
REGARDER L’INVISIBLE
REGARDER L’INVISIBLE
A presque 500 ans des débuts de la reconstruction du palais (1526-2026) c’est à la tâche de porter et de mener une étude sur l’iconographie des 60 colonnes aux mille sculptures de la première cour d’honneur du palais, appelée de ses voeux par Suzanne Collon-Gevaert dans l’ouvrage : Érard de la Marck et le palais des princes-évêques à Liège (1975), que Nord Project s’attache depuis 2022. Partant du regard de l'historienne sur les deux thématiques innervant ce vaste ensemble de pierre (La folie & La découverte des Amériques), Nord Project « ouvre » les 47 colonnes originelles du palais. Un projet souhaité inter- et multidisciplinaire.
ART CONTEMPORAIN
- PATRIMOINE : une méthodologie
Du regard contemporain pour observer le passé, les deux années 2022-2023 ont permis au collectif satellite d’Espace 251 Nord : Nord Project, de réaliser un inventaire des 47 colonnes originelles, présenté depuis le printemps 2024 sous le titre HYBRIDES à Espace
251 Nord avec l’Inventaire et dans l’exposition
Renversements à La Comète.
Cet inventaire réalisé à partir des colonnes originelles (1526-1536) se constitue aujourd’hui d’une dizaine de moulages en plâtre, ainsi que des photographies de l’entièreté de la galerie Nord. Il se constitue aussi de scans 3D sur l’ensemble des 47 colonnes originelles (relevé contemporain). Ils ont été réalisés sur les colonnes dispersées au le Trésor de la Cathédrale, où deux d’entre elles sont conservées. Dans la première cour (15) et la deuxième cour (3) du palais des princes-évêques de Liège. Et l’ancienne abbaye Saint-Laurent où ont été déplacées 27 colonnes lors des travaux de remplacement de ces dernières dans les années 70 réalisés par la Régie des bâtiments sous le chef du fonctionnaire dirigeant Jean-Pierre Roland, alors en charge du chantier.
HYBRIDES
Pour l’année 2024, Espace 251 Nord présente son programme d’étude de l’iconographie des colonnes sous l’intitulé générique d’Hybrides
Manière d’inviter le lecteur à lire le message polysémique laissé par le prince-évêque Érard de la Marck il y a 500 ans comme une capsule temporelle dont le code se laisse aujourd’hui progressivement déchiffrer.
Manière aussi de rebattre les cartes de la figuration à l’abstraction dans le vocabulaire de la plasticité des formes. Où le végétal féconde l’humain, où l’animal, chimère, peut être mi-poisson mi-rapace. Où l’hybride serpent ouroboros, enserrant les bulbes et les fûts, signe d’éternel retour, peut porter des plumes, ainsi qu’un bec de canard ou encore une tête équine ou canine.
Manière encore de voir l’hybridité dans un pli temporel dont l’anachronisme des thématiques d’avant se révèle dans le présent de notre actualité.
Hybrides, un programme en quatre volets
1. A Espace 251 Nord, Inventaire
L’inventaire invite le visiteur à entrer dans l’iconographie des sculptures des colonnes du palais de Liège.
Nous sommes trompés par les vœux.
Le temps nous fait défaut.
La mort se rit de toutes les précautions.
La vie est angoisse.
Rien !
Pour cet inventaire, Nord Project s’est intéressé aux 47 colonnes originelles (sur 60), hormis la galerie Ouest totalement reprise par l’architecte Charles Delsaux en 1853 lors du réaménagement en style néo-gothique de l’aile pour le gouvernement provincial. Très peu d’indices existent actuellement des colonnes originelles de la galerie Ouest. Dans un futur proche, la mobilisation des institutions politiques et des administrations, associées aux chercheurs, devrait voir évoluer le rendu de ces questions mémorielles et identitaires à paraître dans un livre, souhaité en 2026…
Avec la mise en place de cet atelier d’étude des colonnes à E2N, les regards peuvent se mettre au travail de recensement.
Par une opération d’ouverture du programme de la colonnade aux mille sculptures, le langage de ces dernières se donne désormais à voir dans l’articulation successive des motifs. D’une colonne à une autre, d’une face à l’autre, des formes hybrides naissantes oscillant de la figuration humaine à l’abstraction végétale ou à l’hybridité animale.
Des trognes de fous tirant leur langue sur l’une, montrant leurs dents sur l’autre, agressant le regardeur ici sous des expressions subtilement diverses d’un même visage, la lecture progressive de la colonnade laisse apparaître le rythme progressif des métamorphoses.
2. A La Comète, Renversements donne à voir l’invisible Mettant en lumière les observations réalisées au sein de l’atelier l’Inventaire à Espace 251 Nord, les murs de La Comète (ancien cinéma, cabaret-théâtre Varia), présentent les 47 colonnes des trois galeries de la cour d'honneur du palais des princes-évêques.
Produites à taille réelle, chaque image est le résultat d’un processus de découpe de chaque colonne pour en extraire les bases et les chapiteaux. Suite à cela, l’opération de renversement permet de rapprocher les faces contraires d’un même chapiteau ou d’une même base.
La partie de la colonne inclinée, désormais creuse, grâce au scan 3D, permet par la traversée, de
rapprocher ces deux faces (Nord-Sud /// Est-Ouest).
S’en suit un accrochage vertical, de la galerie Sud avec les colonnes 1 à 17, puis à l’Est de 18 à 30 pour finir au Nord avec les colonnes 31 à 47.
Horizontalement, deux niveaux inférieurs présentent les bases Nord-Sud & Est-Ouest.
Au-dessus, les renversements des chapiteaux s’organisent sur deux niveaux. Le dernier niveau concerne les angles, laissant parfois apparaître les feuillages qui prennent des allures de figures animées.
Cette construction de l’accrochage permet de reconnaître la répétition de certains motifs : visages doubles (colonnes 7 / 10 / 37), anneau dans la bouche (colonnes 34, 36, 37, 45), têtes de feuilles (33, 35), germinations végétales (colonnes 36, 37, 38).
Prince-évêque Érard de La Marck (1472-1538)
Le palais, de demain à hier Julien Maquet
« Je n’ai vu nulle part un ensemble architectural plus étrange, plus morose et plus superbe. » Cette célèbre phrase de Victor Hugo résume parfaitement la manière dont le palais de Liège a fasciné et fascine encore celui qui le découvre.
Ceci est également vrai pour la majestueuse première cour et pour son impressionnante colonnade érigée entre 1526 et 1534. En 1615, Philippe de Hurges, voyageur français, écrivait : « Ce qui se voit de plus admirable (…) en tout le palais, ce sont ses colonnes (…). Il n’y en a pas une qui ressemble l’autre en ouvrage ; ainsi étant de grosseur étrange (…), ce sont des pièces très rares et magnifiques. »
Néanmoins, malgré les études de Suzanne CollonGevaert et de Liliane Sabatini, ces colonnes, comme l’écrit Cécile Oger en 2008, « (…) aujourd’hui encore, recèlent une part de mystère. » En effet, même si Flavio di Campli a, en 1996, apporté quelques informations nouvelles concernant les modèles français permettant de comprendre l’origine de la variété des formes des colonnes, le programme
iconographique de l’ensemble demeure en partie énigmatique.
Certes, depuis les travaux de Suzanne Collon-Gevaert, il ne fait plus de doute que les thèmes de la folie et de la récente découverte des Amériques constituent l’un des fils conducteurs de la multitude des motifs sculptés des soixantesept colonnes de la première cour du palais.
Ce programme a peut-être pour auteur le princeévêque Érard de la Marck (1505-1538) en personne, lui qui correspondait avec Érasme, auteur de Éloge de la folie (1511), lui qui connaissait le livre de Sebastian Brant La nef des fous (1494), lui qui fréquentait la cour de Marguerite d’Autriche, Gouvernante générale des Pays-Bas, à Bruxelles où, en 1523, avaient été envoyées des pièces aztèques (armures, armes, bijoux, casques garnis de plumes, parures diverses, etc.) offertes par l’empereur Charles Quint.
Cependant, malgré ses recherches pionnières, Suzanne Collon-Gevaert appelait elle-même de ses vœux, en 1980, que fût dresser, un jour, l’inventaire complet de la décoration des colonnes de la première cour du palais de Liège. C’est ce que l’Espace 251 Nord, à l’initiative de son
président Laurent Jacob et avec l’appui du Trésor de la cathédrale de Liège, se propose de réaliser, non seulement en procédant au moulage de différentes colonnes originelles, aujourd’hui exposées dans la cour de l’ancienne abbaye Saint-Laurent de Liège, mais aussi et surtout en scannant et/ou en photographiant les quatre faces de chaque colonne. Cette démarche devra certainement être étendue aux colonnes de la seconde cour, leur typologie contrastant manifestement avec celles de la première cour, comme le soulignait déjà Jacques Stiennon en 1993.
Ce travail minutieux permettra de réaliser l’inventaire complet des motifs qui décorent les colonnes. Ce récolement systématique pourra devenir le point de départ d’une analyse scientifique pluri- et interdisciplinaire. En fonction des motifs, il pourra être fait appel à l’expertise d’historiens, d’historiens de l’art, d’anthropologues, de botanistes, de zoologistes, etc.
Et il ne fait pas de doute que de la confrontation de ces différents points de vue naîtra une connaissance approfondie de cette œuvre majeure et monumentale que constituent les colonnades du palais de Liège.
Nord Project rend hommage à Suzanne Collond-Gevaert en présentant deux extraits de son texte Érard de la Marck et le palais des princes-évêques à Liège
AVANT-PROPOS [p.11-13]
Le palais des princesévêques à Liège n’avait pas fait l’objet de recherches approfondies, en ce qui touche notamment les deux cours intérieures, lorsque nous avons commencé à nous y intéresser. (…) même à s’en tenir aux limites de nos investigations personnelles, notre travail étant essentiellement axé sur les deux cours intérieures de la résidence et, plus spécialement encore, sur les colonnes qui en constituent l’attrait essentiel. Dans le domaine de l’architecture privée, on a pu dire que le palais constituait l’ensemble le plus important, au XVIe siècle, qui puisse être cité en Belgique sinon en Europe occidentale. Il restait néanmoins à étudier en détail ses multiples colonnes dont les sculptures, souvent étranges, n’avaient pas encore révélé leurs secrets. Nous osons croire que nous avons réussi à éclairer en partie le mystère qu’elles recélaient, mais
nous sommes persuadée qu’il reste beaucoup encore à y découvrir. On s’étonnera, sans aucun doute, de trouver cités, au sujet de ce palais, bien des noms qui, de prime abord, ne paraissent pas pouvoir être rapprochés dans un même propos. Et nous énumérons, au hasard, l’humaniste Érasme de Rotterdam, la gouvernante Marguerite d’Autriche, le théoricien Serlio de Bologne, le graveur Sébastien Brant de Strasbourg, le cardinal de Rouen Georges d’Amboise, le peintre Jérôme Bosch de Bois-le-Duc et jusqu’aux explorateurs du Nouveau Monde : quelques noms (et nous en passons) mêlant et confondant des pays, des temps, des esprits divers. Si nous retrouvons au palais de Liège et grâce au cardinal de la Marck une harmonisation étonnante d’éléments repris à des sources aussi apparemment hétérogènes, n’aurons-nous pas une raison de voir en ce mécène, un véritable précurseur de cette communauté spirituelle vers laquelle tendent les efforts les plus désintéressés de notre siècle ?
Une telle conclusion ne paraîtra justifiable qu’après un long cheminement dans le dédale de faits précis ou d’hypothèses vraisemblables. Quelle que soit l’importance positive des résultats de nos recherches, nous savons
Au mur, un segment sur les bulbes végétaux est exploré en déroulant sur ses quatre faces, une colonne de la galerie Nord.
4. Au palais des PrincesÉvêques, pour les Journées du patrimoine, Regarder l’invisible
3. A La Boverie, pour En Piste, Regarder l’invisible Le projet En Piste 2024 présente la publication Regarder l’invisible et, par la même occasion, invite le visiteur à se rendre au palais des princes-évêques à l’occasion des Journées du patrimoine les 7 et 8 septembre 2024.
Regarder l’invisible : manière de rendre visible, aujourd’hui, les images des colonnes en sommeil depuis plus de 500 ans. Habituelles faces cachées, contre-jours, regards croisés, l'iconographie des colonnes des bases, des chapiteaux et des bulbes végétaux, par des opérations de renversements, de traversées et de déroulés se présente au regardeur à travers les nouvelles images produites par Nord Project à l’occasion des Journées du patrimoine 2024.
Laurent Jacob & Xavier Vani
que notre étude n’a pas épuisé un sujet qui s’avère de plus en plus inépuisable, mais le fait d’avoir ouvert quelques perspectives nouvelles dans un domaine où l’on avait cru, trop tôt, n’avoir plus rien à découvrir, nous permet d’entrevoir des développements plus vastes encore de la part de ceux qui, après nous, se pencheront sur les mêmes problèmes, les mêmes énigmes.
POSTFACE [p. 139]
Notre travail s’arrête ici. Pourtant la tâche que nous souhaitions mener à bien est loin d’être achevée. Nous espérions, en effet, étudier encore les éléments végétaux, très variés, et les éléments zoomorphes du décor sculpté. Nous n’avons pu y faire que de très brèves allusions. Or, nous sommes persuadée que, dans ces domaines encore, il y a bien des découvertes à faire ou les apports du Nouveau Monde pourraient, une fois encore, être invoqués. Nous citons, au passage, pour le monde végétal, les gousses multiples aux graines débordantes dont l’aspect rappelle de très près l’épi de maïs dont les peuples Maya se firent un dieu, comme l’écrivait Jean Babelon. En ce qui touche les formes rappelant le serpent qui sont multipliées sur les bases des colonnes liégeoises, il faudrait alors en rapprocher
les reptiles aux formes tout aussi hybrides qui peuplent les sanctuaires du Mexique notamment. Une telle recherche conduirait à remplir bien des pages encore. Autant de projets qui dorment, sous la forme de fiches, dans nos tiroirs. Et il resterait encore à dresser le répertoire complet, colonne par colonne, des éléments décoratifs intervenant dans la décoration sculptée. Tel quel et malgré ses lacunes et ses imperfections dont nous avons pleine conscience, nous livrons ce travail aux lecteurs que passionne l’histoire de notre passé liégeois. (…)
Extraits de : Suzanne Collon-Gevaert, Érard de la Marck et le palais des princes-évêques à Liège ; 1975, Éd. VaillantCarmanne s.a. Liège
En vue d’une réédition, Espace 251 Nord recherche les ayants-droits du livre de Suzanne CollonGevaert intitulé Érard de la Marck et le palais des princes-évêques à Liège Merci de nous contacter à info@e2n.be Droits réservés
•
Place Saint-Lambert Investigations 18.09 → 05.11.1985
Sous-sols de la place
J. Glibert / L. Jacob
Place Saint-Lambert
« Inventaire d’intervention n°14 » 09.12.1989 Square Notger, Liège
Espace 251 Nord Les reconnaissances 06.05 → 30.06.2022
M. ANGELI / M. BERLANGER / M. BOULANGER / V. CHEVILLON / F. CURLET / É. DUYCKAERTS / Y. FREICHELS / R. GARCET / R. GIGANTE / J. GEYS / A. C. E KENIS / J. LIZÈNE / J. MELON / M. MERCIER / NORDPROJECT / P. REGOUT / C. TERLINDEN / N. VULPIAN
Journées du patrimoine 2022
Palais des princes-évêques
Nord Project Message de pierre, la colonnade aux mille sculptures 10 & 11.09.2022
En Piste, Boverie / La Comète M. COUTURIER
Est-ce là le centre ? projection vidéo, 15,19 min
NORD PROJECT & R. LONG
– photos H. PERDRIOLLE INDIA – work in progress Patrimoine & Art contemporain 23.09 → 29.10.2022
E2N Atelier Haecht Brasserie Haecht 4e étage
Dans le cadre de la collaboration avec la galerie Modesti Perdriolle, à l’occasion des expositions Inside India à Liège et Regards croisés à Bruxelles. Eurégionale
Journées du patrimoine 2023
Nord Project
Le temps
Nord Project
Conception : Nord Project Laurent Jacob & Xavier Vani
Réalisation : Espace 251 Nord
Production
Espace 251 Nord Art
Contemporain asbl
Éditeur : Espace 251 Nord Archives Actives
Graphisme : Signes du quotidien
Impression : Graphius
Textes
Nord Project – Hybrides
Julien Maquet
Extraits du texte : Suzanne Collon-Gevaert, Érard de la Marck et le palais des princes-
1. Espace 251 Nord Nord Project - Inventaire
Du 17.05 au 29.06.2024
Ouverture à l’occasion du Microfestival les 02 & 03.08.24
Prolongation jusqu’au 29.09.2024
Exposition inscrite dans : • OFF La Biennale de l’image possible (BIP), Mutantx ,16.03 > 01.06.2024, ancienne bibliothèque des Chiroux
• OFF Abstrait, La Boverie
31.05 > 18.08.2024, • ELEMENTS 2024, 23.05 > 23.06.24
2. La Comète
Nord Project - Renversements
Du 24.05 au 29.06.2024
Ouverture à l’occasion du Microfestival les 02 & 03.08.24
Prolongation jusqu’au 29.09.2024
Exposition inscrite dans :
• OFF La Biennale de l’image possible (BIP), Mutantx ,16.03 > 01.06.2024, ancienne bibliothèque des Chiroux
• OFF Abstrait, La Boverie 31.05 > 18.08.2024, • ELEMENTS 2024, 23.05 > 23.06.24
ELEMENTS - Réseau
Eurégio Meuse-Rhin 23.05 > 23.06.2024
Depuis 2021, Espace 251 Nord participe au réseau eurégional ELEMENTS qui rassemble les musées et instituts d'art participants en 2024 :
• Bonnefanten, Maastricht
• Buitenplaats Kasteel Wijlre
• Bureau Europa, Maastricht
• Espace 251 Nord, Liège
• Het Nieuwe Domein, Sittard
3. En Piste
La Boverie
Nord Project - Regarder l'invisibleexposition & edition
28.08 → 08.09.2024
Retrouvailles Parc de La Boverie les 31.08 et 01.09.2024
4. Journées du patrimoine Palais des princes-evêques Nord Project - Regarder l'invisible 07 & 08.09.2024
Présentation des plus récentes productions de Nord Project autour du projet Hybrides. Première cour d’honneur, jardin de la deuxième cour et salles d’audiences.
Saint-Léon’art les 28 & 29.09.2024
Espace 251 Nord Nord Project Regarder l’invisible 2ème mouvement
La Comète Nord Project Renversements
évêques à Liège ; 1975, Éd.
Vaillant-Carmanne s.a. Liège
Relectures : Pauline Bastin
Ressources photographiques
Jean-Paul Brohez, Damien Hustinx
Alain Janssens, Marc Wendelski IRPA : Institut royal du Patrimoine artistique Bildindex der Kunst & Architektur
Édité à 1000 exemplaires Sur papier 200gr/m2
Tous droits réservés © 2024 Espace 251 Nord
Colophon général projet Hybrides 2024
Conception : Nord Project Laurent Jacob & Xavier Vani
Équipe
Direction et coordination : Xavier Vani
Régie : Luis Joaquim
← Vue du rez-de-chaussée. Dispositif de la galerie NORD (30 à 47)présentant des scans 2023-2024 (BC Studio), des impressions 2022 (SIRRIS), des photographies de Marc Wendelski (2022), ainsi que des documents d’archives photographiques IRPA et Bildindex. Les socles reprennent les textes de S.C-G.
→ Vue du sous-sol. Présentation du déploiement horizontal sur 4 faces de la galerie SUD (1 à 17). Scans 2023 (BC Studio), scans 2022 (SIRRIS). Au sol et au mur, 2 moulages en plâtre représentant un ouroboros (colonne 10) et un masque de chapiteau (colonne 11).
• Jan van Eyck Academie, Maastricht
• Jester, Genk
• Ludwig Forum, Aix-la-Chapelle
• Marres, House for Contemporary Culture, Maastricht
• SCHUNCK, Heerlen
• Z33 Maison d’Art actuel, Design et Architecture, Hasselt
Brasserie Haecht 4e étage La Montagne Liquide
Voir les informations d’ouvertures sur le site e2n.be
Montage : Jérémy Demasy Transport : Andréi Lazari
Médiation : Alec Moncousin
Coordinateur Elements : Philippe Braem, Joseph Vromans
Photographie des expositions Alain Janssens
Partenaire du projet
Trésor de la Cathédrale de Liège
Directeur et conservateur : Julien Maquet
Régisseur : Aniel Crahay
Avec l’attention de l’Université de Liège
Faculté d’Architecture
Faculté de Philosophie et Lettres
Musée Wittert
Institut de Botanique
Équipe technique
Scans 3D : BC Studio (2023-2024) SIRRIS (2021-2022)
Photographies : Marc Wendelski
Moulages : Hughes Dubuisson
Impressions : Patrick Regout
Pixink, Centre impression Bavière
Ressources textuelles
Espace 251 Nord Archives Actives
Suzanne Collon-Gevaert, Érard de la Marck et le palais des Princes-Évêques à Liège ; 1975, Éd. Vaillant-Carmanne
Ressources archivistiques
Commission royale des monuments & sites
IRPA : Institut Royal du Patrimoine Artistique
Bildindex der Kunst & Architektur
SPF Justice
Première présidente de la cour d’appel : Évelyne Lahaye
Procureur général : Pierre Vanderheyden
Greffier chef de service :
Marie-Christine Depouhon
Division Manager : Bernard Lafalize
Secrétaire de Madame Lahaye : France Martin
Le personnel et les usagers du palais des Princes-Évêques
Régie des bâtiments
Secrétaire d’État en charge de la Régie des bâtiments : Mathieu Michel
Conservateur : Éric Vanvlasselaer
Chef de division : Nathalie Huygens
Expert administratif : Anne KochAncien ingénieur en charge des travaux de remplacement des colonnes dans les années
70 : Jean-Pierre Roland
Fédération Wallonie-Bruxelles
Ministre de la culture : Elisabeth Degryse
Service général de la création artistique
Directeur général adjoint : Roland Van der Hoeven
Service des arts plastiques
Directeur du Service des Arts
plastiques : Max Godefroid AWAP
Inspectrice générale : Sophie Denoël
Directrice opérationnelle de la zone Est : Claire Goffioul
Historien d’art : JeanMarc Zambon
Architecte : Raphaël Pilette
Ville de Liège
Bourgmestre : Willy Demeyer
Échevin de la culture et de l’interculturalité : Mehmet Aydogdu
Secrétaire de cabinet : Marie Remacle
Assurances : Eeckman Art & Insurance
Remerciements particuliers à : Dominique Allart, Christine Benevent, Benoît Van den