien vivante. De la Cornouaille au Trégor, de Vannes à Vitré, mais également en Touraine et dans la région parisienne, ils se retrouvent ainsi entre la fin du mois de janvier et le début du mois de mars pour les rencontres de pays. Dans les différentes catégories inscrites au programme de ces 17 rencontres, tous espèrent décrocher le précieux sésame pour la finale qui se déroule, depuis déjà de nombreuses années, à Pontivy. Lieux de rencontres inter-générationnelles ces rassemblements permettent aux porteurs de tradition de transmettre leur savoir et aux jeunes d’entendre, de comprendre et de faire vivre le conte, le chant et la musique bretonnes.

Mais le Kan ar Bobl est aussi l’occasion de créer, de tenter des choses nouvelles et de continuer à nourrir la vitalité de la tradition orale.

Les meilleurs, c’est-à-dire tout de même plus de 500 musiciens, chanteurs et conteurs se retrouveront donc le dimanche 12 avril à Pontivy pour disputer la finale 2015 du Kan ar Bobl, dans neuf catégories : chant à écouter, chant à danser, chant accompagné, duos, instrument solo, groupes musicaux, conte, déclamation, scolaires. Mais dès le vendredi et surtout le samedi, de nombreuses animations autour de la culture bretonne sont inscrites au programme.

À la découverte du patrimoine pontivyen

En collaboration avec le service patrimoine de la ville de Pontivy, les marcheurs pourront découvrir la ville médiévale, son histoire et ses bâtiments, accompagnés de musiciens et de chanteurs.

14 h, départ du palais des congrès.

Concours de chant pour les moins de 18 ans

Le trophée Paolig-Montjarret récompense les jeunes chanteurs seuls ou en groupe, accompagnés en musique ou non, présentant un chant en breton ou en gallo 14 h, sous le chapiteau du parvis du palais des congrès.

Concours des familles

Le concours tud kar s'adresse aux groupes constitués d'au moins deux personnes, tous les membres du groupe doivent avoir un lien de parenté et présenter un chant en breton ou en gallo accompagné musicalement ou non.

16 h, sous le chapiteau du parvis du palais des congrès.

Concert hommage à André Drumel

Les élèves, musiciens et chanteurs, du conservatoire de musique de PontivyCommunauté ont planché sur le répertoire de ce chanteur traditionnel du pays vannetais et proposent un concert reprenant ses airs.

17 h, au palais des congrès.

Concert des Ours du Scorff

Les enfants ont été invités dans les écoles à apprendre une partie du répertoire du groupe pour qu'ils puissent chanter avec les musiciens lors de ce concert " interactif ".

17 h 30, au palais des congrès.

Repas chanté hommage à André Drumel

Grand animateur avec sa femme Irène de ce désormais rendez-vous traditionnel du Kan ar bobl, il était normal de demander à André d'inviter ses amis chanteurs à partager ce moment convivial.

20 h, sous chapiteau au palais des congrès.

Fest-noz avec les lauréats 2014

Beau plateau pour ce fest-noz qui réunira Sonkiz, mengleuz, yêhlusk, Emmanuel Bertrand, les lauréats du dernier Kan ar Bobl auxquels se joindra le groupe 'N diaz.

21 h, au palais des congrès.

Dimanche 12 avril L'heure des concours

Plus d’infos sur www.kanarbobl.org 34

Plus de 500 musiciens, chanteurs, conteurs disputeront la finale dans neuf catégories. À partir de 11 h, au palais des congrès.

Spectacles vivants professionnels

Le spectacle s’invite

chez vous

(au pays de Pontivy)

Mutualiser la diffusion de spectacles vivants professionnels et l’action culturelle

GUELTAS

Tarif unique : 5 €

Adulte 9 € / enfant : 5€ / Famille : 18€

LOCMINÉ

17 Mars 10h et 14h30 18 Mars 10h Espace La Maillette

Danse

« TRACE » Cie Gilschamber www.gilschamber.com Gilles Schamber choisit de créer une suite à L’Intrusion, spectacle déjà présentée sur notre territoire. « Trace » est une pièce pour trois danseuses et un danseur pour explorer la permanence de la trace. « D’un côté, une route jonchée de rencontres, d’accidents, d’aventures… de l’autre le corps, la création, le spectacle vivant. Mes outils créatifs sont des ventres, des dos, des visages, des bras, des jambes, des êtres, femmes et hommes qui me sont indispensables. Je souhaite laisser une empreinte du travail de ces danseurs afin de réveiller l’émotion… juste un instant. » Gilles Schamber

« INSENSE »

Théâtre de marionnettes

14 mars - 20h30 Salle Ellebore

10 mars - 19h30 Espace La Maillette

Cie DROLATIC INDUSTRY Théâtre de marionnettes www.drolaticindustry.fr « Approchez, approchez Mesdames et Mézyeux, ce que vous allez découvrir est volutement inspiré du frumieux Lewis Carroll... » Le roman commence ainsi : Alice s’ennuie, elle se regarde dans un miroir et s’interroge sur le monde qui se trouve de l’autre côté. Le miroir devenu momentanément inconsistant lui permet de passer à travers.

Elle découvre alors un monde différent, où tout est inversé. S’inspirant de l’œuvre de Lewis Caroll, Drolatic Industry revisite l’art de l’absurde dans ce spectacle. Le temps d’un poème et de deux comptines, ce sont dix personnages étonnants qui déambulent sur l’échiquier castelet et autant de situations sans queue ni tête qui nous plongent dans un univers humoristique et poétique.

Tarif unique : 5 €

« COCKPIT CUISINE »

Théâtre / théâtre d’objets

LOCMINÉ

Cie La bande passante www.labandepassante.cie.free.fr Un des plus étonnants voyages domestiques de Marcel Blondeau, Cockpit Cuisine. L’histoire se déroule du côté de Forbach. Marcel Blondeau, le propriétaire d’une maison vouée à la démolition pour laisser place à la réalisation d’un projet d’urbanisme est introuvable.

L’enquête piétine. Personne, ni proche, ni héritier, ni voisin, n’est capable de donner des informations pour retrouver sa trace. Un matin, des policiers forcent la porte de sa maison. Mais au lieu de découvrir des indices sur la disparition du vieil homme, ils découvrent un incroyable studio de tournage : meubles et objets ont été détournés par leur propriétaire pour revivre sa vie en images.

Résidence d’artiste :

Cie La Bao Acou « RALENTIR ! ENFANT …»

Mil Tamm mène une mission de soutien à la création en s’associant aux réseaux culturels régionaux et nationaux dans le choix des projets soutenus afin de mener une politique de coproduction de projets artistiques Afin d’ancrer un temps de travail d’artistes professionnels sur notre territoire permettant de tisser des relations entre les artistes et les habitants.

Où est cette enfance en nous, celle qui croyait tout possible …

Nourrit-elle notre résistance, notre engagement, nos utopies ?

Durant trois ans la cie la Bao Acou accompagne les habitants du territoire à partir en quête… une recherche artistique sur la force de l’enfance, en nous.

Chaque année la Cie créait une œuvre professionnelle et soutenait une œuvre créée avec la population dans les communes… pour trouver un souffle commun. Pour mener à bien tous ces projets la cie apporte son savoir-faire dans les domaines artistiques suivants : l’écriture, les arts de la parole, la musique, la voix, les arts plastiques. Dès la première année sont nées deux propositions de spectacles d’après un même texte : « je », écrit par le comédien abordant le bagne de Belle-Île. Pour 2015, ils souhaitent créer une troisième variation de ce même texte sous forme de concert.

L’auteur va travailler sur l’adaptation du texte « le Baron Perché » pour finir en 2016 par une collecte de paroles afin de créer l’hôtel des enfants Résistants... Soyez attentif... La cie aura parallèlement des chantiers d’aventures artistiques qui seront mis en place avec la population. Nous avons pu assister à une prestation théâtrale du groupe des Adulphins à Cléguérec. Actuellement deux écoles de Naizin et Moustoir-Remungol se lancent dans la réalisation de cabanes éphémères que l’on découvrira les 25 et 26 juin au Printemps des arts...

Renseignements : 02.97.27.86.66

culture@pays-pontivy.fr - www.pays-pontivy.fr facebook : culture@pays-pontivy.fr

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UTER O C E T E LIRE

Les coups de cœur Pontivy

esr v i L Un faux pas dans la vie d’Emma Picard Mathieu Belezi

Ed. Flammarion 1860, la France encourage les Français à venir s’installer sur les terres d’Algérie, le nouvel eldorado pour les jeunes colons.

C’est le choix que fait Emma Picard, jeune veuve qui, avec ses quatre fils, prend possession de vingt hectares de terre algérienne. S’ouvre alors devant elle, un enfer fait de soleil ardent, de sécheresse, de vent brûlant, d’hiver glacial, et surtout l’enfer d’une terre qui restera sourde à son désespoir.

Une tragédie humaine, passionnante et bouleversante.

Bénédicte

Drink a LOL : imbuvable Thom J. Tailor et Ookah Ed. Marabout Tout simplement excellent pour les amateurs du genre sarcastique. Le personnage que l’on retrouve dans les petites scènes proposées au fil des pages, a l’art et la manière de trouver les répliques les plus assassines, et ce, sans faire de longs discours. De toute façon, ses congénères ne méritent pas plus, nous dirait-il. Indéniablement imbuvable, mais tellement jubilatoire !

Déborah

Imagine - Aaron Becker

Gautier - Languereau Une petite fille s’ennuie. Seule dans sa chambre, elle trouve un crayon rouge, un crayon magique avec lequel elle va dessiner une porte. Et par cette porte, elle va s’évader pour un merveilleux voyage. « Imagine » est un livre sans texte, d’une grande poésie et très vivant. C’est une sorte d’hommage à la rêverie et à l’imaginaire.

Cela donnerait presque envie de s’ennuyer plus souvent !!!

La ferme - Tom Rob Smith Ed. Belfond Ce thriller psychologique, une fois entamé, il est difficile de le lâcher et de se défaire de cette histoire ! Daniel ne sait qui croire : son père ou sa mère ? Comment faire pour déterminer qui dit la vérité quand le récit de ces deux derniers est à l’opposé : « Ton père sombre dans la folie », « Ta mère me veut du mal »… N’hésitez pas. C’est plus que captivant, c’est obsédant !

Déborah

Stéphanie

At least for now - Benjamin Clementine

-CD-

Barclay Laissez-vous charmer par la voix puissante et ensorcelante de Benjamin Clementine. Ce jeune prodige inclassable nous surprend à travers onze titres magnétiques. Entre délicatesse et brutalité, At least for now est un album bouleversant ! Une révélation !

Bénédicte

Restriction – Archive

Pia Le début d’année 2015 voit naître Restriction, le onzième album d’Archive. Ce dernier ne manque pas de nous surprendre une fois encore avec ce nouvel album qui s’annonce déjà comme la digne suite du reste de sa discographie.

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Le programme

LIRE

Le jour du salon

Samedi 11 avril, de 10 h à 19 h, au palais des congrès et de la culture de Loudéac. Entrée libre.

Plus d’une cinquantaine d’auteurs et d’illustrateurs seront présents et dédicaceront leurs ouvrages. Nombreuses animations tout au long de la journée.

Des rencontres/conférences avec des auteurs en littérature adulte. À 14 h 30 et 16 h.

Du 7 au 11 avril à Loudéac

Le printemps des livres « Tronches de vie et Tranches de vie »... tel sera le thème de la 18e édition du Printemps du livre qui se déroulera à Loudéac, du 7 au 11 avril.

Après avoir partagé des histoires fortes autour des thèmes de l’amour, de l’humour, des héros, des différences, mais aussi de l’Afrique et de l’Asie, le Printemps des Livres de Loudéac vous invite cette année à découvrir des « Tranches de vie et Tronches de vie » !, à travers des moments singuliers ou ordinaires, des histoires d’inconnus ou de personnages célèbres, en passant par les « tronches » marquées par la vie…

Cette 18ème édition vous proposera des instants d’émotion autour de récits de vie, biographies, faits du quotidien ou exceptionnels, souvenirs, témoignages et autres aventures humaines…

Le Salon du Livre généraliste aura lieu le samedi 11 avril au Palais des Congrès et de la Culture, et accueillera plus de 60 auteurs, illustrateurs, éditeurs et artistes, pour des dédicaces, tables-rondes, lectures, ateliers jeune-public,… Un programme riche de rencontres autour du livre!

Et comme chaque année, la semaine précédant le salon (du 7 au 10 avril), de nombreuses animations seront organisées avec les partenaires de l’évènement : rencontres d’auteurs dans les écoles, expositions, lectures/spectacles et représentations théâtrales, à la médiathèque, au cinéma, à l’école de musique,…

Le Printemps des Livres de Loudéac, le rendez-vous littéraire et artistique à ne pas manquer, pour découvrir des livres, des œuvres, des artistes,…

Pour les petits comme pour les grands!

Des ateliers pour tous : « Tranches d’histoires ! »

Pour les 3 / 6 ans - 10 h3 0 - Durée : 30 mn Dans le cadre de « Raconte-moi une histoire » (lectures d’albums, animés par la médiathèque)

« Qu’est-ce que tu fabriques ? / Des histoires qui se déplient »

Ateliers gratuits sur inscription au 02 96 28 65 50, dans la limite des places disponibles.

Animés par Emmanuelle Bastin, illustratrice/graveur.

Pour les 8 / 10 ans (une séance) : 14 h à 15 h 30 : « Ma fabric-à-brac pour histoire de poche ».

Pour les 5 / 7 ans (deux séances) : 16 h à 16 h 50 et 17 h à 17 h 50 : « Mon légumier, un imagier du marché ».

« Tranches de textes »

En déambulatoire sur la journée Avec « L’Amalire » - Lectures à voix haute Lectures d’extraits de textes d’auteurs invités et de tranches de livres liés au thème de l’édition 2015

« Tronches de vie 2 en 1 »

Animation d’ateliers tout-public, en lien avec l’exposition des travaux d’écriture, de peintures et sculptures réalisés par le groupe de l’ADALEA de Loudéac, accompagné de Vanessa Belleperche, peintre / plasticienne.

« Calligraphie Arabe »

En continu sur la journée, avec Mohammed Idali, calligraphe : expos, livres, démonstrations, initiations...

Avant et pendant le salon

Expositions

« Hommage à René Vautier » - Photographies - Félix Le Garrec Photographies de Félix Le Garrec, réalisées lors du tournage du film « Avoir 20 ans dans les Aurès » de René Vautier. Hommage au cinéaste disparu en janvier 2015, avec une exposition, et la programmation de plusieurs de ses films et d’un documentaire.

Du 6 au 12 avril, cinéma Quai des Images. « Reflets de vie » - Photographies - Karine Baudot En noir et blanc, des visages et expressions de vie atypiques et mystérieux : « Miroirs, fenêtres, vitrines, textures, regards... le reflet, passage vers une réalité intime, palpable, imaginaire ou illusoire ».

Du 7 au 11 avril, palais des congrès et de la culture. « Paroles d’étoiles - Mémoire d’enfants cachés 1939-1945 » Adaptation en bande-dessinée du recueil de textes, lettres et photos de Jean-Pierre Guéno et Jérôme Pecnard: un rendez-vous avec l’histoire des enfants juifs cachés pendant le Seconde Guerre mondiale.

Du 7 au 11 avril, palais des congrès et de la culture.

Animations

« Tronches de guerre / Tranches de guerre » Représentation théâtrale de classes du collège des Livaudières, accompagnés par la chorale du collège et élèves et professeurs du Moulin à Sons, dont le groupe “ Les Résidus de Fanfare ”.

Mardi 7 avril à 19 h 30, Moulin à Sons – École de musique du Pays de Loudéac. « Leurs portraits crachés » Lecture/spectacle par la compagnie Bibliothéâtre Voici des silhouettes que nous croisons peut-être dans la rue, mais le trait de plume des écrivains contemporains les remarque et les retient pour en tracer des croquis singuliers... Nous sommes invités à visiter une galerie des personnages « marqués par la vie », et livrés tout crus et tout tendres. Ces « tronches » qui ont « l’air d’êtres » rares, nous tendent, l’air de rien, un miroir édifiant mais toujours humain.

Mercredi 8 avril à 18 h 30, médiathèque de Loudéac.

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T H A B I TA

Pour dormir tranquille...

Le détecteur de fumée obligatoire La prudence, c’est maintenant ! À partir du 8 mars, tous les logements doivent être équipés d’un DAAF, un détecteur autonome avertisseur de fumée. Un gardien du sommeil de nos nuits dont on attend beaucoup.

Quelques chiffres suffisent à donner la mesure de l’enjeu : un feu domestique se déclare en France toutes les deux minutes.

Au total, ces incendies tuent près de 800 personnes par an et en blessent 10 000.

Sept incendies domestiques mortels sur dix se déclarent la nuit, le plus grand danger étant celui de l’asphyxie des personnes surprises dans leur sommeil. Un danger d’autant plus grand que seuls 20 % des foyers sont équipés d’un détecteur de fumée. À compter du 8 mars, donc, tous les logements devront être dotés d’un petit boîtier permettant de détecter les fumées dès le début d’un incendie et d’émettre aussitôt un signal sonore suffisant pour réveiller une personne endormie. Attention, il est

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recommandé de choisir un détecteur portant le marquage CE, conforme à la norme EN 14604 qui arbore également la certification NF. Le prix d’un bon détecteur de fumée oscille entre 10 et 20 €. À noter qu’il existe des détecteurs spécialement adaptés aux personnes sourdes dotés d’un signal lumineux ou vibrant.

Le détecteur doit être fourni et installé par le propriétaire du logement, que celui-ci occupe son logement ou le loue d’ici le 8 mars 2015. Si le logement est occupé par un locataire avant cette date, le bailleur peut soit fournir le détecteur à son locataire, soit lui rembourser l’achat. Dans les deux cas, c’est au locataire de l’installer.

Le boîtier doit être fixé de préférence dans

le dégagement (palier, couloir) desservant les chambres. Dans un studio, le détecteur sera posé le plus loin possible de la cuisine et de la salle de bain. Dans les maisons ou les appartements à plusieurs étages, il est recommandé d’installer un détecteur par étage. Dans les grands logements, prévoir également plusieurs détecteurs. À partir du 8 mars, la vérification de présence et du bon fonctionnement du détecteur sera faite au moment de la mise en location du logement. L’obligation d’entretien et de remplacement du détecteur revient à l’occupant du logement. Ainsi, dans un logement loué, le locataire doit veiller au bon fonctionnement du détecteur en vérifiant et en remplaçant les piles ou le détecteur (en cas de défaillance).

DÉCO

Oser la couleur...

Sans se tromper Jaune ? Gris ? Bleu ? Quelle teinte choisir pour son intérieur ?

Sophie Robert, décoratrice chez Lignes Exclusives à Loudéac, nous répond !

Réussir une harmonie de couleurs

Votre meilleure alliée : la lumière !

Le premier critère est l’orientation de votre pièce : au nord, évitez les couleurs trop claires (le blanc par exemple donnera un rendu grisé), privilégiez plutôt les teintes pastelle.

A l’est, les couleurs chaudes (jaune, rouge...) vous permettront de réchauffer la pièce ; à l’ouest au contraire, elles auront tendance à être encore plus chaudes voire oppressantes, les couleurs froides (vert, bleu…) sont donc les bienvenues.

Votre salon séjour est au sud ? Toutes les couleurs y sont possibles ! Vous n’avez que l’embarras du choix !

La couleur réveille vos murs !

De nombreuses personnes laissent leur intérieur blanc par peur de faire le mauvais choix. Pourtant dans la nature, la couleur est présente absolument partout ! Pourquoi devrait-on s’infliger au quotidien un cadre de vie artificiellement immaculé ? Bien employée la couleur donne du sens à votre intérieur.

Alors OSEZ ! Exprimez votre personnalité en choisissant une couleur qui vous correspond.

Chaque couleur dégage une forme d’énergie : apaisante pour les verts, dynamisante pour les rouges, tonique pour les jaunes, chaleureuse pour les orangé, joyeuse pour les rose, empreinte de mystère pour les violets, d’inspiration pour les bleus et chic’issime pour le noir… A vous de trouver la vôtre !

Dans une chambre, optez pour le bleu céladon si vous avez du mal à vous endormir ou au contraire le corail si ce sont vos réveils qui sont plus difficiles.

INFORMATIQUE

46 Rue Bigrel

22600 Loudeac

Une harmonie simple est constituée de trois teintes. Au-delà, l’œil se perd.

Partez des éléments du décor initial (couleur du sol, des menuiseries, du mobilier...) pour définir une première teinte.

Ensuite pour la marier sans vous tromper, vous pouvez jouer avec les camaïeux (association de couleurs proches) par exemple avec un rose pâle, choisissez un ton intermédiaire comme le framboise additionné à une touche de fushia.

Vous pouvez aussi choisir la même teinte, déclinée en trois intensités (c’est le principe du dégradé).

Enfin les harmonies naturelles : elles associent toutes les teintes issues de la nature : les verts, les ocres, les bleus… Ce sont des harmonies qui fonctionnent à coup sûr ! Essayer les yeux fermés le lin, le sable et un bleu intense : effet garanti ! …

Et maintenant à vous de jouer !

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JARDIN

AGE

Cultiver ses légumes sous serre Ne soyez plus dépendant de la météo, cultivez vos légumes dans la grande luminosité et la douce chaleur qu’offre une serre. Les graines germent plus vite, les plantes se développent plus rapidement et vous récoltez vos légumes quelques semaines avant ceux du jardin. Grâce à ce système, gagnez du temps et profitez d’un meilleur rendement !

Tomates - Faites pousser les tomates le long d’un fil-tuteur clipsé au plafond de la serre - Pincez les tomates et supprimez les gourmands - Supprimez les fleurs jaunies à l’aisselle de la plante - Installez un arrosage automatique (la plante est très gourmande en eau et réclame plusieurs arrosages par jour) Salades - L’arrosage est très important pour obtenir de belles salades - Arrosez tour à tour avec de l’eau enrichie d’engrais liquide (ou du purin de consoude) à raison de 1 p. 1000 et avec du salpêtre de calcium Haricots - En ce qui concerne la préparation des sols, le haricot ne demande pas de fumure, mais aura besoin d’un sol riche en potasse et acide phosphorique - Les haricots nains seront semés en lignes continues ou en poquets, tandis que les haricots grimpants seront placés au pied de tuteurs - Dès que les plantes ont développé deux vraies feuilles, buttez pour soutenir le pied Pomme de terre - Le tubercule se plaît en terre bien drainée, de préférence profonde et riche - Par temps sec, arrosez régulièrement pour que la récolte soit bonne. S’ils ne reçoivent pas assez d’eau, les tubercules risquent d’éclater ou de se fendre

Le carré potager

Le carré potager est très tendance cette année. Il s’agit d’un potager divisé en plusieurs petits carrés qui contiennent chacun une variété de légumes, d’aromates ou de fleurs.

Chaque plante est placée stratégiquement dans le potager pour favoriser sa croissance et limiter au maximum les pesticides et autres produits chimiques. Ce potager de petite taille trouvera sa place dans votre jardin, sur votre terrasse ou votre balcon et vous profiterez de vos propres légumes toute l’année.

Vivre à l’extérieur :

la nouvelle collection de plein-air Jardiland est arrivée !

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SANTE

Une cure-détox pour éliminer les toxines avant l’été L’hiver a mis notre organisme à mal… Une cure de nettoyage modérée peut s’avérer bénéfique. Elle n’est en aucun cas un régime pour perdre du poids, mais la détox est idéale débarrasser le corps des toxines et se sentir mieux à l’arrivée du printemps !

Consommez beaucoup de liquide (au minimum 2 litres par jour), particulièrement de l’eau (purifiée, filtrée ou de source faiblement minéralisée), mais également des jus frais de légumes et de fruits, de même que des tisanes tout au long de la journée.

Pendant l’hiver, notre alimentation est moins saine. Pour lutter contre le froid, on a tendance à préférer des plats en sauce et déserter les salles de sport... Par conséquent, les toxines s’accumulent. Une cure de nettoyage a également pour objectif de stimuler le travail d’élimination du foie et des reins. Elle aide à lutter contre la fatigue et la nervosité, les problèmes de peau et l’insomnie.

Une cure détox n’intègre pas obligatoirement une médication.

Quelques conseils pour vous aider à retrouver un bon équilibre : • Privilégiez les repas légers, en y intégrant un maximum de fruits (surtout en dehors des repas) et légumes. Optez surtout pour ceux qui contiennent de la vitamine C comme les agrumes ou l’acérola, misez pour une cuisson à la vapeur qui permet de conserver les vitamines et nutriments contenus dans les légumes sans ajouter de matières grasses (brocolis, haricots verts...) et inscrivez au menu certains aliments drainants et antioxydants comme le radis noir, l’artichaut ou le citron.

• Faites-vous plaisir en incluant de nombreux légumes en particulier les légumes verts et les salades, riches en chlorophylle et minéraux qui vont soutenir la régénération de notre organisme. De plus, ajoutez abondamment dans vos préparations du persil et des fines herbes comme le thym et le basilic.

• Evitez les viandes grasses et préférez les viandes maigres comme le poulet ou la dinde pour faire le plein de protéines animales, ou encore le soja ou le tofu pour leur teneur en protéines végétales.

• Supprimer ou réduisez également de votre alimentation les sucres raffinés. Quant au thé vert, il est une bonne alternative au café car très riche en antioxydants.

Comment commencer ?

Il y a plusieurs règles simples à appliquer pour aborder votre cure détox. Il faut tout d’abord mettre au repos l’organisme. Il peut être parfois recommandé de jeûner pendant les 48 heures précédant la cure. Si toutefois le jeûne ne vous convient pas, faites en sorte d’éliminer au moins les aliments difficiles à digérer et les viandes de votre menu, ainsi que le café, le chocolat, l’alcool et les épices relevées.

Smoothie detox pomme-concombre Ingrédients pour 2 personnes : 1 pomme 1 petit concombre 1/2 botte de cresson 10 feuilles de menthe Glace pilée Préparation : Lavez, épluchez et coupez le concombre et la pomme en dés.

Lavez le cresson et la menthe.

Mettez tous les ingrédients dans le mixeur, mixez et servez frais.

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MODE

Laissez-vous gagner par le flower-power des

70’s

Envie d’un look bohème, hippie ou masculin-féminin ? Normal, le printemps arrive et souffle un vent de liberté. Et comme on l’a vu sur les récents défilés, chez Prada, Yves SaintLaurent, Emilio Pucci, Louis Vuitton ou encore Gucci, on n’hésite pas à ressortir ses pattes d’eph, sa veste en daim, ses compensées, et on danse !

Les seventies symbolisent la liberté, une période où les femmes s’expriment et clament leur envie d’exister par elles-mêmes.

La révolution de mai 68 donne le ton, les mœurs changent et forcément les looks aussi... Les femmes osent tout : pantalons, imprimés orientaux, couleur, strass, matières brillantes… Avec un seul mot d’ordre: « Peace & Love ».

Couleurs : ça va piquer les yeux !

Même pas peur ! Même si ça risque de piquer un peu les yeux ! Attendons-nous à une avalanche de couleurs toujours plus vives les unes que les autres pour cette saison printemps-été. Rose, rouge, jaune, orange, bleu électrique ou encore vert pomme, seront de mise. Qu’on se le dise, les pantalons, les jupes, les robes et les tee-shirts des modeuses seventies version 2015, seront arc en ciel !

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Les looks phares

Les formes géométriques toutes plus originales les unes que les autres arrivent en force, sans oublier la montée des imprimés floraux. Les fleurs éclosent dans les cheveux et sur les jupes des filles. N’hésitez donc pas à en abuser, plus il y en a, mieux c’est ! Les motifs orientaux sont à la mode et pour un look seventies réussi, c’est tout ce qu’il vous faut…

Seventies côté disco

Cet été, on dansera sur du Abba et on s’habillera en total flashy et paillettes à gogo.

Les chaussures sont à paillettes, les vêtements affichent des couleurs pétillantes, voire extravagantes.

Seventies côté hippie

Le style baba-cool/hippie fait son grand retour. Pour un total look, on mise sur des vêtements amples et des tissus fins. De

longues, voire de très longues jupes, avec une ceinture qui tombe sur les hanches.

Seventies côté accessoires

Sabots compensés, spartiates ultra plates, sandales de piscine excentriques et bottes en daim... Cet été, nos pas aussi se libèrent.

On use et abuse de tout ce que l’on peut trouver pour rendre son look vraiment original ; lunettes de soleil, de préférence violette ou rose, colliers à la pelle, foulards….

Et bien sur, l’indispensable head-band dans les cheveux ou la couronne de fleurs (mais discrète alors…).

Enfin, un incontournable : le jean. Pour un look à fond dans la mode années 70 on opte pour une coupe très large. L’honneur est au taille haute, le taille basse n’était alors pas vraiment d’actualité. Celles qui n’ont peur de rien fonceront sur le patte d’eph’...

La Bretagne sous toutes les coutures Distribuée en exclusivité par les centres

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Du vendredi 24 avril au lundi 04 mai 2015 Ouvert les dimanches 26 avril et 03 mai et le vendredi 1er mai Tous les jours de 14h00 à 18h00 et les samedis de 10h00 à 18h00 Des Remises Exceptionnelles - Jusqu'à -50% * En plus pour 100 € d'achats = remise de 10 € pour 150 € d'achats = remise de 15 € pour 200 € d'achats = remise de 20 € * sur articles signalés en magasin

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PORTE OUVERTE :

Pour ses 5 ans l'entreprise vous ouvre ses portes : Visite guidée des ateliers le jeudi 29 et le vendredi 30 avril de 14h00 à 16h00 43

OGIE OENOL

Trois sens

pour apprécier le vin...

L’art de la dégustation n’est pas inné.

Voici quelques conseils pour apprécier un vin à sa juste valeur.

Si l’on peut apprécier le vin sans être un expert, bien le déguster demande un certain apprentissage. Une bonne dégustation fera appel à trois sens : la vue, l’odorat et bien sûr le goût.

Observer

En premier lieu, la robe d’un vin s’admire et s’examine. Pour cela, prenez le verre par le pied et portez-le à hauteur des yeux en le dirigeant vers une source de lumière. Inclinez-le à 45° et placez-le devant un fond blanc pour observer la transparence du vin. La robe doit être bien colorée, limpide et brillante. La présence d’un dépôt sera normale pour un vin vieux, mais plus inquiétante pour un vin jeune. Toutefois, avant de tirer des conclusions hâtives, passez à l’étape suivante, l’examen olfactif.

Sentir

L’examen des parfums se fait en deux étapes : une première fois au repos, puis une seconde fois après tournoiement du verre, afin de permettre aux odeurs de se dégager. Après votre première impression, vous analyserez ainsi l’intensité et la complexité aromatique, c’est-à-dire le nombre de familles d’odeurs décelées : florale, frui-

tée, végétale, torréfiée, minérale, épicée, animale ou balsamique.

Si vous sentez une odeur étrange ou désagréable, apprenez à distinguer entre celles qui ôtent tout espoir (vinaigre ou croupi) et celles, surprenantes, qui peuvent n’être que passagères (renfermé, goudron).

Goûter

Dernière étape, l’examen gustatif. Pour cela, prenez une petite gorgée et faites-la tourner dans toute votre bouche, si possible en aspirant un peu d’air. En effet, les différents territoires de la langue sont spécialisés : le côté sucré est reconnu par la pointe de la langue, l’acidité par les bords latéraux et l’amertume par l’arrière de la langue. Cet examen gustatif vous permettra de déterminer si la première impression (l’attaque) est onctueuse, flatteuse, puissante ou dure, et si la matière est légère ou dense. Vous pourrez également apprécier le degré d’acidité et, pour les rouges, les tanins. Enfin, vous verrez si la fin de bouche est plaisante ou non, et si les arômes persistent après la dégustation. Il ne vous reste plus qu’à comparer vos impressions avec votre entourage, car un bon vin, ça se discute !

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GASTRO

NOMIE

RECETTE DE CHEF

Yvonnick Le Maux

artisan chocolatier

Verrine au crumble, au coulis exotique et à la chantilly Ingrédients pour 8 verrines :

Préparation :

Crumble:

Crumble :

Coulis exotique :

Coulis exotique :

• Dés de beurre froid : 60 g • Sucre roux : 60 g • Poudre d’amande blanche : 60 g • Farine : 60 g • Sel : 1 g

• Jus de fruits passion : 70 g • Purée de mangue : 30 g • Dés de mangue : 50 g • Dés de banane : 50 g

Chantilly vanille de Tahiti :

• Crème fleurette : 100 g • Crème mascarpone : 80 g • Sucre semoule : 20 g • Une gousse de vanille de Tahiti

Dans un récipient, sabler le beurre froid avec la farine, la poudre d’amande , le sucre et le sel.

Vous devez obtenir une consistance granuleuse irrégulière.

Déposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.

Cuire le crumble pendant 20 minutes dans un four préchauffé à 150°C. Mixer le jus de fruit de la passion et la purée de mangue.

Ajouter les dés de fruits frais.

Chantilly vanille :

Gratter la gousse de vanille dans les crèmes. Ajouter le sucre.

Monter le tout au fouet dans la cuve d’un mélangeur.

Dressage :

Déposer au fond de la verrine quelques morceaux de crumble. À l’aide d’une poche sans douille garnir la moitié de la verrine de chantilly vanille.

Déposer quelques dés de mangue et recouvrir de coulis exotique.

Finir de garnir les verrines avec de la crème chantilly.

Décorer le dessus avec vos dés de banane et arroser les fruits de coulis.

Conseil du chef :

Un décor chocolat se mariera à merveille avec votre verrine pour épater vos invités.

Merci à Yvonnick Le Maux Vice-champion du monde chocolatier 45

E V O YA G

La

Toscane,

terre de culture et de savoir-vivre

Douces collines des Apennines, vignobles du Chianti, coupoles de Florence et tour inclinée de Pise : la Toscane offre au voyageur tous les trésors de l’Italie. Un savant mélange d’histoire, de paysages et de saveurs.

Place du Palio, à Sienne.

enceinte de murailles qui protège son patrimoine exquis : des places, ruelles, maisons, palaces, tours très hautes couronnées d’oliviers. À Sienne, autour de la piazza Il Campo s’organise une ville dotée de nombreux monuments et de rues escarpées où il fait bon se perdre.

Enfin, San Gimignano, à mi-chemin entre Florence et Sienne, impose au voyageur ses tours et ses panoramas de rêve. Volterra, l’étrusque et romaine ; Livourne, son port et ses plages ; Arezzo et Cortona ; Prato et Pistoia au nord ; les villages du Chianti et de l’Orcia, Massa Carrare, Grosseto, Piombino, Cecina ; cette myriade de villes et villages renferment des petits trésors qui n’aspirent qu’à être dévoilés…

Saveurs et savoir-faire artisanal San Gimignano.

Florence, la capitale, impose d’emblée la grandeur de son centre historique. La ville est classée au patrimoine de l’UNESCO avec le Duomo et son interminable baptistère qui font de cette église l’une des cathédrales les plus imposantes du monde. L’église Santa Maria Novella, les musées et les rues pleines de vie vous plongeront, lors de cette première étape toscane, au cœur de l’esprit italien.

Direction Pise et sa « tour penchée », située au centre d’un autre Duomo majestueux. La ville de Lucques (Lucca) est entourée d’une 46

Le voyage se poursuit, tout en saveurs et arômes. Du vin, à l’huile, en passant par le savon, les objets en bois d’olivier, les confitures, les pâtes, les fromages, toute la production artisanale naît d’un savoir-faire inégalé.

Visiter la Toscane, c’est aussi et surtout goûter et profiter des saveurs naturelles des produits de la campagne et de la culture italienne.

Le Ponte Vecchio, à Florence.

400 points de distribution

sur les Pays du Centre Bretagne et de Pontivy

ontivy P e d t e c udéa o L e d s y Pa Un magazine gratuit de 52 pages, sur papier brillant, format A4 Un tirage de 8 000 exemplaires et une distribution au coeur du bassin de vie Loudéac-Pontivy 400 points de distribution : commerces, mairies, professionnels...

Un lectorat de près de 140 000 habitants, répartis sur plus de 95 communes des Pays de Pontivy et du Centre Bretagne.

Collinée Corlay Plouguenast

Uzel

Mûr-de-Bretagne

Merdrignac

Loudéac

Cléguérec

La Chèze

Pontivy Rohan Baud

Locminé

Saint-Jean-Brevelay

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ici et là

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JEUX

Solution des jeux sur le site : http://56.jeux.themes.perso.sfr.fr A l’aide des 15 blocks de 2 lettres, reconstituez horizontalement 5 communes situées dans le secteur de diffusion de votre magazine ici et là.

Cette grille se compose de 64 cases réparties en 8 rectangles de 2X8. Elle doit être complétée avec toutes les lettres de : PONTIVY Chacune des lettres devant être utilisée une fois dans chaque ligne, chaque colonne et chaque rectangle. Dans les cases colorisées vous pourrez découvrir un mot mystère.

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Id’EstCommunication Pontivy Associations

• Nombreuses associations sportives et culturelles

Prestations incluses

Confort

Cadre de vie

Lundi de 14h Ă 18h du Mardi au Jeudi de 9h Ă 12h et de 14h Ă 18h Vendredi de 9h Ă 12h et de 14h Ă 17h30 Samedi de 9h Ă 12h ou sur rendez-vous

RĂŠsidence

Cèpes Champignons de Paris Champignons farcis, Timbale de riz trois couleurs Courgettes à ma Rosierfaçon Tomate farcie aux petits oignons glacÊs rugeux Cresson Tomate Provençale Endives braisÊes Poursuivez votre exploration du Fagots de haricots verts Parcours Nature en vous rendant FeuilletÊ d’Êpinards au square Houmaire (vers le pont) ou sur la place des Marronniers, oÚ Flan aux lÊgumes vous trouverez un pupitre prÊsenGirolles tant le cheminement à emprunter Buddleia Robinier pour dÊcouvrir la faune et la flore Gratin Dauphinois caractÊristiques des bords de rivière et des plateaux.

Gratin de Courgettes A dÊcouvrir à 4 km l’arboretum de Morilles Cloyes-sur-le-Loir et à 20 km l’ÊcomusÊe de la Haie à Châtillon-enCornouillier Pleurottes sanguin Dunois.

Pommes aux airelles Pommes de terre boulangères Pommes Duchesses PurÊe de CÊleri

Alisier torminal

CHATEAUDUN

BÝche de NoÍl aux fruits ou au chocolat Crème brÝlÊe Fondant au chocolat et ,sa crème anglaise 17e edition Fruitier (fraise, framboise, mandarine, ananas) Galette des Rois Gâteau au chocolat Mercredi 17 juin Mousse au chocolat Ateliers d’initiation à la musique klezmer, compagnie Tour de Nougat glacÊ sur son coulis de -18h, framboises Babel, 14h-16h /16h (pour musiciens ayant 2 à 3 ans de pratique minimum) Poire chocolat Conservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres Profiteroles au chocolat Suprême au chocolat Jeudi 18 juin Romano

LES ANIMATIONS POUR LES SCOLAIRES

(gâteau au chocolat et griottes)

Salade de fruits Concerts pĂŠdagogiques ÂŤ Musique de danse au temps de XIV Âť, compagnie EurĂŠliades, 10h et 14h, durĂŠe 1h Tartes (abricots, citron,Louis fraises, pommes, coco, poire-amande...)

Sorbets

Un espace oĂš il fait bon vivre Au coeur de la ville, plus proche de vous et imaginĂŠ pour vous

(pour cycle III) Esplanade du COMPA Ă Chartres

Ateliers  DÊcouverte des instruments , 10h-16h, durÊe 1h (pour cycle I et II) 2 sÊances le matin, 2 sÊances l’après-midi Fontaine de Champagne Conservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres

Romilly sur Aigre

INFOS PRATIQUES

Aire de Camping Car Arboretum Bibliothèque municipale Centre Socio-culturel Chapelle N D d’Yron PrieurÊ N D d’Yron Cimetière Nouveau Collège Collège François Rabelais Ecole maternelle J. PrÊvert Ecole Notre Dame d’Yron Eglise Saint-Georges Accès SNCF Maison des Services Publics Gendarmerie Groupe Scolaire S. Pitard Gymnase - Complexe Sportif Hôtel de Ville La Poste Maison de Retraite Office de Tourisme

Parc de Loisirs Parc Emile Zola Passerelle Piscine Pompiers Plateau Multi-Sports Skate Parc Tennis

Terrain de Mob Cross

Parc d’ActivitÊs Saint SÊverin

J6 J4 K6 J4 I6 I6 K5 K3 J5 K4 K5 K4 L6 L6 J6 K5 J3 J5 J5 I6 J4 J3 J4 J4 K2 J4 J4 J4 K3 K6 / 7 M6 / 7

RÊservations ateliers scolaires : Conservatoire de l’agriculture - COMPA 02 37 84 15 00

Les Bouleaux 28290 ARROU

Pour plus d’infos

entrĂŠe gratuite

TĂŠl : 02.37.97.01.95

Au COMPA Ă CHARTRES

Fax : 02.37.97.09.03

16h - 18h45 Premières Pressions, jeunes groupes amateurs du dÊpartement - Esplanade du COMPA à CHARTRES

traiteurthurin@orange.fr

20h FAREN KHAN, concert de musique klezmer avec la participation des stagiaires de la journĂŠe - Esplanade du COMPA Ă CHARTRES

Jeudi 18 juin

10h/14h ÂŤ Musique de danse au temps de Louis XIV Âť, concert pĂŠdagogique - Esplanade du COMPA Ă CHARTRES 10h/11h/14h/15h ÂŤ DĂŠcouverte des instruments Âť, atelier Au COMPA Ă CHARTRES

18h Le clavecin, de la facture à l’interprÊtation - Archives dÊpartemen-

tales d’Eure-et-Loir à CHARTRES

20h30 SoirÊe Mozart, par le Grand Choeur du Conservatoire de Chartres et l’orchestre Les Violons Virtuoses - Esplanade du COMPA à CHARTRES

Vendredi 19 juin

Le Conseil gÊnÊral d’Eure-et-Loir et Cinq sur Cinq prÊsentent la

Ateliers Mix, association Les Bouchers doubles, durÊe 2h (pour collèges, lycÊes et Maisons pour Tous) Conservatoire de l’agriculture – COMPA à Chartres

SEMAINE DE LA MUSIQUE

9h30/13h30/17h Ateliers Mix - Au COMPA à CHARTRES dès 19h Scènes musiques actuelles : Va T’en Chez Moi / GRISBI /

TheAnt / TAHITI 80 - Esplanade du COMPA Ă CHARTRES

Samedi 20 juin

14h30 Concerts des Êcoles de musique d’Eure-et-Loir Esplanade du COMPA à CHARTRES

20h30 ANA�S invite Jeanne Cherhal, Juliette, Gonzales et Florence Foresti - Château de MAINTENON

Dimanche 21 juin

du 17 au 21 juin 2009

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Vendredi 19 juin

Maurice Dousset

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K2 4 I5 J5 K5 6 K5 I5 J3 L3 K3 K4 I6 I4 I5 H3 I3 L6 M6 K4 J5

Au cours de votre balade dans l’arboretum, vous allez dÊcouvrir, en fonction des saisons, les fleurs et baies des arbres et arbustes qui le constituent (quelques exemples spÊcifiques sont illustrÊs sur ce panneau).

Elles offrent aux oiseaux un prĂŠcieux garde-manger, du nectar pour les abeilles et un attrait pour les paet les insectes.

Rizpillons crĂŠole Respectez cet environnement ! Observez, touchez, sentez mais ne cueillez pas.

SoufflÊ aux troisà tous, purÊes L’arboretum est ouvert piÊtons uniquement !!!

Merci de ne pas abandonner vos dÊchets. Une poubelle à l’entrÊe du terrain est à votre disposition.

Fete medievale 6-7-8 Juillet 2012

route de rue

rue avenue du rue rue Charles chemin de la rue Alexis impasse des rue Jacques rue du impasse Marcel rue des imp. du Bois de la route de rue ruelle

Photos : Julien Dameron - Texte collectif - CrĂŠation : Idest

Carnet de Route des Chemins de RandonnÊes CommunautÊ de Communes des Trois Rivières

quotidienne

Les Bouleaux

Montigny Montgreffier Nationale Onze Novembre PĂŠan PĂŠguy Piscine Pohu Ponceaux PrĂŠvert PrieurĂŠ Proust Quatre Vents Roche Romilly Saint-Georges Saint Lubin

ARROU En effet, les arbres sont depuis toujours importants pour l’Homme : source d’alimentation, bois de28290 chauffage, matÊriau pour les objets usuels et la construction, mais aussi ÊlÊment et de cadre de vie.

TÊl :de paysage 02.37.97.01.95 Fax : 02.37.97.09.03 Ils trouvent maintenant d’autres intÊrêts encore, pour la prÊservation de la qualitÊ de l’air et de l’eau et traiteurthurin@orange.fr pour la prÊservation de la biodiversitÊ.

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Une prĂŠsence

SĂŠcuritĂŠ AccessibilitĂŠ

• A 400m de la gare

Accueil du public :

Foyer

en coeur

Cerisier tardif

Garnitures de LĂŠgumes

Faux acacia

I3 4 K4 K4 L6 C4 I5 K4 K5 J6 K7 J4 5 K4 J5 K5 L3 K4 L3 J5 K5 J5 I3 K4 I3 I4

27 25 01 02 03 03 22 23 04 05 06 07 08 26 09 10 11 12 18 13 14 15 16 29 28 17 24 24 19 20 21

Animations pour les scolaires Concerts

Office du Tourisme 02 37 45 22 46 idest 06 66 30 05 02

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InstallÊs dans l’espace Maurice Dousset, de nombreux professionnels de santÊ sont à votre service (infirmiers, podologue, ostÊopathe, nutritionniste, etc...)

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Des salles Ă la disposition des associations cloysiennes.

Elles y dĂŠveloppent leurs activitĂŠs et proposent des animations ouvertes Ă tous, y compris aux rĂŠsidents.

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• Professionnels de santÊ sur place

Bulletins

Maurice Dousset

Des services

• Commerces et services à 100m

Liste des Rues

rue de rue des Petits rue du place du route de rue des rue des route de la place Brou rue de J5 Ganne impasse 1. la lutte contre le changement climatique, Gourmond rue Brune citÊ Charles J6 2. la prÊservation de la biodiversitÊ, des milieux et desChanzy ressources,place K4 Haut des Rovarières chemin du Chartraine rue K3 5 HervÊ rue Yves 3. la cohÊsion sociale et la solidaritÊ entre les territoires et les gÊnÊrations, Châteaudun rue de J4 Huit Mai 1945 rue du 4. l’Êpanouissement de tous les êtres humains, Chatonnerie chemin de la I4 Isambert rue Victorien Chauveau rue Jean J5 K6 responJars chemin du 5. une dynamique de dÊveloppement suivant des modes de production et de consommation Chesneraie rue de la HI5 Legrand rue Auguste Pratique & Touristique sables.

Longères chemin des Edition 2009

ACCES

èq

• A proximitÊ du Centre nautique

9(56 67 -($1 )52,'0(17(/ 9(1'20(

Cette rÊalisation a mobilisÊ spontanÊment les habitants du village, les enfants du regroupement pÊdagogique, les enseignants qui ont axÊ leur travail sur l’Êcologie, les arbres, les plantes, la prÊservation et la Acacias rue des H5 Courtalain connaissance de la nature. La plantation de cet arboretum, sur l’ancien terrainrue deCharles football dÊsaffectÊ, fut Argent d’ I5 CroisÊs Bas de226 Romainville du appartenant A3 I4 l’aboutissement de ce travail. Chaque participant a adoptÊ l’un des arbreschemin plantÊs à Dix-Neuf 89 Mars 1962 Bel Air chemin de K6 L7 Dix-Neuf Mars 1962 espèces diffÊrentes. Chaque essence est identifiÊe par une plaque.

Bois de la Roche impasse du H3 I3 DrouÊ Ce projet, qui contribue à familiariser le public avec les diffÊrentes d’arbres, s’inscrit Boucheespèces d’Aigre rue de L6 7 dans une FossÊs Boussa rue du Colonel J6 Français Libres logique de dÊveloppement durable puisqu’il rÊpond dÊjà à quatre des cinq finalitÊs mises enI6 avant dans Bouville rue de K5 Galoire les textes fondateurs du dÊveloppement durable : Brèche venelle de la J4 Gambetta

Conservatoire de l’agriculture - COMPA à Chartres

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Cloyes-sur-le-Loir

Adresses Utiles /$ 3,27,(5(

Plan de Ville

RĂŠsidence

• Arrêts de transports (Transbeauce, TER Centre)

L’arboretum a ÊtÊ inaugurÊ le 7 juin 1997, rÊalisÊ dans le cadre du Fonds de Gestion de l’Espace Rural et initiÊ par les agriculteurs du village. Il faisait partie d’un projet plus global de crÊation et d’amÊnagement de chemins de randonnÊe.

L’ARBORETUM Baguenaudier

Foyer

Ville RĂŠdactionnel

Avec une collection de plus de 10000 documents (livres, CD, CD ROM, DVD et pĂŠriodiques sur plus de 400 m2.

Ouverte au public du lundi au samedi

La Poste

1, place Gambetta 02 37 44 52 80

 J’ai connu le plus pauvre des dÊshÊritÊs, celui pour qui l’arbre n’est rien . Jean Giono.

Erable

de la

Les Petites Canailles : un espace de plus de 560 m2 rĂŠservĂŠ aux enfants de 3 Ă 12 ans.

Les rĂŠsidents du foyer peuvent participer bĂŠnĂŠvolement au Ludo-cartable, Ă une aide aux devoirs ou aux activitĂŠs si ils le souhaitent.

23 rue Nationale 02 37 98 55 27 www.ot-cloyes.com

Stationnement prĂŠvu pour les visiteurs

Au coeur

18 (d’un fixe) 119 (d’un portable) 15 17 ou 02 37 98 65 06 0800 23 13 13 0801 28 48 68 0801 28 27 26 02 41 48 21 21

Office du Tourisme

Aulne Ă feuille

c’est aussi :

MĂŠdiath

Carnet de Route

1, Place Gambetta 02 37 98 65 80

Château de Maintenon

Ces circuits empruntent des routes et des chemins du domaine public traversant des propriÊtÊs privÊes. Ils peuvent être frÊquentÊs par tous types de promeneurs (marcheurs, cyclistes, cavaliers). À ce titre, nous vous invitons à suivre les conseils suivants : - En vÊlo, ralentissez à l’approche d’autres usagers et avertissez de votre arrivÊe dans les zones sans visibilitÊ.

- Respectez la nature et la propriĂŠtĂŠ privĂŠe.

- Ne jetez pas vos dĂŠchets.

- Évitez de frÊquenter les circuits en pÊriode de chasse.

- Soyez prudents aux croisements routiers.

- Tenez vos chiens en laisse.

L’Espace Maurice Dousset

ne

Saint-Pellerin

La Charte du promeneur

Affiches entre de nc

Langey Le MĂŠe

Romilly-sur-Aigre

Saint-Hilaire-sur-Yerre

NumĂŠros Utiles

Pompiers

SAMU Gendarmerie Sida Info Service EDF GDF Centre Anti-Poison

Maison des Services Publics

40, rue Jean Chauveau 02 37 98 44 67

Par le train : Gare de Maintenon sur la ligne Paris-Montparnasse / Chartres.

Et aux dÊtours des rivières s’Êlèvent des demeures plus imposantes notamment le château de Montigny le Gannelon surplombant le Loir, qui possède de magnifiques salons meublÊs agrÊmentÊs de collections de tableaux.

Douy

La FertĂŠ-Villeneuil Montigny-le-Gannelon

MAIRIE

1, Place Gambetta 02 37 98 53 18 www.cloyes-sur-le-loir.com

Bibliothèque Municipale

EDITO

Tracts

A deux heures de Paris, l’ensemble de ce territoire comporte de nombreuses Êglises renfermant souvent des originalitÊs comme des fresques romanes un mobilier particulier, (un tabernacle pivotant, un banc d’œuvre) ou encore une fontaine, mais Êgalement un moulin à eau, un cadran solaire‌

Courtalain

Charray

Châtillon-en-Dunois

Par la route : Venant de Paris : Par l’A13 (pont de Saint-Cloud), suivre l’A12 Rambouillet, puis la N10 Rambouillet. Passer les 4 sorties de Rambouillet, prendre la sortie Orphin-Epernon. Suivre Epernon, puis Maintenon.

Par l’A11 (pont de Sèvres), sortie 10 Ablis, puis N10 direction Chartres.

Suivre Saint-Symphorien-le-Château, Gallardon puis Maintenon.

Ces quinze communes, intÊgrant la verdoyante VallÊe du Loir situÊe au sud du Perche et de la Beauce, reprÊsentent une superficie de 264 km2 occupÊe par un patrimoine bâti qui tÊmoigne de l’importance historique de la RÊgion.

Boisgasson

Venant du Mans : Par l’A11, quitter l’autoroute à la sortie Thivars, contourner Chartres, suivre direction Dreux puis rejoindre Maintenon par la D906.

L’Yerre, affluent qui se jette en rive droite du Loir, descend du massif collinaire qui sÊpare le bassin de l’Huisne de celui du Loir, vers l’est. Ce cours d’eau coule rÊgulièrement sur un parcours de 30 km.

Autheuil

Cloyes-sur-le-Loir

Venant de Tours : Par l’A10, quitter l’autoroute à la sortie Allainville, direction Ablis, suivre Chartres puis Gallardon et Maintenon.

L’Aigre prend sa source dans le Nord Est du Loir-et-Cher, Ă Tripleville puis traverse le Sud de l’Eure & Loir pour aller se jeter en rive gauche du Loir Ă Bouche d’Aigre (commune de Romilly-sur-Aigre) après un “parcoursâ€? de 20 km.

Arrou

AlbÊric de Montgolfier PrÊsident du Conseil gÊnÊral d’Eure-et-Loir

Quinze communes composent Ă la fois

le Canton de Cloyes sur le Loir et la CommunautÊ de Communes des Trois Rivières : Le Loir, L’Aigre, L’Yerre.

Le Loir prend sa source à Saint Eman à 2 km environ au Nord d’Illiers Combray. Sa longueur totale est de 320 km. C’est un espace de rencontre entre la Beauce et le Perche. Ce cours d’eau est une rivière de plaine à larges mÊandres, pente faible et Êcoulement lent. Le Loir atteint une largeur de 20 m.

Chemins de RandonnĂŠes

CommunautÊ de Communes des Trois Rivières

DĂŠpliants

En lien avec le travail de valorisation et de sensibilisation menÊ dans le domaine de la musique et à l’Êchelle du territoire (SchÊma dÊpartemental de dÊveloppement de l’enseignement musical, dispositif  Musique à l’Êcole ‌), le Conseil gÊnÊral d’Eure-et-Loir et Cinq sur Cinq vous prÊsentent la deuxième Êdition de la Semaine de la Musique. ComposÊ de temps d’Êcoute mais aussi d’initiations ouverts à tous, le rendez-vous annuel dÊdiÊ à la cÊlÊbration de la musique laisse place aux jeunes talents comme aux artistes les plus confirmÊs.

Avec près de 5500 visiteurs et spectateurs lors de la première Êdition, la Semaine de la Musique est avant tout un moment festif à partager en famille et entre amis, entièrement gratuit. Comme l’an passÊ, la programmation 2009 se veut variÊe et Êclectique pour satisfaire aux goÝts de chacun mais aussi faire dÊcouvrir des talents originaux.

La Semaine de la Musique 2009 propose du 17 au 21 juin, en journÊe et en soirÊe, des concerts et animations autour des musiques du monde, de la musique classique (lyrique et orchestrale), des musiques actuelles (pop, rock, electro et autres musiques amplifiÊes) ou encore de la chanson. La manifestation se dÊroule du mercredi au dimanche sur le site du COMPA et s’installe au château de Maintenon pour le concert du samedi soir.

Cette soirÊe est marquÊe par la venue de grands noms de la musique reprÊsentants de diffÊrents registres, l’occasion de rencontres entre plusieurs artistes talentueux dont la complicitÊ et la gÊnÊrositÊ sont indÊniables sur scène.

Autant d’occasions de vivre pleinement la musique !

Entreprises

Particuliers

Associations CollectivitĂŠs

www.abellya.fr

Agence de Conseil en Communication

Idest communication - 54, rue du GĂŠnĂŠral-de-Gaulle -56300 PONTIVY - 07 87 36 05 64

idest.com@wanadoo.fr www.agenceidest.com

tionale ontivy .97.30

mb.fr

85, rue Nationale 56300 Pontivy TĂŠl. 02.97.25.97.30

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HOROS

COPE

Mars/Avril 2015 Sous le signe du printemps... d Cancer

(22/06-22/07)

Mars. Ce mois de mars sera dans l’ensemble agréable et vous aurez des facilités à obtenir gain de cause sur des questions juridiques ou officielles. Votre réceptivité sera un atout majeur pour faire passer vos idées et partager vos désirs, au plan social, mais aussi sentimental.

Avril. Ce mois d’avril s’annonce harmonieux sur le plan de vos activités personnelles. Vous ne manquerez pas d’élan, ni de motivation pour agir concrètement. En revanche, votre entourage ne sera pas toujours du même avis que vous concernant vos actions.

(23/10-21/11)

Mars. Davantage d’audace et d’aisance dans votre vie sociale vous feront entrevoir de nouvelles possibilités d’évolution de carrière et de statut. Les circonstances extérieures vous poussent à lancer des initiatives favorables sur le plan financier pour accroître votre sécurité matérielle et votre stabilité future.

Avril. Un mois extrêmement actif dans son ensemble. Il est à prévoir des à coups passionnels dans votre vie amoureuse, votre partenaire sera plus revendicatif, et attisera de ce fait votre instinct de contrôle. Ce qui peut à l’excès vous mener à vous montrer trop dur, à gérer avec précautions.

e Lion (23/07-22/08)

i Sagittaire

f Vierge

j Capricorne

Mars. Vous serez confronté à des situations qui seront souvent troublantes, parce qu’elles vous placeront dans des paradoxes importants. Il faudra faire des choix clairs, mais vous ne pourrez pas tous les mettre en œuvre immédiatement, une transition s’impose.

Avril. Les instances planétaires vont propulser vos projets vers des directions fécondes. C’est surtout au plan professionnel que cela se fera sentir. La chance est avec vous pour diffuser vos idées et les voir acceptées. Votre créativité vous porte chance et vous aurez de bonnes inspirations.

(23/08-22/09)

Mars. Poussé à davantage de tolérance et d’ouverture par rapport aux autres et aux événements extérieurs, certaines vérités vous seront alors beaucoup plus claires et vous aurez davantage de facilités à comprendre votre entourage. Ce qui vous aidera pour avancer vers vos objectifs, dans tous les domaines.

Avril. Le ciel de ce mois d’avril va vous mener à un meilleur aplomb face aux autres, et en particulier face à l’autorité. Vous prenez du galon, sans attendre qu’on vous le donne ! Cela vous confère une autorité plus forte, ce qui sera vraiment flagrant dans vos échanges avec vos interlocuteurs financiers.

g Balance (23/09-22/10)

Mars. En ce mois de mars, votre adaptabilité sera votre plus grande force pour évoluer avec les circonstances extérieures. Votre entourage s’impose davantage, mais vous saurez y trouver des satisfactions personnelles.

Avril. Une certaine impulsivité va se faire sentir dans vos relations affectives, alors que dans le même temps, les liens affectifs seront pour vous d’une importance accrue. Veillez à ne pas vous illusionner et à avancer pas à pas en dépit de vos emballements.

50

h Scorpion

(22/11-20/12)

Mars. Ce mois de mars va vous placer dans des situations qui favorisent votre élan de fond vers de nouveaux horizons de vie. Vous ne tiendrez pas en place, tant physiquement que mentalement, d’où un risque de dispersion par rapport aux projets.

Avril. L’opposition de Mars à votre signe vous fera connaître des à coups dans votre activité.

Vous allez alterner entre indolence optimiste et action tous azimuts, mais prenez garde à réguler vos élans. L’ambiance s’allège en famille grâce à de nouveaux projets qui fédèrent et resserrent les liens positivement.

(21/12-19/01)

Mars. Les influx planétaires vont vous inciter à faire de sérieux bilans de ce qui s’est passé ces six derniers mois. Un besoin de solitude se fait sentir, mais vous en aurez peu l’occasion. Les dialogues vous éclaireront notablement sur la véritable nature des motivations de votre entourage.

Avril. Le ciel d’avril va vous pousser à sortir de vos retranchements, à vous extraire de votre réserve pour agir de manière plus simple et plus directe vers vos objectifs. Grâce à un pragmatisme plus raisonnable, mais pas moins réaliste, vous allez pouvoir simplifier certains processus dans vos projets.

k Verseau

(20/01-18/02)

Mars. Votre vie relationnelle prend une tournure intéressante pour vous affirmer plus clairement.

Vos relations vous poussent à sortir de votre coquille, ce qui vous sera profitable. Un effort de tact sera indispensable car vous aurez tendance à être trop radical dans l’expression de vos valeurs.

Avril. Les astres vont vous apporter ce mois-ci des atouts considérables pour embellir votre vie sentimentale, bien que celle-ci ne soit pas de tout repos. Il y a beaucoup d’échanges en perspective, mais ces échanges vous feront progresser durablement dans vos liens.

l Poisson

(19/02-20/03)

Mars. L’évolution de votre vie se poursuivra avec élan, il sera bon de ne pas trop vous ménager et de profiter de ces courants de chance pour réaliser vos désirs, sans hésiter en vain. Vous serez confronté à des choix radicaux, pour lesquels vous serez prêt.

Avril. Le mois d’avril devrait propulser vos amours vers les hauteurs passionnelles belles et bien concrètes. Cela devrait également contribuer à porter votre moral vers des hauteurs bénéfiques et vous apporter un mordant positif dans tous les autres domaines.

a Bélier

(21/03-20/04)

Mars. Ce mois de mars va s’avérer extrêmement galvanisant pour vous, grâce aux influx de la planète Mars. Un renfort positif pour réactiver des initiatives et vous projeter dans des situations qui aideront considérablement au lancement de certains de vos projets.

Avril. L’arrivée de Mercure dans votre secteur va vous pousser à mettre la gomme sur vos projets.

Votre créativité ne manquera ni de ressort ni de profondeur. Cela devrait placer les affaires financières au devant de la scène et vous inciter à des élans constructifs pour stabiliser votre position.

b Taureau

(21/04-20/05)

Mars. Ce mois de mars va favoriser vos finances et vos amours, par le biais de circonstances favorables et en relation avec vos idéaux. Les choses évoluent lentement, mais avec davantage de facilité. Cela va occasionner des changements dans la hiérarchie de vos valeurs et de vos priorités.

Avril. Ce mois sera intense en activités. Et c’est sur tous les fronts que votre énergie se manifestera. Vous serez spontanément plus impulsif, plus volontiers cartésien, et vous ne prendrez pas de détours, notamment en famille pour remettre les pendules à l’heure.

c Gémeaux

(21/05-21/06)

Mars. Les instances planétaires de ce mois de mars vont positivement satisfaire votre besoin de changement. Les choses avancent vite, mais vous aurez du mal à éviter une certaine confusion, surtout au plan relationnel. Cela pourrait vous faire douter de la voie à suivre.

Avril. Les influx de Vénus dans votre maison vont vous confronter à des situations qui vous poussent à clôturer des affaires financières qui représentent un fardeau. Vous aurez davantage à cœur de résorber dettes, factures en attente et terminer certains travaux ou projets liés à vos finances.

du 2 au 14 mars 2015

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