Bulletin FFL - Mai 2016 by Fondation Follereau Luxembourg

solidarité FOLLEREAU Mai 2016

50 JOER FFL

“Être enfant, c’est ne pas travailler et aller à l’école”

Félix, 9 ans, Luxembourg

LET KIDS BE KIDS p 6 > Elfenbeinküste: Perspektiven für die Straßenkinder p 14 > Volontariat: De Sergio am Togo p 16 > What’s new: Health is Wealth p 18 > Sensibilisierung: Die FFL in Luxemburger Schulen

50 JOER FFL

Edito SOMMAIRE 2 > Edito 3 > Activités de la FFL 4-5 > Let kids be kids 6-8 > Elfenbeinküste: Straßenkinder 9-11 > Benin: Kinderhandel 12-13 > Burkina Faso: Formation professionnelle 14-15 > Volontariat: De Sergio am Togo 16-17 > Health is wealth 18-19 > Éducation au développement 20 > Entrevue 21 > Mein Letzter Wille 22-23 > Remerciements

“Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.” (Déclaration universelle des droits de l’homme – Article 3) Si ce droit est garanti dans nos contrées européennes, de nombreuses personnes, ailleurs dans le monde, ne peuvent pas en dire autant. Et comme souvent, ce sont les couches les plus fragiles des sociétés qui sont concernées. 1 200 000 enfants sont victimes de la traite dans le monde. La plupart d’entre eux n’ont jamais été à l’école. 1 200 000 enfants souffrent, livrés à eux-mêmes ou à la dure loi de la rue, dans la violence et la peur. 1 200 000 enfants sont privés d’accès aux soins de base. 1 200 000 enfants sont privés de leurs droits humains, de leur enfance, et de leur dignité. Au travers de son programme « Let kids be kids », la Fondation tente de garantir le respect des droits des enfants en matière de santé, de scolarisation et de formation professionnelle au Bénin, au Mali, au Burkina Faso, au Togo, en Côte d’Ivoire ainsi qu’en Guinée. Dans ces pays où les enfants de moins de 15 ans représentent plus de la moitié de la population, ces projets changent des vies. La vie humaine n’a pas de prix, mais 50€ peuvent nous aider à changer des destins. Jean Hilger, Président du Conseil d’Administration

Fondation Follereau Luxembourg

151, Av. du Dix Septembre L-2551 Luxembourg Tel: 44 66 06 1 Fax: 44 66 06 60 Email: info@ffl.lu

www.ffl.lu

EQUIPE FFL Christophe Wantz (Directeur), Violaine Alves, Matthias Barthod, Tina Bock, Clémentine Gloire, Naristé Grün, Liz Hof, Charlotte Honorez, Mohamed Mounir, Conny Reichling, Monique Schmit. CONSEIL D’ADMINISTRATION Jean Hilger (Président), Brigitte Bontemps, Jos Hilger, Georges Keipes, Anne Majerus, Julio Nerin, Boubacar Niang, Jean-Luc Pauly, Dr. Jean Smit. CONSEIL ÉTENDU Marie-Thérèse Ney, Monique Hermes.

Les activités de la FFL en Afrique Die Aktivitäten der FFL 24 projets

24 Projekte 81% des globalen Budgets

81% du budget global 300 000 bénéficiaires directs

in Afrika

#HEALTHISWEALTH

300 000 direkte Empfänger

MALI

BURKINA FASO

9 pays

GUINÉE

35 projets

CÔTE D’IVOIRE

3 000 000 € 2 axes

TOGO BÉNIN RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE

RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

MADAGASCAR

11 Projekte 19% des globalen Budgets

11 projets

19% du budget global 23 000 bénéficiaires directs

#LETKIDSBEKIDS

23 000 direkte Empfänger

AIDEZ-NOUS À LUTTER CONTRE L’EXCLUSION! HELFEN SIE UNS GEGEN AUSGRENZUNGEN ZU KÄMPFEN!

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>>> LET KIDS BE KIDS

LET KIDS BE KIDS:

Aide à l’enfance en détresse

L’ENFANCE C’EST... “jouer beaucoup et faire du sport”

“ne pas travailler” “avoir assez à manger et à boire” “avoir un chez-soi où il y a la paix”

“aller dans une bonne école et apprendre un métier” “avoir des bons parents”

DROITS DE L’ENFANT (Def.): locution

L’expression “droits de l’enfant” regroupe l’ensemble des droits fondamentaux établis par les Nations Unies et destinés à protéger les enfants, tels que l’accès à l’éducation, à une alimentation suffisante ou des soins adaptés à leur condition. Les droits de l’enfant sont rappelés dans la Convention internationale des droits de l’enfant.

“ne pas avoir peur de personnes méchantes” * * Merci à la classe du cycle 3.1. de l’école fondamentale à Hamm, ainsi qu’à leur institutrice, Madame Sheila Michels-Clesse.

Let kids be kids

>>> LET KIDS BE KIDS

FAST FACTS

16 000 ENFANTS

meurent chaque jour, principalement de causes évitables. Dans chacun de ses projets, la Fondation met un point d’honneur à placer le bénéficiaire au coeur de ses activités, afin de lui garantir une assistance optimale. La FFL soutient de nombreux centres de santé qui permettent aux jeunes mères de suivre correctement leurs enfants au cours des premiers mois de leur vie, et d’être sensibilisées à des mesures d’hygiène préventives. Certains centres permettent également l’accueil d’enfants handicapés. Exclus de la société pour la plupart, ces enfants peuvent ainsi recevoir des soins adaptés, ainsi qu’une formation professionnelle en vue d’un avenir meilleur.

TOUTES LES 10 MINUTES

quelque part dans le monde, une adolescente meurt à cause de violences subies. Les enfants des rues, ou enfermés dans des trafics illégaux, sont les premières victimes de violence. Pour ces enfants au parcours difficile, la FFL soutient plusieurs centres d’accueil qui permettent de les extraire des circuits, de les soustraire au travail risqué et inhumain des mines d’or, ou encore de la dangerosité de la vie dans la rue. Les éducateurs tentent de rétablir le contact entre ces enfants “perdus” et leur famille, ainsi que de leur offrir un environnement serein et sûr pour s’épanouir.

Dans certains pays africains,

PRÈS DE 80%

de la population est analphabète. De nombreux enfants sont toujours privés d’éducation. Ne savoir ni lire ni écrire compromet particulièrement l’autonomie future et l’avenir de ces jeunes. C’est pourquoi les différents centres d’accueil soutenus par la FFL offrent également des cycles de formations professionnelles, ainsi que des cours d’alphabétisation pour chaque jeune. Les élèves ont ainsi accès à des cours de menuiserie, de couture, de maraîchage, d’agro-écologie, etc. Au terme du cursus, un kit de lancement leur est délivré, afin de les aider à démarrer leur propre activité professionnelle.

Let kids be kids

>>> ELFENBEINKÜSTE

Elfenbeinküste:

Perspektiven für die Straßenkinder

FAST FACTS 25,5 % der Kinder gehen regelmäßig arbeiten. 33,2 % der Mädchen sind im Alter von 18 Jahren schon verheiratet. 32 % der Jugendlichen zwischen 15 und 24 Jahren können weder lesen noch schreiben.

abc

In Bouaké, einer zentralgelegenen Stadt der Elfenbeinküste, gehören die Straßenkinder, die sich in den Ecken, öffentlichen Plätzen und Gassen herumtreiben, zum alltäglichen Erscheinungsbild der Stadt schon lange dazu. Es handelt sich um Kinder und Jugendliche, die von den politischen und wirtschaftlichen Krisen des Landes stark betroffen sind, und denen sich Außenstehende nur ungerne annehmen. Die Region ist von einer Armutsrate von 60 % gekennzeichnet. Arbeitslosigkeit und Schwarzarbeit sind weit verbreitet. Mit ausbeuterischen Arbeiten, illegalen

Elfenbeinküste

Geschäften oder auch Prostitution verdienen Kinder und Jugendliche das Geld, das sie zum Überleben brauchen. Oft haben die Betroffenen den Kontakt zu ihren Eltern verloren, wurden gewaltsam getrennt oder waren gezwungen die Familie zu verlassen. Vor allem Mädchen, die unverheiratet schwanger wurden, werden von ihren Familien nicht mehr geduldet und werden verstoßen. Ohne Schulabschluss und Ausbildung haben sie oft nur wenige Möglichkeiten aus dem Teufelskreis der Armut zu entkommen. Ohne Hilfe finden sie nur sehr schwer den Weg in ein geregeltes und lebenswertes Leben zurück.

>>> ELFENBEINKÜSTE

Einerseits wird sich hier um die primäre Versorgung der Kinder gekümmert. Sie werden mit Kleidung und Nahrung und wenn nötig mit Medikamenten versorgt. Außerdem bekommen sie eine psychologische Betreuung und sollen lernen sich auf interkommunikativer Ebene wieder in

der Gesellschaft zurecht zu finden. 2016 wurde zusätzlich ein Schlafraum eingerichtet, damit die Jugendlichen nachts nicht mehr auf die Straße zurückkehren müssen. Wenn die Möglichkeit besteht versucht das Personal die Kinder und Jugendlichen wieder mit ihren Familien zusammenzubringen. Des Weiteren bekommen die Teilnehmer im Zentrum die Möglichkeit an einem Alphabetisierungskurs teilzunehmen, der als rechtlicher Schulabschluss anerkannt wird. In spezifischen Ausbildungskursen können sie eine Lehre zum Schreiner, Schweißer, Mechaniker, Weber oder Schneider absolvieren. Den Teilnehmern wird ein eigenständiges Einkommen ermöglicht, das sie vom Leben auf der Straße erlösen soll. Sie bekommen die Chance auf eine autonome, sichere und unabhängige Zukunft.

Seit dem Jahr 2009 unterstützt die FFL das Projekt der “Maison de l’Enfance” (MEB) und seit 2012 das „Centre de Formation pour Jeunes Filles“ (CFJF) in Bouaké. Hier nehmen sich Erzieher, Sozialarbeiter und medizinisches Personal den vernachlässigten Kindern an. Im CFJF wird sich vorwiegend um Mädchen und junge Mütter gekümmert. Das Projekt soll ihnen nicht nur den rauen Alltag auf der Straße erleichtern, sondern auch dauerhafte Perspektiven bieten, um einen Ausweg aus der Armut zu finden.

Elfenbeinküste

>>> TÉMOIGNAGE

Mamadou Keita: Enfant de la rue à Bouaké Mamadou a 14 ans et est ivoirien. Issu d’une famille de sept enfants, il n’a pas eu la chance d’aller à l’école, par manque de moyens financiers. Alors qu’il est encore très jeune, ses parents se séparent. Il reste avec son père, mais les relations sont tendues. Son quotidien est marqué par la violence tant physique que verbale. C’est en voulant fuir cette situation que Mamadou a rejoint un groupe d’enfants dans la rue, dans le quartier du commerce de Bouaké. « La vie dans la rue n’est pas facile. Il n’y a pas de repos, il faut travailler dur pour manger. On peut te frapper à tout moment. Je dormais dans la rue, et quand il pleut, la pluie nous battait moi et mes amis. On restait mouillés toute la nuit, et

le froid nous fatiguait beaucoup. Dans la rue, il y a toutes sortes de violence. » Un jour, un ami de la rue lui parle d’un endroit qui pourrait l’aider, la Maison de l’Enfance (MEB) à Bouaké. Là, il pourra manger à sa faim, et suivre une formation. Mamadou décide de suivre le conseil de son ami et rejoint la MEB. « Je demeurais dans la rue et j’y allais pour manger et suivre les cours d’alphabétisation en apprenant des petits métiers. Les éducateurs venaient me voir dans la rue pour me donner des conseils et m’aider. Ils ont réussi à me convaincre de retourner en famille. Ils ont rencontré mes parents et leur ont parlé pour que les relations avec mon père soient meilleures. »

« Aujourd’hui, je sais lire, je peux écrire, et je peux même parler le français. Ma vie a changé. Je veux être carreleur ou travailler à la banque pour aider mes parents et mes frères et sœurs. Je ne veux plus jamais retourner dans la rue. »

Photo d’illustration

Témoignage

>>> BÉNIN

Bénin:

CIPSA-EH (FR) En 2012, la FFL a financé la construction du CIPSA-EH (Centre Intégré de Promotion Sociale et d’Accueil pour Enfants Handicapés) afin de venir en aide aux enfants handicapés, mais aussi, de manière plus large, aux enfants victimes de la violation de leurs droits dans la commune d’Allada, au Bénin. Privés de leurs familles, abandonnés, enlevés ou encore donnés en mariage forcé, ils ne bénéficient d’aucune protection sanitaire. Bien que le Bénin ait ratifié la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant dès 1990, les viols sur mineurs ou

l’abandon des enfants sont encore à déplorer fréquemment. Parmi ces enfants en situation difficile, celle des enfants souffrant d’un handicap est moins connue mais demeure préoccupante. Ces enfants sont exclus de l’école, des programmes de formation et des interventions sanitaires. C’est pourquoi la FFL, dans sa lutte contre toutes les formes d’exclusion, a décidé, dans le cadre de ce centre, de concentrer son soutien sur les activités de prise en charge des enfants handicapés et des enfants en situation difficile.

Vous souhaitez soutenir les enfants en détresse?

Aidez-nous à leur venir en aide.

www.ffl.lu Dans ce contexte, le CIPSA-EH d’Allada permet de remédier à la situation de vide dans la prise en charge des enfants handicapés ou en situation difficile en intervenant à 3 niveaux :

en assurant la rééducation des enfants handicapés,

en assurant l’éducation des enfants handicapés,

en sensibilisant les familles et les communautés pour les convaincre de l’attention particulière devant être portée à ces enfants.

Bénin

>>> BENIN

Niemand vermisst sie: Kinderhandel im Norden Benins

FAST FACTS Mehr als 40 000 Kinder fallen Kinderhandel zum Opfer. 86% sind Mädchen, davon sind 20% zwischen 6 und 9 Jahre alt.

40% werden für Haushaltsarbeiten gebraucht.

Die meisten Kinder fallen dem Kinderhandel als Jugendliche zum Opfer. Sie werden aus der Schule entführt oder von ihrer Familie weggeschickt – sei es um Arbeit zu finden um die Familie zu unterstützen oder weil sie zu einer finanziell untragbaren Last werden. Viele Kinder werden entführt, die Händler erzählen den Eltern Lügengeschichten um die Kinder schließlich zur Zwangsarbeit zu verschleppen. Die meisten dieser Kinder haben keine Geburtsurkunde, höchstens ein paar Jahre Schulausbildung und keine Perspek-

Benin

tiven um eine eigenständige Existenz aufzubauen. Keiner wird eine Vermisstenanzeige für sie aufgeben. Die Eltern glauben, dass ihren Kindern ein besseres Leben ermöglicht wurde. Seit 2006 hat sich die Fondation Follereau Luxembourg (FFL) zum Ziel gesetzt, möglichst vielen Kindern dieses Schicksal zu ersparen. Der Norden Benins zieht Kinderhändler förmlich an, da man in dieser Region schnell und unbemerkt über die Grenze nach Nigeria oder Niger gelangen kann.

>>> BENIN

“Personne n’a le droit d’être heureux tout seul.” Raoul Follereau

Die Durchreisen über die Grenzen werden gröβtenteils nahe der Städte Djougou und Parakou organisiert. Gemeinsam mit der lokalen Repräsentation der FFL im Benin (NR/FFL), sowie zwei lokalen PartnerNGOs, unterstützt die Fondation Follereau Luxembourg den Kampf gegen den Kinderhandel im Norden Benins. Sensibilisierungskampagnen für Eltern und Kinder über die Gefahren des Kinderhandels, sowie konsequente Eingliederung der Kinder in eine schulische oder berufliche Ausbildung und die eventuell mögliche Reintegration der Kinder in ihren Familien, gehören zum Programm des Projektes. Die

Partner erklären und informieren die Familien darüber, dass ein Kind, das eine Schulausbildung absolviert und eine vernünftige Ausbildung erhält, später sein eigenes Einkommen erwerben kann und künftig die gesamte Familie finanziell unterstützen kann. Zudem kontrollieren die Hilfsorganisation die wichtigsten Handelsrouten, um Kinderhändler – in letzter Sekunde – daran zu hindern, die Landesgrenze zu überqueren. 2015 haben durch dieses Projekt, 78 Jugendliche eine Berufsausbildung und 52 Kinder eine schulische Ausbildung abgeschlossen.

Gemeinsam mit der lokalen Repräsentation der FFL im Benin (NR/FFL) sowie zwei lokalen Partner-NGOs, unterstützt die Fondation Follereau Luxembourg den Kampf gegen den Kinderhandel im Norden Benins.

Wenn Sie uns bei dem Ziel unterstützen möchten, noch mehr Kindern und Jugendlichen im Benin eine eigenständige Zukunft zu ermöglichen, dann helfen Sie uns mit einer Spende mit dem Hinweis auf „LET KIDS BE KIDS“ auf unser Konto: BCEE IBAN LU38 0019 1100 2081 3000.

Benin

>>> BURKINA FASO

Burkina Faso:

Formation professionnelle

FAST FACTS abc

Taux d’alphabétisation: 33%

47%

Population vivant en-dessous du seuil de pauvreté: 45% Traite des enfants: 39%

“Un homme n’est vraiment un homme que s’il est libre. Il n’est libre que s’il travaille.” Raoul Follereau Le Burkina Faso est l’un des pays où les taux de scolarisation et d’alphabétisation sont les plus faibles au monde. Alors qu’un enfant sur deux fréquente l’école primaire, ils ne sont plus qu’un sur cinq à poursuivre en secondaire. Sans éducation, ni formation professionnelle, la plupart de ces jeunes se retrouvent livrés à eux-mêmes, dans un contexte socioéconomique difficile. Le centre d’accueil « Jeunes Jardiniers de Dédougou » (JJD) vient en aide aux jeunes défavorisés âgés de 13 à 17 ans. Les enfants sont répartis dans les classes en fonction de leur âge et de leur niveau scolaire et suivent des cours et des ate-

Burkina Faso

liers professionnels. En leur offrant des cours d’alphabétisation, ainsi qu’une formation en jardinage, en maraîchage, en mécanique ou encore en menuiserie, le centre tente de leur garantir un avenir meilleur. Des séances socio-éducatives sont également organisées par les moniteurs du centre sur différents sujets, tels que l’estime de soi, la communication interpersonnelle ou encore la préparation psychologique des jeunes aux examens de fin d’études. Les apprentissages, d’une durée de 2 à 3 ans, sont dispensés par un personnel qualifié. Une fois diplômé, chaque jeune reçoit un kit de démarrage pour lancer son activité.

>>> BURKINA FASO

Témoignages: Ils deviennent passionnés, motivés. C’est un ensemble. Ce n’est pas juste l’école. Il y a la camaraderie et l’épanouissement de l’esprit. Quand ils ont des problèmes familiaux, l’école seule n’arrive pas à les aider. Ici, ils se sentent en sécurité et encadrés.” Père Geoffroy Traoré

“On a une pédagogie ici qui déclenche en eux le désir de savoir plus, avec la combinaison d’une formation professionnelle, jardinage et école. Les enfants peuvent découvrir ce dont ils sont capables. Au fur et à mesure, on découvre des potentiels énormes. Et eux aussi, ils sont surpris parfois de voir ce dont ils sont capables.

(photo d’illustration)

“Cette école m’a donné le courage de travailler. Les JJD m’ont appris le sérieux. Si je n’avais pas fait les JJD, je ne sais pas… ça dépend des amis… si j’étais avec ceux qui ne vont pas à l’école et trainent en ville, je serais devenu délinquant.”

Vous souhaitez soutenir les enfants en détresse?

Aidez-nous à leur venir en aide.

Apollinaire Coulibaly, 19 ans

www.ffl.lu Le soutien apporté par la FFL vise désormais l’autonomisation du centre et l’amélioration de la qualité des formations dispensées.

Burkina Faso

>>> VOLONTARIAT

Volontariat: De Sergio am Togo

Vun Oktober 2015 bis Januar 2016 huet de Sergio Romero ee Service Volontaire de Coopération mat der FFL gemaach. Hien ass an den Togo gereest fir am FFL/DAHWTogo Projet géint Buruli Ulkus zu Tsévié ze schaffen. Hien huet sech do 3 Méint ëm d’Kanner am Pavillon UB gekëmmert déi u Buruli leiden.

Wat huet dech motivéiert e SVC ze maachen?

“Et wor op jiddefall keng spontan Decisioun! Dat Thema huet schon ëmmer eng Roll a menge Gedanken gespillt. De richtege Moment huet mäi Liewenslaf entscheet, sou dass dunn de Moment koum wou ech mer gesot hunn: elo oder ni. Net onbedéngt mat privaten Ambitiounen, mee einfach och mol eng Kéier no aneren ze kucken.”

Wat sinn positiv Erënnerungen, wat sinn negatif Erënnerungen?

Hues de een Erliefnis wat dech besonnesch markéiert huet?

„Déi Wierder positiv a negativ hunn ech net ganz gär. Ech géing dat Ganzt als eng super Zäit beschreiwen, wou et sécherlech Momenter gouf déi net einfach waren mee déi op kee Fall als negativ ze bezeechnen sinn. Positiv dogéint, war u sech all eenzelne Moment, dat mierken ech wann ech op meng Zäit dohannen (am Togo) zréck blécken. Mir ass opgefall dass ech keen Dag hat wou ech mol d’Flemm hat oder mol schlecht gelaunt war, fir mech ass dat Beweis genuch wéi gutt ech mech gefillt hunn a wéi schnell ech meng Plaz an där dach friemer Kultur fondt hunn. “

„E besonnescht Erliefnis net onbedéngt, vläicht dat gesamt. Elo kéint ee mengen, dass de ganze medezinesche Beräich mech markéiert hätt, well ech Saache gesinn hunn, wou een den Otem unhält, eng Kultur déi eng ganz aner ass oder hire Glawen un Hexerei, asw. Markéiert huet mech eppes ganz Banales. Moies sinn ech ëmmer géint halwer 8 bei de Kanner ukomm, si hu mech scho vu wäitem gesi kommen. Hir grouss Aen hunn dann méi ausgesprach wéi 1000 Wierder. Einfach dat Gefill, dass si frou si mech ze gesinn, dass ech do sinn. Dat ass mat näischt op der Welt ze vergläichen.

Volontariat

>>> VOLONTARIAT

Géifs du nach eng Kéier e SVC maachen? „Nach eng Kéier géif ech et op jiddefall maachen, beruflech ass dat awer leider net méi méiglech. Mir ass bewosst, dass ech dëst nëmmen eng Kéier maache konnt, well mäi Patron mir säin Averständnis dozou ginn hat. Roden géif ech et jidderengem, ouni Ausnahm. Natierlech ass net jidderee gemaach fir eleng an engem afrikanesche Land, wäit ewech vun der Famill, de Frënn an an enger komplett anerer Kultur e puer Méint ze verbréngen; mee jiddereen dee sech iwwer sou e Projet Gedanke mécht, kann a soll dat erliewen, et markéiert dech fir däi Liewen an du kënns sécherlech als eng aner Persoun erëm.” Firwat hues du d’FFL gewielt fir fort ze goen? „Vun der FFL hat ech virdru schonn öfters héieren. Dass ech mat hinne fort gaang sinn, huet mam Projet ze dinn dee si verwalten. Et ass en immens wichtege Projet deen am Togo e ganz heigen Stellewäert huet. Ouni Spenden aus Lëtzebuerg

géif et am Togo mam Buruli Ulcer ganz schlecht ausgesinn a vill Kanner géinge guer keen Traitement kréien. Natierlech ass et fir mech einfach daat elo ze soen, well ech op der Platz war, mee saitdeem ech de Projet virgestallt krut, huet e mech interesséiert an ech wollt mäint op der Plaz dozou bäidroen. Ech muss mech natierlech bei der FFL am Numm vun all de Kanner déi mir dohanne behandelen, bedanken, well ech mol net drun denke wëll, wéi et hinnen ouni eis Hëllef géing goen. Merci.“

Intresséiert fir e SVC ze maachen ? Zeckt net fir eis ze kontaktéieren: tina.bock@ffl.lu

Volontariat

>>> WHAT’S NEW

What’s new?

HEALTH IS WEALTH

Programme de promotion de la santé publique communautaire

Togo:

Un nouveau centre de santé La FFL poursuit son engagement en faveur de la santé communautaire, et particulièrement de la santé maternelle et infantile en Afrique de l’Ouest. Avec son partenaire au Togo, l’Association des amis togolais de la FFL (AAT-FFL), la FFL a permis la réalisation d’un nouveau centre de santé dans le village isolé de Doglobo, à 170 km au NordOuest de Lomé, qui permettra à plus de

3.000 personnes, dont 65% de femmes et d’enfants, d’accéder aux soins de santé élémentaires. Le centre, qui constitue la première réalisation d’un large programme de promotion de la santé familiale au Togo entre 2016 et 2018, ouvrira ses portes dans les semaines à venir, grâce au travail d’un infirmier et d’une accoucheuse.

“Dans les pays en voie de développement, 1.3 millions d’êtres humains disposent de moins d’un dollar par jour pour survivre. 500 000 personnes mourront avant d’avoir l’âge de 40 ans.” (PNUD - Programme des Nations Unies pour le Développement)

Gesundheit und Innovation im Benin:

Umwelfreundliche Lagerung von Impfstoffen

Weltweit sterben jährlich nach wie vor mehrere Millionen Kinder unter fünf Jahren an vermeidbaren Krankheiten, wie Kinderlähmung, Diphterie oder Keuchhusten, obwohl diese durch eine einfache Impfung zu verhindern sind. Auch im Benin zählen die obengenannten Krankheiten zu den Hauptfaktoren der hohen Kindersterblichkeitsrate. Bereits 2015 wurden, als Teil des Gesundheitsprojektes der FFL im Benin, rund 1158 Kinder geimpft. Um diese Aktivität weiter auszubauen, wurden anfang des Jahres

What’s new

sieben Gesundheitszentren mit Kühlschränken ausgestattet. Sie ermöglichen es dem Personal eine größere Anzahl an Impfstoffen ordnungsgemäß zu lagern. Die Besonderheit dieser Kühlschränke liegt in ihrem solar-betriebenem Kühlsystem, welches nicht nur abgelegenen Dörfern mit schwacher Stromversorgung die Möglichkeit gibt einen Vorrat an Medikamenten und Impfstoffen griffbereit zu lagern, sondern auch wesentlich umweltfreundlicher als herkömmliche Kühlschränke sind.

>>> WHAT’S NEW

GARANTISSONS LES SOINS DE SANTÉ DE BASE À TOUS! Soutenez un de nos projets SANTÉ en ligne sur www.ffl.lu

ou via votre application mobile Digicash, en scannant ce QR Code:

Le Ministère des Affaires étrangères luxembourgeois a accordé un financement à la FFL pour une nouvelle phase d’urgence en République centrafricaine pour l’année 2016. Depuis le début de la crise en mars 2013, les financements du Ministère ont permis à la FFL, via l’ONG FAIRMED, de maintenir le système de santé en place tant bien que mal et ce malgré les dégâts sur l’ensemble du territoire (pillages, braquages ou encore affrontements meurtriers). En 2016, deux hôpitaux, neuf centres

RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE: Aide d’urgence

de santé et trois postes de santé des districts sanitaires de Bimbo et M’Baïki vont bénéficier de l’appui de la FFL, notamment grâce au renforcement de leurs capacités à répondre aux besoins de la population. De même, cette nouvelle phase va permettre la prise en charge de la malnutrition chez les enfants de moins de cinq ans ou encore la fourniture de médicaments et la mise à disposition d’une ambulance dans le but de soulager ces formations sanitaires exsangues.

What’s new

>>> ÉDUCATION AU DÉVELOPPEMENT

Sensibilisierung:

Die FFL in Luxemburger Schulen „Semaine Follereau“ in der Privatschule Fieldgen Zum Anlass des Welt-Lepratages am 31. Januar 2016 organisierte die FFL drei Konferenzen zum Thema Zwangs- und Frühverheiratung in der Ecole Privée Fieldgen (EPF). Frau Magda de Meyer, eine belgische Bedienstete im Kampf für die

Frauenrechte, die sich unter anderem in den zentralafrikanischen Ländern engagiert, klärte die 600 Teilnehmerinnen über die Ursachen, Konsequenzen und Lösungsansätze auf, um gegen diese Praktik vorzugehen.

Ausstellung “maladies tropicale négligées” in der “Ecole Privée Marie Consolatrice” Am 15 März 2016 lud die FFL und die Privatschule Marie-Consolatrice zur Vernissage der Ausstellung “tropische, vernachlässigte Krankheiten” ein. Die Schülerinnen der Klasse 10e IPDM/APS führten die Besucher durch die Ausstellung. Sie setzen das Leben in Luxemburg, dem Leben in Benin gegenüber und gaben ausführliche Erklärungen zur präsentierten Problematik. Über sechs Monate haben die Schülerinnen zusammen mit ihrer Lehrerin und der FFL das soziale Projekt vorbereitet und sich intensiv über das Thema informiert. Umso mehr freuten sie sich über die zahlreichen Teilnehmer: „Gëschter Owend huet mir gutt gefall,

Éducation au développement

virun allem dass sou vill Leit komm si fir iwwer déi vernoléissegt Krankheeten ze schwätzen“ so eine Schülerin. Auch Chiara gab ein positives Feedback: „Den Owend war flott. Mir hunn vill bäigeléiert an et huet mir eng Freed gemaach deenen aner Leit ze weise wéi gutt mir et iwwerhaapt hunn“. Alle Schülerinnen bezeugten, dass ihnen das Klassenprojekt gut gefallen hat und dass sie es genossen haben, gemeinsam eine Veranstaltung zu gestalten. Die FFL freut sich sehr über die gelungene Zusammenarbeit und hofft weiterhin mit der Schule kooperieren zu können.

>>> ÉDUCATION AU DÉVELOPPEMENT

Workshops angeboten in:

Workshops:

“Against exclusion”

FR DE

In zahlreichen Grundschulen Luxemburgs organisierte die FFL Informationsworkshops. Zum Angebot stehen 5 verschiedene Themen:

v v v v v

Let Kids be Kids Im Teufelskreis der Armutskrankheiten Femmes d’ici, femmes d’ailleurs Discover the Undiscovered Wasser ist Leben

Ganz besonders hat sich die FFL über die Teilnahmen an den sozialen Projekttagen in den Schulen “Fieldgen” und “Saint Anne“ gefreut. Hier wurden anhand von verschieden Workshops zahlreiche Klassen über die Arbeit unterschiedlicher ONG’s informiert.

INTERESSIERT ? Haben auch Sie Interesse ein Schulprojekt oder ein Workshop in Ihrer Schule oder Klasse durchzuführen? Tina Bock (tina.bock@ffl.lu, 44 66 06 32) steht Ihnen gerne für weitere Informationen zur Verfügung.

Éducation au développement

>>> COLLABORATION

Entrevue:

Céline Agnès - Radio ARA En 2016, la FFL et Radio Ara font cause commune dans les Cafés de la FFL servis par le Bistro Ara. Rendez-vous toutes les 6 semaines, les jeudis à 17h30. à faire vivre la radio. Le tout dans un travail en corrélation avec l’antenne anglophone du matin: Ara City Radio qui officie dans nos locaux entre 06h00 et 14h00 chaque jour de la semaine. »

Radio Ara a fait peau neuve. Qu’est-ce qui a changé ? Céline Agnès : « Radio ARA s’est installée il y a bientôt un an dans de nouveaux locaux sur le site des Rotondes. Un nouveau chapitre s’est ouvert dans un nouveau chef-lieu au cœur de la culture au Luxembourg, avec également, une nouvelle fréquence: 102.9FM. Ce fut un déménagement vers de nouvelles installations, avec un renouvellement d’une partie du matériel technique, principalement le studio qui accueille les émissions en direct. Radio ARA regroupe deux associations: Mond Op, qui est l’association des animateurs de la radio et Graffiti, l’antenne jeunes de Radio qui fonctionne chaque après-midi entre 14h00 et 17h00, sous convention avec le Ministère de l’Education Nationale et qui est encadrée par deux éducatrices. Un esprit libre pour des émissions plus que variées qui touchent toutes les communautés et qui abordent tous les sujets dans des émissions et thématiques différentes. Radio ARA offre une plate-forme associative avec des bénévoles qui assurent leurs émissions sans oublier le soutien de nos donateurs spontanés qui nous aident

Collaboration

Les cafés de la FFL servis par le Bistro Ara. Que se cache-t-il derrière cela ? Céline Agnès : « Depuis quelques années déjà nous sommes très proches de la FFL, de ses activités et de ses combats. Nous avons pris pour habitude de recevoir la Fondation Raoul Follereau à la radio lors de notre magazine quotidien du soir le “Bistro”.

“Après quelques discussions, nous avons décidé de donner corps aux actions de la FFL lors d’un nouveau rendez-vous mensuel: Les Cafés de la FFL servis au Bistro de Radio ARA.” Un rendez-vous d’une vingtaine de minutes, afin d’aborder sous un angle différent, les actions et l’actualité de la FFL, que ce soit sous forme d’interview à proprement dit ou sous forme de témoignage personnel. Un rendez-vous décontracté pour aborder les diverses problématiques que combat la FFL pour un rendez-vous grand public qui ne laisse forcément personne indifférent et qui amène à la réflexion à travers les différents sujets que l’on côtoie lors de nos émissions. »

>>> MEIN LETZTER WILLE

Mein Letzter Wille: « Ce que j’ai, c’est ce que j’ai donné » R. Follereau

Frau Sommer war 40 Jahre alt. Sie rief bei der FFL an und fragte, ob ein erfahrener Projektleiter sie besuchen könne. Die Frau saß im Rollstuhl. Auf ihrem Schoß lag ein langer Fragebogen über unsere Arbeit. Sie ließ sich Prozeduren, Projekte, Kontrollen von Finanzen und Resultate genau erklären.Dann sagte sie bewegt und würdevoll dem FFL Mitarbeiter: “Sie haben die Prüfung bestanden”. Im Nachhinein schrieb der Notar einen Akt laut dessen Inhalt Kindern geholfen werden sollte. “Persönlich konnte ich leider keine Kinder haben. Ich möchte das Glück, das ich meinen Kindern geben wollte, an notdürftige Kinder weiterschenken.” Die Fondation Follereau Luxembourg verpflichtet sich durch klare Linien und ehrliche Gespräche, daß der Wunsch eines jeden Spenders mit größter Sorgfalt respektiert und ausgeführt wird.

Falls Sie mehr über unsere Projekte erfahren möchten oder die Möglichkeiten wie Sie auch weit über den Tod hinaus Gutes tun können, steht Ihnen unser Direktor Christophe Wantz (Tel. 44 66 06 – 1) jederzeit unverbindlich und vertraulich zur Verfügung.

Lëtzebuerg, den 16. Februar 2016 - D’Fondation Follereau Luxembourg gëtt Member vun Don en Confiance Luxembourg an ënnerschreift offiziell de « Code de bonne conduite ». Domat offizialiséiert d’FFL d’Transparenz an de gudden Ëmgang mat den Hëllefen, déi vun den Donateuren a Sponsore kommen. D’Membere ënnersträichen mat hirer Adhesioun bei Don en Confi-

ance nach eemol hir Bereedschaft sech den Demande vun hireren Donateuren unzehuelen, kloer an ouni Reserven ze kommunizéieren an d’Donnéën vertraulech ze behandelen.

Mein Letzter Wille

>>> REMERCIEMENTS

Amis des Lépreux de Rodange E grousse Merci un d’Amis des Lépreux vu Rodange, déi de 6.Februar op hir Generalversammlung invitéiert hunn an der FFL ee Scheck vu 5000€ fir d’Leprakranker a Madagaskar iwwerreecht hun. E ganz grousse Merci fir Äert jorelaangt Engagement fir de Leit, déi un dëser Krankheet leiden, ze hëllefen de Wee zréck an d’Gesellschaft ze fannen.

Bazar International

Villmools merci aux organisateurs et aux participants du Bazar International qui ont récolté 5000 € pour la FFL, au profit de la lutte contre les mutilations génitales féminines au Burkina Faso. Une très belle cérémonie de remise de chèque a eu lieu le 2 mars 2016.

Fraen a Mammen Hamm Den 18. Februar wor d’FFL agelueden op d’Scheckiwwereechung bei de Fraen a Mammen zu Hamm. Den Éierepresident vun der Fondatioun, den Här Jos Hilger, huet der Madame Anny Hansen an hirer Equipe ee ganz grousse Merci fir hiren onermiddlechen Asaz fir d’Stroossekanner zu Segou ausgeschwat. D’Fraen a Mammen Hamm hunn och rem dëst Joer déi stolz Zomm vu 5000€ un d’Kanner am Mali gespent. Villmools Merci.

Remerciements

>>> REMERCIEMENTS

L’École Privée FIELDGEN

Les élèves de l’École Privée Fieldgen ont encore apporté un grand soutien à la FFL. Grâce à leur magnifique Musical Show et leurs différentes actions, elles ont pu reverser 28,872.00 € au bénéfice de la Maison de l’Enfance de Bouaké, en Côte d’Ivoire. Villmools merci.

Fraen a Mammen Kayl Les Fraen a Mammen Kayl ont remi un chèque de 1 500 € le 12 avril 2016, en faveur des femmes et des enfants en Afrique de l’Ouest. Mille merci pour leur soutien et leur confiance.

Help us to save children in need Do you want to get your company or your association involved? The FFL will find an innovative and sportful partnership! Today, fundraising is not only about giving money. Your skills, your time and your motivation are strong enough to help kids in need. The fate of these African children is in your hands.

STRONG VISIBILITY

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Feel free to contact Matthias Barthod : matthias.barthod@ffl.lu or +352 446606-33.

Remerciements

VOUS SOUHAITEZ OFFRIR UN CADEAU ORIGINAL & ENGAGÉ À VOTRE MAMAN? En faisant un don de 30€, vous offrez le matériel scolaire de 6 enfants pour un mois! En échange, recevez cette superbe photo réalisée par T. Winn, lors d’une mission de la FFL à Madagascar. Tirage A4, sur papier photo de qualité.

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Offrez votre cadeau dès maintenant avec un don sur le compte de la FFL BCEE IBAN LU38 0019 1100 2081 3000 avec la mention “CADEAU”

DIMANCHE 03 JUILLET 2016 À 10H00

6 ou 10 km Plus de 4000 coureurs

De nombreuses surprises pour vos enfants!

En partenariat avec la FFL

VENEZ LES ENCOURAGER ET NOUS RENCONTRER! Fondation Follereau Luxembourg 151, Avenue du Dix Septembre L-2551 Luxembourg Tel.: 44 66 06 1 - Email: info@ffl.lu